Dans la gueule du Loup... Mais qui va se faire croquer ? [PV Lysandre]

Ce jour-là, Nariwen était plutôt au calme. Elle marchait tranquillement dans la cours, la musique sur les oreilles, se rappelant de sa petite journée. Comme souvent, elle s'était entraîner au maniement de l'air, mais pour une fois, elle n'était pas trop fatiguée. Une première ! D'habitude sa maîtrise lui prenait beaucoup plus d'énergie. Peut-être qu'elle commençait à s'habituer à tous ça. Peut-être qu'un jour, elle allait devoir s'attaquer à la maîtrise de sa voix, qu'elle n'avait encore jamais testé volontairement...

En attendant, la jeune air était tranquillement entrain de rejoindre sa chambre. Soudain, quelqu'un lui attrapa le bras et la retourna. Elle tomba nez à nez avec une fille qu'elle avait connu au dortoir des novices et qui avait visiblement beaucoup d'énergie à revendre.

"Hey, Nari', tu joues ?

-Jouer ? Mais à quoi ?

- A ça !"

La petite attrapa son mp3 et ses écouteurs et partit en courant. Réactive, toujours prête à jouer, Nariwen partit au quart de tour et la poursuivit. Pas de chance pour la fillette, la jeune Air était plus rapide et la rejoint vite. En deux mouvements, Nariwen la mit délicatement à terre et récupéra son bien.

Puis elle attrapa le foulard de sa victime et se mit à courir aussi vite qu'elle le pouvait. Elle entra dans le bâtiments des chambres individuelles et tourna dès qu'elle le put. Elle n'était pas dans la partie Air, mais elle s'en fichait bien. Elle tourna encore à quelques coins de couloirs, sentant son adversaire perdre un peu de terrain. Soudain, elle aperçut une porte entrouverte et se glissa dans la pièce sans se poser de question.

La jeune femme referma la porte derrière elle et écouta ce qui se passait dans le couloir, essayant de déterminer la réaction de son adversaire. Pas une seconde elle ne se retourna pour voir où elle avait atterrit, et pas une seule seconde elle ne se rendit compte qu'elle n'était pas vraiment seule. Erreur ? Et bien peut-être... Nous verrons bien !

J'aime les bains de minuits ! Bon, il n'est pas vraiment minuit, dans deux petites heures se sera minuit. Mais sinon, je n'aurais pas mes précieuses huit heures de sommeil car je n'aime pas dormir toute la matinée, cela fait une journée gâché si on ne fait rien. J'aime cet odeur de rose qui parfume mon bain avec toutes ses pétales. Un bain au lait de coco, revigorant n'est-ce pas ? Il n'y a pas de besoin de parfum après ça ! Cela va faire deux heures tout de même... J'ai lu mon magazine entièrement, mon jeu vidéo de ninja sur psp est bien commencé et je me suis reposé comme je le voulais. Bon, il serait temps de sortir. En plus, Lysandre se repose l'esprit, fatigué de sa journée aujourd'hui.
Sortons, le bain est devenu un peu froid pour le coup. Je vais prendre la serviette blanche aujourd'hui, orné d'un magnifique dragon blanc sur le côté. Cette serviette est magnifique. Voilà... Je suis quasiment séch-...

CLAC !!

Eh bien,une porte qui se claque ? Ce n'est tout de même pas la mienne ?! Si ? Hum... Ohw... Une demoiselle est entrée chez moi. Aurais-je oublié de fermer la porte ? Apparemment... Ce n'est pas grave, un petit agneaux est venu rendre visite au loup. Alors, voyons voir comment je suis présentable... D'après mon miroir mes cheveux sont correcte, des mèches tombent près de mes tétons un peu rosé et des gouttes d'eau sur mon corps rajoute un côté sensuel non-voulu à la chose. Même comme ça je suis incroyablement beau. Quel chance d'être née ainsi ! Bien, je vais à présent me porter derrière-elle pour la surprendre huhuhu...

- Que me vaut l’honneur d’une demoiselle si tard le soir ? Dis-je en chuchotant dans son oreille tout en la prenant dans mes bras, de dos.

Elle se retourne rapidement vers son interlocuteur, donc moi et je lui sourit chaleureusement à ma façon. La serviette aussi petite soit-elle, accrochée légèrement à ma taille tombe jusqu'à mes genoux, on voit nettement le dragon. Je me fais auto-envie...! Je croise les bras comme signe de "mécontentement".

- Et sinon je suis Lysandre Ludwig Jennings, vous êtes dans les chambres individuels des tonnerres très chère. Je ne vous ai jamais vu ici d'ailleurs...!

Alors que la jeune Nariwen était toujours absorbée par ce qui se passait à l'extérieur de la chambre, lorsque deux bras vinrent la serrer. Une tension monta dans tout son corps et ses yeux s’écarquillèrent. Dans sa tête, c'était la panique totale et pourtant, elle mit une petite seconde à réagir. Juste le temps pour entendre une voix sensuelle et masculine lui glisser à l'oreille :

- Que me vaut l’honneur d’une demoiselle si tard le soir ?

Danger... Voilà ce que lui criait vaillamment sa tête. Nariwen se retourna quand même, ses yeux montrant toujours sa surprise et, il faut bien l'avouer, son inquiétude. A ce moment là, elle vit l'homme en question. De longs cheveux clair, à peine rosés et parfait lui descendent sur le haut de son torse nu. Des yeux à tendance dorée reflétant une assurance sans borne et un visage d'ange tout droit sortit des magazines. Le tout assortis d'un sourire chaleureux et inquiétant aux yeux de Nariwen. Elle ne baissa même pas les yeux pour savoir ce qu'il y avait en bas. Elle ne voulait pas savoir.

Le jeune homme se décolla un peu, et croisa les bras. Et bien oui, il ne faut pas oublier que la jeune Air l'avait quelque peu envahit sans prévenir. Même si là, à ce moment précis, elle passait plutôt pour une victime. Enfin bref !

- Et sinon je suis Lysandre Ludwig Jennings, vous êtes dans les chambres individuels des tonnerres très chère. Je ne vous ai jamais vu ici d'ailleurs...!

C'est à ce moment là que Nariwen reprit enfin les commandes. L'assurance sans borne de l'homme faisait ressortir la sienne. Et puis zut, elle avait passer des heures à jouer sur ses propres faiblesses avec Archibald, il était temps qu'elle reprenne le dessus. Son regard changea du tout au tout, montrant une nouvelle assurance et se parant de sa malice habituelle, mais toujours aussi pétillante.

La jeune femme glissa sur le côté, échappant à Lysandre. Elle se met alors à marcher lentement dans la chambre, observant sa disposition, sa décoration, sans y prêter vraiment attention. En réalité, elle rassemble ses forces. Elle a bien compris que l'homme qu'elle vient de rencontrer est du genre séducteur qui fait tomber toutes les demoiselles. Elle se doit d'être forte contre lui. Non mais oh, après tout !

"Je suis Nariwen Akikaze. Il est normal que vous ne m'ayez pas vu par ici, je suis une Air. Je suis arrivée ici par... Hasard, si on dire. Et je suis bien désolée de vous avoir dérangée. Dois-je sortir ?"

Nariwen était maintenant totalement zen, la voix posée et mélodieuse. Son énergie, elle la gardait. Elle était calme, déterminée. Elle montra la porte d'un doigt, un sourire doux ornant son visage et ses yeux brillant toujours d'assurance. Bon bien sur, au fin fond de sa tête, elle espérait vivement qu'il allait la faire sortir, vite, très vite... Mais elle sentait bien que ce n'était pas gagné... Pas du tout même.

Tout d'un coup, les réactions de la jeune fille semble différentes. Elle change son regard en un battement de cil puis elle commence à entamer un tour dans ma chambre. Elle est moins timide tout d'un coup ? Est-ce la curiosité qui passe au-dessus de la méfiance ? Elle regarde un peu partout, sans doute perplexe par la décoration et le rangement par rapport à une chambre de garçon normal. Les murs sont beige clair, le lit deux place en fer repeint en gris clair. Les rideaux des fenêtres rouge/rose, un bureau de la couleur de mon lit. D'ailleurs, mes draps sont mauve. Le mauve me va si bien que même dans mon lit je me doit d'être magnifique. Oh et le placard je l'ai viré c'est à présent une armoire/dressing pour avoir plus de place. Et surtout, et j'en suis fier, un grand miroir qui peut refléter deux personne en même temps en plus de celui près du lavabo qui ne prend qu'une personne et juste jusqu'en haut de mon torse. Enfin, un abat-jour pour la lampe au plafond en verre avec des décoration, un style vieille lampe qui revient à la mode et une lampe de Sel d'Himalaya Naturelle sur ma table de chevet ainsi qu'une lampe de bureau métallisé et rouge. Pour le moment c'est bien tout ce que j'ai acheté, la décoration des murs par des cadres par exemple je verrais ça plus tard.

- Je suis Nariwen Akikaze. Il est normal que vous ne m'ayez pas vu par ici, je suis une Air. Je suis arrivée ici par... Hasard, si on dire. Et je suis bien désolée de vous avoir dérangée. Dois-je sortir ?

Oh, une air ! J'en ai rencontré pas mal des air. Il y a Camus, Hisméria et Plume récemment devenu air. Intéressant. Arrivé par hasard la petite air ? J'en doute fort. Je lui fais un splendide sourire, rayonnant comme je sais si bien les poser sur mon visage. Magnifique, une proie à se mettre sous la dent !

- Oh mais ce n'est rien voyons. Vous fuyez quelqu'un ?

Je ris avant de reprendre.

- Je l'ai deviné car moi aussi j'irais me réfugier chez quelqu'un pour en échapper à une autre. Je n'ai malheureusement pas beaucoup de chaise, juste une pour mon bureau. Je n'ai pas encore acheté la décoration.

Je soupir puis écarquille les yeux.

- Oh ! Avant d'oublier ! Dis-je en fermant la porte à clé. Comme ça je suis sûr au moins de ne pas être dérangé pendant que je prend mon bain. Installez-vous, ne partez pas tout de suite ! J'ai un mini-frigo, servez-vous si vous voulez quelque à boire, moi je dois me changer.

Je me dirige vers la porte de la salle de bain, emportant la clé avec moi.

- Je sais bien que je suis bel homme mais tout de même !

Je ricane un peu, entrant dans la salle de bain en poussant la porte mais sans la fermer complètement. Je pose la clé sur une étagère puis enlève ma serviette pour me sécher avec. Ah... Mes cheveux mouillé... Dois-je les laisser sécher au naturel ? Bonne question. Je vais d'abord les coiffer et ensuite je les attacherais avec une pince violette. En attendant, je me demande ce que va faire mon invitée surprise !

Oui bon d'accord, l'espoir de Nariwen était assimilable au souhait d'un miracle, mais bon, l'espoir fait vivre comme on dit. La jeune femme, pleine d'assurance, était tout de même prête à affronté ce jeune homme. Lui, lorsqu'elle parla, se contenta d'afficher un sublime sourire qui décuplait toute la beauté de son visage. Nariwen prit une petite inspiration et rassembla ce qui lui restait de concentration. Non mais ça devrait pas être permis d'être aussi beau. Pourtant, la jeune femme préférait les bruns à la base. Mais là...

Lysandre avait vu clair dans son jeu, il savait qu'elle n'était pas du tout là par hasard, mais bien par jeu. Et en plus, il n'était pas bête. Cela allait rendre les choses d'autant plus rude pour la jeune femme. Mais pour l'instant, rien n'était écrit. Le jeune homme quant à lui enchaîna sur une réplique sur les chaises, son bureau, blabla... Nariwen s'en fichait pas mal, ce qu'elle voulait, c'était déguérpir d'ici, tout en ne montrant pas à quel point elle était inquiète. Ce qu'elle arrivait très bien à faire jusque là. Puis l'expression de Lysandre changea, ses yeux grandissants, n'enlevant malheureusement rien à son charme.

- Oh ! Avant d'oublier ! Comme ça je suis sûr au moins de ne pas être dérangé pendant que je prend mon bain. Installez-vous, ne partez pas tout de suite ! J'ai un mini-frigo, servez-vous si vous voulez quelque à boire, moi je dois me changer.

Il avait fermé la porte à clef ! Nariwen ouvrit des grands yeux scotchés. Mais il la retenait prisonnière en fait ! Elle le regarda partir dans la salle de bain, elle écouta sa dernière réplique et tout cela avec la même expression. Ce mec avait une assurance de béton et des chevilles aussi grosses que des pastèques. Et le fait qu'il ne ferme même pas complètement la porte de sa salle de bain le montrait bien. La jeune femme soupira, puis alla s’asseoir sur le bureau. Oui, elle n'était pas du genre à s’asseoir sur une chaise, bon d'accord.

Une petite minute après, elle se releva et ouvrit le frigo. En temps normal, elle ne serait pas permise, même s'il lui en avait parlé. Mais ce gars-là le "méritait" quelque part. Non mais oh, on emprisonne pas Nariwen sans contre partie ! Notre petite Air détestait être cloîtrées quelque part. Cela la contrariait vivement. Bref, elle jeta donc un œil dans le frigo et trouva son bonheur : du jus de fruit. Oui parce que cette petite pouvait se nourrir de fruits pendant toute une journée, cela ne la dérangeait absolument pas. Bon, au bout de quelques jours, la viande lui manquerait. Elle était aussi un peu du genre carnassière. Mais pour le moment, elle sirotait son jus de pomme, de retour sur le bureau, gentiment assis.

Mais soudain, elle eut une idée. De là où elle était, si elle utilisait l'air, elle pouvait pousser la porte de la salle de bain où était le jeune homme... Tout ça sans bouger. Elle posa un instant son jus de fruit et se concentra, expirant un coup. Une douce brise vint gentiment pousser la porte jusqu'à ce qu'elle bute contre on-ne-sait-quoi. La jeune fille, ravit de son tour, reprit son jus d'un air innocent, jetant quand même un coup d’œil.

Vous serez bien d'accord avec moi, tout ceci n'était que du pur sui-ci-de. Non seulement, Nariwen avait maintenant la tête qui tournait un peu, bon cela allait vite s'arrêter, elle reprendrait des forces en quelques minutes. Mais en plus, et surtout, cela n'était que de la provocation. Et la jeune femme savait pertinemment que la provocation n'était pas la carte a jouer avec ce genre d'énergumène... La jeune femme était pourtant contente et attendait la suite avec assurance et aussi impatience...

( Ne fais pas attention à mon Kit, tout es parfaitement normal, Ludwig n'est pas une fille xD )

Ah la la... Je ne sais pas si je vais en faire mon goûter de cette fille, peut-être juste la taquiner un peu ? Oh oui, se serait drôle ! Où est passé mon slip pour les occasions spéciaux ? Hum... Je ne l'a pas prit avec moi ni posé là, il doit être dans la chambre. Dommage ! Mon slip rouge moulant, un tissus fin avec juste sur les côtés comme des ficelles qui se rejoint. Hum... oui, vraiment dommage. En attendant je vais m'occuper de mes cheveux. J'attrape alors mon sèche-cheveux vivement puis une brosse. Oups... Ma serviette est tombé. Ce n'est pas grave, je suis sec maintenant...
Et voilà, des cheveux tout sec et resplendissant de beauté, il ne faut pas grand chose pour m'embellir ! Je suis déjà beau, il me manque plus qu'à bien me soigner et là, je suis parfait. Bon... Il faut ranger la serviette maintenant. L'étendoir est juste là prêt de la porte. Tien ? La porte s'ouvre toute seule. Enfin... " Toute seule ", je le vois son regard à cette Nana. Elle veut me voir à poile ? Elle va être servit !

- Il semblerait que vous n'aimez pas attendre jeune demoiselle... - Je me tourne vers elle, complètement nu - Un homme aussi beau que moi a besoin de préparation.

Je me dirige vers elle d'un pas naturelle, ni trop vite, ni trop lentement, juste un pas assuré. Je m'approche alors d'elle, la fixant avec un léger sourire sadique. Je commence par lui caresser les cheveux, rapproche quelques mèches pour les sentir. Elle recule. Elle est contre un mur, elle ne peux plus s'enfuir.

- Chère Nariwen, puis-je te demander comment tu me trouve, là, nu comme un ver ? - Je met ma main à sa taille et l'autre lui caresse le visage, doucement. - Suis-je à ton goût ?

Je ne peux m'empêcher de la rapprocher de moi avec cette main qui était à la taille, elle est à présent à son dos et se rapproche de son soutien-gorge. Et hop, il est dégrafé. Je lui offre un doux baisé dans le coup avant de lui chuchoter dans l'oreille de manière sensuel.

- Comment me trouves-tu Nariwen ? Si tu ne me répond pas, se sera ton corps qui répondra à ta place... Pour ma part, tu es... Une femme intéressante !

Le coup d’œil de la jeune femme avait suffit pour lui montrer une jolie paire de fesses. Elle sourit, amusée, puis se leva du bureau. Bon c'est pas tout, mais elle avait aussi des choses à faire, de son côté. Hum... Tout cela était de la faute de l'autre triple andouille qui avait lancé le jeu. Mais le jeune homme réagit à sa provocation, et lui montra très vite qu'elle n'était pas sortie de l'auberge... Ça c'était le moins que l'on puisse dire.

- Il semblerait que vous n'aimez pas attendre jeune demoiselle... Un homme aussi beau que moi a besoin de préparation.

Nariwen ne lui accorda pas un regard, mais leva les yeux au ciel. Non mais je vous jure ! C'était pas la modestie qui l'étouffait à celui-là. La jeune femme allait lui répondre que Non, elle n'aimait pas attendre dans la chambre d'un inconnu. Mais lorsqu'elle se retourna, elle le vit approcher, toujours nu.

*Oups...*

Pendant un instant, la panique de Nariwen voulu se montrer. Mais elle se reprit vite, repensant à Archi. Après tout, elle avait vu un homme nu quelques jours avant, il n'y avait pas de quoi rougir. La jeune femme se repris vite et regarda son "hôte" s'approcher, le regard totalement neutre. Pour une fois ! En même temps, elle était juste en attente de ce qu'il allait faire. Bien que son sourire, doté d'une belle teinte de sadisme, ne la rassurait guère, mais son assurance ne faiblissait pas. Pas devant ce genre de mec !

Lysandre arriva près d'elle, et lui caressa les cheveux. Ca va, ça, c'était agréable et donc n'avait aucun effet sur elle pour le moment. Lorsqu'il se mit à les sentir, se rapprochant encore, ce fut l'instinct de Nariwen qui parla. Elle recula et buta... contre le mur.

*Zut, je pensais qu'il était plus loin, lui !*

Rageant intérieurement, Nariwen replongea son regard dans celui du jeune homme, le visage toujours neutre. Mais ses yeux turquoises trahissaient son agacement. Il se prenait vraiment pour le roi du monde lui. Aucune gène !

- Chère Nariwen, puis-je te demander comment tu me trouve, là, nu comme un ver ?

*Trop nu justement...*

Mais les pensées de la jeune femme ne s'exprimèrent pas. Le jeune homme posa une main sur son visage et une autre sur sa taille. Dieu ce qu'il avait les mains douces. Mais légèrement fraîches... C'était... électrisant. Drôle de coïncidence pour une tonnerre. Toujours est-il que Nariwen retrouvait à ce moment sa faiblesse... Quel contact... Elle ne bougeait plus d'un millimètre, les yeux toujours dans les siens, de plus en plus outrée. Mais son regard trahissait aussi un peu son affolement.

- Suis-je à ton goût ?

Comment voulez-vous que la jeune femme réfléchisse à une telle distance ! Il était drôle, lui ! Et puis le voilà qu'il colle le corps de la jeune Air au sien. Heureusement qu'elle était habillée, elle ! La main du jeune homme, celle qui était à sa taille, remonta encore et encore, jusqu'au soutien-gorge de la demoiselle, jusqu'à le dégrafer. A ce moment, l'agacement de la jeune fille aurait pu exploser, elle aurait pu perdre le contrôle et l'envoyer valdinguer à l'autre bout de la salle par un simple mais puissant courant d'air. Elle le pouvait... Mais à ce moment-là, Lysandre eut aussi la bonne idée de l'embrasser dans le cou... Ce cou si sensible. La jeune femme soupira d'aise et ferma un moment les yeux :

- Comment me trouves-tu Nariwen ? Si tu ne me répond pas, se sera ton corps qui répondra à ta place... Pour ma part, tu es... Une femme intéressante !

Ces chevilles... Mais c'était une bonne chose pour elle que cet homme là ai autant d'assurance. Cela décuplait la sienne, la rendant plus forte. Ignorant le fait que son soutif était détaché, elle sourit. Mais pas un sourire amusé, ou rassurant, non non ! Un sourire qui montrait son assurance et aussi... un peu de mépris.

"Je peux te donner une réponse."

La jeune femme posa ses mains sur le torse du jeune homme et s'appuya contre le mur en même temps. Elle le poussa un peu, histoire de pouvoir respirer un peu plus.

"Par contre, mon corps n'aurait pu te donner une réponse. Il a tendance à être agressif, pour aucune raison d'ailleurs."

Son sourire se tinta d'un peu plus de malice et son regard se mit à pétiller. Nariwen rentrait dans un jeu dangereux, elle le savait très bien. Mais maintenant, elle pouvait mettre fin au jeu quand elle le voulait. Au pire, elle se ferait griller sur place, ce n'était pas si grave, si ? Elle avait de l'assurance à revendre...

"Pour ta réponse... Hum... Disons que tu es... un peu trop fin, trop délicat... Physiquement bien sur ! Et puis... Il y a tes chevilles..."

Physiquement, ses chevilles étaient parfaites. Mais il était tellement trop sûre de lui ! Nariwen ne pouvait pas s'empêcher de le lui faire remarquer. Même si quelque part c'était ça qui la sauvait. Pour l'instant, la jeune femme avait un autre problème a régler. Vous avez déjà eu un soutien-gorge détaché ? Et bien sous les vêtements c'est très gênant. Heureusement, elle avait un débardeur. Nariwen regarda le jeune homme droit dans les yeux et lui dit :

"Tu m'excuseras."

Puis elle se glissa sur le côté et rejoignit l'entrée de la chambre, où elle avait posé le foulard. Elle enleva donc son soutien-gorge sans toucher à son haut et le déposa sur le foulard. Puis elle se retourna vers Lysandre, les mains sur les hanches, prête à subir l'assaut suivant.

La jeune fille tente une fuite en me poussant un peu de son petit bras frêle. Hum ? On dirait qu'elle n'a plus l'aplombs qu'elle montrait quelques minutes plus tôt. Un corps agressif hein ? Intéressant. Voyons si après ce que je pense lui faire son corps sera encore agressif. "Pour ta réponse... Hum... Disons que tu es... un peu trop fin, trop délicat... Physiquement bien sur ! Et puis... Il y a tes chevilles..." Hum ? Mes chevilles ? Oh... Elle veut dire par-là mon assurance. Mes chevilles sont parfaites. Fin ? Surement dû au temps que je passe à être un handicapé, mes jambes sont fines mais bien souples, bien dangereuses... Elle n'a rien dit sur mes cheveux ! Mes cheveux sont pourtant impeccable non ? Hein ? Elle le sont, n'est-ce pas chère lecteur ? Oups... Je m'emporte.
La jeune femme glisse sur le côté puis alla retirer son soutien-gorge par-dessous le débardeur.

- Pourquoi cette posture ? Je vous ai offensez chère Nariwen ?

Dans les méandres de mon esprit, Lysandre semble troublé. Il coule de plus en plus dans l'océan de souvenirs oubliés. Il s'affaiblit, ça commence. Il se demande surement pourquoi il est dans cet état léthargique. Je l'ai coulé pour de bon, il ne reviendra plus à la surface m'embêter. Bientôt plus qu'un vague souvenir que j'effacerais petit à petit.

~ Pourquoi ? Ludwig... ~

Je m'adosse sur le côté, réfléchissant à un moyen de la faire succomber. Hum... Je me met face à elle, prenant un peu la pose, mes mains sur mes hanches, comme elle.

- Ne suis-je pas comme les princes de contes de fée ? La beauté physique est ce que les gens regarde en premier chez quelqu'un. C'est quelque chose d'important pour eux, l'apparence est sur quoi tu es jugé en premier. Comment une apparence tel que la mienne peut-elle ne pas plaire ? Je correspond aux critères de beauté sans pour autant n'être qu'une poupée de plastique à la mentalité fabriqué comme il devrait être. Normal sans pour autant ne pas être exotique. Les femmes ainsi que les hommes fondent devant-moi alors...

Je me rapproche d'elle, un genoux à terre puis une main qui prend la sienne pour la lui embrasser.

- Pourquoi ne pas vous laisser tenter par quelqu'un comme moi ?

Je la fixe tout en remontant, prenant délicatement sa taille que je rapproche de mon corps. Je lui prend la main, croise mes doigts dans les sien, ne perdant pas de vu ses jolies yeux.

- Je suis plutôt doux, je n'aime pas être brute avec les femmes, elles méritent que l'on prenne soins d'elles lors que l'acte non ?

Je décroise les mains pour aller la loger sous le débardeur de Nariwen, caressant l'une tes parties féminines les plus intéressantes pour l'homme comme pour la femme. La société veut des femmes superficiels le tout dans un corps de plastique aux artifices tellement chargés qu'elles ressembleraient toutes à de jolies poupées qui décorerait la tapisserie de leur mari. Je n'aime pas ce genre de femme, j'ai l'impression de courtiser le vide. Je les préfère comme cette jeune femme, car leurs défauts sont aussi craquants que leurs qualités. Ne trouvez-vous pas que j'ai raison ? Que le vide que les hommes courtises n'est qu'un plan fantaisiste comme jouer avec une poupée gonflable ? Ces femmes ne sont que des objets, elles ne valent pas la peine qu'on leur voue un culte dans mes magazines. Les femmes comme elle... Comme Nariwen... Méritent toutes mon intention car ce sont elles qui sont les plus belles...

- Pourquoi cette posture ? Je vous ai offensez chère Nariwen ?

La jeune femme en question soupira doucement, le regardant toujours, attendant la suite qu'elle savait proche. Le sentiment grandissant qu'il n'arrêterait pas avant d'avoir obtenu ce qu'il voulait commençait à s'installer. Et cela ne la rassurait aucunement... Mais pour l'instant, elle continuerait à rentrer dans son jeu... De son côté Lysandre s’appuya contre un mur et l'imita de sa posture. Cela ne semblait pas du tout le gêner de rester nu comme ça. Il savait qu'il avait un corps parfait et en profitait bien. Mais ce n'était vraiment pas cela qui allait faire craquer Nariwen. Par contre, ses longs cheveux soyeux, donnant envie de les caresser indéfiniment et ses yeux d'anges donnant la fausse impression d'être en sécurité...

- Ne suis-je pas comme les princes de contes de fée ? La beauté physique est ce que les gens regarde en premier chez quelqu'un. C'est quelque chose d'important pour eux, l'apparence est sur quoi tu es jugé en premier. Comment une apparence tel que la mienne peut-elle ne pas plaire ? Je correspond aux critères de beauté sans pour autant n'être qu'une poupée de plastique à la mentalité fabriqué comme il devrait être. Normal sans pour autant ne pas être exotique. Les femmes ainsi que les hommes fondent devant-moi alors...

Nariwen réussit à étouffer son rire devant la scène théâtrale que le jeune homme lui offrait, mais ne put pas effacer le sourire amusé qui allait avec. Sérieusement, d'où ce mec sortait ? Bon, au moins, il avait eu le mérite de la détendre un peu. Et la posture qu'il prit ensuite décupla ces deux effets.

- Pourquoi ne pas vous laisser tenter par quelqu'un comme moi ?

Cette phrase là endormit le sourire de Nariwen et réveilla un peu sa méfiance. Une voix dans sa tête criait qu'elle ne voulait PAS se laisser tenter et une autre... une autre avait envie de jouer avec cet homme qui se prenait pour un Prince. Le danger a toujours ce goût sucré de choses interdites et pourtant tellement délicieuses...

C'est donc avec un regard assuré, et toujours un peu amusé dans le fond, que Nariwen regarda Lysandre qui revenait près d'elle. Il la serra, et elle prit une inspiration tendue. La proximité n'était toujours pas son truc... Et puis il n'était pas obligé de capturer sa main Aussi...

- Je suis plutôt doux, je n'aime pas être brute avec les femmes, elles méritent que l'on prenne soins d'elles lors que l'acte non ?

Nariwen ouvrit de grands yeux étonnés et amusés. Donc là il lui proposait gentiment une petite soirée à intérêts corporels. Comme ça, alors qu'ils ne se connaissaient que depuis quelques minutes. La jeune femme était sur le cul... Aucun complexe lui ! Elle aurait pu en rire si à ce moment là il n'avait pas décidé de caresser son côté féminin. La jeune femme frémit, à peine, mais c'était largement perceptible. Il allait loin, et c'était très facile pour lui. Le jeu... Etait très désavantageux pour Nariwen. Elle ne pouvait pas tout le temps jouer la carte de la fuite...

Nariwen respira un grand coup, se collant ainsi involontairement un peu plus contre Lysandre. Elle ferma un instant les yeux puis les rouvrit. Elle affichait maintenant une expression décontracté et un sourire fascinant d'un doux bonheur sortis de on-ne-sait-où. Elle savait quelle carte jouer maintenant. C'était un "quitte-ou-double" bien sûre, mais elle aimait la jouer. Cette carte était celle de la sincérité... Elle allait simplement faire ressortir ses sentiments en les menant vers sa survie... Ou pas d'ailleurs...

"Tu sais, chaque femme à son propre prince... Et aucun prince n'est identique à l'autre. Le mien est surement encore plus unique... Ta douceur ne fais que rendre hommage à la douceur de ton physique mais ton assurance demande à être domestiquée à mon goût."

Nariwen lui sourit malicieusement, puis posa sa tête sur son épaule tout en enlevant sa main indiscrète de son corps. Oui parce que ces caresses là étaient tout de même gênantes, entre deux inconnus, non ? La jeune femme lui murmura alors à l'oreille.

"Je pense faire partie de ses femmes qui ont besoin de temps pour être apprivoisée. De temps ou... D'un petit quelque chose que tu n'as pas encore montré..."

La petit et discrète provocation finale n'était peut-être pas indispensable, mais c'était dit, donc bon... Bien qu'elle ai fortement envie de fuir ce corps nu d'homme, Nariwen s'obligea à rester immobile, attendant la réaction de Lysandre devant ce mélange de contact et de refus qu'elle lui offrait. Un frisson lui parcourut encore une fois le dos... Argh, elle était trop sensible...

	## Ven 25 Juil 2014 - 22:13
Personnage ~ ► Âge : 18 ans ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : En re-construction Nariwen Akikaze Messages : 419 Date d'inscription : 21/07/2013 Emploi/loisirs : .../Ecouter de la musique Humeur : Prête à Bondir	Ce jour-là, Nariwen était plutôt au calme. Elle marchait tranquillement dans la cours, la musique sur les oreilles, se rappelant de sa petite journée. Comme souvent, elle s'était entraîner au maniement de l'air, mais pour une fois, elle n'était pas trop fatiguée. Une première ! D'habitude sa maîtrise lui prenait beaucoup plus d'énergie. Peut-être qu'elle commençait à s'habituer à tous ça. Peut-être qu'un jour, elle allait devoir s'attaquer à la maîtrise de sa voix, qu'elle n'avait encore jamais testé volontairement... En attendant, la jeune air était tranquillement entrain de rejoindre sa chambre. Soudain, quelqu'un lui attrapa le bras et la retourna. Elle tomba nez à nez avec une fille qu'elle avait connu au dortoir des novices et qui avait visiblement beaucoup d'énergie à revendre. "Hey, Nari', tu joues ? -Jouer ? Mais à quoi ? - A ça !" La petite attrapa son mp3 et ses écouteurs et partit en courant. Réactive, toujours prête à jouer, Nariwen partit au quart de tour et la poursuivit. Pas de chance pour la fillette, la jeune Air était plus rapide et la rejoint vite. En deux mouvements, Nariwen la mit délicatement à terre et récupéra son bien. Puis elle attrapa le foulard de sa victime et se mit à courir aussi vite qu'elle le pouvait. Elle entra dans le bâtiments des chambres individuelles et tourna dès qu'elle le put. Elle n'était pas dans la partie Air, mais elle s'en fichait bien. Elle tourna encore à quelques coins de couloirs, sentant son adversaire perdre un peu de terrain. Soudain, elle aperçut une porte entrouverte et se glissa dans la pièce sans se poser de question. La jeune femme referma la porte derrière elle et écouta ce qui se passait dans le couloir, essayant de déterminer la réaction de son adversaire. Pas une seconde elle ne se retourna pour voir où elle avait atterrit, et pas une seule seconde elle ne se rendit compte qu'elle n'était pas vraiment seule. Erreur ? Et bien peut-être... Nous verrons bien ! La Passion est mon Etre comme le Vent est la Liberté

	## Mer 30 Juil 2014 - 0:06
Invité	J'aime les bains de minuits ! Bon, il n'est pas vraiment minuit, dans deux petites heures se sera minuit. Mais sinon, je n'aurais pas mes précieuses huit heures de sommeil car je n'aime pas dormir toute la matinée, cela fait une journée gâché si on ne fait rien. J'aime cet odeur de rose qui parfume mon bain avec toutes ses pétales. Un bain au lait de coco, revigorant n'est-ce pas ? Il n'y a pas de besoin de parfum après ça ! Cela va faire deux heures tout de même... J'ai lu mon magazine entièrement, mon jeu vidéo de ninja sur psp est bien commencé et je me suis reposé comme je le voulais. Bon, il serait temps de sortir. En plus, Lysandre se repose l'esprit, fatigué de sa journée aujourd'hui. Sortons, le bain est devenu un peu froid pour le coup. Je vais prendre la serviette blanche aujourd'hui, orné d'un magnifique dragon blanc sur le côté. Cette serviette est magnifique. Voilà... Je suis quasiment séch-... CLAC !! Eh bien,une porte qui se claque ? Ce n'est tout de même pas la mienne ?! Si ? Hum... Ohw... Une demoiselle est entrée chez moi. Aurais-je oublié de fermer la porte ? Apparemment... Ce n'est pas grave, un petit agneaux est venu rendre visite au loup. Alors, voyons voir comment je suis présentable... D'après mon miroir mes cheveux sont correcte, des mèches tombent près de mes tétons un peu rosé et des gouttes d'eau sur mon corps rajoute un côté sensuel non-voulu à la chose. Même comme ça je suis incroyablement beau. Quel chance d'être née ainsi ! Bien, je vais à présent me porter derrière-elle pour la surprendre huhuhu... - Que me vaut l’honneur d’une demoiselle si tard le soir ? Dis-je en chuchotant dans son oreille tout en la prenant dans mes bras, de dos. Elle se retourne rapidement vers son interlocuteur, donc moi et je lui sourit chaleureusement à ma façon. La serviette aussi petite soit-elle, accrochée légèrement à ma taille tombe jusqu'à mes genoux, on voit nettement le dragon. Je me fais auto-envie...! Je croise les bras comme signe de "mécontentement". - Et sinon je suis Lysandre Ludwig Jennings, vous êtes dans les chambres individuels des tonnerres très chère. Je ne vous ai jamais vu ici d'ailleurs...!

	## Mer 30 Juil 2014 - 14:40
Personnage ~ ► Âge : 18 ans ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : En re-construction Nariwen Akikaze Messages : 419 Date d'inscription : 21/07/2013 Emploi/loisirs : .../Ecouter de la musique Humeur : Prête à Bondir	Alors que la jeune Nariwen était toujours absorbée par ce qui se passait à l'extérieur de la chambre, lorsque deux bras vinrent la serrer. Une tension monta dans tout son corps et ses yeux s’écarquillèrent. Dans sa tête, c'était la panique totale et pourtant, elle mit une petite seconde à réagir. Juste le temps pour entendre une voix sensuelle et masculine lui glisser à l'oreille : - Que me vaut l’honneur d’une demoiselle si tard le soir ? Danger... Voilà ce que lui criait vaillamment sa tête. Nariwen se retourna quand même, ses yeux montrant toujours sa surprise et, il faut bien l'avouer, son inquiétude. A ce moment là, elle vit l'homme en question. De longs cheveux clair, à peine rosés et parfait lui descendent sur le haut de son torse nu. Des yeux à tendance dorée reflétant une assurance sans borne et un visage d'ange tout droit sortit des magazines. Le tout assortis d'un sourire chaleureux et inquiétant aux yeux de Nariwen. Elle ne baissa même pas les yeux pour savoir ce qu'il y avait en bas. Elle ne voulait pas savoir. Le jeune homme se décolla un peu, et croisa les bras. Et bien oui, il ne faut pas oublier que la jeune Air l'avait quelque peu envahit sans prévenir. Même si là, à ce moment précis, elle passait plutôt pour une victime. Enfin bref ! - Et sinon je suis Lysandre Ludwig Jennings, vous êtes dans les chambres individuels des tonnerres très chère. Je ne vous ai jamais vu ici d'ailleurs...! C'est à ce moment là que Nariwen reprit enfin les commandes. L'assurance sans borne de l'homme faisait ressortir la sienne. Et puis zut, elle avait passer des heures à jouer sur ses propres faiblesses avec Archibald, il était temps qu'elle reprenne le dessus. Son regard changea du tout au tout, montrant une nouvelle assurance et se parant de sa malice habituelle, mais toujours aussi pétillante. La jeune femme glissa sur le côté, échappant à Lysandre. Elle se met alors à marcher lentement dans la chambre, observant sa disposition, sa décoration, sans y prêter vraiment attention. En réalité, elle rassemble ses forces. Elle a bien compris que l'homme qu'elle vient de rencontrer est du genre séducteur qui fait tomber toutes les demoiselles. Elle se doit d'être forte contre lui. Non mais oh, après tout ! "Je suis Nariwen Akikaze. Il est normal que vous ne m'ayez pas vu par ici, je suis une Air. Je suis arrivée ici par... Hasard, si on dire. Et je suis bien désolée de vous avoir dérangée. Dois-je sortir ?" Nariwen était maintenant totalement zen, la voix posée et mélodieuse. Son énergie, elle la gardait. Elle était calme, déterminée. Elle montra la porte d'un doigt, un sourire doux ornant son visage et ses yeux brillant toujours d'assurance. Bon bien sur, au fin fond de sa tête, elle espérait vivement qu'il allait la faire sortir, vite, très vite... Mais elle sentait bien que ce n'était pas gagné... Pas du tout même. La Passion est mon Etre comme le Vent est la Liberté

	## Dim 3 Aoû 2014 - 12:04
Invité	Tout d'un coup, les réactions de la jeune fille semble différentes. Elle change son regard en un battement de cil puis elle commence à entamer un tour dans ma chambre. Elle est moins timide tout d'un coup ? Est-ce la curiosité qui passe au-dessus de la méfiance ? Elle regarde un peu partout, sans doute perplexe par la décoration et le rangement par rapport à une chambre de garçon normal. Les murs sont beige clair, le lit deux place en fer repeint en gris clair. Les rideaux des fenêtres rouge/rose, un bureau de la couleur de mon lit. D'ailleurs, mes draps sont mauve. Le mauve me va si bien que même dans mon lit je me doit d'être magnifique. Oh et le placard je l'ai viré c'est à présent une armoire/dressing pour avoir plus de place. Et surtout, et j'en suis fier, un grand miroir qui peut refléter deux personne en même temps en plus de celui près du lavabo qui ne prend qu'une personne et juste jusqu'en haut de mon torse. Enfin, un abat-jour pour la lampe au plafond en verre avec des décoration, un style vieille lampe qui revient à la mode et une lampe de Sel d'Himalaya Naturelle sur ma table de chevet ainsi qu'une lampe de bureau métallisé et rouge. Pour le moment c'est bien tout ce que j'ai acheté, la décoration des murs par des cadres par exemple je verrais ça plus tard. - Je suis Nariwen Akikaze. Il est normal que vous ne m'ayez pas vu par ici, je suis une Air. Je suis arrivée ici par... Hasard, si on dire. Et je suis bien désolée de vous avoir dérangée. Dois-je sortir ? Oh, une air ! J'en ai rencontré pas mal des air. Il y a Camus, Hisméria et Plume récemment devenu air. Intéressant. Arrivé par hasard la petite air ? J'en doute fort. Je lui fais un splendide sourire, rayonnant comme je sais si bien les poser sur mon visage. Magnifique, une proie à se mettre sous la dent ! - Oh mais ce n'est rien voyons. Vous fuyez quelqu'un ? Je ris avant de reprendre. - Je l'ai deviné car moi aussi j'irais me réfugier chez quelqu'un pour en échapper à une autre. Je n'ai malheureusement pas beaucoup de chaise, juste une pour mon bureau. Je n'ai pas encore acheté la décoration. Je soupir puis écarquille les yeux. - Oh ! Avant d'oublier ! Dis-je en fermant la porte à clé. Comme ça je suis sûr au moins de ne pas être dérangé pendant que je prend mon bain. Installez-vous, ne partez pas tout de suite ! J'ai un mini-frigo, servez-vous si vous voulez quelque à boire, moi je dois me changer. Je me dirige vers la porte de la salle de bain, emportant la clé avec moi. - Je sais bien que je suis bel homme mais tout de même ! Je ricane un peu, entrant dans la salle de bain en poussant la porte mais sans la fermer complètement. Je pose la clé sur une étagère puis enlève ma serviette pour me sécher avec. Ah... Mes cheveux mouillé... Dois-je les laisser sécher au naturel ? Bonne question. Je vais d'abord les coiffer et ensuite je les attacherais avec une pince violette. En attendant, je me demande ce que va faire mon invitée surprise !

	## Lun 4 Aoû 2014 - 1:31
Personnage ~ ► Âge : 18 ans ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : En re-construction Nariwen Akikaze Messages : 419 Date d'inscription : 21/07/2013 Emploi/loisirs : .../Ecouter de la musique Humeur : Prête à Bondir	Oui bon d'accord, l'espoir de Nariwen était assimilable au souhait d'un miracle, mais bon, l'espoir fait vivre comme on dit. La jeune femme, pleine d'assurance, était tout de même prête à affronté ce jeune homme. Lui, lorsqu'elle parla, se contenta d'afficher un sublime sourire qui décuplait toute la beauté de son visage. Nariwen prit une petite inspiration et rassembla ce qui lui restait de concentration. Non mais ça devrait pas être permis d'être aussi beau. Pourtant, la jeune femme préférait les bruns à la base. Mais là... Lysandre avait vu clair dans son jeu, il savait qu'elle n'était pas du tout là par hasard, mais bien par jeu. Et en plus, il n'était pas bête. Cela allait rendre les choses d'autant plus rude pour la jeune femme. Mais pour l'instant, rien n'était écrit. Le jeune homme quant à lui enchaîna sur une réplique sur les chaises, son bureau, blabla... Nariwen s'en fichait pas mal, ce qu'elle voulait, c'était déguérpir d'ici, tout en ne montrant pas à quel point elle était inquiète. Ce qu'elle arrivait très bien à faire jusque là. Puis l'expression de Lysandre changea, ses yeux grandissants, n'enlevant malheureusement rien à son charme. - Oh ! Avant d'oublier ! Comme ça je suis sûr au moins de ne pas être dérangé pendant que je prend mon bain. Installez-vous, ne partez pas tout de suite ! J'ai un mini-frigo, servez-vous si vous voulez quelque à boire, moi je dois me changer. Il avait fermé la porte à clef ! Nariwen ouvrit des grands yeux scotchés. Mais il la retenait prisonnière en fait ! Elle le regarda partir dans la salle de bain, elle écouta sa dernière réplique et tout cela avec la même expression. Ce mec avait une assurance de béton et des chevilles aussi grosses que des pastèques. Et le fait qu'il ne ferme même pas complètement la porte de sa salle de bain le montrait bien. La jeune femme soupira, puis alla s’asseoir sur le bureau. Oui, elle n'était pas du genre à s’asseoir sur une chaise, bon d'accord. Une petite minute après, elle se releva et ouvrit le frigo. En temps normal, elle ne serait pas permise, même s'il lui en avait parlé. Mais ce gars-là le "méritait" quelque part. Non mais oh, on emprisonne pas Nariwen sans contre partie ! Notre petite Air détestait être cloîtrées quelque part. Cela la contrariait vivement. Bref, elle jeta donc un œil dans le frigo et trouva son bonheur : du jus de fruit. Oui parce que cette petite pouvait se nourrir de fruits pendant toute une journée, cela ne la dérangeait absolument pas. Bon, au bout de quelques jours, la viande lui manquerait. Elle était aussi un peu du genre carnassière. Mais pour le moment, elle sirotait son jus de pomme, de retour sur le bureau, gentiment assis. Mais soudain, elle eut une idée. De là où elle était, si elle utilisait l'air, elle pouvait pousser la porte de la salle de bain où était le jeune homme... Tout ça sans bouger. Elle posa un instant son jus de fruit et se concentra, expirant un coup. Une douce brise vint gentiment pousser la porte jusqu'à ce qu'elle bute contre on-ne-sait-quoi. La jeune fille, ravit de son tour, reprit son jus d'un air innocent, jetant quand même un coup d’œil. Vous serez bien d'accord avec moi, tout ceci n'était que du pur sui-ci-de. Non seulement, Nariwen avait maintenant la tête qui tournait un peu, bon cela allait vite s'arrêter, elle reprendrait des forces en quelques minutes. Mais en plus, et surtout, cela n'était que de la provocation. Et la jeune femme savait pertinemment que la provocation n'était pas la carte a jouer avec ce genre d'énergumène... La jeune femme était pourtant contente et attendait la suite avec assurance et aussi impatience... La Passion est mon Etre comme le Vent est la Liberté

	## Dim 10 Aoû 2014 - 12:13
Invité	( Ne fais pas attention à mon Kit, tout es parfaitement normal, Ludwig n'est pas une fille xD ) Ah la la... Je ne sais pas si je vais en faire mon goûter de cette fille, peut-être juste la taquiner un peu ? Oh oui, se serait drôle ! Où est passé mon slip pour les occasions spéciaux ? Hum... Je ne l'a pas prit avec moi ni posé là, il doit être dans la chambre. Dommage ! Mon slip rouge moulant, un tissus fin avec juste sur les côtés comme des ficelles qui se rejoint. Hum... oui, vraiment dommage. En attendant je vais m'occuper de mes cheveux. J'attrape alors mon sèche-cheveux vivement puis une brosse. Oups... Ma serviette est tombé. Ce n'est pas grave, je suis sec maintenant... Et voilà, des cheveux tout sec et resplendissant de beauté, il ne faut pas grand chose pour m'embellir ! Je suis déjà beau, il me manque plus qu'à bien me soigner et là, je suis parfait. Bon... Il faut ranger la serviette maintenant. L'étendoir est juste là prêt de la porte. Tien ? La porte s'ouvre toute seule. Enfin... " Toute seule ", je le vois son regard à cette Nana. Elle veut me voir à poile ? Elle va être servit ! - Il semblerait que vous n'aimez pas attendre jeune demoiselle... - Je me tourne vers elle, complètement nu - Un homme aussi beau que moi a besoin de préparation. Je me dirige vers elle d'un pas naturelle, ni trop vite, ni trop lentement, juste un pas assuré. Je m'approche alors d'elle, la fixant avec un léger sourire sadique. Je commence par lui caresser les cheveux, rapproche quelques mèches pour les sentir. Elle recule. Elle est contre un mur, elle ne peux plus s'enfuir. - Chère Nariwen, puis-je te demander comment tu me trouve, là, nu comme un ver ? - Je met ma main à sa taille et l'autre lui caresse le visage, doucement. - Suis-je à ton goût ? Je ne peux m'empêcher de la rapprocher de moi avec cette main qui était à la taille, elle est à présent à son dos et se rapproche de son soutien-gorge. Et hop, il est dégrafé. Je lui offre un doux baisé dans le coup avant de lui chuchoter dans l'oreille de manière sensuel. - Comment me trouves-tu Nariwen ? Si tu ne me répond pas, se sera ton corps qui répondra à ta place... Pour ma part, tu es... Une femme intéressante !

	## Dim 10 Aoû 2014 - 15:04
Personnage ~ ► Âge : 18 ans ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : En re-construction Nariwen Akikaze Messages : 419 Date d'inscription : 21/07/2013 Emploi/loisirs : .../Ecouter de la musique Humeur : Prête à Bondir	Le coup d’œil de la jeune femme avait suffit pour lui montrer une jolie paire de fesses. Elle sourit, amusée, puis se leva du bureau. Bon c'est pas tout, mais elle avait aussi des choses à faire, de son côté. Hum... Tout cela était de la faute de l'autre triple andouille qui avait lancé le jeu. Mais le jeune homme réagit à sa provocation, et lui montra très vite qu'elle n'était pas sortie de l'auberge... Ça c'était le moins que l'on puisse dire. - Il semblerait que vous n'aimez pas attendre jeune demoiselle... Un homme aussi beau que moi a besoin de préparation. Nariwen ne lui accorda pas un regard, mais leva les yeux au ciel. Non mais je vous jure ! C'était pas la modestie qui l'étouffait à celui-là. La jeune femme allait lui répondre que Non, elle n'aimait pas attendre dans la chambre d'un inconnu. Mais lorsqu'elle se retourna, elle le vit approcher, toujours nu. Oups... Pendant un instant, la panique de Nariwen voulu se montrer. Mais elle se reprit vite, repensant à Archi. Après tout, elle avait vu un homme nu quelques jours avant, il n'y avait pas de quoi rougir. La jeune femme se repris vite et regarda son "hôte" s'approcher, le regard totalement neutre. Pour une fois ! En même temps, elle était juste en attente de ce qu'il allait faire. Bien que son sourire, doté d'une belle teinte de sadisme, ne la rassurait guère, mais son assurance ne faiblissait pas. Pas devant ce genre de mec ! Lysandre arriva près d'elle, et lui caressa les cheveux. Ca va, ça, c'était agréable et donc n'avait aucun effet sur elle pour le moment. Lorsqu'il se mit à les sentir, se rapprochant encore, ce fut l'instinct de Nariwen qui parla. Elle recula et buta... contre le mur. Zut, je pensais qu'il était plus loin, lui ! Rageant intérieurement, Nariwen replongea son regard dans celui du jeune homme, le visage toujours neutre. Mais ses yeux turquoises trahissaient son agacement. Il se prenait vraiment pour le roi du monde lui. Aucune gène ! - Chère Nariwen, puis-je te demander comment tu me trouve, là, nu comme un ver ? Trop nu justement... Mais les pensées de la jeune femme ne s'exprimèrent pas. Le jeune homme posa une main sur son visage et une autre sur sa taille. Dieu ce qu'il avait les mains douces. Mais légèrement fraîches... C'était... électrisant. Drôle de coïncidence pour une tonnerre. Toujours est-il que Nariwen retrouvait à ce moment sa faiblesse... Quel contact... Elle ne bougeait plus d'un millimètre, les yeux toujours dans les siens, de plus en plus outrée. Mais son regard trahissait aussi un peu son affolement. *- Suis-je à ton goût ?* Comment voulez-vous que la jeune femme réfléchisse à une telle distance ! Il était drôle, lui ! Et puis le voilà qu'il colle le corps de la jeune Air au sien. Heureusement qu'elle était habillée, elle ! La main du jeune homme, celle qui était à sa taille, remonta encore et encore, jusqu'au soutien-gorge de la demoiselle, jusqu'à le dégrafer. A ce moment, l'agacement de la jeune fille aurait pu exploser, elle aurait pu perdre le contrôle et l'envoyer valdinguer à l'autre bout de la salle par un simple mais puissant courant d'air. Elle le pouvait... Mais à ce moment-là, Lysandre eut aussi la bonne idée de l'embrasser dans le cou... Ce cou si sensible. La jeune femme soupira d'aise et ferma un moment les yeux : *- Comment me trouves-tu Nariwen ? Si tu ne me répond pas, se sera ton corps qui répondra à ta place... Pour ma part, tu es... Une femme intéressante !* Ces chevilles... Mais c'était une bonne chose pour elle que cet homme là ai autant d'assurance. Cela décuplait la sienne, la rendant plus forte. Ignorant le fait que son soutif était détaché, elle sourit. Mais pas un sourire amusé, ou rassurant, non non ! Un sourire qui montrait son assurance et aussi... un peu de mépris. "Je peux te donner une réponse." La jeune femme posa ses mains sur le torse du jeune homme et s'appuya contre le mur en même temps. Elle le poussa un peu, histoire de pouvoir respirer un peu plus. "Par contre, mon corps n'aurait pu te donner une réponse. Il a tendance à être agressif, pour aucune raison d'ailleurs." Son sourire se tinta d'un peu plus de malice et son regard se mit à pétiller. Nariwen rentrait dans un jeu dangereux, elle le savait très bien. Mais maintenant, elle pouvait mettre fin au jeu quand elle le voulait. Au pire, elle se ferait griller sur place, ce n'était pas si grave, si ? Elle avait de l'assurance à revendre... "Pour ta réponse... Hum... Disons que tu es... un peu trop fin, trop délicat... Physiquement bien sur ! Et puis... Il y a tes chevilles..." Physiquement, ses chevilles étaient parfaites. Mais il était tellement trop sûre de lui ! Nariwen ne pouvait pas s'empêcher de le lui faire remarquer. Même si quelque part c'était ça qui la sauvait. Pour l'instant, la jeune femme avait un autre problème a régler. Vous avez déjà eu un soutien-gorge détaché ? Et bien sous les vêtements c'est très gênant. Heureusement, elle avait un débardeur. Nariwen regarda le jeune homme droit dans les yeux et lui dit : "Tu m'excuseras." Puis elle se glissa sur le côté et rejoignit l'entrée de la chambre, où elle avait posé le foulard. Elle enleva donc son soutien-gorge sans toucher à son haut et le déposa sur le foulard. Puis elle se retourna vers Lysandre, les mains sur les hanches, prête à subir l'assaut suivant. La Passion est mon Etre comme le Vent est la Liberté

	## Dim 24 Aoû 2014 - 16:44
Invité	La jeune fille tente une fuite en me poussant un peu de son petit bras frêle. Hum ? On dirait qu'elle n'a plus l'aplombs qu'elle montrait quelques minutes plus tôt. Un corps agressif hein ? Intéressant. Voyons si après ce que je pense lui faire son corps sera encore agressif. "Pour ta réponse... Hum... Disons que tu es... un peu trop fin, trop délicat... Physiquement bien sur ! Et puis... Il y a tes chevilles..." Hum ? Mes chevilles ? Oh... Elle veut dire par-là mon assurance. Mes chevilles sont parfaites. Fin ? Surement dû au temps que je passe à être un handicapé, mes jambes sont fines mais bien souples, bien dangereuses... Elle n'a rien dit sur mes cheveux ! Mes cheveux sont pourtant impeccable non ? Hein ? Elle le sont, n'est-ce pas chère lecteur ? Oups... Je m'emporte. La jeune femme glisse sur le côté puis alla retirer son soutien-gorge par-dessous le débardeur. - Pourquoi cette posture ? Je vous ai offensez chère Nariwen ? Dans les méandres de mon esprit, Lysandre semble troublé. Il coule de plus en plus dans l'océan de souvenirs oubliés. Il s'affaiblit, ça commence. Il se demande surement pourquoi il est dans cet état léthargique. Je l'ai coulé pour de bon, il ne reviendra plus à la surface m'embêter. Bientôt plus qu'un vague souvenir que j'effacerais petit à petit. ~ Pourquoi ? Ludwig... ~ Je m'adosse sur le côté, réfléchissant à un moyen de la faire succomber. Hum... Je me met face à elle, prenant un peu la pose, mes mains sur mes hanches, comme elle. - Ne suis-je pas comme les princes de contes de fée ? La beauté physique est ce que les gens regarde en premier chez quelqu'un. C'est quelque chose d'important pour eux, l'apparence est sur quoi tu es jugé en premier. Comment une apparence tel que la mienne peut-elle ne pas plaire ? Je correspond aux critères de beauté sans pour autant n'être qu'une poupée de plastique à la mentalité fabriqué comme il devrait être. Normal sans pour autant ne pas être exotique. Les femmes ainsi que les hommes fondent devant-moi alors... Je me rapproche d'elle, un genoux à terre puis une main qui prend la sienne pour la lui embrasser. - Pourquoi ne pas vous laisser tenter par quelqu'un comme moi ? Je la fixe tout en remontant, prenant délicatement sa taille que je rapproche de mon corps. Je lui prend la main, croise mes doigts dans les sien, ne perdant pas de vu ses jolies yeux. - Je suis plutôt doux, je n'aime pas être brute avec les femmes, elles méritent que l'on prenne soins d'elles lors que l'acte non ? Je décroise les mains pour aller la loger sous le débardeur de Nariwen, caressant l'une tes parties féminines les plus intéressantes pour l'homme comme pour la femme. La société veut des femmes superficiels le tout dans un corps de plastique aux artifices tellement chargés qu'elles ressembleraient toutes à de jolies poupées qui décorerait la tapisserie de leur mari. Je n'aime pas ce genre de femme, j'ai l'impression de courtiser le vide. Je les préfère comme cette jeune femme, car leurs défauts sont aussi craquants que leurs qualités. Ne trouvez-vous pas que j'ai raison ? Que le vide que les hommes courtises n'est qu'un plan fantaisiste comme jouer avec une poupée gonflable ? Ces femmes ne sont que des objets, elles ne valent pas la peine qu'on leur voue un culte dans mes magazines. Les femmes comme elle... Comme Nariwen... Méritent toutes mon intention car ce sont elles qui sont les plus belles...

	## Lun 25 Aoû 2014 - 0:22
Personnage ~ ► Âge : 18 ans ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : En re-construction Nariwen Akikaze Messages : 419 Date d'inscription : 21/07/2013 Emploi/loisirs : .../Ecouter de la musique Humeur : Prête à Bondir	- Pourquoi cette posture ? Je vous ai offensez chère Nariwen ? La jeune femme en question soupira doucement, le regardant toujours, attendant la suite qu'elle savait proche. Le sentiment grandissant qu'il n'arrêterait pas avant d'avoir obtenu ce qu'il voulait commençait à s'installer. Et cela ne la rassurait aucunement... Mais pour l'instant, elle continuerait à rentrer dans son jeu... De son côté Lysandre s’appuya contre un mur et l'imita de sa posture. Cela ne semblait pas du tout le gêner de rester nu comme ça. Il savait qu'il avait un corps parfait et en profitait bien. Mais ce n'était vraiment pas cela qui allait faire craquer Nariwen. Par contre, ses longs cheveux soyeux, donnant envie de les caresser indéfiniment et ses yeux d'anges donnant la fausse impression d'être en sécurité... - Ne suis-je pas comme les princes de contes de fée ? La beauté physique est ce que les gens regarde en premier chez quelqu'un. C'est quelque chose d'important pour eux, l'apparence est sur quoi tu es jugé en premier. Comment une apparence tel que la mienne peut-elle ne pas plaire ? Je correspond aux critères de beauté sans pour autant n'être qu'une poupée de plastique à la mentalité fabriqué comme il devrait être. Normal sans pour autant ne pas être exotique. Les femmes ainsi que les hommes fondent devant-moi alors... Nariwen réussit à étouffer son rire devant la scène théâtrale que le jeune homme lui offrait, mais ne put pas effacer le sourire amusé qui allait avec. Sérieusement, d'où ce mec sortait ? Bon, au moins, il avait eu le mérite de la détendre un peu. Et la posture qu'il prit ensuite décupla ces deux effets. - Pourquoi ne pas vous laisser tenter par quelqu'un comme moi ? Cette phrase là endormit le sourire de Nariwen et réveilla un peu sa méfiance. Une voix dans sa tête criait qu'elle ne voulait PAS se laisser tenter et une autre... une autre avait envie de jouer avec cet homme qui se prenait pour un Prince. Le danger a toujours ce goût sucré de choses interdites et pourtant tellement délicieuses... C'est donc avec un regard assuré, et toujours un peu amusé dans le fond, que Nariwen regarda Lysandre qui revenait près d'elle. Il la serra, et elle prit une inspiration tendue. La proximité n'était toujours pas son truc... Et puis il n'était pas obligé de capturer sa main Aussi... *- Je suis plutôt doux, je n'aime pas être brute avec les femmes, elles méritent que l'on prenne soins d'elles lors que l'acte non ?* Nariwen ouvrit de grands yeux étonnés et amusés. Donc là il lui proposait gentiment une petite soirée à intérêts corporels. Comme ça, alors qu'ils ne se connaissaient que depuis quelques minutes. La jeune femme était sur le cul... Aucun complexe lui ! Elle aurait pu en rire si à ce moment là il n'avait pas décidé de caresser son côté féminin. La jeune femme frémit, à peine, mais c'était largement perceptible. Il allait loin, et c'était très facile pour lui. Le jeu... Etait très désavantageux pour Nariwen. Elle ne pouvait pas tout le temps jouer la carte de la fuite... Nariwen respira un grand coup, se collant ainsi involontairement un peu plus contre Lysandre. Elle ferma un instant les yeux puis les rouvrit. Elle affichait maintenant une expression décontracté et un sourire fascinant d'un doux bonheur sortis de on-ne-sait-où. Elle savait quelle carte jouer maintenant. C'était un "quitte-ou-double" bien sûre, mais elle aimait la jouer. Cette carte était celle de la sincérité... Elle allait simplement faire ressortir ses sentiments en les menant vers sa survie... Ou pas d'ailleurs... "Tu sais, chaque femme à son propre prince... Et aucun prince n'est identique à l'autre. Le mien est surement encore plus unique... Ta douceur ne fais que rendre hommage à la douceur de ton physique mais ton assurance demande à être domestiquée à mon goût." Nariwen lui sourit malicieusement, puis posa sa tête sur son épaule tout en enlevant sa main indiscrète de son corps. Oui parce que ces caresses là étaient tout de même gênantes, entre deux inconnus, non ? La jeune femme lui murmura alors à l'oreille. "Je pense faire partie de ses femmes qui ont besoin de temps pour être apprivoisée. De temps ou... D'un petit quelque chose que tu n'as pas encore montré..." La petit et discrète provocation finale n'était peut-être pas indispensable, mais c'était dit, donc bon... Bien qu'elle ai fortement envie de fuir ce corps nu d'homme, Nariwen s'obligea à rester immobile, attendant la réaction de Lysandre devant ce mélange de contact et de refus qu'elle lui offrait. Un frisson lui parcourut encore une fois le dos... Argh, elle était trop sensible... La Passion est mon Etre comme le Vent est la Liberté

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