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Temps pis qu'elle soit pas là une autre viendra !
##   Jeu 2 Jan 2014 - 18:49
Anonymous
Invité

Léon s'était tendu à l'évocation du Master et sur le coup, je m'en voulu un peu. Puis il s'était détendu à nouveau et avait cueillie une magnifique fleur bleue. La sentant, il se rapprocha de moi. Je sentis mes joues s'embraser. sa voix vibra dans l'air :

Les ténèbres règnent en nos cœur,
Douleur et suspicion font surface,
Larmes et tristesses sont rancœur,
Les souvenirs restent de glace,

Lumière ou obscurité éclatera,
Soulagement ou peine restera,
Les nuages bientôt se disperseront,
La vérité bientôt nous saurons.  


Il piqua la fleur dans mes cheveux d'un geste doux. Puis ses mains m'entourèrent et il m'entraîna dans une valse au clair de lune. Contre lui, je n'avais plus froid du tout. Je me sentais rassurée. La musique et le contact avec mon ami m'apaisaient. Il dit alors près de mon oreille :

Si c'est là ce que tu souhaites, je t'y accompagnerais volontiers tant que je ne suis pas une gêne pour toi. Et puis je pourrais voir qu'elle est la belle femme qui c'est occupée de la fille que tu es.

Je sourit à ses paroles. Puis mon sourire disparut et je dis d'un ton froid et sec :

Elle ne s'est pas occupée de moi. Elle m'a abandonnée.

Me rendant compte de mon ton, je me mis à trembler légèrement. Je ne tardais pas à m'excuser fébrilement :

Pardon, je ne voulais pas prendre ce ton. Tu n'y es pour rien...

Tandis que je prononçais ces mots un coup de tonnerre éclata et une trombe d'eau s'abattit sur nous d'un seul coup, me trempant jusqu'aux os en un rien de temps. Ma coiffure se défit et la fleur tomba de mes longs cheveux à présent dégoulinants. Je pris Léon par la main et l'entraînais à l'intérieur. Ma robe me collait au corps et mes cheveux pesaient une tonne. Décidément, ce Noël était un désastre.
##   Ven 3 Jan 2014 - 11:40
Anonymous
Invité

Elle semblait s'apaiser durant cette petite danse nocturne au clair de lune. La faisant tourner de temps en temps tout en enchainant les pas de danse. La voir sourire était tout ce qui comptait en cette belle soirée. Sauf que la demoiselle avait petit à petit perdue son sourire pour prendre un air grave et en me répondant de façon sec. J'avais tenu des propos sur un sujet que je ne connaissais pas du tout, ce fut une erreur de ma part que je marquais en baissant un peu la tête tendis que la musique s'arrêtait encore une fois cette fois sans changer, juste en laissant un silence planer et alors que Kana s'excusait, la foudre frappa et la pluie tomba tendis qu'elle m'emmenait à l'intérieur.

-Nan tu n'y est pour rien j'aurais du retenir mes mots mais voila qu'ils sont sortis de ma bouche. Si tu veux demain on peut aller voir la directrice pour lui parler de tous ça, mais en attendant nous sommes trempé de la tête aux pieds et nous avons même pas d'affaire de rechange, je crois bien que cela sonne la fin de la soirée surtout que l'orchestre n'a pas l'air de recommencer à jouer. Et puis je ne peux pas te laisser au milieu de la foule alors que tes habits peuvent menacer ed tomber à tout moment.

Nous étions dans le couloir qui reliait le balcon à la salle et d'ici, si il y avait du son on l'aurait largement entendu mais rien de tout cela arriva. J'enlevais tout de même mon gilet pour le passer autour de ses épaules histoire de rajouter une couche de tissu même si cela ne serait pas trop efficace, c'était toujours mieux que rien. Passant derrière elle, je pris ses cheveux et les essorés sans lui faire de mal et je resserrais aussi le noeud de sa robe sans dire un seul mot.
##   Ven 3 Jan 2014 - 12:01
Anonymous
Invité

La pluie m'avait glacée jusqu'à la moelle et je commençais à geler sur place. J'étais embarrassée par le ton coupant que j'avais employé juste avant. Pourtant, Léon passa outre :

Nan tu n'y est pour rien j'aurais du retenir mes mots mais voila qu'ils sont sortis de ma bouche. Si tu veux demain on peut aller voir la directrice pour lui parler de tous ça, mais en attendant nous sommes trempé de la tête aux pieds et nous avons même pas d'affaire de rechange, je crois bien que cela sonne la fin de la soirée surtout que l'orchestre n'a pas l'air de recommencer à jouer. Et puis je ne peux pas te laisser au milieu de la foule alors que tes habits peuvent menacer de tomber à tout moment.

Je rougis violemment. Effectivement, je sentais les rubans de soie dans mon dos se défaire à cause de la pluie. Dans le silence, Léon défit sa veste et me la mit sur les épaules avant de resserrer le nœud dans mon dos sans rien dire. J'étais sûrement rouge car mes joues s'enflammaient à chaque fois qu'il touchait mon dos. Stupide habitude que de rougir pour un rien. Lorsqu'il eut fini, je tremblais pourtant de froid, ma robe glacée et imbibée d'eau me collant à la peau. Je devais avoir l'air d'un épouvantail.

Merci Léon... Je voulais vraiment pas te parler comme ça, ce n'est pas mon habitude. Mais tu sais, ma mère m'a abandonnée quand j'étais bébé et a préféré me donner à d'autres personnes. Et maintenant que celles-ci sont mortes, je n'ai plus vraiment de famille.

Je baissais la tête l'air triste, prenant un petit moment pour ramener mes parents adoptifs à ma mémoire. Leurs visages semblaient estompés mais avec un effort, je me souvenais des moindres détails, de leur sourire, leurs yeux pétillants et l'amour qui filtrait dans leurs traits. Les larmes me montèrent aux yeux mais je les refoulais. Je m'efforçais de sourire et relevais la tête.

Mais je suis trempée et toi aussi ! Et si on allait se changer ? Après je t'offre un thé ou un truc chaud à boire dans ma chambre ! Dis-je avec un entrain forcé.

Je ne voulais pas me retrouver seule car j'étais sûre de fondre en larmes et je m'étais promis de ne plus pleurer pour mes parents adoptifs. Les morts ne reviennent pas, même si on les pleure jusqu'à notre dernière larme, même si on voudrait échanger leur vies contre la notre. C'est impossibles. Alors il faut vivre et avancer en souriant. Pour eux.
##   Ven 3 Jan 2014 - 12:30
Anonymous
Invité

Alors que je me contentais de m'occuper de l'habillage de la  demoiselle qui était devenue rouge comme une tomate alors que sa peau était froide comme un glaçon. Je l'écoutais pendant ce temps là encore s'excuser alors que ça ne m'avait rien fait qu'elle parle comme ça. C'était silencieux que je l'écoutais, seul ma respiration pouvait s'entendre mais rien d'autre. Quand elle eu fini, je pus lire la tristesse sur son visage, je remarquais a la suite de ça une sorte de coupure assez grande sur son bras, le prenant pour l'examiner de plus près j'acquiesçais aussi à sa demande :

Euh bas oui si tu veux, il faudra juste que j'aille chercher des affaires dans ma chambre par contre hein je prendrais une douche dans la tienne, j'ai pas envie de me changer sans m'être laver et je ne veux point te laisser seul dans ta chambre avec toute ces pensés qui circulent dans ta tête, mais en attendant, c'est quoi encore cette marque sur ton bras ? Bon j'ai un petit soupçon par rapport à celui qui à fait ça mais bon pas de mensonge.

Tout en lui ayant demandé ça, je la pris alors par la main et nous nous dirigions vers les dortoirs lentement, attendant sa réponse plus que certaine, je me disais qu'il fallait qu'Hideko soit vraiment au courant qu'une personne assez dangereuse se balade dans les couloirs. Peut être était-il de mèche avec cette Aelita et qu'il l'aiderait à tuer tout le monde puisqu'il avait torturé une élève. Il l'avait emmené à l'infirmerie mais c'était peut être pour instaurer petit à petit une peur, nous étions devant les dortoirs quand je me tournais face à elle plantant mes yeux dans les siens attendant sa réponse.  
##   Ven 3 Jan 2014 - 20:48
Anonymous
Invité

Léon finit de relacer ma robe et sembla remarquer quelque chose. Il prit mon bras dont une longue bande blanche glissa. Il prit la parole :

Euh bas oui si tu veux, il faudra juste que j'aille chercher des affaires dans ma chambre par contre hein je prendrais une douche dans la tienne, j'ai pas envie de me changer sans m'être laver et je ne veux point te laisser seul dans ta chambre avec toute ces pensés qui circulent dans ta tête, mais en attendant, c'est quoi encore cette marque sur ton bras ? Bon j'ai un petit soupçon par rapport à celui qui à fait ça mais bon pas de mensonge.

Je sursautais, prise sur le fait. Aïe, que dire..? Sans me laisser le temps de répondre, Léon me prit par la main et m'entraîna vers les chambres. Je me demandais quoi répondre. Je voulais couvrir le Master car après tout, il avait bien voulu révéler des choses. Je ne pouvais pas lui prendre ces informations et le poignarder par derrière. J'en avais déjà trop dit. Je convins alors de mentir. Nous arrivâmes devant ma chambre. Léon se tourna alors vers moi et planta ses yeux dans les miens. Je me lançais alors :

Eh bien, figure-toi que je coupais une courge assez dure, et comme une idiote, le couteau a glissé et je me suis coupée ! C'est stupide hein ?

J'avais dit ça avec aplomb en le regardant dans les yeux. Ça aurait tout aussi bien pu m'arriver, et je le savais. Mon mensonge était donc presque indétectable. Je me détournais alors et ouvrais la porte de ma chambre. J'embrayais :

Je suis gelée ! Dis, comme tu as des affaires à aller chercher, je peux commencer à me doucher..? Sinon, je vais finir en glaçon !

Je ris et souris à mon ami, espérant lui avoir ôté le Master de la tête.
##   Dim 5 Jan 2014 - 12:07
Anonymous
Invité

Quand je lui avais posé ma question, au début j'avais pu ressentir une sorte de gêne et surtout un mini sursaut que plein de monde aurait put apercevoir. Bien évidemment le long du chemin elle n'avait pas dit un seul mot, cherchant surement quoi me répondre. Ce n'était qu'une fois devant les dortoirs, qu'une fois que je l'avais regardé dans les yeux qu'elle avait enfin décidé de me répondre. Elle affirmé sa réponse ce qui était tout a fait normal, par contre se trahir soit même était moins top, car normalement elle aurait été complétement gênée si ça avait vraiment était ça. Et puis franchement la thèse e la courge pour s'entailler comme ça je n'y croyais pas trop, je n'étais pas cette être crédule comme avant. Enfin bon vivement que l'on voit Hideko, en attendant je répondais à sa deuxième question :

-ah bien évidement que tu peux te doucher, faut pas que tu tombes malade ni rien, par contre je prend la clef pour pouvoir rentrer dans ta chambre quand je reviens sinon je risque de me retrouver enfermé dehors sans pouvoir faire quoi que ce soit.

Je pris alors sa clef en souriant tendis que je lui ouvrais et que je la laissais rentrer dans sa chambre puis je refermais sa porte derrière elle pour aller dans ma chambre en trottinant car mine de rien moi aussi je me gelais de haut en bas, le temps de rentrer dans ma chambre je pris moi aussi une douche rapide juste pour me réchauffer et une fois cela fait je me changeais en prenant un survêtement ( oui c'est rare et c''est pour dormir ) et un t-shirt plutôt banal car ce costume m'avait assez serré et en plus je n'aimais pas trop ce genre de vêtement. Finalement séché et habillé je repartais alors jusqu'à la chambre de Kana en ayant fermé la mienne puis j'ouvrais sa porte et la refermais à clef derrière moi histoire d'éviter les intrusions.

-Ne t'en fais pas, ou que tu sois dans ta chambre ce n'est que moi et personne d'autre.
##   Dim 5 Jan 2014 - 12:42
Anonymous
Invité

Je sentais que Léon avait du mal à croire mon histoire, mais j'étais sûre de le convaincre, car j'avais un petit alibi ! Je déteste mentir, mais là, c'est un cas de force majeure ! Je me concentrais sur Léon qui s'adressait à moi :

ah bien évidement que tu peux te doucher, faut pas que tu tombes malade ni rien, par contre je prend la clef pour pouvoir rentrer dans ta chambre quand je reviens sinon je risque de me retrouver enfermé dehors sans pouvoir faire quoi que ce soit.

Sur ce, il me chipa la clé de ma chambre et me fit entrer avant de refermer la porte. Je soupirais un sourire aux lèvres et partit me doucher, frissonnante. Une bonne douche chaude... Enfin... Je regardais l'heure, par réflexe. 20h30. Et nous n'avions pas mangé. Je ressortis de la salle de bain et mit à chauffer le gratin de courge que j'avais au frigo. Ceci fait et tandis qu'il cuisait, je me ruais enfin à le douche.
J'éteignais le jet, dix minutes plus tard, lorsque j'entendis quelqu'un rentrer dans ma chambre. La voix de Léon retentit, me rassurant immédiatement. Je criais presque :

J'ai bientôt finit ! mets-toi à l'aise !

Je séchais rapidement mes cheveux à la serviette et m'habillais avec un short court noir et un long t-shirt rouge foncé. Je sortis alors comme un diable de la salle de bain et passais devant Léon, les cheveux emmêlés et humides, et allais vérifier le gratin. Il était temps, car le dessus commençait à roussir ! Je le sortis doucement du four et le posais sur un dessous de plat. Tout en mettant la table pour deux, j'appelais Léon :

Léon ! J'ai fait réchauffer un gratin que j'avais fait hier ! Tu dois avoir faim !

Une douce odeur de courge montait dans l'appartement tandis que je servais de petites parts de gratin.
##   Dim 5 Jan 2014 - 15:21
Anonymous
Invité

De la sale de bain je l'entendais qui me criais presque de me mettre à l'aise, c'est ce que je fis en m'allongeant sur le lit sur le dos admirant le plafond fermant les yeux un petit moment pour m'égarer dans mes pensés ne voulant qu'une chose, la paix que ce soit dans ma tête ou ans le monde. Mais bon c'était pas avec des gens comme Aelita ou encore ce master et sans oublier Michigan que l'on pourrait y arriver un jour, quel choix restait il ? La bombe atomique pour éradiquer la quasi-totalité de l'espèce humaine. Bien évidement tout ceux qui auront le plus grand des cœurs seront sauvé et-- Stop les divagations.

Ouvrant lentement les yeux, je me redressais pour me sortir de ces pensés assez étranges qui m'avaient d'ailleurs fait rire quand j'avais entendu la porte de la salle de bain s'ouvrir et que Kana passait devant moi court vêtue. Je détournais les yeux en rougissant tendis qu'une bonne odeur faisait surface dans toute la pièce, ça sentait la courge * miam *. Je me mis à table en me levant presque d'un bond car après tout j'avais faim moi à force d'avoir fait que de bouger. C'était silencieusement que je dégusté la part qu'elle m'avait servie dans mon assiette et une fois celle-ci fini je parlais alors :


-Ce fut très bon et en plus il est 21h du soir. ça va on est assez dans les temps pour dire que l'on a mangé à une heure convenable. Bon pour ce qui est de demain, il faudra que l'on aille voir la directrice pour lui parler de ta mère et de ton père,posant ma main sur la sienne pour la rassurer,et ne t'en fais pas, il ne t'arrivera rien de grave, elle te fera  rien elle posera sûrement des questions sur ton père mais c'est tout.
##   Dim 5 Jan 2014 - 19:30
Anonymous
Invité

Léon s'est installé à table sans rien dire et nous avons mangé en silence. Mon gratin était plutôt bon, mais j'avais abusé de la coriandre et il était trop parfumé. Dommage. Ça ne sembla pourtant pas déranger Léon qui mangea, que dis-je, dévora son assiette. Je le regardais faire, un sourire bienveillant aux lèvres sans trop manger. C'est à peine si je picorais dans mon plat. Lorsque Léon eut terminé son assiette il prit alors la parole :

Ce fut très bon et en plus il est 21h du soir. ça va on est assez dans les temps pour dire que l'on a mangé à une heure convenable. Bon pour ce qui est de demain, il faudra que l'on aille voir la directrice pour lui parler de ta mère et de ton père, -il posa sa main sur la mienne -,et ne t'en fais pas, il ne t'arrivera rien de grave, elle te fera  rien elle posera sûrement des questions sur ton père mais c'est tout.

Je hochais la tête, la gorge à nouveau nouée. Je n'avais plus faim. Je me levais donc, en essayant de maîtriser les tremblements de ma voix, je demandais :

Tu veux peut-être un dessert ? Je suis désolée je n'ai pas grand chose.

Je lui fais un pauvre sourire tout en me mettant à débarrasser la table. Je remis ma part de gratin dans le plat que je couvrait d'un film plastique avant de le mettre au réfrigérateur. Je vérifiais par la même occasion ce que j'avais à offrir :

J'ai des yaourts nature, une compote... Et des clémentines ! Dis-moi ce qui te fait envie !

En attendant sa réponse, je posais les assiettes dans l'évier et passais un coup d'éponge dessus, distraite. On me dit souvent que je suis maladroite, et ce qui devait arriver arriva. Je laissais tomber un verre qui se brisa sur le carrelage avec un bruit cristallin. Après un instant de surprise, je m'agenouillais près des morceaux et commençais à les ramasser.

Je suis confuse, je ne faisais pas attention à ce que je faisais, pardon. Je vais ranger, ne t'embête pas !

Je m'entaillais la paume et un bout de doigt mais n'y prêtais pas attention et finit de ramasser les plus gros bouts que je jetais puis pris le balais pour rassembler les morceaux plus petits.
##   Mar 7 Jan 2014 - 16:36
Anonymous
Invité

Elle acquiesçait à mes paroles sans rien dire, juste avec un hochement de tête, lui lâchant ensuite la main elle me proposait tout un tas de dessert assez varié d'ailleurs mais vu que j'avais déjà mangé pendant le buffet je ne voulais rien d'autre. J'allais alors lui répondre mais elle se mit à débarrasser la table sans que j'eus le temps de l'aider à faire quoi que ce soit. Entendant un verre se briser, je m’étais précipité vers elle alors qu'elle c'était excusé tout en ayant tout ramassé. Neamoins j'avais tout de même pris des papiers pour les lui enrouler autour de sa blessure.

-Alors en ce qui concerne les desserts non merci je n'en veux point car je suis repus tout ce qu'il faut maintenant c'est une bonne nuit de sommeil. Ensuite pour ce qu'il vient de ce passer ce n'est pas grave ça peut arriver à tout le monde donc t'excuse pas pour une telle broutille et va plutôt te soigner je t’attend bah...sur le lit vu que tu ne veux pas rester seul cette nuit.

Pour lui prouver que tout allait bien, je lui avais donné un bisous sur la joue puis j'étais retourné sur son lit en m’étalant paisiblement et soupirant de satisfaction car j'étais repus pour une fois car oui seul dans ma chambre je mangeais souvent des gâteaux ou des bonbons par flemme de faire à manger que pour moi très certainement. Au bout de quelques minutes je la vis enfin revenir dans la pièce et me redressant je lui adressais alors la parole en souriant :

-C'est bon tu as soigné tes coupures ? Et si tu veux je peux dormir sur euh...le sol ou un fauteuil pour pas te déranger ou te gêner.
##   Ven 10 Jan 2014 - 15:22
Anonymous
Invité

Léon enroula des serviettes autours de mes coupures. J'étais bien trop distraite, il me fallait me ressaisir. Cependant, mon ami répondait à mes questions.

Alors en ce qui concerne les desserts non merci je n'en veux point car je suis repus tout ce qu'il faut maintenant c'est une bonne nuit de sommeil. Ensuite pour ce qu'il vient de ce passer ce n'est pas grave ça peut arriver à tout le monde donc t'excuse pas pour une telle broutille et va plutôt te soigner je t’attend bah...sur le lit vu que tu ne veux pas rester seul cette nuit.

Je rosit. Comment avait-il deviné que je ne voulais pas rester seule cette nuit..? Ça, mystère. Je me levais après avoir terminé de nettoyer et partis pour la salle de bain. Je laissais l'eau nettoyer les coupures. Celle-ci commençaient à me faire mal mais ce n'était rien de grave. J'eus tôt fait de mettre des pansements et je passais discrètement la tête pour voir où en était Léon. Il était toujours là, à m'attendre, allongé sur le lit. Je lui étais tellement reconnaissante pour tout ce qu'il avait fait pour moi. Et je ne savais pas comment le remercier.

Je me souvins alors des paroles d'Hideko par rapport aux cristaux. Je fermais alors à nouveau la porte et ouvrit le robinet pour faire du bruit. Ceci fait, je me concentrais puissamment sur mon pouvoir. Une fois retrouvé la chaleur familière du pouvoir, je le couplais à ma reconnaissance pour Léon et pensais fort à lui. Une lumière perça à travers mes paupières. Lorsque celle-ci s'éteignit, j'ouvrais les yeux. Sur ma paume reposait une petite plume de cristal. Elle était lisse et de couleur jaune-dorée. Je souris. J'avais réussit. La fatigue me prit d'un coup et je me rinçais le visage pour la repousser. Une fois séchée, je sortis de la salle de bain. Léon m'accueillit avec un sourire. Mes doigts se serrèrent sur la petite plume de pierre.

C'est bon tu as soigné tes coupures ? Et si tu veux je peux dormir sur euh...le sol ou un fauteuil pour pas te déranger ou te gêner.

Je hochais la tête et répondis :

Alors non, je ne vais pas te laisser dormir comme ça ! J'ai un futon dans la commode. Je vais le sortir et te le préparer. En attendant...

Je m'approchais de Léon et ouvris mes mains en creux révélant le cristal.

C'est pour toi. Je l'ai créé dans la salle de bain. C'est pour te remercier de tout ce que tu fais pour moi. Et interdiction de dire quoique ce soit !

Je lui fis un sourire et posais la plume dans sa paume avant de refermer ses doigts dessus. Ceci fait, je lui tournais le dos et installais le futon en quelques gestes rapides. Il serait plus à l'aise ainsi. Après m'être brossé les dents et peigné les cheveux, je me couchais dans mon lit et regardais Léon se coucher dans le futon. Avant d'éteindre la lumière, je soufflais tout bas :

Bonne nuit, Léon.

La lumière s'éteint et le noir prit place. Juste avant de sombrer dans le sommeil, j'eus un pincement au cœur. La journée du lendemain allait être stressante.
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