| ## Mer 13 Aoû 2014 - 17:43 | ||
 Invité | Quand tout ne se passe pas comme prévu... Cette base... C'était celle où j'étais prisonnier comme un chien dans une fourrière il y a plus de deux ans... Quel nostalgie, la mélancolie m'enivre de mes plus mauvais souvenirs... Malheureusement elle n'est pas comme avant. On dirait une vieille base abandonné d'il y a au moins trente ans. Que s'est-il dont passé ? Peut-être parce que j'ai trop tué et détruit... Et pourtant une camionnette blanche sans plaque d’immatriculation est garé juste ici devant-nous. Il n'y a pas de caméras de surveillance ? Ah si... Mais depuis le temps que l'on reste bloqué devant la porte il nous aurait chassés les fourbes. On se regarde mutuellement puis je soupire et place ma main sur la poignée de la porte. - Kei, tu ne brailles pas sinon je te coupe les cordes vocales. Ceci étant dit, on passe la porte et je regarde de tout côté. Ce n'est pas totalement abandonné mais pas non plus une grande base avec plein de scientifiques. Il n'y a même personne à l’accueil tellement l'endroit paraît désert. Tien, un dessin sur le bureau de la vue de l'extérieur.
Bon... Cela ne nous apporte rien, on voit clairement que la personne à reproduit "Le Gama" de façon plutôt misérable. Je jette le papier puis avance accompagné de mes deux boulets heu... Non, collègues. Pfft'... Piètre collègues. Même pas capable de tuer un scientifique... Mais bon, ça fait un peu de compagnie et Hideko est contente. Au final tout le monde est content. - Pour éviter de se faire repérer on va se séparer, - Fais-je en chuchotant- ça sent l'odeur insupportable d'un mélange de javel et de cadavre ici. C'est frais... Olivia et Kei, resté ensemble car Kei n'est pas suffisamment fort tout seul. -Je regarde son corps de môme puis reporte mon regarde sur Olivia- Je compte sur vous pour ne pas vous faire chopper. Olivia, je te le confis donc, on doit se séparer pour couvrir du terrain, je sais que tu feras les choses bien et si jamais vous avez un soucis je vous donne ce micro. Je pars dans la direction opposé à la leur. - Faites attention à vous... Lâchais-je alors au deux enfants. Je suis plutôt de mauvaise humeur à cause de ce qu'il s'est passé mais j'ai la clé sur moi, la clé orné d'un beau bleu, une pierre précieuse, un cristal qui provient d'un eau. Je le porte autour du coup par une ficelle noir caché sous mes vêtements. Tu les aura toutes eu Light, sauf celui-là. ~ Je suis votre guide durant le petit temps où Shiroi ne sera pas avec vous. Ayant prévu des choses pour vous pour que vous ne vous ennuyez pas et surtout parce que j'aime vous gâtez, je vais vous montrer pleins de choses de cette bases où vous êtes libre de faire ce qu'il vous plaira avec. Je fais alors juste la décoration car j'ai trouvé de superbe images ( enfin Néro parce que c'est un boss qui m'a trouvé aussi les codes ) et que j'aimerais beaucoup vous partager l'ambiance du laboratoire "Le Gama" ! Vous voilà à présent seul dans ce grand labo, voici les salles où vous irez fouiller pour détruire les appareils pour ainsi priver les scientifiques d'expériences ! Voilà où vous irez, dans l'ordre ! : La salle de surveillance ! :
Vous y trouverez... :
A vous de voir comment l'utiliser, elle contient ceci : ( moins de 18 ans oust ! Sauf les participantes de l'event ;D )
Libre à vous si elle contient autre chose. Pour les couloirs c'est l'image de font de ce topic. Voilà, c'est tout pour le moment, je ne précise rien d'autre, je vous laisse gérer ! [/i]~ | |
| ## Dim 24 Aoû 2014 - 13:54 | ||
 Olivia Rosenberg  Messages : 639 Date d'inscription : 31/01/2012 Age : 26 Emploi/loisirs : Chanter, utiliser mes pouvoirs, me retrouver dans des situation improbables et juste vivre avec le sourire ! | Nous y voilà. A peu prêt un an après ma mission en Afrique, je remettais les pieds en dehors du paradis qu'était Terrae, un paradis qui risquait d'être envahie par des démons de l'enfer si tout le monde ne se mobilisait pas. En 2 ans que j'étais ici je crois qu'il n'était jamais arrivé un événement qui ai motivé autant de monde, je ne connaissais l'histoire que dans ses grandes lignes mais je savais que Terrae courrait un grand danger, qu'il fallait faire quelque chose. Presque tous les élèves et masters de Terrae avaient répondu présents et chacun avait pris en charge une mission, avaient formé des équipes d'un master et de deux élèves et étaient partis aussitôt. Bien sûr il était pas question que je parte sans mon Shishi-sensei et je l'avais embêté pendant des heures pour qu'on parte rapidement en mission, pour Terrae. Le troisieme membre c'était un élève Feu plutôt petit et au caractère peu commun nommé Kei, mais il n'avait pas l'air méchant pour autant. J'étais très excité, les sorties de Terrae étaient tellement rares et si en plus c'était pour protéger notre institut même tout l'or du monde ne m'aurait obligé a ignorer une mission comme celle ci. J'étais tellement contente de partir de nouveau en mission que je n'avais pas arrêté de sautiller sur place pendant tout le trajet. J'avais des étoiles dans les yeux a l'idée de sortir de l'institut, surtout que nous allions sûrement découvrir un autre pays avec des paysages inconnu. Seulement j'avais oublié ce que signifiait le mot mission … Il me fut rappelé dès que l'on se retrouva devant ce grand portail, vieux et délabré. Le paysage alentour n'était pas vraiment digne d'un lieu de vacances et il y avait surtout ce portail où on pouvait lire les inscriptions « Le Gama » … Qui donnait n'importe quelle envie sauf celle d'y entrer. J'en avais des frissons. Je tourna la tête et vis Kei a l'écart du groupe, tout tremblotant. Le pauvre … Il avait encore plus peur que moi … Je ne savais pas, mais alors pas du tout quelle était son histoire mais … J'avais l'impression qu'elle était très reliée aux scientifiques … Peut être qu'on lui a fait du mal comme Shiroi ? C'était possible … Je lui dis un grand sourire puis je me m'approcha petit a petit pour marcher finalement a coté de lui. Je ne dis rien … Bon tout de façon il n'y avait rien a dire, et me connaissant moi … je préférais éviter de dire une bêtise a cet instant. Mon sensei s'arrêta soudain devant le portail. Qu'est ce qu'il se passait hein ? Il y avait un problème ? - Pour éviter de se faire repérer on va se séparer, ça sent l'odeur insupportable d'un mélange de javel et de cadavre ici. C'est frais... Je compte sur vous pour ne pas vous faire chopper. Olivia, je te le confis donc, on doit se séparer pour couvrir du terrain, je sais que tu feras les choses bien et si jamais vous avez un soucis je vous donne ce micro. Hum un cadavre … Ça commence bien dis donc*ironie* Un frisson m'envahis soudain. Les cadavres c'était le domaine de Shiroi mais moi … J'espérais juste qu'on allait pas en croiser un … Olala ça ne me rassurait pas du tout ça. Une chose me fit presque sortir de la tête ces idées de cadavres frais, c'était cette façon que Shiroi avait eu … De me nommer responsable de notre groupe avec Kei. Je voulais dire on avait a peut prêt le même âge, ou sinon je n'étais pas bien plus grande que lui. Puis j'ai été surprise par sa dernière phrase, il me faisait confiance bien sûr … Mais ma plus grande peur c'était de trahir cette confiance, de faire une erreur. J'aurais aimé qu'il soit avec nous … Parce que oui j'avais beau être de niveau étoile … Avancer dans un endroit extrêmement dangereux et sans ça protection me donnait les chocottes … C'est vrai qu'il y avait Kei avec moi, et aussi le micro … Oui on fera avec, de toute façon on avait pas le choix. J'hocha la tête aux paroles de mon sensei. Il nous dis : - Faites attention à vous... Puis il parti dans la direction opposée. Sans réfléchir, j'avançais dans la salle qui se présentait devant nous, ne faisant pas trop attention, c'est vrai, a Kei, a savoir si il me suivait où pas. Cette salle elle était remplis d'ordinateurs, de dossiers, d'unités centrales, de rangements, enfin tout ce qui peux contenir des informations utiles aux scientifiques. On devait examiner tout ça de font en comble et le détruire, une bonne fois pour toute. Sans compter ce fameux objet … C'était une lettre que l'on devait trouver, mais on ne savais pas ce qu'il y avait dedans … Bizarre ça, je fais confiance a Shiroi, seulement je me demande bien pourquoi on ne nous a pas dit ce qu'il y avait dans cette lettre et pourquoi elle était si importante ? De toute façon, on n'avais pas le temps de se poser la question maintenant. Seul petit problème : en Afrique ce n'était pas du tout moi qui dirigeais les opération, j'espère que Kei serait un peu plus quoi faire que moi. Il fallat bien commencer par quelque chose en tout cas. Je me tournais justement vers lui pour lui demander : - Bon … On commence par où ?  ![[Event] Quand tout ne se passe pas comme prévu ... ( Olivia + Kei ! ) 448347Olisignat2015](https://2img.net/r/hpimg15/pics/448347Olisignat2015.png) ~ Si on cesse de rêver, on meurt ~
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| ## Sam 13 Sep 2014 - 11:21 | ||
 Kei  Messages : 1227 Date d'inscription : 06/07/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Rien que du vide. Humeur : A peu près la même que toi le matin quand tu te réveille, sauf que moi, c’est un état permanent. | Bordel de merde, dans quoi je me suis engagé, putain. C'EST PAS POSSIBLE D'ETRE AUSSI CON SI ?!!! ET L'INSTINCT DE SURVIE, JE SUIS SENSE EN AVOIR BEAUCOUP ? J'ai une putain d'envie de me prendre la tête et de me la frapper contre le goudron dégueulasse qui couvre les trottoirs. Putain. Je crache ses mots pour me rapprocher de la haine que j'aimerais à nouveau avoir dans ms tripes à ce moment la. Cette rage qui me fait tomber la moitié de la population de Terrae sur la gueule -Et les Moins droles, à chaque fois, entre ce psychopathe de Shiroi, cet encul... Enfoiré de Michigan et ce gorille armé avec autant de cervelle que moi de Dante... Que se passe-t-il ? Je tremble. Je crois que je tremble. Et j'ai envie de dégeuler. Je crois que je vais vomir. J'ai les dents du fond qui baigne, putain... OK, alerte passé, mon estomac reste accroché. Mais mes bras ont pas capté. PUTAIN C'EST LA VUE D'UN LABO QUI ME MET DANS CET ETAT ? J'essaie de me convaincre que c'est de l'histoire ancienne. J'essaie de me rationner. Mais j'y parviens très bien, ce n'est pas moi qui ai peur. Je me rends compte que je ne suis pas en train de flipper comme une fillette, ce n'est pas moi qui flippe. C'est mon corps qui se rappelle. Je crois. Mes yeux brulent. PUTAIN ! JE VAIS LA RETROUVER, LA RAGE ! J'ai envie de hurler, se serait un bon début sur la voie du rageux. Mais à ce moment la, Shiroi m'intime au silence. Me prie de fermer ma gueule. C'est vrai qu'on est en planque devant une base scientifique. Pas con le master. D'AILLEURS, IL SE PRENDS POUR QUI POUR ME DONNER DES ORDRES L'AUTRE LA ?!! Ah oui, c'est vrai. Merde. J'ai deux collègue, une gamine empaffée avec de grand yeux bleus, et un putain de psychopathe ambulant. Putain, je suis sensé être rassuré en étant dans son équipe ?! Les tremblements dans mes bras que je dissimule tant bien que mal cesse lorsque nous entrons dans la base. Là, Shiroi nus donne les instructions que j'écoute d'une oreille vaseuse. Je tremble d'impatience, cette fois. Nous partons, et le fait d'être séparé de ce putain de master cinglé me fait monter l'adrénaline en flèche. C'es comme si le feu en moi se déchainait, et s'agitait comme un grand brasier. Si je sursaute ou qu'un truc me surprend, j'explose à la gueule de l'assaillant et de ma collègue. On commence par un bureau. Avec des écrans. CA S'APPELLE POSTE DE CONTRÔLE, ABRUTI ! L'autre prends une lettre. Je parcours les environs froids d'un regard flamboyant. - Bon … On commence par où ? Une voix cristalline de nana me sort de mon délire. PUTAIN, COMMENT JE PEUX ASSURER QUE JE NE SUIS PAS EN BAD DE FLIPPE SI JE SUIS AUSSI NERVEUX ?!! - J'sais pas moi ! Par la lettre non ? Je m'arrête sur la lettre, un instant, le regard interdit. J'ai cru que ça aurait pu être la lettre de Dante... De Gwen, que j'ai... OK, JE L'AI PERDUE, MAIS CA C'EST PARCE QUE JE ME SUIS FAIT CASSER LA GUEULE A COUP DE BATTE OK ?!! Mais non. C'est pas le même destinataire. Je saisi la lettre et l'ouvre sans autre forme de procès. Dedans se trouve une putain de photo érotique. - WOW ! De la nana, super. Je montre la photo à Oli en attendant sa réaction avec un sourire mi-sadique, mi-moqueur. -Putain de vicelards... Je fais avec une haine palpable en parlant des scientifiques. JE LES HAIS, CES CONNARDS. -Il faut trouver un moyen de niquer ce poste de contrôle, je reprends. Pour qu'il ne nous grille pas par caméra quand on va baiser leur base. Au mieux il nous faudrait un tonnerre, mais t'es eau toi non ? OK, SI ELLE EST AIR, JE ME SENS INUTILE. D'un autre coté j'en avais rien à foutre au moment où on a dû me le dire. Mais à la tête de la nana, je devine quand même que c'pas une violente hein. - Allez, fout de la flotte dans leur circuit pour maraver leurs écrans et on continue la visite. Ma voix n'a pas changé d'un iota. Toujours pas mué, putain. Mais je ne reconnais un instant pas cette personne qui semble parler à ma place... C'est pourtant bien moi, ce ton froid et cette analyse taciturne de la situation. Putain, ça va barder. 
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| ## Lun 22 Déc 2014 - 15:39 | ||
Kei Messages : 1227 Date d'inscription : 06/07/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Rien que du vide. Humeur : A peu près la même que toi le matin quand tu te réveille, sauf que moi, c’est un état permanent. | Putain, ça va barder. La blondinette fait appel à ses pouvoirs, et j'ai enfin la confirmation qu'elle est bien eau. WOW, j'ai eu du pot qu'elle ne soit pas air ! J'aurais eu l'air encore plus con... COMMENT CA C'EST PAS POSSIBLE D'AVOIR L'AIR PLUS CON QUE MOI?!! WOW, ON SE CALME ! C'EST MOI QUI GERE LA OK ??!! La petite m'avait pas l'air d'avoir beaucoup de caractère, mais au moment où elle commence à balancer la flotte, elle remonte dans mon estime. C'EST PAS POSSIBLE DE REMUER AUTANT DE FLOTTE DANS UNE PIECE A PARTIR DE RIEN, SI ?!! COMMENT CA AVEC TERRAE, TOUT EST POSSIBLE ?!! RAH VOUS FAITES CHIER, JE SUIS UN ATTARDER SI JE VEUX OK ??!! Des trombes d'eau se déversent sur les appareils électriques et niquent tout les circuits. C'est tout cassés, c'est tout beau, ça court-circuite partout… Et je suis putain de fier de ma putain d'idée ! J’aperçoit sur l'un des moniteurs une silhouette qui ne m'est pas inconnue, c'est celle de ce putain de psychopathe qui est sensé nous accompagner dans la joie et la bonne humeur (Ahah). Puis l'eau grille aussi cette caméra et l'écran s'éteint. Je ne suis pas prêt de savoir ce qu'était en train de faire notre aimable master. Une fois que la pièce ressemble à un gai marécage, je fais signe à Oli : -Viens, ça suffit, on a tout niqué là, on a réussi... On se tire en assurant, ok ?... Ma voix est encore bizarre, toute grave. NON JE SUIS PAS SENSER AVOIR MUE, JE SAIS OK ?!! CA VA JE SUIS AU COURNAT QU’A SEIZE J’AI PAS COMMENCER LA PUBERTEE DE MANIERE FLAGRANTE ! (Un peu quand même hein !) Nous sortons de la pièce, je me rends compte que j'ai encore la lettre dans la main. ET LA PUTAIN DE PHOTO COCHONNE AVEC BIEN SUR HEIN ! COMMENT PASSER POUR UN GROS PORC EN UNE LECON ! WOUHOUHOUH, VOUS SAVEZ PAS COMMENT FAIRE POUR AVOIR LA LOOOOOSE ? DEMANDEZ A KEI VOYONS ! (Enjoy). Je ferme soigneusement la porte derrière nous. Je décolle un bout du timbre, je réveille le collant qui lui reste en le chauffant avec le bout de mon pouce et je fixe la lettre et la photo sur la porte. Z'AVEZ VU CA ? JE LAISSE MEME UNE CARTE DE VISITE PUTAIN ! ET ELLE EST SECY MA CARTE DE VISITE EN PLUS ! (Classe incarnée, je sais, je sais…) Nous déambulons prudemment dans les couloirs, à la recherche de Shiroi-sensei. OUAIS, j'ai aucun respect pour lui, mais l'appeler maitre fait toujours plaisir à ces andouilles de japonais, et comme ce putain de psychopathe a une putain tête de jap'... Bref. Nous sommes sur nos gardes, on a cramé les caméras, mais c'est pas une raison pour ne pas tomber PAR UN HASARD TOUT A FAIT HASARDEUX (Mon cul ouais), sur un scientifique en chair et en os. En comparaison, j’ai l’impression qu’un petit écran relié à une caméra, à buter, c’est rien du tout… Deux solutions pour ma réaction face à un scientifique. Soit je perd tout contrôle, toute conscience, et je fais une putain de crise de violence à la suite de laquelle soit je me fais tué (Et ça sera la seule manière de m’arrêter, merde), soit je tue. LA HAINE, PUTAIN ! Je ne suis pas plus violent que ça d’habitude, ou putain de beaucoup moins que mes propos. Mais avec l’adrénaline, cette hypothèse devient une putain de possibilité. Soit je me pisse dessus en tremblant de peur et en faisant une crise putain de beaucoup moins sexy mais qui m’est putain d’habituelle : Hyperventilation doublé à une putain de crise de panique. Dans les deux cas c’est le bordel. Dans les deux cas je ne contrôle rien. PUTAIN DE MERDE, ON A PAS INTERET A CROISER UN DE CES SALOPARDS DE SCIENTIFIQUES ! Le micro répond, on a enfin Shiroi au bout du fil. T’ES PAS AU COURANT QU’UN MICRO C’EST FAIT REPONDRE CONNARD ?! TU COMPTAIS NOUS FAIRE MARNER DANS CETTE PUTAIN DE BASE TOUT SEULS LONGTEMPS ?!! IL ETAIT EN TRAIN DE FAIRE QUOI AU JUSTE ?!!! ATTENDS, NON, JE CROIS QUE JE VEUX PUTAIN DE SURTOUT PAS SAVOIR !!! Je laisse la blondinette gérer le rendez-vous. Elle prend la tête de la troupe. Nous avançons le plus prudemment possible. Lorsque nous apercevons enfin ce stupide master de psychopathe de la mort qui tue, je me sens comme soulagé un instant. La pièce est assez grande, nous ne devons pas être très loin de l’entrée. Je me sens comme soulagé, mais ça ne dure pas longtemps. Ma coéquipière blonde n’a pas l’air de l’avoir remarqué, mais je me ne peux m’empêcher d’avoir un réflexe de tension lorsque je croise le regard de Shiroi. Il fait une tête bizarre, son expression est crispée. Chaque fibre de mon corps se tend instantanément. La nana réagit aussi, je sens son corps se mettre en tension en moins d’un instant. Elle aussi a vu. Sans que personne ne s’en rende compte, nous nous sommes tous arrêter. Nous sommes aux aguets. Alors, nous le voyons. Je n’ose ni parler, ni respirer. De peur qu’il ne nous voit. Un scientifique ? Non. Sans que je ne sache exactement pourquoi, je rejette tout de suite l’hypothèse. Il ne ressemble pas à un scientifique. C’est un homme. Son corps est parcouru de cicatrice, son regard est dur. Sans que je ne sache exactement comment, je me vois en cet homme. Un cobaye. C’est une évidence. Est-ce que Shiroi sait ? Je n’en doute pas. Torturé, c’est le mot qui me vient à l’esprit. Cet homme n’est plus un homme. Il a été déhumanisé. Ce n’est même plus un cobaye. Maintenant, c’est une créature. JE HAIS CES PUTAINS DE SCIENTIFIQUES. La rage m’envahit. La rage cogne aux paroi de mon crâne, brûle tout mon corps, chacun de mes organes. Je n’ose bouger, ou le feu qui enfle en moi va exploser, et tout détruire. Je ne pourrais le retenir. Je n’en suis plus réellement conscient. La haine dépasse ma conscience. Ma respiration s’accélère. La haine durcit mon regard, suinte de chaque fibre de mon corps. Shiroi engage un pourparler avec la créature. Je ne peux parler. Ou j’implose. […] La prise de paroles ne marche pas. Ca n’a pas marché et le combat s’est engagé. Nous nous rendons alors compte que la créature des scientifiques maitrise l’eau. Mais ni aussi bien que Shiroi, ni même d’Oli. Elle a acquerit ce pouvoir mais, faute de pouvoir l’apprendre, elle s’est contenté de le maitriser. Sauf que moi je suis un feu. DU FEU DANS L’EAU ?!!! VOUS ETES SERIEUX ??!! VOUS VOULEZ MA PEAU C’EST CA ??!! Je ne sais pas quelle décision a été prise à la suite de l’échange, sauver, tuer ?... Je ne cherche même pas à déduire. Mon seul souci est celui de survivre aux attaques. Je lance quelques attaques feu dans le but de riposte, mais je ne fais pas aussi bien que la blonde (Qui semble être étoile, vu qu’elle se débrouille pas trop mal), ou que ce psychopathe de master. Quand le combat aquatique qui faisait rage retombe, que la dernière vague de flotte se retire, il ne reste qu’un corps informe à terre. C’est celui de la créature. Nous devons maintenant le ramener à Terrae : C’est le master qui l’a dit. Nous sommes sonnés, la nana blonde comme moi, et nous ne prenons pas réellement la peine d’analyser froidement ce que nous dit le master. Nous sommes éreintés, surtout les deux disciples, par le combat, mais sommes toujours vigilants lorsque nous traversons le laboratoire. Shiroi porte le plus lourd de la créature, je soutiens à l’avant. J’ai peur de rouvrir les cicatrices les moins propres en tirant dessus lors du port. Je sais comment ça fait : J’ai les mêmes sur les bras. Nous sommes pareils. Moi aussi j’ai été un cobaye. Mort ou dans son état. C’est ce qu’il resterait de moi. Tour à tour, la nana, qui ouvre la route, ou Shiroi, lorsqu’il réussi à se dégager une main, assomment la créature, lorsqu’elle menace de se réveiller, qu’elle a l’air de commencer à émerger de son état comateux. Nous sortons du laboratoire sans nouvelle encombre. Direction Terrae. Mission accomplie ?
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| ## Mar 10 Fév 2015 - 19:15 | ||
Olivia Rosenberg Messages : 639 Date d'inscription : 31/01/2012 Age : 26 Emploi/loisirs : Chanter, utiliser mes pouvoirs, me retrouver dans des situation improbables et juste vivre avec le sourire ! | Tout commence maintenant. A coté de ça, les entraînements a la salle d’entraînement et a l'arêne ce n'était rien du tout. Bien sûr, pour moi, j'avais déjà vécu la mission en Afrique mais je savais bien que je n'aurais pas eu a tuer des scientifiques. Aujourd'hui c'était différent, on était exposé a tout danger, sans compter qu'on était sur le territoire des scientifiques, ce qui fait que le danger était deux fois plus grand. Oui c'est vrai que je redoutais ce qui allais se passer mais je comptais une fois de plus sur ma détermination pour mener cette mission à bien. Elle m'avait déjà beaucoup servis pour être efficace en Afrique et je savais bien qu'elle allait m'être indispensable cette fois ci encore. En tout cas Kei avait l'air motivé ! Il me répondit avec plein de grâce (autant que je n'en ai jamais vu) : - J'sais pas moi ! Par la lettre non ? Le petit Feu pris la lettre et l'ouvris et … Beurk. Erk. Dégouttant. Horrible. Ignoble. Pervers. Malsain. Erreur de la nature. Attentat à la pudeur. C'était une photo … Pour homme, tout simplement dégueulasse. Je n'arrivais pas du tout a comprendre qu'est ce que cette photo vulgaire faisait ici. Non seulement ils faisait souffrir nos semblables Terraens mais en plus ils ne le faisais même pas sérieusement et je crois que c'est ça qui me dégouttait le plus. Et puis la fille était pas belle en plus. - WOW ! De la nana, super. Je lança un regard noir à mon compagnon de mission. Hey ce n'est qu'une impression ou il avait un peu oublié pourquoi on était ici celui ? C'était pour rendre leurs comptes aux scientifiques pas pour chercher des photos de filles dégueulasses dans un laboratoire qui il fallait le dire était extrêmement dangereux. Non mais vraiment. - Allez, fout de la flotte dans leur circuit pour maraver leurs écrans et on continue la visite. Euh … D'accord ?... Il m'avait donné un ordre là non ? Avec quelle genre de personne j'étais bien tombée ? Au secours. Même Shiroi a nos débuts de cohabitation, il n'était pas aussi infecte. Mais bon tant qu'il se bat bien et peut m'aider un peu, il n'y avait pas de quoi se plaindre non ? Enfin si un peu, j'aimais pas trop qu'on me donne des ordres moi. Je ne pouvais pas répondre grand chose, je dis juste : - Euh, oui c'est pas une mauvaise idée. Enfin passons ! Dans tous les cas il fallait détruire cette zone d'ordinateurs, pas vrai ? Allez c'est partiii ! Il s'agissait d'oublier la présence du petit donneur d'ordre. Mais c'étais pas difficile non plus au vu de sa taille et de son … charisme. Bah quoi ce n'était pas méchant, juste un peu sincère. Donc plus de Kei petit pervers, ni de Shiroi, juste ma détermination sans faille, mon envie de réussir ma mission et de donner une bonne leçon a ces maudits scientifiques, ces démons il fallait les vaincre, a tout prix, pour tout ceux qui ont été emprisonnés et torturés a cause d'eau. Je rentre dans ma bulle. Une seule chose importait pour moi a présent : ressentir mon pouvoir. Mes yeux fermés. Je les rouvris pour chercher ce qu'il me fallait … Je m'explique, je n'avais pas une assez grande quantité de pouvoir et surtout pas assez d'expérience, il fallait absolument que je trouve une source d'eau, même une seule goutte ça me suffirait amplement. Mais sans matière de départ je n'y arriverai jamais. Vite, vite une base … Il fallait garder a l'esprit que les scientifiques pouvaient débarquer a tout moment, et a ça serait trop tard. Alors il doit bien y avoir quelque chose ici … Ah enfin ! Bien caché entre deux gros dossiers, il y avait une petite bouteille d'eau. 50 centilitres pas plus, mais ça me suffirait amplement. Oui, maintenant j'étais bien sûre de moi. Je commença a me concentrer de toutes mes forces sur la bouteille. Shiroi m'avait très bien expliquer comment faire, avec toutes ces heures d’entraînement je n'avais pas le droit de me rater. Maintenant. On ne pu voir qu'il y avait une bouteille ici seulement une seconde car après Paf ! Celle ci disparut sous plusieurs litres d'eau. Tout parti de l'endroit où était le contenant. L'eau avait juste le temps de retomber sur les pauvres machines que je la dédoublait pour qu'elle reparte sur l'ordi suivant. C'était une destruction oui mais une belle destruction. Comme je relançais mes litres d'eau a chaque fois qu'ils retombait, cela faisait comme des vagues qui envahissait toute la salle informatique. Un véritable spectacle aquatique. A la fin je laissa toutes mes vagues retomber d'un seul coup dans un grand slash !, bien sûr après avoir lancé le liquide destructeur sous forme de jets d'eau sur chacune des caméras. Ça c'était fait ! Je n'eus pas le temps de me retourner vers Kei avec un grand sourire de satisfaction que le feu me lança : -Viens, ça suffit, on a tout niqué là, on a réussi... On se tire en assurant, ok ?... Là je dois avouer que mon sourire se fana tout de suite. Franchement comment on peut être aussi … Agressif … Autoritaire. Plus que me blesser, en fait son attitude m'attristait. Il avait l'air très sympa, mais vraiment … Peut être qu'il n'était pas comme ça tous les jours mais que la mission le stressais hein ? Ou pas. Mais bon, le fait qu'il me pose une question montrait au moins qu'il se souciait un tout petit peu de mon avis dans ce groupe, c'était déjà pas mal. Au final, on sort de la pièce qui donnait l'impression d'avoir été ravagée par un tsunami et je vis que Kei accrocher l'image vulgaire sur la porte. Je leva les yeux au ciel en signe d'exaspération, non mais vraiment lui alors. Après ce petit arrêt, il continua son chemin, moi a sa suite comme si ne rien n'était, ce qui me tira un tout petit sourire. C'était drôle comme blague, digne d'un gros pervers mais drôle. Il fallait quand même retrouver Shiroi non ? C'est pile au moment où me vint cette pensée que je vis Kei sortir le talkie-walkie pour appeler mon Shishi-sensei. Ah bien ça c'était une bonne idée. Mais au final je voyais bien qu'il ne s'en sortait pas, je lui pris doucement le téléphone des mains comme pour lui dire sans qu'il pense que je pense qu'il est débile (non non je vous jure, je ne le pense pas du tout!) comme pour lui dire « T'en fait pas je m'en occupe ». Je réussi très facilement a avoir Shiroi au téléphone et je suivis ses informations pour le retrouver tout en partant à la tête de notre groupe. Au moins Kei n'aurais plus à me donner d'ordres là et tant mieux. J'étais tout de même méfiante. L'on était en plein sur le territoire de nos amis les scientifiques et il fallait être conscient qu'on pouvait tomber sur un de leurs copains a tout moment. Tout ça me stressait assez mais je restais sur mes gardes et malgré tout j'arriva a suivre la conversation. Un jour il faudrait que je réussisse a avoir l’ouïe et la vision de ma forme de léopard tout en restant humaine … Ça serait génial et très pratique … Mais comment dire que j'avais bien plus important à faire maintenant ? Oui oui, je penserais à tout ça plus tard. Avançant toujours en silence, à l'instant où l'on rentra dans une pièce assez spacieuse moi et Kei l'on tomba d'un coup sur Shiroi. Bingo. - Hey Shiroi ! On te retrouve enfin ! Ça c'était une bonne chose de faite. Surtout que je me sentais plus rassurée maintenant que mon master préféré était avec nous ! Tout se passait comme prévu. Mais ça n'allait pas durer longtemps … Tout le monde avait l'air bien content de se retrouver, quand soudain ce fut comme si le temps venait de s'arrêter. Kei et Shiroi tiraient des têtes bizarres. Quoi ? On avait détruit le système de sécurité et toutes les bases de données, pas de scientifques, Sensei s'était occupé du reste je ne voyais pas … Puis je tourna la tête … oh non, non, non … Qu'est ce que c'était que ça encore ? Ca ressemblait a un humain, mais ça avait l'air d'avoir perdu toute son humanité, il donnait un peu la même impression qu'un robot, transpirant la souffrance … Un monstre. C'est le seul mot qui me vint a l'esprit. Si cette chose avait été un humain autrefois, il ne l'était plus maintenant … Alors c'était ça les fameux « cobayes » des scientifiques. Oh mon Dieu quelle horreur. Shiroi essaya de lui parler, après tout si il savait qu'on n'était pas des scientifiques il ne nous attaquerait pas … Mais tous les efforts de Shiroi ne menèrent a rien. Il avait l'air de ne vouloir qu'un chose : obéir aux autres de ses maîtres les scientifiques, et en occurrence … Nous tuer. Je ravala ma salive, c'était le moment où jamais d'utiliser tout ce que j'avais appris avec Shiroi depuis mon étoilisation. Et peut être aller plus loin que tout ce que je n'avais jamais appris, ça n'allait pas être de trop contre cet horrible monstre. Oui oui c'est ça, j'allais devoir donner tout ce que j'avais, pour Terrae ! Une fois de plus j'allais avoir besoin de ma détermination ! De ma motivation ! De mon envie de gagner ! De ma rage de vivre ! De … Enfin oui de ma détermination quoi. Je sentais mon pouvoir s'agiter tout seul. Tout mon corps avait l'air de déjà être prêt a donner son maximum pour détruire mon ennemi. J'espérais bien qu'on allait pas la tuer et qu'on pourra la ramener a Terrae. Je tourna mon regard vers Shiroi. Kei s'était retiré en arrière, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs. Puis moi et mon sensei, l'on s'avança de front devant notre adversaire, moi une sphère d'eau dans chaque mains et lui s'entourant de lames de glaces. Ce fus le combat le plus intense que je n'ai jamais vécu. Au cœur de ce combat acharné, les flèches de glace, vagues d'eau brûlante, des dizaines d'armes faites de glace aussi tranchantes que des vraies, fusaient dans la salle comme une pluie d'étoiles. Pour la première fois, j'avais l'impression de ne faire qu'un avec mon élément. C'était une sensation tellement étrange et tellement unique à la fois. Les attaques d'eau a distance c'était facile et je n'étais quasiment pas blessée. Mais je ne pouvais pas m'abstenir plus longtemps d'utiliser mon pouvoir de morphe. Je m'étais transformée presque instantanément en un grand léopard blanc, une transformation incroyablement bien réussie. Mais je n'étais pas dans l'été d'esprit de m'admirer. Dans ma tête un seul but : mettre cette bête hors d'état de nuire. Je m'étais élancé de toute ma force d'animal sauvage en direction de mon adversaire et on rentra violemment en collision. Il ne fallait pas me battre de toute mes forces mais frapper (ou plutôt mordre et griffer) juste assez pour le blesser sans le tuer. Oui mon adversaire restait un humain et je devais mesurer ma force. De sorte je n'étais pas restée longtemps sous ma force animale et je me retira seulement après avoir assener une puissante morsure dans le bras droit de mon adversaire qui cria de douleur. Sans son bras droit, il était très affaiblie car en plus de perdre du sang il ne pouvait plus lancer ses attaques de la main droite. Puis je m'étais retirée, me consacrant juste a aider Shiroi pour que ses attaques soient plus puissantes, comme rentre le sol plus glissant ou compléter sa lame de glace de plusieurs petits pics de glace qui tournaient autour de cette dernière. Mon combat en corps a corps ne m'avait pas vraiment laissait indemne mais heureusement les blessures étaient superficielles. Le combat touchait a sa fin, blessé et souffrant, le pauvre cobaye n'avait plus la force de tenir tête a nous deux et je voyais bien que sa technique de combat était très primaire a coté de la mienne et plus encore de celle de Shiroi. D'un coup, le monstre arrêta ses attaquer et la seconde suivant s'écroula. Je tomba a genoux, la respiration haletante, épuisée, mais soulagée aussi. Le duel était fini. La mission était réussie. On pouvait rentrer. *FIN* ~ Si on cesse de rêver, on meurt ~
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