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Tu périras ici. (Privé)
##   Mer 8 Mai 2013 - 18:12
Aëlita Stones

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Aëlita Stones
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Encore une journée insupportable, passée à épier les habitants de ce cloaque, leurs petites habitudes, et tout ce qui s'ensuivait. Plus le temps filait, plus ma haine à leur égard grandissait. Mon impatience à détruire cet endroit malsain devait probablement se ressentir dans mes humeurs de plus en plus changeantes ; mais qu'est-ce que j'y pouvais ? Jamais je n'ai souhaité posséder de tels pouvoirs. Heureux soient les ignorants ; ils pourront fermer les yeux sans éprouver de remords. Pour ma part, autant faudrait-il me crever les yeux pour que je puisse enfin rester en paix. La seconde solution était celle qui me taraudait depuis des semaines : détruire. Tout. Annihiler la moindre parcelle de vie sur cette terre maudite.
Je les exécrais de toutes mes forces. De tout mon être.
Pourquoi avaient-ils le droit d'être heureux, tous ces misérables ? N'avais-je pas plus souffert qu'eux ? C'était injuste. C'était tout bonnement injuste. J'allais leur faire payer tout ce que j'avais pu vivre ces dernières années. L'isolement. La souffrance physique. La douleur d'être séparée de la personne que j'aimais. Comment Hideko réagirait-elle, si je lui retirais un à un tous les Masters qui peuplaient son monde ? Son très cher Ryu ? Sa meilleure amie ? Et son fils...
Non.
Son fils, son immonde marmot, je me ferai une joie de l'égorger devant ses yeux, afin de lui donner un aperçu de ce qu'elle avait osé me faire. Nous faire...
Je me noyais dans ma propre haine.
Tout ce temps passé à écouter les conversations des uns et à parler aux autres, sous différentes apparences piochées çà et là, je souhaitais le consacrer à la mise en marche de mon plan. Il fallait que le coup porté soit vif et précis ; assez pour pouvoir tout faire s'effondrer d'un seul tenant, et pour qu'ils soient incapables de répliquer. Des pleurs et du sang. Rien d'autre.
Terrae allait bientôt disparaître.

Doucement, le soleil se couchait, baignant les environs d'une apaisante lumière orangée. Mon cœur, quant à lui, restait hermétiquement fermé à cette tendresse volatile, qui ne parvenait plus à m'émouvoir depuis bien longtemps. J'étais heureuse de pouvoir observer à nouveau un tel phénomène, mais il ne fallait pas que je me laisse attendrir – pourtant, ces couchers de soleil me rappelaient tellement ceux que nous observions avec Light, enlacés étroitement... Avant qu'Hideko ne vienne tout me voler. Ma dignité, ma liberté et ma vie. Mais aussi mon amour.
Light.
Mon cœur saigne encore de ne plus te voir.
Je laissai mon regard se perdre quelques instants de plus dans cet univers surréaliste, jusqu'à ce que le jour ne soit plus. Ce n'est pourtant rien d'extraordinaire, un coucher de soleil... Finalement, peut-être que mon cœur n'était pas entièrement fermé à toute beauté. Il y avait quelque chose de rassurant dans cette constatation.
Je secouai la tête afin de reprendre mes esprits. Ne pas se laisser aller à la divagation.
Poussant un léger soupir, je me téléportai au bas de l'arbre dans lequel je me trouvais quelques instants auparavant. La forêt était déserte à cette heure-ci – et tout cela me ravissait évidemment au plus haut point. La solitude pèse, mais elle apaise aussi.
À peine mon pied posé sur le sol, je sus où je souhaitais me rendre. Je me mis donc en route, prenant tout mon temps afin d'arriver à destination : le lac. Surface miroitante sous le clair de lune, à présent bien visible dans le ciel. Je m'en approchai avec lenteur, comme on s'approcherait d'un animal farouche ; je me demandai, dans le même temps, ce que je ressentirais, en cet instant, si Light était auprès de moi.
La surface de l'eau me renvoyait des traits durs et fatigués – était-ce là ma propre image, celle que j'avais toujours appris à détester ? Je ne me souvenais même plus de mon visage. J'en avais si souvent changé... Et même maintenant, celui-là, celui que j'avais il y a longtemps... Ils n'étaient plus les mêmes.
Light. Light saurait me le dire. Il saurait me dire si ce reflet était bien le mien, pas vrai ? Ces cheveux châtains, cette peau pâle, ces yeux... Verts ?
Sans y faire attention, je croisai mes bras sur ma poitrine et fermai les yeux, calme pour la première fois depuis bien longtemps. Je ne savais pas réellement si je pouvais dire « sereine », mais c'était de cette manière que je le ressentais. Malgré ce poids qui m'alourdissait le cœur, mon esprit ne s'évadait plus jusqu'à ces mondes peuplés d'horreur, mais retournait dans le passé, me replongeant dans les réminiscences de ces jours divins qui manquaient tant à mon âme.
« Lili. »
Light...
Soudain, je me relevai – ne remarquant qu'à présent que je m'étais accroupie au bord du lac, comme une enfant ; celle que j'étais avant que ces pouvoirs ne me gâchent la vie. Derrière moi, je sentais une présence s'approcher avec lenteur. Je jurai intérieurement ; durant ces quelques minutes, mes protections s'étaient affaiblies, voire carrément envolée. Si cette personne m'avait entendue, je la tuerais.
Allaient-ils pousser le vice jusqu'à me voler même ces courts instants de paix, qui m'étaient inaccessibles jusqu'ici ?
Mes yeux se mirent à changer de couleur à un rythme effroyable, créant un mélange de toutes ces nuances, et je me tournai avec force vers le nouvel arrivant.

– Comment oses-tu troubler le cours de mes pensées ?

Ma voix grondait comme le tonnerre et tranchait l'air comme une lame. Elle crachait du venin, froide comme la glace. Elle hurlait ma haine comme un loup à la nuit tombée.
Peu importe qui tu es, misérable humain. Tu périras ici.


Calm down right now, please.

Tu périras ici. (Privé) Lw8y
##   Mer 8 Mai 2013 - 18:36
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C'était une journée comme les autres, paisible, douce et fraîche. L'air était plein de joie et de bonne humeur, illustrant parfaitement l'esprit général. Quelques touches de douleur cachées et de souffrances refoulées agrémentaient cet air, sans pour autant alarmer ceux qui arrivaient à les identifier.
Livy le pouvait elle. Mais emportée dans sa joie quotidienne et son train-train habituel elle n'y prêtait guère attention. Elle faisait l'aveugle, cultivant un peu son propre bonheur. Elle ne le faisait pas si souvent...

Sa journée, elle l'avait passée à écrire dans son carnet de bord, à dessiner et à flâner un peu partout. Elle était heureuse.
Assise à la fenêtre de sa chambre, elle réfléchissait. L'être peureux et assez méfiant qu'elle était en arrivant avait prit de l'assurance. Devenant posée, sûre d'elle et plutôt sévère. Son côté "intello" était souligné depuis qu'elle avait eu ses pouvoirs. Ça ne la gênait pas plus que cela.
Elle pensait aussi aux gens qu'elle avait croisés... Aux amis qu'elle s'était fait... Duroy surtout. À sa pensée elle cligna des yeux. Le surnom qu'il lui avait donné était "Noisette", comme leur couleur. Elle sourit tristement. "Dommage, je ne l'ai pas revu depuis..."

Vers la fin de l'après-midi Livy descendit au lac. Décidée à dessiner la couleur de l'eau lorsque le soleil descendant s'y reflétait. De belles couleurs chaudes et joyeuses. Ses crayons et son carnet à croquis sous les mains elle se dirigeait tranquillement vers la surface bleutée. Elle s'arrêta tout à coup. La personne qui se tenait accroupie en face d'elle dégageait une aura de douleur et de rage incroyable. Du moins c'est l'idée qu'elle en avait. Elle resta un moment à regarder et à entendre des murmures étranges avant de se décider à approcher, lentement.

Soudain la jeune femme -car s'en était une- se retourna brusquement pour lui faire face, les yeux remplit de colère. Autant que sa voix qui fit frémir Livy.

– Comment oses-tu troubler le cours de mes pensées ?

La demoiselle ouvrit la bouche pour répondre quelque chose mais la referma aussitôt. Préférant réfléchir un peu plus longtemps.

- Ce n'était pas mon intention, excusez moi. Je ne fais que passer, je m'en vais, dit-elle finalement.

Sans oser regarder en face plus longtemps la femme, elle tourna les talons et se dirigea autre part. Aussi pouvait-elle de cette personne.
##   Ven 10 Mai 2013 - 11:14
Anonymous
Invité

Aujourd'hui avait été une journée assez chargeait, le matin contrôle de français la où je n'étais pas du tout doué, suivie d'un contrôle en art plastique là par contre je devais être le meilleur de ma classe sans me vanter ni prendre la grosse tête, c'était toujours mes dessins qui servaient de modèle à la classe sans que la prof ne me demande mon avis ce qui était en soit agaçant mais flatteur.

Puis le midi comme d'habitude je me posais à la cafeteria, mais cette fois je m'étais mis à penser aux passé à la douleur encaissais à cause de cette foutu guerre qui ne cessait de me hanter. * Que sont devenue mes parents vont ils bien, sont ils encore vivants, ont ils gagnaient contre ce tyran qui était arrivé * Ceci était le genre de pensé que je détestais avoir en tête. J'avais relevé la tête et en voyant l'heure j'étais sortis en trombe sous le regard des personnes qui étaient encore là, il était déjà si tard j'avais passé l'après midi à penser à sa. * Mais bordel qu'est ce qui m'avais pris , si ma sœur me voyait elle me giflerait surement * Et ceci m'effrayait car ça me donnait l'impression d'être un mauvais frère et mauvais protecteur en même temps.

Le soleil commençait à se coucher lentement mais le crépuscule qui prenait lentement place me faisait peur je ne saurais dire pourquoi. Je sentais quelque chose de très mauvais dans l'air, celui-la même qui, quelques heures auparavant était doux et chaud, réconfortant sûrement les âmes en peine de l'institut, celui qui laissait le bonheur nous envahir et qui chassait les chagrins de nos cœurs. En sentant tout cela des flashs me revenaient en mémoire un à un me laissant souffrir d'avantage, m'envahissant de malheur.

* Pourquoi, mais pourquoi cela arrive aujourd'hui je n'ai rien fais tout était comme les autres journées, aucune engueulade des cours et des profs parfais alors pourquoi * Je décidais de me calmer en prenant le chemin du lac en espérant vraiment aller mieux et m'être trompais. Sur le chemin les images étaient comme des aiguilles que l'ont me rentrais dans le crâne, impossible à retirer, impossible à éviter, obliger de subir cette souffrance déchirante. Je m'adossait à un arbre me tenant la tête répétant les mêmes mots en voyant mes parents * assez, assez, assez, quelqu'un s'il vous plait à l'aide, par pitié arrêtait ça, j'en peux plus *.

Je sentais des larmes rouler sur mes joues, je me trouvais trop bête bien évidement que personne pouvait m'entendre seulement les télépathes peut être pouvaient sentir, voir, ou entendre mon appel et mon chagrin qui circulait dans tout mon corps, me faisant trembler contre l'arbre. Mon pouvoir faisait faner et mourir les magnifiques fleurs des environs à cause de ma tristesse et ma peine * Non, non ne mourrez pas restez belles et accueillantes je vous en prie seul vous pouvais m'aider pour le moment * En murmurant ces quelques mots je parvenais enfin à me calmer au bout d'une heure et les vis revivre et pousser encore plus belle qu'avant.

Soulageais je me relevais avec un énorme mal de tête, mais bon cela devais sûrement être le pris à payer pour ma bêtise * Je suis parfois pitoyable hum... * j'espérais que vraiment personne avait sentis tout ça, puis je repartit sur le chemin quand prés du lac j'entendis quelqu'un gronder d'une haine profonde et irréversible:

– Comment oses-tu troubler le cours de mes pensées ?

Cela me glaça le dos et en plus c'était la voix d'une femme, mais qui, qui pouvait être comme ça dans cette institut comme une grande famille, les gens s'aidaient entre eux même si parfois des problèmes arrivaient on recevait toujours de l'aide alors qui pouvait être aussi haineuse comme ça. Je me dirigeais vers le son de la voix quand je vis Livy * Non pas possible que ce soit elle * puis en la regardant de haut en bas elle tremblait de peur et était en train de filer, je décidait alors de me rapprocher quand je vis une autre personne avec elle. Elle avait le visage dur et triste, elle avait l'aire d'avoir subit quelques souffrances très douloureuses. Je demandait alors sur un ton triste:

-Livy dit moi tu vas bien hein ?, EN disant cette simple phrase je m'approchait d'elle pour essayer de la réconforter puis je regardais l'autre personne, dites moi vous je ne vous ai jamais vu par ici auparavant, mais je peux essayer de vous aider si vous voulais bien ?

Je caressais les cheveux de Livy en tentant de la calmer tout en essayant moi même d'aller mieux, en me méfiant de la fille qui était en face de nous, son dos étais reflétait dans le lac où le crépuscule et ses couleurs venaient se noyer. Je sentais que ça allais vraiment pas dans les environs * Léon je t'aimerais à jamais même par delà la mort * Je regardais de partout autour de moi, mais personne à par nous et cette étrangère. Je me mis à sangloter en tournant vite le dos aux deux files et murmurant des mots uniquement compréhensif par moi :

-Moi aussi, mais je ne veux plus de ces visions pitié...
##   Sam 11 Mai 2013 - 19:12
Aëlita Stones

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La folie. Cette folie destructrice, qui vous prend aux tripes et vous murmure des insanités à l'oreille. Tue-la. Tue-la, elle qui a osé briser ton jardin secret. Elle, cette petite télépathe, qui n'avait eut que la malchance de passer par ici ce soir-là. Avait-elle suivi le cours de mes pensées ? La réponse m'était pour l'instant inconnue et je m'en fichais assez éperdument, mais je ne pouvais pas laisser passer ça. Je ne pouvais tout simplement pas m'empêcher de vouloir voir cette petite mourir de mes mains. Voir son visage si lisse prendre des traits effrayés, tordus par la douleur.
Ils le méritaient tous. Ils méritaient tous de périr sous mes coups et mes pouvoirs. Tout était de leur faute. Tout. Si ils avaient eu la merveilleuse idée de rejeter la proposition de ces fichus Masters, ils n'en seraient pas là aujourd'hui ; parallèlement, cette... Livy ne méritait que le sort que je lui réservais. Elle allait payer. Pour Hideko, pour tous les autres, pour son sourire innocent, pour sa vie si belle, si rose, si parfaite. Je les haïssais, je les haïssais tous. De toute manière, ce n'était qu'une question de temps jusqu'à ce que je fasse une première victime. Il y avait toujours un début à tout, n'est-ce pas, Hideko ?
Le commencement de l'horreur.
Mes yeux brillaient toujours d'un éclat vif et sauvage, indomptable, tandis qu'autour de moi, un souffle d'air se mettait à tourbillonner.
Tue-la. Tue-la.
… Et que de son corps ne restent que des cendres.

- Ce n'était pas mon intention, excusez moi. Je ne fais que passer, je m'en vais.

S'en aller ? Pensait-elle que tout serait si simple ? Je fis un pas en avant, menaçante, alors que la gosse tournait les talons pour s'éloigner et qu'un autre arrivait pour l'intercepter et s'enquérir de son état. Oh, je l'avais traumatisée ? Pauvre chou. Je devais probablement utiliser mes pouvoirs de sensitifs sur eux sans même m'en rendre compte, tant la colère m'aveuglait. Je souhaitais juste les voir ramper au sol. Ne pouvaient-ils pas mourir et me laisser en paix ?

-Dites moi vous je ne vous ai jamais vu par ici auparavant, mais je peux essayer de vous aider si vous voulais bien ? 

À ces mots, ma haine redoubla, et ma voix, amplifiée par mon don de Sonore, résonna à nouveau avec force dans les environs.

– M'aider ? Comment peux-tu espérer m'aider, misérable insecte ? Tu ferais mieux de t'aider toi, et de prendre tes jambes à ton cou, crachais-je avec mépris, les yeux rivés sur les deux troubles fête que j'assassinais du regard.

Un rictus mauvais s'étira sur mes lèvres lorsque je pénétrai les pensées de l'adolescent. Quelle douleur, quelle tristesse... Un plaisir incomparable naquit en moi, vite remplacé par une rage plus sourde et plus puissante encore.
Faibles hommes.
J'amorçai plusieurs pas lents dans leur direction, accentuant la pression de l'air autour de leurs corps pour les rendre de plus en plus lourd, et les obliger à se plier en deux – quitte à s'aplatir au sol comme les chiens qu'ils étaient. Mourrez, mourrez tous.

– Regardez-vous... Vous n'êtes que des loques. Remerciez votre chère Directrice pour ce don formidable. Elle vous a offert la souffrance et la mort.

Au dessus de moi, le ciel s'assombrissait peu à peu, cachant bientôt la lumière tendre de la lune. Des éclairs fusèrent, tandis que la pluie se mettait à tomber à grosses gouttes. Je risquais probablement de me faire repérer par les Masters, mais je m'en fichais.
Tant pis pour la prudence. Vous connaîtrez bientôt le fruit de ma fureur.


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##   Sam 18 Mai 2013 - 7:48
Jacques Duroy

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Jacques Duroy
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Alors que le vent balayait la rue, je traversais la foule, littéralement. Nul ne semblait prêter attention à moi, fantôme errant dans cette ville que je ne connaissais point. Certains parlaient, mais aucuns sons ne parvenaient à mes sens, le silence grandiose et mortuaire laissait nul place au doute, ici je n'existais pas. Chaque phrases que je lançais s'égarées dans un vide pesant. Pas de réponses, pas même l'écho de ma propre voix. La plèbe, myriade de visages souriants, rayonnait d'un bonheur que je ne goutais pas, une joie dont j'étais exclu. Alors que je tentais non de fuir mais de trouver un lieux où peut-être je serais entendu, et j'avançais mais je ne progressais pas. Je ne pouvais quitter ce lieux infernal, ce monde où je n'avais guère de substance. Nul salut ne se présentait à moi et cela me condamnait à cette atroce solitude que je ne pouvais déjà plus souffrir.

C'est en nage que je me réveillais dans ce petit bosquet où j'avais dû m'assoupir. Me redressant, j'essuyais machinalement mon visage à l'aide de mais mains, ignorant les perles humides sous mes yeux à l'instar de cette affreuse boule au ventre qui venait troubler mon émergence du royaume des songes. La lune avait pointait sa pâle figure et moi, je comptais rafraichir la mienne. Le lac n'était pas loin et mon naturel fainéant était revenu au galop, hors de questions d'attendre d'être rentré pour cela. On me traiterait de précieux que la vérité se ferait toute proche.

Je m'étirais avec un bâillement dont ma mâchoire peinait à se remettre, chassant symboliquement les angoisses et autres pensées superflues, et me concentrais sur le premier besoin pressant... Il fallait que je fume. Le problème fut rapidement résolu alors que j'arrivais au lac. Un détail me rassurait, des voix, j'entendais des voix qui échangées. Je ne prêtais attention à ce qui se disait Depuis le couvert de quelques fourrées, je faisais rapide tour d'horizon, répondant à la question que je ne m'étais pas encore posé. D'un coté, deux personnes qui ne m'étaient pas inconnues, de l'autre une demoiselle qui ne me rappelait absolument rien. Je les aurais volontiers salués comme il se devait si un éclat de voix, féminin et hargneux ne m'avait pas arrêté dans ma démarche sociale. Le climat, décidément instable dans ce pays n'avait pas si soudainement changé. Alors que la journée avait été clair et douce, les nuages s'amassaient maintenant au dessus de nous. Pour reprendre une dictons populaire " Le ciel nous tombait sur la tête". Une éclair, tel une confirmation venait de frapper.

*Cette affaire sent le souffre.* me disais-je à moi-même.

Je prenais parti de ne pas m'engager de suite.... Courageux mais pas téméraire.


Tu périras ici. (Privé) 684226JacquesDuroy
##   Dim 26 Mai 2013 - 17:54
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Livy abandonna très vite l'idée qu'elle pourrait comprendre un jour ce qui se passait sous ses yeux. Elle ne cherchait même pas à comprendre ce que Léon faisait là, ce qu'il disait... Le connaissant, il tentait de la rassurer et d'empêcher l'intruse de lui faire du mal. Car, oui, vu son regard, son ton et ses mots, elle ne pouvait que leur vouloir du mal.

La demoiselle se serra un peu dans les bras de Léon et plissa les yeux. Il faisait froid, chaud, tiède, l'air était humide, sec, brûlant... La terre frémissait sous les pieds de Livy et était en même temps incroyablement calme... La surface du lac était d'un côté étrangement perturbée et de l'autre, plus loin, clair et propre... Comme si tous les éléments entourant les trois protagonistes réagissaient de manière menaçante aux sentiments de la femme.

Puis tout d'un coup, l'air se fit comme absent autour d'elle. Léon aussi sembla ressentir la même gêne. Elle se tourna et se retourna puis tomba à genoux, cherchant l'air quelque part. Elle ouvrit grand la bouche, inspira, expira. Elle pouvait respirer, mais très mal. Ce qui la faisait haleter.

– Regardez-vous... Vous n'êtes que des loques.
Remerciez votre chère Directrice pour ce don formidable. Elle vous a
offert la souffrance et la mort.

Livy écarquilla les yeux et tenta regarder la femme. Non, elle ne voulait pas du tout souffrir. Encore moins mourir.

-Pitié...

Le ciel s’obscurcit. Livy le comprit quand elle vit la lumière sur le sol disparaître et entendit les éclairs tomber. Ils étaient vraiment très proches. Elle se mit à trembler légèrement. De froid et de peur.
##   Sam 1 Juin 2013 - 16:51
Anonymous
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Mais qui était cette folle dingue là d'abord elle nous regardait méchamment et en plus de ça elle me traitait de d'insecte alors que je voulait tout simplement venir en aide à quelqu'un non mais, elle manquait pas de toupet celle là. Je voulais presque l'insulter mais je m’écorçait tout de même à rester calme pour ne pas empirer la situation même si cela au final ne servirait sûrement à rien.

Elle me regardait assez bizarrement mais qu'avais-je fait encore, au sh-- mince elle pouvait peut être lire dans mes pensées oups moi qui voulait les garder pour moi c'était bien ma veine tient. Elle commençait à avancer vers nous, ça c'était mauvais , en plus de ça l'air devenait assez lourd autour de nous et on commençait à en manquer ce qui me fit tomber au sol, ça c'était très mauvais qu'elle puissance elle avait cette fille, mais qui était elle à la fin. Puis la folle avait dit dans une grande violence :

-Regardez-vous... Vous n'êtes que des loques. Remerciez votre chère Directrice pour ce don formidable. Elle vous a offert la souffrance et la mort.

Euh non ma petite je compte pas mourir aujourd'hui certes je souffrais et c'était très douloureux mais Livy elle comment allait elle, j'essayais alors de la regarder, elle avait les yeux grands ouverts et avait atrocement peur quand elle lâcha un mot, juste un assez suffisant pour m'énerver * Pitié*.Ok cela en était trop, bon j'étais juste initié et un peut entraîné je pouvais bien faire quelque chose.

Malgré l'atroce douleur j'essayais au mieux de me concentrer comme me l'avait dit Hideko, finalement en situation réelle cela était beaucoup plus dur que je l'imaginais bordel mais si je faisait rien on allait y passer. Je créais alors un troue sous la tarée pour la déstabiliser en espèrent que cela marcherais. Un peu moin de pression me permettait de pouvoir aller jusqu'à Livy et je lui avait alors prit la main pour la serrer en disant sûrement la chose la plus stupide dans ce genre de situation :

-Tu te sens mieux pour le moment ? T'en fais pas normalement tout devrais bien ce passer il y à quelqu'un qui viendra pour nous en nous entendant...

Je ne pouvais rien dire ou rien faire d'autre à par au moin distraire la fille en essayant de faire pousser la nature pour qu'elle se mange des branches d'arbres en pleine face, j'ésperais que des renforts allaient vite venir pour nous aider car moi tout seul je pouvais rien faire .
##   Dim 2 Juin 2013 - 16:01
Aëlita Stones

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Un sourire cruel naquit sur mes lèvres, alors que leur peur enflait toujours plus. La gosse semblait sur le point de fondre en larmes. Leurs pensées s'entremêlaient dans mon esprit à la vitesses de la lumière, et je me délectais presque de ce que je ressentais. Ne pas vouloir souffrir ? Se protéger l'un l'autre, alors qu'ils n'étaient qu'une bande de misérables gosses dont le sort était déjà écrit ? Je n'avais même pas besoin d'user de mes dons de voyance afin de prévoir ce qu'il allait advenir d'eux ; je le savais déjà, et je le sentais au fond de mes tripes.
J'allais les anéantir, tous, jusqu'à ce que leur dernier souffle de vie ne s'envole pour disparaître dans l'air du soir.
Autour de nous, tout s'agitait avec force, et je ne contrôlais plus rien. Non loin de là, je ressentais une autre présence, mais je ne m'en occupais pas ; j'aurais tout le temps d'aller le détruire après en avoir finir avec cette Livy. Elle ne voulait pas souffrir ? Quel dommage. J'avais pourtant des plans tellement intéressants pour elle... Pitié ? Je ne céderais jamais à de telles bassesses. La pitié, c'est pour les faibles et les mauviettes.
Les pensées du jeune homme me tirèrent des miennes et me rendirent plus furieuse encore. La folle ? La folle ? Je ne suis pas folle. La seule folle, ici, c'est Hideko, cette maudite sorcière, cette infâme traîtresse ! Qu'on ne me mette pas dans le même sac qu'elle, ou il n'y aura pas le moindre survivant à ce pugilat. Moi, j'ai souffert, j'étais enfermée comme une bête en cage. Tout ça pour quoi ? Pour quoi ?!
Pour rien. Du vent.
Je me mis à léviter afin d'éviter de m'écrouler avec le sol. Pensait-il réellement pouvoir me vaincre ? Lui, ce vermisseau abject, pensait pouvoir utiliser ses pouvoirs contre moi ? Il avait tort. Ne savait-il pas à qui il avait affaire ? Ne comprenait-il pas qu'il risquait inutilement la mort ? Pas que je l'aurais épargné, ou que j'aurais abrégé ses souffrances, ne vous méprenez pas. Simplement, plutôt que de perdre son temps à me résister, il aurait mieux valu courir loin, très loin.
Au moins, la partie de chasse aurait été plus amusante.
Alors qu'ils se ratatinaient l'un contre l'autre dans une tentative de réconfort, j'esquissai une grimace dégoûtée. D'une pensée, je m'insinuai dans les leurs et utilisai mon pouvoir de télépathe pour leur tirer le plus de souffrance possible. Leur tête devait être serrée dans un étau si puissant qu'ils en deviendraient probablement fou avant que je ne les ai achevés. Mais j'avais assez joué, à présent.
Les branches d'arbre créées par ce Léon s'enroulèrent autour de leur corps et se resserrèrent de plus en plus, entravant leurs mouvements et leur respiration déjà hachée.

– La pitié, c'est pour les faibles.

J'atterris près d'eux, attrapai la gosse à la gorge pour la soulever de terre, plantant mes ongles de plus en plus longs dans sa gorge tendre de petite fille innocente. Je me délectais de ses tremblements et protestations douloureuses alors que je resserrais peu à peu ma prise, consciente que je pouvais la broyer sans effort.

– Et toi ? Es-tu faible ? murmurais-je alors, l'air sanguinaire, mon visage à quelques centimètres du sien. Si c'est le cas, je t'offre la mort sans hésiter.


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##   Mar 4 Juin 2013 - 2:59
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Je restais un moment interdit face à ce spectacle infernal. Noisette et Léon étaient à terre, comme écrasés par un poids invisible. Selon ce que j'avais entendu cela correspondait à des pouvoirs d'air. Thèse comfirmée par son décollage momentané du sol. Mais qu'elle atterrissait près de mes amis, je vis les racines créées par Léon se resserrer. Terre. L'aisance avec laquelle elle souleva Livy venait corroborer cette idée également.

Je ne comprenais plus rien, jamais je n'avais entendu parler d'une personne maîtrisant deux éléments, même Hideko qui était la personne la plus puisante de Terrae ne maîtrisait que le feu. Puis si cette femme en pouvait usager de l'air et de la terre comme elle le souhaitait, ne pourrait-elle pas contrôler les autres pouvoirs également? Cette hypothèse, pourtant capilotractée, avait une prégnance toute particulière sur mon esprit.

Oui cela m'intrigait et si Livy n'avait pas été en une si mauvaise posture j'aurais sans cherchais à nouer le dialogue.

Il fallait que j'intervienne rapidement. Mais que faire? Je passais en revue toute ce que j'avais à ma disposition. Cigarettes, stylo, briquet, mouchoir, préservatifs, carnet, argent, portable, papiers, clefs... Je n'avais que peu de solutions et aucunes ne me permettrais d'en sortir indemne... Et puis merde, je commençais à trembler.

Peur de mourir? Non. Hésitation face aux risque que je prenais? Non plus, Livy et Léon faisaient parti de ce qui ce rapprochait le plus à des amis à Terrae. C'était simplement l'effet de l'adrénaline sur mon corps.

Je chargeais sur l'inconnue qui tenait Noisette briquet à la main. Je tentais de plaquer le briquet contre sa gorge et de le faire exploser grâce à mes flammes. Ça laisserais ma main en mauvais état mais causerais pas mal de dommages. C'était aussi probablement mon unique chance...


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##   Ven 7 Juin 2013 - 18:12
Anonymous
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[Hrp: Jacques, ton post m'a bien fait rire. Vanille, fraise ou menthe?... 8D ]

-Tu te sens mieux pour le moment ? T'en fais pas normalement tout devrais bien ce passer il y à quelqu'un qui viendra pour nous en nous entendant...


Livy hocha la tête comme elle le pu et serra légèrement la main de Léon. La seconde d'après elle était comme prise par une migraine atroce. Des larmes se mirent à rouler sur ses joues à tel point elle souffrait.

La femme la souleva, plantant ses ongles dans sa peau et créant ainsi plusieurs blessures d'où coulait le sang écarlate de la jeune fille. Celle-ci serra des dents. Impossible de se concentrer. Tout ce qu'elle comprit dans le tas fut la question de son interlocutrice. Elle ouvrit la bouche pour répondre, la referma, cherchant l'air et finit par balbutier, de façon presque incompréhensible:


-Laissez...moi...

Tout ce qu'elle pouvait demander était de la pitié, une pause, qu'elle s'arrête. Elle cherchait à comprendre pourquoi elle lui en voulait tant. Qu'avait-elle fait? Elle en venait même à espérer qu'elle l'achève tout de suite au lieu de continuer à la faire souffrir ainsi.
Puis un miracle survint. Quelque chose qu'elle ne comprit pas non plus mais qui lui arracha un léger sourire soulagé quand elle reconnut la silhouette.


-Jacques...

Elle tomba à terre et se mit à toucher, crachotant quelques gouttes de sang. Elle avait la nausée et ne tenait pas debout. Elle voulait fuir. En plus de cela, les pensées des personnes présentes se mélangeaient dans son esprit. Toutes. Un brouhaha incessant et effroyable.
##   Sam 8 Juin 2013 - 16:38
Anonymous
Invité

Le troue que j'avais causé sous cette femme était assez grand et c'était creusé assez rapidement, mais la saleté l'avait évitée en lévitant, et en plus de ça elle c'était servis de mes propres branches pour me saucissonner. Il y avait eu d'un coup une sensation assez bizarre dans mes pensés cela avait été de la terreur c'était affreux je souffrais en me tortillant dans tout les sens, c'était instopable je voulais de l'aide mais personne ne pouvait m'entendre ou du moin entendre la douleur qui se profilait dans ma tête.

La fille était redescendu sur le sol juste devant nous en disant que la pitié était pour les faibles et elle avait attrapée Livy par la gorge en lui demandant si elle était faible. Bien sûr que dans le cas présent nous étions tous faible quelle question stupide, je voulais agir mais il m'était impossible de bouger avec ce mal de tête et ces satanés branche.

Quand soudain une silhouette au loin était apparue et se rapprochait de nous à grande vitesse, Jacques c'était Jacques, mais quel idiot pourquoi il était pas plutôt allez chercher des masters et Hideko tant qu'a faire. Je forçais alors comme un malade pour reprendre le dessus tant bien que mal sur mon esprit et me libérer des branches tendis qu'une explosion avait éclaté la ou ils se tenaient tous.

Le corps de Livy était tombé à terre dégoulinant de sang, la gorge remplie de plusieurs horribles trous. Je m’étais vite emparé d'elle pour la bander avec la seul chose que j'avais : mon T-Shirt qui était déchiré en lambeaux et en plus l'un de mes PRÈFÈRÈ // Cette femme je voulais lui faire payer, mais d'abord je devais m'occuper de Livy en lui enroulant les bandes sur ses blessures et à plusieurs endroits sur la tête, et dans un éclat de sanglot et à la fois de rage je disais :

-Désolé mademoiselle de rien pouvoir faire contre cette sâle con--- de garce au c-l mal léch- cette pu-e payera pour ses crimes promis !! Pardon de te decevoir essaie de te reposer avant la fin...désolé !!

Je déposais alors Livy prés d'un arbre en formant tout un dôme de terre et de plante tout autour d'elle espérant que cela la protégerait mais sûrement en vain vu que l'autre démolirais tout ça en un rien de temps, avant d'aller aux côté de Jacques qui avait la main toute brûlé et assez moche à voir . Je lui tendis alors un dernier morceaux de mon T-Shirt tandis que la femme avait été un peu repoussé par l’explosion mais n'avait dû sûrement rien subir.

Mon énergie me parcourrait violemment dans tout mon corps, cela était particulièrement bien mais j'aurais préféré que cela se passe dans un autre contexte, pauvre Livy pourquoi avait il fallut que ce soit toi, je me regardait dans une flaque d'eaux à mes pieds. Mon visage était complètement en larme, et mes yeux étaient devenus marron WHAT WHAT mais et mes beaux yeux rouges alors qu'étaient ils devenus. Je regardais alors Jacques en lui disant :

-Désolé pour ce qui arrive à Livy mon ami mais l'autre la je compte bien lui faire payer un jour même si ce ne sera sûrement pas aujourd'hui ça arrivera bien un de ses quatre et je l'attendrais de pied ferme !! Sûr ce....

Je m’était avancé seul vers la femme et m’étais mit à lui balancer des gros rochers qui traînaient par ci par là avant de me ruer sur elle pour lui donner un enchaînement de coup un peu hasardeux ne maîtrisant pas ma force pour finir avec un coup de pied dans sa salle face de rat tout en disant :

-Pourquoi t'en prend tu as une fille innocente bouffonne ? Pourquoi veux tu tant nous tuer tu vas répondre sale ordure ? T'en prendre à plus faible que toi c'est juste pathétique ! Croyez tu réellement que l'on ne se défendrait pas même face à une mort certaine hum je te plain...

En toute honnêteté je savais bien que cela ne servirait à par juste retarder notre mise à mort potentiel, mais que pouvais-je faire, regarder Livy mourir comme ça sans tenter quoique ce soit pfeuh que dal je préférais souffrir autant qu'elle plutôt que de m'enfuir devant ses yeux et la laisser se faire assassiner comme ça .

( HRP : Une fois qu'Aelita part Livy mourra de ses blessures à petits feu )
##   Jeu 13 Juin 2013 - 17:29
Aëlita Stones

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Misérables. Misérables insectes... Ils s'amusaient bien, n'est-ce pas ? Grouillez, grouillez donc ; je n'ai que faire de vos pitoyables paroles. Si vous attendiez de la pitié, ce n'était pas en ce lieu qu'il fallait la chercher.
Après tout, qui étaient-ils ? De pathétiques êtres suffocants. Cette fille, n'avait-elle aucune fierté pour se laisser faire ainsi ? Ne pouvait-elle pas tenter de se défendre elle-même ? Non, bien sûr que non ; elle attendait que l'on agisse pour elle, et qu'on lui sauve la mise ; mais la vie n'est pas toute rose, loin de là.
Je comptais bien le lui prouver.
Sous ma colère de plus en plus insatiable, ma main resserrait sa prise autour de son cou. Je me retenais de le lui briser immédiatement ; je souhaitais la voir souffrir le plus possible, qu'elle comprenne un peu de quelle manière j'ai vécu depuis mon arrivée ici.
Je sentis une autre personne arriver sur le côté, et ne pris que le temps de lâcher la gosse pour me téléporter un peu plus loin et éviter de me faire brûler par son explosion. Ahhh... Brûler est un bien grand mot lorsqu'on sait qui je suis.
Ma rage augmenta d'un seul coup et je pinçai les lèvres.

– Tu n'aurais jamais dû t'en mêler.

J'avais perdu ma concentration un instant, et le Terre en avait profité pour se libérer de ses liens pour aller aider la fille. Ses insultes me tirèrent un sourire effroyable, empli de toute la haine que je ressentais envers eux. J'observai un court instant son dôme de terre, ricanant. Ah, bien, il avait enfin fait quelque chose d'intelligent. Dire que les Terres étaient censés être des génies ! Quels abrutis.
Il se mit à me lancer des rochers dessus, et je les évitais en me téléportant, ne retenant plus le rire moqueur qui me secouait les épaules. Avant que les Masters n'arrivent, et je me doutais qu'avec le boucan qu'on avait fait ils n'allaient pas tarder, j'étais bien déterminée à m'amuser un peu. J'attrapai sa cheville lorsqu'il me lançai son pied en plein visage, et utilisai ma force de Titan pour le renvoyer aussi sec sur le nouvel arrivant. Merci mon don de vision qui me permettait de prévoir leurs mouvements – quoi qu'il ne m'aurait certainement pas tant blessée que ça si je l'avais simplement intercepté. Puis un large sourire fendit mes lèvres et je créais une explosion à leur niveau, les envoyant valser droit sur un arbre.

– C'est moi qui vous plains, je lançai alors d'une voix forte, amplifiée par mon don de Sonore, qui emplissait alors les environs. La plus pathétique, dans l'histoire, ce n'est pas moi. Je ne suis pas responsable de ce qu'il vous arrive : après tout, la seule coupable dans l'histoire, c'est cette garce d'Hideko.

Je ricanais à nouveau et me téléportai face au Terre, ayant adopté le visage de la petite télépathe. Mon sourire toujours bien en place, je le bloquai de mon pied contre l'arbre et murmurai à son oreille :

– Je n'ai aucun remords. Après tout, le chat n'en a aucun en exterminant des souris.

Un sourire en coin se glissa sur mes lèvres, et je me retins de lui enfoncer la tête contre le sol. Ma folie prit le dessus sur la raison, et alors que je m'apprêtai à le faire, ma main ayant déjà attrapé ses cheveux avec violence, je m'interrompis. L'énergie d'un Master se rapprochait, et je lâchai un grognement agacé. Je n'aurais malheureusement pas le temps de finir ce que j'ai commencé.
De rage, je lui cogne l'arrière du crâne contre le tronc de l'arbre avec force avant de le lâcher, et de leur lancer un regard assassin, toujours sous la forme de leur amie.

– Un jour, je reviendrais t'achever, pauvre hère.

Et je me téléportai alors ailleurs dans Terrae, toujours tourmentée par mon cœur qui se serrait de douleur à la pensée de l'homme que j'aimais.


Calm down right now, please.

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##   Dim 23 Juin 2013 - 20:14
Jacques Duroy

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Jacques Duroy
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Que venait-il de se passer exactement? En quelques secondes l'avantage que je pensais avoir amené avec mon assaut surprise ne fut rien de plus qu'un coup dans le vent. L'explosion de mon briquet avait bien eu lieu et la douleur des flammes et des éclats de plastique fondus qui mordaient ma chair était bien présente mais de cible devant moi il ne restait rien. 

Alors que je grimaçais de douleur, je réalisais que mon hypothèse venait d'être validé, elle maîtrisait bien au moins trois éléments et je m'attendais à ce que les deux autres rasent eux aussi parti intégrante de son arsenal. 

Léon venait de mettre Noisette à l'abri et me tendait un lambeau de qui fut un T-shirt pour que je couvre ma chair brûlée à vif. Mais c'était un peu le cadet de mes soucis. Je restais tétanisé devant notre adversaire en tentant d'imaginer l'étendu de son pouvoir. Sans avoir de preuves, j'avais la certitude qu'elle contrôlait tous les éléments avec un puissance démesurée, cela lui offrait un jeu de compétences très large, presque infini. 

Alors que je réalisais avec effroi la conclusion du mon analyse, je fus percuté par un projectile des plus curieux, un Léon. Le choc, déjà douloureux en soi fut suivit par un explosion qui nous projetât avec violence contre un arbre. Il me semblait que dans l'action un de mes cottes s'était brisée, mais la douleur, enfin les douleurs m'empêchaient de faire clairement le point.

Complètement étourdi par ce que je venais je cotais pourtant plus que clairement ce qu'elle nous dit. Sa voix avait retentit tel le tonnerre et vrilla probablement mes tympans. Que venait faire notre directrice ici? Je me promis de trouver la réponse à ce cette question si je survivais à cette rencontre... Si je survivais. À vrai dire, mourir ne me dérangeais pas plus que cela mais mourir sans comprendre pourquoi était un autre problème. 

Alors qu'elle avait prit le visage de Livy pour torturer ce pauvre Léon, je songeais que l'effort d'imagination pour le briser à la fois mentalement et physiquement laissais à désirer. Avec les dons qu'elle possédait sans doute, elle aurait pu pousser le vice bien plus loin.  J'y voyais une forme d'amateurisme, peut-être que la quantité de possibilités pour faire pire ne lui venait pas à l'esprit, un manque d'ambitions sans doutes.

Elle porta un dernier coup à Léon et lui promit de revenir l'achever. Quelque part ma fierté fut blessée du fait qu'elle n'avait pas pris la peine de me menacer de la sorte, je me sentais insignifiant. Notre assaillante disparu sous nos yeux. Je me redressais laborieusement et me dirigeais en titubant vers le dôme de terre qui protégeais Noisette. Cela m'évoquais d'avantage une tombe qu'un bouclier. Inquiet, saisit d'une doute funeste j'appelais Livy:

" Noisette? C'est terminé elle est parti."

J'attendais, fébrile, une réponse quelconque.


Tu périras ici. (Privé) 684226JacquesDuroy
##   Dim 23 Juin 2013 - 21:47
Anonymous
Invité

[Hrp: Là c'est glauque, dur à écrire et ça me donne des frissons... Excusez moi si c'est court et pas super...]

L'intérieur du dôme était sombre et il ne laissait filtrer que très peu d'air. Les sons qu'entendait la jeune fille étaient lointains, vagues et effrayants.
Elle était couchée sur le côté, respirant avec peine et souffrant affreusement de ses diverses blessures. Ses cheveux sales, boueux et tâchés de sang se plaquaient sur son visage qui perdait avec une vitesse hallucinante ses couleurs.
Livy se forçait à écouter les bruits et à tenter de percer la noirceur de son "bouclier". En vain. Elle frissonna en se rendant compte que se vidait de son sang. Le liquide coulait de son cou et allait tâchait son haut à la base immaculé. Ses jambes perdaient de leur force et elle perdit l'envie de se forcer à respirer.
La jeune fille se laissa aller doucement.



-Noisette? C'est terminé elle est parti.

Elle tenta de lever la tête vers le son mais y renonça très vite. Elle expira et inspira en cherchant de l'air et commença à avoir peur... Mais cela ne fut que très bref. Une mousse écarlate perla au coin de ses lèvres et elle garda les yeux braqué sur le seul point lumineux du dôme. Elle venait de découvrir l'une des seules ouvertures de ce tombeau.


[Hrp: Et voilà elle est mourut °° les yeux ouverts.] 
##   Lun 24 Juin 2013 - 13:15
Anonymous
Invité

Cette garce je voulais lui faire payer, la faire souffrir mais comment, elle avait évité mes projectiles en se téléportant dans tous les sens et si ce n'était que ça encore ça irait mais non il avait aussi fallu qu'elle évite tous mes coups en se moquant de moi avant d'attraper ma cheville, je supposais que de ce que j'avais pu voir elle devait sûrement disposer de tout les pouvoir car une personne " normal " aurait du se le prendre celui là de coup. Mais non elle l'avait intercepté avant de me faire voler sur Jacques, le percuter avait un peu amorti le choc. 
A peine avais-je eu le temps de souffler qu'une explosion nous avait propulsé violemment contre un arbre avant de nous dire qu'elle nous plaignait et de traiter Hideko de garce pathétique. Mais qu'est ce que la directrice venait foutre dans cette histoire, que c'était il passé pour que les choses en arrive là, un jour je lui demanderais quand j'en serais capable. Elle c'était téléportait à quelque millimètre de moi avant de m'écraser sur l'arbre avec son pied. Je ne ressentais rien aucune douleur juste de la rage envers elle, j'avais tellement envie de l'étriper, de la voir souffrir encore plus que Livy, mais il m'en était impossible. 

 Son visage avait pris la forme de celui de Livy, qu'espérait elle faire comme ça hein, avec moi ce genre de passe passe ne marchait jamais, cela servait juste à renforcer ma fureur. Alors qu'elle m'écrasait pour m'empêcher de bouger elle m'avait murmurée à l'oreille qu'elle n'avait aucun remord en gardant son sourire de sadique complétement puérile. Alors qu'un autre sourire naquis sur ses lèvres, elle m'avait attrapé par les cheveux en un mouvement brutal puis c'était stoppée comme si elle sentait quelque chose. Son grognement résonnait en moi et en un geste elle me cognait la tête sur l'arbre dans une grande violence, j'avais pu sentir quelque chose craquer dans mon dos à ce moment là. Elle me lâchait alors ne me regardant et me menaçant de revenir m'achever oubliant totalement Jacques, remarque au moin elle avait pas à subir une pression chaque jour. 

Elle était finalement partie nous laissant dans notre douleur, Jacques c'était relevé et c'était dirigé vers le dôme appelant Livy lui disant que tout était fini. Dans un mouvement je gémissait de douleur pour le rejoindre en créant une ouverture dedans le dôme, ce que j'aurais pas du faire car Livy était presque recouverte de sang au visage et sa respiration fut brève. je m'étais rapprochait de son corps tendant l'oreille prés de sa bouche, rien, je ne sentait rien elle était vide...Son pouls était inexistant...Elle était devenue froide et pâle...La vie...Sa vie l'avait quittée...Laissant derrière elle un corps totalement inerte. 

-Jacques ! L'appelais-je en sanglotant, Livy...elle nous à quittée, c'est fini appel quelqu'un s'il te plait...Moi je n'ai pas la force de bouger, j'ai les os du dos en morceaux et j'ai la tête qui tourne trop... 

Je m'étais allongé au côté de Livy, pleurant toute les larmes de mon corps, la douleur physique n'était rien comparé à celle de mon cœur, je me contentais juste de respirer durement, ma colonne devait être en charpie tendis que ma tête saigné dans un dernier souffle j'avais alors dis:

Cette femme paiera un jour !! Avais-je dis avant de m'évanouir définitivement.   



 
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