## Dim 12 Avr 2020 - 13:09 | ||
Akihiko Eiji Messages : 745 Date d'inscription : 22/02/2011 Age : 22 Emploi/loisirs : Farces ou friandises ? XD Humeur : Dans la joie et la bonne humeur! | J'ouvre la bouche pour répliquer puis la referme aussitôt, serrant les dents, le visage tordu par la colère. Je me contente de lui jeter un regard noir, ma mâchoire s'agitant de tics incontrôlés. Elle veut pas entendre raison. Elle préfère se voiler, se taper un mec complètement allumé et continuer sa petite vie tranquille... Je sais qu'elle souffre. Je le sais! Je le comprends même!! Et C'EST CA QUI M’ÉNERVE P*TAIN! Parce que, quand bien même je pourrais comprendre, je n'en ai aucune envie! Je ne veux pas chercher à l'excuser, ni lui, ni elle pour son aveuglement. -Si c'est ça l'amour, j'espère ne jamais être amoureux de ma vie... Jamais... C'est sorti tout seul. Je n'ai pas fait exprès. Mais c'est sorti. Et c'est la vérité. Je repasse ma manche sur mes yeux et mon nez, inspire un coup, secoue la tête pour rassembler mes idées avant de la fixer à nouveau. Je sais comment elle est... Oui je le sais... Je m'en souviens... Mais toi... C'est différent. Je tourne brusquement les talons et repars dans l'autre sens, avant que nos éclats de voix puissent attirer quiconque. Mes pas sont précipités, je rage en marmonnant tout seul dans ma barbe, j'incendie le premier élève que je vois d'un "DEGAGE DE MON CHEMIN TOI!". Je file direct à l'appart. Je ne veux pas revenir travailler là. Je ne veux rien. Je claque la porte en rentrant, me jette sur mon lit et crie dans mon oreiller... L'air, réagissant à mes émotions, se charge pour moi de dévaster ma chambre. |
## Dim 12 Avr 2020 - 13:16 | ||
Mitsuki Hojitake Messages : 4432 Date d'inscription : 23/01/2011 Emploi/loisirs : Surveillance & robotique Humeur : EXCELLENTE ! | Je restai interdite face à ses derniers mots si douloureux à mes oreilles. Akihiko fit volte-face et s'éloigna dans le couloir. Je continuais à le fixer jusqu'à ce qu'il ait disparu au coin de couloir, le coeur lourd et la respiration douloureuse. Les flammes qui m'entouraient s'éteignirent mais mes poings restèrent serrés. Il me fallut du temps pour retrouver un semblant de calme et reprendre mon chemin jusqu'à la salle des Masters, où je croisais Keitaro. Keitaro bien sûr. Sans un mot, je me contentai d'allumer l'ordinateur, lancer l'application de surveillance, et d'y connecter mon téléphone. Une fois ceci fait, je me levai et rentrai à la maison, sans avoir pris la peine d'éteindre l'ordinateur. |
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