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Vive l'infirmerie et ses bons petits matelas douillets... [PV. Shiroi]
##   Mer 21 Aoû 2013 - 4:25
Anonymous
Invité

Mal au bras. Sérieusement mal au bras. Je déteste ça. Bordel. La prochaine fois, sincèrement. Je refais plus ça. Enfin, il n'est pas question que je dise à qui que ce soit comment j'ai pu arriver ici.
Ce sera quoi... Mon troisième passage à l'infirmerie depuis mon arrivée ici? Les deux premières fois j'étais largement plus amoché. C'était même très très moche à voir, malheureusement.

Là, ce n'est que mon bras, en piteux état. Une longue entaille assez profonde partant du coude au poignet. Mon membre me lance affreusement et j'ai une sensation de brûlure et de piqûre atroce qui en émane. Je serre les dents jusqu'à ce que j'arrive devant l'infirmière.
En plus de mon bras j'ai quelques blessures superficielles et la fatigue tombe sur moi avec force.

La jolie femme me soigne, comme il se doit. Elle nettoie au préalable la plaie, me tirant une mine de douleur, puis utilise cette incroyable magie du soin pour la refermer à son maximum. Ainsi que toutes les égratignures.
Soulagé mais nauséeux -allez savoir pourquoi mais les pouvoirs des guérisseurs me mettent toujours mal- je lui demande avec toute la gentillesse et la politesse du monde si je peux emprunter un de ses lits. Sans broncher elle me le permet.
Gentille la gosse, non?

Je trouve un lit libre, je m'y affale après avoir au préalable retiré mon imper' et je ferme un peu les yeux. Il y a un peu de monde autour mais bon... Rien de bien méchant, je crois...
##   Ven 23 Aoû 2013 - 21:05
Anonymous
Invité

L'infirmière, la rousse stupide là, est partie. Enfin ! C'était une remplaçante sans pouvoirs particulier parce que l'autre était en congé maternité d'après ce qu'elle avait dit. Bref, je m'en fou je veux l'autre, celle qui est guérisseuse !
Ah ! La voilà qui rentre, une belle jeune femme d'un jolie brun lisse et de beaux yeux vert. De longues jambes fine et une poitrine avantageuse bien proportionné.

- Bonjour Monsieur Shiroi Jigoku. Me dit-elle avec un petit sourire aux coin malicieux.

- Bonjour.

Je la fixe. Elle me fixe avec son petit air charmeuse puis elle me demande de me déshabiller. Je me déshabille, elle me regarde. Je la regarde. Elle s'approche de moi, touchant ma peau pâle sur mon torse du bout de ses doigts fin avec de beaux ongles bien dessiner, elle se penche vers moi puis... elle me soigne.
Elle me retire les bandages et autres pansements divers et variés sur mon corps, mes jambes, mon pied, puis mes bras, mon cou et enfin mon visage. Elle a les yeux brillant en me reluquant de façon très étrange.
Ensuite, elle commence à se concentré et soigner mes blessures les moins moche. Ensuite, elle soupire un peu, contente de me guérir. Elle doit avoir pitié de moi ? Elle fini enfin par s'occupé de mon œil, il me manque plus que ma main gauche à moitié calciné et charcuté de partout, on y voit même des os. Elle le guéri mais, l'ère préoccupé, elle me déclare qu'il faudra plusieurs jours avant qu'il ne guérisse.
Elle s'occupe à présent de cette fameuse main gauche. Elle la regarde et tire une petite tête triste. Elle me l'a guéri puis la rebande car elle est encore fragile et comme tout est à refaire, elle se penchera dessus un peu plus tard et me déclare de venir me reposer dans la salle à côté.

- Merci. Dis-je un peu fatigué mais content de ne plus ressemblé à une momie.

- Bon repos Shiroi ! Dit-elle en souriant avec son regard assez charmeur.

Je rentre alors dans la salle. Il y a déjà un homme dans le lit l'air non-chaland. Je me met dans le lit à côté, le regardant à peine. J'ai une sorte de bandeau de pirate blanc qui me gratte un peu. Je regarde le plafond semblable à ceux des scientifiques. Blanc, vide, juste un néon blanc qui "décor" le plafond avec seulement une légère fissure à peine visible. Il y a aussi dans le dortoir de l'infirmerie deux autres élèves. Une fillette qui à l'aire très malade vu son teint de peau et un type un peu plus vieux qui lui ne dort pas mais écoute de la musique sur son portable tactile en tapotant dessus.
Je ne peux pas dormir malgré le silence qui règne dans la salle. Comment dormir ? Je me sens physiquement mieux mais dès que je ferme un peu plus que trois secondes mes yeux je revois quelques scènes que j'avais oublié. A qui pardonner ? A qui expliquer ce que j'ai vu ? Qui donc s’intéresse à moi ? Sasuke ? J'vais le noyer. Gaetano ? Ben non, il aimerai peut-être mais quelque chose le retient. Hideko ? Elle a d'autre chats à fouettés et puis elle s'en fiche... Qui s’intéresse au final aux personnes comme moi qui on vécu dans cet enfer blanc ? Personne. Car personne ne veut savoir ce qu'il se trame. Car tout le monde à peur de subir le même sort et préfère fermé les yeux. C'est ainsi que ce monde marche.
##   Ven 27 Sep 2013 - 4:11
Anonymous
Invité

Une autre personne pénètre dans la salle un peu après moi. Il a quelques bandages, mais celui qui me frappe le plus est celui qu'il a sur l’œil. Ma première pensée est de me demander ce qu'il lui est arrivé pour être dans un tel état.
Même les plus malades de la pièce ne m'intéressent pas autant. Sans grande gêne je le fixe tandis que lui, semble cogiter tout en reluquant le néon au plafond. Je soupire. Je m'ennuie. Je vais faire la conversation, ça gênera pas grand monde, on est côtes à côtes, on pourra chuchoter.

Je me redresse, en faisant attention à ne pas appuyer sur mon pauvre bras endolorit et tourne la tête vers lui. Il semble être vraiment en grande réflexion... Ce serait con de le déranger... Raison de plus!

-Intéressant le plafond?

Je jette un coup d'oeil à celui ci avec un petit sourire narquois dessiné sur les lèvres avant de reprendre, en regardant mon interlocuteur.

-C'est pour le fun le bandage à l’œil ou tu te l'es vraiment amoché?

##   Ven 27 Sep 2013 - 11:59
Anonymous
Invité

Je haïs l'infirmerie... Si ça ne tenait qu'à moi j'aurais brûlé cette pièce. Mais notre chère directrice m'a à l’œil, elle qui voit très bien des deux. Perdu dans mes pensés, je n'ai pas tout de suite remarqué l'homme à côté de moi. En fait, j'en ai rien à faire des autres, j'suis pas là pour me faire des ami(e)s, j'en ai pas besoin.
L'inconnu me fixe d'un air intéressé, et pour entamer la conversation il commence par dire une de ces phrases que les gens disent quand il ne trouve rien d’intéressant à dire. Moi qui voulait être au calme, je me retrouve avec un bavard. Surement un crétin d'initié, étant donner que je suis encore sous l'effet du seau d'Hideko je ne sait pas différencier les êtres "normaux" et les autres.
Toujours dans la même position, je ne bouge que mes yeux noir en sa direction et me retrouve directement à le fixer. Je n'ai pas un air menaçant, en fait, j'ai l'air de... Rien. Je n'ai pas de signes distinctifs montrant mes joies, colères, frustrations... Et à vrai dire je m'en fiche totalement d'avoir un air impartial.
Je ne répond pas à sa question car après tout, à quoi bon ? Je ne vais pas lui dire : " Oui, ce plafond est très intéressant car il me rappel mon enfance. " Comme je ne répond pas, il me pose encore une question stupide. S'il m'aurais vu avant, j'lui aurait montré pour qu'il vomisse son déjeuner mais comme je n'ai rien de très choquant... Même ma main est plus trop morbide.

- Je ne parle pas aux nouveau. Dis-je simplement sans élever la voix.

Au même moment un garçon avec un bouquet de fleur entre dans la pièce, il l'est offre alors à une jeune femme. Celle-ci se réveil, tout contente. Ils s'embrasse langoureusement, ayant des visages heureux. C'est écœurant. D'un côté j'ai deux imbéciles heureux et de l'autre un petit novice trop curieux. Je vais aller pioncer ailleurs. Je m'assois puis l'infirmière rentre en déclarant d'un ton élevé : " Shiroi... Si tu bouge, je t'attache au lit ! " D'un ton sec et partiellement modéré, elle s'avance vers moi comme un général s'avancerait vers son soldat puis me regarde de haut. " Et n'embête pas les autres sinon non seulement je t'attache en plus je le scotche la bouche. " Elle retourne près des deux autres et dit l'état de santé de la jeune inconnue.

- D'abord on ne prononce pas ShiROI mais ShiROY et secondo... Je l'attrape par le bras puis l'embrasse langoureusement comme à fait le jeune homme.

J'ai déjà couché avec des filles mais jamais un baisé m'avais fait tomber amoureux. Car j'ai bien vu la jeune femme pas très rassurer de le voir mais elle avait toute contente après le baisé. Je suppose que je peux faire pareil avec elle, je l'embrasse et le tour est joué.
L'infirmière devient rouge tomate puis commence à me hurler dessus : " M-mais ça va pas ?!! Je croyais que les eau était timide, réservé et discret !! " Elle râle tout en se dirigeant vers la porte. " Ce n'est pas possible, vous ne tenez jamais en place vous !! C'est à croire que c'est la première fois que vous sortez en société ! " Le jeune couple sort discrètement, perplexe face à la situation et l'infirmière part et revient avec des menottes. Elle me fixe en disant : " Maintenant vous allez vous tenir tranquille, M.Shiroi ! " Oups... Au moins elle prononce bien mon prénom.

- Je ne pensais pas que vous seriez en colère, j'en conclue que ce n'est pas les baisés qui font que les gens s'aiment.

- Bien sur que non crétin, un mot de plus et je vous attache avec des chaînes ! Crie l'infirmière.

L'autre à côté doit bien se marrer maintenant. Pfft... Ce n'est pas grave. Elle me menotte avec un seul et l'autre est attaché au lit. C'est malin, j'ai l'air d'un chien que l'on attache à un arbre ou un poteau pour pas qu'il s'enfuit. Elle soupire puis sort ensuite de la pièce, toujours rouge pivoine. Elle laisse les clés sur une commode blanche à la porter de tous excepté de moi.
##   Mer 30 Oct 2013 - 16:35
Anonymous
Invité

- Je ne parle pas aux nouveau.

Je pouffe de rire. Il est bien culotté lui de me traiter de nouveau. Si je n'avais pas été de bonne humeur, être à ce point dédaigné et rabaissé m'aurait irrité. Mais le personnage avait un je ne sait quoi d'autant comique que pathétique qui me forçait à me montrer agréable.
Je ne dis rien. De toutes façons je n'eus pas le temps. Le couple maintenant reconstitué en face de moi est sur le point de faire des enfants... Vous gênez surtout pas les gars, je filme...

L'inconnu quant à lui décide de filer avant de se faire intercepté par une infirmière. Shiroï hein... Ça me dit quelqu... AAAAH! Un Master! Un Master je sais pas quoi, mais Master. Je me souviens d'avoir entendu ce nom dans la bouche d'Hideko avant et puis plus tard à plusieurs reprises, sans jamais avoir vu la tête de ce type. Bon, c'est fait.
Je regarde la scène, plutôt cocasse, qui se déroule devant moi et tous les autres occupants du dortoir de l'infirmerie, un sourcil levé.
Le Japon est le pays du WTF.
Terrae en est sa capitale.

Le dit Shïroi finit donc attaché à son lit, l'infirmière fuyant la pièce après cette dure besogne, le feu aux joues. Je m'assois sur le bord de mon lit, jette un coup d’œil tout autre de moi et... Éclate de rire. Si vous voyiez la tête des gens!
Je me calme rapidement et reporte mon attention sur le cas étrange, captif du lit qui m'est voisin.

-Je vais pas te mentir, collègue; tu es vraiment le cas le plus intéressant que j'ai rencontré ici en deux ans.


Je marque une pause et fixe les clés posées un peu plus loin.

-Tu sais, répondre aux gens c'est se montrer agréable... On ne sait jamais qui peut miraculeusement vous aider dans des situations désagréables.
##   Jeu 31 Oct 2013 - 13:34
Anonymous
Invité

Cloué au lit sous la contrainte, l'autre inconnu d'à côté s'assoie sur le bord de son lit en riant comme une baleine. Il se calme rapidement pour pouvoir parler sans se couper lui-même dans un fou rire. Qu'est-ce qui m'a prit d'embrasser l'infirmière ? En fait, je voulais faire une petite expérience. Mais bon, ça s'est retourné contre moi maintenant.

- Je vais pas te mentir, collègue; tu es vraiment le cas le plus intéressant que j'ai rencontré ici en deux ans.

Pardon ?! " le cas le plus intéressant " Il se fiche de moi c'est ça ? Je ne suis pas un " cas ". Il me prend pour qui lui ? Pourquoi il dit " collègue " ? Il serait donc lui aussi un master ? Comment pourrai-t-il savoir que je suis master ? Il aurait entendu parler de moi ?

- Collègue ? ... Je marque une très courte pose par un soupir puis reprend. Cas..?

Il me regarde avec un petit sourire au coin des lèvres puis regarde les clés. Il ne lui faut pas plus d'une seconde pour trouver une ide de me faire parler.

-Tu sais, répondre aux gens c'est se montrer agréable... On ne sait jamais qui peut miraculeusement vous aider dans des situations désagréables.

- Que veux-tu savoir ? Je m'assoie sur le lit, soupirant encore. Tu es bien curieux mais je te préviens, rien ne garanti que cela te sera profitable.

Je continu de le fixer dans les yeux, comme je fais habituellement à tout le monde. Bizarrement ça dérange certains que je les regarde ainsi. Lui, il a l'air de s'en foutre royalement. Mon dos appuyer contre le mur, je continu de le fixer me demandant ce qu'il peut bien avoir à me demander. De toute façon je peux bien mentir s'il me demande ce que je ne veux pas dire. Même si je dirai la vérité je me doute qu'il me croirai, rien qu'en lui disant que je n'ai jamais été à l'école et qu'un scientifique m'a tout apprit il tomberais de son lit tellement il aurai rit.

- Alors, que veux-tu savoir ?
##   Lun 16 Déc 2013 - 2:10
Anonymous
Invité

- Que veux-tu savoir ?

Il s'assied, un soupir exaspéré (?) s'échappant de sa bouche.

-Tu es bien curieux mais je te préviens, rien ne garanti que cela te sera profitable.


Je ne tiquais même pas, lui offrant plutôt un grand sourire d'enfant surexcité à l'idée de jouer au rebelle et de regarder un dessin anime interdit aux moins de 10 ans.
Assis moi aussi, mais sur le bord de mon lit, je repliais une de mes jambes vers moi, posant mon menton sur mon genoux et tapotant mon autre cuisse du bout des doigts, marquant une légère réflexion.

Shiroi me fixait et je le fixais en retour. Ses yeux étaient étranges et m'auraient presque mit mal à l'aise si je n'avais pas eu à fréquenter des toxicomanes, sociopathes et autres cas hurluberlues depuis mes 10 ans. J'en remercie le ciel, ça m'a forgé un sacré caractère.

Il reprit.

- Alors, que veux-tu savoir ?


Il semblait songeur et un peu agacé même. Mon sourire s'étira un peu et sans cesser de tapoter ma cuisse je répondis, sur un ton moqueur.

-Un cas oui. Même moi je n'aurais pas osé faire une telle chose à l'infirmière. Un main au cul tout au plus. Mais un baiser langoureux... Rien que pour ça, chapeau bas, collègue. Oh et oui, collègue.


Je marquais un temps de pause et lui tendis la main, d'un air sympathique. Oui c'est con. Essayer de faire ami-ami avec un antipathique est con. Mais je suis CON BORDEL DE COUILLES.

-Eïon Nassel. Master Feu Lunaire. J'ai envie de dire enchanté, mais je crains de ne pas avoir de retour de sympathie convenable alors, tout simplement... Ola, Shi-san.

##   Mer 18 Déc 2013 - 15:55
Anonymous
Invité

Après m'avoir parlé de mes faits concernant l'infirmière il se présente fièrement tout en avançant sa main pour que je le lui serre. " Shi-san " ? Il me prend pour son pote parce qu'il est Master aussi ? Il est exaspérant. Je m'avance vers lui, toujours mes yeux rivés sur les siens, avançant ma main. Je lui prend le poignée, le tire contre moi puis d'un coup de pied je le fait plier et enfin met sa tête sur le lit, dans un coussin pour l'étouffer à moitié.

- Ne m'appelle pas Shi-san.

Je lui lâche la tête, le laissant respirer et se remettre dans une position convenable. L'infirmière, que je n'avait pas remarqué tout de suite, à vu la scène et commence à se remettre en pétard.

- Vous n'allez vraiment pas bien !!! Laissez-le tranquille ! Vous voulez que je vous enchaîne pour que vous vous teniez à carreaux ?!!

- Dépêche-toi de me soigner sale furie. Dis-je d'un ton autoritaire.

- Pardon ?! Comment osez-vous !!

- Plus vite je serais guéri, plus vite je disparaîtrais.

Elle ne répond rien, trouvant cette idée merveilleuse d'après son visage. Elle sourit sadiquement puis repart et revient avec bandages, seringues et autres produits étranges. Je le sens mal cet arrangement... Elle se jette sur moi puis commence à sortir le tranquillisant avec un rire machiavélique. Je la pousse violemment et elle atterrit sur le Master à côté. Ils se retrouvent dans une position très osé de femme dominatrice sur sa pauvre victime mâle. Elle se relève, toute paniqué, s’excusant auprès d'Eïon au moins dix fois. Mais elle remarqua qu'elle s'est elle-même mit le tranquillisant et tombe au sol.

- V-vous... me le... Beau salaud... Je dirais à Hideko... de ne pas vous rendre vos pouvoirs... tout de suite... !

- C'est ce que l'on verra. Dis-je, soupirant. Je suis Shiroi Jigoku, Master eau lunaire sinon j'aurais prévu ce qu'il s'est passé. Il eu un temps où j'aurais eu besoin d'un Master pour une quête mais finalement, puisque personne semble se préoccuper de ce qu'il se passe là-bas, je n'ai pas du tout envie de moisir ici.
##   Sam 21 Déc 2013 - 1:33
Anonymous
Invité

[font=Times New Roman][Hrp: Je t'aime. T'as essayé de tuer Eïon. Continue comme ça <3 ]

Il avança lentement sa main et j'eus un instant l'impression que mon côté charmeur avait eu de l'effet sur lui... Bah en fait nan. Nan. Nan nan.
Il a préféré me martyriser et essayer de m'étouffer dans un p*tain de *jurons à la pelle* de coussin.

-Jmdk jdjzhea dkd ?!!

- Ne m'appelle pas Shi-san.


Il relâcha ma tête et je me relevais d'un coup, respirant un grand bol d'air. Je m'assis à côté de lui en le foudroyant du regard. J'allais répliquer mais l'infirmière, vraie harpie effrayée par l'autre Master se jeta sur lui en hurlant avec une seringue. Un tranquillisant certainement.
Vu le personnage, j'espérais qu'il y avait assez de dose pour endormir un cheval.

Je restais comme un abruti assis près de la zone de danger et me pris en pleine poire le poids de la femme qui tomba à califourchon sur moi. Je fis un grand sourire à celle-ci, suivit d'un petit "Je veux bien mais..." coupé par la centaine d'excuses qu'elle m'offrit avant de s'écrouler.
Je me relevais et me penchais légèrement pour observer de mon perchoir la femme étalée de tout son long.

- V-vous... me le... Beau salaud... Je dirais à Hideko... de ne pas vous rendre vos pouvoirs... tout de suite... !


Je arquais un sourcil. "Rendre des pouvoirs"? Je reportais mon attention sur Shiroi. Et il m'effraya légèrement à ce moment là.

- C'est ce que l'on verra. Je suis Shiroi Jigoku, Master eau lunaire sinon j'aurais prévu ce qu'il s'est passé. Il eu un temps où j'aurais eu besoin d'un Master pour une quête mais finalement, puisque personne semble se préoccuper de ce qu'il se passe là-bas, je n'ai pas du tout envie de moisir ici.


Je laissais planer un silence. Fixant le Master qui me sembla être un corps étranger à cet pièce pendant tout cet instant de réflexion. Je tournais légèrement la tête, croisant les regard effrayés des autres locataires de la salle puis soupirais.
Je souris, me levais, prit un petit temps à installer plus confortablement l'infirmière et attrapais les clés posées sur le meuble. J'avançais vers Shiroi, assez loin pour qu'il ne m'atteigne pas.

-Une quête? J'ai toujours aimé les aventures. "Là-bas"? Où?


J'ouvris les menottes et balançais la clé dans un coin de la pièce.

-Je réessaye. Eïon Nassel, Master Feu Marionnettiste. Enchanté... Shi-chan.[
/font]
##   Sam 8 Fév 2014 - 20:17
Anonymous
Invité

[ tu aimes les gens qui font du mal à ton Eïon ? =O tu vas être servis xD ]

Pendant que l'infirmière pleurniche, Eïon prend les clés et me délivre. Il se met assez loin de moi ensuite. Il a peur ? Surement. Tout en faisant son petit numéro il semble intéressé par la "quête". Je doute qu'un type comme lui ai des envies de meurtres... Il me fait : " Je réessaye. Eïon Nassel, Master Feu Marionnettiste. Enchanté... Shi-chan. " Mais il est complètement stupide ou quoi ? Je lui ai dit de ne pas m'appeler comme ça !!! Il est bouché, c'est quoi son problème ? Je vais le tuer, avec ou sans pouvoir ! Minute... marionnettiste... J'ai hais les marionnettistes... en plus il est master... Le gars chiant jusqu'au bout... J'irais lui éclater la tronche quand j'aurais récupéré mes pouvoirs. En attendant, je vais m'occuper de l'infirmière. Je la relève puis la plaque contre le mur.

- Même sans pouvoir je peux vous tuer et sans que personne ne sache que je suis le tueur car il n'y aura pas de corps. Tu disparaîtras comme un vulgaire parasite. Alors je serais toi, je me ferais toute petite et pas un mot si tu tien à ta vie.

Je la lâche et, tremblant de peur, elle incline la tête pour dire oui. Je fixe dans les yeux le Master qui semble perturbé.

- Cela vaux aussi pour toi si tu m'appel encore Shi-san. Je ne suis pas ton ami ni ton allié. Même si je suis aussi Master, cela ne justifie pas que nous sommes pareil.

L'infirmière tourne les talons et va s'asseoir à son bureau un moment pour reprendre son souffle.

- Oh hé... Pour la quête, elle est annulé. J'irai tout seul tuer tout ces scientifiques de malheur.

Je quitte le dortoir d'un regard déterminé. Quoi de plus normal, c'est le but de mon existence ici. Tuer tout les scientifiques... Si je pouvais faire un attentat suicide contre eux, je le ferais sans hésitation. Mais pour le moment, je dois retrouver mes pouvoirs et me débarrasser de cet abruti... Qu'il m'appel encore Shi-san et il va goûter le sol !
##   Sam 8 Fév 2014 - 20:38
Anonymous
Invité

[ °3° Maintenant va falloir trouver une belle épitaphe pour mettre sur la tombe d'Eïon ]

Décidément, il avait un sale caractère. Je reculais un peu plus quand il attrapa l'infirmière. Plus par réflexe que par peur. Une main sur la hanche, je regardais la scène de l'air le plus neutre possible, même si un petit sourire narquois planait sur mes lèvres. J'aime bien les types chelous. Surtout quand ils me menace de mort. Je suis un putain de masochiste.
Sauf que là, c'était pas comme avec Gaetano. C'était pas une menace en l'air et amicale. C'était pas comme les balles de Dante, tirées plus pour me faire peur que pour me toucher. Non. C'était effectivement pas mon pote. Ni mon allié. Et il faut croire qu'il me faisait un peu peur ce spécimen.
Je frissonnais quand il parla des scientifiques. C'est donc ça... Je fermais un instant les yeux, un peu soucieux. Les bruits de pas de Shi-chan c'étaient éloignés dans le couloir. Il était sortit.


Je rouvris les yeux et me dirigeais presque en courant vers l'infirmière.

-Ça va vous ?

Elle hocha timidement la tête. Encore totalement perturbée. Je lui sourit amicalement.

-Vous en faites pas. Je l'aurais pas laissé vous faire trop mal. Pour l'instant calmez vous et fermez l'infirmerie. Pour l'instant. D'accord ?

Elle hocha à nouveau la tête et souffla un "merci" du bout des lèvres. Je souris à nouveau et partis en courant dans le couloir pour rattraper l'aborigène mutant. Une idée m'avait traversée la tête et j'avais bien l'intention de tenter le coup.

Il était à quelques pas de moi. J'attrapais son bras, le bloquais grâce à mon pouvoir de marionnettiste et posais mes lèvres contre les siennes. En prenant bien soin de ne pas relâcher mon emprise. Pendant plusieurs secondes je restais ainsi avant de me décaler. Sans le libérer, je passais la langue sur mes lèvres et soupirais d'un air dépité.

-Fraise. Comment elle a pu détester ça ?

Je le libérais en restant sur mes gardes, un sourire sur les lèvres.

-C'est impoli de partir sans dire au revoir aux amis Shi-chan !
##   Sam 8 Fév 2014 - 23:19
Anonymous
Invité

[ Oh que oui, embrasser un tueur en série de scientifique, le fou O.O ]

Ce type m'énerve mais n'en parlons plus. Il est avec l'autre abrutie d'infirmière donc j'en suis débarrassé. Comment retrouver mes pouvoirs ? Bonne question... Je n'ai pas du tout envie de jouer au gentil. Mais... Il le faut bien pourtant. Je ne suis pas un doux Master obéissant à sa maîtresse vénéré Hideko. Je ne vais pas pouvoir la menacée, elle est marionnettiste... Il faut la jouer fine. Tout ça à cause de se sale rouquin de Sasuke qui m'a piégé. Une fois mes pouvoirs reprit, je vais lui rendre visite à ce renard et lui retirer sa touffe rousse ! Bref... il faut que je me calme, ce n'est pas comme ça que le seau sera brisé. Hum... Des bruits de pas... Hein ?!! Pourquoi il me prend par le...

// long moment d'absence et de gêne suivit d'un long bug avant de reprendre ses esprits, très surprit.  //

Il m'a embrassé l'enfoiré !!! Il est assez loin et... Je rêve où il m'a encore appelé " Shi-san " ?!! Je ne suis pas son ami, il va voir l'enflure à me traiter de cette façon ! Courant vite avant qu'il ne s'échappe, je ne pu me retenir de lui en coller une. Un bon gros poing ! Puis je le plaque au mur par la gorge, il est face à moi.

- Arrête ton délire tout de suite. Je te menace de mort et je le ferais, je n'ai aucune pitié pour qui que se soit.

Je le fixe, le lâche puis m'écarte. Ce boulet... Pourquoi je ne le tue pas maintenant ? C'est un Master.

- Ne t'approche plus de moi.

Je fronce les sourcils puis commence à marcher, espérant qu'il ne vienne plus m'importuner. Il a dit que ça avait le goût de la fraise... Mes lèvres ne sont pas de la fraise. Franchement, il est complètement dérangé ce type. Je le menace, il revient, je le menace de mort, il enquille de plus belle et là... manquerait plus qu'il essaie de me violer. Pff't... il le payera chère d'une manière ou d'une autre.
##   Mer 19 Fév 2014 - 19:46
Anonymous
Invité

Il avait l'air si en colère. Si plein de haine et révulsé par ce que je venais de faire. C'était un juste retour de karma pour ce qu'il avait fait à l'infirmière. J'eus un mouvement de recul quand il arriva sur moi. Il était vraiment effrayant. Son poing partit. Je faillis tendre mon bras pour l'arrêter mais le souvenir de la blessure me fit le laisser, ballant, le long de mon corps. 

Je reçu le coup sur la joue. J'entendis ma mâchoire faire crac, sans pour autant se briser. Ah ! Pas le visage abrutit ! Et merde ça fait mal !! Je sentit ses doigts se refermer sur ma gorge, mais ils ne m'étouffaient pas vraiment. Je fis la moue, un peu déboussolé et souffrant.

- Arrête ton délire tout de suite. Je te menace de mort et je le ferais, je n'ai aucune pitié pour qui que se soit.


Je souris de travers et ricane. Il me regarde. Je le regarde. Mais je suis le seul à avoir les boules.

- Ne t'approche plus de moi.


Je ricanais un peu plus fort en le regardant partir. Je passais les doigts sur mon cou et ma joue douloureuse. Je marchais lentement derrière lui. Puis hurlais presque, mais fermement.

-Arrêtes toi Shi-chan !

Pas de réactions. Bon... Je vais utiliser la manière forte. J'ai décidé qu'il rentrerait dans mon carnet d'adresse et qu'il irait faire des excuses à la madame l'infirmière. Mongole va. Arrêtes toi.

-STOP ! DROIT DEVANT !

Un mur de flammes s'éleva en face de lui. Serein je levais un sourcil et sourit d'un air narquois à Shiroi.
##   Sam 22 Fév 2014 - 11:46
Anonymous
Invité

Alors que je vais faire ma petite vie tranquille en pensant à voler quelque chose à manger un mur de flamme se met devant moi. Encore l'autre abruti qui continu de me tourner autour comme un satellite. Il n'a vraiment rien d'autre à faire ? Si j'aurais encore mes pouvoirs je me parerais de glace pour contrer le feu mais comme j'ai l'immense poisse d'être tombé sur le renard ceci ne va pas être possible. Je me retourne en soupirant, le fixant.

- Franchement, j'ai connu des cafards moins récurant que toi.

Et je ne pèse pas mes mots, j'ai réellement connus des cafards moins collant que lui. On dirait un vieux chewing-gum collé en-dessus de ma chaussure. Depuis le début il veut sympathiser avec moi, que cherche t-il ? En plus il continu avec ce surnom " Shi-san ", il cherche à m'énerver encore plus ? Je l'aurais tailler en pièce si j'aurais encore mes pouvoirs.

- Que veux-tu ?

Il cherche forcément quelque chose. Son baisé, c'est pour me faire pareil qu'à l'infirmière ? Il défend cette furie ? Le baisé en soit était agréable venant de lui mais si c'est pour m'apprendre que l'on embrasse pas les gens comme ça, j'ai comprit.
##   Sam 22 Fév 2014 - 14:37
Anonymous
Invité

Il s'était finalement arrêté et peut-être calmé, qui sait ? Je laissais tomber le mur de feu tout en me rapprochant de lui. Je souris amicalement à Shiroi et sortis, du tac au tac, sans prendre de pause pour respirer:

-Oh je ne suis même plus  un cafard à ce niveau là, vraiment. J'ai décidé que tu entrerais dans mon carnet d'adresse, même si je dois recevoir des milliers de menaces de mort et deux-trois uppercut. Et puis tu as des excuses à aller faire à une infirmière que tu as sans doutes traumatisée et pour finir, ce truc de scientifiques, c'est quoi exactement ?

Je me savais très curieux et j'espérais qu'il le comprendrait. Je n'allais absolument pas le lâcher sans avoir d'informations ou avoir été mis K-O. Mais il n'avait pas encore sérieusement frappé. Du moins avec ses pouvoirs, alors soit il menaçait pour le vent soit... Je souris à la seconde idée et décidais de poser une seconde question:

-Et si tu as tant envie que ça de te débarrasser de moi -ou de me tuer- pourquoi ne le fais tu pas ?
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Vive l'infirmerie et ses bons petits matelas douillets... [PV. Shiroi]

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