La fenêtre de ma chambre était ouverte, un petit vent frai circulait dans la pièce. Cette petite brise m’aidait à me rafraichir. Je ne savais pas si c’est un effet négatif de l’initiation, mais depuis que j’étais sortie de la salle des Masters j’avais l’impression qu’on était en plaine été. Je bouillais littéralement de l’intérieur.
Moi qui étais habitué aux températures fraîches et humides de l’Irlande, là j’en pouvais plus. J’avais l’impression d’être allonger sur une plage en plaine été, et pas une plage Irlandaise.
Je supposais que c’étais mon pouvoir qui était. Je ne le contrôlais pas encore et il en profitait pour ce déchainais en moi. J’hésitais a me levé et a allé me défoulée. Si il bouillait a l’intérieur c’étais peut être parce qu’il fallait qu’il sorte.

Je regardais l’heure sur mon revaille qui étais la seul source de lumière de ma chambre.
23h30.
Il était vraiment tard. Je devrais peut être attendre demain, ça ce calmeras surement pendant la nuit. Enfin, je n’y croyais pas trop a vrais dire, cala faisais bien deux heure que j’attendais que ça ce calme. Le résulta n’étais pas flagrant, c’étais même pire. Cela en devenais tellement présent que je m’attendais presque a me voir briller.

Après quelque minute de réflexions je me levais. J’étais bien décidé à faire cesser cette désagréable sensation de sur chauffe.
Pour sortir, malgré ma chaleur interne, il fallait bien que je m’habille un minimum. Je n’étais pas de genre prude, mais j’vais tout de même une certaine pudeur. Je n’aimais pas particulièrement me balader torse nu. Peut être, était-ce parce quand Irlande je n’avais pas eu l’habitude de me mètre torse nu. Dans tout les cas cette tenus avais tendance a me gêner, enfin si quelqu’un me scrutais, si personne ne me regarde ça me gêné pas plus que ça. De tout façon je n’allais pas sortir en calçons, il y avais un minimum de tenus a avoir quand on ce balade dans les couloirs.
Je mis donc un pantalon de toile légère qui me tombait bien bas sur les hanches, par-dessus je mettais une chemise a manche courte. Je laisser cette dernière ouverte, il fallait bien que l’aire circule un peut.

Aussi habillé je sortais de ma chambre et commençais a déambulé dans le couloir a la recherche d’un lieu approprier pour me défouler. D’après June il y avait une salle d’entrainement par ici, j’allais bien arriver la trouver. Enfin, c’étais pas gagner car vus mon sensé de l’orientation hors du commun je pouvais y passer un bon moment dans ces couloir à chercher.

Je déambulais donc lentement dans les couloirs. Il me fallu quelque minute pour arriver devant une ranger de salle. J’ouvrais quelque porte a la volée.
Je fini par tomber sur la bonne salle.

Il n’y avait pas que moi qui étais tombé. Un jeune homme était assit par terre, plutôt interloqué. C’était moi qui l’vais fait tomber ? Mon arriver avais été si violente que ça ? Non, ca devais être autre choses, mais quoi ?
Dans tout les cas, j’en étais sur, j’étais arrivé dans la bonne salle. Elle étais tout a fait comme me l’avais décrite June.

J’entrais donc dans la pièce et m’approchas du jeune homme. Je lui tendais une main assuré et lui adressais un grand sourire.



Je lui adressais un sourire ironique. J’espérais qu’il accepterait mon offre pour l’aider à ce relevé.
J’enchainais avec une réplique, ou plutôt une question, plus intéressante.


J’étais surprit de voir quelqu’un ici a cette-ci. Vus l’heure j’avais pensé que je serais seul. De tout façon, depuis que je suis arrivé ici, je me suis rendu compte qu’il ne faut mieux pas compter sur ce qui est logique.

Le jeune homme accepta la main que je lui tendais avec un sourire. Je le lui rendais. C’était presque automatique chez moi, quand on me souriait je faisais de même, sans vraiment y faire attention. De tout façon il n’y avait pas de mal a sourire au gens, c’est agréable de voir les gens vous sourire, non ? Certaine personne vous dirons que l’on passe pour des imbéciles heureux a sourire ainsi a tout bout de champ, mais je le les écoutes pas. Car, malheureusement, ce sont bien souvent des personnes morne et triste qui tiennent ce genre de discourt.

- Ne t'en fais pas, tu n'y es pour rien!

Il époussetât machinalement son pantalon.


J’étais naturellement trop curieux. Du moins si on pouvait être trop curieux. Pour moi ces un trait de caractère très important. C’était une sorte de moteur d’être curieux. J’avais été curieux de voir le monde extérieur, vus autrement que par les yeux de mes parents et j’étais partie de chez moi pour aller à Cork. J’avais été curieux de suivre un inconnu qui me parlait de magie et j’étais arrivé ici. Alors pour moi la curiosité, même si elle avait ses défauts, étais un moteur dans ma vie.

En essayant de ne pas trop me faire remarquer je scrutais le jeune homme. Ca ce n’étais pas dut a ma curiosité mais a … a quoi d’ailleurs ? Je déshabillais souvent les gens du regard. Pas pour les juger, dire si ils sont beau ou pas. Comme ça.
C’étais peut être à force de dessinée, j’aimais décortiquer tout ce que je voyais. Scruter et repérer les moindres détails, et me souvenir de ceux que seul moi voyais, ou plutôt que seul moi trouvais intéressent.
J’vais donc descendus et remonter mon regard rapidement sur le jeune homme. Je l’avais regardé des pieds a la tête, le plus rapidement possible pour ne pas que ça ce vois trop.
Le plus intéressent, comme toujours d’ailleurs, c’étais son visage. J’accordais une grande importance au visage, et surtout au regard des gens.
Il avait de sublimes yeux verts. Vraiment sublime, il était rare de voir cette couleur. Je détachais mon regard du siens, je ne voulais pas le fixer dans les yeux.
Le jeune homme en face de moi avait l’air d’être de mon avis en ce qui concernait le faite de sourire à tout bout de champ. Il avait depuis tout a l’heure le même, beau, sourire sur le visage.
J’aimais beaucoup les gens qui souriaient.

- Fais donc, celle salle ne m'appartient pas après tout!

J’étais venu m’entrainer, ou plutôt me défouler. Une question me vint.


Je lui adressais de nouveau un sourire. Un sourire. Celui qu’y m’étais propre, tout le monde a son sourire, celui que personne d’autre ne sais faire. On me disait souvent que le miens avais quelque choses de chaleureux et surtout charmeur. Pourtant je en cherchais pas forcement a ce que ce soi le cas. Quand je voulais charmer quelqu’un je le faisais volontairement.

- Ah! J'en oublie mes politesses! Je m'appelle Mugen, Mugen Ushio.

Je lui tendis une nouvelle fois la main. En espérant qu’il me la serrerait. J’aurais l’air bien bette s’il ne répondait pas à mon geste.

Je sourie de nouveau, pour ne pas changer.

- Une légère douleur, à cause de... La nature de mes pouvoirs je dirais. Contrairement à la plupart des personnes ici les miens ne sont pas 'naturels', ils m'ont été implantés via l'ADN de la directrice. Pour faire simple on a modifié mon ADN pour que développe des capacités alors que je n'étais pas sensé en avoir.

J’écoutais attentivement son explication. Cela me surprenais beaucoup qu’on puise implantés ainsi cette ADN. On née avec un certain ADN, comment peut ton le modifier en court de vie ? C’étais étrange, tout aussi étrange que là façon dont moi je l’avais reçus a venais dire.
Je me demandais d’où on tenait cette ADN. L’avons-nous en nous des la naissance, et seulement dans le cas ou l’on ressent l’Apple il ce « déclenche », ou nous l’acérons au moment de ce fameux Appel ? Je trouvais la première solution plus logique, il était dur pour moi d’imaginée qu’un sentiment puisse modifier notre ADN. D’un autre cotée si tout le monde avant cette ADN il y aurait beaucoup plus de gens dans cet institut. C’était une question à creuser, je la pauserais à Hideko la prochaine fois que j’en ai l’occasion.

Dans tout les cas son histoire me surprenait. C’étais une façon très différente de recevoir cette magie, violente surtout a vrais dire. Ces pourvoir lui avais été implanté de force, il n’avait pas eu le chois comme nous autre nous l’avais eu. Cela devais être dur pour lui de supportais ce pourvoir. Surtout qu’il avait l’air très instable, surement plus que le l’étais le mien.

J’affichais un regard inquiet. C’étais peut être bête de m’inquiète pour quelqu’un que je ne connais presque pas, mais c’étais comme ça, je m’inquiétais toujours pour les gens qui m’entourais. Plus ou moins celons si je m’attachais ou pas a eux, mais toujours un peut. Ce jeune homme, je le trouvais très sympathique, et souriant de sur crois, alors bêtement je m’inquiétais. Je ne changerais jamais.
De toute façon, j’ai toujours eu les émotions très communicatives. Quand quelqu’un est triste ou pleure je ne peux pas m’empêcher d’être moi-même triste et morose. Heureusement c’est comme ça avec tous les sentiments. Dans le cas présent il n’y avait que la bonne humeur de Mugen qui était communicative, mais cela n’empêchais pas le faite que je m’inquiète de sa situation.


Je me permettais de continuer sur le sujet. Le ton détaché, ou plutôt calme, sur le quel il m’avait expliqué son problème, me faisais comprendre qu’il acceptait d’en parler.

- Vu que tire mes pouvoirs de l'ADN d'Hideko je suis comme elle, et comme toi aussi, un feu. Pour l'entraînement... Disons que c'est un peu risqué. Mes pouvoirs sont instables et peuvent parfois produire des effets indésirés, ça me ferait mal au cœur de brûler un beau visage comme le tiens.

J’avais sourie au « beau visage ». Je n’avais rein contre les compliments au contraire, mais je devais avouer que c’étais étrange de ce l’entendre dire par un garçon. Au fond il fallait avouer que ça ne me dérangeais pas. Surtout que je l’avais pensé moi aussi, pour lui pas pour moi. Je n’avais pas la prétention de penser de telles choses de moi-même.

Tout en lui serrant la main je lui adressais un sourire charmeur, et cette fois c’étais fait exprès. Pourquoi ? Je ne savais pas vraiment. Il me faisait un compliment, je pouvais bien lui adresser un sourire charmeur.


Ca raison étais valable, mais j’étais quand même un peut dessus. J’aurais bien aimé m’entrainer avec quelqu’un. Je n’aimais pas trop faire les choses seul.

Dans tout les cas je commençais à avoir de plus en plus chaud. Je me sentais limite mal. La tête commençais légèrement me tourner.


C’étais peut être stupide de lui demander son autorisation, c’étais juste une question de politesse. De plus que lui-même étais déjà torse nu. Ce qui au passage n’étais pas déplaisant, c’étais surement mon cotée dessinateur qui ressortais, mais j’aimais bien les belle choses, qu’elle soit féminine ou masculine.

Mugen répondit à ma question avec un sourire. Je ne me m’attendais pas à ce que cette question provoque ce genre de réaction. Je m’attendais plus a de la tristesse, un certain trouble. Ce jeune homme me surprenait vraiment. D’un autre cotée je ne connaissais pas son histoire, je ne pouvais pas spéculer sur d’hypothétique pensé si je ne savais rien de ce qui en étais à l’ origine.

- Ce n'est pas un fardeau pour moi. Je suis heureux d'avoir ces pouvoirs et surtout d'être ici. Je l'ai voulu longtemps, j'ai toujours adoré cet endroit, avant même d'y entrer. Si j'avais pu éviter que l'on touche ainsi à mon ADN, je l'aurais bien sur fait. Mais maintenant que c'est fait je préfère regarder les bons cotés, ne pas m'attarder sur les mauvais.

Quelque chose me surprit dans son discourt. Sans vraiment y réfléchir je rebondissais sur une autre question.


Cette institut serais t’il connut dans le monde ? Les gens, en particulier ceux de Tokyo, serais t’il au courent de son existante ? De nôtres existences et ces ceux de nos pouvoirs ?
Cela me paressais plutôt illogique vus que Hideko chercher à nous protéger du monde extérieure. Il aurait été plus prudent que notre existence reste cacher. Déjà rien que le faite que l’institut ce trouve en plain milieux de la capital Japonaise ce n’étais pas très sur. Quoi que vus comment nous étions barricader et entourer de barrière, et surement de Master. Si c’étais ainsi notre chez directrice devais contrôler la situation.
L’autre explication étais qu’il connaisse une personne de Terrae, peut être Hideko vus que c’étais son ADN qu’il portait.
La troisième solution a mon interrogation était tout simplement d’attendre la réponde a ma question. C’était plus simple ? J’avais toujours été très doué pour me faire des films dans ma tête. Mes délire pour trouver des réponde tournais souvent au grand n’importe quoi, voir au psychodrame. Ca m’vais bien souvent jouée des tours, donc soyons un peut logique et attendons la raiponce de Mugen.

Mugen eu un léger rire. Je trouvais que cela lui allais bien ce sourire, ce rire, ce cotée optimise. Pourtant je ne le connaissais que depuis quelque minute, mais depuis que j’étais arrivé dans la pièce ce sourire qu’il avait sur les lèvres ne l’avais pas lâché un instant. J’aimais ça. Un sourire fait tout.

- Bien sur que tu peux, je ne te l'interdirais pas.

Je lui adressais un sourire de gratitude. Je commençais vraiment à avoir chaud.
J’avais commencé à déboutonner ma chemise lorsqu’il reprit la parole.

- Par contre méfies-toi, il y a des personnes face à qui se mettre torse nu peut s'avérer dangereux, surtout lorsqu'on a un beau corps.

Je me stoppais qu’elle instant. Je réfléchissais a sa phrase, je la tournais plusieurs fois dans mon esprit. Est-ce que j’avais bien comprit ? Je venais de me faire draguer ou c’étais moi ?

Non ce n’était pas moi, vus le regard que m’adressais Mugen.

Vous allez me dire que ce n’étais pas bien compliquer, soit j’acceptais soit je repoussais ces avance. Tout dépendais de mes … orientations, si puis-je m’exprimer ainsi.

Ce n’était pas si simple. Parce que des questions sur mes sentiments, sur mes orientations je m’en étais pauser très souvent. Quand je regardais le physique d’une personne je m’attachais au regard au sourire, à des choses qui sont indépendantes de si c’est une fille ou un garçon.
Pourtant je suis déjà sortie avec des filles, enfin, trois, et pas plus de deux semaines. Je ne peux donc pas dire que je suis plus attiré par les filles que par les garçons. D’un autre cotée je n’ai, jusqu'à présent, pas eu l’occasion d’accepter les avance d’un mec. Est-ce que pour autant j’étais attiré par les garçons ?

A force de réfléchir je m’embrouille encore plus dans mes pensées. Quand c’est comme ça il me restait plus qu’une seule solution. Suivre mon instant, fait comme je le sens, comme ça viens. Je suis arrivée jusqu’ici, alors pourquoi reculer maintenant ? Il était particulièrement mignon ce garçon, et son caractère me plaisais beaucoup. Alors pourquoi réfléchir plus ?



J’adressais à Mugen un regard légèrement provocateur, charmeur. Quitte a ce laisser draguer, pourquoi pas en donnée en retour ? Je crois que ce jeu ma plaisais, mais ce n’étais pas qu’un jeu, et ça ne devais pas l’être, sinon je risquais de blesser Mugen, et je en le voulais pas.

Je retirais donc ma chemine. Dévoilant au passage le tatouage que j’avais sur la partie gauche de mon torse. Habituellement je ne me baladais pas torse nue, peut de gens l’avais déjà vue. Cette tenus me gênais un peut. J’essayais de le cacher le plus possible.
J’accrochais ma chemise a une poigner de fenêtre et me tournais de nouveau vers Mugen.


Puis que Mugen ne voulais pas trop utiliser ces pouvoir en ma présence je me demandais ce qu’on allait bien pouvoir faire … ici … tout les deux … torse nue …

Toujours sans aucune gêne et aucune barrière Mugen répondit à ma question. J’aimais beaucoup ce coté particulièrement ouvert et libre qui transparaissais dans la façon d’être et de parler du jeune homme. Ca donnait l’impression que l’on pouvait tout penser, tout dire, tout faire, face a ce genre de personne. C’étais une liberté qui permettais de voir et d ce montré tel que l’on est, sans faux semblant sans masque, juste avec le cœur.

- Je me suis beaucoup renseigné sur le sujet. Les soucis qu'Hideko avait causés avaient été diffusés, à partir de là j'ai cherché, encore et encore, j'ai voulu en savoir plus sur toute cette histoire. Les informations sont comme les êtres vivants, lorsqu'on les désire réellement, on peut tous les avoir.

C’était avec beaucoup d’attention que j’écoutais son récit. Cette petite portion de son histoire avait éveillé ma curiosité. Je voulais en savoir plus, beaucoup plus. J’étais curieux, bien trop curieux. Mais le lieu et l’heure ne prêtaient pas vraiment aux confidences.


Je sais que ça ne ce fait pas de demandé ce genre de choses a une personne que l’on ne connaît a pêne. Mais j’ai toujours eu tendance à aller plus vite que la musique. La preuve étais la tournure plutôt étrange que prenais l’instant présent. Moi qui n’avais eu que des copines, des histoires sans lendemain, j’étais entrain de me laissé draguer. Moi qui n’avais jamais vraiment réfléchie au faite que je pouvais ressentir des sentiments pour un garçon je me mettais à titiller Mugen, de la même manière que je le fait avec une jolie fille. Je n’étais même pas sur que l’attirance bien présente que je ressentais entre nous deux allais nous mené quelque par. Mais si l’on n’essayait pas on ne pourra jamais savoir, et je n’étais pas du genre a fuir une situation. « Si l’on n’ose pas des fois un recule », c’étais un groupe de musique qui disais ça dans une de leur chanson.

Le jeune homme ce levas. Fixant intensément le plafond. Je doutais fortement que le plafond soit très intéressant.

- Tu es venu pour t'entraîner, je me trompe? On ferait mieux de plutôt se concentrer là dessus.

Il redescendit son regard sur moi, cela me détendit un peut en un premier temps. Il ne fuyait pas mon regard ni ma présence et cela me rassurait.
Cependant, il fallait avouer que le regard insistant qu’il me portait à présent étais un peut gênant. Il fallait dire que je n’étais pas mieux, je ne l’avais pas quitté des yeux depuis mon entré dans la pièce.

- Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu sais faire pour l'instant? Même si je ne maîtrise pas bien mes pouvoirs, je peux toujours te donner des conseils pour maîtriser les tiens.

Je lui sourie et répondit.


Pour illustré mes propos je tendais ma mains et me concentrais. Je visualisais le fluide qui circulait en moi.
Au bout de presque une minute de concentration. Une petite flamme apparut au centre de ma paume. Pas plus grande que la flamme d’un briquet.

Après ma démonstration un peut lamentable, Mugen ce posas. Il me regarda pendant quelque instant et croisât les bras. Il avait toujours un magnifique sourire sur les lèvres, mais cette position lui donnait un air plutôt sérieux. Ca aurais put apporter une tournure plus sérieuse a notre rencontre si il n’avait pas lancé une remarque plutôt … tendancieuse.

- Ne t'inquiète pas, je ne ferais rien de déplacé.

Cette réflexion, aussi simple soit t’elle, m’avait donnée quelque idée. Rien de bien ne louche, mais s’il me précisait qu’il n’allait rien faire c’est bien qu’il avait pensé à faire quelque chose ? Ca faisait tourner mes petits neurones dans tout les sensé. Est-ce qu’il pensait à la même chose que moi ? Cela me renforçait dans l’idée que nous avions tout les deux les mêmes idées en tête. C’étais à la fois agréable et totalement effrayant. Je n’avais jamais été confronté à une situation pareille. J’avais l’habitude de mener la dance dans ce genre de situation. Là la situation s’emballer toute seul, ni lui ni moi ne contrôlions quoi que ce soit. Ca rendais la situation très instable, c’étais assez excitant en un certain sens, mais il fallait avouer que c’étais flippant de ce laisser aller comme ça quand on ne contrôle plus rien.

J’eu envie de lui sortir une réflexion comme je les aime. Un peut provocante et charmeuse. Mais ca aurais aggravé la situation et je sois absolument régler ce problème de sur chauffe. Mes pouvoirs en faisaient vraiment qu’à leur tête. Jusqu’à maintenant c’étais juste désagréable, là ca en devenais douloureux. Cette boule dans ma cage thoracique commençais a sérieusement me bruler, littéralement.

- Et je serais ravi de te parler de mon histoire plus tard, même si elle n'est pas vraiment passionnante.

Je souris, et tournas la tète vers lui. Dans cette position il devait me voir de profile.



Il plaça ces mains sur mes épaules et je tournais de nouveau ma tête droite.
Le contacte de ces mains et leurs légères oscillations étais très agréable. Ce contacte m’arrachas un frison, que j’essayais vainement de retenir.
Je fermais les yeux, il fallait que je me concentrer un peut. Sinon ca n’allais pas le faire. J’allais tout faire foirer, et tout cramer. Et je pense, sans mauvais jeu de mot, que ça risquas de jetés un froid sur notre rencontre.

- Avant tout je pense que tu dois te détendre. Tu dois être calme, posé, complètement détendu afin d'être en accord avec le pouvoir qui est en toi. Respire calmement, et visualise-le. Toi, tu peux y arriver, car ce pouvoir est le tiens. Il t'appartient, et tu es le seul qui puisse entrer en réel contact avec lui.

J’écoutais attentivement tout ses conseilles.
Calme est poser, c’étais plus compliqué à dire qu’a faire, mais son petit massage des omoplates me fis du bien et contribuas à détendre doucement mon dos.

J’entendis ses pats. Il revenait devant moi. Je gardais cependant les yeux fermer, c’étais pour l’instant un des seul moyen qui pouvais m’aider à rester calme. Je devais rester dans le noir de mes paupières.

- Je n'arrive pas à comprendre mon pouvoir, car pour l'instant il n'est pas tout à fait mien. Il me faudra plus de temps qu'à toi, mais toi je suis sur que tu peux y arriver. J'ai vu certaines personnes ici utiliser leurs capacités via un sentiment de colère très fort, mais je pense que la clé est d'être en symbiose avec celui-ci. Allez, essaye.

La colère ? Ce n’était pas vraiment le sentiment qui me submergeait pour le moment. La symbiose … vus que j’étais entrain de me faire agressé par mon propre pouvoir je ne suis pas sur que j’étais vraiment en symbiose avec lui.

Je tentais de visualiser de nous mon élément, comme cette après midi avec Hideko. Les routes, les moutons et les énergies. Je devais trouver ou cette ce que tout ces flux étais boucher, ou est ce qu’il y avait un embouteillage. C’est peut être ça la symbiose, que ce flux puisse circuler sans aucun obstacle. Cet obstacle ce sont mes craintes, mes peurs et toutes mes appréhensions.
Je suivais doucement le flux jusqu'à tomber sur ce que je cherchais, une sorte de gros sac de nœud. J’essayais de me détendre encore plus, de me laisser aller, pour aidée ce « nœud » a ce défaire.
Après quelque inspiration bien profonde je sentie le flux repartir, le stresse de ces dernière jours commenças à s’envoler.

Je dirigeais donc tout ça vers la sortie affin de le transformer en feu de tout faire sortir. Seulement j’avais oublié un détaille non négligeable. Où le diriger.

Résultats, je pris feu. Littéralement, les flammes sortir par tout les ports de ma peau et je transformais en une véritable torche humain.

Pris de panique je perdais ma concentration tombais violement en arrière et stoppais les flammes. Ma tête tapas fort conter le sole et un bruit sourd résonnas dans ma boit crânienne, totalement sonner je restais allonger sans bouger.