Il était temps de reprendre ses bonnes habitudes. Septembre maintenant bien engagé, j'avais repris le bricolage de mes petites bêtes en métal et même réussis à obtenir de Mitsu ses fameux propulseurs high tech!

Du coups je suis dans le parc, de nouveau vêtu d'un vestes et de ma sempiternel casquette, la lieu est cet après midi est assez calme. Les gens et les enfants sont aux travail ou en train d'étudier. Si bien que je peut donc me laisser aller à tester la nouvelle version de mon drone ,sans crainte de gêner autrui.

Tout cela en grignotant une délicieuse crêpes au nutella encore chaude... J'ai des plaisirs assez simple dans la vie. Donc d'une main je profite de mon plaisir sucré et de l'autre je fais les mouvements de poignée et de doigts qui donne via le gant de contrôle, les ordres à la machine.

L'objet vole dans le ciel, tournoi, fait des looping et autres manœuvre parfaitement bien et dans un temps de réaction parfait. J'ai un léger sourire, je pourrais accrocher une petite main robotique sur le ventre de ce robot et aller réveiller Tiago le matin sans même avoir à venir en personne lui verser un verre d'eau sur la tronche.

Mais j'entends alors des voix et des bruits de pas qui approchent, des petits pas, surement des jeunes, comme les voix aigu semble l'indiquer. Je commence à tourner la tête en direction du bruit. .

Voilà qui était inattendu, si j'avais su qu'un dragon de flammes vivantes pouvait à tout instant se jeter sur le drone, j'aurais peut peut être pensé à renforcé le carénage et installer un système d'évitement. Le pauvre appareil électronique avait vriller juste après l'impacte menaçant de s'écraser et si j'avais encore des hélices à la place des propulseurs offert par Mitsu... Il serait probablement gisant au sol. 

Je me tourne vers la petite famille qui approche, oh, la directrice à des enfants? Ce n'est pas si étonnant, mais comme je ne suis guère les ragots du coin. Je constate que le drone encore en l'air malgré la légère fumé sur le côté de l’impacte semble intrigué les deux enfants qui semblent être ceux de la directrice, comprenant le fameux Daisuke cracheur de dragon de feu. J'ai un petit sourire et d'un geste de ma main le drone commence à revenir vers moi... La petite plateforme de mon sac à dos se déploie et récupère l'appareil qui s'éteint cessant d'émettre la légère vibration caractéristique des propulseurs.

"Il n'y a pas de mal madame. Mieux vaut que ca touche un peu de plastique et de câble que quelqu'un. J'espère que Daisuke sera vite remis..." Je regarde le petit qui semble bien énergique.[b] "Même si à cette âge il en faut bien plus pour nous empêcher de nous amuser."[/b] J'ajoute avec un sourire franc.

Cela dit je sent que quelque chose ne va pas dans mon dos... Pourtant le soleil est caché par les nuages il ne devrait pas faire si... OH PAR MES ANCÊTRES!

Petite aide de rp ^^:

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Voilà qui était une situation plus qu'imprévu. SI j'avais su qu'un enfant crachant des dragon de feu par les narines allait abattre mon drone devant sa mère visiblement dépité... Je me serais cru au Japon, ah oui, c'est vrai... Sur ce coup là, mon pays d'origine méritait amplement sa réputation du loufoque à l'internationale.

Je levais une main apaisante après que la directrice est éteint l'incendie de mon sac. Il n'y avait rien de grave.


"Il n'y a rien de grave,le matériel cela se remplace ou se répare... Mais si vous pouviez dire à Mitsu que je n'ai pas griller ses pièces, je vous en serais reconnaissant, cela m'a pris du temps à la convaincre haha" Je plaisantais.

Je portais mon attention sur les deux jeunes enfants, surement ceux de la directrice je pense, mais je pouvais me tromper. La petite fille ne ressemblait pas trop à celle ci, surement son père est il blond, les blond naturel de notre éthnie sont très rare, le garçon semble un exemple plus typique d'asiatique comme j'aurais du l'être avec mon patronyme.

"Mais je parle peut être trop, vous devez avoir envie de retournez vous amusez les enfants." je déclare en souriant avec bienveillance alors que je vois du coin de l'oeil je vois que la petite fille semble avoir ramassé des fleurs de sa balade.

Je lève la main discrètement et infusant de l'énergie comme un tisserand concevrait un motif, je redonne à la fleur coupé son éclat d'origine, de manière éphémère, mais cela tiendra jusqu'à chez la petite.

"J'espère que le reste de votre balade sera plus calme madame Honda." Je salue la jeune femme.

aide rp:

Il semble plus qu'évident que ce jeune garçon a quelques problèmes de comportement. Mon grand père m'aurais botter les fesses dans la seconde pour moitié moins que cela.
Mais il y a plus urgent, comme une petite fille de trois ans qui l'évite à environ trois mètres du sol! J'ai toujours eu une peur bleu que les enfants de cette âge se fasse mal déjà sans pouvoir alors là... Mais j'arrive à l'attirer vers moi en lui tendant la main avec un sourire amicale.  Je lui demande alors pas de ne pas voler, avec des mots simples je lui demande de rester à une hauteur de quelques dizaines de centimètres.

Je vois l'arbre en flammes qui se résorbe peu à peu, plus que quelques flammèches. La petite me suivant, je m'agenouille devant le jeune homme, qui semble pétrifié, je suis certains que c'est du fait du pouvoir secondaire de sa mère au vu de son expression.  Sa petite soeur elle flotte  au dessus de mon épaule.

Je n'ai guère l'air en colère, mais en enlevant ma casquette je transmet plus un incroyable tristesse.

Triste amusement:

"Ce que tu a fait... Est d'une incroyable méchanceté." Je lui dit alors que sa mère lutte pour réparer ses bêtise.
"Pour simplement t'amuser, tu vient d'épuiser ta maman. Dans cette arbre, il y avait le nid de dizaines d'oiseaux qui vont devoir tout reconstruire... Peut être y avait il leurs oeufs aussi... Il y avait des dizaines de chenilles qui se préparait à devenir de beaux papillons, qui aurait émerveillé ta petite soeur et les autres enfants. C'était peut être l'arbre préféré de quelqu'un, et l'arbre lui même vie. Même si tu ne le voit pas bouger ou parler, il vient de mourir pour ton amusement personnel."

Je me tourne avec un sourire vers la petite fille et lui demande de rester près de son frère avant de reporter mon attention vers lui.

"Et un jours en voulant t'amuser sans penser aux conséquences, si il y a un petit garçons comme toi dans un arbre auquel tu met le feu? Que ce passera t'il?"

Je le laisse sur cette question et me dirige vers le pauvre être sylvestre calciné et la maman essoufflé en lui demandant avec une main apaisante sur son épaule, de reculer.

"Si vous pouvez demandé à Chris de gérer les potager durant mon absence, je vous en serais reconnaissant, madame." je demande à la directrice en posant mes mains sur le tronc.

Je ne vais pas du tout aimer cela, mais ce qui peut doit être réparé, soigné... Restauré.
Je fais appel à mon don, prenant dan mes réserves les plus profondes, bien heureux de ne pas m'être entraîné aujourd'hui ou hier.

Je ne pourrais le soigner complètement, mais je vais faire au mieux. J'offre mon énergie pour aller chercher moi même dans la terre les nutriment vitaux à la vie de l'être végétale. Mon énergie, telles des racines s'enroulent dans le sol, profondément et vont courir le long du tronc noircis. Je soigne, je remplace, je hâte l'apparition de bourgeon de feuille pour que l'arbre puisse se soigner de lui même.

Un instant, mais cette instant ma pris toute l'énergie que j'avais emmagasiner. J'ai sentis une sorte de frontière, un mur alors que j'avais besoin de plus d'énergie, la tentation de le briser mentalement m'a parcouru mais la raison m'en a gardé.

Alors que je rouvre les yeux, les bourgeon sont une myriade sur les branches et je pousse un long soupir de fatigue avant que mes jambes tremblantes ne m'abandonne et que je ne me laisse glisser le long du tronc, le cœur battant un galop. .

Je me permet de reprendre mon souffle et de calmer mon rythme cardiaque en prenant un instant, avant de répondre à la directrice. 

"Un arbre qui meurt, qui brûle, c'est un cimetière. C'était important, de guérir la vie même si ce n'est pas complet. Cela devait être fait. Même si j'ai du poser le pied sur la barrière qui me bride pour cela." 

Je me place en tailleur contre l'arbre comme me l'avait appris mon grand père et joint mes main au creux de mes jambes. Je ne pourrais pas faire grand chose durant un moment, mais cela en valait la peine comme je l'avais dit à la directrice.

Je fais signe aux enfants d'approcher, il était nécessaire que cette situation se règle. Si je filais dans cet état, je pourrais faire bien du mal au moral de ce garçon, qui n'est pas si méchant que cela au vu des larmes qui laisse encore deux sillon sur ses joues. Je lançais un regard apaisant vers la mère de famille alors que son jeune fils était devant moi la tête honteusement baissé.

"Relève la tête mon garçon, je ne suis pas mort. Tu a fait une faute, elle doit t’apprendre une nouvelle leçon. Tu fera encore plein de fautes et tu apprendra encore plein de leçon en grandissant, et même adulte tu en fera et apprendra encore. A l'avenir, si tu t'ennuis, que tu veut t'amuser, je préférais que tu vienne en parler à ta mère ou à un des adultes, nous savons aussi faire des jeux si tu veut dépenser ton énergie." Je lui expliquait en souriant, espérant avoir été suffisamment simple.

Je me laissais alors aller à méditer en inspirant l'air frais de cette belle journée, qui n'avait clairement pas été de tout repos.

"Madame Honda, vraiment s'il vous plait, ne dite pas à Mitsu que j'ai casser ses répulseurs, je vous assure qu'elle me ferait un sermon salé sur le fait de prendre soin du matériel. haha" J'ajoutais pour être sur de ne pas voir Mitsu débarquer à tout moment dans ma chambre en exprimant mille et unes pensées en un millième de seconde. .

L’hôpital? Par mes ancêtres nul besoin d'en arriver là. Je suis juste très fatigué, inutile d'encombrer les urgences. Je saisis la main tendu de la directrice et m'efforce néanmoins de pousser sur mes jambes pour ne pas lui infliger mon poids. Je reste un instant debout, voir si je pouvais tenir debout sans aide... J'avais l'impression d'avoir parcouru des kilomètres et soulever des poids durant des heures et j'admet que mon esprit perdait peu à peu de la clarté qu'il avait eu pour faire le sermon au jeune homme. Et j'avais incroyablement sommeil, si bien qu'un bâillement réussis à s'échapper de ma bouche.

"Je ne pense pas être blessé, mais avoir besoin d'une nuit de sommeil, ou deux, ou trois... Et de manger... Si vous voulez bien m'aidez à rejoindre ma chambre sans que je ne finisse la route en rampant." Je précise avec un sourire d'une extrême faiblesse, à peine un tressautement du coin des lèvres.

J'espère qu'elle ne va me tirer là bas par l'oreille, la directrice faisait quand même pensé à une matrone ferme mais juste à certains moment.... Cette pensée était bien  la preuve que je divaguais.

Je parvient difficilement à suivre le cours de la conversation avec la fatigue mais j'ai un sourire mélancolique.

"J'ignore encore si je me sens bien. C'est une question compliqué. Mais je commence à cerner pas mal de gens qui vivent ici, c'est déjà ça pour ne pas être perdu. Ont peut même dire que je me suis fait quelques amis. Et je suis satisfait de mes progrès dans mes entrainement, alors tout va bien." Je lui répond.

Nous parvenons rapidement au bâtiment qui abrite ma chambre dans cette ville miniature. Je remercie la directrice, seul, je ne serais probablement pas rentré et j'aurais dormis dans un coin à l'écart. Ca me rappel pas mal de souvenirs, mais la fatigue les rend brumeux dans mon esprit, et la vision de mon lit alors que s'ouvre la porte repousse toute autre pensé.

je parviens à saluer dignement la mère de famille avant de prendre congé et de me laisser aller comme cela dans ma paillasse.