Le sourire stupide qui c’étais collé a mes lèvres lorsque je m’avais vus disparaitre lui étais encore bien présent.
Je ne pouvais pas faire retomber l’excitation qui était montée en moi. Je n’arrivais pas à faire redescendre cette joie. Elle était tellement présente, tellement forte. C’étais indescriptible la vite et la force avec la quel ce sentiment m’avais envahie.

Hideko arborais un sourire magnifique, cette femme étais magnifique. Ce n’était pas qu’une question de physique. Il y avait quelque chose d’autre. Ce sourire n’étais pas que beau, il était plain de sentiment, de sentiment vrais. C’étais ça qui faisait d’elle une belle femme. C’est sentiment, fort et sincère. Ca se voyait sur son visage. Elle aimait, qui ? Surement trop de gens. Je pense que qui conque entre dans cette institut ne peut plus dire que personne l’aime. Car, vus comme elle a l’aire herseuses, elle aime ce qu’elle fait et tout les habitant de cette institut.
Dans tout les cas, quelque soit les raison, elle rayonnait éblouissant tout la pièce. C’étais peut être un peut exagérer, c’est une image. Vous voyez bien ce que je veux dire ? Non ? Un peut d’imagination que diable !

Si il n’y avait pas eu temps de monde, et que l’on avait eu plus de temps, je lui aurais demandé si je pouvais la dessinée. J’aurais telement aimé pouvoir transcrire sur le papier ce que je voyais. Pouvoir me souvenir de cette instant, de comment je la voyais a cette instant.
Une autre fois surement. J’aurais bien une autre occasion. De tout façon je n’avais pas mon matérielle et il était trop tard.

Elle poussa un soupire. Un soupire … heureux ? Un peut comme celui qu’on lâche quand on est content de voir que tout c’est bien passer. De voir que nos effort on porter leur fruit. Ou peut être tout simplement celui qu’on lâche quand on est content de voir les gens heureux au tour de soit.

-Oui... C'est merveilleux, hein ?


C’étais un sourire mélancolique et de plénitude qui c’étais afficher sur mon visage. C’étais un peut en désaccord. Peut être, mais c’étais les deux sentiments qui m’animais.
La mélancolie du passer et la plénitude que ce ne soit plus que du passer. Ne vous y tromper, mélancolie ne veux pas dire regret. Elle était douce et réconfortante celle qui m’emplissais à l’ instant présent.

-Je ne vais pas te retenir plus longtemps, tu peux retourner te coucher dans ta nouvelle chambre... Partie Feu ! J'espère que tu t'y plairas...!


Je m’approchais de la jeune femme lui prit la main et y déposas un baiser.
Ca fait vieux jeu ? Peut être. C’était les restes de mon éducation veillotte. Puis, même si j’avais l’aire d’un hurluberlu quand je faisais ça, j’aimais bien ce geste.

C’est avec un grand sourire que je me dirigeais vers la sortie.


Je sortie de la pièce, heureux de cette soirée inoubliable.
Ces instants resteront à jamais graver dans ma mémoire.