Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €


Partagez
Poussières d’étoiles
##   Dim 5 Jan 2014 - 13:42
Anonymous
Invité

« Nos souvenirs sont négligeable, le présent est futile, c'est au-delà que nous composons. »

« De temps à autre, tirer des conclusions sur ce qu'il vient de se produire est dérisoire. Comme si la terre entière avait céder sous le poids d'une force jusqu’à lors inconnue. Comme si, le monde que je foulais, s'était subitement braqué ; refusant que je le piétine de nouveaux. M'obligeant à m'exiler vers une contrée peu recommandable. Tous ses changements n'eurent d'autres effets que de provoquer une frontière entre ce que je pouvais appeler « l'époque d'avant » et ce qui se présenta devant moi maintenant.

N'était offert qu'une vaste plaine désertique aride, vide de sens ; Remplis d'incompréhension, de mélancolies, de questions. Mes larmes pouvaient s'écouler, en rien cela ne rafraîchit l'air pesant de cet endroit morose. Lasse d'avancer, Je décidai de me poser, et d'oublier ; Délaissant ce phénomène, qui m'emmena vers un nouveau trou noir emplis de pénombre.

Dans ses moments-là, tout me parait amère et futile. De nombreuses idées confuses me traversèrent, tel des fuseaux horaires. Luttant pour les organiser, mon corps lâcha annonçant la suite des événements. Une mort psychique, des plus brutales se glissa jusqu'à mon encéphale. S'amusant a avec mes connections synaptiques, elle atteignit rapidement ce que je cherchais à protéger de toutes mes forces. Le potentiel électrique les reliant s'affaiblit brutalement.


Top tard. Me voilà livré aux souvenirs que je cherchais à contenir aux plus lointains de moi. La noirceur des choses me livrèrent jusqu'au plus profond de mes entrailles. A quoi bon lutter ? Au temps atteindre l'immensité abyssale. Une fois dans le brouillard, mes pupilles s'habituèrent à l'obscurité. Puis, comme par enchantement, je m’accrochai aux ténèbres. Le noir ne me dérange plus. Il m'est même nécessaire pour fonder mes jugements, envies, désirs. Je finis même par penser, qu’avec du recul, cette couleur me vas bien, qu'elle m’anoblissait. Mes pensées se perdirent au loin ; un vaste écran de fumée épaisse recouvrit mon existence. Je deviens lasse de toutes ces choses  qui ne m’atteignaient plus.

Il faut que je me réveil avant qu'il ne soit trop tard. Il faut que je me souvienne qu'au-delà de tout ça repose mon salut. Peu de temps sépare cet instant fatidique du non-retour. Un soupir peut faire la différence, il suffit juste que je sache l'interpréter. Ma prise de conscience doit être des plus rapides.

En tout cas, celle-ci doit l'être si elle veut être totale. Je ne prends pas le risque de  sombré face à ses chimères qui me hantent. Il faut que je me souvienne ce pourquoi je suis ici et non la bas. Ne pas perdre de vue ce pour quoi je me bats. Il est temps que je pense par moi-même.

L'heure des décisions doit retentir. Et ce instantanément. Libre à moi de choisir si je souhaite l'atteindre ou non. De mes actes résultent le reste de mon existence. Mais pas seulement. Elle peut affluer sur celle des personnes m'entourant. En toutes circonstances, je serais seul juges de tout cela.

Il faut que je me remémore que  je suis le seul maître d'apporter ou non de la couleur à ton monde. Me représentants le tout, celles-ci  émaneront à travers les autres. Une seule alternative m'est offerte pour  que je tire de là : ne pas oublier, que dans ses moments-là, c'est à moi de composer. »

Hisméria se réveilla en sursaut, et les dernières paroles de S.N.E raisonnaient encore dans son crâne.

C'était le seul souvenir qu'il avait gardé de lui. Les seules paroles encore encrée dans sa peau. Le seul discours que cet homme avait prononcé à son égard. Ou du moins, les seuls choses encore visible à son esprit. Elles apparurent en lui en ce moment précis. Cela ne devait être en aucun cas une coïncidence. A vrai dire, l'adolescent l’avait enfin compris, tout était lié. C'était le pourquoi du comment. La raison de tout cela. C'était son regret éternel. C'était la nuance aboutissant au tout qu'il avait recherché toutes ses années. Il l’aurait voulu composer autrement.

Il n'en fut pas. Hisméria compris en cette instant le tout. Ces propos s'éclairèrent en lui comme lumière estompant tous ténèbres. Celui-ci s'avait maintenant ce qu'il lui restait à faire. L'homme s'aperçut au même moment,  qu'il ne pouvait en dire mot, et souffrir en silence.

Ne trouvant plus le sommeil, l’adolescent s’habilla rapidement, puis décida d’aller fumé sa cigarette sur le haut des toits. En ce lieu solitaire, il était sûr de ne croiser personnes, et pouvais réfléchir calmement.

Cela faisait maintenant trois ans. Exactement en ce jour. Ce pourquoi Hisméria choisissait cette période pour se rendre dans un endroit isolé, comme pour être seul avec elle. Il ne pouvait en être autrement, et ne le fera aucunement dans d'autre circonstance. Trois années. C'est comme si depuis cet instant fatidique, le temps tout entier ne l'importunait plus. Faut-il dire, que l'homme ténébreux connaissait on ne peut plus bien les problématiques que pouvaient engendrer la fluidité des périodes qui passent sans ne laisser de trace.

Hisméria décida d'allumer une deuxième cigarette nocturne. Comme pour oublier ce pourquoi il était là. Comme pour omettre son absence. Dans l'immensité qu'est une nuit noire, sur l’institut endormis, celui-ci alla s'asseoir sur le rebord du revêtement, scrutant avec mélancolie l’horizon. La fumée de sa drogue douce s'envolait au loin, la tête penchée dans le vide, ses longs cheveux noir se balançais au rythme hivernale des bourrasques nocturnes. Recouvrant ainsi la totalité de son regard gris. Une larme s'écoula de son visage fin, puis deux. Voilà qu'il fut submerger par un océan de souvenir, à ne plus pouvoir contenir ses sentiments. A vrai dire, il ne voulait les contenir. Et même si il voulait le faire, il n'en avait plus la force.

Cependant, au bout de quelques minutes, comme par enchantement, l'homme vêtu d'un grand manteau à capuche redeviens aussi froid que sa tenue. Ne laissant plus rien transparaître. Comme si le temps avait littéralement changé la personne assise. Il se leva, laissant sa silhouette fine se perdre au loin. Hisméria n'avais oublié ce pourquoi il était resté. Ce pourquoi elle n'eus pas cette chance.

En une large cicatrice disposait sur son œil gauche, dissimulé par une longue mèche brune, étais scellé son histoire. Leur histoire. Il lui avait pourtant promis. A chaque fois que celui se remémorait les événements passés, sa cicatrice lui brûlait le visage. Des douleurs atroces le traversant. Comme pour lui rappeler ses différents regrets et son amertume grandissant au fils que les secondes s'écoulèrent. Le rongeant sans merci. Lui rappelant son erreur. Quotidiennement. Cette homme savait plus que quiconque qu'il ne pourrait trouver la rédemption qu'il recherchait tant qu'il n'aurait compris ce pourquoi elle avait disparu.

Hisméria repensa à l’homme qui avait imposé la marque de sa honte sur son œil gauche. S.N.E, qui, caché dans l'obscurité fut témoins de l'atrocité de cette nuit, mais préféra. Possédant un morceau de cette énigme. Pourquoi ne s’est-il jamais prononcer? Pourquoi n'est-il jamais réapparut? Tant de question enivrant son esprit, avec à la clé aucune réponse concrète, plausible. L’homme était néanmoins sur d'une chose : il se devait de le retrouver.  En premier lieu pour se venger et retrouver son honneur.

Hisméria avait pour seul indice, la rose que S.N.E avait laissé derrière lui. Une rose noir unique en son genre. Noir comme le regard haineux de l'homme brisé. Après des mois de recherches auprès de spécialiste floraux, il en conclut que celle-ci ne pouvais que provenir du département où il se trouvait. C'est d'ailleurs ce pourquoi, notre mystérieux personnage avait accepté de suivre le Master.

Le fruit de ses recherches n’avait abouti jusqu'à présent. Trop de mystère régnait autour S.N.E. A vrai dire, celui-ci ignorait même la signification de ses trois lettres qu’il soupçonnait d’être un acronyme de son nom. L’adolescent savait peu de chose sur ce personnage. Si ce n'est qu'il portait une chevalière unique en son genre, prônant sur l'annuaire de sa main gauche.

Hisméria mis ses mains dans ses poches et retrouva une petite affichette qu’une personne lui avait donné à l’entrée de l’école. Qu’est-ce que cela pouvait bien être ?

Encore une pub pour des associations sans intérêts pensa t’il.  A vrai dire, je n’ai même plus souvenir de qui a bien pu me la donner. Mais bon qu’importe, il faut vraiment que je pense à refuser ce genre de propagande. De toute manière je ne l’ai lis jamais.

Et pourtant, quelque chose de différent attira son attention. Dans la pliure, l’homme aperçut un petit coin doré. Curieux de découvrir ce qu’il pouvait bien se cacher, Hisméria dérogea à la règle et déplia le prospectus et commença à le lire.

Un bal ? Quel drôle d’idée. La dernière fois que l’adolescent participa à ce genre d’événement, cela c’était plutôt mal finis.

Hisméria de nouveau replongea dans ses souvenirs. Bien qu’enfant, l’adolescent se remémorait cette scène comme si celle-ci venait juste de se produire. Il revoyait toutes ses personnes présentes ce soir-là :

La jolie petite blonde, en singalette blanche, qui, l’air perdu dans ses pensée est en quête d’un cavalier pour la valse, c’est ma tante Lucile Lust, femme qui passe pour littéraire, parce qu’on la rencontre souvent, un livre à la main, dans les allées discrètes de Los Angeles.

Et la bas, au fond de la pièce, discutant avec son mari, je revois parfaitement la toute gracieuse Camille, ma cousine, reine des bals, je ne l’ai jamais vraiment connut, mais de ce que je me souviens son succès y était énorme, surtout dans un certain costume d’impératrice de givre. On lui prête l’intention pour ses formes superbe mais aussi sa présence et ses charmes auront cessé de plaire à l’ instant où elle quitte la pièce.

Remarque intéressante, Lucile et Camille, à leur grand désespoir, n’ont jamais pu se parler plus que ça. Comme si une certaine rivalité s’était installée entre les deux femmes. Je n’ai jamais su pourquoi.

Dans ce genre, un peu spécial pour l’époque, la palme revient, sans conteste, à Alice Altair, ma mère. Elle avait ce sourire qui avait l’art d’égayer toute une pièce, et de vous rendre heureux, sans que vous ne sachiez pourquoi.

Il est dix heures, la salle se remplit, c’est à peine si l’on peut circuler, on s’écrase en dansant : les cavalières ne manquent point. La valse terminée, l’orchestre repris dans un murmure la célèbre valse de l’endroit, la Déesse des Fleurs.

Cette brune jeune femme, à la taille élégante serrée dans un corsage de moire antique verte qui tourbillonne dans les bras de son cavalier, ce sont Hélène et Henry Meillan.

Et puis je me souviens de comment cette soirée se termina, on a jamais véritablement su ce qui s’était passé. Mais un immense incendie ravagea les locaux. Les convives piégés dans les flammes, peut de personnes réussirent à s’en sortir. Il faut dire qu’à l’époque, les issus de secours n’était pas obligatoire.

Je ne sais pas pourquoi, les issus était condamner. Comme si quelqu’un avait cherché à nous emprisonner. Ce jour-là, ma mère me fit passer par le monte-charge, avant de s’évanouir asphyxié par les flemmes. Je ne l’ai jamais revu. Le bilan fut lourd, quasiment pas de survivant. Rare sont les privilégiés comme moi à avoir survécut à ce drame digne d’un roman de mauvais gout. Hisméria redirigea ses pensées pour éviter de pleurer à nouveau.


Son sujet de préoccupation changea brutalement. Et puis de toute manière, même si celui-ci voulait y participer, cela ne serait pas réalisable, il faut y aller accompagner. De manière mélancolique, Hisméria se replongea dans la solitude et s’allongea, tête vers les étoiles. L’homme ferma les yeux pour se concentrer sur le bruit du silence.
##   Ven 17 Jan 2014 - 19:50
Cendre De Lune

Personnage ~
► Âge : 17 ans
► Doubles-comptes ? :
► Rencontres ♫♪ :
Cendre De Lune
Etoile Tonnerre Lunaire
Messages : 265
Date d'inscription : 13/02/2013
Age : 26
Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait...
Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune !

[Hrp : Quelle rep magnifiques ! … SNE … Un jour, je saurais ! … x) ]

Je ne sais pas exactement ce que je fis cette nuit là, un tant soit surement un peu insinué, si, je l’entends d’ici, ou du moins le vois aussi clairement venir qu’un éléphant obèse asthmatique amateur de sushi tout sauf allégés mais néanmoins et sans ommetre afro-tellurique, ledit éléphant lancé au grand galop, avec tout le tonnerre de boucan allant avec un éléphant obèse […] lancé au grand galop,insinué donc, que j’eu dormi.

Je démens cette accusation ! … Car oui par évidence, j’ai dormi.

Parce que sans opposer sans dire imposer un avis critique, (pouvant mettre en doute le fait que je puisse en émmetre un, ce dont je me fiche un peu, finalement), j’évite de passer l’intégralité de le nuit à contempler MA lune (Que je n’ai pas vendu, et n’ai pas l’intention de le faire, soyons d’accord), même si j’en serais plus que surement capable, d’ailleurs, je l’ai souvent fais, et n’importe où, mais j’aimerais quand même, au possible, ne pas avoir à me rendormir au cours de la journée…

Car oui, nouveautée de Terrae, bien que j’eu vécu la journée avant, n’étant pas non plus une chauve-souris contrairement à d’autres lunatiques plus lugubre, nouveautée plus que surement un peu surprenante, me direz-vous : Et bien, tout à fait, à Terrae, je ne récupère plus mes heures de sommeil en cours.

Par ailleurs, Nouveautée pouvant potentiellement ne pas être désignée comme telle, car mon encéphale capricieux et lunaire pouvant se montrer tout ce qu’il y a de plus rétucent à l’emmagasinement de nouvelles informations, et préférant à ce vivre en autarcie, mon information date de… Presque un an, en fait…

Presque un an, date de mon arrivée à Terrae. Le temps passe vite.

Quel pied, mon foutu ciboulot réticent, pour ne pas retenir la théorie du GYNOIDE, le terme de cyborg étant un peu dépassé, nous sommes d’accord, mon foutu ciboulot, donc, serait un peu comme un vieux moteur diesel : Lent au démarrage…

J’aurais un cerveau lent. Le pied, je dis !...

Nouveautée qui n’en serais pas une, donc, je pourrais peut être conclure par un « tout est relatif », Relativité.

Portant, peut être, si ce n’est outre une possibilté ou ne serait-ce qu’un plus que surement dans mon cas, sur la lenteur de ces liaisons neurologiques.

Brefouillons, nouveautée d’un an, donc – Relativisez.

J’eu donc pour habitude plus que surprenante, dans mon cas, d’aller me coucher, pour dormir. Oui, dormir… Oui, le fait d’aller me coucher étant plus ou moins concret, le fait de dormir reste encore assez flou, un peu comme un théorie qui marche en théorie… En théorie, quoi, la pratique, c’est autre chose.

Mais loin de croire que je m’amuse à dormir toute la nuit, une poignée d’heure par nuit suffit, ou plutôt, me suffit, ou me suffirait, c’est selon. Disons seulement, limiter la casse et tenter de sauvez les meubles en ne faisant que peu sans dire pas du tout puisque ça puis arriver, de nuit blanche.

Pourquoi blanche, d’ailleurs ? La nuit est noire… J’en sais quelques chose...

Du moins, je crois.

Pas de nuits blanches, donc, parce que c’est dur de renchainer avec une journée de 16 ou 17 heures avant de pouvoir refermer un paupière après… Cette sensation, désagréable bien qu’elle me soit familière puisque je dois boire deux café par an, pour tout total et en éxagérant un tant soit peu le chiffre, d’avoir les paupières qui pèse deux chappes de plomb et qu’à chaque battement de paupière, on met quinze piges à retrouver la vue et qu’on se demande si au prochain clin d’œil, on ne va pas s’endormir…

Ou de se mettre à rêver d’un lit, et se dire que même en évitant de dormir en cours, si on nous offre la possibilité de dormir inconfortablement, même debout : Je pose la tête contre un mur et je suis sure de pouvoir roupiller comme ça.

Fatigue, fatigue, quand tu nous tiens…

Bon, pas de nuits blanches, donc, mais je quelques heures de sommeil grapillées au hasard des lunes (Depuis toujours, insomnies aggravées les jour de pleine lune et dans cette période faste, ça m’arrange presque, ça…). Que je ne perde pas non plus mon spectacle nocturne, non mais oh !

Il ne manquerais plus que ça.

Après, En théorie pas de nuits blanches et quelques heures de sommeil grapillées au hasard, c’est sans comptez les week-end où je dors vingt-et-une heures d’affilées… Il faut bien rattraper un jour !...

Je suis en général debout vers quatre heures du matin, mon réveil me réveillant à cette heure (Oui, pour ne pas employer de termes plus fort et pouvanyt mettre plus, si possible c’est, mon amour propre hypothétiquement inexistant mais tant pis, je dirais seulement c’est sadique de s’auto-réveiller quand on arrive déjà pas à dormir… Vous ne croyez quand même pas que j’allais rater une seule nuit non ?! ... ), pour être sure de faire quand même quelque chose de ma nuit…

Je peux ainsi profiter de cette obscurité et de l’astre obscène qu’est la lune, MA lune, car je pense que les insomniaques, ou non moins lunatiques, ne l’en sont pas moins de se coucher tard, mais plutôt de se lever tôt.

Ma tenue de bal était bizarre. J'avais longuement tressé mes cheveux, comme je le faisait souvent autrefois, surtout la nuit, pendant les insomnies, plus tellement à Terrae, à croire que mes nuits d'insomnies sont chargées.

Ou du moins plus chargées. Ce qui est hypothétiquement sans dire potentiellement vrai.

J'avais acheté... Oui, acheté, première fois que j'allais faire les boutiques depuis mon arrivée à dernière, et dernière, j'aimerais pouvoir dire sans trop d'espoir que mes vœux soit exaucés, j'avais acheté, donc, une paire de bottines en cuir sombre et au laçage compliqué, me changeant des mes sempiternelle baskets, amenée de France et bien utilisées depuis la, ou de mes espèce de souliers vernis qui allaient avec mon uniforme et ne faisaient pas trop mal aux pieds.

J'avais aussi acheté, en une même occasion, vous n'alliez quand même pas croire que j'y étais retournée, une chemises ample et longue, d'un rouge sombre, que je porterais comme une robe le soir de Noël, dans deux heures, heure à laquelle Ame devrait venir me chercher pour mon... Cavalier...

Je ne reviendrais pas sur ce concept aussi bizarre, inattendu qu'intéressant.

Pour l'instant, je brisais un peu la magie de la belle tenue en portant la robe et les bottes avec un de mes grands baggy noirs.

Sans commentaire. Le bal, c'est dans deux heures, d'ici là, je fais ce que je veux.

Agacée d'attendre dans ma chambre, je jetais un coup d'œil aux douze pommes alignées sur ma table de nuit.

Un instant plus tard, j'étais sur le toit. Non, je ne m'y étais pas rendue en me téléportant, ayant la flemme de me prendre la tête avec des téléportations foireuse le soir de Noël, je m'y étais rendue à pied.

Je croquais à pleine dent dans une de mes pommes, car oui, j'avais emmené cinq de mes pommes, avec moi, une à la main, deux dans chaque poche de la robe, qui était sensé être esthétiques mais qui se révélait toujours leur fonctionnalité insoupçonnée avec moi.

Je mâchais assez bruyamment, m'en foutant puisque sensée être seule courge à aller se les cailler sur le toit en début de soirée, quand je vis une silhouette non loin, un fumeur si j'en juge aux cendres qui rougeoient aux rythme de sa respiration.

-Zut.


-
-
*・゜゚・*:.。..。.:*・'(*゚▽゚*)'・*:.。. .。.:*・゜゚・*

Quand je suis née, Mme Motivation m'a regardé et s'est barré en courant...



Poussières d’étoiles 1401817924-moon-aria-manga-anime-girls-1600x1200-wallpaper-www-knowledgehi-com-11

Spoiler:


 

Poussières d’étoiles

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1Terrae, Une nouvelle ère commence... :: La salle de réception ! :: C'est Noël ! (2013)