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Même les meilleures choses ont une fin
##   Mer 4 Mar 2015 - 23:19
Michigan Carter

Personnage ~
► Âge : 20 ans. C'est pas ça qui m'empêche de boire...
► Doubles-comptes ? :
► Rencontres ♫♪ :
Michigan Carter
Inactif
Messages : 348
Date d'inscription : 13/06/2013
Age : 27
Emploi/loisirs : ♪ Tous les matins j'fais chier les gens, ça m'purifie, c'est important~ ! ♪
Humeur : La mienne, l'unique, la plus parfaite, quoi !



Michigan Wassily Carter n'était certes pas le plus heureux et respectable des hommes, mais il vivait bien.
Il avait une chambre dans une sorte de grand Institut appelé Terrae, un grand Institut ayant récemment défrayé la chroniques pour ses élèves, possédant des super pouvoirs. Mais ça, peu de monde était prêt à y croire, à part peut-être les scientifiques qui prenaient un malin plaisir à rendre la vie impossible à chaque Terraéen quel qu'il soit. Wassily en faisait évidemment parti. Il avait plusieurs fois eu affaire aux scientifiques, mais soyons honnête, il s'en était toujours foutu comme de la dernière pluie.
En fait, ce garçon d'à peine 20 ans se foutait de pas mal de choses. On peut donc dire sans difficultés que la seule chose qui avait le malheur de l'intéresser, c'était encore et toujours sa propre personne. Et les pouvoirs magiques ? Il aurait pu en avoir assez pour détruire le monde qu'il aurait continué à se plaindre. Oui je sais vendre mon produit, chut.
Alors pourquoi s'intéresser à lui direz vous ? Concrètement, j'en ai pas la moindre idée. Michigan était le genre de gars inconscient, que personne ne pouvait voir tant il s'accordait toujours le rôle de la plus grande victime, qui buvait, se droguait pour faire passer son pseudo malheur, et faisait des erreurs plus grosses que des maisons qui le faisaient passer alternativement pour un violeur et un assassin. Ce qui n'était d'ailleurs pas loin du tout de la vérité.
Mais comprenez, Michigan était malade ! Bipolaire, pour être précis. Mais môsieur refusait de voir ça et de se soigner, parce qu'il se pensait bien trop grand de sa personne pour l'admettre. Ça aurait d'ailleurs pu durer encore longtemps s'il n'avait pas tuer son paternel, mais passons. Et si ce malade refusait d'admettre sa très forte paranoïa, son absence totale de contrôle sur ses crises, c'est parce qu'il était un génie. Ha, encore un de ces délires me direz vous. Mais pour une fois, il n'était pas loin d'avoir tort.
Michigan était un génie. Comme on en voit peu en fait, un génie politique, économiste, formé au discours, à la haute société, capable de manipuler et détruire n'importe qui, de trouver n'importe quelle information et écrire n'importe quel discours émouvant. Génie dont il ne se servit presque pas au cours de sa pitoyable vie, d'ailleurs. Un des plus grands gâchis de sa personnalité, si vous voulez mon avis. Mais vous ne le voulez pas, évidemment.
Tout ça pour en venir où ?
Ha oui, Michigan allait donc, en ce matin banal, voir sa sœur.
La sœur de Michigan, c'était un cas au moins aussi désespéré que lui. Un canon de beauté voué à passer sa vie à courir après la drogue et l'argent, complètement en dehors des réalités. Une belle fille, bonne actrice, qui elle aussi perdait son temps à geindre sur son triste sort de fille de riche abandonnée par ses parents. Il serait illusoire de penser que deux êtres aux caractères si proches s'entendent bien. Depuis l'arrivée de sa sœur dans cet asile pour les délaissés, Michigan ne passait plus une nuit tranquille. Elle prenait en effet son pied en le réveillant à n'importe quelle heure, en le ridiculisant, faisant circuler des rumeurs stupides sur lui, et bien d'autres choses inutiles encore.
Mais voilà, il serait aussi stupide de dire qu'ils ne s'entendent pas. En réalité, ils ne se connaissaient pas avant leur respective 19ème et 17ème années. Leurs parents un peu stupides n'ayant pas trouvé bon de les élever ensembles. Il leur faudrait donc du temps pour se comprendre et apprendre à vivre avec l'existence de l'autre. Ils ont ben essayé plusieurs fois, mais ça n'a jamais vraiment marché.
Alors comment voir le fait que d'un seul coup, comme ça, Michigan débarque en toquant (hooo miséricorde la tornade n'est pas loin pour un acte aussi étrange !) dans la chambre de sa détestée préférée ? On ne peut pas l'expliquer. Le garçon avait quelque chose sur le cœur, qui le torturait et lui faisait mal, quelque chose qu'il ne pouvait pas dire à sa sœur. Qu'il avait tué. Non seulement qu'il avait tué mais qu'il avait tué son père, leur père. Et qu'il l'avait fait pour rien. Que sa mission avait foiré, qu'il n'allait pas bien et qu'elle avait finalement perdu la seule personne en qui elle aurait pu avoir confiance.
Mais, alors même qu'il avait frappé, il se tu et attendit que la porte s'ouvre. Voyant que la musique était bien trop forte dans la chambre pour que sa sœur entende, il décida finalement de franchir le seuil, un léger sourire aux lèvres, comme... Nostalgique. Contradictoire puisque ses plus vieux souvenirs de cette chambre ne dataient pas encore d'un an.

_ Michigaaaaaan ! Tu veux quoi vieux croulant ? Tu m'as apporté des friandises ? Nan j'oubliais t'es trop radin pour !

Il se dit qu'elle avait sûrement un peu bu. Normalement elle cherchait à l'étrangler à l'aide d'une nouvelle invention stupide... Non, sa sœur ne brillait pour la vivacité de son esprit. Il y a des gênes qui se perdent au fur et à mesure des générations que voulez vous ! Mais vu le nombre de psychopathes que comptait déjà la famille, lui compris, il était presque heureux de la débilité de sa sœur. Presque. Parfois. Pas souvent, en fait. La famille Carter, c'est compliquer, il vaut mieux ne pas chercher.
Le génie ne répliqua pas, ce qui laissa sa sœur dans la béatitude la plus totale (enfin elle pouvait avoir le dernier mot sur son frère ! C'était pas trop tôt !) et préféra entrer et poser sur le lit de la petite chambre un dossier.

_ Le radin il t'as préparé un dossier complet sur ton compte bancaire ok ? Le jour où tu voudras gérer ton argent, il y a un fichier qui t'explique comment faire de long en large, j'ai écris ça de façon à ce que ton cerveau ridiculement petit comprenne.

Sur le coup, Seattle ne sut plus par quoi être surprise. Le fait qu'il lui laisse libre service de sa carte bancaire ? L'absence de cris ? De paroles bien senties faîtes pour la briser ? De violences physique ? Ou bien ce détachement total, non, PIRE, cette amabilité, cette gentillesse de la part d'un frère si ingrat ? Elle attendit une seconde qu'il demande quelque chose en échange. Car tant de choses ne sont pas gratuites, forcément.
Mais comme aucune phrase n'arrivait de plus, elle se contenta de garder ses yeux de poissons ahuris et pensa qu'elle avait sûrement déjà beaucoup trop bu pour cette heure de la journée.

_ Heu... Michigan ça va ?

Ce furent les seuls mots qu'elle parvint à articuler en conclusion du flou chaotique de ses réflexions mentales. Le frère releva la tête étonné et laissa sur ses lèvres se dessiner le plus sadique des sourires qu'il lui était possible. Celui que sa sœur avait l'habitude de voir, en somme. Histoire de lui montrer que non, on ne se refait pas. Comprenant d'un coup sa méprise sur la gentillesse de son ignoble frère elle se rétracta.

_ Elle est vide c'est ça ?! Haaaa bâtard va ! Tu vas me le payer ça, je savais que t'allais finir par me voler tout mon fric !

Elle attrapa un objet quelconque pour le lui lancer alors qu'il s'éclipsait avec un « faut pas rêver, je suis pas aussi sympa ! » qu'elle détestait. Ou préférait. Car oui, elle préférait le voir comme ça, elle avait pris l'habitude, au final. Elle repris un verre, finalement zllz pouvait encore boire un peu.
Je vous l'ai dit, la famille Carter c'est compliqué.


De retour dans sa chambre, Michigan s'adossa contre la porte.
Il n'avait plus de sourire aux lèvres. Il n'avait plus rien en fait, ni dans sa tête ni sur sa face de mannequin. Il soupira. Il était fatigué, il avait encore trop peu dormi. Il regarda son portable et fit faire un petit tour à ses épaules pour les étirer.
Ensuite, il commença.
Il alluma un poste et fit tourner un CD, un vieux truc que son cousin adorait écouter. Eagles, les aigles. Ça lui rappelait que les humains n'ont jamais volé avec leurs bras. Non, Wassily était loin d'être très poétique. Il y avait aussi Queen dessus, les Beatles aussi. Que des vieux trucs quoi.
Ensuite il bloqua la porte d'entrée de la chambre avec une chaise et ouvrit la fenêtre. Il faisait un peu froid dehors mais il avait besoin d'air, aussi pollué et mauvais soit-il. Et surtout, il voulait qu'on le laisse tranquille, pour une fois.
Il regarda le petit espace à vivre qu'on lui avait attribué. Il fut un temps où Michigan détestait le désordre. C'était avant que ses amis essayent de le violer, longtemps donc, mais ce temps exista. Et il s'en souvint clairement à ce moment là, alors que sa chambre était dans le désordre le plus complet. Pff. Il remonta ses manches et pris un chiffon à poussière. Oui, il en avait un et il me demande de vous dire d'aller vous faire foutre. Très poli et courtois. Il déplaça les piles de papier, les tria, mis de l'ordre dans ses affaires, ce qu'il n'avait pas fait depuis 6 bons mois. Il esquissa des sourires lorsque des souvenirs lui revenaient, tantôt bons tantôt mauvais ce n'était pas vraiment le moment de faire le tri (même si la plupart étaient classés direct dans « mauvais »).
Le couteau qu'il avait lancé sur Mitsuki, le jour de son arrivée. Il n'avait jamais atteint sa cible, mais il restait persuadé qu'il y arriverait un jour. Un bracelet avec une perle en plastique vert de Sixtine, qui lui avait pourri son premier voyage hors de Terrae en le rendant allergique et lui avait valu une visite à l'hôpital lorsqu'il avait fait semblant de la draguer devant son copain (un titan, évidemment notre gamin est un grand chanceux). Une bouteille de colorant orange destinée à Amadeus, ou à Camus mais celui ci avait déjà les cheveux verts, il faudrait pas faire dans la redite. L'atèle qui lui avait valu nombre de reproches par Ipiu, mais qui lui rappelait également ce malheur d'étoile télépathe qui avait partiellement endommagé son cerveau. Les nombreux objets laissés par sa sœur aussi, lorsqu'il tentait de la désintoxiquer.
Mais la plupart de ces souvenirs étaient aussi immatériels. Ethan ou Kei par exemple. Dan aussi. Quoique Dan avait bien laissé quelques brûlures sur son corps. Lui avait fait la même avec Sergueï. Sergueï d'ailleurs. Celui à qui il avait décidé de se confier, pour une fois de se laisser soigner. Il soupira et pensa à autre chose en rangeant une pile de fringues. Les sales dans la corbeille bleue, les propres dans l'armoire, bien pliés s'il vous plaît.
Une fois les objets rangés à leurs places respectives, il put distinguer avec plus de discernement ce qu'avait pu être la chambre à son arrivée. Il fit son lit et s'attaqua à la poussière puis au balayage de la pièce jusqu'à ce qu'elle lui paru comme neuve. Enfin presque. Il restait tout de même la tâche de brûlé sur son mur, malgré la peinture refaite il avait eu du mal à la cacher vu la violence de sa crise précédente.
Tout était désormais en ordre. Il se demanda pourquoi il avait fait ça, d'ailleurs. Le rangement, ça avait jamais été son truc. C'était chiant, long et... Il décala sa table basse pour qu'elle soit symétrique au tapis. Fuck la logique, comme il le disait si bien. Il sortit ensuite un jeu d'échecs, toujours écoutant le CD tourner. Il installa les pions, tranquillement, puis posa son portable dans le camp d'en face. Il attendit trois secondes. C'était ridicule. Ridicule de penser que la personne qu'il attendait jouerait avec lui cette partie là. Il était peut-être mort, peut-être pas, peut-être qu'il lui en voulait, qu'il n'en avait juste plus rien à faire de lui. Michigan se leva. Il n'y avait plus rien à espérer venant de ce portable.
Il se dirigea vers sa petite salle de bain. En ressortie. Posa sur la table une boîte de médicaments. Puis une seconde. Puis une troisième. Puis huit, qu'il aligna parfaitement à côté du jeu. Puis il se dirigea vers son « garde manger ». Il sortit une bouteille qui s'y trouvait, regarda l'étiquette et se saisit d'un verre. Il posa le tout sur la table basse.
Il se servit à boire, aligna cette fois les pastilles sur la table, lentement. Il en mis une dans sa bouche, bu.
Il avança un pion.

Desperado, why don't you come to your senses?
You been out ridin' fences for so long now
Oh, you're a hard one
I know that you got your reasons
These things that are pleasin' you
Can hurt you somehow


Le camp adverse ne répondit pas. Le portable ne bougea pas d'un pouce et le jeune homme se trouva un instant ridicule à le fixer. Il pris une deuxième pastille, puis une troisième, et bu à nouveau pour diluer le tout. Les médicaments ont un mauvais goût, pensa t-il. Il avança encore un pion.

Don't you draw the queen of diamonds, boy
She'll beat you if she's able
You know the queen of hearts is always your best bet
Now it seems to me, some fine things
Have been laid upon your table
But you only want the ones that you can't get


Il se demanda pourquoi Houston ne voulait pas répondre. C'était forcément de sa volonté, il faisait tout ce qu'il avait envie, il voyait tout, tout le temps. Il n'y avait pas de raisons qu'il ne l'appelle pas. Pas de raison qu'il le laisse seul avec ses actes, n'est ce pas ? On attend des proches qu'ils nous soutiennent généralement. Même si disons le franchement, Michigan n'avait jamais rien fait pour aider Houston.
Il reprit deux pastilles (peut-être trois) et une gorgée.

Desperado, oh, you ain't gettin' no younger
Your pain and your hunger, they're drivin' you home
And freedom, oh freedom well, that's just some people talkin'
Your prison is walking through this world all alone


Il se dit qu'au final, il aurait préféré s'appeler Wassily. Que ce soit allemand ou russe, ça avait toujours une plus belle gueule qu'un état américain. Ça aurait peut-être été moins lourd à porter.
Une pastille, une gorgée, une tour.

Don't your feet get cold in the winter time?
The sky won't snow and the sun won't shine
It's hard to tell the night time from the day
You're losin' all your highs and lows
Ain't it funny how the feeling goes away?


Il se souvient soudainement qu'il a oublié un truc. Il me dit de transmettre à Seattle que pour les assurances elles seront réglées automatiquement elle a pas à s'en faire. Il a oublié de le marquer dans le dossier. Il se demande aussi si il a bien insisté sur le fait qu'elle doit pas se faire arnaquer par son banquier. Même si il lui en a choisit un digne de confiance, « ce serait bête ».

Desperado, why don't you come to your senses?
Come down from your fences, open the gate
It may be rainin', but there's a rainbow above you
You better let somebody love you, before it's too late


Deux pastilles, deux gorgées, un fou.
Sa tête commence à lui faire mal. Il se dit qu'un fou ça doit pas vraiment se bouger comme ça, parce que là il a une place bizarre dans le jeu, mais vraiment. Peut-être qu'il l'a confondu avec le cavalier. Il me demande de lui dire si il se goure, d'habitude il joue en ligne et... » Il a stoppé sa phrase. Y'a plus de liquide dans son verre, il croit.
Il prend la bouteille. Il me demande si il tremble tant que ça son bras. Je sais pas écoute. Il est trop flou ton bras. Il saisit la bouteille et verse le liquide, faisant le plus possible attention de pas en mettre à côté. Puis il repose la bouteille.
Il me dit qu'il a plus de forces. Il sent plus... ses mains. Et son corps non plus. Il me dit qu'il se sent léger. Il me demande s'il est plus léger. J'en sais rien, je sens rien non plus, il le sait.
Sa main retombe le long de son corps.
Il me dit qu'il se sent bien.
Il me demande de vous dire qu'il est désolé.
##   Mer 4 Mar 2015 - 23:20
Michigan Carter

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Humeur : La mienne, l'unique, la plus parfaite, quoi !

La demoiselle Carter dans la chambre d'à côté débarqua moins de dix minutes plus tard. Elle trouvait ça quand même trop bizarre. Et puis elle avait bu un peu, mais elle trouvait ça quand même bizarre. Et puis elle voulait bien emmerder son frère, aussi. Rien qu'un peu.
Et elle arriva pas à ouvrir la porte. Alors elle tapa dessus, elle cria pour qu'on lui ouvre. Elle fit croire à tout l'étage que son frère faisait des bêtises dans sa chambre, qu'il fallait ouvrir. Et ça passait bien avec un physique pareil, on peut faire croire n'importe quoi. Mais au fond, elle trouvait ça bizarre. Oui ça fait trois fois, je vous l'air dit ce n'était pas un flèche. Ok, elle avait bu. Mais quand même.
Un feu finit par défoncer la porte.
C'était tout rangé. Michigan ne rangeait jamais. Il faisait froid. Michigan détestait avoir froid. Un CD tournait. Michigan détestait écouter de la musique. Il détestait tout en fait. Trop de choses qui n'était pas normales.
Seatle aperçut la première le corps endormi, au pied du lit. Devant la table basse. Le jeu d'échecs, le portable et les boîtes de médicaments. L'alcool aussi. Et avant même de pouvoir faire quoique ce soit, trois élèves se précipitèrent pour le réanimer.
Et la demoiselle Carter resta debout. Elle pleura.


James était un homme heureux.
Certes pas le plus heureux ni le plus riche, mais il aimait rire plus que tout, plaisanter et s'amuser avec ses amis. Il y avait parfois dans sa vie des moments de joie qui lui convenaient tout à fait. Celui ci n'en faisait pas parti. Dans quelques minutes, James devra apprendre à une jeune fille (forte belle d'ailleurs) que si son frère se réveille un jour, il n'aura pas plus de QI qu'un légume.
Et pour un fois, James ne trouve pas ça drôle.
 

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