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Je ne sais toujours pas lequel d'entre nous est le plus à blâmer. {Emmy ~
##   Lun 9 Juil 2012 - 14:24
Aaron Williams

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Aaron Williams
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Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ?

Terrae, environ une semaine après le retour d'Emmy.

Le printemps était enfin arrivé sur Terrae. Cette brusque avancée du temps ne pouvait qu'avoir lieu, mais, dans le même temps, je la trouvais déplacée. Comme si elle n'aurait jamais dû arriver aussi rapidement. Le temps s'envole toujours, avec la plus infinie des lenteurs. Pourtant, ce n'était pas comme si nous ne parvenions pas à nous y faire, n'est-ce pas ? Moi, je le savais, je ne pourrais jamais m'y faire. On dit que le petit sablier aide à oublier les malheurs et les tragédies, les trahisons que l'on a commises ou subies. Je n'y crois pas, c'est débile, et ça le restera toujours.
En même temps, j'ai toujours haï mon défaitisme insupportable, qui me poussa, entre autre, à ignorer – fuir serait le terme le plus exacte – la femme que j'avais lâchement abandonnée des mois plus tôt, et ce depuis son retour de mission. Mission à laquelle je me devais de participer. Mais, bien entendu, une Tonnerre restant une Tonnerre, et Emmy restant ce qu'elle est, celle-ci partit toute seule pour régler cette histoire, et ne revint qu'environ quatre mois plus tard. Je m'étais fait, entre temps, corrigé joliment par des collègues pas très heureux et des amies solidaires d'une humeur exécrable. Bon, d'accord, je l'avais – un peu – mérité. Mais un peu seulement ! Je lui avais jamais dit de partir sans moi, eeet...
Bon, Aaron, ta gueule.
Simplement, je vous annonce solennellement qu'aujourd'hui, je vais aller voir Emmy.
Sisi, vous avez bien entendu, je vais bouger mes fesses de ma chaise de bureau, arrêter de faire semblant de travailler pour louper les réunions et aller la voir pour... Euh... je sais pas trop en fait. M'excuser ? De toute manière. L'engueuler ? Ouais, aussi. Non mais si elle savait le sang d'encre qu'on s'est fait pour elle !... Oui, bon, d'aaaaccord, elle était revenue depuis longtemps, et j'aurais dû venir lui rendre une petite visite courtoise – accompagné d'un bouclier anti-foudre pour survivre – depuis à peu près ce moment-là. C'est clair que se cacher derrière une porte dès que je la croisais au détour d'un couloir, c'était pas très utile à la réalisation de mon projet. Ce qui est clair, c'est que c'était d'autant plus compliqué de se cacher derrière un lampadaire lorsque je la voyais au village. Heurm. Oui, j'ai toujours été d'une discrétion sans faille, je vous l'accorde. La discrétion, c'est mon deuxième prénom !...
Bref.
Je suis là, à attendre comme le plus grand des imbéciles devant la porte de son loft depuis environ... Une demi-heure. La main suspendue au dessus de la sonnette, d'ailleurs. Et même que j'ai la nette impression d'avoir oublié un truc hyyyper important chez moi. Je pense que les calmants, elle aurait pas apprécié, donc ça, c'était même pas la peine. Un drapeau blanc et un bâton, peut-être, histoire de lui faire comprendre que j'avais vraiiiiment pas envie de m'en prendre une en pleine tête ?... Ah, si, voilà, mon bouclier ! Mon bouclier anti-foudre. J'ai peur, mama...
Je pris une grande inspiration, passant une dernière fois ma main tremblante dans les épis foncés qui s'éparpillaient sur mon crâne, légèrement plus longs que lors de notre dernière entrevue – j'aime pas les coiffeurs. Je fermai les yeux. Allez... Un, deux...
Vacillant légèrement, j'appuyai sans m'en rendre compte sur la sonnette. Hein ? Mais ? Mais j'étais pas prêt ! Je voulais pas ! Nooonn mais pourquoiiii ? Non non non et re-non ! Je veux paaaaaas ! Je vais mûrir ! Et être pressé comme un citron... J'ai peur... Pourquoi je suis là ? Pourquoiiii j'ai appuyé ?! Je suis sûr qu'un démon démoniaque a pris possession de mon corps pour m'obliger à faire ça ! Le traîîîître !
Le teint livide, je me rappelai soudainement ce que j'avais oublié.
Je vais lui dire quoi ?



Aaron vit en #E5882A.
Louisa danse en #78AB3F.


Un peu d'amour ♥:


Dernière édition par Aaron Williams le Sam 15 Sep 2012 - 20:04, édité 2 fois
##   Mar 10 Juil 2012 - 20:45
Emmy Black

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Aaron vs Emmy
Les retrouvailles ...



Cela faisais une semaine que j’étais rentré, une semaine passé a tournée en rond, a rencontré des gens et a me faire pourrir. Je mis étais attendu et je méritais tout ces reproches, mais je m’en serais bien passé. Je n’étais pas d’humeur à supporter des reproches, je m’en voulais déjà bien suffisamment a moi-même pour que les autres remue stupidement le couteau dans la plain. C’est bon j’ai comprit ! J’avais fait une grosse bourde, j’ai trainé 3 mois dans une cave moisie, je me suis fait tirer dessus, de sur crois j’ai aggravé encore plus la situation lamentable de ma relation avec Aaron, alors c’est bon j’ai ma douce. J’ai comprit !!!!!!!!!!!!!!! De toute façon rêvaient pas, je recommencerais, je suis comme ça je plonge dans les emmerde la tête la première sans que quiconque est le temps de réagirai. Des que cette histoire seras fini je replongerais dans une suivante, ou même avant que celle si soit fini.
Au final je ne suis pas Tonnerre pour rien.

Actuellement j’étais chez moi, je m’étais installé devant mon ordinateur pour tenter de taper le mail que j’aurais du écrire a ma mère depuis mon retour. Elle devait se faire un sang s’encre, je devais aussi la rassuré pour June, lui dire qu’elle était ici, avec moi en sécurité.
Je me plaçais devant le clavier et … rien … Un véritable néant venait de ce créé dans mon esprit. Un seul nom un seul visage apparaissait en discontinu dans mon esprit. Aaron. Je n’arrivais as faire que ce soit sans pensé a lui, il avait totalement envahit mon esprit et mon cœur. Du moins ce qui restais de mon cœur, vous voyez c’est comme si godzilla s’étais acharné à le ratatiner en crêpe.

Pourquoi je l’aime temps ?

C’est bien là la question. Pourquoi je m’attachais inlassablement a cette être si compliqué qui, en vus de son caractère et de sa façon de pensé, ne pouvais que me mené a des situations compliqué et dure à supporter. C’est la ou je lui donne raison, oui un jour ou l’autre il me fera souffrir, et ce jour est venus a mon avis. Mais contrairement a ce qu’il pense, le faite qu’il s’éloigne, qui ce separt de moi, ne changeras rien. Quelque soit la distance qu’il met entre nous ne change rien au lien qui nous lit et encore moi au sentiment que je lui porte. Ca change juste la douleur que je ressens.
C’est décider quand je le voie c’est moi qui lui bote le cul ! Lui est ces idées stupides ! Mais merde ! Il n’est pas dans mon esprit, comme il peut savoir que je serais mieux sans lui ! Je suis encore assez grande pour me gérer toute seule !

La sonnette de mon loft résonnât dans toute la pièce me faisant sursauter sur ma chaise.
Avec autant de motivation qu’un mollusque sur son rochet je me déplaçais vers la porte. Je posais mollement la main sur la poigné sur la porte abaissais lentement la poigner et ouvrais avec peut d’enthousiasme la porte. Moi, pas envie de voir du monde ? Non pas du tout … enfin si ! Je veux qu’on me lâche la grapeuh ! Mais bon vus que j’ai un minimum de politesse j’ouvrais la porte avec un petit sourire, puis aussi parce que je n’aime pas faire la gueule au gens, ils y sont pour rien les pauvres si je suis de mauvaise humeur.

Mon sourire s’écroula totalement lorsque je vis le visage d’Aaron.

Je sentie un poids très lourd ce poser sur mon cœur, comme si un éléphant étais venus s’assoir sur ma poitrine. J’avais du mal à respirer. Je me sentais mal tout à coup.

Qu’est ce qu’il fessait là cette abrutie ! Je l’avais cherché toute la semaine, j’avais fait toute l’institut en long en large et en travers. Il était fourrer ou ?

Une claque partie, forte, peut être un peut trop. Elle représentait tout la douleur, la colère et la tristesse que j’avais grader pour moi, tout ce que je n’avais pas put lui dire.

Mes yeux ce replissaient de larme, a pêne la gifle étais partie que je regrettais déjà mon geste. Je sentais les larmes chaudes coulais le long de mes joues. Ca faisait mal, comme si ces larmes étaient du plomb.

Sans réfléchir je lui sautais dans les bars. Le serrent le plus fort que mon énergie me le permettais, mes ongles s’enfonçaient dans ça verste et mes larmes coulaient a le plus en finir.
Tout ce que j’avais retenus devais sortir, maintenant et ce pauvre, non pas pauvre !, Aaron avais été transformé en mouchoir géant.
Je n’osais pas parler, je ne savais pas quoi lui dire. Mes gestes sont plus éloquents que n’importe quels mots.






Spoiler:

Je ne sais toujours pas lequel d'entre nous est le plus à blâmer. {Emmy ~ Emmy_s10 By my Aaron <3
On dit que le regard est le miroire de l’Âme, regarder moi bien peut être qu'un jour vous me comprendrez


Dernière édition par Emmy Black le Dim 5 Aoû 2012 - 9:50, édité 1 fois
##   Mar 10 Juil 2012 - 21:23
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Je sentis à peine sa main s'abattre contre ma joue ; la douleur ne vint qu'après. Elle ne vint qu'après que j'ai eu à subir la vision détestable de ses yeux embués de larmes. Et, en voyant son visage se décomposer peu à peu à ma vue, je ressentis un étau se resserrer autour de mon cœur. Ahh, mon cœur... Il méritait bien d'avoir mal, au moins rien qu'un peu. Néanmoins, la première idiotie qui s'imposa à mon esprit ne fut pas « Mais qu'est-ce que j'ai fait ? » mais un truc du style « Tiens ? J'avais oublié à quel point ses yeux étaient bleus ». Même si la situation n'était pas très cocasse, j'étais heureux de la revoir. Même dans cet état proche du délabrement. Même si elle se retrouvait à présent accrochée à moi comme à une bouée de sauvetage, laissant couler ses larmes sans crainte qu'on ne la voit ainsi. Désespérée.
Je ne pris conscience des tremblements qui agitaient mes membres que lorsque je resserrais ma prise sur elle, la serrant un peu plus contre moi, déposant machinalement une main rassurante sur ses cheveux, toujours aussi blancs, toujours aussi courts, toujours aussi beaux. Cela aurait pu être dû à de la joie, de la tristesse ou de la colère que rien n'aurait changé. Elle m'avait manqué, tellement, tellement, tellement fort... Que j'avais à présent l'impression de perdre la tête. Je pleurais peut-être aussi ; de soulagement. J'étais heureux ; heureux qu'elle soit en vie. Mais j'étais triste, aussi ; triste qu'elle ait autant souffert à cause de moi. Et, dans le même temps, j'étais en colère ; en colère contre elle, qui était partie sans dire. En colère contre moi, pour ne pas avoir cherché à la retenir.
C'est idiot, quand même, un être humain. Ca a peur de l'avenir, mais, en cherchant à se préserver de lui, il ne fait que hâter son destin, et se précipiter vers une douleur et une souffrance sans noms. J'avais lu quelque part qu'ils ne « cherchaient pas à construire leur bonheur, mais à réduire leurs malheurs »... C'est peut-être là que ça coince, non ? Enfin, en tout cas, je fais certainement partie de ces abrutis qui ont peur, et qui ne cherchent pas à être heureux. C'est pas comme si je le méritais, aussi. Ceux qui sont heureux, souvent, ne le mérite même pas.
Sans m'en rendre compte, j'adoptai un léger mouvement de balancier, comme pour la bercer, oubliant un moment la douleur qui cuisait ma joue. Cette situation était tellement semblable à celles où, adolescent, je rassurais mes petites sœurs au beau milieu d'un orage. Calme. Franc. Peut-être un peu trop tendre pour réellement être moi-même. Je savais pas réellement, mais ce n'était pas grave. Pendant quelques instants, je savais ce que j'avais à faire.

- Emmy... Je suis désolé, murmurais-je.

Ma voix s'était brisée, comme si j'avais été en train de retenir de lourds sanglots. En réalité, c'était le cas. Mes épaules tressautaient, sans que je ne puisse rien y faire. Mon corps ne me répondait plus vraiment, et je m'en fichais complètement de me rendre ridicule. Il y a des fois où il faut savoir se lâcher, pas vrai ? Là, c'était l'un de ces moments. Tout simplement parce que j'étais heureux. J'étais...

- … tellement heureux que tu sois en vie... soufflais-je ensuite, comme pour compléter mes propres pensées.

Je poussai ensuite un soupir, secouant légèrement la tête. Allez, je devais pas avoir l'air d'un avorton. C'est moi l'homme ici ou pas ? Eh bah je vous annonce que si, c'est le cas.
Je baissai les yeux vers elle. Je savais qu'elle s'était fait réprimander par tout le monde, et je me demandais à présent si c'était une bonne idée d'en rajouter une couche. Au final, pour la première fois de ma vie, j'eus la merveilleuse idée de fermer ma trop grande gueule afin de ne pas envenimer la situation.



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##   Dim 15 Juil 2012 - 19:51
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Aaron vs Emmy
Les retrouvailles ...



J’étais pathétique. C’étais la pensée qui tournais en boucle dans mon esprit. J’avais attendu ces retrouvailles avec impatience. Je voulais parler avec Aaron, lui faire comprendre mon point de vus, partir sur une nouvelle relation, différente de l’image de la relation amoureuse que le gens ce faisais, adapter a nos deux façon d’être. Une relation qui éviterais qu’il ce sente enfermer dans ces sentiments. Je voulais que l’on discute de tout ça, qu’on ce mette d’accord et que enfin on puisse à nouveau être tout les deux ensemble sans qu’il y est cette douleur et cette crainte qui trône entre nous. Je voulais que l’on change les choses pour que ça aille mieux.

Au lieu de ça qu’est ce que je faisais ? Je lui en collais une tarte, comme si ça allais améliorer ça réceptivité a ce que je voulais lui dire. C’est vrais quoi, on commence forcement une discutions calme, sereine et réfléchit par une bonne tarte dans la tronche ! C’est la base de la communication ! Vous ne le saviez pas ? Maintenant vous le savez !

Pour fignoler le tableau je lui sautais littéralement en coup en pleurant comme une madeleine écrasé. Si si écrasé ! Pourquoi ? Je ne sais pas, je trouve que ça correspond bien à mon état, un truc tout mou en décomposition ! C’étais plutôt l’état de ma volonté et de mon esprit ça mais bon au final ça revient au même.

Je débloque totalement vous trouver pas ? Non mais sincèrement ma métrise de moi elle est passé ou ??? Je vous parle même pas du peut de fierté qu’il me restait vis-à-vis de Aaron, parce que la je peux carrément m’assoir dessus ! Je venais des passer pour une folle hystérique de bas. Non mais quoi ? On dirait les minettes cruchasses, des fims américains, qui retrouve leur mec qui étais partie en soirée sans elle !!! Oui c’est comme ça que je me voie ! Je m’étais promise de ne jamais dépendre d’un homme autant financièrement que sentimentalement, et la j’étais en plain dedans ! Parce que pour le sentimentalement j’ai raté une petite étape vous trouvée pas ??

C’est avec étonnement et soulagement que je sentie mes bras de Aaron ce serer contre moi. Je sentais son étreinte me réchauffer le cœur. Je ne m’attendais pas à un tel geste, en faite je ne m’attendais à pas grand choses. J’avais été incapable, moi qui le connaissais si bien, de savoir comment il allait bien pouvoir réagir a mon égard. C’étais bien la preuve qu’il restait encore une grande part de mystère entre nous deux.
C’étais avec une étrange tendresse qu’il m’enlaçait et me berçais. Je na’vais jamais douter du faite que Aaron pouvais être tendre et rassurant, mais j’avais rarement put en avoir la preuve. Même si il faisait preuve de geste tendre à mon égard il restait toute fois assez distant de manière générale. Le sentir me bercer ainsi comme on le fait avec un jeune enfant qui viens de faire un cauchemar, ça me surprenais de ça part.

Je sentais ces muscles tressauter, alors lui aussi il pleure ? Cela me surprit, mais ma seule réaction fut de le serer encore plus fort contre moi.
C’étais un tableau bien pathétique que nous offrions là … Qui aurais crus un jour nous voir pleurer tout les deux dans les bras l’un de l’autre ? Personne. Et personne ne me croiras si je raconte ça, de toute façon je ne le raconterais pas, il y a des choses qui ce garde pour soit. Des petits étoiles que l’on garde enfermer au fond de sont cœur pour les jours sombre. Parce que oui, pour moi ce tableau plus que lamentable est un souvenir joyeux. Non je ne suis pas folle ! Mais qui peut ce venter d’avoir réussi a percé aussi loin la coquille que c’est créé Aaron ? J’ai enfin réussi à le toucher au cœur. J’y suis arrivé, j’ai attins une petite partie de son âmes, a partir d’aujourd’hui plus jamais j’accepterais de partir.

C’étais sens réaction immédiate que j’écoutais ces paroles.
Il me fallut quelque seconde avant qu’elle n’arrive, avant que le les comprennent. Ces mots étais ceux que j’attendais, pas précisément ceux là, mais en quelque sorte. Je voulais l’entendre dire, de quelque façon qu’il soit, que je comptais pour lui, je voulais en être sur. Alors même si il ne l’avait pas dit directement, ces paroles me firent du bien.
Il me fallut encore quelque instant pour vraiment comprendre ce qu’il avait été dit. « Désolé » et « heureux » furent les deux mots qui me marquaient le plus. Alors on y était, il ce rendais compte de la porter de ces mots, du moins je l’espérais. J’espérais qu’il comprenait, au moins un peut, l’erreur qu’il avait commise en voulant ce séparer de moi. Le deuxième mot avait encore plus d’importance à mes yeux. « Heureux » Il avait fallut que je parte seule et que je manque d’y reste pour entendre ce mot sortir de ça bouche.

Je le sentie bouger, je délogeais alors ma tête de sons coup pour lever mon visage vers le sien.
Je ne devais pas être très présentable mais ce qui importait le plus pour moi était de voir son visage, et surtout ses yeux. Ces grandes pupilles de rubis m’avaient tout fasciné. Je mis perdais une fois de plus.

Je ne savais pas quoi dire, alors simplement je ne dis rien. J’eu envie de l’embrasser, alors c’est ce que je fis. Pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple ?

Je me rapprochais doucement, me dressais très légèrement sur la pointe des pieds pour vaincre les quelques centimètres que nous avions en différence, et déposais simplement mes lèvres sur les siennes.


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##   Mer 22 Aoû 2012 - 20:00
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Il y avait eu ce court instant où nos regards s'étaient accrochés, l'un d'un bleu pur et fort, l'autre d'un rouge sombre et macabre. Humides, de nombreuses touches de lumière venaient rajouter des couleurs resplendissantes à cet océan de douleur. Une fois de plus, je me mis à penser que ces yeux m'avaient manqué et, en même temps, je me mis à les détester. Voir autant de peine en elle, c'était trop dur à supporter.
On devait probablement avoir l'air con tous les deux, à se chialer dans les bras comme des adolescents pré-pubères, puis à se fixer comme ça avec cette impression débile mais pourtant immuable que rien d'autre autour de nous n'existait plus.
Le simple contact de ses lèvres sur les miennes me rappela de vieux souvenirs, tous plus joyeux et tendres les uns que les autres. En même temps, il me rassura, comme pour me prouver qu'elle était bien là, à présent. Qu'elle était bien vivante. Mais je ne pouvais pas.
J'avais eu peur. Oh, Dieu, tellement peur. Je l'ai cherchée où j'ai pu, fait des recherches tant bien que mal, pour arriver à un résultat plus que décevant. Puis je l'avais fuie quand enfin elle avait su retrouver le chemin de chez elle. C'était puéril, tellement puéril. Mais j'avais cette fierté mal placée, qui me disait que je devais camper sur mes positions. Que je ne pouvais pas avoir totalement tort. Malgré le fait que je tienne tant à elle, qu'elle soit si importante pour moi. Je n'aurais pas supporté qu'elle ne revienne pas, je crois, et c'est égoïste. Peut-être parce que tant de personnes se sont éloignées de moi, pour finalement mourir sans que je ne puisse rien y faire. Maman, Dia, Dam. Encore. Toujours. C'est la trinité que je ne pourrais jamais oublier. Celle qui fait avancer, ou bien reculer. Et celle qui me fait, surtout, stagner au même point, et m'enliser dans mes troubles. Mais c'est pour eux que je vis. Je ne peux pas vivre pour les autres.
Doucement, je l'éloignai de moi, essuyai de mon pouce les larmes qui perlaient encore au coin de ses yeux. Je m'en voulais, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je ne voulais pas, ou je ne pouvais pas, en fait ? Je savais pas vraiment. J'avais juste envie que tout le monde soit heureux, et qu'on me laisse seul. Avec Dam', j'ai épuisé mon quota de joie, de bonheur et de chance pour toute une vie. Et je crois que ça me suffit. Et, ça, même si Emmy n'arrivait pas à le comprendre... Je n'avais pas le droit de la tirer vers mes ténèbres. C'était aussi con que ça. Puéril ? Je fais que le répéter. Ca ne fait pas revivre les morts, mais c'est tout ce que je peux faire pour ne pas les oublier. Mon passage au rang de Master aurait dû aider, et... Je ne déprime plus, simplement, ce n'est pas juste. Ce n'est pas juste, de faire comme si rien ne s'était passé.

- Emmy, commençais-je d'une voix douce.

Je ne savais pas trop comment exprimer ce que je voulais lui dire, et j'imaginais que j'allais être aussi maladroit qu'à l'accoutumée. Emmy, essaie de me pardonner pour ça.

- Tu sais, le fait que tu sois partie, puis revenue, ça ne change rien. Ca ne change rien pour moi. J'ai été terrorisé par l'idée qu'il puisse t'arriver quelque chose, parce que je tiens à toi. Et, pour cette même raison, je ne peux pas, pour le moment, te laisser être engloutie avec moi.

Je marquai une pause, soupirai en replaçant une mèche de ses cheveux.

- Je sais que tout ça, c'est dans ma tête, mais je peux plus envisager quoi que ce soit avec ce genre de pensées. Ca me passera. Mais pas maintenant. Maintenant, je m'en souviens encore trop. Ou, plutôt, de nouveau. Ce n'est rien de plus qu'un vieux fantôme.

Je tentai un sourire crispé, mes joues toujours humides, mais le flot de larmes arrêté.

- Ca ne veut pas dire que je ne veux plus te voir. Je veux pas que ça change, mais ça ne peut pas rester comme ça. Toi, tu y risques beaucoup. Alors, pour le moment, laissons juste faire le temps, et remettons nous de nos émotions, d'accord ?

Une petite note d'humour …?

- Et puis, entre nous... On formait probablement le couple le plus insolite de Terrae, si tu veux mon avis !



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Aaron vs Emmy
Les retrouvailles ...



Je sentais mes émotions ce tassé, mon cœur reprenais un rythme normal. Mon monde qui c’étais doucement écrouler sous mes pieds ces dernier mos venais de doucement e reconstruire.
Il était là, présent et bien plus humain que jamais. Il ne pouvait pas ce rendre compte a quel point ce constat me faisais du bien. Je retrouvais ça vrais façon d’être, celle que j’ai passé temps de temps a cherché celle qui est indéniablement cacher sous ça connerie futile et ce masque de cynisme qui ce traine en permanence.
J’avais bien conscience qu’il n’allait pas rester ainsi bien longtemps. Qu’il rentrerait bien vite dans ca coquille. Que je retrouverais bien vite le Aaron que tout le monde connais, et qu’il va bientôt recommencer a fuir. Mais après, ca m’étais bien égale parce que a cette instant précis il était là, et c’étais bien la seule chose qui comptait.

Il m’écarta tendrement et doucement de lui.
Doucement son pouce vient frôler mon visage et me débarrasser de mes dernières larmes. J’appréciais en silence ce doux geste d’affection en fermant doucement les yeux.

Ca douce voie résonnas dans mon esprit quand il prononça mon nom. Je gardais les yeux fermé encore quelque instant. Juste le temps de graver ces instant dans le lus profond de ma mémoire. Parce que je le savais, tout cela n’étais pas fini. J’allais encore devoir attendre et me battre contre lui, contre lui et ces démons. Il faudra bien quelque souvenir pour me soutenir dans cette bataille.

- Tu sais, le fait que tu sois partie, puis revenue, ça ne change rien. Ca ne change rien pour moi. J'ai été terrorisé par l'idée qu'il puisse t'arriver quelque chose, parce que je tiens à toi. Et, pour cette même raison, je ne peux pas, pour le moment, te laisser être engloutie avec moi.

Je l’écoutais sans rien dire, sans même rien pensé. Je voulais le laisser finir. Je ne voulais pas agir bêtement.

- Je sais que tout ça, c'est dans ma tête, mais je peux plus envisager quoi que ce soit avec ce genre de pensées. Ca me passera. Mais pas maintenant. Maintenant, je m'en souviens encore trop. Ou, plutôt, de nouveau. Ce n'est rien de plus qu'un vieux fantôme.

Je plantais tendrement mon regard dans le sien. J’enregistrais tout ce qu’il me disait, je ne voulais pas réagir, je voulais absolument le laissé finir.

- Ca ne veut pas dire que je ne veux plus te voir. Je veux pas que ça change, mais ça ne peut pas rester comme ça. Toi, tu y risques beaucoup. Alors, pour le moment, laissons juste faire le temps, et remettons nous de nos émotions, d'accord ?

Je lui adressais un tendre sourire. J’étais heureuse.
Je ne m’attendais a ce qu’il me saute dans les bras a mon retour. Je m’attendais à des disputes, je m’attendais à ce que ce soit encore pire que lorsque je suis partie.

Au lieu de ça la situation est radicalement différente. Quelqu’un d’autre n’en comprendrais pas. Mais moi je voie. Je voie la différence.
Il parle plus séparation, il demande du temps pour ce remettre de ses blessure. C’est une situation qui mérite d’être fêter ! Non peut être pas. Mais ça mérite que je sois heureuse.

- Et puis, entre nous... On formait probablement le couple le plus insolite de Terrae, si tu veux mon avis !

Je lui adressais un sourire malicieux et plaças tendrement mes mains sur ces joues. J’essuyais à mon tour le reste de ces larmes. Geste rare avec un home comme lui. D’une voie douce je lui répondit :

_ On forme. Je te laisserais tout le temps qu’il te faut, je t’offrirais toute la distance dont tu a besoin, mais pour moi on forme toujours quelque chose. Tu prends ton temps je prends le miens, mais je ne m’éloignerais jamais assez pour qu’on soit vraiment séparé.

Je fis quelque pas en arrière.

_ Soyons amis et plus quand tu le sentiras. Mais dans mon esprit tu es encore à moi.

Je lui lançais un regard provocateur. C’étais plutôt avec ironie que je lui a vais déclarer cette dernière phrase. Je savais qu’il détestait qu’on pense qu’on lui appartient, et il s’avait pertinemment que je ne l’avais jamais pensé.
C’était ma façon de dire que je l’attendrais.

Je lui tournais le dos et m’avançais près du placard, j’en sortie deux verre et une bouteille de Wiski. Il faudrait tout de même que je face attention au Wiski moi.

Je me tournais de nouveau vers lui.

_ Maintenant que tu es la, tu vas me raconter ce que j’ai raté durant ces derniers mois.

Après lui avoir remplit un verre je le lui tendais avec mon sourire malicieux habituelle.


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Dernière édition par Emmy Black le Mer 17 Oct 2012 - 13:29, édité 1 fois
##   Mer 19 Sep 2012 - 16:46
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Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ?

J'étais plutôt heureux de constater qu'elle ne prenait pas mal tout ce que je disais et que, de plus, elle me laissait lui dire ce que j'avais sur le cœur sans interruption. Peut-être était-elle Tonnerre et impulsive, mais elle restait aussi une adulte responsable. Voir qu'elle n'avait pas changé me rassurait un peu, et me poussait même en avant. J'étais rassuré par ses yeux, doux, tendres, encourageants, qui me poussaient à me dévoiler, qui me poussaient à dire ce que je ne suis jamais parvenu à formuler. Le fond de mes pensées me semblait, jusqu'à présent, inatteignable. Un peu comme ces fosses profondes, qui ne laissent jamais entendre le petit cliquetis du caillou cognant contre son sol dur et froid.
Bon, d'accord, comparer Emmy à un caillou, c'est pas encore très potable.
Un sourire machiavélique – enfin, pas vraiment, mais on se comprend – se glissa sur ses lèvres, et elle plaça ses mains sur chacune de mes joues, où mes larmes révolues séchaient déjà en de petites traînées salées. Larmes qu'elle s'empressa de balayer d'un geste lent, avant qu'elle ne s'éloigne.

_ On forme. Je te laisserais tout le temps qu’il te faut, je t’offrirais toute la distance dont tu a besoin, mais pour moi on forme toujours quelque chose. Tu prends ton temps je prends le miens, mais je ne m’éloignerais jamais assez pour qu’on soit vraiment séparé. Soyons amis et plus quand tu le sentiras. Mais dans mon esprit tu es encore à moi.

Un sourire amusé fendit mon visage à ces mots, et je levai un sourcil pour répondre à sa provocation. Je n'aime pas les chats, mais j'avoue autant adorer mon indépendance et ma liberté qu'eux, elle le savait. D'un côté, cette discussion me rappelait étrangement celle que nous aurions pu avoir lorsque nous nous sommes mis ensemble. « Soyons amis, et plus quand tu le sentiras. » C'est fou comme rien ne change, au final, malgré le temps, les blessures et les doutes.
Je la vis se retourner, sortir deux verres et une bouteille de Whisky. Après sa déclaration précédente, ça faisait un peu chelou. Du style « Owi je vais te bourrer puisque je sais que tu tiens pas l'alcool et puis tu verras, touuuuut ira mieux ! »... Tu parles, je vais juste finir par me lamenter sur le fait que je déteste son crétin de chat. Emmy avait bien un chat, hein ? D'ailleurs, il est où, celui-là ? Pas qu'il me saute dessus comme d'habitude. Je le déteste. J'ai déjà dit que je haïssais les chats ? Oui, probablement trois fois par jour, oui. C'est pas grave, c'est pas important.

_  Maintenant que tu es la, tu vas me raconter ce que j’ai raté durant ces derniers mois.

J'attrapai le verre qu'elle me tendait et la remerciai.

- Tu essaies de me saouler ? plaisantais-je.

Je marquai une pause, avant de regarder à l'intérieur du verre d'un air désespéré, d'en prendre une gorgée et de grimacer. Woah, il était fort celui-là, ou je rêve ?

- Ah, d'ailleurs, maintenant qu'on en parle, il est tout ton cré- ton chat ? me repris-je, regardant tout autour de moi d'un air légèrement inquiet. Pas que ça m'intéresse, mais, euh, voilà, juste à titre... Informatif, tu vois ?

Je m'appuyai contre le mur, mon verre toujours en main, et le finit pour cacher mon trouble, avant de m'excuser du regard pour ne pas l'avoir attendue. Bon, ça, c'est fait, bien les retrouvailles. « Comment va ton crétinus de chat, hein ? Oh, tiens, de l'alcool ! » Bravo Aaron, tu passes une fois de plus pour un poivrot.
Je me raclai la gorge, et lançai, à tout hasard :

- Bah, écoute, il s'est pas passé grand chose... À part le fait d'entraîner une élève que je veux faire passer Master avant la fin de l'année – enfin, de préférence, hein –, y a pas grand chose de plus à dire, tu sais... Ah ! Je sèche presque plus les réunions, je m'améliore ! m'enthousiasmai-je faussement, en ayant un léger rire nerveux. Sinon, sinon... Quoi de neuf, quoi de neuuuf... Bah...

C'est à cet instant que je pris conscience du néant de mon existence.

- … Rien, en fait.

Et le pire, c'est que c'est vrai.
Je penchai la tête sur le côté, et l'interrogeai :

- Et toi, tes blessures se sont refermées ?



Aaron vit en #E5882A.
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##   Mer 17 Oct 2012 - 13:33
Emmy Black

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Aaron vs Emmy
Les retrouvailles ...



Aaron répondit par un sourire a ma remarque. Ce qui me rassuras, il avait donc bien comprit l’intention placer derrière mes mots.
Il attrapa le verre que je lui tendais sans rechigné, enfin presque.

- Tu essaies de me saouler ?

J’éclatais de rire ; Un rire sincère, cristallin et profond. Cette situation me faisait un fou. On venait de retrouver notre relation, notre complicité. Cela allégeait fortement le poids qui pesait su mes épaules. Bien sur qu’il restait encore des choses qui me pesais, je voulais retrouver Aaron tout entier, l’avoir de nouveau vraiment a moi. Je soumettais retrouver notre relation, fait s’envoler ce mal être.
Cependant, je sentais bien, que le ne pouvais pas retrouver la même chose, il fallait que les choses soit différentes. Si je voulais que cette complété perdure et fallait changer certain point.
La seul solution que j’avais réussit a trouver, étais que je devais lever le voile sur le lourd passer de Aaron. Autrement, je ne pourrais jamais changer ma façon de faire. Je ne pourrais jamais faire en sorte qu’il ce rendre compte qu’il est sortie de ce passer. Il devait laisser partir tout ces fantômes qui le hantent de jour en jour. Il devais sens détacher, ce détacher de ce passer sombre et bien loin maintenant.
Il y avait du travaille, et je comptais bien mit mettre très bientôt. De toute façon si moi je ne mis m’étais pas, qui le ferras ? Je ne m’attendais pas a ce que Aaron face quoi que ce soit de bien concret. Il était totalement figer, et bien capable de ce contenté de cette situation indéfiniment.

- Ah, d'ailleurs, maintenant qu'on en parle, il est tout ton cré- ton chat ? Pas que ça m'intéresse, mais, euh, voilà, juste à titre... Informatif, tu vois ?

Aaron et les chats, c’étais une grande histoire d’amour et de haine. En particulier avec le miens. Pour une raison que j’ignorais mon chat aimait ôtent Aaron que ce dernier le détestais. Des qu’il le voyait, cette espèce de boulle de poile dégénéré, déboulais de nul par avec seul objectif ; sauter sur Aaron. Dans la vaine tentative d’avoir des câlins de la par de ce dernier.
A ces moment la je regrettais souvent de ne pas avoir de quoi filmer. « Les aventures de Aaron et le chat dégénéré », je suis sur que ca cartonnerais au cinéma de Terrae, ou au moins dans la salle des masters.

C’est avec un petit signe de la tête que je désignais mon lit. Non, ce n’étais pas une proposition perverse ! Il était vrais que ca m’étais passé par l’esprit, mais ce genre d’envie étais fortement déplacer dans l’instant présent. Je venais de lui proposer de lui laisser du temps, alors lui proposer ce genre d’activité n’étais pas vraiment approprié. C’est donc avec une grande caque mentale que je chassais cette idée de mon esprit.
En effet le fait intéressant dans le moment étais que Kyo étais rouler en boule sur mon lit a dormir très profondément, heureusement pour Aaron.

_ Il dort comme une masse, il vient de mangé, tu ne crains rien pendant a peu près deux bonne heures.

Je lui adressais alors un sourire malicieux pour accompagner la phrase qui suivis ;

_ Mais je peux le réveiller su tu veux lui dire bonjours.

Moi me moqué ? Non ! Pas du tout !

C’étais avec une légère que Aaron vidas alors son verre. Il était si moche que ça mon chat que ca te donne envie de boire ! Espèce d’ingrat !
Connaissant Aaron s’il attaquait comme ça avec l’alcool, il n’allait pas tenir bien longtemps. Son aptitude a tenir l’alcool étais plutôt limité. Je limitais en vident doucement mon verre.

- Bah, écoute, il s'est pas passé grand chose... À part le fait d'entraîner une élève que je veux faire passer Master avant la fin de l'année – enfin, de préférence, hein –, y a pas grand chose de plus à dire, tu sais... Ah ! Je sèche presque plus les réunions, je m'améliore ! Sinon, sinon... Quoi de neuf, quoi de neuuuf... Bah...

Ce fut avec une mou boudeuse qu’il continuas.

- ...Rien, en faite.

Je restais bouche bais. Elève ? Aaron a une élève ?
Alors là ! SI je m’attendais a ça.

_ Rien, Avoir un futur master comme élève tu appelle ça rien !?

Je replissais de nouveau nos deux verres, sans demander l’avie d’Aaron. Je m’adossais au mur, mon épaule contre celle d’Aaron. Je lui avais promit de lui laissé du temps, mais ça ne m’empêchais pas de profiter un peu de ça présence.

_ Tu a vraiment un sens de priorité étrange. Je trouve que c’est beaucoup. Avoir entrainé une jeune fille assez souvent, et de manière assez intéressé pour pouvoir prévoir de la recommander. Surtout qu’elle sera la première masters de la nouvelle génération.

Je trempais mes levers dans le liquide sirupeux, ce qui eu pour effet une désagréable sensation de brulure. C’est qu’il arrachait un peu celui la tout de même !

_ Ca fait de toit le premier masters à avoir mené une élève au rand de master. C’est beaucoup je trouve.

C’était avec un regard confiant que je me mit à le fixer. Il avait tout de même changé depuis notre arriver ici, depuis nos premières rencontre.
Cette pensé me décrochas un sourire tendre. C’étais tout de même la troisième fois depuis son arriver tout a l’heure que je pensais ça. C’était une agréable constatation.

- Et toi, tes blessures se sont refermées ?

Je hochais la tête positivement.

_ Ca vas de mieux en mieux. Il m’on bourré d’antibiotique pour arrêter l’infection. D’ici peu je pourrais aller voir un master guérisseur pour refermer tout ça.

Je n’avais pas voulut aller me faire soigné par un master tout de suite. La blessure avec trop trainner et c’etais trop infecter. Ca aurais été trop violent pour mon organisme de faire disparètre aussi brutalement un blessure si grosse.


Spoiler:

Je ne sais toujours pas lequel d'entre nous est le plus à blâmer. {Emmy ~ Emmy_s10 By my Aaron <3
On dit que le regard est le miroire de l’Âme, regarder moi bien peut être qu'un jour vous me comprendrez
##   Sam 3 Nov 2012 - 23:09
Aaron Williams

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Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ?

HRP : Un Aaron bourré est aussi un Aaron qui psychote, tu es prévenue ~♥

Je l'observai éclater de rire suite à ma remarque sur le fait de me bourrer ou non, et j'esquissai un sourire dans le même temps. Ça faisait du bien de la voir rire comme ça, comme au bon vieux temps... Malheureusement, je ne doutais pas un seul instant de la véracité de mon propos, au final. Cette nana, je la connais comme si je l'avais fait, sérieux, c'est pas croyable. C'est pas un reproche, hein ! C'est juste... Ça me fait rire.
Puis, je repris le sujet sur la chose. La bestiole. Sa saloperie de chat, en gros. Non, je ne déteste vraiiiment pas son chat, pas du tout. Depuis toujours, je suis un aimant à ce genre de bestioles, et... Et je les déteste toutes, sans exception. Je me rappellerais toujours de ces moments embarrassants où Cassy et Ana me fixaient, clignant des yeux comme pour chasser une image brouillée, alors que je tremblais presque de peur en portant cette bête de malheur hors de ma chambre. Ma chambre, c'est mon sanctuaire. Et mon sanctuaire, il accueillait pas des boules de poils puantes, merde, quoi ! En plus, il se frottait tout le temps à moi pour avoir des câlins, et quand je voulais pas, eh ben il finissait par me griffer le bras sur toute la longueur ! Une bête féroce, bonne à balancer dans la cage d'un zoo, c'est moi qui vous l'dit.
Je la vis désigner sa chambre d'un signe de tête, et me dire :

_ Il dort comme une masse, il vient de mangé, tu ne crains rien pendant a peu près deux bonne heures.

Je poussais un soupir soulagé très peu discret, réellement heureux de ne pas pouvoir l'avoir dans les pattes.

_ Mais je peux le réveiller su tu veux lui dire bonjours.

Je pâlis quelque peu, et, secouant vivement la tête, je rétorquai du tac au tac :

–Nooon, non nonononon, c'est vraiment pas la peine, tu sais. Laisse le dormir. Plus il est loin de moi et mieux je me porte. Vraiment. Je t'assure.

Au final, je lui expliquai en vitesse que OUI ma vie était immensément banale et vide – de sens – et que NON il ne s'était absolument rien passé ces derniers mois. 'Fin sérieux, à part le fait qu'Hide-hime soit enceinte, je vois pas... Puis je sais même pas si elle est au courant pour le bébé, auquel cas je n'en parlerais pas ; je doute que notre chère Directrice apprécie que je divulgue l'information. Bah quoi, je sais être discret, moi, nan mais oh ! Faut pas croire non plus...
Je la vis néanmoins faire une tête de poisson en train de sécher hors de l'eau, et haussai un sourcil.

_ Rien, Avoir un futur master comme élève tu appelle ça rien !?

Si je n'avais pas déjà eu le mur derrière moi, j'aurais reculé encore de quelques pas, gêné. Je me contentai de dodeliner de la tête – il commencerait pas à faire chaud, par hasard ? – avec lenteur, et de hausser les épaules pendant qu'elle continuait en me remplissant à nouveau mon verre :

_ Tu a vraiment un sens de priorité étrange. Je trouve que c’est beaucoup. Avoir entrainé une jeune fille assez souvent, et de manière assez intéressé pour pouvoir prévoir de la recommander. Surtout qu’elle sera la première masters de la nouvelle génération. 

Je me raclai la gorge, embarrassé, et fixai à nouveau le fond de mon verre, comme espérant y trouver quelque chose à dire. Au final, je me contentai de le vider à nouveau, et d'avoir une grimace. Faudrait que je pense à ne pas ingérer ce genre de trucs aussi vite... Genre, c'est comme, la dernière fois, avec mon whisky coca au bar ; bah je me suis pas rendu compte tout de suite qu'y avait pas de coca dedans. L'arnaque. Enfin, après, j'avais p'tetre halluciné quand j'avais commandé un whisky coca... Je sais plus... Faudra que je demande à Antonio-chou... Même si je prévois déjà le grooos ramassage de gueule que je vais me prendre, ahah ! Ça veut rien dire, mais tant pis.

_ Ca fait de toit le premier masters à avoir mené une élève au rand de master. C’est beaucoup je trouve.

J'éternuai légèrement ; au final, ça pique le nez, cette connerie.

–J'ai rien fait, Emmy. J'ai rien fait. C'est elle qui se bat. C'est elle qui se battra.

Je refixai le fond de mon verre – vide, nooooon – avant de soupirer.

–J'ai pas envie de me battre contre elle encore une fois.

Eh ouais, la Masterisation, c'est un truc de sadique... À tous les coups, tu finis par choisir ton maître, celui qui t'a tout appris, parce que c'est un des seuls Master que tu connaisses et que tu te vois pas combattre quelqu'un d'autre. Quelle merde.

_ Ca vas de mieux en mieux. Il m’on bourré d’antibiotique pour arrêter l’infection. D’ici peu je pourrais aller voir un master guérisseur pour refermer tout ça.

Je fermai les yeux à ces paroles, serrai fort mon verre entre mes doigts tremblants. Emmy, qu'est-ce que t'avais encore foutu, comme connerie ? Pourquoi tu m'avais pas attendu ? C'est de ma faute, si tu as été blessée, parce que je t'ai pas retenue, c'est ça ? Parce que j'ai été trop con au mauvais moment ? Parce que les mauvaises choses ne me reviennent que dans les pires occasions ?
Je rouvrais les yeux, tournai la tête et les plantai dans les siens, laissant ensuite un énorme sourire se peindre sur mes lèvres, malgré mon cœur qui tambourinait douloureusement dans ma poitrine.

–Ahah ! Et toi tu te bourres la gueule ? Non mais t'as pas honte ? Donne-moi la bouteille, j'en ferais un bien meilleur usage que toi, mufufu~

Ceci dit, je m'avançai vers elle pour lui chopper la bouteille et essayer de me servir un nouveau verre.



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