Et le temps déroula ses doigts | PV.

Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013

Il faisait à peine jour, et l'aube aux doigts dorés allumait les cieux, colorant chaque nuage de douces couleurs oranges ou roses, leur donnant un aspect duveteux, presque moelleux. Et rêveur, Vladimir épiait ce singulier tableau depuis l'atelier, tentant de voir à travers les carreaux poussiéreux. Devant lui était posé un carnet à croquis, vide de tout, alors que certaines pages avaient été arrachées. Un crayon noir à la main, son bras s'agitait en mouvements frénétiques mais étrangement gracieux, alors que prenait peu à peu vie un paysage, tout de noir et de blanc. L'œil amateur pouvait déjà distinguer de hautes côtes rocheuses, surplombant une mer calme et qui semblait s'étendre jusqu'au delà de l'horizon. Le reste était bien plus compliqué à déchiffrer, alors qu'un bloc compact s'était invité au beau milieu de ce paysage vide d'homme. L'invasion allait-elle commencer par le biais de ce solide qui se tendait à devenir bâtiment marin ? Seul Vladimir le savait. Il se pencha davantage en avant, s'appliquant à poser chaque détail sur ce qui existait déjà. Sur les clairs murs de l'atelier, le soleil peignait maintenant de vifs reflets dorés, alors que la lumière était suave et douce : toute les choses s'éveillaient peu à peu.

La matinée était arrivée plus rapidement que je ne le pensais, pourtant j'étais à peu prés en forme ce jour là, bon d'accord quelques séquelle me restait de la veille mais heureusement Nariwen avait était là pour moi car j'aurais fais une grosse bêtise sinon. Je me levais de mon lit sans bruit pour ne pas la réveiller car la pauvre elle avait du endurer une partie de mon tourment et je voulais absolument qu'elle se repose je prenais alors mes affaires dont j'avais besoin et je partis me doucher rapidement car mes cheveux étaient tout sec et que j'avais fais un mauvais rêve donc vous vous imaginez bien que pour une lady c'est pas vraiment bien de suer.
Ma douche fut assez longuette prenant le temps de vider mon esprit petit à petit, puis arrivé au terme de ma douche je m’habillais alors d'un simple jean et d'un t-shirt banal car oui j'en avais aussi emmené au cas ou. sortant de la douche je retournais dans la chambre sans faire de bruit et rangé mes affaires. Prenant un post-it pour laisser un mot à Nariwen pour ne pas qu'elle s’inquiète j'écrivais alors * Je te laisse se mot ne t'en fais pas je suis à l'Atelier * prenant alors Sigrid avec moi je sortais de la chambre puis refermais la porte à clef.

Le jour se levait à peine mais cette histoire il fallait que je la règle au plus vite, je marchais alors d'un pas pressé suivant les panneaux qui indiquaient l'Atelier j'y arrivais alors en une dizaine de minute sauf que quelqu'un était déjà là. ne faisant pas attention je déroulais Sigrid de mon torchon et lz posais alors sur un plan de travail.

-Olala ma pauvre tu es un peu amoché ta pointe est tordue et ta garde est joliment rayée désolé de t'avoir fais subir ce voyage douloureux allez va je vais m'occuper de toi et te réparer en moi de deux !

Je prenais alors un masque de protection qui était dans un des compartiments, ensuite des gants, un chalumeaux, une pince et de la peinture neuf avec un pinceaux. je commençais alors à faire chauffer le fer de la pointe doucement et en attendant je parlais à la personne qui était présente :

-Je suis vraiment confuse de ne pas t'avoir parlé de suite mais quand j'ai vu Sigrid ,enfin je veux dire ma rapière mon arme d’escrime, dans l'état qu'elle était je ne pensais qu'a une chose la réparer. Donc pardon pour mon impolitesse je me nomme Enrica Pedroski, et toi qui est tu donc ? Et que fais tu ici ?

Le métal quand à lui chauffé lentement mais je préférais faire de cette façon car je n'avais pas du tout envie de l’abîmer. Si une telle chose arrivé je ne saurais vraiment plus quoi faire du tout.

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Perdu dans ses pensées comme souvent en ce moment, le jeune Germano-russe fut surpris de voir débouler une jeune fille dans l'atelier. Elle s'attelait à un étrange manège, alors qu'elle déballait déjà ce qu'elle avait amené dans un torchon, sans prononcer le moindre mot ni jeter le moindre coup d'œil à son égard. Intrigué ou désemparé, il ne savait pas encore, il ne bougea pas, restant assis, alors qu'il s'était tournée vers l'inconnue, posant ses grands yeux bleus sur elle. Ce furent ses étranges paroles qui le décidèrent à se lever, alors qu'elle semblait s'adresser à un objet. Vladimir se pencha au-dessus de l'établi, abandonnant son dessin pour l'heure. Ses yeux, à défaut de pouvoir voir le visage de la jeune fille, fixait l'étrange épée tordue. Que faisait-elle avec ça ici ? Sans y faire vraiment attention, un de ses sourcils se souleva, trahissant son interrogation. Mais déjà, elle s'adressait à lui, le stoppant net dans sa réflexion.

❝Aucun problème, Enrica. Je m'appelle Vladimir v ... Dis-moi, qu'est-il arrivé à ta 'rapière' pour être dans un tel état ?!❞

Volontairement le jeune homme avait oublié son nom de famille, alors qu'il n'avait pu empêcher le 'v' de s'échapper de sa bouche. Peut-être cela passerait-il inaperçu ? Mais qu'importe, puisque déjà, il enchaînait, après avoir jeté un coup d'œil à la table qu'il venait d'abandonner.

❝Moi ? Euh ... je me suis réveillé tôt et je ne savais pas trop quoi faire, alors, quand je suis arrivé ici, je me suis dit, pourquoi ne pas dessiner ?❞

Il retourna vers son croquis et le montra rapidement à la jeune fille, alors qu'un mince sourire passait sur ses lèvres : cette rencontre était vraiment étrange !

Quand je fus rentrée dans l'atelier il était vrai que ce jeune homme n'avait pas bougé de sa place car il était en train de plancher sur quelques chose. Moi à sa place avec toute cette agitation je n'aurais pas pu me concentrer et je serais allé directement voir la personne pour lui demander ce qu'elle faisait mais bon chacun est comme il est et puis moi ça ne me dérangeait pas tant que ça car si j'avais un geste de maladresse alors qu'il était à côté de moi et que ça le blesserait je m'en voudrais totalement.
à un moment j'avais alors senti un souffle non loin de mon épaule et effectivement dans un rapide coup d'œil je l'avais vu qui était totalement curieux car pour faire ça il avait du se demander pourquoi j'avais pris tout ce matériel et cela me fit sourire un peu sans pour autant me faire perdre concentration bien évidement car je tenais énormément à cette lame même si au final ce sont de mauvaise personne qui me l'avaient offerte je pouvais dors et déjà jurer vengeance envers eux. Pendant ce temps là le jeune c'était présenté après que je l'ai coupé dans ses songes mais il n'avait pas dit son nom de famille bizarrement. Moi finissant de chauffer le métal en éteignant le chalumeaux je lui disais alors :

-Hum elle à du s'user à rester à la même place pendant un bon moment, pour la pointe j'ai du la tordre en m'effondrant au sol hier soir quand au reste j'ai croisé le fer avec un master plutôt admirable je dois dire mais pas de mon genre car je... je n'aime pas trop les relations amoureuses !

Prenant la pince je m'hâtais alors à remettre la pointe droite même si cela requérait un minimum d'effort je continuais d'écouter ce chère Vladimir qui m'avait dit s'être levée tôt et dirigé ici pour dessiner. J'allais lui demander de me montrer son œuvre mais il me devançais car il avait réagit avant moi et me le montrait, je finissais alors par remettre ma lame droite et quand elle le fut je posais la pince pour le regarder.

-Tu sais que ton dessin est magnifique ? Non mais je veux dire tu as du talent alors continue comme ça ! Et puis une idée me vient à l'esprit, une jour ou je serais dans l'une de mes tenues de théâtre tu pourrais me dessiner avec ma lame à la main puis inventer un décore derrière tu en dis quoi ? A et qu'elle est ton nom de famille car tu as justes dis * v * ?

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Vladimir s'était assis en tailleur sur sa table, alors qu'il avait posé ses mains sur ses genoux secs, le dos appuyé contre la vieille fenêtre poussiéreuse. Il regardait tour à tour la jeune fille et son épée, l'écoutant d'une oreille attentive. Elle semblait ne pas être quelqu'un de banal, et la curiosité du jeune homme avait été piquée au vif, alors que dans ses grands yeux bleus où il aurait été aisé de se perdre, brillaient mille étincelles, toutes plus flamboyantes les unes que les autres.

❝Alors, tu es une véritable guerrière, si je comprends bien ? Pourquoi tu n'aimes pas les relations amoureuses ?!❞

S'il feinta la surprise, il pensait pouvoir la comprendre. Pourtant, alors qu'il y réfléchissait, il se rendit compte qu'il ne s'était jamais réellement posé la question. Après tout, il n'était jamais tombé éperdument amoureux. Quoique ... Mais déjà, Enrica embrayait sur son dessin.

❝Merci ! Je dessine de temps en temps, plus pour me vider la tête qu'autre chose mais ... Te dessiner en tenue de théâtre ? Mais quand tu veux ! Oui, en effet. C'était bête de s'arrêter, puisqu'après tout, tu ne dois pas être au courant ! Je m'appelle von Winchester.❞

Ma lame était en train de refroidir tranquillement quand à la peinture je n'en n'avais pas encore remis et je devais attendre que ça finisse de refroidir pour pouvoir ensuite réparer la garde donc en somme je n'avais pas à m'inquiéter et je pouvais me concentrer totalement sur la personne qui se tenait face à moi toujours son dessin à la main.
Il l'avait tellement bien dessiné, j'espérais qu'un jour il pourrait en faire de même avec moi car ici à Terrae je ne savais pas encore si il y avait une salle ou même des cours spéciaux pour le théâtre et cela m'attristait un peut car sur le coup ça me manquait vraiment puisqu'avant j'en faisais au moin deux ou trois fois par semaine. Moi une guerrière oui si on peut dire, c'était surtout qu'en faite j'avais pas eu confiance dès le début en cette endroit donc j'avais un peu était choqué quand on m'avait retrouvée pour me guider ici, mais bon cette méfiance c'était effacé de mon cerveau bien heureusement d'ailleurs.

Bien évidement j'allais lui répondre sauf que derrière il m'avait parlé des relations et demandé pourquoi j'aimais pas, mais c'était pas parce que j'aimais c'était parce que j'avais peur que l'on ne me comprenne pas, en un petit laps de temps tout la travail que Nariwen avait accomplie lâcha d'un coup car c'était encore trop récent tous ça. M'appuyant alors à l'atelier je serrais les points jusqu'a m'en faire saigner les mains et fermé les yeux secouant la tête de droite à gauche deux trois fois mais les larmes coulaient tout de même et je lui disais alors :

Non non du tout...je me suis mal exprimé désolé...c'est juste que je suis différente...je suis pas comme tout le monde ! Je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça !

Je tentais de me ressaisir un peu arrêtant alors mes larmes je n'avais que des petits reniflements comme une petite fille à qui on lui aurait supprimé son doudou. Entre temps il m'avait remercié tout en acceptant mon idée se qui me faisait sourire même si c'était qu'un petit sourire c'était déjà bien. Quand à son nom, non je ne me doutais pas qu'il s'appelait comme ça puisque de toute façon j'étais nouvelle. Alors en sanglotant toujours un peu je lui disais :

-Je...excuse moi mais je comprends pas trop, au sujet de quoi je devrais êtes au courant ? Ton nom de famille ? Car si c'est ça désolé mais je ne suis arrivé qu'hier donc je pouvais pas savoir désolé ! Et euh...à par le dessin à tu d'autre passion ?

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Le jeune homme reposa son dessin sur la table, détournant un instant ses yeux de la jeune fille, son esprit s'évadant au loin, tout là-bas, au large de ces côtes baignées de soleil. Quelle surprise fut celle qui naquit dans ses yeux alors qu'il la regardait à nouveau : Enrica semblait complètement déboussolée, alors que du sang, épais et rouge, glissait entre ses doigts, aussi lentement que les lourdes larmes qui roulaient sur ses joues pâles. Vladimir était désolé, et il se demandait qu'est-ce qui avait bien pu la mettre dans cet état. Mais déjà, entre deux sanglots, elle lui apportait un bout de réponse.

❝Je suis vraiment désolé Enrica, je ne voulais vraiment pas ... Il sauta à terre et s'approcha d'elle, tendant une main vers son bras mais sans la toucher. Hé ! Tu sais, nous avons tous nos façons d'aimer, de ressentir les choses ... personne ici ne te jugera sur ce que tu appelles tes différences ! Tu ... tu veux en parler un peu, peut-être ?❞

Sa voix s'était faite plus douce encore, alors qu'il se tenait juste à côté d'elle à présent, n'osant pourtant poser sa main sur son bras en ultime geste de réconfort : il préférait la laisser venir si elle le souhaitait, il ne voulait rien lui imposer. Et puisqu'elle sourit à nouveau, il s'autorisa à en faire de même : une ombre de grimace heureuse glissa sur son visage, alors qu'à nouveau, elle se confondait en excuses.

❝Non, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire ! C'est juste que le nom de mon père, dans son domaine, est assez connu, et j'ai l'habitude des gens qui jugent sur ce seul facteur. Alors ... je me méfie, sans doute à tort. D'autres passions ? Je dirai que j'aime beaucoup la musique, et toutes ces choses qui me donnent l'illusion de pouvoir m'échapper. Et toi ?❞

Deux filets de sang coulaient de mes mains tendis que des larmes avaient coulés de mes yeux, franchement il faudrait qu'à l'avenir je me prépare pour ce genre de situation car si à chaque fois je faisais la même scène on allait me prendre pour une pleurnicheuse qui voudrait juste s'attirer l'attention des gens pour se servir d'eux. Sauf que bien heureusement cela était totalement, le jeune homme lui il s'en voulais et s'éxcusé sauf qu'il n'avait pas à le faire, c'était à moi de m'excuser d'être assez faible. Ses paroles me faisaient tout de même sourire et me réconforté tendis qu'il avait bondis de son siège pour se tenir face à moi prêt à recevoir un câlin.
Bien évidement sans s'en rendre compte il arrivait à me remonter le moral à sa façon car il était doux sincère et attentionné et mes larmes définitivement parties j'avais alors rit sans le vouloir :

- Oups excuse moi je ne me moque pas hein ! Crois pas ça s'il te plait je suis un peu confuse et je ris car je te donnerais bien un câlin mais j'aurais peur de salir tes beaux vêtements avec mon sang. Mais tu me remonte le moral et ça me fais plaisir..et pour les relations c'est juste que...en faite....je suis attiré par les filles vois tu...J'ai failli me faire tuer pour ça...

Non pas cette fois, cette fois je ne pleurais pas mais je le lui avais plutôt dit de manière sereine et à la fois très gêné car maintenant comment allait il me voir ? Au pire pour me défendre j'avais Sigrid mais bon en était-ce vraiment la peine ? Non ça ne l'était pas puisque il avait dit que je ne serais pas jugé pour ma différence, j'avais pluqu'à espérer que ce soit vrai maintenant. Quand à moi j'avais mal compris ce que mon interlocuteur avait essayé de me faire comprendre, et alors qu'il m'avait éxpliqué je lui répondais à mon tour :

-D'accord, mais les gens ils disent quoi sur ça ? Enfin je veux dire, il c'est passé quoi? Et quand à mes passions bein comme tu as pu e constater il y à l'escrime et sinon je faisais du théâtre mais ici j'ai peur qu'il n'y en ait point donc j'ai peur d'aller voir les gérants pour leur poser la question vu que je viens juste d'arriver !

Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013

[vraiment désolée du retard ! >.<]

Du rire aux larmes, des larmes au rire ... Vladimir ne le prenait pas mal, se sentant seulement soulagé de voir que peu à peu, la jeune femme reprenait le dessus. Aussi, son sourire s'étira encore un peu plus, en même temps qu'il répondait de ce ton jovial qui lui allait si bien.

❝ Pas de problème, ne t'excuse pas de rire ! Et pour mes vêtements, tu sais, ce n'est que du tissu, ça vaut bien moins que le bonheur. Je suis content de pouvoir t'aider tu sais ! Mais qui t'en voulait au point de vouloir te tuer ?❞

Le Germano-russe avait froncé les sourcils, l'expression de son visage devenant plus dur. Mais cette mimique de réflexe n'était pas destinée à la jeune fille aux cheveux bleus : il se demandait seulement comment il était possible de voir autant de rage chez certains hommes ... Se le demandait-il réellement ? N'avait-il pas vécu, lui, pareils emportements ? Il avait haï de toutes ses forces, un jour, mais ce n'était pas pour les mêmes raisons.

❝ Mon père est dans le monde des affaires, et dans ce milieu comme dans beaucoup d'autres, il y a des histoires de clan, de pros et d'antis. Mais changeons de sujet : il y a tellement plus plaisant, dit-on. Franchement, tu devrais aller les voir : au pire, s'ils disent non, cela ne changera rien ! Et puis, qui ne tente rien n'a rien, non ?❞

Il lui adressa un grand sourire, alors que de nouveau, ses grands yeux bleus pétillaient.

HRP : Pas grave, désolé du mien aussi T-T

Je rougissais devant lui ne sachant plus où me mettre car il avait même dit que ce n'était pas la peine de m'excuser tout en parlant de l'utilité des vêtements qu'il appelé * bout de tissu *. Il avait pas vraiment tord mais cependant cela couté tout de même un certain prix à acheter et entretenir. Quand il m'eut posé sa question, son sourire avait changé ainsi que sa voit et son expression. Je pouvais le comprendre en même temps mon histoire était tellement étrange que moi même je ne savais pas...Je le regardais un peu perdu et décider de lui donner un câlin en évitant de le salir de mes mains rouge.

-C'est mon père. Je ne le savais pas du tout comme ça et pourtant il a été pire que tout au monde. il a été rabaissant, insultant cruel et violent. Je dois encore avoir quelques marques sur moi pour témoigner de ce cauchemar que j'ai vécue. Quand a ma mère elle ne disait rien et ne tentait même pas de l'arrêter, au final sans ce master je serais morte à l'heure qu'il est.

Voila je venais de le lui dire mais bon cela devenait une habitude maintenant et ça faisait du bien d'en parler de temps en temps pour alléger ce poids qui m'habitait tant. Je voulais juste éviter d'embêter les gens avec mes problèmes histoire de pouvoir avancer dans la vie en oubliant petit à petit ce passé. Je le regardais tout de même en souriant laissant la peine s'en aller pendant un petit moment tendis qu'il me parlait à son tour de son père. Rien qu'en entendant qu'il y avait eut des problèmes de clan je m'imaginais presque la suite tendis qu'il changea de sujet radicalement en me poussant à aller voir les gérants de l'institut.

Je le pense aussi mais d'abord je dois finir de détordre ma rapière qui a sûrement dû finir de refroidir depuis un petit moment déjà. Pour ton histoire tu me raconteras quand tu le voudras vue que je t'ai dis la mienne.

Sûr ces mots je le lâchais alors pour aller finir de remettre Sigrid droite, qu'elle travail c'était de s'occuper de ça en plus j'étais pleine de sueur et mes habits étaient tout tâché sans compter que mes mains étaient toujours aussi sale.

	## Jeu 25 Juil 2013 - 21:30
Vladimir von Winchester Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013	Il faisait à peine jour, et l'aube aux doigts dorés allumait les cieux, colorant chaque nuage de douces couleurs oranges ou roses, leur donnant un aspect duveteux, presque moelleux. Et rêveur, Vladimir épiait ce singulier tableau depuis l'atelier, tentant de voir à travers les carreaux poussiéreux. Devant lui était posé un carnet à croquis, vide de tout, alors que certaines pages avaient été arrachées. Un crayon noir à la main, son bras s'agitait en mouvements frénétiques mais étrangement gracieux, alors que prenait peu à peu vie un paysage, tout de noir et de blanc. L'œil amateur pouvait déjà distinguer de hautes côtes rocheuses, surplombant une mer calme et qui semblait s'étendre jusqu'au delà de l'horizon. Le reste était bien plus compliqué à déchiffrer, alors qu'un bloc compact s'était invité au beau milieu de ce paysage vide d'homme. L'invasion allait-elle commencer par le biais de ce solide qui se tendait à devenir bâtiment marin ? Seul Vladimir le savait. Il se pencha davantage en avant, s'appliquant à poser chaque détail sur ce qui existait déjà. Sur les clairs murs de l'atelier, le soleil peignait maintenant de vifs reflets dorés, alors que la lumière était suave et douce : toute les choses s'éveillaient peu à peu.

	## Jeu 25 Juil 2013 - 22:58
Invité	La matinée était arrivée plus rapidement que je ne le pensais, pourtant j'étais à peu prés en forme ce jour là, bon d'accord quelques séquelle me restait de la veille mais heureusement Nariwen avait était là pour moi car j'aurais fais une grosse bêtise sinon. Je me levais de mon lit sans bruit pour ne pas la réveiller car la pauvre elle avait du endurer une partie de mon tourment et je voulais absolument qu'elle se repose je prenais alors mes affaires dont j'avais besoin et je partis me doucher rapidement car mes cheveux étaient tout sec et que j'avais fais un mauvais rêve donc vous vous imaginez bien que pour une lady c'est pas vraiment bien de suer. Ma douche fut assez longuette prenant le temps de vider mon esprit petit à petit, puis arrivé au terme de ma douche je m’habillais alors d'un simple jean et d'un t-shirt banal car oui j'en avais aussi emmené au cas ou. sortant de la douche je retournais dans la chambre sans faire de bruit et rangé mes affaires. Prenant un post-it pour laisser un mot à Nariwen pour ne pas qu'elle s’inquiète j'écrivais alors * Je te laisse se mot ne t'en fais pas je suis à l'Atelier * prenant alors Sigrid avec moi je sortais de la chambre puis refermais la porte à clef. Le jour se levait à peine mais cette histoire il fallait que je la règle au plus vite, je marchais alors d'un pas pressé suivant les panneaux qui indiquaient l'Atelier j'y arrivais alors en une dizaine de minute sauf que quelqu'un était déjà là. ne faisant pas attention je déroulais Sigrid de mon torchon et lz posais alors sur un plan de travail. -Olala ma pauvre tu es un peu amoché ta pointe est tordue et ta garde est joliment rayée désolé de t'avoir fais subir ce voyage douloureux allez va je vais m'occuper de toi et te réparer en moi de deux ! Je prenais alors un masque de protection qui était dans un des compartiments, ensuite des gants, un chalumeaux, une pince et de la peinture neuf avec un pinceaux. je commençais alors à faire chauffer le fer de la pointe doucement et en attendant je parlais à la personne qui était présente : -Je suis vraiment confuse de ne pas t'avoir parlé de suite mais quand j'ai vu Sigrid ,enfin je veux dire ma rapière mon arme d’escrime, dans l'état qu'elle était je ne pensais qu'a une chose la réparer. Donc pardon pour mon impolitesse je me nomme Enrica Pedroski, et toi qui est tu donc ? Et que fais tu ici ? Le métal quand à lui chauffé lentement mais je préférais faire de cette façon car je n'avais pas du tout envie de l’abîmer. Si une telle chose arrivé je ne saurais vraiment plus quoi faire du tout.

	## Ven 26 Juil 2013 - 17:25
Vladimir von Winchester Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013	Perdu dans ses pensées comme souvent en ce moment, le jeune Germano-russe fut surpris de voir débouler une jeune fille dans l'atelier. Elle s'attelait à un étrange manège, alors qu'elle déballait déjà ce qu'elle avait amené dans un torchon, sans prononcer le moindre mot ni jeter le moindre coup d'œil à son égard. Intrigué ou désemparé, il ne savait pas encore, il ne bougea pas, restant assis, alors qu'il s'était tournée vers l'inconnue, posant ses grands yeux bleus sur elle. Ce furent ses étranges paroles qui le décidèrent à se lever, alors qu'elle semblait s'adresser à un objet. Vladimir se pencha au-dessus de l'établi, abandonnant son dessin pour l'heure. Ses yeux, à défaut de pouvoir voir le visage de la jeune fille, fixait l'étrange épée tordue. Que faisait-elle avec ça ici ? Sans y faire vraiment attention, un de ses sourcils se souleva, trahissant son interrogation. Mais déjà, elle s'adressait à lui, le stoppant net dans sa réflexion. ❝Aucun problème, Enrica. Je m'appelle Vladimir v ... Dis-moi, qu'est-il arrivé à ta 'rapière' pour être dans un tel état ?!❞ Volontairement le jeune homme avait oublié son nom de famille, alors qu'il n'avait pu empêcher le 'v' de s'échapper de sa bouche. Peut-être cela passerait-il inaperçu ? Mais qu'importe, puisque déjà, il enchaînait, après avoir jeté un coup d'œil à la table qu'il venait d'abandonner. ❝Moi ? Euh ... je me suis réveillé tôt et je ne savais pas trop quoi faire, alors, quand je suis arrivé ici, je me suis dit, pourquoi ne pas dessiner ?❞ Il retourna vers son croquis et le montra rapidement à la jeune fille, alors qu'un mince sourire passait sur ses lèvres : cette rencontre était vraiment étrange !

	## Dim 28 Juil 2013 - 0:25
Invité	Quand je fus rentrée dans l'atelier il était vrai que ce jeune homme n'avait pas bougé de sa place car il était en train de plancher sur quelques chose. Moi à sa place avec toute cette agitation je n'aurais pas pu me concentrer et je serais allé directement voir la personne pour lui demander ce qu'elle faisait mais bon chacun est comme il est et puis moi ça ne me dérangeait pas tant que ça car si j'avais un geste de maladresse alors qu'il était à côté de moi et que ça le blesserait je m'en voudrais totalement. à un moment j'avais alors senti un souffle non loin de mon épaule et effectivement dans un rapide coup d'œil je l'avais vu qui était totalement curieux car pour faire ça il avait du se demander pourquoi j'avais pris tout ce matériel et cela me fit sourire un peu sans pour autant me faire perdre concentration bien évidement car je tenais énormément à cette lame même si au final ce sont de mauvaise personne qui me l'avaient offerte je pouvais dors et déjà jurer vengeance envers eux. Pendant ce temps là le jeune c'était présenté après que je l'ai coupé dans ses songes mais il n'avait pas dit son nom de famille bizarrement. Moi finissant de chauffer le métal en éteignant le chalumeaux je lui disais alors : -Hum elle à du s'user à rester à la même place pendant un bon moment, pour la pointe j'ai du la tordre en m'effondrant au sol hier soir quand au reste j'ai croisé le fer avec un master plutôt admirable je dois dire mais pas de mon genre car je... je n'aime pas trop les relations amoureuses ! Prenant la pince je m'hâtais alors à remettre la pointe droite même si cela requérait un minimum d'effort je continuais d'écouter ce chère Vladimir qui m'avait dit s'être levée tôt et dirigé ici pour dessiner. J'allais lui demander de me montrer son œuvre mais il me devançais car il avait réagit avant moi et me le montrait, je finissais alors par remettre ma lame droite et quand elle le fut je posais la pince pour le regarder. -Tu sais que ton dessin est magnifique ? Non mais je veux dire tu as du talent alors continue comme ça ! Et puis une idée me vient à l'esprit, une jour ou je serais dans l'une de mes tenues de théâtre tu pourrais me dessiner avec ma lame à la main puis inventer un décore derrière tu en dis quoi ? A et qu'elle est ton nom de famille car tu as justes dis * v * ?

	## Lun 29 Juil 2013 - 17:31
Vladimir von Winchester Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013	Vladimir s'était assis en tailleur sur sa table, alors qu'il avait posé ses mains sur ses genoux secs, le dos appuyé contre la vieille fenêtre poussiéreuse. Il regardait tour à tour la jeune fille et son épée, l'écoutant d'une oreille attentive. Elle semblait ne pas être quelqu'un de banal, et la curiosité du jeune homme avait été piquée au vif, alors que dans ses grands yeux bleus où il aurait été aisé de se perdre, brillaient mille étincelles, toutes plus flamboyantes les unes que les autres. ❝Alors, tu es une véritable guerrière, si je comprends bien ? Pourquoi tu n'aimes pas les relations amoureuses ?!❞ S'il feinta la surprise, il pensait pouvoir la comprendre. Pourtant, alors qu'il y réfléchissait, il se rendit compte qu'il ne s'était jamais réellement posé la question. Après tout, il n'était jamais tombé éperdument amoureux. Quoique ... Mais déjà, Enrica embrayait sur son dessin. ❝Merci ! Je dessine de temps en temps, plus pour me vider la tête qu'autre chose mais ... Te dessiner en tenue de théâtre ? Mais quand tu veux ! Oui, en effet. C'était bête de s'arrêter, puisqu'après tout, tu ne dois pas être au courant ! Je m'appelle von Winchester.❞

	## Lun 29 Juil 2013 - 20:48
Invité	Ma lame était en train de refroidir tranquillement quand à la peinture je n'en n'avais pas encore remis et je devais attendre que ça finisse de refroidir pour pouvoir ensuite réparer la garde donc en somme je n'avais pas à m'inquiéter et je pouvais me concentrer totalement sur la personne qui se tenait face à moi toujours son dessin à la main. Il l'avait tellement bien dessiné, j'espérais qu'un jour il pourrait en faire de même avec moi car ici à Terrae je ne savais pas encore si il y avait une salle ou même des cours spéciaux pour le théâtre et cela m'attristait un peut car sur le coup ça me manquait vraiment puisqu'avant j'en faisais au moin deux ou trois fois par semaine. Moi une guerrière oui si on peut dire, c'était surtout qu'en faite j'avais pas eu confiance dès le début en cette endroit donc j'avais un peu était choqué quand on m'avait retrouvée pour me guider ici, mais bon cette méfiance c'était effacé de mon cerveau bien heureusement d'ailleurs. Bien évidement j'allais lui répondre sauf que derrière il m'avait parlé des relations et demandé pourquoi j'aimais pas, mais c'était pas parce que j'aimais c'était parce que j'avais peur que l'on ne me comprenne pas, en un petit laps de temps tout la travail que Nariwen avait accomplie lâcha d'un coup car c'était encore trop récent tous ça. M'appuyant alors à l'atelier je serrais les points jusqu'a m'en faire saigner les mains et fermé les yeux secouant la tête de droite à gauche deux trois fois mais les larmes coulaient tout de même et je lui disais alors : Non non du tout...je me suis mal exprimé désolé...c'est juste que je suis différente...je suis pas comme tout le monde ! Je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça ! Je tentais de me ressaisir un peu arrêtant alors mes larmes je n'avais que des petits reniflements comme une petite fille à qui on lui aurait supprimé son doudou. Entre temps il m'avait remercié tout en acceptant mon idée se qui me faisait sourire même si c'était qu'un petit sourire c'était déjà bien. Quand à son nom, non je ne me doutais pas qu'il s'appelait comme ça puisque de toute façon j'étais nouvelle. Alors en sanglotant toujours un peu je lui disais : -Je...excuse moi mais je comprends pas trop, au sujet de quoi je devrais êtes au courant ? Ton nom de famille ? Car si c'est ça désolé mais je ne suis arrivé qu'hier donc je pouvais pas savoir désolé ! Et euh...à par le dessin à tu d'autre passion ?

	## Mer 31 Juil 2013 - 17:18
Vladimir von Winchester Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013	Le jeune homme reposa son dessin sur la table, détournant un instant ses yeux de la jeune fille, son esprit s'évadant au loin, tout là-bas, au large de ces côtes baignées de soleil. Quelle surprise fut celle qui naquit dans ses yeux alors qu'il la regardait à nouveau : Enrica semblait complètement déboussolée, alors que du sang, épais et rouge, glissait entre ses doigts, aussi lentement que les lourdes larmes qui roulaient sur ses joues pâles. Vladimir était désolé, et il se demandait qu'est-ce qui avait bien pu la mettre dans cet état. Mais déjà, entre deux sanglots, elle lui apportait un bout de réponse. ❝Je suis vraiment désolé Enrica, je ne voulais vraiment pas ... Il sauta à terre et s'approcha d'elle, tendant une main vers son bras mais sans la toucher. Hé ! Tu sais, nous avons tous nos façons d'aimer, de ressentir les choses ... personne ici ne te jugera sur ce que tu appelles tes différences ! Tu ... tu veux en parler un peu, peut-être ?❞ Sa voix s'était faite plus douce encore, alors qu'il se tenait juste à côté d'elle à présent, n'osant pourtant poser sa main sur son bras en ultime geste de réconfort : il préférait la laisser venir si elle le souhaitait, il ne voulait rien lui imposer. Et puisqu'elle sourit à nouveau, il s'autorisa à en faire de même : une ombre de grimace heureuse glissa sur son visage, alors qu'à nouveau, elle se confondait en excuses. ❝Non, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire ! C'est juste que le nom de mon père, dans son domaine, est assez connu, et j'ai l'habitude des gens qui jugent sur ce seul facteur. Alors ... je me méfie, sans doute à tort. D'autres passions ? Je dirai que j'aime beaucoup la musique, et toutes ces choses qui me donnent l'illusion de pouvoir m'échapper. Et toi ?❞

	## Jeu 1 Aoû 2013 - 13:50
Invité	Deux filets de sang coulaient de mes mains tendis que des larmes avaient coulés de mes yeux, franchement il faudrait qu'à l'avenir je me prépare pour ce genre de situation car si à chaque fois je faisais la même scène on allait me prendre pour une pleurnicheuse qui voudrait juste s'attirer l'attention des gens pour se servir d'eux. Sauf que bien heureusement cela était totalement, le jeune homme lui il s'en voulais et s'éxcusé sauf qu'il n'avait pas à le faire, c'était à moi de m'excuser d'être assez faible. Ses paroles me faisaient tout de même sourire et me réconforté tendis qu'il avait bondis de son siège pour se tenir face à moi prêt à recevoir un câlin. Bien évidement sans s'en rendre compte il arrivait à me remonter le moral à sa façon car il était doux sincère et attentionné et mes larmes définitivement parties j'avais alors rit sans le vouloir : - Oups excuse moi je ne me moque pas hein ! Crois pas ça s'il te plait je suis un peu confuse et je ris car je te donnerais bien un câlin mais j'aurais peur de salir tes beaux vêtements avec mon sang. Mais tu me remonte le moral et ça me fais plaisir..et pour les relations c'est juste que...en faite....je suis attiré par les filles vois tu...J'ai failli me faire tuer pour ça... Non pas cette fois, cette fois je ne pleurais pas mais je le lui avais plutôt dit de manière sereine et à la fois très gêné car maintenant comment allait il me voir ? Au pire pour me défendre j'avais Sigrid mais bon en était-ce vraiment la peine ? Non ça ne l'était pas puisque il avait dit que je ne serais pas jugé pour ma différence, j'avais pluqu'à espérer que ce soit vrai maintenant. Quand à moi j'avais mal compris ce que mon interlocuteur avait essayé de me faire comprendre, et alors qu'il m'avait éxpliqué je lui répondais à mon tour : -D'accord, mais les gens ils disent quoi sur ça ? Enfin je veux dire, il c'est passé quoi? Et quand à mes passions bein comme tu as pu e constater il y à l'escrime et sinon je faisais du théâtre mais ici j'ai peur qu'il n'y en ait point donc j'ai peur d'aller voir les gérants pour leur poser la question vu que je viens juste d'arriver !

	## Ven 4 Oct 2013 - 17:03
Vladimir von Winchester Messages : 37 Date d'inscription : 19/07/2013	[vraiment désolée du retard ! >.<] Du rire aux larmes, des larmes au rire ... Vladimir ne le prenait pas mal, se sentant seulement soulagé de voir que peu à peu, la jeune femme reprenait le dessus. Aussi, son sourire s'étira encore un peu plus, en même temps qu'il répondait de ce ton jovial qui lui allait si bien. ❝ Pas de problème, ne t'excuse pas de rire ! Et pour mes vêtements, tu sais, ce n'est que du tissu, ça vaut bien moins que le bonheur. Je suis content de pouvoir t'aider tu sais ! Mais qui t'en voulait au point de vouloir te tuer ?❞ Le Germano-russe avait froncé les sourcils, l'expression de son visage devenant plus dur. Mais cette mimique de réflexe n'était pas destinée à la jeune fille aux cheveux bleus : il se demandait seulement comment il était possible de voir autant de rage chez certains hommes ... Se le demandait-il réellement ? N'avait-il pas vécu, lui, pareils emportements ? Il avait haï de toutes ses forces, un jour, mais ce n'était pas pour les mêmes raisons. ❝ Mon père est dans le monde des affaires, et dans ce milieu comme dans beaucoup d'autres, il y a des histoires de clan, de pros et d'antis. Mais changeons de sujet : il y a tellement plus plaisant, dit-on. Franchement, tu devrais aller les voir : au pire, s'ils disent non, cela ne changera rien ! Et puis, qui ne tente rien n'a rien, non ?❞ Il lui adressa un grand sourire, alors que de nouveau, ses grands yeux bleus pétillaient.

	## Sam 19 Oct 2013 - 12:53
Invité	HRP : Pas grave, désolé du mien aussi T-T Je rougissais devant lui ne sachant plus où me mettre car il avait même dit que ce n'était pas la peine de m'excuser tout en parlant de l'utilité des vêtements qu'il appelé * bout de tissu *. Il avait pas vraiment tord mais cependant cela couté tout de même un certain prix à acheter et entretenir. Quand il m'eut posé sa question, son sourire avait changé ainsi que sa voit et son expression. Je pouvais le comprendre en même temps mon histoire était tellement étrange que moi même je ne savais pas...Je le regardais un peu perdu et décider de lui donner un câlin en évitant de le salir de mes mains rouge. -C'est mon père. Je ne le savais pas du tout comme ça et pourtant il a été pire que tout au monde. il a été rabaissant, insultant cruel et violent. Je dois encore avoir quelques marques sur moi pour témoigner de ce cauchemar que j'ai vécue. Quand a ma mère elle ne disait rien et ne tentait même pas de l'arrêter, au final sans ce master je serais morte à l'heure qu'il est. Voila je venais de le lui dire mais bon cela devenait une habitude maintenant et ça faisait du bien d'en parler de temps en temps pour alléger ce poids qui m'habitait tant. Je voulais juste éviter d'embêter les gens avec mes problèmes histoire de pouvoir avancer dans la vie en oubliant petit à petit ce passé. Je le regardais tout de même en souriant laissant la peine s'en aller pendant un petit moment tendis qu'il me parlait à son tour de son père. Rien qu'en entendant qu'il y avait eut des problèmes de clan je m'imaginais presque la suite tendis qu'il changea de sujet radicalement en me poussant à aller voir les gérants de l'institut. Je le pense aussi mais d'abord je dois finir de détordre ma rapière qui a sûrement dû finir de refroidir depuis un petit moment déjà. Pour ton histoire tu me raconteras quand tu le voudras vue que je t'ai dis la mienne. Sûr ces mots je le lâchais alors pour aller finir de remettre Sigrid droite, qu'elle travail c'était de s'occuper de ça en plus j'étais pleine de sueur et mes habits étaient tout tâché sans compter que mes mains étaient toujours aussi sale.

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