Le matin arriva, succédant à une nouvelle nuit d'encre. Je me levais et m'étirais. Hmm... comme j'aimais sentir cette force dans mes bras! Je me dit que j'allais essayer de maîtriser un peu mieux mes pouvoirs de tonnerre. Ce qui à mon avis était largement fesable. Je me levais et m'habillais de façon à pouvoir bouger. Un pantalon en toile, large et noir, bien sûr. Une habitude ne se perd pas, je suis sombre, je suis sombre. Un débardeur rouge, long et large Accompagna le pantalon, pour mettre de la couleur. Je me maquillais légèrement, de façon a faire remarquer mes étranges yeux mauves.
J'attachais la petite bourse en peau qui contenait le cristal d'Hideko à mon cou. Ce présent me tenait particulièrement à cœur, je me faisait un devoir de le prendre avec moi où que j'aille. Je souris et ébouriffais mes cheveux courts. Niquel, je pouvais y aller. Je sortis donc dans l'air froid du matin. De la buée sortit de ma bouche, sous l'éffet du changement de température. Je m'avançais vers l'arène lorsque le cordon de ma petite bourse craqua.

Et m... Râlais-je tout fort.

Je la ramassais et entrepris de reformer le cordon tout en continuant à marcher. Mauvaise idée, car je finit par relever les yeux pour voir quelqu'un me retrer dedans. *BOM* Je tombais sur les fesses et resais là, un peu sonnée. Je bégayais :

Je ... Je suis désolée, je ne regardais pas où je mar... j'allais. Pardon.

Avec la classe aujourd'hui, on va faire un cours de sport assez spécial, comme le sport c'est le seul cours dont je prend la penne de me déplacer on n'ai dans l'arène, le prof nous réuni et nous fait un état des lieux puis après on va se battre en équipe ou seul selon les "jeux" proposer, je vis Kana étant en retard, heureusement le prof n'avais pas encore fait l’appelle, elle tripota son collier sans doute perdu dans ses pensés. Je la salua mais mais elle ne m'entendis pas, elle me fonce dedans et tombe sur les fesses et sa bourse est par terre, je soupira et la ramassa en lui disant " bonjours Kana ! " je lui pris la main pour la relevé en lui sourient. Puis je ramassa sa bourse et lui donne.

- Fait attention à toi.

Les autres élèvent me regardèrent tous bizarrement, je n'ai pas détourné la tête pour les voir mais pour parce que le professeur m'interpelle pour l’appel mais même lui me regarde bizarrement aussi. La plupart des mecs me regarde avec un aire de " Ah raphy à sa petite faiblesse hein ? " ou alors pour la plupart des filles " quoi ? Elle et lui ? Impossible ! " je lis sur chacun d'eux et il y en n'a où c'est.. étrange comme " Kana est à moi connard ! " ou .. " Oh non ! Raphy est avec elle ! La peste ! " ou alors un qui.. " Oh dommage... Raphy n'est pas homo.. " Ah sa va trop loin après c'est trop douteux pour moi ! en plus ils m’appellent tous Raphy ! Je suis pas leur copain ! Je ne l'es aiment pas et c'est casse pied de faire du sport avec eux ! Même si je doit entretenir mon corps ! Bon, bon.. je vais allez dans un club.. pourquoi pas avec Kana ? Je soupira encore et marcha avec elle pour rejoindre les autres qui, certain dévisagea Kana de jalousie. Et c'est reparti ! Pourquoi moi ?

Raphael me releva en me souriant. Je lui souriais à mon tour. Il ramassa ma petite bourse et me la tendit en disant "fait attention à toi." Je hochais la tête et un grand sourire éclaira mon visage.

Bonjour, Raph! Je crois qu'on est dans le même cours, c'est sympa, non..? demandais-je sur le ton de la conversation.

Je m'interrompis en entendant des murmures autours de nous. Des "quoi ? Elle et lui ? Impossible !" ou des "Oh non ! Raphy est avec elle ! La peste !" fusèrent de la bouche des filles qui me regardais comme si elles allaient me tuer. Je rougis et baissais la tête, désemparée et les larmes aux yeux. Je marchais au côté de Raphael pendant que nous nous rapprochions du groupe. Sensible, je sentais la haine dans certains cœurs. Le professeur fit l'appel et je répondis d'une voix tremblante et timide. Il nous donna un échauffement à faire et deux tours de l'arène à courir. Je fis mes échauffements en silence, en restant près de Raphael puis me mis à courir. J'aimais ça, courir. Petit à petit, mes foulées s'allongèrent et devinrent plus rythmées, souples et légères. Mon souffle se raccourcit et je terminais mes deux tours par un sprint. Le professeur nous rassembla et demanda de former deux paries, une fille et un garçon par paire. Toutes les filles se précipitèrent alors sur mon pauvre amis et je fut éjectée et poussée sans ménagement. Je tombais pour la deuxième fois de la journée et dut me relever rapidement pour ne pas me faire écraser les doigts. Peureuse, prudente, j'allais m’asseoir sur un banc un peu plus loin. Je me mettrais avec qui le voudra bien. Je soupirais, un peu triste.

Décidément, j'aurais mieux fait de rester couchée ce matin... Marmonnais-je pour moi-même.

La brûlure de mes pauvres genoux égratignés ou les bleus que j'aurais le lendemain me paraissaient bien indolore par rapport au sentiment de rancune qui commença à me ronger.

Je lui sourit puis on commença l'échauffement, Kana resta près de moi, je l'a comprend j'ai l'impression que les autres ne l'aime pas.. c'est dommage ! Dans cet échauffement elle piqua soudainement un sprinte puis moi j'essaya d'allez à son allure mais elle me dépassa très rapidement. Après cet échauffement le prof nous réuni et demande de faire des équipes de deux. Un garçon et une fille précisément. J'allai demander à Kana d'être avec moi mais une horde de filles m'attaqua de " tu te mes avec moi ?!! " en me tournant autour poussant Kana sur le côté et elle finie par s'asseoir sur le banc. Je vis l'expression sur son visage qui me fis penser à quelqu'un.. bon.. oui j'avoue ce quelqu'un c'est moi ! Toutes les filles me collèrent au plus grand désespoir des garçons qui sont plus petits en âges et en taille que moi, sauf un ou deux qui on ma taille. J'essaya de passer hors des filles mais elle s'agrippa à mon t-shirt comme pas possible, il y en a une qui veux même le soulevé mais par réflexe je lui tord le poignet assez méchamment car je ne veux que personne ne voient en-dessous mon t-shirt, la fille se plaigna immédiatement au professeur qui hallucine la côte que j'ai autour des filles. Après avoir bien galéré et que la plupart des filles rejoingna leur amie "blessé" mais le reste ne veux vraiment pas que je m'approche de Kana. Cela m'énerva et malgré que je soie patient j'ai mes limites ! Je les repoussa assez violemment et leur déclara :

- Foutez-moi la paix bande de salope ! La prochaine fois je vous tuent toutes.Dis-je avec un regard cruel et la voix forte.

Je m'avança vers Kana avec un regard plein de haine. Les filles, toutes effrayé n'osa plus m'approché d'un centimètre. Je me tena donc devant toi et te tendis la main. Je lui fit le plus beau de tout mes sourire et je lui parla d'une voix calme et douce.

- Allez Kana, on n'y va, laisse les harpies dirent et rejoins-moi. Dis-je le plus calmement possible.

J'assistais de loin à une scène particulièrement étonnante. Raphael tordit violemment le poignet d'une des filles avant d'essayer de se frayer un chemin à travers la "mer" de fille. Je sentis une bouffée de colère qui émanait de lui. Les yeux ronds, je le regardais s'extirper de la foule de fan pour ensuite se retourner à demi et dire un truc avec conviction. Je ne l'entendais pas mais devinais à son ton qu'il était furax. Je levais un regard penaud quand il s'approcha de moi.

Allez Kana, on n'y va, laisse les harpies dirent et rejoins-moi. Dit-il d'un ton calme qui ne me trompa pas.

Pourtant, radieuse, je me levais. D'accord ! Aquiessais-je.

Lorsque je pris sa main, un drôle de courant passa dans ma paume et j'écarquillais les yeux. Je gardais néanmoins ma main dans la sienne.
J'entendis le professeur parler et me tournais vers lui pour écouter. Il désigna des manequins en paille et nous demanda de les toucher avec notre pouvoir. J'écarquillais encore une fois les yeux, effrayée à l'idée de devoir juste diriger une de ces maudites boules d'énergies sur un manequin. Trop de monde autour + moi et mon pourvoir pas maitrisé = *boum!* et bye bye les autres! C'est L'équation la plus vraie. Je soupirais avant de me concentrer. J'eus encore moins de mal à trouver l'étincelle et ma sphère fut bien du premier coup. J'ouvris les yeux et visais consciencieusement. La sphère partit et fila... droit sur le prof. Elle lui grilla quelques cheveux au passage puis s'écrasa en formant un petit cratère fumant derrière le prof. Ce dernier, encore secoué, se tourna vers moi.

Bon sang, tu es une vrai catastrophe ambulante, Whitewolf! brailla-t-il. Encore heureux que je sois indulgent!

Je baissais piteusement les yeux pour cahcer les larmes que je sentias pointer. Je le savais, je n'aurais jamais du me lever ce matin!

Après ce petit "spectacle " on passe alors au entrainement, le but est de maîtrisé ces pouvoirs tonnerre ou eau ou feu ou terre ou encore aire. Il y a un peu de tout dans cette classe, ceux qui maîtrise bien leur pouvoir, comme moi, quand je sèche les cours je m’entraîne et il y a les nul où l'on retrouve du monde dont Kana, oh la boulette qu'elle à fait ! Avoir lancer une boule électrique sur le prof qui celui-ci l'engueula si fort qu'elle se vis découragé. Je me vis dans l'obligation de faire pareil, le lance alors une sphère de foudre sur le prof' et celui-ci l'évita puis alla me voir, furieux. Il n'a même pas le temps de me dire quoi que se soit que je lui déclara avec un grand sourire ravis.

- Oh ! Pardon monsieur, même les bons élèves peuvent se tromper. Je lui fit un sourire angélique avec un fond sadique.

- Raphael, vous nous causez que des dégâts ! Un bras foulé, une scène de ménage, des filles qui pleures, des garçons qui veulent montrer qui sont les plus forts ! Mon cours ne ressemble à rien avec vous !

- Bah alors monsieur ? Je ne comprend pas pourquoi vous êtes fâché. Dis-je d'un ton moqueur, puis j'alla vers toi et pris un tout autre sourire. Allez Kana, courage ! Je peux t'apprendre si tu veux ?

Je lui passa ma main dans ses cheveux et puis je releva son visage grâce à son menton puis je marcha un peu plus loin dans l'arène et je lui dit de me suivre. On va s'entraîner tout les deux puisque que l'on gêne ! Je pris nos deux pantin en bois et du matériel au prof qui hallucine de mon comportement puis va plus loin pour apprendre à Kana comment se servir de nos pouvoirs.

Je regardais tour à tour, le prof et Raphael, Raph et le prof, ébahie par le geste de Raph. Il venait devant mes yeux de faire exprès de lancer une boule de foudre sur son professeur. Celui-ci, vivant mais furieux, s'était rapproché et avait engueulé mon ami. Celui ci avait fait un sourire angéliquo-sadique avant de se fiche de la tête du prof. Il était ensuite revenu vers moi, avec un sourire gentil et avais ébouriffé mes cheveux courts. Il m'avait relevé le menton et dit de le suivre. Ce que je fis sans protester, les yeux encore pleins de larmes. J'entendais les filles et les garçon ricaner derrière moi. Mon ami ramassa nos pantins de bois avec un peu d'équipement. Le prof nous regardais d'un air complètement dépassé. Les mots de Raph résonnaient dans ma tête : "courage! je peux t'apprendre si tu veux!". Je n'avais pu que hocher la tête. Je le suivais et le regardais faire sans comprendre jusqu'à ce qu'il m'emmène dans un coin. Seulement à ce moment, je tiltais. Nous allions nous entraîner à l'écart. Très bonne initiative, si je ne voulais pas blesser encore quelqu'un. J'aidais Raph à instaler le matos puis je m'arrêtais et regardais Raphaël.

Merci beaucoup, Raphael, de t'occuper de moi comme ça... En plus, je ne te cause que des problèmes, pardon... Lui dis-je, dépitée par ma maladresse.

Sur ces paroles, je fondis en larmes, ne pouvant plus me retenir. Comme j'étais pathétique... Je m'assis par terre, tentant de maîtriser mes larmes, en vain. C'est un véritable torent de larmes qui coulait sur mes joues rouges de honte.

J'installa alors le matériel, heureusement que le professeur est un eau et qu'il est patient, sur le coup j'étais un peu inconscient. Bon, une fois tout installer je vis Kana fondre en larmes.. à les filles.. ça pleur tout le temps, rare son celle qui ne chiale pas pour un rien ! Je soupira longuement en m'approchant d'elle. J'essayai de la réconforter en l’amenant ici mais elle pleur, je ne comprendrai jamais les filles.. Elle ? Me causé du soucis, j'ai toujours parler comme ça à un prof' et puis traumatisé les filles qui me cours après c'est une habitude ! Elle ne va tout de même pas en faire tout un plat ! A propos de plat, j'ai faim moi, je vais prendre un Kinder Bueno chocolat blanc dans mon sac. Puis, je réalise qu'elle pleurai encore, encore un soupire puis lui tendis ma nourriture.

- Pleur pas, t'en fais pas pour moi et t'en occupe pas ok ?

Je ne vais tout même pas lui faire un câlin, ce n'est pas mon style les câlins, très peu pour moi si c'est pour avoir l'odeur de Kana sur moi, bon, elle n'a pas trop transpirer et puis.. elle sent plutôt bon.. AAH !! Mais qu'es ce que je dis moi ?! Elle m’envoûte cette fille ou quoi ? Elle a l'air pourtant très nul.. très très nul.. mais.. ben.. j'l'aime bien.. elle est marrante même si là elle ressemble au chute du Niagara. Je lui tendis ma main et l'a releva.

- Bon, on mangera après l'entrainement, ok ? Dis-je en montrant ma friandise.

Alors que je devais être complètement pathétique, Raphael soupira et me tendit un Kinder Bueno.

Pleur pas, t'en fais pas pour moi et t'en occupe pas ok ? Me dit-il gentiment.

Je reniflais et essayais d'arrêter mes larmes. Petit à petit elles finirent par s'arrêter de couler. Je le regardais, heureuse qu'il ne soit pas parti en courant. Il était vraiment grand, et ses cheveux en bataille dansaient dans la brise. Il était beau... HEIN?! D'où je pense à ça?? Secoue-toi, ma petite Kana! À quoi tu penses, merde??? Me rabrouais-je.
Je secouais la tête. Une main se tendit et je la pris avec soulagement. Il me releva. Une fois sur mes pieds, Raphaël me montra le gâteau avant de me dire que l'on mangerait après l’entraînement. Alors que je le suivais vers les pantins, Je l’agrippais par la manche et dit d'une voix timide.

Dis... Tu veux bien m'aider? À maîtriser mes pouvoirs?

Je gardais la tête baissée, ayant peur qu'il refuse après mon passage en mode "fontaine".

Je m'apprête à placer le matériel quand elle s'agrippa à moi et déclara d'une voix timide qu'elle voulais que je l'aide à maîtrisé ses pouvoirs. Hum.. elle est aveugle ou quoi ? Si je me suis cassé avec du matos c'est bien pour s’entraîner dessus non ? Ah la la.. c'est pathétique.

- bien évidement je vais t'aider à maîtrisé tes pouvoirs !

Je lui dit les instructions et quelques conseil important pour son pouvoir Tonnerre, je sais le maîtrisé ça, c'est plutôt le sensitif que je n'arrive pas. Bon, on commença l'entraînement et chipa de temps à autre du matériel, ensuite, après une bonne heure à s'entraîner sur le des proie immobiles on va passer au choses sérieuses ! Après tout, elle fait maintenant plus gaffe à son pouvoir, elle me maîtrise mieux sur cibles immobiles ! Malgré les nombreuses fois où elle à failli se blessé et me blessé... mais bon, il ne faut pas s'énervé contre elle après elle bloque, en faite il faut être calme avec elle, c'est tout. Voyons voir si, avec cible mobile elle y arrive... a parement pas trop... Elle à détruit tout sauf la cible en mouvement. Finalement après une heurs environs elle y est arrivé 1 fois ! Bon, je sent qu'elle est fatigué, je l'a comprend en même temps ! Je lui dit d'arrêter et que l'on va faire une longue pause goûter, je lui passe de l'eau en bouteille et la friandise de toute à l'heures et elle le pris, je mangea moi aussi.

- Bon, c'est plutôt pas mal pour un début, on se le refait quand tu veux.

Je lui sourit de nouveau pour la rassurer, tout les deux assis, on admire la vue et les dégât causé par Kana. Du côtés du professeur, il vient et me pris à part, je dit à Kana de m'attendre que j'en n'aurai pas pour bien longtemps puis alla pas très loin causé avec le prof.

Lorsque je lui eu demandé s'il voulait toujours m'aider, il me regarda comme si j'étais la dernière des idiotes. Je baissais lamentablement les yeux, attendant une réprimande. À la place, il dit juste " bien évidement je vais t'aider à maîtrisé tes pouvoirs ! " . Je lui fit un grand sourire plein de fossettes avant de le suivre et de me mètre au travail sur les pantins immobiles. Mes premières tentatives furent désastreuses : je faillis blesser mon ami au moins cinq fois et moi une bonne demi-douzaine de fois. À chaque fois qu'une de mes pathétiques tentatives passait trop près de mon ami, je m'excusais deux à trois fois.

Lorsque mes attaques commencèrent à être à peu près maîtrisées, je réussis à toucher le cible de plus en plus souvent. Finalement, je la touchais cinq fois d'affilée sans avoire trop besoin de fermer les yeux ou de me concentrer. Àla cinquième cible touchée, je sautais de joie comme une gamine et ne pus m'empêcher de serrer mon ami contre moi une brève fois avant de m'écarter en rougissant et en balbutiant des excuses.

Nous passâmes alors aux cibles mouvantes. Je commençais par ravager entièrement nôtre coin de terrain (les cratères fumants se succédaient) jusqu'à ce que je réussisse enfin à toucher une des cibles. Celle-ci explosa dans les airs. Je tapais dans mes mains, heureuse d'y être parvenue.
Raphael m'arrêta alors que j'allais réessayer pour me faire assoire à côté de lui. Il me tendit une bouteille d'eau dans laquelle je bus avec gratitude. Puis il me passa la friandise de tout à l'heure. Mon ventre gargouilla et la fatigue, une très lourde fatigue m'envahit, contrecoup de mon entraînement intensif. Raph me fait un gentil compliment et me sourit. Je lui rend son sourire, puis reste à admirer la vue et mes dégats dans la petite partie de l'arène que nous avions occupée pour... trois, quatre heures, si je comptais bien. Le soleil se couchait lorsque je vis le professeur arriver en disant vouloir parler à Raph seul à seul. Mon ami me dit.

j'en n'aurai pas pour bien longtemps.
D'acc' ! Je t'attends, reviens vite, hein? dis-je, en cachant un baillement derrière ma main.

Il partit et, pour faire passer le temps, je me mis à chanter.

Konna ni, omotte iru, Jinkan wa tomatte kurenai... chantais-je, et ma voix, cristaline comme à son habitude losque je chante seule, portait loin.

Spoiler:

Le prof me dirigea vers un endroit tranquille et il s'assoit et il me dit de s'asseoir. Je m'assis donc puis il soupira en me regardent, il avait l'air fatigué. Assis en face de lui je le regarde et l'observe, remarque, lui aussi, on n'échangea un regard froid puis il commence enfin à me parler.

- Raphael Clay Touram... un jeune rebelle se croyant tout permis. A cause de toi plein de mauvaises choses se sont produite !Tu sais que se que tu as fais est mal ?

je nu pas eu le temps de répondre car il continu sont discourt.

- Tu as de la chance que je sois patient et que je n'ai pas fait de rapport d'incident, par contre la jeune fille veux porter plainte contre toi car il l'a foulé le poignet. Je suppose que tu t'en fou de ça n'es-ce pas ?

Avant même que je répond à son autres question il continua encore à parler.

- Ma vrai question est, pourquoi Kana Whitewolf ? Elle à quoi de...

Enfin je l’interrompu.

- Spécial ? Rien, elle était très nul mais avec moi elle à pu avancer au niveau des autres élèves et cela en une seul séance avec moi hors avec vous elle stagne voir, elle régresse. Je ne dis pas que vous êtes un mauvais prof', jusqu'à là j'ai pas trop eu à me plaindre mais chaque élève est différents, il faut arrêté de les prendre tous comme des robots, vous apprendrez mieux aux autres en les comprenant car plus vous la rabaissé pire c'est. Il est sur que ces difficile de faire ça pour tous mais quand vous voyez que sa marche pas l'enfoncer pas.

Il a un air stupéfait.

- mais.. oui je fais ce que je peux mais.. je ne peux pas tout faire !

- Ne la rabaissé plus sinon on n'aura d'autres discutions comme celle là.

J'ai un air sérieux et je crois qu'il a compris.

- Arrêter vos menaces, toi et ton frère vous n'êtes décidément pas pareil, on dirai que c'est toi le schizophrène et pas ton frère car tu es plus gentil avec Kana qu'...

Je me leva et le pris par le col, on n'a aucun droit de traité mon frère de schizophrène.

- Lâchez-moi avant que je vous fasse un rapport d'incident !

- Ne parlez plus jamais de mon frère comme ça.

- Je vais en venir au main Raphael !

Je le lâcha et parti autre part pour me calmer, personne n'a vu la scène, on n'était seul. De sont côtés le prof parti dans le bâtiment et moi quelque part dans l'arène pour me calmer avant d'allez revoir Kana.

Je stoppais mon chant en voyant Raph et le prof se lever. Mon ami empoigna le Master eau par le col en lui crachant littéralement des mots à la figure. Mots que je n'entendis pas car j'étais trop loin. Après un dernier échange, je les vis se séparer. Le prof se dirigea vers le batiment tandis que Raphael partait de l'autre côté. Je me levais à mon tour et courus pour ratrapper mon ami. Comme il était trop rapide et qu'il était loin devant, je criais :

Raphael, attends!!!

Je trébuchais avant de reprendre ma course. Lorsque je le rattrappais, il me présentais son dos. Comme je n'avais jamais eu les bon mots pour réconforter et que je ne savais pas ce qui n'allait pas, je finis par m'approcher timidement. Je pris Raphael dans mes bras, serrant son dos contre moi et lui prodiguant une puissante vague d'apaisement. J'avais de la peine pour lui. Je restais quelques minutes comme ça, essayant de le réconforter de mon mieux. Lorsque je le sentis se calmer, je le lâchais. Je fixais mes yeux rendus d'une belle couleur lavande dans les siens, si particuliers. Je voulais trouver les mots pour lui dire que j'étais triste pour lui mais, comme je n'y parvenais pas, je détournais le regard, embarassée.

Je... Je suis désolée... Je ne suis pas bonne pour trouver les mots pour consoler. Je veux juste te dire que si tu as besoin de parler, je suis là. Quelles que soient tes paroles. dis-je amicalement.

Je lui touchais le bras avant de faire demi-tour, pensant qu'il serait mieux de le laisser un instant seul.

J'allais tranquillement aller airé dans mon coin quand Kana couru vers moi en disant de l'attendre puis elle me fit un câlin de dos, je fut très surpris puis elle me dit : " Je... Je suis désolée... Je ne suis pas bonne pour trouver les mots pour consoler. Je veux juste te dire que si tu as besoin de parler, je suis là. Quelles que soient tes paroles. " Dit-elle amicalement. Je me tourna vers elle et elle me lâcha puis elle est prête à me laissé seul. J'ai eu une irrépressible envie de la retenir, je crois... qu'elle m'apaise... j'ai le bizarre sentiment que je devais... rester... auprès d'elle... Je lui retenu le poignée avec ma main, les yeux vagues, le visage étrange, je me senti vide.

- Reste..

C'est le seul mot que j'ai pu lui dire, " reste " pourquoi je voulais quelle reste... pourtant je voulais tout faire pour rester seul.. je ne veux de l'aide de personne et pourtant.. je suis trop bizarre il faut me reprendre !

- Heu... Dis-je en reprenant mes esprits. Oublie heu... Déclarant en bafouillant, regardent son visage, elle est mignonne... AAH !! heu.. OK je prendrai en compte le faite de me confié à toi ! Je retira ma main en ajoutant : merci.

Finalement je reste planté-là en attendent qu'elle réagisse à tout ça.

Je sentis sa surprise. Alors que je m'en allais, je sentis une main me retenir doucement et la voix de mon ami, étrange.

Reste...

Je me retournais vers lui. Il avais un air étrange, comme un enfant un peu perdu, les yeux dans le vague. Je penchais la tête de côté dans cette mimique qui me donnait un air de chiot curieux. Je me rapprochais un peu, sans trop savoir quoi faire lorsque :

Heu... Oublie heu... Dit-il en bredouillant. Je plissais les yeux, un petit sourire aux lèvres. Il était gêné et je trouvais ça... mignon. Quoi?! Non, Kana secoue toi, ma fille. Il reprit : AAH !! heu.. OK je prendrai en compte le faite de me confié à toi !

Puis il lâcha ma main et j'eus un petit pincement de cœur. Il dit encore "merci." et je sus qu'il était sincère. Il resta là, planté devant moi, qui ne savais même pas comment réagir. Je me grattais l'arrière de la tête.

Euuuh... Ben, de rien, ça m'a fait plaisir de pouvoir un peu te consoler. Et puis, je serais contente si tu acceptais de te confier à moi, un jour. Dis-je en rougissant avant de prendre conscience de ce que j'avais dit. Oh lala, qu'est-ce que je raconte, moi? Euuuh... ou...oublie ça, désolée, je m'occupe de ce qui ne me regarde pas!

J'avais envie de rester avec lui toujours, plus que n'importe qui, plus que mon meilleur ami disparut. Je n'arrivais pas à définir ce que je ressentais et cela me perturbait beaucoup plus que je ne le pensais.
Je restais, un peu rouge devant lui, comme une abrutie.