## Sam 20 Juil 2019 - 18:43 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Mais il est où ?! Alors que ta semaine se passait très bien, tu faisais ce que tu voulais et la seule chose qui t’avait posé était la petite rencontre avec la demoiselle qui t’avait semblait juste avoir un tête-à-tête avec toi à table. Afya, une femme … une femme qui … à vrai dire, tu ne savais même plus qui elle était. Sur le peu de temps, tu avais fait en sorte de l’effacer un maximum de ton esprit, la seule chose qui restait dans ton esprit, était son regard. D’une simple blague, elle avait dégagé une aura si peu plaisante, si ça avait été plus loin, il y aurait eu des blessés, elle ou toi… Et tu te rappelais surtout autre chose. Toi aussi, tu avais lancé le même regard, un regard aussi dangereux que le sien. Un regard que tu aimerais éviter de lancer à nouveau. Tu devais sourire avant tout, et juger tes ennemis de cette façon, pas une inconnue. Mais ce n’était pas ça le problème ! Loin de là ! Le problème était outre ! Le problème était une boule de poils ! Une boule de poils qui est parti par inadvertance… Oui, certes, Ruby a l’habitude de sortir à présent, et tu es peut-être un peu trop protecteur, mais ça fait une journée entière qu’il est parti, et comme le soleil commençait à partir vers l’horizon, tu as décidé de mener des recherches après le chaton. Cependant, celui-ci était introuvable. Il pouvait se trouver n’importe où à Terrae, où pire, il pourrait être coincé ou blesser ! Chaque seconde qui pensait te faisait de plus en plus stressé pour le pauvre chat. Il n’était plus vraiment un chaton, mais tu tenais à cette boule de poils qu’à ta propre vie. Hors de question de la perdre ! Si par contre il lui arrivait quelque chose… Ou quelqu’un la blessait … Premièrement, tu irais t’excuser de tout ton cœur à Victoria, et ensuite… Ensuite tu ne répondrais de plus rien. Et des choses assez horribles pourraient lui arriver, aussi bien aux gens autour de toi, qu’à toi-même. Ton cœur ne pourrait pas tenir pour ce pauvre chat… C’est ça qui était assez étrange quand on y pensait. Voir quelqu’un que tu connais ou même que tu ne connais pas te ferait mal, et tu t’inquiéterais … mais pour ce simple animal… Tu pourrais être prêt à retourner terre et ciel pour le venger. Tes sentiments étaient plus sensibles à la mort d’un animal qu’un humain… Pourquoi ? Simple, tu ne le sais pas toi-même. Mais l’amour que tu portes pour ton prochain et pour un simple animal est très différent. Pour donner un simple exemple, dans toute ta vie, la seule personne que tu pourrais prendre pour un ami est ton frère. Aussi simple que ça puisse paraître, ce pauvre jeune homme, rêvant de grandeur que tu étais n’avais pas le moindre ami, et simplement à cause de ta surestime de toi même. Pour toi, un ami était quelqu’un que tu pouvais être traité comme un égal. Et jamais tu trouvas quelqu’un comme ça, il y avait bien Alice, mais son cas était spéciale, et ami n’est pas encore le terme que tu aurais utilisé pour elle. Tu lui faisais confiance, mais tu ne pouvais pas la voir comme une égale… Cependant, ce petit animal adorable et ronronnant comme une machine, utilisant les humains comme des serviteurs étaient bien la seule chose qui pouvait faire craquer ta carapace d’or. |
## Dim 21 Juil 2019 - 11:01 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Le soleil caresse le visage de l’ivoirienne assise sur l’un des bancs de la cour un livre posé sur ses genoux. Elle a ressenti le besoin de s’arrêter dans l’histoire pour la comprendre. Son regard de lune se perd dans le ciel d’azur et c’est le doré du soleil qui le fait scintiller. Elle n’apprécie pas le livre qu’elle est en train de lire, définitivement Stendal ne sera pas son auteur préféré. Elle trouve son style pesant, l’histoire d’amour ne l’intéresse pas comme d’autres le font. Elle soupire et reprend sa lecture. Un miaulement la fait sortir du livre. Ses yeux rencontrent les pupilles du jeune chat. Il miaule à nouveau. Que veut-il ? Pense-t-elle. Elle tend sa main vers lui, il vient y frotter sa tête, elle ne sait comment le caresser, pourtant l’animal sait lui faire comprendre. A renfort de ronronnement il lui fait entendre qu’il aime qu’elle le gratouille derrière les oreilles. La jeune fille lasse de se pencher en avant en se cassant le dos pour caresser le félin se redresse. Il la réprimande d’un regard impérial. Elle soupire et hausse un sourcil avant de tapoter sur le banc à côté d’elle. Le minet saisit l’invitation et saute lestement à ses côtés, si elle pensait reprendre sa lecture l’animal ne lui laisse pas se loisir, ne se contentant pas des caresses et de l’attention distraite de la jeune eau, il pose une pate puis l’autre sur ses genoux s’y invitant sans avoir reçu la moindre invitation, il se dresse et vient frotter sa tête contre le menton de l’ivoirienne qui finit par lui céder appréciant l’excuse qu’il lui fournissait pour poser ce roman qu’elle n’appréciait guère. C’est ainsi que le royal félin prends possession de sa victime, et s’allonge sur ses genoux. Quand elle fait mine de vouloir bouger, il s’étend et la rappelle à l’ordre. Elle n’est qu’une humaine et elle voudrait faire sa loi ? Quelle idée saugrenue. « Tu sais je vais finir par devoir me lever, je ne vais pas pouvoir passer toute ma vie avec toi… Je commence à avoir faim. » lui dit-elle en lui grattant l’arrière des oreilles, essayant elle-même de s’en convaincre. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Dim 21 Juil 2019 - 12:13 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Où ? Mais où est-ce que tu étais bon sang ? Tu parcourais Terrae depuis un petit moment déjà, regardant dans tous les coins possibles, coin confortable ou froid. L’animal adorait être au frais ou être allongé de tout son long comme une carpette sur une surface assez moelleuse, genre un lit ou son lit. Cependant, tu entendis clairement son miaulement, certes, il n’y a pas qu’un seul chat à travers tout Terrae, mais tu pourrais le reconnaitre entre mille. Avançant rapidement, et d’un pas léger tu fonças vite vers le bruit en question. Il semblait venir de dehors, et effectivement, à peine tu posas ton regard dehors que tu vis l’animal sur les jambes de quelqu’un tranquillement installer sur un banc. Ignorant la personne, tu te dirigeas aussi vite que tu peux vers l’animal. Et une magnifique séance de grattouille se déclencha. Alors que tu commençais à dire n’importe quoi devant l’animal, du genre « c’est qui la plus belle, tu m’as manqué idiote, part plus jamais comme ça si longtemps, tu t’es trouvé un coin confortable »et plein d’autres truques sans vrai logique, tu gratouillas l’animal de part en part. D’abord derrière les oreilles, puis la nuque, sans oublier les joues et le menton. Tu étais complètement gaga de l’animal. Ruby semblait apprécier autant d’attention, surtout qu’elle avait l’habitude, mais l’animal n’aimait pas trop que tu l’agresses de cette façon. Elle se releva et posa juste sa patoune sur ton visage en miaulant. Elle ne le faisait pas souvent, mais tu comprenais bien vite que c’était sa manière de te demander de te calmer. Tu soupiras avant de te relever. Ton sourire, si joyeux, si paisible, et si brulant en compagnie du chat, disparu instantanément lorsque tu réalisas qui était la personne que Ruby avait choisie… Tu ne voulais pas le croire, mais pourtant si … Cet animal avait décidé de s’installer sur les jambes de la pire personne possible. L’hasard fait souvent bien les choses, et tu le sais bien, mais là … Tu te serais bien passé du hasard … Mais bon, une chose à la fois. Même si tu ne l’appréciais pas vraiment, Ruby avait décidé de s’installer sur ses genoux et y dormir. Et la demoiselle avait accepté l’animal… Tu croisas les bras, soupirant lourdement. « Merci de t’être occupé de mon chat, maintenant si tu veux bien m’excuser, j’aimerais la rapporter dans ma chambre. Il se fait tard, et même si je sais qu’elle est très capable, je préfère savoir qu’elle dort au chaud que dehors. » |
## Lun 22 Juil 2019 - 11:26 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | L’animal prend ses aises, quand la jeune femme arrête de lui gratouiller tantôt la tête, tantôt le dos, il lui jette un regard mauvais et pousse un miaulement que nous interprèterons sans trop nous tromper de la sorte : caresse-moi humaine. Elle le fait sans réellement y penser, espaçant finalement les caresses jusqu’à ce que l’animal se contente de dormir paresseusement sur ses genoux. Elle reprend son livre et l’ouvre, projetant un brin d’ombre dont profite l’animal pour cacher son visage. De temps en temps son caractère impétueux le pousse à réclamer de l’attention, ainsi passe l’après-midi entre une fille qui n’aime pas les chats et un chat qui l’aime un peu trop. Quand elle essaie finalement de déloger il se remet à miauler, l’engueulant très certainement de son manque de civilité affligeant. Comment après l’avoir supportée trois longues heures pouvait-elle ainsi le déloger ? Afya s’apprêtait à lui expliquer qu’elle n’était pas un objet dans le plus grand des calmes quand des mains s’insinuèrent entre elle et son interlocuteur. Des mains qu’elle remonte pour rencontrer le visage d’Arash. « Euh ? » Un. Deux. Trois. Le cerveau reprend le dessus. Il se rend compte qu’il est en train d’envahir sa sphère personnelle ? Genre. Il est beaucoup trop proche. Le chat sur les genoux de l’ivoirienne, l’égyptien le caressant comme s’ils étaient seuls. Elle ne sait pas vraiment comment se manifester. Elle retente. « Euh ? » Peut-être se rendra-t-il compte que ses mains n’ont rien à faire au niveau de ses genoux, même pour caresser un chat et que son regard focalisé sur le chat longe par la même ses cuisses ? Elle n’est pas hyper pudique mais elle n’est pas habituée à ce que l’on rentre sans prévenir dans sa sphère de confort, et le fait que ce soit ce jeune homme en particulier est assez dérangeant. Elle ne tente plus de l’apprécier ou de le comprendre. Son manque de politesse certain de la dernière fois lui a bien fait comprendre qu’elle n’avait plus envie de se prendre la tête pour lui. Vexée ? Sans doute. « Bonjour Arash. » C’était lui semblait-il les premiers mots que l’on devait prononcer en rencontrant une connaissance, mais il n’avait pas ces bases-là. « Tu peux récupérer ton chat, bien entendu. » Et la libérer. Ce serait bien. L’homme récupère l’animal dans ses bras, se redresse pour s’en aller. C’était sans compter l’animal, peu désireux de quitter son si confortable sommier. Il se hisse sur l’épaule de l’homme d’un geste fluide, regroupe ses pattes et saute dans un geste rapide sur les genoux à peine quittés. Ne se souciant pas d’y atterrir toutes griffes déployées pour ne pas glisser et du « Aïe ! » lancé par la propriétaire desdits genoux, il se tend à nouveau et retourne gratter sa tête contre l’épaule de la jeune femme. A bien y regarder, la couleur de la peau de cette dernière rappelle la noirceur du pelage de l’animal. La prendrait-il pour sa mère et pas pour un fantastique couchage massant ? La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Lun 22 Juil 2019 - 12:24 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Bien bien, la demoiselle n’avait pas envie de poser problème et disait directement qu’elle allait lui rendre ton chat, heureusement ! C’était ton chat après tout. Tu le pris tranquillement, veillant à ce que ses griffes ne soient pas sortie pour blesser la demoiselle, mais Ruby en avait une autre envie, une envie très différente, celle de rester avec cette maudite femme. Rapidement, il bondit de ton épaule pour sauter sur les jambes de la demoiselle. Tout ça pour lui faire mal et gratter sa tête à nouveau contre elle ? … . . . Vous vous foutez de ma gueule ?Pour la première fois depuis longtemps, on pouvait voir un sentiment bien particulier sur le visage du roi. Un sourire forcé et déformé, des dents serrées qui grinçaient violemment. Une veine clairement gonflée sur son front. De la colère, mais pas n’importe laquelle. Une colère venant clairement d’une forte jalousie… Pourquoi ? Je vais vous l’expliquer pourquoi ! Le chat ! Vous voyez pas le chat ! Bon sang ! Ce chat est le chat d’Arash, et voilà que l’animal faisant sa loi décide de rester sur les genoux de quelqu’un. De base, ça n’aurait pas posé de problèmes, tu te serais assis à côté, et aurais tapé la discussion jusqu’à l’animal s’endort ou part de ses genoux. Mais il y avait un problème …. Un micropetit stupide énervant problème … CETTE FEMME ! POURQUOI CETTE FEMME ? Ruby ! Ce foutu chat aurait pu choisir les genoux de N’IMPORTE QUI ! Mais nooooonon ! L’animal devait choisir les genoux de cette femme ! Les foutus genoux de cette femme ! Elle avait rien de spécial bon sang ! Ce n’est qu’une simple femme ! Et toi tu étais son maitre ! Elle n’a rien de spécial, rien de particulier mais la reine à décider d’en faire qu’à sa tête ET DE REPARTIR SUR SES FOUTUS GENOUX ! VOUS VOUS FOUTEZ DE MA GUEULE !? Forçant chaque muscle de ton corps à t’obéir, et garder ta colère et jalousie en toi … Tu t’accroupis devant la demoiselle pour fixer ton chat, essayant d’avoir son attention. « Je sais que tu veux dormir et que ça doit être confortable … Mais c’est le dernier endroit où je veux te voir dormir Ruby. Tu viens, maintenant, piger ? » Ruby se retourna pour poser à nouveau sa patoune sur le visage d’Arash avant de se coucher …….. . . . . .. . .. . . . . . VRAIMENT ?! Cherchant à garder ton calme, tes mains partirent de ton menton et glissèrent vers le haut de ton visage rabattant tes cheveux vers l’arrière, essayant de garder ton calme absolu dans cette situation qui risquait fortement par mal finir ! Tu poussas alors un très long, profond, et large râle d’agonie qui semblait vider l’entièreté de tes poumons car tu te forças à faire ce bruit pendant une minute pour garder ton calme. |
## Lun 22 Juil 2019 - 22:37 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Se rend-il simplement compte du ton insultant qu’il a pris ? Non, sa première réflexion ne concernait pas la jeune fille blessée par le chat qui ronronnait à nouveau sur ses genoux. Ce n’était qu’un manquement de plus dans les manières du jeune homme que l’ivoirienne balaya d’un revers de manche. Aurait balayé d’un revers de manche sans ses paroles. Il abusait. Oh, elle n’était pas vraiment en colère, elle se retenait très bien, en se disant qu’il ne méritait pas de tels élans de sa part vu la manière peu aimable, non, discourtoise, non, complètement désagréable dont il la traitait. Cependant, elle ne pouvait le targuer d’impolitesse si elle manquait elle-même de courtoisie. Aussi ce ne furent pas de longues remontrances ou une leçon de savoir-vivre qu’elle lui donna. Le traiter de petit con antipathique n’aurait, elle en avait bien conscience, pas été très productif. Bien que cela eut sans doute permis de déverser la frustration et la colère que ce simple qualificatif pouvait créer chez elle. Il avait dit « le dernier endroit où il voulait le voir dormir » rien qu’en trois demi secondes elle pouvait imaginer des couchages bien moins accueillants que ses genoux. Un réacteur d’avion, un four, la salle d’entrainement, l’ombre d’une roue de voiture ou le milieu d’une roue. Pourtant c’étaient bien sur ses genoux qu’il ne voulait surtout pas voir l’animal. Insultant la jeune femme sans même lui accorder un regard. Il niait jusqu’à sa présence, l’excluant de ses paroles. L’animal avait dû saisir le changement d’esprit de la jeune femme car il posa sa pate sur les lèvres de sus-cité maitre, lui intimant le silence, comme s’il voulait protéger sa nouvelle amie des vilaines paroles de son buté de maitre. Il sentait bien entendu qu’elle ne s’en prendrait jamais à lui pour la méchanceté de dudit maitre, il n’y était pour rien. Elle n’aimait pas spécialement les animaux, mais ces derniers semblaient toujours apprécier le calme qu’elle dégageait et si son instinct ne l’entrainait pas vers eux, elle n’était jamais avare de caresse envers ceux qui venaient à elle… L’insulter en de courtois thermes était tentant, mais ne faisait clairement pas partie des habitudes de la bienveillantes eau. « C’est quoi ton problème avec moi Arash ? » Elle ne laissa pas paraitre son agacement. Elle se permit même de sourire avec sa douceur habituelle, ne cherchant pas à envenimer la situation. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Lun 22 Juil 2019 - 23:26 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | « Mon problème ? » Mon problème ? Mon problème ? Dire que c’était elle mon problème serait un euphémisme … Mais aussi un mensonge… C’était quoi MON problème ? Le mien, mon problème à moi, et moi seul ? Tu levas le regard pour la fixer droit dans les yeux, stoïquement, avant de pousser un autre long soupire et juste tomber sur ton cul, étant face à elle. Tu écartas les jambes avant de les replier, prenant la position du lotus, posant tes mains derrière toi pour te tenir. « Mon problème … Oh croit moi je peux t’en raconter encore et encore et encore, j’en ai une liste à pas finir et tu me prendrais pour le plus grand roi de con quand j’aurais fini. » Tu te relevas alors plus vite pour la pointer du doigt, la fixant du regard. « Mon problème avec toi ? Simple, mon problème est moi. » … Euuuh, t’étais peut-être intelligent, autant que le gars qui fait la voix off, mais plus d’explication seront nécessaires nan ? ? « J’ai clairement vu le regard que tu m’as lancé, certainement pensant à de bonnes façons de m’arracher les ongles, et retourner la peau. Ou ce genre de bêtise. Et tout cela car j’ai décidé de blaguer … Donc vu que je ne compte pas changer mon sens d’humour, et que je n’ai pas envie de te déranger, je préfère t’éviter… Satisfait ? »Sans dire un mot de plus, tu t’allongeas sur ton dos, levant les yeux au ciel, cachant ton regard avec ton bras droit… Est-ce que c’est tout ce que tu avais à lui dire ? Peut-être ? Tu ne sais pas vraiment… Tu n’avais pas envie de citer le regard que tu lui avais lancé… Mais pour toi, dans le plus simple du simple, voilà ce que tu imaginais … Cette femme n’appréciait pas ta présence, donc tu n’allais pas lui imposer ta présence. Tu pensais cela comme ça … aussi simple que ça soit. Mais clairement, même toi tu ne savais pas la réponse… C’était quoi ton problème Arash ? Ta mère ? Nan, aucune chance, à la part la couleur de peau, cette fille n’avait aucun rapport avec la douce femme qui était ta maman. |
## Jeu 25 Juil 2019 - 18:24 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Sourire froid, regard de glace. Douceur éphémère, d’une eau qui ne se trouble pas. Elle se souvient parfaitement de la scène à laquelle il fait allusion pour se l’être rejouée de nombreuses fois. Il doit être sensitif pour avoir vu se jouer ce qui se cachait derrière un visage figé par la surprise, télépathe pour avoir saisi une pensée de quelques secondes, voyant pour avoir entrevu l’avenir qu’elle avait envisagé un instant pour lui… Elle sait qu’il n’est pas tonnerre, terre ou eau car elle a dû le retrouver pour lui rendre son brouillon oublié. Alors elle comprend. Le roi aimerait que l’on rie de son humour, qu’on se plie à son humeur, qu’on comprenne son intentionnalité au travers de paroles dégradantes quand on n’est ni télépathe ni sensitif. « Alors plutôt que de t’excuser de ta misogynie ou de tes propos offensants tu t’es dit que c’était de ma faute de ne pas avoir été réceptive à ce que tu nommes humour pour cacher sa grossièreté ? Sous couvert d’humour tu tolères des propos violents et malsain ? C’est intéressant, décevant. » Elle sourit encore, la colère a disparu. Finalement elle se rend compte que l’éclat qu’elle avait vu chez le garçon alors qu’il contait son récit n’existait que dans son regard à elle. Elle ne lui laisse pas le temps d’en placer une. « Alors je vais te dire ce que j’ai tu alors en pensant que tu avais juste été maladroit. Je suis une femme, et je ne te devrais jamais rien parce que tu as interprété dans mon comportement quoi que ce soit. Te targuer de cela sous couvert d’humour, c’est accepter que ce message puisse se transmettre. Tu es de ces minables qui pensent qu’ils peuvent tout se permettre en disant après « c’était pour rire, non mais détends toi. » ce ne devrait jamais être à la personne dont on se moque de justifier son ressenti ou le mal-être résultant de propos dégradant ou offensants. Je pense être jusqu’à présent avoir été trop compréhensive avec toi. Tu es détestable, ton idéologie est nauséabonde. » Sourire à nouveau. Caresse pour Ruby qu’elle déloge e ses genoux avec douceur avant de se lever. Elle n’est pas en colère contre Arash, elle est en colère contre le monde entier. Ce monde où sa colère n’est pas justifiable parce qu’elle est une femme. « Je ne saurais trop que te conseiller d’apprendre à te remettre en question. Tu as interprété de la violence dans mon regard sans jamais te rendre compte de la violence de ton propos, mais tu as raison en une chose. Je préfère que tu m’évites, les enflures de ton genre je préfère ne pas les croiser. » Un regard à Ruby. « Je suis désolée pour toi, si ce maitre pitoyable ne te convient plus ma chambre te sera toujours ouverte. » Elle se détourne de cet homme auquel elle ne compte plus accorder ne serait-ce que la considération d’une pensée La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Jeu 25 Juil 2019 - 19:29 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Étrange, le début de sa réponse oral fut … Accusant. Tu relevas la tête du coussin d’herbe qui était sous toi, levant un sourcil en fixant la demoiselle. Écoutant avec intérêt sa crise de colère tu ne dis rien, souriant devant de telle bêtise. En l’écoutant, tu découvris quelque chose de fort intéressant, qui confirmait ta théorie. Cette demoiselle avait vécu des choses par le passé. De très mauvaises expériences, qui lui avaient … donné une profonde haine envers les hommes … Cependant, pour quelque blague elle assumait que j’avais une haine pour les femmes ? Tu lâchas un léger soupire roulant dans ta gorge… Qui se répéta plusieurs fois. La discussion passait tellement par un stade ridicule que tu devais te retenir ton air en toi pour ne pas l’insulter. Minable ? Tout ce permettre ? Plus tu l’écoutais, plus tu commençais à intérieurement. Son regard avant était certes mélangé à des attentions malsaines, mais là, devant toi, tu n’avais rien d’autre qu’une boule de nerfs déversant une colère inutile sur toi et cherchant juste à affirmer sa position. Trop compréhensive ? Elle ? Si elle l’était, elle ne serait pas venue chercher absolument ce tête à tête à table. Bon sang, plus elle parlait, plus tu avais envie de rire. Elle insultait ton idéologie alors qu’elle n’avait aucune idée de quoi elle parlait. Tu commençais à légèrement tousser, gardant ta main contre ta bouche, te retenant te cracher tes poumons. Cherchant à ne pas interrompre sa crise de nerf de la pire façon que ça soit. Mais craquant sous la pression tu commenças à rigoler, plaçant tes mains sur ton ventre pour retenir la douleur. Plus elle continuait, plus cette torture te pliait en deux, c’était incroyable ! Comment pouvait-elle ne pas se rendre compte que toute sa colère était mal dirigée. Mais là c’était bon, lorsqu’elle s’adressa à ton chat, c’était la fin du monde… Cette petite réflexion te calma doucement, te laissant du temps pour répondre à cette colère sans logique. « Je n’aurais jamais cru cela de toi, mais effectivement, tu te caches de la réalité dans ta fiction, et accuses la moindre chose qui te déplaît car ma-de-moi-zelle a vécu de mauvaise expérience. Je vais te dire un truc ma petite. » Ta main passa sur la tête de Ruby qui s’installa à côté de toi, se frottant à ta jambe. « Cette blague, j’aurais pu la faire à un homme, désolé de ne pas être gay. » » Tu te relevas en croisant les bras, disant ce que tu penses à la demoiselle. « Je ne t’ai jamais vu comme une femme, je t’ai vu comme un sujet, même mieux, une personne d’intellect. Cependant, les apparences sont trompeuses comme la rose à des épines. Misogynie ? Par une simple blague menant à un rendez-vous ? Tu tombes bien bas. Me devoir quelque ? Ai-je seulement demandé quelque chose à part voir un film avec toi ? Tu creuses. » Relevant le menton, tu fixas la demoiselle. La jugeant de haut, la provoquant ouvertement, montrant qu’elle était aussi dans l’erreur. « Ne pas savoir passer la page ? C’est excusable… Mais osez-me rapporter ta soi-disant colère justifier car mademoiselle pense avoir vécu des choses horribles dans le passé ? … Pathétique, minable même… La vérité n’est pas que tu n’as pas envie de croiser des enflures nan ... C’est juste que tu n’oses pas affronter ta peur. Tu refuses que tout ceci se reproduise encore une fois. Mais tu as grandi, tu es forte, tu peux affronter le monde, ou devrais-je dire les hommes que tu ne supportes pas … Tu n’as appris qu’une seule chose en grandissant dans la peur, te mentir à toi-même pour te sentir à l’abri, de ce que tu n’oses pas affronter.» Tu pourrais pousser l’insulte plus loin, mais là nan. Ta flamme avait été ravivée. Enfin quelqu’un qui ose te tenir tête, voilà ce qui te manquait, le même sentiment que tu avais vécu avec Mitsu … Et tu le sais parfaitement… Tu es très doué pour énerver les gens. « Tes mauvaises expériences ne justifient pas tout, car on vit tous de mauvaise chose… Et croire que tu as raison, que tu as le droit de faire des choses car tu as vécu des horreurs ? C’est d’un hypocrite… Risible… Un mot en anglais te décrit à la perfection… Fool. The fool of the king. » |
## Dim 28 Juil 2019 - 11:21 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Elle s’était déjà détournée quand il commença à parler et ne prit pas la peine de répondre à ses fadaises. Elle n’était pas assez gentille pour apprécier de perdre son temps avec lui. Elle le sentait, tout commentaire allant contre sa personne serait mal pris, dénigré. Elle lui avait dit qu’il ne savait pas se remettre en question, et il lui donnait raison. Un instant cependant elle se dit qu’elle-même aurait pu le faire, qu’elle pouvait au moins écouter ce en quoi il pensait qu’elle avait tort. Elle n’écouta pas la manière dont il s’en prenait à elle plutôt qu’à son propos, tourner en dérision une personne plutôt que son discours lui semblait assez commun pour qu’elle ait déjà rencontré plusieurs fois cette méthode dans ses lectures. Certes, comme tous ici elle avait vécu de mauvaises expériences, mais elle ne pensait pas que ce soient elles qui l’aient poussée à penser de la sorte, non. Elles l’avaient juste rendue plus attentive sur le sujet de la cause de femmes. Elle se demande en quoi le fait qu’il ait pu faire cette blague à un homme rendait son commentaire moins pertinent. Ce n’était pas le cas. Elle envisagea de partir sans commentaire, mais se trouva confrontée à son manque de courage. Pouvait-elle permettre de tels propos ? Les laisser couler n’était-ce pas les accepter ? « Misogyne était un propos peu adapté, je m’excuse de t’avoir ainsi nommé. Promoteur de la culture du viol aurait été plus judicieux mais il me semble cependant trop violent. Le fait que tu ais pu faire ce genre de remarque à un homme n’enlève nullement leur potentiel malsain et l’idéologie qu’elles promouvoient. Personne quel que soit son sexe, ne te doit rien parce que tu as cru discerner dans ses intensions. Ce n’est pas de l’humour que de prétendre le contraire, c’est un propos qui rend tolérable ce genre pensées et les actions qui les suivent. Je n’ai pas peur de toi, et mon vécu ne justifie en rien que tu l’attaques. Je pourrais aller chercher dans le tien avec bien plus de précision pour en faire une arme contre toi, je ne le ferais pas, ce ne serait pas louable et sans doute trop opportun. Tu te penses tellement supérieur que seules tes intensions prévalent sur tes actes. Ce n’est pas le cas, tu dois assumer la portée de tes paroles au lieu de me reprocher leur interprétation qui te dérange. J’imagine que tu n’as nulle envie de te remettre en question, que me traiter de folle dans une langue que la puce traduira sans la laisser m’atteindre te fait te sentir dans ton bon droit. Après tout, si je suis folle rien de ce que je peux te dire n’a d’importance ou d’intérêt. Je me demande même pourquoi tu perds ton temps à me parler ou à te mettre en colère puisque mes propos sont ceux d’une folle. Ton discours n’est autre que « elle a tord parce que j’ai pas voulu dire ça, donc je vais l’attaquer personnellement au lieu d’essayer de comprendre en quoi j’ai eu tort car je ne peux pas avoir tort. » cela ne te fait pas briller, ne te grandit pas. Je ne suis pas en colère contre toi, mais contre ton propos et ce qu’il sous-tend. Le fait que tu le défendes encore, ne me donne nulle envie de m’excuser des autres termes que j’ai utilisé pour te définir qui se justifient d’autant plus. Tu as raison, sur un point, je ne souhaite pas que ce qui m’est arrivé ce reproduise, pas que je ne puisse m’en défendre ou que je craigne que cela ne m’arrive encore, mais parce que je souhaite que cela n’arrive plus à personne et jamais. » C’est pour cela qu’elle s’était arrêtée et retournée pour lui faire face, elle doutait de réussir à le faire douter, mais si elle arrivait quelque peu à ébranler ses certitudes alors elle aurait un peu réussi. Ce n’était pas la colère qui poussait ses paroles, mais une réelle douceur et une envie de changer le monde. Elle ne voulait pas vivre les yeux bandés et ses dernières rencontres lui avaient montré qu’elle pouvait être forte à nouveau. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Mer 28 Oct 2020 - 14:18 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Misogyne maintenant ? Ah non, Promoteur de la culture du viol ? Voilà qui était vraiment impressionnant comme remarque, si impressionnant que tu ne pouvais qu’en rire pour le coup, elle était ridicule cette fille. À un niveau que tu ne pouvais juste pas croire. Non seulement, tu t’étais trompé en pensant que cette femme était intelligente, maintenant, elle confirmait qu’elle n’était pas plus maline qu’elle voulait le montrer. Les actions qui suivent ? Car elle pensait que tu avais envie de promouvoir le viol alors que tu plaisantais et pensais plus à la romance dans un dîner en tête-à-tête. Elle continua dans sa folie des grandeurs disant qu’elle pourrait fouiller mon passé pour y trouver des armes, mais elle n’y trouverait rien. Rien de ce que tu as pu faire dans ta vie t’a rempli de regret jusqu’à présent. Elle essaya d’expliquer de manière médiocre que tu devais assumer la portée de tes paroles ? Vraiment ? C’est elle qui disait cela ? Alors qu’elle croit que tu es un « promoteur du viol ». Tu ne pouvais pas t’empêcher de sourire face à tant d’idiotie se rajoutant l’une après l’autre. C’était d’un ridicule, peu croyable. Sa tirade continua un moment encore, pensant savoir ce que tu pensais, pensant être juste et tout savoir. Elle était juste ridicule de penser cela. Et lorsque l’avalanche d’arguments inutile finit par se calmer, tu te penchas vers elle pour appuyer sur son front du bout du doigt. « Pourquoi je perds mon temps à discuter avec toi ? Simple, pourquoi est-ce qu’un roi perd son temps avec son bouffon, pour s’amuser, et tu n’as pas idée à quel point tu m’amuses avec tes idioties jeune fille. » Tu te mis encore à sourire, voyant que tu ne l’avais pas mis en colère à l’extérieur, mais son cœur brûlait de rage face à ce que tu venais de dire. - « Laisse-moi être clair, bouffonne, même si je sais que quoi que je vais te dire, tu trouveras un façon stupide de répondre, je vais te faire part de ma sagesse une fois de plus. Tu en as besoin après tout. Premièrement… Promoteur de la culture du viol, bon sang, va falloir arrêter d’essayer de traduire tout ce qu’on te dit pour le coup. Je t’invitais seulement pour un dîner romantique, et désolé de t’offusquer si mon humour n’est pas le genre d’humour que tu puisses comprendre. Ensuite, tu dis ne pas avoir peur de moi ? Oh, non, pas de moi, mais d’autre chose. D’une chose vivant dans ton passé. Une triste aventure qui t’a marqué toi, ton corps et ton esprit, je peux parier. Tu peux me dire que tu l’as combattu, mais pas que tu l’as vaincu. Tu es encore marqué par c’est événement, et tu le montres clairement. Après, si tu veux fouiller mon passé pour trouver des armes… Tu n’y trouveras rien ma pauvre petite bouffonne. Pas parce que je suis sans histoire, mais parce que je n’ai jamais vécu le moindre regret. » Tu poussas une fois de plus sur son front avec ton doigt. « Folle ? Je peux te traiter de cela dans toutes les langues maintenant que j’ai compris que tu le représentais à la perfection. Et je vais te dire ce que je penses au lieu que tu essayes de comprendre stupidement. Ahem ! "Je suis véritablement attristé qu’une chose aussi triste et vide de vie se trouve face à moi. Je souhaiterais l’aider, mais l’animal est comme un hérisson, elle se blesse en se rapprochant des autres. L’attaqué personnellement ? Non, lui faire comprendre que sa triste et triste histoire n’est qu’une seule histoire parmi tant d’autre et donc n’en vaut pas la moindre fraction de seconde de mon intérêt ? Oui. " Je n’ai pas envie de te faire comprendre que tu as tort, tu le sais déjà, juste que tu n’es pas unique, pas spéciale et aucunement intéressante. Alors laisse-moi te le faire comprendre en le disant une fois de plus… Tu n’as pas peur de moi… Tu as peur de ton passé et des propres illusions que tu te fais de moi… Mais bon, ça tu te refuses de l’accepter ou de le comprendre. Sur ce ! Amuse-toi bien à ramper dans ta détresse. Tu devrais t’estimer heureuse que j’ai accepté de perdre du temps avec toi, mongrel. Et ça veut dire bâtard si ta puce n’a pas pu traduire.» Tu fis demi-tour, partant d’ici tu n’avais plus aucun intérêt ou envie de parler avec cette chose… Si cependant, elle souhaitait continuer. Le bouffon allait probablement te sortir des idioties amusantes encore. |
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