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A la rencontre d'un McWind [RP SEUL]
##   Mar 2 Juil 2013 - 20:42
Dan Ushiromiya

Personnage ~
► Âge : 18
► Doubles-comptes ? :
► Rencontres ♫♪ :
Dan Ushiromiya
Inactif
Messages : 236
Date d'inscription : 22/06/2011
Emploi/loisirs : #Stock Exchange
Humeur : #Furieux

A la rencontre d'un McWind [RP SEUL] 727347sanstitre43
« He’s not your everyday on the block
He knows how to work with what he's got
Making his way to the top
He often gets a comment on his name
People keep asking him was it given at birth
Or does it stand for a nickname?
He'll make you die of fear than a dissection of his sister
He is known around as one of the best
Excellence is his only sin.
He’s 100% reason to remember the name. »

Dan avait fait réservé un billet direction New-York pour dans une heure. La durée du vol était d’environ 13 heures. Ne pouvant sortir seul de Terrae, il avait demandé à son cousin, Ted Ushiromiya, master Terre de l’accompagner. Après tout, c’était des affaires familiales, et il n’avait pas forcément envie d’impliquer un étranger là dedans. Il avait prévu de quitter Terrae pour quelques jours, voire plus d’une semaine. Il avait besoin d’air, et ses affaires pourraient prendre plus longtemps que prévues à être résolues. Il avait donc fait sa mini-valise, et attendait son cousin devant le portail. Il était encore plus séduisant que d’habitude : il avait une chemise noire avec sur le col  le symbole des Ushiromiya brodée en or. Il avait un jean noir, en parfait accord aves sa chemise. Le soleil l’éblouissait, et les dernières lunettes de chez Ray Ban le protégeaient. Dan était quelqu’un de très ponctuel, et avait horreur des gens qui le faisait attendre. Oui, car Dan n’aimait pas attendre. Il n’avait pas averti ses sœurs de son départ. De toutes façon, Celia était occupée, tandis qu’Akari était furieuse contre lui. Il attendit une bonne dizaine de minute, jusqu’à ce que son cousin vint enfin pointer sa petite tête. Il s’appelait Ted Ushiromiya, de la troisième branche. Il avait le même âge, et avait la même taille que Dan. Ses yeux et ses cheveux était d’un rouge sang plutôt effrayant, mais par rapport aux membres de sa famille, Ted se révélait être quelqu’un de plutôt… « normal », du moins, rationnel et calme. Très sociable, ouvert et séduisant, il ne laissait pas la gente féminine indifférente, même si sa popularité n’était pas aussi grande que celle de l’Héritier. Ces deux-là s’appréciaient beaucoup. Avant même que Dan ne puisse lui reprocher quelque chose, Ted prit la parole :

- Oui, je sais, je suis en retard, Dan ! Mais tu vois… j’aidais un enfant à traverser la rue…

Dan resta silencieux, et lança un regard assez explicite à son cousin : « Arrête de te foutre de moi ».
Ted comprit le message, se mit à rire et passa la main derrière les cheveux :

- Ok ok, désolé, cousin ! Au moins, on va pas rater l’avion !

Dan soupira, et se mit à marcher. Décidément… Ca commençait bien.

13 heures passèrent…


« Ladies and gentleman, it’s 7.00 p.m local time in New York. We hope you’ll have a great trip! »


Dan s’étira. Le voyage avait été long, très long. Même s’il était en première classe, les films qu’il y avait étaient nuls, et il ne captait évidemment pas de réseau. Il s’était donc résolu à dormir un peu, tandis que son cousin était en train de jouer à Temple Run sur son Ipad, et de temps en temps, dérangeait les passagers en hurlant des « Yeaaah ! » et des « Shit, man ! I got eaten ! ».
L’avion se posa sur la piste d’atterrissage, et les passagers commencèrent à sortir. Il faisait aussi  beau qu’au Japon, ce jour-là. Dan sortit son téléphone, et regarda dans ses notes l’adresse qu’il avait écrite.

- Il est juste à côté de la gare. –fit-il.
- On ne va pas entrer par effraction, si ?-demanda Ted, inquiet.

Dan fit un petit sourire amusé.

- J’aurais bien voulu, mais il est à son boulot, là.

C’est ainsi qu’ils arrivèrent devant un immense gratte ciel qui devait compter une centaine d’étages, voire plus. Placé entre deux autres immeubles, la sécurité était très renforcée. Celui qu’il allait rencontrer n’était pas n’importe qui. PDG d’une grande société Latino-américaine de cosmétique, il travaillait un jour par semaine dans un des restaurants des Ushiromiya pour les espionner. C’était un homme que Dan connaissait parfaitement. Ils arrivèrent à l’entrée, où deux gardes leurs barrèrent le passage. L’Héritier eut un léger sourire. Deux simples hommes osaient l’arrêter. Il plongea son regard glacial dans les yeux d’un des deux gardes.

- Pourquoi ne puis-je pas passer ?
- Seuls ceux qui y sont autorisés le peuvent, monsieur. De plus, vous semblez être anglais, vu votre accent.

Dan arqua un sourcil, avant de s’approcher dangereusement du visage du garde.

- Figurez-vous que je suis Zero Ushiromiya. Vous oseriez vraiment me barrer le passage ? –demanda-t-il sur une voix railleuse, en insistant sur le mot « vraiment ».


Le garde se pétrifia. Il avait entendu parler de ce fameux Zero Ushiromiya, qui avait disparu depuis pas mal de temps. Dangereux, cruel, cynique, très séduisant, disait-on. Il lui était impossible de douter. Il avala difficilement sa salive, avant de dire :

- P-Pardonnez moi, monsieur. Si vous voulez, je peux vous accompagner. Qui voulez-v-
- Peter McWind.-répliqua Ted en s’étirant.
- Je suis sincèrement désolé, monsieur, mais il faut prendre rendez-vous p-
- Vraiment ? Je vais régler ça tout de suite.-fit Dan en sortant son portable et en composant le numéro du concerné.

La voix de la secrétaire retentit. Dan ne dit qu’une chose : « Je suis Zero Ushiromiya, je dois voir Peter. Dîtes lui de m’ouvrir ou je m’occupe personnellement de son cas et de son entreprise. » Très vite, le talkie-walkie du garde s’alluma, et il reçut l’ordre de les laisser passer.
Dan pénétra dans les couloirs, toujours avec ses Ray Bans. Ted le suivait, en soupirant. Quand il était à côté de l’Héritier, impossible d’attirer l’attention sur lui. Dan dégageait un tel charisme, et une telle élégance que… Ted semblait être invisible à ses côtés. Inutile de décrire toutes les travailleuses qui bavaient à son passage. Et même certains hommes. Ils arrivèrent à l’ascenseur. Le PDG était au dernier étage, comme par hasard. Ils avaient 112 étages à monter… Durant tout le « trajet », Dan expliqua à Ted ce qu’ils allaient faire exactement. Après cinq bonnes minutes, l’ascenseur s’arrêta enfin pour annoncer : « 112th floor ».
Leurs pas résonnaient dans le hall, et des plaquettes de couleur or indiquaient le bureau du PDG. Ted et Dan suivirent les instructions, et arrivèrent enfin devant une grande porte noire mat. Dan l’ouvrit et tomba sur le bureau de l’assistante. Elle rougit à la vue de l’Héritier, et s’empressa de donner les indications.

- Monsieur McWind est actuellement en réunion avec le personnel, donc vous devez attendre encore qu-

Dan baissa légèrement ses lunettes, montant ses beaux yeux émeraude :

- Mademoiselle, j’espère que vous ne perdrez pas votre place à cause de moi.

- Que voulez-vous-

Dan s’avança vers la porte du PDG, et l’ouvrit, interrompant la réunion. Tous les regards étaient rivés vers le jeune homme, qui enleva ses Ray Ban.

- Je ne m’excuse pas messieurs, car j’ai quelque chose de très important à dire à votre chef. Donc si vous voulez bien nous laisser…

- Comment !?-s’indigna un vieux du personnel- Qui êtes vous ? Et comment osez vous venir dans notre propre entreprise pour nous dire ça ?

Dan rit légèrement. C’était un rire amer, cynique, mais amusé.

- Je suis Zero Ushiromiya. C’est grâce à moi et à nos fonds que votre entreprise avance. Je suis très indigné que l’on me remercie sur ce ton…


Le vieux se figea, abasourdi. Il ne s’attendait vraiment pas à ça.

- Excusez-moi, monsieur…
- Si vous voulez vraiment vous repentir, quittez votre poste maintenant.


Peter McWind se leva violemment, toisant du regard le blond.

- Monsieur Ushiromiya, laissez le. Je m’occuperais de sa sanction. Et puisque vous avez des choses importantes à me dire, je vais suspendre cette réunion et vous accueillir.
- Je n’aime pas attendre, vous le savez bien. Donc dépêchez-vous.-ordonna Dan, en lançant un clin d’œil à Ted.

Tout se passait comme prévu.  Il aimait jouer avec Peter, c’était une proie facile. Les employés quittèrent la salle, en saluant le PDG, Dan et Ted. Ces deux-derniers rentrèrent dans le bureau, presque insouciants. Alors que le chef était debout, Dan s’assit sur la chaise et mit ses deux pieds sur la table.

- Mais pourquoi t’es toujours debout, Peter ? Assieds-toi.

Peter ne pouvait pas supporter cet homme. Mais sa richesse dépendait de lui. Il n’avait pas le choix. Il lui obéit.

- Que vouliez-vous me dire ?-demanda Peter sur un ton sec.

Ted soupira.

- Peter McWind, vous travaillez en tant que « John Fenster » dans un des restaurants Royal Garden, qui appartiennent à notre groupe. Votre revenu vous permet largement de vous payer trois villas et de glander toute la journée. Donc, nous supposons que vous essayez d’obtenir quelque chose chez nous. N’est-ce-pas ?-expliqua le Master.
- Tout à fait.
- Au moins t’es honnête… -constata Dan en souriant, avant de renchérir- Donc, c’est quoi ton problème ?


Il y eut un moment de silence, avant qu’il ne réponde :

- La situation de ma sœur.
- Bien sûr. Tu as des nouvelles d’elle chaque semaine par l’intermédiaire des mails d’Akari, donc épargne-nous tes excuses à deux balles…
- Tu ne vas pas faire comme le maire qui voulait voler notre argent, si ?-demanda Ted.
- Que voulez-vous dire ?
- Peter, ça ne marche pas avec moi… -soupira Dan.


Peter prit sa tasse et la but longuement, tout en observant du coin de l’œil, Dan, qui malgré son apparence impassible, avait envie de se lever et de lui arracher la tête. Il se vengea néanmoins, en prenant le téléphone du pdg, et ordonna à l’assistante de lui amener deux capuccinos.

- C’est que tu n’es pas très accueillant, Peter. –justifia Dan, un sourire ironique aux lèvres.


L’assistante, rougissant de plus belle, amena les deux capuccinos et s’enfuit de la salle. Elle n’aimait pas cette atmosphère lourde qui y régnait… Dan prit une gorgée de la boisson, avant de continuer :

- Tu attends le père noël, Peter ?-fit Dan, agacé.

-

Dan posa violemment la tasse sur la table en ébène, et, regardant son interlocuteur avec froideur, il fit, sur un ton sec :

- Tuer Harry McWind, n’est-ce-pas ? Tu es venu travailler dans le restaurant pour justement te rapprocher de la famille, et pour ainsi t’informer sur la position exacte d’Harry, qui est entre nos mains. C’est cela,  n’est-ce-pas ?

Peter fixa Dan, surpris. Jamais il n’aurait cru que son plan serait aussi facilement deviné. Il avait mis en place toute une mise en scène pour ne pas être découvert. Cet homme l’impressionnait. Il méritait bien son nom d’Héritier. Il était doté d’une intelligence et d’une perspicacité incroyable, surement un cadeau de sa lignée. Mais ce qui le dégoûta encore plus, c’était le fait qu’il jouait avec lui depuis tout ce temps. En effet, il savait parfaitement ce qu’il cherchait, mais il prenait le temps de le torturer mentalement, et de lui faire dire la vérité. Peter le savait déjà, que Dan était vraiment dangereux et qu’il fallait s’en méfier. Mais pas à ce point là.
Dan esquissa un sourire. Un sourire effrayant, ironique, moqueur, hautain.

- Ne sois pas si surpris Peter. Devant mes yeux, tu es mis à nu. Je sais. Je vois. Pendant tout ce temps, tu as essayé de m’échapper. C’était une compétition. Mais tu sais qu’il n’y a qu’une fine limite entre la compétition et le désir de mourir…. à mes yeux du moins. Tous ceux qui essayent de m’avoir finissent très mal. Tu le sais mieux que personne.


Peter détourna le regard. L’aura qui émanait de l’Héritier était dangereuse. Il était un leader né. Il avait tout ce charisme, toute cette classe… Sans oublier son don de persuasion.

- Qu’est-ce-qu’il y a, Peter ? Tu es tout pâle.
-

Ted intervint. Il savait que si Dan continuait ses piques, Peter allait perdre ses moyens. Oui, car une fois que l’on met en route l’Héritier, il ne s’arrêtera pas jusqu’à ce qu’il vous voit écroulé par terre, en train de souffrir.

- Bien, calmons-nous. Peter, il est évident que tu connaisses nos intentions.
- … Je ne m’arrêterai pas. Je veux tuer Harry McWind. Cet homme…. Tout est de sa faute ! –répliqua Peter, sur un ton très dur et fort.
- Peut-être que si ta mère avait écouté son frère, ça ne serait pas arrivé.-souligna Dan, en buvant une énième gorgée de son capuccino.

- Ne parlez pas de ma m-
- Dan, calme-toi. Ce n’est pas le problème,-coupa Ted-, il faut que tu saches que si jamais tu continue à essayer de tuer Harry, on-
- Ta petite sœur sera en danger.-finit Dan, avec un air très sérieux.

- Qu- ?
- Oui, tu as bien entendu. Celia McWind Ushiromiya est avec moi, je te rappelle. Je n’hésiterais pas à mettre la main sur elle si tu fais un seul faux pas. Je sais que tu joues le faible, alors que tu as réussi à acheter une famille mafieuse pour s’infiltrer dans toutes nos maisons, et pour chercher Harry. La petite-sœur de Ted, et mes cousins de la seconde branche s’en sont occupé avec douceur.  

- C’est un conseil, Peter. Arrête ça. Tu vas mettre Celia en danger. Et pas seulement elle. Liza est sous surveillance également. –renchérit Ted, avec un air sérieux.

Peter tenait beaucoup trop à ses petites sœurs.

- Pourquoi… POURQUOI N’AI-JE PAS LE DROIT DE TUER MON PROPRE PERE ? CE N’EST PAS LE VOTRE A CE QUE JE SACHE ! –hurla Peter, agacé.

Il en avait marre. Il n’était qu’un oiseau en cage, fermé à double-tour. Il avait beau se cogner contre les barreaux, cela ne faisait rien. Dan Ushiromiya était toujours là pour le remettre à sa place, la clé en main. Avec l’autre main, il tenait ses sœurs. Peter avait beau se plaindre, il savait que Dan faisait un meilleur frère que lui. Beau, intelligent, protecteur, prudent, il était le grand-frère parfait. Peter était prêt à parier que Celia était heureuse, et serait plus heureuse avec Dan qu’avec lui. Et si Dan tenait à laisser Harry en vie, c’était surement pour une raison valable. Peter n’en doutait pas. Il avait confiance en cet héritier. Mais il ne voulait pas savoir son père en vie. Il le haïssait, il le méprisait. Sa mère avait tellement souffert à cause de lui.


- Peter McWind, tu laisses tes sentiments t’aveugler. Ca te mènera à ta perte. Veux-tu savoir pourquoi je garde Harry en vie ?

-… Dites-moi.

Le regard de Dan s’assombrit. Ses yeux pétillants étaient devenus brûlants de haine, et de colère. Il prit un stylo et commença à jouer avec :

- Celia doit voir son père. Elle doit connaître la vérité derrière sa famille, en ayant son père devant elle. Cet homme doit se faire humilier devant sa propre progéniture. Je le torturerais psychologiquement jusqu’à qu’il n’en puisse plus. Et enfin… je l’enverrais dans la salle de torture et il mourra là bas.

Le stylo commença à fondre. On aurait presque dit du magma à haute température. Le bois de la table, ne supportant pas la chaleur, fondit à l’endroit où il y avait le liquide. Peter n’avait même pas fait attention à ce qu’il se passait. Les paroles de Dan retentirent dans son esprit. Cet homme… il vouait la même haine que lui… comme si c’était sa propre mère qu’on avait humiliée, comme si c’était ses propres sœurs qu’on avait délaissé. Peter ferma les yeux, et réfléchit.

- … Dans ce cas, monsieur Ushiromiya, laissez moi… le voir avec Celia. J’ai… des choses à lui demander.

Dan hocha la tête, et se leva.

- Marché conclu. Jusqu’au jour où  Celia sera prête à apprendre la vérité, tu restes dans ton coin, invisible. Je t’avertirais lorsqu’ Harry pourra être vu.  


Peter hocha la tête et regarda l’Héritier partir accompagné de son cousin. Bien que derrière ses apparences de dur, Dan chérissait plus que n’importe qui ses proches. Il posa son regard sur son fond d’écran, et déclara, avec un sourire :

- Je crois que… tu as eu beaucoup de chance de tomber sur quelqu’un comme lui, Celia…

Dan et Ted arrivèrent à l’aéroport juste à temps.

- Direction l’Angleterre !-fit Ted, tout content- On pourra voir tout le monde !

- Oui, mais avant ça…

Il composa un numéro allemand et tomba sur la messagerie. Il y laissa avec un ton trèèèès doux  un agréable message :

« David Von Blumen, dans trois heures, tu ramène ton derrière au manoir principal. Si jamais tu te défiles, saches que je viendrais te chercher et que je te découperais en rondelles. Je suppose que tu connais déjà les raisons de cette entrevue. Nous passerons surement un très agréable moment, en tête-à-tête ou pas. Sur ce, profite bien de tes dernières heures… »


A la rencontre d'un McWind [RP SEUL] Signad10

« Wanna see my awesome slice of hell?  »

Is it too late...?:
 

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