## Lun 26 Aoû 2013 - 12:56 | ||
Invité | Léon eut l'air choqué par mes questions. Ils reprit pourtant son sourire doux et rassurant. De son bras valide il tapota ma joue puis remonta mon visage à la lumière. Mes pupilles dilatées par le choc refusèrent de s'adapter à la clarté et la douleur s'accentua. La pièce tournoyait et la seule chose à laquelle mes yeux pouvaient s'accrocher malgré la douleur, c'était le visage de mon ami. Il me dit gentiment : Réfléchis deux secondes veux tu. Il y à t-il une raison pour vouloir sauver ses amis ? Ensuite je t'ai suivie car je tiens énormément à toi, sans te mentir...je te considère comme une deuxième mère, je sais c'est stupide mais c'est comme ça je suis comme je suis j'y peut rien ! Et pourquoi cela ? Tout simplement parcequ'à chaque problème que j'avais tu étais là pour moi alors à moi de te rendre la pareil tu ne crois pas ? Je restais interdite tandis que les mots de Léon résonnaient dans ma tête. Il me considérait comme une deuxième mère..? Alors que j'étais plus jeune... et aussi bête..? Plus perdue encore, je regardais mon ami se retourner pour se faire examiner. J'étais touchée mais perdue et lorsqu'il me lança un regard interrogateur, je ne pus qu'éviter ses yeux en détournant les miens et en me levant faiblement, je lui tournais le dos et lâchais : Peut-être... -puis je m'adressais à l'infirmière- je vais m'allonger, je ne me sens pas bien... Je suis dans la pièce de repos. Je me dirigeais vers la demi-douzaine de portes qui de présentaient à moi en m'accrochant aux meubles et tâtonnais pour trouver la bonne entrée. Arrivée au lit je m'allongeais sur le côté les yeux face au mur et à la fenêtre et fermant les yeux, je m'endormis instantanément. |
## Dim 1 Sep 2013 - 0:49 | ||
Invité | Mes paroles avaient heurtées le cœur de Kana comme je le voulais, et bien évidement je ne lui avais pas menti, je pensais vraiment ce que je lui avais dit. Elle avait néanmoins évitée mon regard sûrement intimidé par ce que je venais de lui dire et tendis qu'elle c'était levée lentement toujours affaiblit par le choc qu'elle avait subit et elle c'était alors tournée juste pour e répondre d'une façon pas convaincante tendis qu'elle allait se reposer dans une salle prévue à cette effet. Bien évidement j'avais tenté de l'attraper car je voulais encore lui dire plein de chose que j'avais sur le cœur mais au moment d'attraper son t-shirt, l'infirmière stoppa mon bras en me l'attrapant et quand j'allais parler, elle me posa un doigt sur la bouche pour me faire taire tendis que Kana avait franchie le seuil de la porte. Je soupirais alors tout en levant mon regard vers l'infirmière qui, pour une fois souriait, et qui m'avait dit de laisser Kana tranquille car elle avait vraiment besoin de repos. J'acquiesçais tristement tendis qu'elle finissait les radios et qu'elle m'annonçait que j'allais devoir être opérée. Je me raidis d'un coup tendis qu'elle essayait de me calmer et n'y arrivant pas elle emmena mon lit dans le couloir prés d'un bloc d'opération. Moi je lui fauchais un stylo tendis que j'avais toujours mon calepin et j'en déchirais une feuille et je m'installais de façon confortable puis commençais à réfléchir à quoi écrire dedans pour ma chère Kannette que j'adorais tant. J'écrivais quelques premiers mots alors que je jetais instantanément ce premier essaie, puis un deuxième, troisième et finalement quatrième tendis que j'avais réussis mon cinquième assez bien, je cite : Kana je t'écris se mot car je dois subir une opération d'urgence, mais ne t'en fais pas je suis un solide tu sais donc cette histoire sera réglée en deux temps trois mouvement promis ! Alors évite de stresser pour rien d'accord ? À et aussi si j'ai pas pu te retenir c'est à cause de l'autre sorcière qui m'en a tout simplement empêché car tu avais besoin de repos donc voila. Allez je te laisse et sur ce à un de ces quatre gros bisous baveux ! ( rien que pour te faire rire ) La * sorcière * m'arracha ce mot des mains tout en reprenant son stylo tendis qu'elle me poussait maintenant dans la salle d'opération ce qui me rendait totalement anxieux et avant qu'elle parte elle me dit qu'elle allait poser le mot à côté du lit de Kana. D'un regard qui voulait dire * ne me laissez pas là * je la vis partir à son tour un peu triste tendis que l'on m'anesthésiait. Quand je me réveillé tout était flou tendis que j'étais pour la deuxième fois relié à quelques machines, dans un long soupir on m'éxpliqua que des broches étaient dans mon dos et bras et que je devais rester ici pendant au moins deux semaines. J'acquiesçais d'un hochement de tête content que tout ce soit bien passé et me demandé alors ce que Kana faisait et si elle avait eu mon mot avant que je ne m'endorme trop fatigué de tout ça. |