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Une intercours surprenante !
##   Jeu 8 Aoû 2013 - 23:43
Ipiu Raspberry

Personnage ~
► Âge : 11/07/1995
► Doubles-comptes ? : Afya et Charlie-Ange
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Ipiu Raspberry
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Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ?
Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser !

Elle voit bien qu’il n’est pas enchanté mais il concède qu’à la limite, il pourrait envisager dans la potentialité éventuelle ou cette situation se reproduirait, de peut-être donner son numéro à elle. Elle ne peut s’empêcher un sourire ironique quand il dit que pour la défendre il y aurait peut-être plus qu’un nez de cassé, et qu’il n’hésiterait pas à l’engueuler si ça se passait mal… Un nez de cassé, pense Henrietta, ça se répare vite… Et c’est flagrant, il y a d’autres manières plus vicieuses, et intéressantes de faire passer l’envie à un homme de s’en prendre à une gamine.

Pourtant le sujet et clos. Elle ne sent pas le besoin de le reprendre la conversation. De toute manière, rien ne sert d’argumenter, et de toute manière, s’il ne le fait pas… Elle ne lui en voudra pas. Il est libre, même si ça liberté lui fait croire qu’elle est sans défense. Tant pis, tant mieux. Elle préfère laisser cette impression. A ses ennemis… Elle se rend alors compte qu’elle considère le roux comme… Son ami ?

Cette révélation lui fait écarquiller les yeux de surprise. Elle ne s’attendait pas vraiment à se lier à quelqu’un d’amitié. Pourtant c’est fait, elle sent le lien intangible qui se créé entre deux personnes quand elles deviennent proche. Ce lien qui les pousses l’une vers l’autre, à prendre des nouvelles, à se mêler de la vie l’un de l’autre. Ce lien qui fait qu’on veut en savoir plus, mais qu’on est capables de respecter les silences. Merde alors.

Elle sourit quand elle lui dit qu’elle ne craignait rien… Elle se douter que c’était une semi vérité, comme tout le monde il pouvait fondre un plomb… Et dans ces cas là, elle imaginait qu’un paratonnerre ne serait pas de trop…

Il lui fit une remarque. Il toucha juste, elle cachait tous ses sentiments. A qui pourrait-elle en parler ? Elle n’avait jamais appris à s’étaler au grand jour. Pour se donner une contenance le ouvrit la fenêtre et enjamba doucement son rebord, de manière à se retrouver assise les pieds dans le vide. Elle sourit. Balançant ses pieds dans le vide. Elle n’avait pas peur, malgré le fait qu’ils soient au second étage.

« Merci de faire attention à moi. Je sais que tu penses que tu dois me faire parler, que j’ai besoin de me libérer pour avancer… Mais je ne veux pas, je ne veux pas oublier, je veux juste continuer comme avant. Ca s’est passé, je ne peux rien y changer. Alors je vivrais avec, avancer est tout ce qui compte. »



“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
##   Sam 10 Aoû 2013 - 22:44
Anonymous
Invité

Le sujet du numéro de téléphone était maintenant fermé à tout autre idée totalement saugrenue qu'Ipiu pouvait avoir en réserve dans sa caboche car après tout je pouvais toujours les électrocuter pour leur faire comprendre qu'il faut au bout d'un moment stopper les bêtises. Elle avait l'aire tellement inoffensive comme fille alors je me demandais bien ce qu'elle pouvait faire toute seul contre deux gaillards presque comme moi, elle avait sûrement une idée derrière la tête mais bon c'était tellement dangereux et je suis sûr qu'il y avait des possibilité d'échec.

Bref ne pensons plus à ça pour le moment dehors il faisait gris mais il ne pleuvait pont ce qui était une bonne nouvelle tendis que la température de la pièce chuté lentement mais sûrement, car oui en été même si il commençait à faire froid ils n'allumaient pas les chauffage ce qui était parfois assez dommage. Adossais à la fenêtre, je m'étais tout de même tourné vers elle pour la regarder qui bizarrement avait d'un coup ouvert grand ses yeux. Par réflexe je regardais dehors au cas ou quelque chose soit arrivé mais il y avait rien d'anormal.

-Dit Ipiu ça va ? Tu te sens bien ou tu as mal quelque part ou tu as un problème ou je sais pas moi mais un truc pas bien en tout cas ?

Volonté de vouloir aider plus un, mot de Lucky Nakamura moins un car moi même je trouvais que ce que je venais de dire, ou du moin la fin de ma phrase ne voulais strictement rien dire du tout. Enfin bon pas grave elle m'avait sûrement compris elle comparé à mon cerveau qui ne servait pas à grand chose hélas dans ce genre de moment. Je reprenais quand même mon sourire pour ne pas l'inquiéter d'avantage tendis qu'elle me remercier de vouloir prendre soin d'elle tout en me disant qu'elle ne voulait pas oublier mais juste avancer vers son objectif.

-Je comprend ce que tu veux dire et de rien, mais néanmoins sache que si un jour tu as un problèmes, aussi débrouillard forte et mystérieuse sois tu, je serais quand même là pour te donner un coup de pouce d'accord ?!  

Je lui avais dit sur un ton enjoué et assez amical pour qu'elle le prenne bien et puis j'étais son père donc je devais veiller sur elle quoiqu'elle pensé bon j'éviterais tout de même l'espionnage car j'avais une total confiance en elle, et c'est pour ça que je savais par exemple qu'elle pourrait aller à la piscine sans aucun problème par exemple ou encore qu'elle pourrais se défendre assez bien du temps que j'arrive pour l'aider.
##   Dim 11 Aoû 2013 - 15:29
Ipiu Raspberry

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Ipiu Raspberry
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Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser !

On se les pelle, rentre Ipiu. Le temps s’est brusquement assombri. Cela ne présage rien de bon du tout. L’orage se prépare, mais la gymnaste refuse de bouger, elle ballance ses jambes dans le vide, elle n’a pas peur de tomber. Elle sait qu’elle ne tombera pas. N’en serait-elle pas persuadée, cela changerait-il quelque chose ? Non. Elle n’a aucune peur de tomber, elle ne lutte pas contre la mort, elle la tenterait, elle jouerait avec. Mais elle sait qu’elle ne tombera pas. Et tu ne te ferais pas mal en tombant de deux étages. lui souffle une petit voix.

Il s’embrouille. Il veut savoir si elle va bien, mais il se mélange les pinceaux, il n’est pas habitué à poser ce genre de question. Ca se voit, elle est en train de le faire changer. Elle le sent, mais est-ce en mieux ? Elle n’en sera jamais certaine, et peut-être s’en moque-t-elle. Toute interaction humaine vous fait changer de toute manière.

Elle rejoint l’intérieur de la salle avec grâce. Elle fait un passement de jambes groupées le long de son torse, d’habitude elle les aurait laissées tendues, pour donner plus d’amplitude à son mouvement mais là elle risquerait d’éborgner méchamment Lucky. Alors elle fait un geste plus technique, qui nécessite plus de forces dans les bras.  Elle est gymnaste après tout… Ou peut-être avant tout. Elle dépose un baiser sur la joue du jeune homme roux.

« Merci de t’inquiéter, je vais bien. »


Demie-vérité. Son corps fonctionne, elle n’a aucun problème moteur, son état de santé est bon. Mais elle, va-t-elle réellement bien ? Non, son esprit est troublé, son âme en deuil. Mais elle va bien.  Il lui dit qu’il sera là pour elle. Elle sourit doucement en attrapant son petit doigt, qu’elle saisit avec le sien.

« Amis pour la vie ? »


Un éclair zèbre le ciel, elle sourit et ne sursaut pas. Elle compte les secondes, 12. L'orage est à quatre kilomètres. Elle aime ça, elle trouve ça beau. Le ciel éclate et des gouttes rentrent par la fenêtre béante. Elle s'avance pour sentir ce crachin et l'air frais qui s'engouffre dans la salle et fait voler ses tresses. Elle se tient droite. Ses habits volent. Son sourire disparaît ses yeux se ferment. Elle apprécie cette sensation, de début de tempête imminent. Les longs rideaux blancs s'envolent, elle sourit sous la caresse du vent. Elle parait presque sauvage avec cet air calme au milieu du tumulte.


“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
##   Mar 13 Aoû 2013 - 20:51
Anonymous
Invité

Il commençait vraiment à faire de plus en plus froid et moi je n'avais pas pris de pull puisqu'il faisait très beau jusqu'à quatorze heures de l'après midi et là il était seize heures et il commençait à pleuvoir des cordes et à y avoir du tonnerre plus de l'aire frais. Quand à Ipiu elle se tenait dans le vide sur le rebord de la fenêtre, j'avais peur qu'elle tombe mais si ça arrivait je pouvais toujours la rattraper grasse à ma téléportation ou tout simplement en lui rattrapant les bras si j'étais à bonne distance.

En attendant moi j'étais en train d'essayer de remettre de l'ordre dans mon esprit pou pouvoir poser les bonnes questions au bon moment si possible et sans baragouiner mes phrases mais en les faisant claire, net et précis. J'essayais de réfléchir tendis qu'Ipiu rentrais dans la salle en faisant de beau mouvement de gymnastique en me frôlant presque puis elle atterrit au milieux de la salle sans tomber et indemne puis se tourna vers moi pour me remercier de m'en faire pour elle.


-Pas mal ton saut dis donc ! Et de rien c'est normal que je m'en fasse pour toi puisque tu es ma fille désormais !

Oui j'étais maintenant pleinement habitué à ce statut et n'importe qui qui me dira un truc sur ça se prendra une baffe dans la tête et c'est tout. Ipiu se rapprochait vers moi tout en souriant puis elle m'attrapa le petit doigt avec le sien tout en me posant sa fameuse question, je rougie instantanément ( DE QUOI MOI ROUGE MAIS NON PAS POSSIBLE ) et pourtant ça l'était et je lui répondais alors timidement :

-Euh...ou...oui amis pour la vie ! Si tu le veux.

La sonnerie retentit dans tout l'immeuble et me fit sursauter d'un coup car je ne savais plus vraiment ou me mettre moi avec tout ça. Nous sortions alors de la salle tranquillement et nous échangions un signe en guise d'au revoir tendis que moi je me dirigeais dans la salle de retenue pour y faire ma dernière heure qui allait me souler à mort car j'en avais marre de se surveillant fainéant et surtout j'en avais marre du regard des autres idiots qui n'avait point oublier mon acte et mon aire massacreur.
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