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Gluttony - Samaël Abel Lovecraft.
##   Dim 28 Aoû 2016 - 23:22
Samaël A. Lovecraft

Personnage ~
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Samaël A. Lovecraft
Air au pouvoir solaire
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Emploi/loisirs : Réguler la population humaine.
Humeur : Vide

Carte d'identité.
Gluttony - Samaël Abel Lovecraft. 655362Abelicone
Prénom : Samaël Abel
Quand on est fils de musulmans, on a un prénom tiré du Coran, quand on est juif, on a un prénom tiré de la Bible... toi tu es fils de satanique, quoi de plus normal d'avoir un des surnoms du diable pour prénom ? Et Abel ? Le premier homme assassiné de la bible, comme le premier né que tu es donné en sacrifice à la secte. S'ils t'ont gardé en vie c'est uniquement parce que tu t'es montré utile et docile.

Nom : Lovecraft
Assez ironique pour toi d'avoir Love dans ton nom. Mais quand on sait quel auteur porte le même, on comprends vite cette malédiction lié à l'occulte.

Âge : 19 ans
Affinité et pouvoir : Air solaire.
Abel's theme :
Spoiler:





Histoire.


D
es gens naissent dans l’amour, dans une famille aimante, les élevant dans la normalité du bonheur. Tu pourrais les envier, et pourtant ce n’est pas le cas, car ta vie te semble normale aussi. Quand tu as été élevé ainsi, sans comparaison, comment regretter ce que tu n’as jamais connu ? Tu ne peux comprendre, ne cherche pas à comprendre. La vie passe et trépasse et tu avances, malgré toi dans le monde corrompu qu’on t’a offert. Tu es né au mauvais endroit, au mauvais moment, sans doute, mais tu ne t’en rends pas compte. Certains essayent de t’ouvrir les yeux mais tu le nies. C’est ainsi, les habitudes restent comme une maladie incurable.
Ta famille semblait normale au premier abord, un père travaillant comme ils pouvaient de petits boulots, par-ci par-là, ta mère s’occupant de toi à la maison faute d’avoir les études pour trouver du travail. Vous surviviez, ils désespéraient, ils étaient influençables, ils t’ont entraîné dans leur démence. C’est ton père qui commença à entrer dans cette folie interdite, puis ta mère. Ils y étaient déjà avant que tu naisses, te nommant d’un des surnoms de leur Dieu, il était évident que tu y finisses aussi, malgré toi. Élevé dans ce monde, tout est normal pour toi.

Tout est normal.

Tu te souviens de la première fois qu’ils t’ont présenté à la secte, ces regards étranges comme si tu n’étais rien d’autre qu’un objet de convoitise. Ce mois-ci, ils n’avaient rien à offrir, à part toi. Tu les avais déjà vus faire leurs « prières » à la maison, mais jamais ils t’emmenaient. Mais cette fois, ils n’avaient pas eu le choix. Ils étaient tous gentils avec toi, ils ne voulaient pas te faire du mal. On n’abime pas un objet précieux. Ils t’expliquèrent, comme tes géniteurs, pourquoi tu étais là, pourquoi il fallait obéir et te laisser faire. Que c’était pour les aider pour que le diable soit moins dur avec eux, leur apporte le bonheur. Alors de tes dix ans, tu te tus et subis ; tous les mois, dans un crescendo de plus en plus douloureux. Un Abel se pliant devant son destin. Mais cela faisait plaisir à tout le monde, tes parents étaient heureux que tu sois accepté, qu’ils n’aient pas décidé de t’offrir à Satan d’une tout autre manière. Ça aurait pu être pire et puis...

Tout est normal.

Normal, comme c’est rituel, ces sacrifices, d’enfants comme toi qui finissaient sous la lueur argentée d’une lame, devenaient sacrés par cet acte, comme leur chair que vous consommiez. C’était une viande comme une autre, tu ne rechignais jamais, on t’a dit que ça te rendrait plus fort que n’importe quelle nourriture. Alors tu y crois, dur comme faire, tu es de plus en plus ravie de participer à ces rituels, à offrir ton corps pour ton Dieu malgré les traces qu’on te laisse. Tu deviens de plus en plus docile. Pourtant, tu ne comprends pas pourquoi en dehors de ces réunions, tu dois te taire, ne rien dire, ne rien raconter de ce qu’il se passe. Ils t’ont fait promettre, mais tu ne comprends pas, car...

Tout est normal.

Tu grandis, tu apprends, tu finis par participer tout en gardant le rôle qu’on t’a donné, assouvir les désirs de la secte. Mais parfois, le doute vient, grandissant de plus en plus dans la tête et le cœur. Ce n’est pas toi qui doutais, tu ne doutes et ne douteras jamais de tes croyances, mais ta mère en voyant ce que tu devenais. L’être inerte qui faisait les choses avec automatisme, parfois avec un certain ravissement. Tu ne souriais plus à part parmi eux, dans leur pire moment. Alors que tu atteignais ta dix-huitième année, elle voulut te prendre avec elle, sans explication, pour t’éloigner de tout ça. Ce, malgré ton refus, ton incompréhension face à son soudain changement après tant d’années. Elle t’expliqua que ce n’était pas ça la vie, qu’il fallait arrêter, que tu ouvres les yeux. Mais c’était trop tard, cela faisait bien trop longtemps que tu baignais dans ce monde. Tu ne pouvais changer, comprendre.

Tout est normal.

Le lendemain, tu avais fait part des révélations de ta mère à la secte, son désir de fuite, en bon petit serviteur que tu étais. Tu pensais l’aider, tu pensais que le dire allait lui faire retrouver son chemin. Mais tu n’avais fait que la condamner. On te dit que le seul moyen pour que Satan l’accepte après son doute, était son sacrifice ; et que tu devais le faire. Comme un test qu’on te donnait pour juger ta foi. Tu acceptas, comme tu avais toujours accepté ce genre de chose. Jusqu’à ce que tu te retrouves devant l’autel. Soudainement, tu ne voulais plus, tu ne voulais pas voir ta mère partir, la seule qui te soutenait lors de tes moments difficiles. Alors on te força à le faire, ton père fanatique t’y aidait, te cachant dans ses bras, te tenant les mains autour du couteau pour ne pas que les autres remarques les flots de larmes silencieuses qui coulaient sur tes joues et te juge pour ta faiblesse. Tu n’avais pas le droit de pleurer, c’était un honneur qu’on te donnait, tu n’avais pas à douter toi aussi. Et puis elle restera à jamais avec toi, une fois dévoré.

Tout est normal.

Le vide, grandissant, se répondant comme une gangrène, rongeant ton cœur, tes sens, ta vie. Te plongeant dans la démence et la perdition, comme s’il n’y avait rien d’autre pour toi à part ça. Rien ne peut plus te satisfaire, tu remplis ce creux qui ne se bouche jamais, vivant dans une autre réalité. Tu ris, pleur, cri, sans vraiment te contrôler, tu ne contrôles rien, tu t’isoles. Tu vois le monde comme un ennemi qui n’a pas voulu t’aider. Le monde te veut du mal alors tu l’observes avec méfiance, te raccrochant à la seule chose envers quoi tu crois. Tu penses des choses insensées, tu te noies dans une paranoïa, on ne te comprend pas, on ne te comprend plus… on t’a perdu.

Ce n’est pas normal.

Cet homme qui te regarde, tu ne l’as jamais vu, comment est-il entré. Ton père t’avait enfermé dans l’appartement comme à son habitude avant de partir au travail. Un membre de la secte, un ami ? Pourtant tu les connaissais tous. Une hallucination, comme celles qui se glissent dans l’ombre et murmurent les désirs de ton Dieu à tes oreilles ? L’homme s’accroupit devant toi alors que tu le fixais avec peur et intérêt sous la couette derrière laquelle tu tentais de te réfugier. Il te parla d’une voix douce qui te mit étrangement en confiance, te parla de choses et d'autres, d’un endroit merveilleux où tu te sentirais mieux. Mieux ? N’es-tu pas heureux là où tu es ? Où es-tu juste aveugle. C’est sans doute pour cela, que sans vraiment pouvoir l’expliquer, tu lui répondis oui.

Tout est normal.



Apparence.


L
a première chose que l’on voit chez toi, c’est ton apparence maladive et inquiétante. Non pas que tu sois effrayant, mais on a automatiquement un sentiment d’inquiétude sur ton état. Tu es chétif, voire maigre de façon morbide. Il faut dire que tu ne manges pas, ou du moins, tu ne gardes pas ce que tu manges dans ton ventre en dehors d’une nourriture à laquelle tu n’as pas souvent accès. Il t’arrive donc fréquemment de tomber d’épuisement et qu’on finisse par te nourrir par intraveineuse faute de pouvoir faire mieux.

Tu es recouvert de multiples blessures et de cicatrices. Des plaies, des égratignures, fait avec tout est n’importe quoi tant que ça saigne, recouvert de bandages. Bien que tu puisses te battre, la plupart de ces contusions c’est toi-même qui te les infliges. Faute de pouvoir sacrifier mensuellement quelqu’un ou quelque chose pour le diable, tu assouvis tes rituels fanatiques avec ton propre sang et ta douleur quand ce n’est pas lors de tes crises d’angoisse. Même si avec le temps, la douleur, tu as oublié ce que c’était. Souvent, tu mets sa propre vie en danger, finissant à l’infirmerie.

Mais malgré tout cela, le nombre alarmant cicatrices et de bleues recouvrant ta peau, ce n’est pas le plus impressionnant. Sur ton corps, parsemé, se trouvent divers symboles, certains, comme une croix inversée dans ta nuque, la croix du Léviathan sur le torse et le nombre de la bête stylisé sur l’épaule marquée au fer rouge. Deux pentagrammes, l’un simple sur la ma main gauche, l’autre plus détaillé scarifiés dans le dos. Le second recouvrant totalement ton dos, effraie à l’idée de la douleur qu’elle a dû t’engendrer. Pourtant, tu t’en souviens à peine. L’épouvantable habitude de ton quotidien. Ta peau est aussi marquée de simples tatouages, principalement des textes comme sur le flanc ou autour du bras droit.

En dehors de ton corps décharné et marqué par la vie, tes yeux ne laissent pas indifférents. Noirs comme les plumes d’un corbeau, ils semblent constamment vides, comme si aucune vie n’habitait ton corps. Cernés, ils fixent constamment le néant, comme si tu voyais des choses que personne ne peut voir. Perturbant, surtout lorsque tu commences à suivre l’invisible du regard. Mais toujours mieux que c’est moment où tu décides soudainement de ne plus lâcher quelqu’un du regard, même si on te fixe dans les yeux pour te gêner. Au final, ce sera toujours les autres qui seront mal à l’aise.

Parfois ton visage inexpressif caché des cheveux noirs de j’aie se fend d’un sourire. La plupart du temps sadique et inquiétant, arrivant parfois à l’improviste quand on n’y attend pas, il t’arrive parfois de sourire avec sincérité, comme si une forme de joie t’avait touché. Tu souris rarement, quand on te rend heureux, et c’est toujours une certaine satisfaction de voir cette expression chez toi, comme une petite victoire. Te faire sourire d’allégresse est une réelle difficulté.

Tu sembles lent et pourtant tu peux surprendre par ta vivacité. Tu peux te montrer rapide, agile et te faufiler partout comme le vent quand tu décides de fuir ou pire, de prendre quelqu’un en proie. Il t’arrive d’être violent et ta force surprend en comparaison avec ton physique. Tu n’as pas la limite de la douleur, quand certains cessent leur effort de peur de se déchirer un muscle, toi tu continues en prenant ce risque. Se battre avec toi ce n’est jamais s’en sortir sans égratignures.

Tu te caches derrière des vêtements trop grands. Habitué d’être couvert de grands tissus noirs, tu vêtis maintenant des habits bien trop larges pour toi. Est-ce quelque chose qui te rassure ou juste parce que tu as du mal à trouver des vêtements à ta taille, ce n’est pas le genre de questions à laquelle tu réponds. Mais il y a un peu de vrai, tu es plutôt grand, dans les un mètre soixante-neuf, en plus de ne sans doute pas avoir fini ta croissance.

Symboles de Samaël:



Caractère.


T
u es un être étrange d'où émane la folie destructrice, tu ris, tu te caches, tu fixes les autres de tes grands yeux noirs de manière insistante, comme si tu les sondais. Tu regardes souvent le vide ou des choses que personne ne peut voir à part toi. Tu mets mal à l’aise. Tu vis dans ton monde, tu es rêveur, tu ne vois pas la même chose que tout le monde. Tu aimes jouer, t'amuser, mais personne ne comprend tes règles du jeu. Tu passes du coq à l'âne, tu perturbes, tu déroutes dans ta façon d'être. Tu es maladroit, certains te traitent d'idiot et ne te prennent pas au sérieux. C’est te sous-estimer.

Tu es naturellement calme, observateur. Tu parais lent mais réfléchi vite, réagit vite. Tu sais jouer des mots, jouer des apparences, tu sais avoir ce qui te plaît, ce que tu veux. Tu es manipulateur. Tu joues de tes faiblesses. Tu as grandi dans un monde différent, tu as du mal à comprendre le point de vue des autres. Tu as souvent du mal à l’accepter. Tu ne vois jamais le mal dans ce que tu fais, tu considères tes actes inhumains comme normaux, on t’a toujours appris que le satanisme est le bien, d’être fanatique, d’être un objet. Alors quand on te dit l’inverse, tu es perdu ; comme un enfant soldat à qui on lui dit que manier une arme et tuer ce n’est pas bien. C’est sans doute cette naïveté qui te rend aussi attachant qu’effrayant.

Parfois, tu deviens colère ou panique, tu es piégé dans ta paranoïa. Tu écoutes plus des voix inexistantes que les réelles. Tu n’as confiance en personne en dehors des démons qui te hantent et que tu admires. Schizophrène ? Tu fonctionnes par envie, par pulsion, tu peux être normal à un moment et sauter sur quelqu'un la seconde d'après pour des raisons que seul toi connaîs ou que tu ignores. Tu es ingérable.

Pourtant tu es un être adorable, souriant et chaleureux au fond de toi, parfois un peu simplet. Tu aimes les animaux et t'en occuper calme ta folie chaotique, même si parfois tu finis par les sacrifier faute d’avoir mieux. Tu es pareil avec les gens que tu apprécies, prêt à tout pour les protéger malgré si quelquefois tu as envie de les écraser sous une pierre sous un coup de tête.

Tu as constamment faim, toujours avec quelques choses en main à manger, comme si tu n’arrivais pas à la calmer, que tu tentais de remplir un trou, un vide qui ne voulait pas se combler. Mais tes voix te disent que tu t’empoisonnes alors tu recraches. Ton esprit malade n’acceptant qu’un type de nourriture, qu’un goût que personne en ce monde n’accepte, tolère. Une denrée que tu as du mal à avoir et qui te place dans l'anorexie boulimiques malgré toi. Parfois ça te rend aigris, agressif. Cela te fatigue.

Au final, tu es comme un petit animal mal dressé. Tu es intelligent mais tu manques de connaissances. Tu n’as jamais été à l’école, tu as juste appris à compter. Tu es limité dans les connaissances. Tu n’es pas bête, juste ignorant. Et sans doute qu’avec ça, juste ça, tu peux changer. Juste assez pour te rendre plus… humain.



Gouts.


T
u aimes la viande. Mais pas n’importe laquelle ; trop habitué à en manger, tu aimes la chair humaine. Pour toi, c’est l’unique viande capable de te nourrir, de te maintenir en vie. Les autres denrées sont mauvaises, impures et tu ne peux les garder dans ton ventre. Alors tu as constamment faim, faute de pouvoir te nourrir tous les jours, tu avales tout ce qu’on te donne pour la calmer, comme si tu cherches à combler un vide, avant de vomir juste après, expliquant ton apparence squelettique malgré ta boulimie. Il y a cependant un aliment que tu peux psychologiquement manger : la viande de veau en maturité, pour la simple et bonne raison que ça a le même goût que l’humain. Il suffit de ne pas te dire que ce n’est pas ce que tu penses, et tu rechignes beaucoup moins.

Tu aimes avoir mal et faire du mal, physiquement et uniquement pour tes croyances et ses rituels que tu fais tous les mois. Tu as à une tolérance prodigieuse à la douleur, habitué à celle-ci, mais quand tu peux, tu préfères l’infliger aux autres. Pourtant, parfois, tu aimes un peu de douceur, comme une denrée rare que tu connais à peine et à laquelle tu profites calmement. Jusqu’à ce que tu finisses par mordre sous l’impulsivité.

Tu aimes les armes, blanches, les couteaux, brillant, étranges, décoré ou simple. Tu voues une passion pour les lames. Une passion anodine si tu n’aimais pas non plus les utiliser. On t’en confisque, mais tu arrives toujours à en trouver d’autres. Volé à d’autres ou tout simplement dans la cuisine. Il y en a un que tu aimes bien plus que les autres, celui que tu utilisais à la secte. Mais celui-ci, tu y fais attention, le sort jamais, ou presque, tu as trop peur qu’on te le dépossède.

Tu aimes ton monde, intérieur, te perdant dans une fausse réalité. Parfois tu rêves diurne, parfois tu ne penses à rien, tu sembles constamment ailleurs. Le monde t’est hostile, tu le fuis, tu aimes rester dans ton coin, discret et invisible, comme un meuble. On t’oublie vite, jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’on est fixé par tes grands yeux vides. Alors tu détestes lorsqu’on te pousse au-devant de la scène, tu paniques, tu te sens mal et tu te réfugies dans ta grotte telle une chauve-souris qu’on aurait jetée à la lumière vive du soleil.

Tu aimes lorsque les gens t’écoutent, ait confiance en toi. Tu aimes jouer des mots, pour les manipuler. Parfois on a peur de toi, parfois on aime être avec toi, mais dans tous les cas, c’est parce que tu veux que ce soit ainsi. Tu as appris à attirer les gens vers toi ou les repousser selon ta convenance. Des années à faire l’appât, avec ton apparence chétive et innocente, pour prendre dans le piège les meilleurs sacrifices qui soit.




Codes du règlement.
Validés par le très St Blobby <3


_______________________________________

À propos de vous...

Vous êtes...? ^o^ : Oni
Comment avez-vous découvert le forum ? : On m'a harcelé.
Votre avis dessus ? : Il a l'air cool, je me ferais un vrai avis après plusieurs mois :). Je dois aussi dire que le fait que les années avances sur le forum est un des principales raisons de ma venu. L'idée de pouvoir faire évoluer et vieillir mon personnage me permet de me projeter dans le futur et c'est très motivant.


Dernière édition par Samaël A. Lovecraft le Lun 21 Jan 2019 - 19:34, édité 25 fois
##   Dim 28 Aoû 2016 - 23:34
Anonymous
Invité

Je ne sais pas quel bruit font les furets, alors... Aloha !

:3
##   Lun 29 Aoû 2016 - 20:25
Kurei Yataro

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Kurei Yataro
Air au pouvoir solaire
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Humeur : Interchangeante et difficile à deviner quand elle diffère à la norme

Haha, on a infecté encore une !

Brèf, le délire étant fait, bienvenue sur Terrae ! L'histoire de ton perso m'a très touché. Et j'adore ton style d'écriture. J'ai hâte de voir le reste et de RP avec toi une fois que tout est réglé Ballon


Gluttony - Samaël Abel Lovecraft. Signat11
##   Ven 2 Sep 2016 - 0:30
Samaël A. Lovecraft

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Samaël A. Lovecraft
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Tjay - Aloha mon miaou ♥️

Kurei - Merci, ça me touches ce que tu dis éwè ♥️

Sinon... J'AI FINI !! Yataaa!


Samaël's theme :

Twenty One Pilots - Fall Away
##   Ven 2 Sep 2016 - 0:57
Tahia Makoto

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Tahia Makoto
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Humeur : Un peu mieux, je suppose

YATAAAAA!!!! Yataaa! Yataaa! Yataaa! Yataaa!

Bon, calmos... Au risque de me répéter encore: J'adore ta fiche et je veux mon RP!!! Dance


Gluttony - Samaël Abel Lovecraft. Tahia_10

Spoiler:

Spoiler:


Gris (OST) Part 1 & 2 - Main Theme
Savin' me (Nickelback) - Sad Theme
Mononoke Hime Theme (Ocarina)- Wind Theme
##   Sam 3 Sep 2016 - 9:55
Charlie-Ange Petit

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Charlie-Ange Petit
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T.T
Comme d'habitude je n'ai lu que le physique... Comme d'habitude tu tortures tes personnages...

Essaye de pas le tuer trop vite ! ♥


Ralentir le rythme de la course folle
Folâtrer un instant sans but, sans boussole
##   Sam 3 Sep 2016 - 23:52
Ys Ochikawa

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Ys Ochikawa
Master déchu
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Humeur : J'ai pas, pioches!

Bienvenue
J'aime beaucoup ton style d'écriture :)


Gluttony - Samaël Abel Lovecraft. 00ba1e12
##   Dim 4 Sep 2016 - 0:30
Samaël A. Lovecraft

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Samaël A. Lovecraft
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Humeur : Vide

Charlie - Je torture, je ne tue jamais ! :'D... puis à force tu sais que j'aime faire commencer mes perso' dans la fange la plus obscure ._.

Ys - Merci é/w/è


Samaël's theme :

Twenty One Pilots - Fall Away
##   Dim 4 Sep 2016 - 17:30
Aaron Williams

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► Âge : 34. (apparence 29 ans)
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Aaron Williams
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Emploi/loisirs : Prof de maths et papaaaaa ♥
Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ?

BON j'ai enfin trouvé la motiv de lire tranquillou ta présentation ! Ce beau petit ange (humhum) que tu as commencé à créer sous nos yeux héhé ♥️♥️

Alors déjà, c'est assez perturbant d'avoir l'histoire en premier, mais j'imagine que c'est beaucoup plus logique comme ça vu le perso. Ca aurait sûrement été bizarre de dire "Oh bah tiens il est cannibale !" dans le caractère ou les goûts (hahaha pardon ;_; ), les gens auraient pris peur mdr

En tout cas, pour l'histoire le vide est bien présent, tout est ok donc de ce côté là c'est nickel ! Fais peut-être juste attention à ton orthographe parfois ("dur comme faire" -> fer ; des mélanges entre les personnes et les conjugaisons, etc), c'est pas très grave mais voilà, penses-y ♥️ J'aime bien comme t'écris, ça fait un moment que j'ai pas vu de perso écrire au "tu" (à part Tjay et Piu), ça me fait remonter des souvenirs :D

J'aime bien la description de son caractère en tout cas :O Il a l'air d'être un p'tit gars sacrément chouette, j'espère qu'on pourra avoir un rp ensemble une fois (mais pas dans l'immédiat sinon vous me ramassez au coton-tige xD) ! Il me fait trop de la peine ;w;
Pour le caractère lié à l'affinité, on en a avait discuté ensemble, mais pour moi c'est bon, on retrouve les caractéristiques principales des airs même s'il peut être apparenté aux tonnerres aussi :)

Voilà voilà, avec tout ça, je te valide ♥️♥️ J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous ! J'ai hâte de voir comment va évoluer le petit Sam *-*

Plein d'amour sur toi Ballon Applaudir



Aaron vit en #E5882A.
Louisa danse en #78AB3F.


Un peu d'amour ♥:
##   Dim 4 Sep 2016 - 21:22
Bito Y. Daisukenojo

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Bito Y. Daisukenojo
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Humeur : Survolté

J'aime !
J'aime vraiment, surtout l'histoire. En faite j'suis parti du principe qu'il était cannibale (tu m'as spoiler) et je m'attendais à lire des trucs dégueulasses... Mais pas du tout !

En faite, tu nous raconte son histoire facilement, sans rentrer dans les détails, à travers les yeux de Sam qui voit tout ça comme si c'était... normal ? Bref, c'est vraiment bien foutu, bravo !

Et bienvenue Samouille Wink
##   Lun 5 Sep 2016 - 19:33
Hideko Honda

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Emploi/loisirs : Heuu... Directrice à plein temps, à c'qui paraît.
Humeur : C'est vous qui voyez :3
https://terrae.forumpro.fr

Bienvenue à toi !!! J'espère que tu t'amuseras bien ici :D
Ton personnage est hyper intéressant en tout cas ! J'espère qu'on aura vite l'occasion de se faire un RP :) (pas forcément avec Hideko, peut-être plutôt avec mes deux autres personnages qui ne sont pas la directrice haha)
Bref, bienvenue :D


Gluttony - Samaël Abel Lovecraft. Bxqs
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Gluttony - Samaël Abel Lovecraft.

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