Paisible dimanche...[Léon]

Le lac. Vaste étendue d'eau qui s'écoule vers la mer, soit par un moyen bien visible, soit par un passage en souterrain. Enfin... Je crois que c'est ça. Très sincèrement, je sais ce qu'est un lac mais ce qui se passe en dessous, je ne m'y intéresse pas tant que ça. Je préfère vraiment me fier à la vue que j'en ai. La beauté du paysage, sa tranquillité...
Celui de Terrae possédait tout ces atouts de charme. Une surface lisse, gelée par le froid hivernal, où se reflétait le ciel grisâtre. Malgré ce mélange subtil et varié de couleurs froides, l’atmosphère qui se dégageait de cet endroit était tout joyeux et amical. Oui, amical pour un paysage. Ce serait... Un paysage donnant l'envie d'y revenir très souvent.
Malgré ma profonde haine de l'eau -je suis tout sauf un poisson- même gelée mes membres étaient titillés par l'envie de glisser sur ce miroir glacé. Manque de chance, je n'avais pas de patins et de surcroît, j'étais loin de savoir patiner. Je me contentais donc de trouver un coin intéressant où me poser, à la fois au bord et assez loin du lac pour observer tranquillement le paysage, écouter la musique sauvage de la nature et imaginer des histoires et des vies aux personnes présentent autour de moi.

Cela faisait déjà plus d'une heure que je me prélassait là, un dimanche matin, dernier jour de congé avant de reprendre les cours. Malgré ma couverture épaisse d'habits, je commençais à frisonner de froid mon nez était devenu tout rouge à force de rester immobile dans ce vent. Je décidais donc de me dégourdir les jambes. Me levant d'un petit bond, je m'étirais et commençais à marcher tranquillement et lentement.

En ce dimanche matin de printemps je décidais de me lever pour aller visiter les environs, quand dans les couloirs de l'institut j'entendais parlais d'un lac qui était encore gelée. Alors j'eus envie de m'y rendre pour le contempler, en arrivant sur place, je m'étais assis au pied d'un grand arbre devant le magnifique lac qui se présentait devant mes yeux. Je pouvais y admirer les dessins laisser par des traces de patins à glace, et le chant des oiseaux ainsi que les quelques feuilles qui tombaient me détendais car j'en avais besoin puisque le lendemain je prenais les cours ici pour la premiére fois ce qui m'avais stressé car je connaissais pas grand monde.

Je vis un marchand avec des patins alors je lui en prit une paire pour peut être plus tard si j'en avais envie, un quart d'heure passa et je me mit donc à en faire car j'en avais envie, puis trente minutes aprés je m'arrêtais et les rangeais dans mon sac que j'avais emmené avec moi au cas oû, puis je partie sur le chemin tranquilement me laissant bercer par la nature qui m'entourais.
Sur le chemin sans faire attention oû j'allais et je bousculais sans le vouloir une jeune demoiselle qui avait l'aire tout aussi pensif que moi. Elle était tombé et je la relevais alors en m'excusant:

Pardon jolie demoiselle, j'étais en train de rêver je ne voulais vraiment pas vous faire tomber !
Dites moi voulez vous que l'on fasse un tour ensemble ? Car j'aimerais avoir de nouveaux amies si vous êtes d'accord, et on pourait faire connaissance l'un de l'autre !! Lui demmandais-je timmidement.

Je tombais sur les fesses, heureusement pour moi que le tapis blanc et épais de la neige avait amortit ma chute. Ce n'aurait pas été l'écho du choc qui m'aurait fait mal si il n'avait pas été là mais bel et bien les roches anguleuses qui dormaient en-dessous.
L'inconnu qui m'avait maladroitement renversé m'aida à me relever. J'étais encore un peu étourdit par ce renversement inattendu et cette aide fut des plus agréable. Une fois que je fus à nouveau stable sur mes deux jambes il dit, un peu timidement:

Pardon jolie demoiselle, j'étais en train de rêver je ne voulais vraiment pas vous faire tomber !
Dites
moi voulez vous que l'on fasse un tour ensemble ? Car j'aimerais avoir
de nouveaux amies si vous êtes d'accord, et on pourait faire
connaissance l'un de l'autre !!

Je du m'avouer à moi même que cette présence tout au long de mon petit parcours au bord du lac ne me déplairais pas du tout. Je laissais passer un cours silence avant de sourire joyeusement et dire:

Vous êtes tout excusé! Cela ne me déplairait pas du tout! Moi aussi, me faire des amis ou connaissance me serait agréable!

En attendant sa réponse et un acte de la part de mon interlocuteur, je le détaillais furtivement, sans le fixer -par politesse-. Plus âgé que moi de quelques années. Pas grand chose mais assez pour qu'un monde d'expériences nous sépare. C'est ce genre de rencontres que j'aime faire. Inattendues et qui apportent quelques choses de bien intéressant...

Pendant son temps de silence, je l'examinais doucement et poliment en remarquant qi'elle était plus jeune que moi de quelques années et qu'elle était un peu plus petite que moi. Puis quand je vis son jolie sourire arborait son visage et qu'elle dit :
Vous êtes tout excusé! Cela ne me déplairait pas du tout! Moi aussi, me faire des amis ou connaissance me serait agréable!
Je lui rendis un grand sourire à l'entente de ses mots qui me faisait chaud au coeur, et ça me réchaufais un peu malgré le froid qui était encore présent prés du lac et qui circulait à traver les arbres. Je lui dit alors plus détendu:
Excuse moi encore de t'avoir bousculé mais je rêvais tellement que je regardais pas mon chemin , aussi bien j'aurais pu glisser sur le lac que je ne m'en serrais pas rendu compte !
Puis je lui proposais gentiment :
Souhaiterez tu faire du patin pendant que l'on peu encore avant que le lac fonde ? Car il redeviendra liquide dans quelque temps et qu'il perde de sa grande beauté glacial !
En attendant ça réponse je contemplais nos deux reflets dans le grand mirroir qu'était ce lac , et lui dit doucement et gentillement:
Tu est charmante avec un magnifique regard et de jolie cheveux blanc et soyeux, avec un jolie regard et un trés beaux sourire sur ton doux visage. Oui par moment comme aujourd'hui je me sens d'humeur tellement poétique !

Excuse moi encore de t'avoir bousculé mais je
rêvais tellement que je regardais pas mon chemin , aussi bien j'aurais
pu glisser sur le lac que je ne m'en serrais pas rendu compte !

J'éclatais d'un petit rire cristallin et lui fit gentiment comprendre que ces excuses étaient inutiles.

Tu es pardonné ne t'inquiètes pas!

Il me proposa ensuite, avec toute la gentillesse du monde dans sa voix:

Souhaiterez tu faire du patin pendant que l'on peu
encore avant que le lac fonde ? Car il redeviendra liquide dans quelque
temps et qu'il perde de sa grande beauté glacial !

L'idée
ne me plu pas sur le coup. Faire du patin, sur de la glace, soit de
l'eau gelée... De... l'eau! Enfin... Il ne pouvait pas arriver grand
choses. Il se pencha vers la surface du lac. Nos reflets étaient nets et
clairs. Il sourit et déclara, d'une façon assez théâtrale et naturelle à
la fois:

Tu est charmante avec un magnifique regard et de
jolie cheveux blanc et soyeux, avec un jolie regard et un très beaux
sourire sur ton doux visage. Oui par moment comme aujourd'hui je me sens
d'humeur tellement poétique !

Je
rigolais à nouveau et peu gênée. Je pense que je du rougir un peu
aussi. Les compliments m’embarrassaient assez, mais ils étaient
agréables à recevoir. Je le regardais, un sourire heureux sur le visage.

Vous
êtes un très agréable poète. Merci beaucoup pour tous ces compliments.
Ça fait très plaisir... Pour le patin... Je n'en ai pas et ne sais pas
en faire.... De plus j'ai peur de l'eau, même gelée... Mais... mais j'ai
bien envie d'apprendre en fait... Hm...

Je le regardais un petit air désolé sur le visage. Puis j'eus une illumination. Je ne m'étais pas présentée!

Ah! Moi c'est Livy! Livy Vallens! Désolée de mon impolitesse. Je ne me suis pas présentée plus tôt. Vraiment désolée.

A l'entente de son magnifique petit rire aprés m'ettre excusé , il avait dissipé tout mes malaises comme la timidité ou la gène en sa présence quand elle me dit :
Tu es pardonné ne t'inquiètes pas!
Quand elle rougie aprés avoir entendu mes compliments, je lui avait fait un tendre sourire en voulant lui caresser sa joue, elle était tellement craquante comme ça mais je me retenue de peur de l'effrayer , puis en attendant ça réponse pour patiner je regardais les détailles de son charmant visage, quand finalement elle dit d'une petite voix mignonne :
Vous êtes un très agréable poète. Merci beaucoup pour tous ces compliments.
Ça fait très plaisir... Pour le patin... Je n'en ai pas et ne sais pas
en faire.... De plus j'ai peur de l'eau, même gelée... Mais... mais j'ai
bien envie d'apprendre en fait... Hm...
Je lui dit alors de patienter quelque minute et je partie vite en lui laissant mon sac et 2 minutes aprés je revins en un peu essoufflé lui tendant une paire que j'avais pu louer pour elle pas loin, puis au bout de quelque seconde elle dit :
Ah! Moi c'est Livy! Livy Vallens! Désolée de mon impolitesse. Je ne me suis pas présentée plus tôt. Vraiment désolée.
Je répondais alors un peu confus:
désolée mademoiselle j'aurais du le faire le premier, je me nomme Léon Valentine, mais dit moi c'est un jolie nom que tu a la! Je me demmande d'ou il est originaire ? Lui dis-je émerveillé, tout en l'aidant à enfiler ses patins et mit les miens puis l'entraina doucement sur le lac. Je la sentais se serrer contre moi pas calme du tout, j'essayais alors de la détendre en la rassurant sans la lâcher d'un millimètre, attendant qu'elle ait confiance et qu'elle aille mieux.

Léon partit quelque minutes. Tout en l'attendant je réfléchissait à la vision que quelqu'un d'extérieur pouvait avoir de la scène et cela, m'amusa assez. Lorsqu'il revint, ce fut avec une nouvelle paire de patins. Je le remercia d'une sourire tout en rougissant légèrement face à cette gentillesse. Ce Léon semblait à la fois timide et bien entreprenant, contradiction que je trouvait assez étrange et rigolote. Tout en m'aidant à enfiler les patins (car je n'en avais jamais usé), il dit, un peu gêné et confus de ne pas lui même s'être présenté plus tôt:

désolée mademoiselle j'aurais du le faire le
premier, je me nomme Léon Valentine, mais dit moi c'est un jolie nom que
tu a la! Je me demmande d'ou il est originaire ?

Je rigolais doucement, flattée. Avant que je puisses répondre il m'avait entraînée sur le lac gelé. Mon coeur se mit à battre dangereusement, la peur me rongeant l'estomac. Je m' agrippais maladroitement à Léon qui lui, se laissait faire. Je tentais de ma calmer, tant bien que mal. Je pris un petit peu d'assurance mais n'osais toujours pas le lâcher. Ce fut donc, toujours coller à lui que je répondis, de manière saccadée à cause de ma peur à sa précédente question.

Léon Valentine... Je retiendrais... Livy est anglais, Vallens français. Je suis des deux nationalité. Et vous?

Je tournais un peu la tête pour le regarder et souris. Je reportais tout de suite après mon regard sur mes pieds. Mal assurée.

Je l'entendais rire discrétement de ce que je disais et la voyais rougir avant que je l'entraine sur le lac. Je sentais son coeur battre la chamade, et ses mains se serrer sur ma veste. Je la laissais faire en la soutenant car elle devait sûrement avoir peur, au bout de quelque mintue elle se calmais et petit à petit sans me lacher et elle me répondit avec une voix tramblante :
Léon Valentine... Je retiendrais... Livy est anglais, Vallens français. Je suis des deux nationalité. Et vous ?

En la voyant tourner sa tête et me regarder avec son jolie sourire angélique je ne pouvais qu'être détendue pour lui répondre et lui dit alors tout en la rassurant du mieux possible :
Moi, vu que je ne me rappel plus... je pense quand même que tant mon prénom que mon nom de famille sont tous deux d'origine française mais bon, j'en suis pas vraiment sûr... je me renseignerais plus tard.
Pour le moment vu que je vois que tu regarde tes pieds je vais t'aider à te déplacer un peu. N'ait crainte, ait confiance et tu verra ça ira tout seul aprés!

Je commençais alors à me déplacer doucement avec elle qui se crispait un peu mais j'éssayais à chaque fois de la détendre dans mes mouvements et lui demandais alors :
Comment te sens tu ? je vois que tu as peur, mais t'inquiéte pas rien ne poura t'arriver ! Tient regarde je vais juste te tenir par les mains pour que tu puisses un peu mieux essayer.
Je la laissais alors me lacher lentement et la pris par les mains en les lui serrant pour lui montrer que je la laisserais pas.

Moi, vu que je ne me rappel plus... je pense quand
même que tant mon prénom que mon nom de famille sont tous deux d'origine
française mais bon, j'en suis pas vraiment sûr... je me renseignerais
plus tard.

Je souris au jeune homme. Le petit sourire que l'ont fait dans ce genre de situation. Empreint d'un peu de pitié... Je me rendais peu à peu compte que chacun, ici nous avions une histoire plus profonde et marquante que ce que la plupart pensaient.

Pour le moment vu que je vois que tu regarde tes pieds je
vais t'aider à te déplacer un peu. N'ait crainte, ait confiance et tu
verra ça ira tout seul aprés!

J'avais de plus en plus peur. Mes mains étaient moites malgré le froid et lorsque Léon me lâcha pour me prendre uniquement les mains, je me sentis défaillir. Je me souvins de justesse de mes sorties en rollers. Bien que là, ce soit le sol qui glisse et non pas moi, j'essayais tant bien que mal de transformer les connaissances sur ce terrain nouveau. Je n'y arrivais pas trop mal. Mes jambes tremblaient et mes dents étaient serrées, mes mains crispées sur celles du jeune homme, mais je souriais. Quel moment magique et unique! J'éclatais d'un petit rire, qui me fit perdre ma concentration et de là, mon équilibre. je m'apprêtais à tomber, mais je ramenais de justesse mon corps à celui de Léon et revint dans ma position initiale, serrée contre lui.
J'étais essoufflée, de peur et de frustration.

"Désolée, dis-je un peu gênée. J'ai du mal à tenir en équilibre... On réessaye?"

Je m'éloignais encore un peu de lui, plus lentement et sûrement que la première fois, pour tomber pathétiquement sur la glace.

"Aïe...heu!"

Elle me souriait suite à mes paroles, mais je voyais que cela l'embarrassait un peu tout comme moi a vrais dire car cela faisait ressortir la peine que les gens ont en eux, et pourtant il faut bien conter son histoire aux autres pour qu'ils puissent un peu nous connaitre.

Quand nous nous déplacions, je sentais la peur montait en elle et elle serait ses mains qui étaient chaude sur les miennes malgré le froid qu'il faisait encore. Je l'entendis alors rire de bon coeur mais doucement et d'un coup ele perdit l'équilibre je la sentait me tirer vert elle pour se remettre contre moi et je fit alors de même et la rattrapais alors de justesse dans mes bras son souffle était saccadé, et elle me dit gêné :

"Désolée, j'ai du mal à tenir en équilibre... On réessaye?"

J'acqueisçais alors doucement en l'encourageant et en lui faisant un sourire doux :
On réessaiera aussi longtemps que tu le voudra, prend ton temps pour t'y habituer et ne t'affole pas je te tiens de toute façon donc rien ne t'arrivera de dangereux et je te laisserais pas glisser seul, car je sais que tu as un peu peur mais je te lacheais pas promis.

Elle s'écartait de moi sans pour autant me lacher les mains quand je la vis tomber et s'éxclamer comme une petite fille de maniére assez drôle mais mignonne je dois l'avouer :
"Aïe...heu!"
Je me mis alors devant elle pour la relever tout en lui demandant et en m'excusant :

Je te prie de bien vouloir excuser ma mauvaise vigilance...Si je t'avais mieux tenu tu ne serais sûrement pas tombé. Aussi bien par ma faute tu t'est blessé, tout vas bien hein ? Rien de cassé j'espère ? Si tu veux pas réessayer je comprendrais t'en fais pas.

Je la repris contre moi tout en la serrant un peu plus de peur qu'elle ait eu mal quelque part par ma faute et mon regard croisa le sine avant de le fuir un peu honteux, et il se rabatît sur ma main qui la tenais. Je me dit alors qu'elle devait être un peu plus jeune que moi et que je devais la regarder dans les yeux pour ne pas être encore plus honteux que je ne l'étais et le fis alors.

	## Dim 10 Mar 2013 - 14:15
Invité	Le lac. Vaste étendue d'eau qui s'écoule vers la mer, soit par un moyen bien visible, soit par un passage en souterrain. Enfin... Je crois que c'est ça. Très sincèrement, je sais ce qu'est un lac mais ce qui se passe en dessous, je ne m'y intéresse pas tant que ça. Je préfère vraiment me fier à la vue que j'en ai. La beauté du paysage, sa tranquillité... Celui de Terrae possédait tout ces atouts de charme. Une surface lisse, gelée par le froid hivernal, où se reflétait le ciel grisâtre. Malgré ce mélange subtil et varié de couleurs froides, l’atmosphère qui se dégageait de cet endroit était tout joyeux et amical. Oui, amical pour un paysage. Ce serait... Un paysage donnant l'envie d'y revenir très souvent. Malgré ma profonde haine de l'eau -je suis tout sauf un poisson- même gelée mes membres étaient titillés par l'envie de glisser sur ce miroir glacé. Manque de chance, je n'avais pas de patins et de surcroît, j'étais loin de savoir patiner. Je me contentais donc de trouver un coin intéressant où me poser, à la fois au bord et assez loin du lac pour observer tranquillement le paysage, écouter la musique sauvage de la nature et imaginer des histoires et des vies aux personnes présentent autour de moi. Cela faisait déjà plus d'une heure que je me prélassait là, un dimanche matin, dernier jour de congé avant de reprendre les cours. Malgré ma couverture épaisse d'habits, je commençais à frisonner de froid mon nez était devenu tout rouge à force de rester immobile dans ce vent. Je décidais donc de me dégourdir les jambes. Me levant d'un petit bond, je m'étirais et commençais à marcher tranquillement et lentement.

	## Dim 10 Mar 2013 - 15:50
Invité	En ce dimanche matin de printemps je décidais de me lever pour aller visiter les environs, quand dans les couloirs de l'institut j'entendais parlais d'un lac qui était encore gelée. Alors j'eus envie de m'y rendre pour le contempler, en arrivant sur place, je m'étais assis au pied d'un grand arbre devant le magnifique lac qui se présentait devant mes yeux. Je pouvais y admirer les dessins laisser par des traces de patins à glace, et le chant des oiseaux ainsi que les quelques feuilles qui tombaient me détendais car j'en avais besoin puisque le lendemain je prenais les cours ici pour la premiére fois ce qui m'avais stressé car je connaissais pas grand monde. Je vis un marchand avec des patins alors je lui en prit une paire pour peut être plus tard si j'en avais envie, un quart d'heure passa et je me mit donc à en faire car j'en avais envie, puis trente minutes aprés je m'arrêtais et les rangeais dans mon sac que j'avais emmené avec moi au cas oû, puis je partie sur le chemin tranquilement me laissant bercer par la nature qui m'entourais. Sur le chemin sans faire attention oû j'allais et je bousculais sans le vouloir une jeune demoiselle qui avait l'aire tout aussi pensif que moi. Elle était tombé et je la relevais alors en m'excusant: Pardon jolie demoiselle, j'étais en train de rêver je ne voulais vraiment pas vous faire tomber ! Dites moi voulez vous que l'on fasse un tour ensemble ? Car j'aimerais avoir de nouveaux amies si vous êtes d'accord, et on pourait faire connaissance l'un de l'autre !! Lui demmandais-je timmidement. Dernière édition par Léon Valentine le Lun 11 Mar 2013 - 21:57, édité 1 fois

	## Dim 10 Mar 2013 - 16:11
Invité	Je tombais sur les fesses, heureusement pour moi que le tapis blanc et épais de la neige avait amortit ma chute. Ce n'aurait pas été l'écho du choc qui m'aurait fait mal si il n'avait pas été là mais bel et bien les roches anguleuses qui dormaient en-dessous. L'inconnu qui m'avait maladroitement renversé m'aida à me relever. J'étais encore un peu étourdit par ce renversement inattendu et cette aide fut des plus agréable. Une fois que je fus à nouveau stable sur mes deux jambes il dit, un peu timidement: Pardon jolie demoiselle, j'étais en train de rêver je ne voulais vraiment pas vous faire tomber ! Dites moi voulez vous que l'on fasse un tour ensemble ? Car j'aimerais avoir de nouveaux amies si vous êtes d'accord, et on pourait faire connaissance l'un de l'autre !! Je du m'avouer à moi même que cette présence tout au long de mon petit parcours au bord du lac ne me déplairais pas du tout. Je laissais passer un cours silence avant de sourire joyeusement et dire: Vous êtes tout excusé! Cela ne me déplairait pas du tout! Moi aussi, me faire des amis ou connaissance me serait agréable! En attendant sa réponse et un acte de la part de mon interlocuteur, je le détaillais furtivement, sans le fixer -par politesse-. Plus âgé que moi de quelques années. Pas grand chose mais assez pour qu'un monde d'expériences nous sépare. C'est ce genre de rencontres que j'aime faire. Inattendues et qui apportent quelques choses de bien intéressant...

	## Dim 10 Mar 2013 - 17:13
Invité	Pendant son temps de silence, je l'examinais doucement et poliment en remarquant qi'elle était plus jeune que moi de quelques années et qu'elle était un peu plus petite que moi. Puis quand je vis son jolie sourire arborait son visage et qu'elle dit : Vous êtes tout excusé! Cela ne me déplairait pas du tout! Moi aussi, me faire des amis ou connaissance me serait agréable! Je lui rendis un grand sourire à l'entente de ses mots qui me faisait chaud au coeur, et ça me réchaufais un peu malgré le froid qui était encore présent prés du lac et qui circulait à traver les arbres. Je lui dit alors plus détendu: Excuse moi encore de t'avoir bousculé mais je rêvais tellement que je regardais pas mon chemin , aussi bien j'aurais pu glisser sur le lac que je ne m'en serrais pas rendu compte ! Puis je lui proposais gentiment : Souhaiterez tu faire du patin pendant que l'on peu encore avant que le lac fonde ? Car il redeviendra liquide dans quelque temps et qu'il perde de sa grande beauté glacial ! En attendant ça réponse je contemplais nos deux reflets dans le grand mirroir qu'était ce lac , et lui dit doucement et gentillement: Tu est charmante avec un magnifique regard et de jolie cheveux blanc et soyeux, avec un jolie regard et un trés beaux sourire sur ton doux visage. Oui par moment comme aujourd'hui je me sens d'humeur tellement poétique !

	## Dim 10 Mar 2013 - 21:39
Invité	Excuse moi encore de t'avoir bousculé mais je rêvais tellement que je regardais pas mon chemin , aussi bien j'aurais pu glisser sur le lac que je ne m'en serrais pas rendu compte ! J'éclatais d'un petit rire cristallin et lui fit gentiment comprendre que ces excuses étaient inutiles. Tu es pardonné ne t'inquiètes pas! Il me proposa ensuite, avec toute la gentillesse du monde dans sa voix: Souhaiterez tu faire du patin pendant que l'on peu encore avant que le lac fonde ? Car il redeviendra liquide dans quelque temps et qu'il perde de sa grande beauté glacial ! L'idée ne me plu pas sur le coup. Faire du patin, sur de la glace, soit de l'eau gelée... De... l'eau! Enfin... Il ne pouvait pas arriver grand choses. Il se pencha vers la surface du lac. Nos reflets étaient nets et clairs. Il sourit et déclara, d'une façon assez théâtrale et naturelle à la fois: Tu est charmante avec un magnifique regard et de jolie cheveux blanc et soyeux, avec un jolie regard et un très beaux sourire sur ton doux visage. Oui par moment comme aujourd'hui je me sens d'humeur tellement poétique ! Je rigolais à nouveau et peu gênée. Je pense que je du rougir un peu aussi. Les compliments m’embarrassaient assez, mais ils étaient agréables à recevoir. Je le regardais, un sourire heureux sur le visage. Vous êtes un très agréable poète. Merci beaucoup pour tous ces compliments. Ça fait très plaisir... Pour le patin... Je n'en ai pas et ne sais pas en faire.... De plus j'ai peur de l'eau, même gelée... Mais... mais j'ai bien envie d'apprendre en fait... Hm... Je le regardais un petit air désolé sur le visage. Puis j'eus une illumination. Je ne m'étais pas présentée! Ah! Moi c'est Livy! Livy Vallens! Désolée de mon impolitesse. Je ne me suis pas présentée plus tôt. Vraiment désolée.

	## Dim 10 Mar 2013 - 23:28
Invité	A l'entente de son magnifique petit rire aprés m'ettre excusé , il avait dissipé tout mes malaises comme la timidité ou la gène en sa présence quand elle me dit : Tu es pardonné ne t'inquiètes pas! Quand elle rougie aprés avoir entendu mes compliments, je lui avait fait un tendre sourire en voulant lui caresser sa joue, elle était tellement craquante comme ça mais je me retenue de peur de l'effrayer , puis en attendant ça réponse pour patiner je regardais les détailles de son charmant visage, quand finalement elle dit d'une petite voix mignonne : Vous êtes un très agréable poète. Merci beaucoup pour tous ces compliments. Ça fait très plaisir... Pour le patin... Je n'en ai pas et ne sais pas en faire.... De plus j'ai peur de l'eau, même gelée... Mais... mais j'ai bien envie d'apprendre en fait... Hm... Je lui dit alors de patienter quelque minute et je partie vite en lui laissant mon sac et 2 minutes aprés je revins en un peu essoufflé lui tendant une paire que j'avais pu louer pour elle pas loin, puis au bout de quelque seconde elle dit : Ah! Moi c'est Livy! Livy Vallens! Désolée de mon impolitesse. Je ne me suis pas présentée plus tôt. Vraiment désolée. Je répondais alors un peu confus: désolée mademoiselle j'aurais du le faire le premier, je me nomme Léon Valentine, mais dit moi c'est un jolie nom que tu a la! Je me demmande d'ou il est originaire ? Lui dis-je émerveillé, tout en l'aidant à enfiler ses patins et mit les miens puis l'entraina doucement sur le lac. Je la sentais se serrer contre moi pas calme du tout, j'essayais alors de la détendre en la rassurant sans la lâcher d'un millimètre, attendant qu'elle ait confiance et qu'elle aille mieux.

	## Mer 13 Mar 2013 - 16:54
Invité	Léon partit quelque minutes. Tout en l'attendant je réfléchissait à la vision que quelqu'un d'extérieur pouvait avoir de la scène et cela, m'amusa assez. Lorsqu'il revint, ce fut avec une nouvelle paire de patins. Je le remercia d'une sourire tout en rougissant légèrement face à cette gentillesse. Ce Léon semblait à la fois timide et bien entreprenant, contradiction que je trouvait assez étrange et rigolote. Tout en m'aidant à enfiler les patins (car je n'en avais jamais usé), il dit, un peu gêné et confus de ne pas lui même s'être présenté plus tôt: désolée mademoiselle j'aurais du le faire le premier, je me nomme Léon Valentine, mais dit moi c'est un jolie nom que tu a la! Je me demmande d'ou il est originaire ? Je rigolais doucement, flattée. Avant que je puisses répondre il m'avait entraînée sur le lac gelé. Mon coeur se mit à battre dangereusement, la peur me rongeant l'estomac. Je m' agrippais maladroitement à Léon qui lui, se laissait faire. Je tentais de ma calmer, tant bien que mal. Je pris un petit peu d'assurance mais n'osais toujours pas le lâcher. Ce fut donc, toujours coller à lui que je répondis, de manière saccadée à cause de ma peur à sa précédente question. Léon Valentine... Je retiendrais... Livy est anglais, Vallens français. Je suis des deux nationalité. Et vous? Je tournais un peu la tête pour le regarder et souris. Je reportais tout de suite après mon regard sur mes pieds. Mal assurée.

	## Dim 17 Mar 2013 - 15:38
Invité	Je l'entendais rire discrétement de ce que je disais et la voyais rougir avant que je l'entraine sur le lac. Je sentais son coeur battre la chamade, et ses mains se serrer sur ma veste. Je la laissais faire en la soutenant car elle devait sûrement avoir peur, au bout de quelque mintue elle se calmais et petit à petit sans me lacher et elle me répondit avec une voix tramblante : Léon Valentine... Je retiendrais... Livy est anglais, Vallens français. Je suis des deux nationalité. Et vous ? En la voyant tourner sa tête et me regarder avec son jolie sourire angélique je ne pouvais qu'être détendue pour lui répondre et lui dit alors tout en la rassurant du mieux possible : Moi, vu que je ne me rappel plus... je pense quand même que tant mon prénom que mon nom de famille sont tous deux d'origine française mais bon, j'en suis pas vraiment sûr... je me renseignerais plus tard. Pour le moment vu que je vois que tu regarde tes pieds je vais t'aider à te déplacer un peu. N'ait crainte, ait confiance et tu verra ça ira tout seul aprés! Je commençais alors à me déplacer doucement avec elle qui se crispait un peu mais j'éssayais à chaque fois de la détendre dans mes mouvements et lui demandais alors : Comment te sens tu ? je vois que tu as peur, mais t'inquiéte pas rien ne poura t'arriver ! Tient regarde je vais juste te tenir par les mains pour que tu puisses un peu mieux essayer. Je la laissais alors me lacher lentement et la pris par les mains en les lui serrant pour lui montrer que je la laisserais pas.

	## Dim 17 Mar 2013 - 23:23
Invité	Moi, vu que je ne me rappel plus... je pense quand même que tant mon prénom que mon nom de famille sont tous deux d'origine française mais bon, j'en suis pas vraiment sûr... je me renseignerais plus tard. Je souris au jeune homme. Le petit sourire que l'ont fait dans ce genre de situation. Empreint d'un peu de pitié... Je me rendais peu à peu compte que chacun, ici nous avions une histoire plus profonde et marquante que ce que la plupart pensaient. Pour le moment vu que je vois que tu regarde tes pieds je vais t'aider à te déplacer un peu. N'ait crainte, ait confiance et tu verra ça ira tout seul aprés! J'avais de plus en plus peur. Mes mains étaient moites malgré le froid et lorsque Léon me lâcha pour me prendre uniquement les mains, je me sentis défaillir. Je me souvins de justesse de mes sorties en rollers. Bien que là, ce soit le sol qui glisse et non pas moi, j'essayais tant bien que mal de transformer les connaissances sur ce terrain nouveau. Je n'y arrivais pas trop mal. Mes jambes tremblaient et mes dents étaient serrées, mes mains crispées sur celles du jeune homme, mais je souriais. Quel moment magique et unique! J'éclatais d'un petit rire, qui me fit perdre ma concentration et de là, mon équilibre. je m'apprêtais à tomber, mais je ramenais de justesse mon corps à celui de Léon et revint dans ma position initiale, serrée contre lui. J'étais essoufflée, de peur et de frustration. "Désolée, dis-je un peu gênée. J'ai du mal à tenir en équilibre... On réessaye?" Je m'éloignais encore un peu de lui, plus lentement et sûrement que la première fois, pour tomber pathétiquement sur la glace. "Aïe...heu!"

	## Mar 19 Mar 2013 - 20:30
Invité	Elle me souriait suite à mes paroles, mais je voyais que cela l'embarrassait un peu tout comme moi a vrais dire car cela faisait ressortir la peine que les gens ont en eux, et pourtant il faut bien conter son histoire aux autres pour qu'ils puissent un peu nous connaitre. Quand nous nous déplacions, je sentais la peur montait en elle et elle serait ses mains qui étaient chaude sur les miennes malgré le froid qu'il faisait encore. Je l'entendis alors rire de bon coeur mais doucement et d'un coup ele perdit l'équilibre je la sentait me tirer vert elle pour se remettre contre moi et je fit alors de même et la rattrapais alors de justesse dans mes bras son souffle était saccadé, et elle me dit gêné : "Désolée, j'ai du mal à tenir en équilibre... On réessaye?" J'acqueisçais alors doucement en l'encourageant et en lui faisant un sourire doux : On réessaiera aussi longtemps que tu le voudra, prend ton temps pour t'y habituer et ne t'affole pas je te tiens de toute façon donc rien ne t'arrivera de dangereux et je te laisserais pas glisser seul, car je sais que tu as un peu peur mais je te lacheais pas promis. Elle s'écartait de moi sans pour autant me lacher les mains quand je la vis tomber et s'éxclamer comme une petite fille de maniére assez drôle mais mignonne je dois l'avouer : "Aïe...heu!" Je me mis alors devant elle pour la relever tout en lui demandant et en m'excusant : Je te prie de bien vouloir excuser ma mauvaise vigilance...Si je t'avais mieux tenu tu ne serais sûrement pas tombé. Aussi bien par ma faute tu t'est blessé, tout vas bien hein ? Rien de cassé j'espère ? Si tu veux pas réessayer je comprendrais t'en fais pas. Je la repris contre moi tout en la serrant un peu plus de peur qu'elle ait eu mal quelque part par ma faute et mon regard croisa le sine avant de le fuir un peu honteux, et il se rabatît sur ma main qui la tenais. Je me dit alors qu'elle devait être un peu plus jeune que moi et que je devais la regarder dans les yeux pour ne pas être encore plus honteux que je ne l'étais et le fis alors.

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