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Toi, tu me rappel quelqu'un... ( Kana, attention à toi ! )
##   Ven 1 Nov 2013 - 21:00
Anonymous
Invité

Pouvoirs repris, l'esprit léger, le pas franc et direct, l'accoutrement faisant ressentir la propreté... Avec tout ça j'ai faim... Pendant que la miss Olivia prend sa douche, je vais aller me caler au font d'une chaise, le plateau posé sur la table avec, j'espère, pleins de bonnes choses à manger dedans.

Je me souviens à peine de la cafétéria, quand j'y étais étant encore jeune novice, elle était encore en construction et il faillait donc se mettre dehors l'été ou dans la salle commune. Voilà, elle est ici. Je m'approche du comptoir et y regarde les menus. Ils étaient bien plus varié qu'autre fois et le décor, bien plus spacieux aussi. Je regarde donc la carte et passe ma commande. La dame qui me sert, ( oui dame car vu les rides qu'elle essaie de cacher elle fait bien ses quarante ans ) pose délicatement le riz et les sushis puis le fondant chocolat et enfin le jus de tomate. La plupart des choses, je n'en n'avais jamais manger. Je connais que très peu la cuisine asiatique et pas du tout celle qui vienne d'ailleurs. Je me contente de tout ce que j'ai toujours manger, du riz. Le riz froid, chaud, léger, sec, simple, compact, avec sauces, avec ingrédients, sans ingrédient, bouilli, en purée, en gâteaux, en tartine, avec odeurs, sans odeur...

La dame rompe mes pensées pour me demander ma carte d'étudient. Carte d'étudient ? C'est quoi ça ? Je lui montre ma carte d'identité, sans montrer une tête incompréhensif mais elle l'a refuse. Elle commence à m'énerver celle-là ! Je lui dis que je suis bien un master de Terrae en lui montrant un petit tour de passe-passe avec l'eau mais me demande de payer par avance car je n'ai pas ma carte. Je lui dis que je n'ai pas d'argent et elle commence à élever la voix. Je lui prend le visage avec sa main ( la paume touchant son front ) puis lui fait oublier mon passage. Elle s'écroule au sol, devant environ huit élèves dont six assis au même endroit. Je prend mon plateau alors qu'un homme d'une vingtaine d'années m'interpelle. Je ne vais comme même pas tous leur faire oublier ? Si ?!

Je vais voir par-là pour trouver une table où je serais seul, je ne veux pas que l'on vienne me parler. Tout à coup je vois un visage... Celle d'une jeune fille qui me fait penser à quelqu'un... qui ?... Je ne sais plus... NAAAAAAAAANNNNNNN... SI SI SI SI SI..! C'est Risō Kagaku ! C'est lui...
Je reste un moment à fixer la jeune fille, le regard perdu dans mes pensés...c'est ce scientifique qui à mon arrivée m'a fait porté une robe d’esclave car il n'y en avait plus pour garçon, c'est ce scientifique qui à tuer mon ange et c'est aussi lui qui a assassiné le scientifique qui m'a aidé...Non... ça c'est faux... tout se bouscule dans ma tête... Tant de haine surgit d'un coup. Cette fille est celle de ce scientifique, que fait-elle ici ? Une espionne ? Je m'approche, posant mon plateau sur une table. Je la fixe toujours, elle me regarde aussi, cette tête coupable... elle va morfler !
##   Ven 1 Nov 2013 - 21:55
Anonymous
Invité

La sonnerie retentit. Je fis glisser mes affaires dans mon sac et je me ruais hors de la salle de cours. Je descendais les escaliers quatre à quatre au risque de me casser le cou. Je fonçais au rez de chaussée et bousculais quelqu'un. Le temps qu'il proteste, j'étais déjà loin. Je jaillis hors du bâtiment et piquais un sprint jusqu'au réfectoire.

En y arrivant je n'avais qu'une seule idée en tête : MANGER !! J'ai FAIM !!! Je montrais rapidement ma carte d'étudiant et passais sans attendre. Yes, j'avais réussi à arriver avant les élèves qui finissaient tous à midi ! Je pris mon repas et partit m'asseoir en fond de salle à une table vide. Je m'assis et tapais dans mes mains comme une enfant.

Itadakimasu !

Soudain il y eut du grabuge à l'entrée. Le temps que je tourne la tête vers la source du bruit, tout était de nouveau calme. Un homme l'air affamé passait entre les tables en lorgnant les place restées vides. Nos regards se croisèrent et le sien se fit haineux. Il se rapprocha de moi et posa son plateau sur ma table. Je levais des yeux craintifs vers l'homme. Il voulait sûrement la table pour lui seul. Je me levais donc en renversant ma chaise et lâchais d'une voix peureuse :

Euh... Je vais changer de place... Je ne veux pas vous déranger.
##   Sam 2 Nov 2013 - 14:39
Anonymous
Invité

La jeune espionne se lève, craintive en annonçant qu'elle irai autre part. Elle se doute bien que ce n'est pas la place que je veux, de la place il y en a. Le type qui me suit commence à me casser les oreilles. Je me retourne un instant puis de mes yeux lui fait oublié mon existence. Je n'aime pas utiliser mes pouvoirs à tout va mais aujourd'hui, ce n'est pas la peine de venir me chercher.
Le type s'écroule puis je me tourne vers elle, m'approchant de très près. J'allais lui dire " Ton noms ! " pour le savoir mais elle est évidement sous couverture. Il va falloir la brusquer un peu mais avec l'entourage ça ne va pas être coton. Ils ne sont pas nombreux. Je les met en glace en même temps pour éviter les fuites puis plaque la jeune fille par la gorge contre le mur. Je le lui serre légèrement pour lui faire un peu plus pleur avec un regard froid et déterminé. Je prends le couteau qui ne me quitte plus depuis l'Allemagne et le lui montre.

- Si tu veux pas finir comme tu l'imagine réponds à mes questions.

Je lui serre un peu plus la gorge avant de dé-serrer pour qu'elle puisse parler. Si c'est bien la fille du scientifique je vais pouvoirs tous les faire tomber un à un. Elle sait forcément des choses qui pourrait être très intéressantes. Je lui laisse à peine de temps de se plaindre, car après tout, qui ne crierai pas un peu, puis enchaîne.

- Dit-moi tout ce que tu sais sur ton père. Je t'ai reconnu, inutile de nier la ressemblance avec lui. Ensuite tu me diras ce que tu fais ici exactement et enfin je t'amènerais à Hideko pour qu'elle te retire tes pouvoirs que tu ne mérite pas.

Je lui glace les pieds pour éviter de me les recevoir et aussi ses bras. Elle est solidement attaché au mur et je la tien toujours par la gorge. Elle n'a pas le choix, elle doit me répondre et vite, Olivia va pas tarder à sortir de la douche.
##   Sam 2 Nov 2013 - 15:53
Anonymous
Invité

L'homme commençait à faire un bouchon derrière lui et le type qui attendait commença à râler. Se détournant quelques secondes de moi, il fixa le râleur qui s'écroula au sol, inconscient. Il glaça ensuite toute l'assemblée. Sauf moi. Je commençais vraiment à avoir peur. Il se tourna vers moi et, m'empoignant à la gorge, me plaqua violemment au mur. L'air sortit de les poumons et un voile rouge passa un instant devant mes yeux. Il sortit un couteau et me menaça avec.

- Si tu veux pas finir comme tu l'imagine réponds à mes questions.

Il serra alors ma gorge si fort que j'entendis mon cou craquer légèrement. Au moment où j'étouffais, manquant d'air, il relâcha la pression sur mon cou. Il me regarda et son regard me glaça sur place. Je n'eus pas le temps de protester qu'il enchaînait :

- Dit-moi tout ce que tu sais sur ton père. Je t'ai reconnu, inutile de nier la ressemblance avec lui. Ensuite tu me diras ce que tu fais ici exactement et enfin je t'amènerais à Hideko pour qu'elle te retire tes pouvoirs que tu ne mérite pas.

J'ouvris de grands yeux. Mon... père ? Il parle de mon père biologique ? Pourquoi était-il si agressif en parlant de cet homme dont je ne savais rien..? Des questions se bousculaient dans ma tête. L'homme en face de moi semble haïr mon père biologique. Il me glaça les pieds et les bras et serra ma gorge de façon à seulement me laisser assez d'air pour parler. Je lâchais donc, la voix rauque :

- Je ne sais rien... Mon père... Je le connais pas. Je le jure ! J'ai été adoptée...

L'air me manqua et je tentais de me débattre sans autre résultat que de sentir les doigts de l'homme en face de moi se resserrer autours de mon cou. J'espérais de tout cœur qu'il me croirait.
##   Sam 2 Nov 2013 - 16:19
Anonymous
Invité

La jeune fille essaie de se débattre autant qu'elle peut mais sans succès évidemment. Elle me répond d'une voix rauque qu'elle a été adoptée. J'y crois pas, on lui a donner l'ordre de dire ça si jamais elle se fait prendre ? Qu'elle excuse stupide ! Le couteau, j'en ai pas vraiment besoin, c'est juste pour faire peur, si je voulais vraiment tuer quelqu'un j'utiliserai une arme qui disparaîtrait sans laisser de trace, comme un pieu de glace par exemple.

- Te fiche pas de moi. Tu n'as pas encore peur c'est ça ?

Je glace la lame de mon couteau puis l'approche du coup de la petite espionne. Le regard glacial et noir, aucun sourire ni aucun sentiment dégageant de moi, j'ai pas l'ère de plaisanter hein ? Pourtant elle m'annonce ça. Je n'en rit pas de son sort, je m'en fiche, je n'aime pas ça mais il le faut pour trouver des réponses.

- tu veux vraiment mal finir ?

La glace la retenant se remet en eau et je la met sur la table ( là où il n'y pas de plateaux repas hein ), toujours ma main à sa gorge. Elle est à présent prisonnière sur la table pieds et poings glacés. Je lui est lâché la gorge, tournant autour d'elle comme un vautour autour de sa proie.

- Vu que tu n'es pas très coopérative je vais te montrer que je ne rigole pas.

Je m'arrête à côté d'elle, et commence à lui coupé légèrement l'avant-bras, juste assez pour qu'un peu de sang coule. Pur pas qu'elle ne hurle, ma main est sur sa bouche. Puis j'enlève ma main et me met derrière sa tête, la fixant toujours.
##   Sam 2 Nov 2013 - 18:34
Anonymous
Invité

Lorsque je tentais vainement de m'expliquer, je sentis sa colère augmenter d'un cran. Je n'arrivais pas à comprendre cet homme sortit de nulle part qui m'attaquais en pensant je ne sais quoi. Il gronde :

- Te fiche pas de moi. Tu n'as pas encore peur c'est ça ?

J'écarquille les yeux en voyant la lame du couteau se glacer et m'agite lorsqu'elle se rapproche de mon cou. Je suis terrorisée. La panique me prend au cœur. Son regard est noir de haine et me transperce mieux qu'un couteau. Je tressaille en entendant à nouveau sa voix :

- tu veux vraiment mal finir ?

Il me libère de mes liens de glace et me plaque à la table avant de les reformer. Sa main qui enserrait mon cou quitte sa place et j'aspire une grande quantité d'air. Je tremble de peur. L'homme tourne autour de moi. J'ai pourtant dit la vérité. Je ne comprend pas pourquoi il est tant sur ses gardes. Qu'a bien pu faire mon père biologique pour mettre cet homme dans cet état. Qui est-il ? Où est-il ? D'après mon bourreau, je serais son portrait craché. Pourquoi ? Les questions me brouille la vue, à moins que ce ne soit des larmes. Oui, je pleure, j'ai peur, je suis humiliée. L'homme se fait menaçant :

- Vu que tu n'es pas très coopérative je vais te montrer que je ne rigole pas.

Il s'arrête à côté de moi et approche la lame de mon avant-bras, près de ma cicatrice. Je prend peur et me débat. La lame s'enfonce dans ma peau et trace un trait sanglant. La douleur est immédiate. La main de mon bourreau se plaque contre ma bouche, étouffant mon cri de peur et de douleur. C'est le choc de trop. Des étincelles parcourent mon corps alors que je mord la main de mon bourreau.

Je vous l'ai dit ! Je ne le connais pas ! J'ai été adoptée !! Laissez-moi !

J'éclate en sanglots alors que l'homme est électrocuté par mon pouvoir lâché. Je me débat. Ma peur est désormais sensible pour les personnes autours de moi.
##   Sam 2 Nov 2013 - 19:26
Anonymous
Invité

La bécasse me mord la main tout en étant électrique. Il faillait s'y attendre, un tonnerre hein ? Je ressens alors sa grande peur ainsi que sa douleur en plein visage. Tonnerre sensitif. Les sentiments ne me font rien et électricité non plus car... l'habitude ? Oui c'est ça, habitué... Je regarde ma main mordu presque à sang. Sa réponse est sans arrière pensé, elle me regarde avec un visage franc.

- Je te crois.

Je me demande pourquoi le scientifique a abandonné sa fille. Je vais en apprendre plus sur elle en interrogeant. Je lui passe de la glace, douce et bien froide sur sa plaie ouverte pour éviter qu'elle ne s'infecte. J'ai remarqué ses cicatrices, il va falloir qu'elle m'explique ça aussi. Je lui passe aussi un peu de glace en "poudre" douce et apaisante au coue.

- Raconte-moi tout, je te dirais après qui est ton père, même son nom et son prénom, je connais peut-être même celui de ta mère mais je ne suis pas sûr que ce soit elle.

La glace qui l'emprisonne se transforme en eau et je lui attrape le poignet pour pas qu'elle ne s'enfuit. Je lui demande de bien vouloir s'asseoir et pose mon plateau en face du sien. Je m'assoie calmement, laissant mon air menaçant et fait place à un visage juste sérieux. Un peu de diplomatie, j'ai un peu dépassé les bornes, j'ai en face de moi une jeune fille perdue.

- Ne t'en fais pas, ton enfer ne peut pas être pire que le mien, tu peux tout me dire. Dis-je en commençant par manger l'entrée. Ah mince...

Je "dégèle" les autres en transformant la glace en eau, comme d'habitude.

- Je te dirais tout ce que tu as à savoir concernant ton père biologique et après manger je t'emmène à l'infirmerie.

C'est ma façon à moi de dire " désolé ", emmener les autres à l'infirmerie. J'aurais pu lui faire oublié puis me barrer mais quelque chose chez cette fille me retenais de le faire.
##   Dim 3 Nov 2013 - 15:20
Anonymous
Invité

- Je te crois.

Le soulagement arrête d'un coup tous les pouvoirs que j'avais lancés. La vague de soulagement emporte une grande partie de ma peur mais malgré cela, je reste méfiante. Son attitude est franchement bizarre. Et j'ai mal au bras. Je vois le sang qui coule sur la table. L'homme passe alors de la glace sur ma blessure pour éviter que le sang ne coule trop et que ça s'infecte je suppose. Il passe aussi de la glace pilée dans mon cou. Je pense que je garderais des traces pendant quelques temps.

- Raconte-moi tout, je te dirais après qui est ton père, même son nom et son prénom, je connais peut-être même celui de ta mère mais je ne suis pas sûr que ce soit elle.

J'ouvre de grands yeux. Il connaît le nom de mon père, qui il est ! Et peut-être ma mère. Je suis perdue, tout ça va trop vite pour moi. Je vais me retrouver affublée d'un père et d'une mère inconnus. La glace à mes poignets et mes chevilles fond. L'homme me tire par la main pour me relever.

Il me demande de m'asseoir ce que je fais en vitesse. Je ne veux pas qu'il se mette à nouveau en colère. Il semble abandonner l'air menaçant, ce qui me convient parfaitement. Il se compose un visage sérieux et me regarde. Il doit voir que je suis perdue.

- Ne t'en fais pas, ton enfer ne peut pas être pire que le mien, tu peux tout me dire. Ah mince...

je le regarde dégeler les autres. Ils se remettent en mouvement comme si rien ne s'était passé. L'homme a commencé à manger son entrée. Mon ventre se rappelle à mon bon souvenir et j'attaque mon repas avec férocité.

- Je te dirais tout ce que tu as à savoir concernant ton père biologique et après manger je t'emmène à l'infirmerie.

Je hoche la tête. Eh. Attends. L'infirmerie ? NAN J'Y VAIS PAS. Ça va pas la tête ?! Je met plus les pieds dans une infirmerie. Voilà. Pour changer de sujet, j'avalais ma bouchée et commençais mon histoire.

En fait, je ne me souviens de rien avant mes 5 ans. J'étais l'unique fille d'une famille adorable. J'étais normale si on excepte une cicatrice au cou que j'ai depuis avant qu'on ne me recueille. Puis il y a eu un jour d'orage où nous revenions, mes parents adoptifs et moi, de mon cours de Tennis. La route était étroite et glissante. On a eu un accident. Je me suis réveillée et j'ai vu ma mère adoptive morte, la nuque brisée par le choc de sa tête dans la vitre de la voiture.

Je me rappelle tout les gestes, toutes les couleurs, comme si je le revivais. C'est affreux. Pourtant, lancée, je continue :

J'avais deux énormes bouts de verre dans les avant-bras. Ça saignait méchamment et moi, je les ai enlevé. C'était très douloureux. Je me suis extirpée de la voiture et j'ai essayé d'aider mon père adoptif qui était toujours en vie, mais coincé. Il m'a dit de l'abandonné. Qu'il n'avais plus beaucoup de temps à vivre. Et juste avant de mourir, il m'a révélé n'être que mon père adoptif. Je suis tombée évanouie et me suis réveillée dans un hôpital où j'ai appris à nouveau que mes parents adoptifs étaient morts. Voilà. Je laisserais le reste sous silence, tu sais tout ce que tu avais à savoir.

Je baisse la tête sur mon repas. Tout d'un coup je n'ai plus faim. Ma blessure me picote, mes cicatrices aux avant-bras aussi. Je n'ai qu'une envie, c'est d'aller me terrer sous ma couette et de m'endormir pour ne plus y penser et ne plus voir le visage de mes parents adoptifs. Mais il faut que je sache :

À ton tour. Que sais-tu de mes parents biologiques, cette fois..?
##   Dim 3 Nov 2013 - 18:14
Anonymous
Invité

Elle commence à me raconter son histoire, paressant de plus en plus détendue. Elle a des points communs avec moi, par exemple elle aussi elle ne se souvient pas du temps passé avec ses parents biologiques... au fur et à mesure de son récits devenant de plus en plus sombre, elle s'assombrie elle aussi. Elle ne me raconte pas la fin car elle ne veut pas tout déballer à un inconnu. Elle a raison. De plus, elle ne rentre pas dans les détailles comme le nom des lieux, couleurs de vêtements, gestes des individus, paroles rapporté à tout va... Elle est vague dans ce qu'elle dit mais aussi claire et précises dans ses propos.
Enfin, elle baisse la tête, l'air de ne plus avoir faim. J'en suis déjà à la fin de mon plat principal. Elle prend une voix déterminer à savoir la triste vérité.

- À ton tour. Que sais-tu de mes parents biologiques, cette fois..?

Je la fixe, finissant le plat avant de fouiller dans mes poches à la recherche d'un stylo. Toujours dans le silence, je le trouve dans une de mes grandes poches longues et pleines de bordels. Je note alors le nom de son père biologique sur une serviette de table : " Kagaku " puis le nom de celle que je pense être sa mère : " Shinsen Shawā ". Je lui tend puis elle regarde.

- " Kagaku " est le nom de famille de tout les scientifiques car " Kagaku " veut dire " science ". Cela veut dire que l'on est " marié " à la science sans possibilité de divorce vois-tu. L'autre noms de ton père est " Shawā ". Après, je ne sais pas si c'est ta mère car il a beau être marié avec cette Shinsen, il peut très ben l'avoir trompé et concevoir un enfant comme toi par exemple. C'est informations-là ne le dit à personne d'autre qu'à Hideko. Donc ton père est bien Risō, tu n'as aucun doute là-dessus mais Shinsen je ne peux pas te le dire.

Cette petite doit surement trouver ça bizarre que je connaisse tout ça. Une explication ? Oh oui, je ne lui ai pas encore dit clairement que son père est scientifique.

- Ton père est un scientifique. Je le sais car j'ai été retenu captif chez eux durant... presque toute ma vie. Tu as le droit de ne pas me croire mais je dis que la vérité. J'ai connu ton père car c'est lui qui m'a conduit dans cet endroit, il est... un grand scientifique ayant gravit des échelons très vite. Il est comme tout les autres et leurs pratiques barbare. Je vais te faire un petit "cadeau".

Je mes ma main sur son front et fait un "copier", " coller" de l'image de son père. Comme ça, elle a sa tête en elle. Puis je mangea mon dessert.

- Reste-là et panique pas. Je n'ai pas fini et mange. Je ne sais pas à quel point cela peut-être dur à assimiler, j'en ai aucune idée mais je connais la souffrance. Ton père est le dirigeant d'un groupe de vingt personnes et ce que je t'es filé comme souvenir date d'il y a pas mal de temps déjà, plusieurs années... si tu veux retrouver ton père et connaitre la vérité sache que je ne peut pas t'y amener. C'était un labo nomade donc il n'est plus à la même place que la dernière fois que je l'ai vu.

Je me lève et lui tend la main avant d'ajouter :

- Dernier détail, ton éventuel "mère", Shinsen n'est pas une scientifique vu qu'il y a son nom de famille d'origine sur les papiers. Je ne sais pas exactement où elle habite, je sais juste que c'est au Japon.

Je lui prend la main puis l'aide à se relever et on se tire de la cafétéria en laissant nos plateaux. Je vais dans mes couloirs avec elle.

- On va à l'infirmerie, je hais cet endroit je ne veux pas te voir plus longtemps ainsi. Je restais jusqu'à ce qu'elle est fini de te guérir.

Je ne lui laisse pas le choix malgré ses paroles et ouvre la porte de l'infirmerie. Je salua l'infirmière qui ne mâche pas ses mots en me voyant : " Encore vous ! " Je lui dit alors que c'est pour la jeune fille et que je l'ai sauvé car quelqu'un l'avais agressé. Elle me crue puis dans un soupire s'approche de la demoiselle en disant : " fait-moi voir ça... Tu dois être morte de trouille en croisant ce taré, ne fait pas attention à lui, il est froid et brute ! " Hein ? Mais je l'ai sauvé crétine !
##   Lun 4 Nov 2013 - 18:44
Anonymous
Invité

Il prend son temps pour me répondre, finissant son plat puis fouillant ses poches à la recherche de quelque chose. Je me raidis méfiante, espérant qu'il ne sortirait pas son couteau. Il finit par sortir un stylo et nota alors sur une serviette deux noms. Il fit glisser la serviette vers moi, expliquant :

- " Kagaku " est le nom de famille de tout les scientifiques car " Kagaku " veut dire " science ". Cela veut dire que l'on est " marié " à la science sans possibilité de divorce vois-tu. L'autre noms de ton père est " Shawā ". Après, je ne sais pas si c'est ta mère car il a beau être marié avec cette Shinsen, il peut très ben l'avoir trompé et concevoir un enfant comme toi par exemple. C'est informations-là ne le dit à personne d'autre qu'à Hideko. Donc ton père est bien Risō, tu n'as aucun doute là-dessus mais Shinsen je ne peux pas te le dire.

Mon vrai nom de famille serait donc Shawâ. Je me découvrais une nouvelle identité tout à coup. Mon père se nommerait Risô Shawâ, sa mère se nommerait Shinsen, à priori. Tout ça me faisait tourner la tête. Mais l'homme continua, impartial :

- Ton père est un scientifique. Je le sais car j'ai été retenu captif chez eux durant... presque toute ma vie. Tu as le droit de ne pas me croire mais je dis que la vérité. J'ai connu ton père car c'est lui qui m'a conduit dans cet endroit, il est... un grand scientifique ayant gravit des échelons très vite. Il est comme tout les autres et leurs pratiques barbare. Je vais te faire un petit "cadeau".

Je reçus l'information comme un coup de poing dans le ventre. Mon père était un scientifique. L'homme apposa sa main sur mon front et une image surgit. Celle d'un homme d'âge mur aux cheveux noirs attachés en catogan. Ses yeux d'un violet clair ressortaient dans son visage pâle. Il portait aussi un bouc noir. Vu comme ça, il était séduisant. Je devais avoir hérité de ma mère quant au reste de mon physique. L'homme dû voir mes yeux séclaircir à l'extrême alors que je paniquais, c'est pourquoi, terminant son dessert, il dit :

- Reste-là et panique pas. Je n'ai pas fini et mange. Je ne sais pas à quel point cela peut-être dur à assimiler, j'en ai aucune idée mais je connais la souffrance. Ton père est le dirigeant d'un groupe de vingt personnes et ce que je t'es filé comme souvenir date d'il y a pas mal de temps déjà, plusieurs années... si tu veux retrouver ton père et connaitre la vérité sache que je ne peut pas t'y amener. C'était un labo nomade donc il n'est plus à la même place que la dernière fois que je l'ai vu.

Le mince espoir que j'avais de pouvoir parler à mon géniteur s'envola aussi sec. Je picorais dans mon assiette, piochant un morceau par-ci par-là. La faim semblait avoir déserté. L'homme se leva et me tendis la main.

- Dernier détail, ton éventuel "mère", Shinsen n'est pas une scientifique vu qu'il y a son nom de famille d'origine sur les papiers. Je ne sais pas exactement où elle habite, je sais juste que c'est au Japon.

L'espoir revint illico presto. Il faudrait que je puisse sortir de Terrae pour partir à la recherche de ma mère. Mais avec simplement son nom et prénom, ça allait être galère. Quoique... Internet fait des miracles de nos jours. Il me prit le poignet et me leva, m'entraînant hors de la cafèt'. Alors qu'on marchait dans les couloirs, il lâcha :

- On va à l'infirmerie, je hais cet endroit je ne veux pas te voir plus longtemps ainsi. Je restais jusqu'à ce qu'elle est fini de te guérir.

Je pilais net mais trop tard, il m'entraîna bien malgré moi dans cet endroit puant et infect. L'infirmière en poste lâcha un "encore toi !" à l'encontre de l'homme qui m'avait attiré entre les griffes de cette sorcière maniant pansements et désinfectant. S'ensuit une discussion dans laquelle apparemment j'ai été agressée et que lui m'aurait sauvée. Mais oui, et la reine d'Angleterre c'est Jackie Chan ? Bref. La femme se mit au travail, examinant la coupure. Elle saignait encore. Et l'infirmière qui bavassait. J'en eus marre. Je me levais d'un coup et déguerpis loin de cet endroit néfaste pour mes nerfs. Pour simple justification, je lançais :

Je me soignerais toute seule, c'est pas profond ! Merci, au revoir !

Sur ce, je plantais là les deux autres ahuris et filais. L'homme pouvait bien me pourchasser je ne reviendrais pas ! Voilà !
##   Mer 6 Nov 2013 - 14:07
Anonymous
Invité

Avant-même que l'infirmière commence à l'examiner la jeune fille recule et s'enfuit en disant qu'elle se soignerait toute seule. Qu'elle plaie cette gamine... Je la poursuit dans le couloir puis la prend le poignet, serrant fort tout en la traînant de force jusqu'à la porte.

- Allez rentre abrutie ! Moi aussi je n'aime pas l'infirmerie !

Je ne sais pas trop comment m'y prendre pour la forcer à rentrer. Peut-être en lui racontant qu'il y a pire ? Hum... Je ne pense pas... après elle va s'évanouir... hum... bonne idée !

- Si tu ne viens pas par toi-même je t'assomme !

Je soupire, elle s'accroche tellement à la porte cette furie qu'elle va l'arracher. Je l'attrape alors par la taille, de dos et la met sur le lit en l’attachant les poignets et les chevilles. L'infirmière me tire par l'arrière car elle pense que je m'y prend comme un manche. Elle me pousse de la et commence à soigner la demoiselle. Les marques et la coupure disparaissent. Elle délivre la furie du lit en disant : " Vous voyez mademoiselle, ce n'est pas si terrible. " Puis retourne à ses affaires, m'évitant totalement. J'ouvre la porte pour qu'elle sorte enfin de l'infirmerie en soupirant une nouvelle fois.

- Tu peux y aller Miss. Dis-je en la voyant courir vers la sorti en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Oh et pour la recherche de ton père, fait bien attention, tu es surement pour lui qu'un vulgaire morceau de viande avec des pouvoirs alors capture-le avant de faire quoi que se soit et n'y va pas seul.

Je ferme la porte et marche dans les couloirs, en direction des chambres individuels pour fille. J'espère qu'Olivia n'a pas vu mon absence, même si les filles mettent du temps dans la salle de bain elle pourrait être sortie par miracle en à peine un heure.
##   Ven 8 Nov 2013 - 18:09
Anonymous
Invité

J'ai foncé dans le couloir et continuais tête baissée. Des bruits de pas retentirent derrière moi. Je ne me retournais pas et accélérais. Les pas se rapprochaient. On me poursuivait, on voulait me ramener dans cet endroit de malheur, ce... ce... ce... Et aaah ça se rapproche, c'est plus près, je peux sentir son souffle sur mon cou, il va m'avoir aaaah !!

L'homme louche de tout à l'heure referme sa main sur mon poignet et commence à me traîner vers l'infirmerie. Il commença par me donner l'ordre d'y re rentrer, en me traitant d'abrutie au passage, puis enchaîna en disant qu'il n'aimait pas l'infirmerie. Malgré ça je ne voulais pas y aller. Il me menace de m'assommer, rien n'y fait. Je m'accroche à l'encadrement de la porte en hurlant :

NAAAAAAAAAAAAN !!!

Le pauvre homme doit en avoir eu marre car il me prend par la taille de dos et me plaque de force sur le lit. Je me débat comme une furie et tente même d'électrocuter mon bourreau. Au final je me retrouve attachée au lit et l'infirmière s'approche de moi. Au final elle me soigne et il ne me reste plus qu'une fine cicatrice. Au final, je suis libérée et je part en courant vers la sortie sans attendre de voir ce que l'infirmière va me dire j'entends simplement un "pas de mouvement brusque dans les jours à venir ou ça peut se rouvrir !". L'homme m'a ouvert la porte et lorsque je passe en trombe, je l'entends me dire :

- Tu peux y aller Miss. Oh et pour la recherche de ton père, fait bien attention, tu es surement pour lui qu'un vulgaire morceau de viande avec des pouvoirs alors capture-le avant de faire quoi que se soit et n'y va pas seul.

Génial j'ai un père qui ne me prendra jamais en compte. Comment sera ma mère..? Je dois d'abord chercher où elle se trouve, et si je pourrais la revoir. Riso et Shinsen. De beaux noms, aux consonances japonaises. D'ailleurs, je ne connais pas le nom de l'homme qui m'a apprit tout ça. Tant pis, je veux m'éloigner le plus rapidement possible de cette infirmerie. C'est pour ça que je comptais me réfugier dans un coin de ma chambre, seule. J'ai besoin de réfléchir à tout ça.
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Toi, tu me rappel quelqu'un... ( Kana, attention à toi ! )

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