## Sam 12 Oct - 7:13 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | On ne peut pas dire qu’Akkiko soit fin pédagogue, malgré qu’il lui montre l’exemple et lui prouve qu’il ne lui arriverait rien si elle mettait la tête sous l’eau par l’exemple, il n’arrivera pas à la convaincre ainsi de faire de même. Peut-être qu’en l’accompagnant, en lui tenant la main et en lui promettant qu’au moindre souci il l’aiderait à sortir de l’eau il aurait réussi à le faire… Mais je vous ai dit qu’il n’était pas fin pédagogue, par contre il est fin trublion et le voilà qui ressort de l’eau couronné d’un prince grenouille. Ariana lui a fait découvrir bon nombre de dessins animés depuis qu’elles sont amis, d’où cette référence. Il rit, elle lui sourit et se rapproche de lui. « Ne bouge pas. » Elle tend ses mains vers la grenouille et la saisit avec douceur dans leur coupe avant d’aller la reposer sur la berge. Le contact de l’animal est étrange, gélatineux, elle la regarde s’éloigner d’un bon. Son cœur s’était-il affolé ? Il était trop petit pour qu’elle n’en sente le battement contre ses doigts, la grenouille avait d’ailleurs peu bougé tétanisée dans sa cage aux barreaux de chair. Le soleil et l’eau plaquent sa chemise claire contre sa peau sombre maintenant qu’elle a émergé, laissant deviner une jeune femme plus fluette qu’elle n’en avait l’air. L’apparition ne dure qu’un instant car sitôt l’amphibien relâché elle retourne vers Akkiko. « Je crois que je ne suis pas faite pour nager, désolée. » Elle préfère dire qu’elle n’y arrivera pas que de tenter de mettre la tête sous l’eau. Allez savoir ce qui pourrait lui arriver… Rien sans doute, elle en a conscience. Tout, elle le ressent comme une certitude, une crainte interne. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Dim 13 Oct - 7:27 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | Je vois bien que mes tentatives pour la rassurer son vain. Je passe ma main dans mes cheveux avec un sourire désolé. La sensations des doigts de la jeune femme effleurant mes cheveux pour rattraper le pauvre batracien n'était pas désagréable et je n'ai pas réussis à ne pas regarder la silhouette de la femme ébène alors qu’elle sortait de l'eau, elle était plus sveltes encore qu'ont aurait pu le deviner au premier coups d'oeil. (c) par elfyqchan pour Never-Utopia"Non je t'en prie, ne t'excuse pas ce n'est pas grave. Puis je crois surtout que je ne suis pas un très bon professeur de natation. haha." Je tentait de plaisanter. Je regarde le lac et je me retrouve alors à avoir quelques bribes de légendes qui me reviennent. Durant mon entrainement avant de partir en Afrique ont avait pas mal passé de temps dans les deux sèvres et fini par apprendre les légendes du coin avec les anciens du département qui fréquentaient les mêmes bistrot que nous. Je me laisse un peu plus porté par les eaux, ayant un peu plus confiance et propose alors à Afya. "Est-ce que tu veut que je te raconte les légendes que j'ai découvert en France. Il y en à beaucoup en lien avec des points d'eau comme ici." . |
## Ven 18 Oct - 19:14 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Elle fait signe que non de la tête, mais au fond il a raison. Quand on veut apprendre à quelqu’un à nager on ne fait pas que lui montrer les gestes, on s’approche de lui et on l’aide à se verticaliser dans l’eau. C’est souvent le passage le plus dur, après bien entendu quand la personne sait nager la tête hors de l’eau, on peut lui apprendre à nager avec la tête dans l’eau et à synchroniser ses respirations avec ses mouvements… Enfin, doit bien il y avoir d’autres techniques, genre jeter les gens à l’eau et voir s’ils apprennent par eux-même, mais… Ce n’est pas notre propos de la soirée. Il lui propose de lui raconter une histoire, vous avez déjà vu Afya dire non à un conte ? Moi non. Alors bien sûr qu’elle s’approche à nouveau de lui pour mieux l’entendre… « Racontes moi, s’il te plait. » Elle glisse ses doigts fins dans la paume de l’homme, pourquoi ? Elle ne saurait trop le dire, il n’y a pas de vagues, pas de raison de se tenir ainsi et de craindre d’être éloignés l’un de l’autre… Pourtant elle serre se main dans la sienne, c’est dérisoire. S’ils étaient sur la rive pourtant elle n’aurait jamais eu un tel geste, et pourtant. Elle ne cherche pas à comprendre ou à analyser, braquant ses yeux qui pétillent de curiosité sur les lèvres du jeune homme, sans songer un instant que cela puisse le déranger, car cela est fait avec bien trop d’innocence. « Tu veux qu’on regagne la rive ? » lui demande-t-elle pourtant, soucieuse de le mettre à l’aise. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Sam 19 Oct - 11:12 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | Comment mieux oublié cette désastreuse tentative de leçon de natation que par un conte. Je m'apprêtais à invité la jeune femme vers la berge pour débuté mon histoire, mais... Lorsque je sens ses doigts qui se glisse dans ma paume, sa proximité, malgré ce coeur qui tente de sortir de ma poitrine, je me sens mieux à présent. Je lui fait signe que ce n'est pas la peine de regagner la rive, prend un instant pour calmer mon rythme cardiaque et pouvoir conter sans bégayer. Même dans un élément qui n'est pas le miens, dans ces eaux claires, je me sens apaisé. (c) par elfyqchan pour Never-Utopia
"Tu a sûrement vu ces statuette de chats portes bonheurs en te promenant un peu dans Terrae ou aux alentours. Les maneki-neko, dans ma langue maternelle. Eh bien, leurs légendes vient d'il ya quelques siècles." je débute avec une voix posé. "Il existait un temple éloigné dans la campagne, presque en ruine et abandonné. Le gardien faisait de son mieux pour l’entretenir, mais il vieillissait et ses prières restait sans réponse pour obtenir de l'aide. Le vieux gardien partageait ses maigres repas avec le chat du temple qui l'aidait à chasser souris et autres rongeurs du temple. Un soir, alors qu'une tempête faisait rage, que la pluie battait le sol et que les éclairs déchiraient en rugissant le ciel noir de nuages. Un seigneur passant sur la route près du temple chercha abri sous un arbre faisant fasse au lieu de prière. Il aperçu alors le chat, et malgré la pluie, il lui semblait que le chat l'invitait de la patte à venir dans le temple depuis le parvis de celui ci. Voulant être sûr de ce qu'il voyait, le seigneur mena son cheval vers le temple en traversant la pluie, et à peine eut il atteint le parvis, voyant le chat se gratter l'oreille de la patte. Qu'il entendit un grondement à faire trembler la terre derrière lui, et l'arbre qui l'avait abriter être fendu en des dizaines de fragments par un éclairs monstrueux. Comprenant que ce chat venait de lui sauver la vie, le seigneur entra pour remercier le gardien et constata l'état du temple, il offrit alors une énorme somme d'argent pour réparer le temple et depuis ce jour, jamais le chat ni son maître ne manquèrent de rien et le chat fut élever et prier comme un esprit bienveillant de chance et de sagesse." Je terminais mon histoire alors que le soleil avait débuté sa lente descente vers l'horizon, il faudrait encore bien des heures, mais son reflet dans le miroir liquide cristallin du lac avait changer déjà.. |
## Mar 22 Oct - 13:41 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | L’ivoirienne doit perturber le français puisqu’il ne lui raconte pas un conte de France mais du Japon… Il a dû s’emmêler, elle ne lui en tient nulle rigueur et peut-être n’y prête-t-elle aucune attention. Elle l’écoute simplement parler, raconter. Il lui raconte souvent des contes, et elle aime énormément ça. Certains diraient qu’il est peut être un peu malhabile avec les mots, elle n’y songe pas. Elle a toujours aimé raconter des histoires, mais elle aime encore plus qu’on lui en raconte… Peut-être a-t-elle finalement commencer à en inventer quand plus personne n’a été là pour leur en conter à elle et Adjambo… Elle ne se rend pas vraiment compte qu’elle s’est rapprochée, passant d’un espace social à un espace intime. C’est elle qui a saisi sa main, et c’est encore elle qui tout en écoutant l’histoire a entremêlé leurs doigts comme elle faisait plus jeune en jouant avec ceux de sa sœur. L’histoire se finit, elle n’en prend pas de suite conscience, elle laisse les mots s’éteindre. La voix se tarir, elle finit par lui sourire. « J’aime vraiment quand tu me racontes des histoires… » Nouveau sourire, mais la magie se brise et elle se rend compte que malgré le soleil qui tape encore avec virulence sur leur tête elle a un peu froid de leur immobilité aqueuse. Elle se rend aussi compte d’où se trouve sa main, ses gestes n’étant pas bien réfléchis jusqu’alors. Si sa carnation l’avait permis, elle aurait rougi. Elle ne le fait pas mais n’en ressent pas moins de gêne. « Et si nous allions nous réchauffer sur la rive ? » Elle entame un demi-tour, ses doigts échappant à ceux d’Akkiko alors qu’elle commence à avancer en direction de la berge dont elle venait de parler. Cette fois alors qu’elle quitte l’eau, ses habits ne collent pas à sa peau. Elle utilise son pouvoir pour rassembler toute l’humidité qui les ferait peser sur elle. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Mer 23 Oct - 15:17 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | Mon coeur se gonfle d'une certaine fierté aux mots de la jeune femme, c'est toujours agréable qu'ont vous dise aimer vos contes. Prit dans le conte d'ailleur, je n'ai pas sentis le rapprochement de mon amie, sentis que fugacement nos doigts s'entremêler. Maintenant que l'instant c'est échappé, les mœurs social et nos timidité réciproque reviennent nous éloigné et nous ramener vers la rive et la raison. Cela dit, inconsciemment, mon coeur gardera ce souvenirs longtemps, comme un souvenirs d'une agréable douceurs. (c) par elfyqchan pour Never-UtopiaJe constate que la jeune femme maîtrise bien son pouvoir, à peine est elle hors de l'eau qu'elle semble sec comme si elle avait passé une heure au soleil. Pour ma part, je n'en mène pas large, trempé et ruisselant de centaines de perle saphir sur le brun de la rive. "Est-ce que tu a encore un peu d'énergie pour moi aussi?" je demande gentiment à la jeune femme avec un sourire en passant une main dans mes cheveux écorce. J'aurais pu rentrer ainsi jusqu'à ma chambre, mais cela aurait été désagréable et un peu d'aide ne fait jamais de mal après tout. Mais je me souvient peut être trop tard que je suis torse nu devant la jeune femme et le rouge me monte au pommette en pensant à l'image que cela donne de nous deux. |
## Jeu 24 Oct - 10:10 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | « Ah, non je me sens un peu faible… » dit-elle en se retournant un sourire amusé sur ses lèvres… En réalité c’était prévu depuis qu’elle avait glissé hors de l’eau, mais elle le laissait d’abord s’en extraire avant d’user de son pouvoir. L’utiliser sur elle étant une chose, bien différente en cela qu’elle savait parfaitement quelle partie de son corps ressentait l’humidité et quelle partie était sortie de l’ondée. Ce n’était pas pareil pour l’homme et elle aurait pu sous couvert de le sécher s’épuiser à appeler à elle une part de l’eau du lac. Elle ne voulait pas se retrouver à nouveau dans ce genre d’état de faiblesse, elle avait un peu joué avec l’eau pendant qu’il racontait son histoire, créant des courants autour d’eux s’entrainant et s’amusant distraitement, comme elle l’avait fait avec leurs doigts. Et c’est le moment où on va vraiment se rendre compte qu’Afya est complètement à côté de ses pompes. Se retournant, elle découvrit que l’homme avait pris une teinte pourpre qu’elle ne lui connaissait pas. De la colère ? rien ne le laissait paraitre. « Désolée je te faisais marcher, assieds toi là. » Dit-elle en s’approchant de lui pour l’attraper par le bras de crainte qu’il ne tombe, tout en attirant à elle les molécules d’eau qui collaient à sa peau pour en faire une sphère aqueuse qui regagna le lac en un léger « plouf ! » « Tu as eu trop froid ? Trop chaud ? Tu veux du thé glacé ? Je peux faire apparaitre de l’eau pure aussi si tu veux… Dis moi ce qui ne va pas ! » Evidemment qu’elle aurait pu comprendre si elle n’était pas si prompte à s’inquiéter pour ses amis. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Sam 26 Oct - 7:30 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | Mais qu'est-ce qui lui prend? Je rougis encore plus lorsqu'elle pose sa main sur bras, elle est encore plus proche et j'ai le coeur qui à repris sa course frénétique. Elle semble soudain inquiète, aurait je l'air souffrant à cause de mon rougissement. En tout cas, il est agréable de se sentir sec sans avoir à attendre des heures. (c) par elfyqchan pour Never-UtopiaJe pose une main rassurante sur son épaule, geste mécanique et habituel chez moi pour rassurer les gens inquiet. Et je lui dit avec une voix posé même si elle contient une légère gêne. "Tout va bien ne t'inquiète pas. je te remercie pour le séchage rapide, en réalité je souhaitais juste récupéré mon t-shirt pour me couvrir haha" Suite à ces parole cela me rappel que je suis encore très proche de la jeune femme, et ainsi accoutré que diraient des gens qui nous croiseraient?! Je ne veut pas que des rumeurs circulent et mette la pauvre Afya dans l'embarras. Mais, alors que le soleil déclinant vers l'horizon laisse ses rayons éclairé la peau d'ébène de mon amie, une pensée fugace, à peine une seconde, traverse mon esprit. Durant une seconde, je me prend à admirez le visage de la jeune femme, avant que ma raison ne reprenne le dessus et que je tapote son épaule en reculant d'un pas pour prendre mon haut toujours à sa place.. |
## Dim 27 Oct - 11:06 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Bien sûr que tout va bien qu’allait-elle penser ? Alors qu’elle le soutient par le bras gauche, c’est le droit qui était venu toucher son épaule. Ils étaient proches. Trop. Quand il parla, les doigts de l’ivoirienne relâchèrent leur emprise sur son avant-bras. Elle était gênée maintenant, pas tant de leurs positions respectives mais par cette prise de conscience qu’il était torse nu. Elle n’y avait jusqu’alors prêté aucune attention. Elle se fige, gênée n’osant plus faire un geste. Ses yeux qui tantôt se posaient avec anxiété sur le visage de l’homme se baissent, ne dissimulant rien de sa gêne. Il est proche, trop ? Pas assez. Un instant elle se demande ce qu’il se passerait si elle s’approchait encore, si elle enlaçait son torse plutôt que de retenir son avant-bras. Refermerait-il ses bras sur elle ? L’instant passe. Elle ne s’est pas avancée, les questions s’estompent déjà. Ses bras sont retombés le long de son corps… Il tapote don épaule et s’éloigne. Elle décide de rire. De rire parce qu’elle est gênée. De rire parce qu’elle ne sait pas trop quoi faire. De rire parce que c’est facile d’éloigner son trouble dans un éclat de rire. Elle se reprend, se baisse pour attraper le tee-shirt du jeune homme et le lui passer. « Désolée, j’crois que je m’inquiète un peu trop vite. » Elle attrape son sac, fouille et sort la thé glacé et les cochonneries sucrées qu’elle a acheté. « Tu as faim ? » demande-t-elle, il était temps de changer de sujet. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Mar 29 Oct - 15:15 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | L'Instant est passé, se représentera t'il? Peut être, ou pas. Mais déjà mes pensées se sont éloigné de cela, reprenant une réconfortante façade d'amitié cléricale. Il est encore trop de question peut être auquel j'ai besoin de répondre. Peut être encore trop de blessure non soigné et bien enfouie. Ou alors est-ce que je cherche un réconfort enfantin, dans ce goûter improvisé et simple, fait de rire et de sourire. (c) par elfyqchan pour Never-UtopiaLes mots vont et viennent, aussi futiles que des larmes sous la pluie, les plaisanteries et les souvenirs heureux sont partagé, et les péripétie à Terrae aussi... Surtout celle avec Tiago. Et le soleil nous regarde en filant peu à peu vers l'horizon, alors que nous buvons du thé, apprécions quelques sucreries bienvenu après tout ces efforts. ET le temps passe et je en le ressent pas, bien trop occupé à écouter et partager. Et ce n'est pas plus mal, il ne faut malgré cela qu'une image, un simple couché de soleil derrière la cimes hautes et verte des arbres, pour que mon passé s'extirpe des méandres de mon esprit de manière fugace. "Nous étions sur un mirador, Si loin de chez nous pour de l'or, Jeunes impatient de voir du pays, si impatient que nous avons choisis de le voir avec un fusil. Et nous avons fixer le soleil qui se couchait derrière Bassam, En regrettant nos choix à grand dam. Que vaut le voyage si c'est en enfer, Que vaut un idéal si c'est par le fer." Voilà les mots que je laissais échappé, ceux qui avaient été laissé s'envoler avec le son des vagues de Bassam, alors que mon ami et moi observions avec nostalgie l'océan en pensant au pays. Voilà comment j'ai expliqué à Afya cette égarement poétique imprévu de ma part. Je lui souris avec un peu plus de mélancolie et annonçais que je devais commencer à rentrer. Je devais aider un amis avec quelques petits projets radiophonique. Mais il était dur d’échapper à l'attraction affectueuse de mon amie au teint d'obsidienne. . |
## Mer 30 Oct - 20:14 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Elle sourit, peut-être que la poésie des vers du jeune homme ne la touchait pas tant que leur fond. Que ce qu’il livrait en parlant de son pays lui était douloureux bien qu’il ne le dise qu’à demi-mots. Elle n’était allée à Bassam qu’une fois, quand elles étaient toutes petites avec Adjambo. Leur mère les y avait emmenée voir une tante, mais elle ne se souvenait plus vraiment du voyage. Elle ne gardait que des impressions vagues, celle que sa tante était une méchante bonne-femme et que ses cousins étaient des abrutis. Pourquoi ? Impossible de se rappeler, elle était alors trop petite. Elle comprit cependant que c’était important, et peut-être un peu dur pour Akkiko… Il parlait d’avant, de quand il n’avait pas encore trouvé les arbres. De quand il était militaire. Elle sentait confusément depuis qu’ils se connaissaient qu’il regrettait cette période. Ou peut-être l’innocence ayant précédé cette période. Sa main trouva celle de l’homme et la serra avec douceur et fermeté. Elle était là. Il lui dit qu’il devait y aller, qu’il avait un service à rendre à un ami. Elle ne mit pas ses paroles en doute. Elle serre cependant plus fortement sa main. Elle le retint et planta son regard de lune dans ses orbes. Elle était là. Elle l’attira doucement dans ses bras et les referma sur lui. Une de ses mains remonta le long de sa colonne vertébrale pour venir caresser ses cheveux. Elle était là. « Si tu veux parler je suis là, si tu ne veux pas parler je comprends, mais tu n’es pas seul d’accord ? Je suis là si tu as besoin. » elle relâcha tout aussi doucement son étreinte qu’elle l’avait liée autour de lui, elle lui sourit. Elle était toujours là.. pour ses amis. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Lun 4 Nov - 18:24 | ||
Akkiko Tomoaki Messages : 510 Date d'inscription : 31/01/2019 Age : 31 Emploi/loisirs : Merc Humeur : mélancolique | Le moment est revenu, une nouvelle occasion, une invitation peut être. Mais je ne la comprend alors qu'en partie, je ne résiste pas à l'attraction d'Afya, et bientôt nous sommes l'un contre l'autre. Ma mélancolie aurait elle irradié si fort qu'elle l'aurait ressentie? Cela me rend assez triste, je ne souhaite pas faire de la peine à la si douce amie que j'ai à Terrae. L'éclair d'une pensée, l'image de nos lèvres unis me traverse, mais je repousse bien loin ce qui alors me semble être fort indécent. Néanmoins, alors que la main si tendre de mon amie m'attire vers elle en se perdant dans ma chevelure en bataille, je laisse ma propre main caresser sa joue avec une infinie douceur. Je me perd dans son regard. Et mon coeur à nouveau tambourine dans ma poitrine, cherchant à s’échapper probablement pour se blottir à celui de la douce femme ébène. (c) par elfyqchan pour Never-UtopiaL'étreinte se relâche, et je m'éloigne, presque à grand dam, de mon amie. J'ai un sourire, assez gêné il est vrai après ce moment, qui sur le coup était magique mais amène à bien des question sur mes propres émotions. "J'espère qu'ont pourra ce revoir pour s'entraîner à nouveau sous peu. Au revoir Afya. Et merci pour le séchage express." Je la salue en souriant avec amusement à présent. Je fais une révérence impeccable avant de la quitter du regard à regret pour m'en aller vers le centre de terrae. . |
## Lun 4 Nov - 19:30 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Pendant un instant il l’étreint, pendant un instant leurs yeux se lièrent d’un regard. Il posa sa main sur sa joue, allait-il l’embrasser ? Elle ne recula pas, il n’avança pas. Est-ce qu’elle avait envie qu’il le fasse ? Elle ne… l’a pas pris dans ses bras pour cette raison. Elle lui sourit, mais au fond elle est un peu blessée. Oh, pas qu’il ne l’ait pas embrassée, ceci n’était pas sensé arriver de toute manière. Non. Elle est blessée qu’il n’ait rien dit. Pas répondu à ses inquiétudes… Mais peut-être l’a-t-il fait, peut être que ce regard en disait plus long que ce qu’elle n’avait entendu. Et peut-être que cette main caressant sa joue était un « ne t’inquiète pas, je vais bien. » « A bientôt… » dit-elle alors qu’il s’en allait. Elle ne le retint pas, se détourna elle aussi de lui tournant son regard vers l’eau de laquelle s’élevait à nouveau quelques gouttes d’eau. Elle était troublée, et troublée d’être troublée. Elle aurait préféré qu’il lui dise de vive voix qu’il allait bien… Il lui faudrait apprendre que les hommes ne sont que rarement communicants, on leur apprend dès leur plus jeune âge à garder leurs faiblesses pour eux plutôt que de les partager. Elle soupira. Longuement… Elle aurait aimé qu’ils restent ensemble plus longtemps. Elle chassa cette pensée pour se concentrer sur les petites billes aqueuses qui virevoltaient déjà dans les airs. Elle les laissa toutes retomber d’un coup et essaya de faire s’élever une colonne d’eau, changeant d’exercice pour tarir le moulin de ses pensées. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
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