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Tiens, qui voilà? [Ipiu Raspberry]
##   Mar 23 Juil 2013 - 10:19
Ipiu Raspberry

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Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser !

Comme dit la plus que célèbre chanson de Baloo, il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux. C’est donc avec naturel qu’un sourire vient illuminer son visage. Ce genre de sourires tellement difficiles à imiter, ceux qui viennent du cœur et donne de la chaleur dans une journée de pluie. Un de ses sourires simples et sans malice que les enfants peuvent offrir.

La gamine est heureuse de pouvoir rendre service à quelqu’un. Toujours. C’est comme prendre du chocolat pour certains, une drogue, un plaisir. Sauf que contrairement au chocolat son plaisir ne fait pas grossir. Ou du moins tant qu’elle ne se mettra pas à faire la cuisine pour quelqu’un. Ce qui n’arrivera vraisemblablement jamais vu que Julien est mort. Si elle se remettait à la cuisine se ne serait que ponctuel, donc elle ne grossirait pas.

Sur les genoux elle passe derrière le garçon, avec application elle se saisit de la franche du jeune homme qu’elle peigne en arrière avec ses doigts. Elle fait subir le même sort à tous les petits cheveux qui encombrent le visage de Takeda, mais elle laisse les autres tomber naturellement dans son cou. Elle est vraiment surprise de leur texture. Alors ça existe vraiment un garçon qui prend soin de ses cheveux ? Elle hésita à faire simplement une queue de cheval avec ces cheveux fous, mais finalement il avait bien dit qu’elle devait rendre sa chevelure aussi belle qu’utile ? Rien de plus simple…

Une coiffure s’impose à elle. Elle tresse les cheveux bruns… Une coiffure qu’elle jugerait d’elfique, la même que Légolas dans le seigneur des anneaux… Sauf que la longueur des cheveux du garçon rappelle plus celle de Boromir, enfin passons. Satisfaite de son travail elle noue l’élastique pour le faire tenir.


« Fini ! »

Elle sent que sa propre tresse est en train de se défaire, elle fait donc couler les doigts d’une de ses mains dedans alors que l’autre main s’empage du second élastique et défait sa seconde tresse. Pourtant ses cheveux ne restent lâche tout au plus une poignée de seconde. Avec la rapidité qu’entraine l’expérience, elle se recoiffe réunissant tous ses cheveux en une unique tresse, décalée sur la droite de manière à laisser son cou libre et pouvoir couler sur son épaule.

Un éclat attire son regard alors qu’elle s’est redressée pour cette séance coiffure. Elle le désigne du doigt en s’écriant :


« LAAAAAAA ! »



“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
##   Mar 23 Juil 2013 - 15:44
Anonymous
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Elle avance sur ses genoux, l'élastique en main.
Sa démarche me faisait penser à un pingouin. Drôle de pingouin, certes mais avancer en balançant d'un côté puis de l'autre et ainsi de suite jusqu'à se trouver derrière moi. Ipiu le pingouin... Sympa. J'aimerais savoir ce à quoi les autres pensent en train de nous regarder marcher à quatre pattes, chercher quelque chose qu'ils ne savent pas, se cogner la tête, tenir nos visages à quelques centimètres dû à notre choc et surtout la voir se déplacer tel un pingouin... Amusant quand même.

Je sens mes cheveux se faire tripoter dans tous les sens une nouvelle fois, elle doit sûrement chercher une coiffure avec laquelle je pourrais me promener sans aucun problèmes, je me vois bien avec plusieurs coiffures malgré le fait que ma tête soit entre ses mains, je pense qu'elle fera une coiffure convenable pour moi... J'espère... J'ai des doutes, j'ai même peur. Une inconnue et son vernis me rencontrent sous un arbre sur lequel elle pendait, me mouillant tout le visage afin d'aspergé mes cheveux pour les rincer, prendre ma main et s'agenouiller pour trouver des lunettes... Waw... J'aime cette situation, c'est rare comme scénario, aussi rare que moi.

Elle s'écrie d'avoir fini, je sens mes cheveux ne formant qu'un tout. Je n'y connais rien en coiffure, mes cheveux ont toujours été gardés par mon bandeau, jamais je n'ai pensé à savoir faire une coiffure autre que la "mienne". Je secoue la tête et... Je sens... Quelque chose qui pend... C'est quoi ça? J'effleure mes cheveux pour comprendre ce que c'e... Une tresse! J'ai une tresse, une tressssssse!! J'aurais dû y penser saperlipopette, elle est friande de tresses. Mon dieu, que je dois être élégant...

- Mer.... Merci pour la coiffure...

Je la vois défaire ses belles tres... Mais, je dois avoir une de ces tresses aussi, ça doit absolument pas donner la même chose, je donnerais cher pour voir à quoi je ressemble... Mais bref, elle défait ses tresses en y passant délicatement ses doigts. Je la regarde se relever.

- LAAAAAAA !

Je tombe par terre de ce cri qui m'a réellement surpris, mes fesses amortissent fortement le choc. Je frotte directement mes coussins naturels pour faire partir la douleur, tout le monde fait ça, se frotter en pensant que ça enlèvera la douleur... Quelle bêtise quand même. Je me reprends, je me relève.

- Quoi, "LAAAAAAAAA"?! Tu m'as fait peur!
##   Mar 23 Juil 2013 - 23:28
Ipiu Raspberry

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Friande des tresses, ça s’est rien de le dire, la gamine est fan. D’une part c’est super pratique, ça retient tous les cheveux dans une coiffure simple, d’autre part c’est gracieux. Certes, elle ne s’amuse pas tous les jours à se faire des tresses compliquées, bien qu’elle maitrise environ une dizaine de manière de tresser ses cheveux. Pourtant là elle choisit et pour Takeda et pour elle une tresse simple à trois brins, rapide et efficace.

Elle n’a pas attaché sa tresse, elle a oublié toute heureuse qu’elle était de sa trouvaille. Un reflet, avec un peu de chance c’est celui du soleil sur l’un de ses verres. Le chouchou reste en bracelet sur son poignet. Un boum la prévient que sa réaction vive à surprise le garçon. Elle hésite presque à se moquer de lui, mais en même temps c’est de sa faute à elle s’il a usé son moelleux coussin arrière… Même s’il en rajoute un peu non ? Il est tombé de quoi ? Quarante ? Cinquante centimètres ?

Enfin, elle ne va pas non plus s’excuser on quoi hein ? Elle ne considère pas avoir fait une grosse faute, et de toute manière une chute c’est un bon moment pour rigoler. Toujours, le tout c’est de le faire avec un peu de tact. Un sourire, pour adoucir les mots, faire en sorte qu’il comprenne qu’elle plaisante.


« J’admets j’ai la tête d’une sorcière, toutes mes excuses pour t’avoir fichu la trouille, mais je crois qu’avec mes pouvoirs magiques j’ai repéré mes lunettes ! »


Sur ce, toujours à quatre pattes, elle se dirige vers l’endroit qui a attiré son attention. Elle avance avec précautions, histoire de pas écraser ses lunettes par inadvertance. Elle peut tout aussi bien s’être plantée et le soleil le reflet provenir d’ une canette de coca. Mais le saint graal se retrouve bientôt sous ses doigts !


« YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES ! »


Elle enfile ses lunettes, elle cligne des yeux, étonnée comme à chaque fois qu’elle enfile ses lunettes. Elle retrouve la vue en une poignée de secondes, c’est magique. Elle se relève et se tourne vers Takeda, toute souriante. La vie est belle, il fait beau, et surtout elle a retrouvé ses lunettes !


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##   Mer 24 Juil 2013 - 5:26
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Invité

- J’admets j’ai la tête d’une sorcière, toutes mes excuses pour t’avoir fichu la trouille, mais je crois qu’avec mes pouvoirs magiques j’ai repéré mes lunettes !

Foutaise, sarcasme farfelu. Mais je ne vais pas y prêter attention, ça ne mérite aucun commentaires. C'est d'une part pour se moquer de ma réaction à son cri strident lors de sa découverte hasardeuse et d'autre part une envie de plaisanter. Personnellement, je ne vois rien à y répondre. Y laisser un vide est la meilleure chose que je puisse faire.

Je la vois se diriger vers ce qu'elle regardait depuis tout à l'heure. Je ne vois pas ce qu'elle aurait pu voir, le pot de vernis sûrement, ou alors une bête... Et si elle était adepte des insectes... La reine des papillons en forme humaine... J'imagine déjà son royaume rempli de larves n'ayant aucune classe, aucune grâce. Et ses majestueux papillons portant des tresses, elle, la Reine a les plus grandes tresses. Plus la longueur de la tresse est imposante plus le rang hiérarchique est élevé. J'en suis sûr elle me cache quelque chose cette petite Ipiu... Je dis "petite" en toute affection, jamais je me permettrai de me moquer de la taille d'autrui. Surtout si... Elle est la reine des papillons tressés... Oh mon dieu, je suis en présence d'une pseudo-reine.

Je rigole seul pendant qu'elle avance toujours vers son trophée. Elle a l'air... Vraiment enfantine, je me vois encore un petit bout'chou à courir à quatre pattes comme un fou sans destination et sans arrêts. C'était un souvenir bizarre, je n'y vois même pas mes parents. La seule chose que je me demande c'est pourquoi la Reine des Papillons Tressés se met-elle du vernis vert pomme, c'est affreux. Mais bon...

-  YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES !

Cri de triomphe, elle à trouvé ce que nous recherchions je suppose. Je la vois déposer un objet sur son visage, elle a l'air déboussolée un instant après avoir posé l'objet, tout de suite après, elle se retourne vers moi, un sourire lui grimpant jusqu'à ses oreilles. Jamais je n'avais vu un sourire pareil... La joie qui en émane emballe mon coeur, la voilà, Ipiu, la Reine des Papillons Tressés complète, avec ses binocles.

Son visage est si lumineux, il dégage une joie de voir le monde à nouveau incommensurable, ce monde qui, derrière ces portails est si radieux, les plantes d'un vert éclatant et qui fait contraste avec ce soleil plongeant ce monde, presque reclus de celui extérieur sale et terne. La cour est magnifique, mon nouveau départ, il se fera sous ses rayons de soleil que Hélios, le Dieu grec nous envoie avec fierté. Que peut-il bien se cacher derrière cette façade utopique, ma curiosité ne fait que devenir plus grande au fil des minutes.

Mais Ipiu, avec ses lunettes est toute mignonne, ça lui donne un air studieux, elle n'est pas si mal tout compte fait. Je vais un peu la taquiner en souriant, on verra sa réaction.

- Alors la taupe, tu as retrouvé ton trésor. Tu saurais viser convenablement maintenant?
##   Mer 24 Juil 2013 - 12:59
Ipiu Raspberry

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A vrai dire Ipiu aime toujours la magie qui s’opère quand elle met ses épaisses lunettes… Mais la vérité est qu’elle aurait dû porter des verres neutres, ces verres qui malgré leur épaisseur ils ne corrigent rien, car Henrietta n’a jamais eu le moindre problème de vue… Pourtant, elle y voit mieux avec. Drôle d’histoire, comme si son cerveau avait appris à traiter différemment l’image avec et sans. On n’en attendait pas moins de super reine des papillons non ?

Enfin, elle était bien heureuse. Elle voyait à nouveau, ce qui était une bonne chose. Elle était de bonne humeur. Elle rit même discrètement à sa taquinerie, s’il le prenait sur ce ton-là. Elle continuerait de même, sans se gêner autre mesure. Elle aime rire et plaisanter avec les gens.


« Si je joue à nouveau avec l’eau tu finiras trempé volontairement cette fois ! L’idée d’une bataille d’eau ne fait point peur aux petites taupes ! »


Elle plaisante bien sûr. Elle rejoint le garçon d’un pas léger et assuré. Pas qu’elle ne pourrait posséder sans sa vue… Quoi que, quand elle est sur un tapis de gym elle a le même… Même sans lunettes. Comme quoi, quand on sait que la chute ne fera pas mal on gagne en assurance. La voilà près du brun, elle le regarde pour la première fois, et sourit :


« Tu as l’air plus adulte que je me l’imaginais… »


Sourire à nouveau, elle aurait pu lui dire qu’elle le trouvait mignon mais ce n’était pas un compliment dans la bouche d’une fille qui trouve tout mignon… Elle aime tout, elle a du mal à voir ce qui est laid ou déplaisant. Elle a une vision tellement positive du monde que ça peut être agaçant. Tant pis de toute manière elle a l’habitude d’être mise à l’écart. Alors pourquoi se priver d’être sincère ? Elle préfère être rejetée pour ce qu’elle est que pour ce qu’elle prétend être.

« Si tu veux je t’offre un glace pour me faire pardonner de la mésaventure ? »



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##   Mer 24 Juil 2013 - 16:53
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Invité

Elle rigole de mon sarcasme, à croire qu'elle apprécie ça. Elle doit être taquine aussi, ça promet si une discussion se fait savoir entre nous deux. On connaîtra qui aura la patience extrême et le sarcasme le plus lourd. Mais si elle en rigole c'est qu'elle a de l'humour ou qu'elle ne comprend pas tout simplement mais... Ça me paraît faux.

- Si je joue à nouveau avec l’eau tu finiras trempé volontairement cette fois ! L’idée d’une bataille d’eau ne fait point peur aux petites taupes !

L'idée n'est pas si mal, une bataille d'eau. Et pourquoi la faire qu'à deux? Les autres élèves et personnes présentes pour faire une bataille d'eau géante. Sous un soleil comme celui-ci, ça ne peut que faire du bien. Tout du moins, rafraîchir nos corps qui sont un peu dé-séché.

Comme si elle n'avait pas pu voir mes traits formant mon sublime visage lors de notre choc à la tête pendant la recherche de ses lunettes. Enfin, nos visages étaient à quelques centimètres si elle n'a pu distinguer le moindre trait, c'est qu'elle a de fameux problèmes de vue. Le mot "taupe" est dès lors le terme parfait, mais je souris de sa remarque.

- Si tu veux je t’offre un glace pour me faire pardonner de la mésaventure ?

Ça serait avec plaisir seulement, plusieurs problèmes s'imposent. Je ne connais pas les lieux, à par ses portails devant lesquels j'ai rencontré Frenda et Eion et qui m'ont accueillis, la cour sur laquelle, dès mon arrivée, je me prends un pot de vernis
sur la tronche... Mais faut le dire, c'était une histoire marrante, Ipiu n'est pas méchante au contraire, elle est mignonne et respecte les autres du fait qu'elle veut les aider. Qui plus est, elle est fière d'aider les autres. Mais même si nous y allons, je n'ai pas d'argent... La thune, c'est nul comme principe mais bon, je ne veux pas abuser de cette fille, je déteste ça. Mais l'idée du glace dans ma main qui, quand je la mange, refroidi mon corps en rafraîchissant mon esprit est une idée alléchante.

- Et bien... Je ne sais absolument pas où il y en a et je n'ai pas d'argent, c'est gentil de proposer.
##   Jeu 25 Juil 2013 - 0:01
Ipiu Raspberry

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La jeune fille prit un air faussement désolée… Son menton partit de droite à gauche, de gauche à droite. Il n’avait strictement rien compris. Elle soupira, ça c’est bien les hommes, ça capte jamais rien. Toujours sur une autre longueur d’onde semblerait-il. Elle sourit en lui saisissant la main :

« Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le verbe offrir ? »


Elle soupira et avant qu’il n’ait réussi à en glisser une elle se mit à courir, l’entrainant dans son sillage. Elle n’était pas très rapide, mais on pouvait lui accorder qu’elle était endurante. Merci à ses humbles entrainements matinaux à la gymnastique. Elle courait à travers les arbres, coupant par les pelouses. Elle rasa la cloture du parc jusqu’à un petit portillon discret qui débouchait sur une ruelle.

Elle l’entraina au travers d’un dédale de rues. Elle savait où elle allait pour la simple et bonne raison qu’elle travaillait tous les soirs à côté. Alors oui elle savait qu’après cette maison aux lierres grimpant il fallait tourner à droite, elle savait que la petite vielle qui regardait derrière ses rideaux attendait toujours un sourire, elle savait quand il fallait changer de trottoir pour rester à l’ombre.

A chaque fois que Takeda faisait mine de ralentir ou d’essayer d’en placer une, elle accélérait et resserrait sa prise sur la main du jeune homme. Non il ne se débinerait pas. Non elle refusait qu’il refuse son hospitalité. Ça lui faisait tellement plaisir de pouvoir utiliser son salaire pour quelque chose d’utile.

Enfin ils arrivèrent dans une impasse non loin de la bibliothèque. Elle était une habituée des lieux. A l’ombre d’un grand arbre se dressaient quelques tables bleues. Un café avait élu domicile en ces lieux. Le café qui d’après elle avait les meilleures glaces de tout Terrae. Elle sourit au glacier quand elle s’arrêta devant lui. Elle était essoufflée.


« La même chose que d’habitude Ipiu ? »


Elle hocha négativement la tête avant de pointer une crème glacée sur la carte, ce n’était pas sa préférée, mais elle était délicieuse et composée de choses que tout le monde aimait. Elle indiqua qu’elle en voulait deux avec les doigts. Un autre sourire, de remerciement. De très, très grosses coupes avec du caramel, du chocolat, de la vanille… Des morceaux de biscuits sablés. Bref un régal même s’il manquait d’excentricité.



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##   Jeu 25 Juil 2013 - 2:42
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- Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le verbe offrir ?

C'est pas que je n'ai pas compris. C'est que je ne vois pas pourquoi me l'offrir... Nous vivon une aventure unique quoique, ça peut arriver à n'importe qui de se prendre du vernis volant vert pomme tombant du ciel qui appartient à la Reine des Papillons Tressés. Je me suis même pas posé la question de ce qu'elle faisait dans cette arbre,elle y butinait certainement. En tout cas, si elle butine du vernis, je ne veux pas voir l'état de son cerveau.....

Elle me sourit et saisit ma main dans le même instant, j'aime ça. La joie qu'elle dégage. Elle est si... Adorable, sa tresse mal attachée qui flotte dans le vent, cette petite brise qui s'intensifie lorsqu'elle commence à galoper d'un pas sûr mais pas sur un rythme effréné. Sa tresse se balade de droite à gauche, une fois plié, l'autre tendue. Ça lui va à ravir, franchement, Fifi brindacier n'a cas bien se tenir. La nouvelle Reine portant à merveille les tresses est présente devant moi, elle me tient la main et court vers une direction que je ne connais absolument pas.

Je ne peux même pas ouvrir la bouche, dès que mes cordes vocales essayent de chanter afin de questionner Ipiu, elle donne un coup d'accélérateur pour me faire taire en appuyant d'avantage sur ma main pour être sûr qu'elles ne se quittent pas. Moi, je regarde le paysage défiler alors. On passe de nombreuses rues, les gens nous regardent attendri par le spectacle qu'ils aperçoivent. Une fille courant vers une destination inconnue avec une telle confiance traînant derrière elle un gars, moi en l'occurrence, qui est totalement perdu... On passe sur la pelouse verte d'une beauté inouïe, plaine de vie, comme si le jour chantait et démontrait son bonheur, ça rend le sourire. La nature est heureuse ici, le soleil radieux, les herbes font leur photosynthèse avec aisance, les arbres sont grand et puissant, leur tronc bien buste, les bâtiments que je peux voir avec le décor qui défile sont magnifique, en harmonie total, certaines maisons sont recouvertes d'une couche de flurs qui la couvre comme pour la protéger, on frôle la clôture d'un parc, l'intérieur de celui-ci est encore plus rempli d'arbres, d'enfants, de jeux, d'animaux. Encore plus vivant et joyeux que le reste de cette ville, de ce monde. Il faudra que j'y aille un jour, si je retrouve le chemin pour y aller mais surtout, le chemin pour revenir à mon dortoir...

Elle m'emmène et je lui fais confiance, elle me tient la main mais je tien la sienne aussi, perdu, je ne stresse pas mais je ne veux pas la perdre, la première personne qui est comme ça avec moi... C'est agréable, de la gentillesse tout du moins, je pense. Mes jambes tiennes le rythme facilement, elle ne dois pas courir beaucoup en tout cas sur un bon rythme de guerre, par contre, elle garde la même allure longtemps, ses jambes endurantes pourraient donner des difficultés aux miennes qui au contraire sont plus dans la puissance sur courte distance mais quelque peu endurante aussi.

Je peux distinguer une impasse, en regardant part dessus Ipiu, cette impasse n'est pas grande mais n'est pas petite comparée à celles de "l'autre" monde. Mon regard s'arrête tout de suite sur des tables bleues mis en quinconces sous l'ombre des arbres, une ombre naturelle qui peut attirer les plus campagnards des visiteurs à prendre un bon café ou que sais-je, ce qu'il serve là. Sur une d'entre elles, un couple attendait, ils se tenaient les mains mutuellement, se regardant amoureusement.

- La même chose que d’habitude Ipiu ?

Tiens, Ipiu, je retourne la tête en direction d'Ipiu et je la vois faisant des signes de mains en direction du glacier qui portait un tablier de peur de se salir. Il a une voix grave, c'est bien un homme celui-là. Le temps qu'Ipiu commande les glaces, une serveuse apporte les coupes de glaces imposantes que le couple attendait. Ils entament leur glace avec une ardeur surprenant, à croire qu'ils avaient chaud. J'imagine que la chaleur donne envie aux personnes de prendre de la glace. Leur cuillère faisait des allers-retours rapide, ils ne prennent pas le temps de déguster la glace, un beau gâchis.

Je me retourne une nouvelle fois vers ma chère Reine, attendant. Elle fini de faire des gestes en montrant un choix proposé sur la carte que présentait le marchant de glace sur son comptoir. J'espère qu'elle sera bonne, je veux pas la faire payer si elle n'est pas à mon goût.
##   Jeu 25 Juil 2013 - 12:01
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Elle finit de commander sans avoir retrouvé son souffle. En fait elle ne l’avait pas perdue jusqu’à s’arrêter, le changement de rythme est juste plus compliqué que de conserver le même pendant longtemps. En bonne gymnaste elle ne cherche pas la puissance mais la grâce quand elle court, et aussi à être régulière. Ce dont elle est fière. Elle arrive à garder le sourire malgré son essoufflement, de toute manière elle est comme ça, souriante.

Elle voit le doute dans les yeux de Takeda, a-t-elle choisi quelque chose de bon ? D’après sa longue expérience en glace tout le monde aime le chocolat et la vanille, je caramel tant qu’il n’est pas au beurre salé est apprécié d’une grande partie de la population… Bon et de toute manière, elle n’avait aucune crainte quant à sa capacité à engloutir les deux glaces.

Elle retrouva peu à peu une respiration calme. Elle n’a pas besoin de plus de cinq minutes, et oui, plus on l’habitude, plus vite tout cela passe. Et la reine des papillons a l’habitude de courir longtemps jusqu’à en perdre haleine, cela lui permet de renforcer la musculature des jambes tout en travaillant son endurance. Là à l’instant, ce qui la gêne le plus c’est la sueur qui dégouline sur ses yeux.

Car non Ipiu n’est pas de ces filles irréelles qui n’existent que dans les rêves de garçons. Elle est une fille de chair et d’os, et de sueur. Certes sa chemise ample ne laisse pas deviner son corps et ses chaleurs, mais son visage luisait bien et avait pris quelques couleurs. Elle sortit un paquet de mouchoir de son sac magique… Il contenait de tout et beaucoup de n’importe quoi, un peu comme le sac de Dora l’exploratrice.

Elle s’essuya le visage après avoir tendu un mouchoir à celui qui l’accompagnait. Elle l’entraina ensuite vers sa table favorite, à l’ombre de l’arbre dissimulée derrière son tronc. Une place discrète et tranquille comme elle en fait. Elle s’assoie en décalant un peu la chaise pour qu’un rayon de soleil frappe son visage. Elle reste ainsi quelques instants avant de se rappeler qu’elle n’a sans doute plus de crème solaire sur le nez. Elle ne veut pas brunir.

Le serveuse arrive et leur sourit. Elle dépose les mets savoureux devant ses clients. Elle gratifie Ipiu d’un clin d’œil, c’est la première fois qu’elle leur ramène un copain la p’tite. Ca se fête, non ? Devant la mine déconfite de la petite brune, elle préféra ne pas partir dans cette direction rien qu’au regard de la gamine. Elle su qu’elle faisait fausse route, alors pour se rattraper elle demanda :


« tu pourras rendre un livre pour moi je ne finis mon service qu’à 22h ?
-Et je t’emprunterais la suite si tu veux. Je te le rapporterais à la fermeture de la biblio.
-Super ! »


Oui Ipiu avait ses entrées ici, elle travaillait en face et trouvait le cadre génial. Donc elle y passait souvent. Elle se mettait à cette table un livre à la main, un thé à la bergamote fumant devant elle et elle ne repartait qu’une fois qu’elle devait aller travailler. Elle tendit une des cuillères posée devant elle à Takeda et lui souhaita un :


« Bon appétit ! »



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##   Jeu 25 Juil 2013 - 22:57
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Après la course que nous avons fait, il ne lui faut pas plus de petites minutes pour récupérer son souffle, elle est sportive, je dois l'admettre. Mon souffle est déjà à % récupéré, je regarde les alentours en ayant un air craintif de son choix. Mais si comme le dis le Marchand, elle a "l'habitude" de venir, il ne devrait pas trop y avoir de problème. De plus, par une chaleur ainsi, une glace, mauvaise ou non fait toujours du bien.

Je la vois me tendre un mouchoir, je n'en vois pas l'utilité jusqu'à qu'elle essuie les perles de sueur qui viennent s'inviter sur sa peau blanche et innocente de toutes impuretés. Elle me reprit une nouvelle fois la main et me conduit jusqu'à une table presque camouflée entièrement derrière un tronc. Ombragée par l'arbre, il y fait excellent pour attendre impatiemment de recevoir nos glaces.

La serveuse arrive et nous dépose les glaces, les deux filles à cet instant s'échangent des messages implicitement mis des regards habilement lancés pour faire comprendre directement ce à quoi elles pensent. Elle échangèrent des mots mais je n'y prêtais pas attention, je regardais ma glace, attiré... Oui, j'aime manger plus que n'importe qui.

- Bon appétit !

Elle me tend une cuillère que je m'empresse de prendre, je la plante directement et avec une énorme envie dans ma glace, je pense que c'est ma gorge, séchée qui pilote mes mouvement, elle a envie d'avoir cette sensation de revivre, sentir la glace, froide passer dans tout mon corps, comme lors de frissons, on sent partout où passe le frisson, la même chose à laquelle je pense maintenant en regardant ma glace. Je lance un grand sourire

- Merci beaucoup Ipiu! Bonne appétit à toi!
##   Ven 26 Juil 2013 - 23:11
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La glace était appétissante, l’air agréablement frais était renouvelé par une légère brise. Elle aimait vraiment cet endroit, un peu à l’écart du temps. Quand elle s’y rendait elle avait presque l’impression de se retrouver dans un des dessins animés des studios Ghiblis. Elle trouvait ça magnifique et reposant, un peu comme la vue qu’elle avait une heure plus tôt du haut de sa branche.

Elle aimait ces lieux où la magie n’était pas qu’un mot dénudé de sens. Elle aimait le bruit des feuilles, celui des oiseaux. C’était calme et relaxant. Elle planta le bout de sa cuillère dans la boule de glace au chocolat, c’était ce qu’elle aimait le moins, elle n’aimait pas le gout amer du chocolat, même adouci par beaucoup de sucre. Elle regarda un instant le contenu de sa cuillère…

C’était ce qu’elle aimait le moins mais elle aimait quand même énormément beaucoup. Elle ouvrit la bouche et accueillit la pointe du long objet en métal entre ses lèvres. La glace avait légèrement fondue et dégoulina un peu sur sa lèvre. Une langue avide partit récupérer la goute sombre. Elle saisit à pleine main la cuillère qui avait manqué de tomber, elle léchât goulument la cuillère où il restait de la glace… Un délice.

Elle se régalait vraiment, elle replanta avec un sourire sa cuillère dans le délice. Alors qu’elle souriait aux anges comme une enfant. Elle se dit qu’il faudrait peut-être profiter de cet instant privilégié pour entamer la discussion. Après tout elle ne connaissait pas vraiment Takeda, elle devinait à son nom qu’il était du pays. Alors la première question qui frôla ses lèvres fut :


« Tu aimes ? »



“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
##   Sam 27 Juil 2013 - 11:12
Anonymous
Invité

- Tu aimes ?

Ce sont ses mots, ceux sortis de sa bouche, cette bouche qui quelques poignées de secondes avant était aux anges dû au met délicieux qu'elle avait sous la cuillère, cette même cuillère qui a goulûment rejoint la glace délicatement, rejoignant sa bouche avec un soupçon de doutes du chocolat. A croire qu'elle n'aime pas, le met posé sur la cuillère enfin mis sur ses papilles gustatives, un sourire angélique s'éleva jusqu'aux cieux, ce même sourire qu'elle eut lorsqu'elle avait retrouvé ses lunettes. Ce sourire qui rend joyeux le plus malheureux, un bout de rayon de soleil brillant dans le regard, une étincelle de bonheur garder en soit comme l'on pouvait. J’esquisse un sourire en voyant le sien, je ne pouvais pas faire autrement.

- Oui, la glace est particulièrement bonne. Merci, merci beaucoup

Je la remercie, je ne sais pas vraiment pourquoi, mon esprit avait l'envie de le faire, sûrement par pure gentillesse. Le fait de m'avoir aidé lorsqu'elle aurait pu partir en ayant rien à faire de mon état qu'importe était-il. Non, il a fallu qu'elle m'aide, de surcroît, je l'ai aidée directement aussi. Ses lunettes, triomphante sur son nez, victorieuse d'avoir été retrouvée. Elle trône au milieu de son visage. Ses yeux, améthyste, étaient amplifiés par ses verres. la couleur magnifique qui, grâce à sa blancheur ressortait bien. Ce qui rend son regard d'autant plus beau.

Je ne mange pas ma glace très rapidement, j'aime les déguster. Enfin, j'aime surtout sentir le mélange des parfums dans ma bouche lorsque je prends une cuillère arc-en-ciel des goûts différents présents dans ma coupe. Cette coupe qui est, elle aussi est belle. La glace est certes de la nourriture qui a un goût sacrément bon mais cela se mange du regard également, si elle se trouve dans un petit pot qui gâche la beauté et la brillance de la glace.

- Vraiment très bonne.
##   Dim 28 Juil 2013 - 12:21
Ipiu Raspberry

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Ipiu Raspberry
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Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser !

Comme beaucoup le garçon semble tomber prisonnier du regard d’Ipiu. Ses yeux d’améthystes sortent vraiment du commun, souvent on lui demande si elle porte des lentilles, tellement ils ont l’air irréels. Et bien qu’ils soient différents on ne s’est que rarement moqués d’eux, on les a enviés, haïs, mais ils sont tellement captivants qu’on ne s’en est jamais moqués.

Pour Henrietta ils sont peu commodes, pour une espionne des yeux qui sortent de l’ordinaire. Elle a appris à porter des lentilles sans que cela ne se remarque, ne battant pas plus des paupières qu’à l’ordinaire, ce qui trahit d’habitude les porteurs de lentilles. Elle a même l’habitude de porter des lentilles intégrales, celles qui passent même sous les paupières et recouvrent tout l’œil, de sorte qu’on ne voit même pas sur le bord de la pupille le petit cercle de la lentille.

Toujours est-il que ce n’était pas là le sujet, et que la gamine si elle se régalait de la glace, l’eut bien vite terminée. Enfin vite, il ne faut pas abuser. Elle avait beau avoir un sourire  blanc éclatant, elle avait les dents fragiles, et chaque bouchée la faisait frissonner. Elle n’attendit seulement pas que la glace fonde, elle aimait trop ça pour attendre, et malgré la douleur du froid sur ses dents, elle mangeait à bonne allure.

Tant et si bien qu’elle eut fini bien avant son compagnon. Elle essuya ses joues grâce à une serviette blanche, mais ne réussit qu’à étaler le chocolat et à se barbouiller le visage… Ce dont elle ne se rendit pas compte. Elle croisa ses doigts et appuyant ses coudes sur la table, sa tête sur ses mains regarda le jeune homme finir sa glace sans un mot pour ne pas le presser. Un regard à sa montre lui fit totalement changé d'attitude.

"Merd... credi ! J'vais être à la bourre pour mon job ! Tu pourras rentrer seul ? Si tu te perds tu n'as qu'à demander l'institu tout le monde pourra te guider..."


Elle part régler l'addition et récupérer le livre de la serveuse. Elle revient auprès de Takeda à qui elle tape une bise sans réfléchir que ce qui est dans ses mœurs n'est pas forcément dans ceux du jeune homme. Tant pis au final. Elle s'en va en courant après lui avoir dit :

"Désolée de te lâcher comme ça, à charge de revanche !"


“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
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