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##   Mar 26 Fév 2013 - 0:15
Anonymous
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Livy enfouit le trousseau dans la poche arrière de son jean. Elle avait préalablement fermé la salle derrière elle, s'assurant ainsi que personne ne pourrait entrer et la déranger. Elle se trouvait à l'entrée d'une grande salle, ronde et pleine d'instruments différents. Des tambourins, des basses, des guitares acoustiques et électriques, batteries et même un piano à queue.
La jeune fille avait eu accès à la salle grâce à son professeur, un jeune homme agréable avec qui elle avait vite sympathisé. Elle hésitait entre un Master Terre ou Air....
Livy s'avança vers le piano.
"Beau spécimen, pensa t-elle"
Elle sourit et poussa un soupir satisfait en passant le bout de ses doigts sur le bois noir et vernis de l'instrument. Aucun grain de poussière. Soit il était souvent utilisé, soit régulièrement nettoyé. Dans les deux cas, l'utiliser devait être un pur bonheur. Elle n'attendit pas plus longtemps et s'assit sur le tabouret, en face des dents moires et blanches du piano. Elle arrangea les manches de son pull afin d'être plus à l'aise et ferma les yeux. Elle voulait jouer un morceau lent, triste et doux. Elle rouvrit doucement les yeux, un sourire satisfait au coin des lèvres. Elle plaça ses petits doigts et commença à jouer. Les notes s'élevèrent doucement. Les doigts de Livy couraient sur le clavier. Elle finit son interprétation sur une phrase douce et improvisée.
##   Mar 26 Fév 2013 - 1:43
Jacques Duroy

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Jacques Duroy
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Humeur : lyrique, libertine et volage, telle est mon humeur

C'est une longue journée qui se présentait a moi, la matinée fut remplit des devoirs qui m'appelait et de l’excitation provoquée par la nonchalance, aussi décidais-je de partir en exploration dans le bâtiments où se trouvaient les salles de cours. Salles de classes, pièces dont l'utilité m'échappait complétement, débarras, "rien de bien affriolant" pensais-je. Soudain un son parvint jusqu’à mes oreilles, et je décidais de partir en quête de l'origine de ce bruit. Ce fut sans trop de surprise que je découvris une salle de musique à l'intérieur de laquelle se trouvaient une multitude d'instruments et de musiciens aux talents douteux. Si le cadre me semblait idéal, l'incessante cacophonie des discutions et d'attouchements maladroits sur des instruments quelconques n'était pas propice pour une pratique intensive de la procrastination. je déclenchais donc le mécanisme de la fenêtre sans la faire coulisser dans l'espoir de pouvoir y revenir plus tard en profitant du fait qu'elle se trouvée au rez-de-chaussé, peut-être lors d'une ballade nocturne.
Après un tour rapide à la cafétéria et je partais pour le village acheter quelques vivres essentiels, un paquet de mes cigarettes favorites et une bouteille de whisky. Pris de lassitude, je m'asseyais sur un banc et regardais le ballet quotidien de la populace trop occupée pour faire attention à moi. Je réalisais soudain que je n'avais parlé à personne depuis mon arrivé, et un léger sentiment de solitude commencé à ternir ce fabuleux jour hivernal.
L'après-midi touchait à sa fin quand je retournais à la fenêtre de la salle de musique, mais la solitude tant attendue ne serait pas de mise, quelqu'un jouait du piano, plutôt bien d'ailleurs. Un rapide coup d’œil et j'étais fixé, un jeune fille aux cheveux blanc coupés plutôt court, l'allure infantile, et un remarquable dextérité dans les doigts. Pour ne pas la déranger, je m'infiltrais tant bien que mal dans la salle (ce qui n'est pas si évident avec des santiags) et tirais discrètement un chaise pour m'assoir et profiter, "Après tout on m'offrait une représentation privée, autant écouter en buvant mon whisky" tel étais ma pensée et ainsi fut-il. A la fin de la prestation, après avoir attendu quelques secondes pour être sûr qu'elle n'allait pas reprendre, je me levait et applaudissait peut-être un peu exagérément.


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Dernière édition par Jacques Duroy le Lun 4 Mar 2013 - 0:46, édité 1 fois
##   Mer 27 Fév 2013 - 10:59
Anonymous
Invité

Livy ferma les yeux
quelques secondes profitant du moment de paix à la fin de son morceau. Moment où les notes se perdaient définitivement dans l'air et où leurs vibrations s'éteignaient de manière décroissante. Un crescendo triste. Moment qu'elle ne savoura pas bien longtemps. au moment où elle ouvrit les yeux et s’apprêtait à se lever, des applaudissement résonnèrent dans son dos, bruyants et effrayants sur le moment. Elle se retourna vivement et fit face à cet étrange individu. Un jeune homme, bien plus âgé qu'elle, arborant un né cassé ainsi qu'une tignasse blonde et deux yeux bleus pétillants. Il était habillé simplement mais de façon assez peu commune. Cela fit sourire intérieurement la jeune fille. Elle ne le jaugea pas plus longtemps mais attendit simplement qu'il finisse ses applaudissement.

"Bien trop flatteurs, commenta t-elle en elle-même."

Lorsque le bruit se fut arrêté ainsi que l'écho qu'il avait provoqué, elle se leva, arrangeant une nouvelle fois ses manches et fit face à son interlocuteur. C'était la moindre des politesse selon elle. Livy se courba devant son unique spectateurs, comme à la fin de toutes représentations artistiques. Elle se trouva bien pathétique devant une personne aussi grande, elle, si frêle et petite.

"Hm...Bonsoir..."

Elle regarda autour d'elle. Une fenêtre était ouverte. Il s'était très certainement introduit par là. Elle hocha la tête avant de retourner son regard vers l'autre.

"Merci monsieur. C'est gentil d'applaudir ainsi mais... que venez vous faire là?"

Elleaccompagna sa question d'un petit regard curieux et pencha légèrement la tête sur le côté. Livy savait que personne hors de Terrae ne pouvait pénétrer les lieux et selon sa tenue et son comportement, cet homme ne pouvait être qu'un élève. Rien d'inquiétant... Juste gênant... Ce fut là qu'elle remarqua la bouteille d'alcool à ses côtés. Cela lui fit lever un sourcil mais elle ne tint pas à le commenter tout de suite. Gardant quelques questions pour la suite. Elle se contenta donc de rester sur
ses gardes, face à lui mais à distance raisonnable.
##   Mer 27 Fév 2013 - 21:38
Jacques Duroy

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Je me faisais violence pour ne pas rire devant sa réaction presque paniqué, et profitais du temps qu'elle mis à reprendre sa contenance pour la détailler un peu plus. Outre le carré blanc que formaient ses cheveux autour de son visage que j'avais pu remarquer dès mon entré dans la pièce, je voyais maintenant l'intégralité du personnage. Ses yeux noisettes contrastés avec sa blanche chevelure et lui donné un air ......."mignon" pensai-je. Cette impression était corroborée pas la minceur manifeste de toutes les parties de son corps, toutes, mais aussi par sa taille inférieur à la moyenne, du moins à celle que je fréquentais. "13 ou 14 ans, une enfant." Me disais-je, encore en aparté.
Elle venait de rajuster ses manches et s'inclinait à la manière d'un pianiste qui termine une représentation devant une grande audience " Et quelle audience!!!" me répondait mon esprit tordu. En me détaillant du regard à son tour, elle articulait un timide:

"hum....Bonsoir"

Elle me quittât un instant des yeux, sûrement pour répondre à la question muette mais pressente " comment est-il rentré?" et une fois que la fenêtre eu rencontrait son regard, elle hocha de la tête, ce qui voulait dire qu'elle avait trouvait sa réponse, et posa de nouveau son regard noisette sur moi.

"Merci monsieur. C'est gentil d'applaudir ainsi mais ... que venez-vous faire là?"

"Monsieur?, me disais-je encore à moi-même, je sais que je suis plus long qu'elle et que je n'ai pas fier allure avec mon nez cassé, mais quand même, pourquoi tant de violence?" Elle avait réussi à me mettre mal à l'aise en trois phrases, ce n'était pas glorieux pour moi. Mais une idée me vint subitement. Elle, qui semblait vouloir une certaine distance entre nous, allait m'offrir l'occasion de rire un bon coup.
Je me saisis de la bouteille, en but une rasade moins que raisonnable, marqua un temps de pause exagérément long avant de m'approcher de trois pas et de lancer un très théâtrale:

"Mais c'est pour mieux t'écouter mon enfant" avec un sourire qui se voulait démoniaque.


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Dernière édition par Jacques Duroy le Lun 4 Mar 2013 - 0:51, édité 1 fois
##   Mer 27 Fév 2013 - 22:27
Anonymous
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Il but une gorgée de son alcool. À la bouteille Livy reconnut du whisky. Bien qu'elle n'en ai vu que rarement. Elle eu une légèrement dégoûtée. Elle n'appréciait que très peu l'alcool et la façon dont l'individu en buvait lui faisant vraiment penser à un alcoolique chronique et peut-être même violent. Pendant un assez long silence imposé par son interlocuteur, Livy put réfléchir un peu et observer les gestes du personnage. Elle n'avait pas si peur que ça mais se méfiait beaucoup et préférait être prudente. Se sachant très peu facilement influençable elle se rassura sur ça, même si... "Il est peut-être apte à utiliser ses pouvoirs... Si il m'agresse je ne pourrai pas me défendre comme il faut. C'est un tonnerre ou un feu à son comportement. Et même si il ne peut pas les utiliser, je n'ai aucune chance face à un tel phénomène." Elle imagina deux ou trois scènes dont la fin restait la même et ne lui plaisait guère. Quand enfin il voulu enfin parler... Ce fut après avoir avancé trois pas vers la jeune fille. Immenses selon celle-ci. Son cœur se mit à battre la chamade et elle devint livide. Cependant elle s'efforça de garder la tête haute et de ne pas montrer sa peur. Même si elle n'y arrivait très certainement pas.

"Mais c'est pour mieux t'écouter mon enfant, dit-il".

Le sourire qui accompagna cette phrase donna envie à Livy de fuir à toute jambes. Ce qu'elle ne put pas faire. Elle avait assez peur pour ne pas réussir à bouger. Elle ouvrit la bouche une fois, la referma presque immédiatement. Son regard fuyait celui de l'homme tout en restant fixé sur ses mouvements. Enfin, elle sortit dans un souffle, peu sûre d'elle:

"Ah."

Elle se fit rire intérieurement. "Pathétique." Elle reprit un peu plus d'assurance et comme à son habitude, parla assez sèchement:

"Pour m'écouter...? Uniquement? Vous en êtes sûr monsieur?"

Elle leva un sourcil attendit la réponse. Elle se positionna pour pouvoir se déplacer plus aisément et rapidement si il le fallait.


##   Mer 27 Fév 2013 - 23:01
Jacques Duroy

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"Pour m'écouter...?Uniquement? Vous en êtes sûr?"

Cette phrase, ajoutée à sa réaction effrayé, et un peu aidé par la boisson, me fit exploser de rire. Je crus mourir à cette instant devant cette jeune fille qui devait sans doute me prendre pour un dément. Je reprenait mon souffle et posais une main amicale sur sa tête avant de lui dire.

"Mademoiselle, mes plus plates excuses si je vous ai effrayé, c'était totalement volontaire. commençais-je. Jacques Duroy, serviteur de ces dames. En réalité, je ne pensais avoir le plaisir de profiter d'un concert privé, à l'origine je comptais user de cet salle pour m'offrir un petit moment de détente, je viens à peine d'arriver et je dois avouer que tout ces changements sont presque angoissant pour moi, cela en plus de mon nez cassé, dont je m'excuse de devoir vous en affliger la vue, m'ont donné envie de solitude pour profiter de la soirée et réfléchir à......."

En réalité je ne savais même pourquoi je voulais m'isoler, "téléporter" la veille au soir suite à une mauvaise soirée alors que j'allais céder à la mauvaise humeur, arriver dans un lieu que je ne connaissais pas accompagné par une parfaite inconnue dont je ne voyais pas le visage, et passé la nuit dans un établissement qui n'avait rien d'européen question architecture.... Je réalisais, à cet instant même que j'étais absolument et définitivement perdu. Et ma phrase, pauvre et solitaire, resta en suspend.


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Dernière édition par Jacques Duroy le Lun 4 Mar 2013 - 0:56, édité 1 fois
##   Jeu 28 Fév 2013 - 0:10
Anonymous
Invité

La main qu'il posa sur la tête de Livy était loin d'être empreinte de méchanceté ou de violence. Le cœur de la fillette se calma et elle soupira intérieurement, soulagée.
"Il sent l'alcool et est un peu effrayant mais ça ira, pensa t-elle".
Son rire fit sourire Livy à son tour. La voix de Jacques, comme il se présenta était grave, rauque. On y sentait l'empreinte de la cigarette. Des relents d'alcools montaient de son haleine sans être vraiment très prononcés. Il se stoppa dans son élan, laissant sa phrase sans fin et les sons s'évanouir. Livy le regarda d'un air étonné. Il avait une lueur étrange dans son regard, que la jeune fille évita d'interpréter. Elle se contenta de sourire à Jacques et dit doucement:

"Moi, c'est Livy. Livy Vallens. Vous êtes nouveaux ici alors...? Moi aussi. Je suis arrivée il y a moins d'une semaine. C'est vrai que ça fait...Bizarre de se retrouver là, comme ça. Si loin de l'occident..."

Elle avait finit sa phrase dans un petit soupir triste. En moins d'une semaine elle n'avait pas vraiment eu le temps de penser à son "ancienne vie" et les rares moments de nostalgie qu'elle avait eu avaient été noyés par des rires d'élèves ou les monologues de ses professeurs. Elle se mordilla la lèvre inférieure d'un air triste et baissa les yeux.

"Ce n'est pas spécialement joyeux, soupira t-elle, mais si on est ici c'est qu'on l'a souhaité au fond. Non...?"

Elle soupira à nouveau et ferma un peu les yeux avant de les rouvrir et de sourire de son air le plus joyeux à Jacques.
##   Jeu 28 Fév 2013 - 0:42
Jacques Duroy

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J'avais souhaité être là? avais-je déjà souhaité quelque chose? Probablement échapper au milieu qui m'a vu naitre ou alors échapper à ces longues et interminables heures de cours? Ou bien peut-être juste m'évader de ce monde ou je n'avais pas ma place?
Je décidais que j'avais trop accumulé de questions ces derniers jours et que ce n'était certainement pas le moment d'y répondre parce que d'autres choses ce faisais plus urgentes comme faire la conversation à la jeune fille aux yeux noisettes. Je baissais le regard sur la jeune fille, elle me souriait, pas ce sourire banal que l'on voit tout les jours mais un sourire réconfortant, chaleureux, innocent. Je ne devais pas embarrassé cette demoiselle avec mes soucis et je lui rendis son sourire.

"Souhaiter ou pas, on y est alors autant faire avec, commençais-je, d'ailleurs pendant que l'on songe à être positive, je me permet un remarque, insignifiante certes, mais qui me tiens à coeur : jamais une jeune fille ne devrait jouer un air si mélancolique, si empreint de tristesse qu'il ferait pleurer un moine Birman, tu ne crois pas Noisette?"



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##   Jeu 28 Fév 2013 - 23:59
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Noisette... Livy eu un petit rire. Un rire léger, un rire d'enfant. Elle s'assit sur le tabouret du piano, en face de Jacques et lui répondit, plus joyeusement que précédemment:

"Noisette! C'est la première fois qu'on me sort celui-là! C'est mignon, j'aime bien."

Elle porta un regard doux au jeune homme et reprit:

"Enfin oui, mieux vaut nous habituer à Terrae maintenant. Quant à ma musique... Un moine Birman en pleurerait peut-être... Mais simplement à cause de mon interprétation très amateur!"

Elle eu un autre petit rire, gêné cette fois.

- J'en connais de plus joyeuses mais contrairement à celle-là, elles ne me permettent pas de réfléchir. Elles donnent plus envie de bouger. Ce sont celles-là que je joue en...public. Enfin... Celle qui me vient maintenant n'est pas vraiment très très joyeuse mais..."

Elle tourna son regard vers les guitares, puis vers Jacques. Se leva, s'étira et sortit, d'un air théâtral:

"Noisette Livy Vallens va vous interpréter un morceau!"

Elle se dirigea vers la légion d'instruments à cordes, en saisit un -une guitare acoustique-, l'accorda à l'oreille puis elle s'installa. À l'aise, en face de son unique public et se mit à jouer. Cette fois une chanson en français qu'elle chanta de sa voix de petite fille:


"Vous avez lu l'histoire

De Jesse James


Comment il vécut


Comment il est mort


Çavous a plus hein


Vous en d'mandez encore


Et bien écoutez l'histoire


De Bonnie and Clyde



Alors voilà



Clyde a une petite amie


Elle est belle et son prénom


C'est Bonnie


A eux deux ils forment Le gang Barrow


Leurs noms Bonnie Parker et Clyde Barrow"



Elle s'arrêta là. Trou noir.


"Désolée... La suite j'ai un peu du mal à m'en souvenir... Ça fait longtemps que je ne l'ai pas jouée."

Elle eu un regard désolé.
##   Ven 1 Mar 2013 - 0:43
Jacques Duroy

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Son rire enfantin réchauffait mon cœur égerment imbibé par le whisky, et étrangement j'avais honte de m'être comporter, volontairement, comme un soulard. Aussi pendant qu'elle me montrait tout l'étendu de son talent, je me faisais violence pour tenter de trouver quelque chose qui pourrait améliorer le jugement qu'elle aurai de moi. Un trou noir?? ça tombait bien je connaissais la suite, pour avoir écouté un nombre incalculable de fois cette chanson à la radio, aussi je reprenais immédiatement après qu'elle se soit excusée de ne pas connaitre la suite:



Moi lorsque j'ai connu Clyde
Autrefois
C'était un gars loyal
Honnête et droit
Il faut croire
Que c'est la société
Qui m'a définitivement abîmé


Je n'avais point chanté depuis au moins une éternité, et même si je ne savais absolument pas ce que valait ma voix j'y prenais un plaisir fou. Noisette était nimbée d'une aura de paix qui me mettait à mon aise, c'était la première fois que je chantais autre chose qu'une chanson paillarde devant quelqu'un. J'aurais presque à regrettais le coup tordu que je venais de lui faire, si cela ne m'avait provoquer un fou rire.

"Je pense que je devrais m'arrêter là, Gainsbourg est déjà mort une fois, je ne vais pas tirer sur le corbillard." Lui ai-je dis avec un rire qui sonnait trop amer à mon goût."Enfin.... Comme dit la nonne au bel acteur, on fait quoi maintenant que l'on à terminé notre petite représentation?"

En fait c'était d'avantage un échappatoire, mon nez commençait à être douloureux et le temps de réflexion que ma question m'accordait me servirai d'excuse pour boire d'avantage et mystifier la douleur. Ma tête commençais à tournée et je tentais de dissimuler mon trouble tant bien que mal.


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##   Sam 2 Mar 2013 - 16:37
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La jeune fille se leva et se planta fièrement devant son interlocuteur. Après une petite révérence comme la précédente:

"On peut se dire au revoir. Ou à bientôt. Vous devriez aller soigner votre nez... L'infirmerie n'est pas loin et vous la trouverez facilement, j'en suis certaine."


Livy accentua le ton sur ces derniers mots. Le visage de Jacques était traversé par un grand nombre de moues tirées entre la douleur et un... sourire? Tout mais rien de rassurant du moins. Livy quant à elle, même si elle le voulait ne pouvait pas se permettre de l'accompagner. Tant par précautions que par responsabilité: la clé ne se rangerais pas seule et il était bientôt l'heure du couvre-feu qu'elle s'imposait elle-même. Elle regarda sa montre et fut surprise en voyant l'heure. "21h?!"

"Aussi... Merci pour tout à l'heure. Pour la chanson et vos compliments..."


Elle sourit.

"Allons-y. Il se fait tard. L'infirmerie risque de bientôt se fermer."
##   Sam 2 Mar 2013 - 18:20
Jacques Duroy

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21H!!!!! Bon sang, le temps ne semblait pas nous avoir attendu, la mal qui me rongeait le tarin m'avait probablement fait perdre toute mesure du temps. Puis son idée de destination était plutôt séduisante.

"L'infirmerie...... Bonne idée, je crois que je vais aller y faire un tour" Lui disais-je.

Ma question avais eu l'effet escompté, nous nous séparâmes à la porte de la salle, elle allant rendre les clés, moi cherchant désespérément l'infirmerie, les soins allaient devenir nécessaire, si ils ne l'étaient pas déjà. Jamais un couloir ne m'avais parut si interminable, le pas assuré que j'avais adopté en quittant la salle laissait place à une démarche titubante et mal coordonnée. Je ne dissimulais plus la douleur, mes muscles de maxillofaciaux me faisaient souffrir tant ils étaient crispés. Quel bel abruti je faisais, dans ce couloir, blessé et à moitié saoul. Avec le recul, j'étais assez chanceux, je n'avais croisé âme qui vive et je parvient finalement au terme de cette interminable quête, un panneau au dessus d'une porte sur lequel il était écrit "Infirmerie". J'entrais donc dans l'espoir de recevoir les bons traitements d'une ravissante infirmière dans la vingtaine qui serait au petit soin avec le blessé de guerre que j'étais.


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##   Sam 2 Mar 2013 - 21:51
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Invité

Nous nous séparâmes donc là. Je me dirigeais tranquillement vers la salle des professeurs afin d'y ranger la clé prêtée avec confiance. Puis vers ma chambre au dortoir. Morphée m’appelait...


[Rp finit. Ahah Jack! Merci j'ai adoré! ^^]
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