J’ouvrais péniblement les yeux. Ma tête me faisait un mal de chier. J’avais l’impression que mon crane allais exploser sous la pression des cerveaux devenus trop gros. Ce qui étais paradoxal, vus ma stupidité grandissante ces dernier temps. J’allais de connerie en connerie, et me mettant dans des situations de plus en plus dangereuse.

Un rayon de lumière vint taper violement sur ma rétine. Je fermais immédiatement de nouveau mes paupières. Je me demandais ou j’avais bien put atterrir.
J’étais coucher a même le sol, ou alors sur un matelas particulièrement inconfortable. La pièce étais de plus humide et particulière ment mal aéré, une odeur de refermé et de moisie me piquais furieusement le nez.

Tout ces détaille me faisais méchamment pensé a un cachot mal entretenus. D’un coté qui passerais le ballet dans un cachot.

Je me redressais lentement, j’avais la nuque en morceau, il va taper fort cette enfoiré. Faudrait lui apprendre qu’on n’est pas obliger de détruire les cervical de quelqu’un quand on veut l’assommé.
D’un coté je n’ais pas vraiment le droit de me plaindre, je mis suis mit toute seul comme une grande dans cette merde. Quoi que, on mas un peut aidée. Faut pas me dire que c’étais prévus dans un contra que j’allais tomber sur la mafia.
Si je retrouve le commanditaire de cette mission je l’éclate !

Des pas s’avançaient dans le couloir. Je me redressais plus que péniblement, j’avais mal de partout, il ne s’était pas acharner que sur ma nuque l’enculé.

La lourde porte s’entrouvrit dans un grincement sinistre. La lumière m’aveugla. Je tentais de garder mon calme, allez savoir sur qui, ou quoi, j’allais tomber.

...

J’ouvrais péniblement les yeux. Ma tête me faisait un mal de chier. J’avais l’impression que mon crane allais exploser sous la pression des cerveaux devenus trop gros. Ce qui étais paradoxal, vus ma stupidité grandissante ces dernier temps. J’avais encore quelque reste de la soirée plutôt mouvementé avec Gaetano.

Un rayon de lumière vint taper violement sur ma rétine. Je fermais immédiatement de nouveau mes paupières. Le soleil c’étais sournoisement insinuer entre mes volets. Il était venu me tirer de mon sommeille plutôt agité. Je passais tout mes nuits à revoir des bouts de souvenir. Des instants de ces deux moins de rétention ans les caves miteuse de la mafia. Ces moments qui symbolisaient ma stupidité et cette mission plus que catastrophique.

Je me redressais péniblement. Si il y a bien une chose quiets sur c’est que je ne suis pas du matin.
Je descendais de mon lit et m’approchas, tout en trainant nonchaleusement les pieds, de ma cafetière. Je versais dans un bol un reste de café froid, et dégelasse. De toute façon, chaud ou froid je trouve ca dégelasse le café. Non je ne suis pas conne, mais c’est la seule chose qui arrive a me réveille le matin.

Après une heure de douche pour me réveillé, je m’habillais.
Je comptais aller me défouler à l’arène. Cela faisait presque un mois que j’étais rentré de la mission, mes blessures étaient à présent bien assez soignées pour pouvoir reprendre mon entrainement.
Il ne fallait pas croire que parce que l’on est masters on arrête de s’entrainé. Même si nos pouvoir son parfaitement métrisé, il y a encore de multitude de choses à découvrir, et en particulier notre greffe.

…

Arriver a l’arène je déposais mon ceinturon ou étais accroché, entre autre, mes deux magnum. Je ne comptais pas m’entrainé avec aujourd’hui.

Je fermer doucement les yeux, je devais aller puisé au plus profond de moi-même. Je devais trouver l’énergie et la volonté pour activer ma greffe.
Celle-ci consistait à matérialiser de manière solide mon élément. J’arrivais a crée sans trop de difficulté des objets inanimé. En particulier des munitions qui me servaient avec les magnums.
Mais je cherchais a crée quelque choses de « vivant ». Une forme que je pourrais mettre en mouvement. Un compagnon de combat. Il me fallait pour un parfait contrôle de moi et de mon élément, mais la perfection est quelque chose de bien dur à atteindre.

Je laissé donc aller mon imagination, et une forme ce matérialisa a mes coter, remplis de millier d’arcs électriques.
Vus que je suis très raisonnable, j’avais chois de matérialiser un tigre. C’est simple petit et sans trop de détaille. Non ? Ha bon, alors je ne suis pas raisonnable.

C’étais un objet, d’abord inanimé, qui étais bien plus compliqué et gros que j’avais l’habitude de créé, j’avais donc du mal l’imaginé avec assez de détaille pour qu’il soit stable.
Le fait est que vus la puissance d’une petite balle quand elle explose, il ne fallait surtout pas que ce grand tigrou me pète entre les doit, sinon il y a des change que j’atomise tout l’arène et plus si affinité.
Le stresse montas rapidement, me faisant perdre ma concentration. Ca avis toujours été mon point faible, ma concentration.

Tout m’échappa. La forme devenus instable, je ressemblais plus rien. Je coupais l’apporte d’énergie et arrêtais ma greffe, la forme ce transforma en une gros boulle qui explosa instantanément.

Un épet nuage de poussière c’étais formé au dessus de l’arène. J’étais connement allonger au sol.
Le nuage ce dissipas lentement et je me relever sur mes coude.

_ Connaserie !

Un bruit sourd résonnas dans mon crane. Une sorte de bourdonnement, un peu comme si une abeille, une très grosse abeille, était venus ce perdre dans mon cerveau.
J’avais cogné la tête un peu trop fort cette fois, génocide de neurone, ce qui n’étais pas forcement une bonne idée. Je n’en vais pas forcement beaucoup l’utilité de tout ce petit neurone, la réflexion ne faisait pas partie de mes qualités premières, mais tout de même, il m’en fallait un minimum.

Doucement le nuage de poussière qui m’entourait commença à ce dissipé. C’est a ce moment la que j’aperçu une petite silhouette au bord de l’arène. Je la scrutais quelque instant, n’arrivant pas encore à voir nettement a qui elle appartenait.

-Bonjour madame...euh... vous faîtes quoi exactement ?

La voie qui s’adressait a moi étais claire et plutôt jeune, cela me donnais a penser que j’avais affaire a un nouveau. Pourtant cette voie ne m’était pas inconnue. J’étais revenu depuis trop peu de temps pour avoir déjà croisé un nouveau. Je l’avais rencontré, soit en initiation soit en cours. C’était donc un jeune homme initié plutôt jeune. Dans initier de 10-11 ans on en avait pas beaucoup. Je me souvenais d’un visage ou deux. Mais c’étais très vague comme souvenir.

Je me levais et époussetais assez stérilement mon pantalon, vus son état c’étais d’une machine à laver qu’il avait besoin. Je me redressais et levais le regard vers la dite silhouette. J’y voyais plus claire à présent, mais il était trop loin pour que j’y voie nettement.

_ Des tentatives assez stérile de faire évoluer ma greffe.

Je lui adressais un grand sourire.

_ Comme tu peu le constater c’est plutôt raté.