Elle serre mes mains. Les siennes me semblent petite presque frêle, si je la savais pas si forte avec une arme, j'aurais l'impression d'avoir une femme fragile dans mes bras. Ce qui n'est pas le cas, elle me tient en sont pouvoir de séduction, je suis vaincu avant même de pouvoir combattre.

Elle rapproche son visage et me regarde dans les yeux, l'air espiègle. Je suis envoûté par ses yeux rubis, ces deux pierres précieuses qui m'attirent inexorablement.

Cette phrase suffit à... Me rendre réceptif à son message et je dois avoué qu'il a plutôt bien marché. Son baiser, c'est juste le coup de grâce de sur ma volonté, je suis complètement à elle. Sourire aux lèvres, je joue le jeu et la pousse à continuer.

" Tu crois? Dans ce cas, je vais quand même pas me désarmer complètement, c'est pas drôle si je rend les armes tout de suite. Il va falloir que tu me désarmes toi-même ma belle."

Je lui vole un baiser avec de lui rendre son regard.

Non mais elle se moque de moi ou je rêve? D'abord elle m'allume complètement puis elle me traite de ...bébé? Avant de s'écarter de moi.

Je reste interdit quelques instants... La transition m'échappe un peu en fait... Limite elle se jette sur moi pour me faire des avances même pas dissimulés puis elle me délaisse. Bonjour la frustration. Les femmes auront définitivement ma peau à ce train là.

Sa petit air déçu fini de me frustrer. Moi qui pensait simplement prendre un peu de bon temps avec la demoiselle, je peux me la caler derrière l'oreille pour ce coup ci. Et en plus, j'ai pas d'imagination selon elle... C'est TOI qui a lancé le jeu.

Alors que quelques instants passent pendant je reprend pied sur Terre, n'articulant qu'un "J..Je..." pour ma défense, elle revient se coller à moi et reprend sa position initiale.

" On tourne un peu en rond là. Un jour un grand homme a dit: Si tu veux tirer, tir mais tais-toi. Où alors, tu oses peut-être pas."

Elle me pousse sur le dos et me chevauche... Je disais vaincu,  en fait c'est dominé par une femme... Mais quelle femme. Et ce désir qui monte inlassablement. Rien à dire elle fait de moi ce qu'elle veut. Merde je suis un soumis.

Alors qu'elle se penche sur moi, je suis aveuglé par une cascade d'ébène, ses cheveux doux, comme leur parfum.

Son sourire me laisse présager de plein de bonne choses et je répond rapidement à sa question pour passer au plus vite aux prochaines étapes.

" Un compatriote italien, je crois que depuis Al Capone on a un soucis avec les armes à feu. "

Elle se redresse, rejette ses cheveux en arrière et retire son haut, m'offrant une vue imprenable sur sa poitrine uniquement dissimulée par un soutien gorge frustrant. Sourire aux lèvres, elle revient sur moi et m'embrasse avec passion, ses "atouts" frottant sur le tissus de ma chemise.

Mes mains parcours maintenant son corps un peu sans ma permission et beaucoup par envie.J'en viens à espérer qu'elle ne sent pas trop mon... désir... elle pourrait s'amuser à frustrer d'avantage.

Je la sens frissonner sous mes caresses, j'ai toujours eu, sans mauvais jeu de mots, un bon doigté. Alors qu'elle entreprend de détacher ma chemise, je descend en direction de ses ses fesses et glisse une main sous son short et par la même occasion sous ses bas.

Elle regarde un instant mon torse maintenant et semble satisfaite de ce qu'elle y voit. Oui, c'est pour ça que je me suis entraîné tout ce temps, pour plaire aux demoiselles.

Elle commente sur l'absence d'armes potentiel avant de dégrafer son soutiens gorge. Elle s'allonge ensuite à coté de moi et couvre mon torse de baisers pour finalement revenir s'occuper de mes lèvres. La légère rougeur qu'elle à au joues lui donne encore plus de charme, la rend toujours plus désirable et me donne toujours plus envie d'elle, disons les choses clairement.

Elle me demande de prendre quelques initiatives, poursuivant ses baisers et tâtant ma boucle de ceinture qui me semble maintenant de trop dans ce lit. Je me redresse et me libères de mes entraves, c'est à dire ma chemise et ma ceinture, que j'envoie valsé à l'autre bout de la pièce avant de revenir vers elle. Je dépose quelques baisers sur son ventre avant de la tirer de nouveau sur moi. Une main sous ses bas l'autre pinçant doucement la pointe d'un de ses tétons sous le vêtement détaché mais par encore retiré.

Toujours mes lèvres contre les siennes, je poursuis mes caresses, attendant qu'elle lance les hostilités.

elle semble apprécier le traitement que je lui inflige, me tirant toujours plus contre elle. Une certaines chaleur vient de s'abattre, une sorte de fièvre je dirai. On ne se sépare plus que pour retirer des vêtements.

C'est le sort que vient de vivre son soutien-gorge me laissant maintenant voir sa poitrine que j'allais immédiatement et ses tétons, que je mordille sans brutalité, mais avec tout de même , il faut l'admettre, un poil de bestialité. Pendant ce temps là, elle s'active à déboutonner mon jean, ce qui me rend un peu plus passionné.

Elle met fin à cette étreinte pour retirer ce short encombrant et me dévoilant ses bas, ses jambes. J'en profité pour retirer mon pantalon par soucis d'équité je suppose.

Elle revient sur moi, tout sourire, et me murmure un "je t'aime" à l'oreille qui me tire un frisson tant il est chargé de désir, ça s'entend.

Je délaisse ses lèvres pour son cou et glisse une de mes mains entre ses cuisses, en caressant autour de sa zone sensible sans pour autant m'attaqué directement au problème.

Des soupirs d'aises, des frissons de plaisirs et autres réflexes me font comprendre que mes caresses sont appréciés à leur juste valeur.

Elle se love un peu plus, en douceur, pour me permettre de mieux disposer d'elle. Pendant un instant, elle ferme les yeux pour profiter pleinement avant de les rouvrir et de se jeter sur mes lèvres avec bestialité, me serrant avec force.

Le message est reçu, je glisse ma main dans sa culotte de dentelles noir et caresse sa féminité, où je peu mesurer l'état d'excitation de la demoiselle. Mes doigts décrivent de petit cercles et joues avec les lèvres inférieurs de mon amante.

Je poursuis quelques instant avant d'introduire timidement mon majeur dans son intimité tout en caressant son dos de ma main libre. Un léger mouvement de va et viens s'impose naturellement mais sans empressement, je veux prendre mon temps avec cette demoiselle.

Pourtant, moi-même je suis à cran, le désir à son summum et Makiko doit sans doute s'en rendre compte.

Elle me fait arrêter mes caresses, un sourire étrange aux que je ne remarque qu'après avoir été embrassé. Elle suis le trajet depuis mon torse jusqu'à mon caleçon, où elle s'arrête avec un sourire presque moqueur devant la bosse plus qu'évidente.

Quelques instants plus tard, mon membres enfin libre, Makiko se remet à califourchon sur moi et se laisse glisser doucement en poussant un gémissement de plaisir. Moi même je contient un râle de soulagement et mon cerveau envoie le message "ENFIN!!".

Je pose mes mains sur ses hanches et appuie un peu pour qu'elle descende le plus possible, puis au dernier moment je donne un coup de reins, à la fois pour la surprendre et lui donner du plaisir mais aussi pour m'assurer que tout est bien en place.

Je l'aide d'abord à initié un mouvement de haut en bas avant de moi même participer à l'effort de guerre en répétant régulièrement le premier mouvement des reins.

Finalement, je me lasse de cette position. Je la bloque, alors qu'elle est bien ancrée sur mon membre, replie un peu les jambes et enfin je la renverse sans pour autant mettre fin au contact charnel. Je me retrouve donc sur le dessus et elle complètement à ma merci.

Je l'embrasse et attend juste qu'elle me signifie sa consentement pour passer à un assaut plus... bestial.

Elle semble un peu prise de court par le mouvement que je viens de lui faire subir mais répond très rapidement à mon baiser et refuse de quitter mes lèvres, se les accaparants pendant plusieurs secondes. Elle profite de ce temps de "récupération" pour passer une des ses jambes autour des miennes et m'enserrer le cou de ses bras.

Je commence par un mouvement assez lent pour profiter d'une accélération progressive. L'objectif du jour: Lui donner du plaisir, beaucoup de plaisir et le plus rapidement et longtemps possible. On en conviendra, c'est assez contradictoire quand on est pas un acteur de films joyeux avec un braquemart élevé aux anabolisant.

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Je suis pas sûr du temps que ça a durer, j'ai complètement perdu la notion du temps dans l'histoire, mais une chose est sûr j'ai donné mon maximum pour le bon plaisir de la demoiselle que j'ai maintenant dans les bras.

Allongé sur le lit, perdue dans les limbes de je ne sais trop quel monde, je ne pense même plus, je me détend et profite de l'instant. Je dépose un baiser sur la tête de la demoiselle en question et lui sourit.