Sous cette nuit étoilée je me tenais là, juste après le grand portail imposant. Avais-je fait le bon choix? Je lève mon regard vers le ciel et observe la lune d'un air nostalgique. Alors que j'hésite et que mes souvenirs ainsi qui mes émotions se mélangent, quelque chose de légèrement râpeux et baveux vient se poser sur une de mes mains; c'est Asa s'est sûr ma tigresse blanche toujours à côté de moi - elle me suivra toujours cette tigresse rien ne la retiendra s'est certain-. Je baisse mon visage et l'observe. Comme à son habitude elle essaye de me consoler sans arriver à un résultat concluant... Mine de rien, je lui donne une petite caresse et s'est en ronronnant qu'elle exprime sa bonne humeur. Le son du vent dans les feuilles me fait relever le visage. J'observe, comme à mon habitude, et écoute chaque son. Le vent passe dans mes cheveux d'une bleue nuit et frôle ma peau pareille à la lune. Je pose la paume de ma main sur mon œil gauche; la douleur est toujours autant présente et ne semble pas vouloirs s'effacer. Cette cicatrice restera pour toujours je le sais et elle renfermera pour l'éternité mon aine....

Je suis un prince et pourtant je semble l'avoir oublié avec l’incident meurtrier. Les médias parlent de vengeance, qu'ils ont retrouvé tous les corps morts mise à part celui du successeur, c'est-à-dire moi. Selon les journaux ou autres, ma disparition serait due aux criminels qui m'auraient enlevé avec eux et pris en otage mais cela semble faux puisque je suis là en ce moment.

Soudainement, je vois au loin quelqu'un s'approcher et j'enlève promptement ma main qui cache mon œil. De mais yeux bleu marine habitués à la nuit j'observe. Je suis obligé, s'est devenu habituelle chez moi, de me méfier de tout. D'ailleurs, Asa grogne à mes côtés, légèrement, retroussant ses babines mais reste à mes côtés. La silhouette devint peu à peu humaine et laissa apparaître une jeune fille. Que faisait-elle là, en pleine nuit? Il se méfia tel un lion devant son pire prédateur: l'homme. Cette jeune fille avait toute l'air sympathique et elle semblait venir d'ici vu son habillement, pareille au sien bien que moi précieuse et chère au niveau des tissus choisi. Voilà qu'elle me parle, j'aurais dû partir et l'ignoré mais maintenant s'étais trop tard. Pour une raison qui m'était inconnue je ne pus répondre ou dire quoique se soit et une soudaine angoisse me prix... Combien de temps je n'avais pas parlés à quelqu'un? Asa, qui était caché derrière mes vêtements apparus, montrant son visage à celle qui venait de me parler. Elle se positionna devant moi en position d'attaque. Elle aussi se méfier des autres car elle savait se que je ressentais à ce moment... Elle était en quelque sorte liée à moi.

Alors que je m'approche un peu plus de lui, je distingue près de cet inconnu une autre forme de vie. Je ne le distingue pas très bien... On dirait un tigre. Mais, ici, un tigre ce n'est pas possible ! Et pourtant, celui-ci grogne et me fixe intensément. On dirait un chien protégeant son maître, comme si tout les autres étaient dangereux. Le jeune homme ne répond rien, cachant à moitié son visage. Il a peut-être peur de l'inconnu ? Qui sait ? Je ne m'approche plus, pour ne pas effrayer plus que ça la bête sur ses gardes.

- Tu dois sûrement avoir pleins de questions sur ce drôle d'endroit n'est-ce pas ? Il est sûr que tu ne le vois pas sous son meilleur jour, la nuit avec cet aspect sinistre... Mais j'espère que tu vas te plaire ici.

Je ne m'attend pas à une réponse, je souris seulement, ne faisant pas de mouvements brusques. Il faut qu'il sache la plupart des choses ici, même s'il est un solitaire, cela pourra l'aider peut-être à s'ouvrir. Je parle bien sûr de la curiosité. Peut-être serait-il bon aussi de le rassurer ?

- Je vais te demander de me suivre, tu dois être fatigué vu l'heure qu'il est... Tu n'as pas à me craindre au contraire, je suis une guérisseuse au cas où tu en aurais besoin. Faire du mal aux autres est contraire à notre message. Terrae est un institut pour la paix. La paix avec soie mais aussi l'évolution. Terrae te protégeras pour qu'à ton tour tu puisses protéger. D'ailleurs, ce n'est pas qu'un institut mais aussi une école et un foyer. Alors, avec tout ça, à part de l'inconnu qui se trouve devant-toi, de quoi tu aurais peur ?

Je lui sourit, sincèrement et avec tendresse avant de me retourner, regardant le bâtiment avec fierté.

- Bien, je vais te conduire aux dortoirs par contre je ne sais où peut aller ton tigre... Je ne suis pas sûr qu'il est permis dans l'institut il ferait peur aux élèves et il aurait tout aussi peur. Comme nous sommes en pleine nuit il est impossible de demander à la directrice...

Je réfléchis donc à une solution car j'imagine qu'il ne veut pas se séparer de son animal. Comme c'est embêtant... Comment faire alors ? Là me vient l'impensable idée de l'introduire dans ma chambre. Il est vrai que comme ça le tigre ne posera pas de soucis de peur mutuel mais je ne suis pas sûr qu'il apprécierait être dans une toute petite chambre. Normalement les tigres sont des animaux sauvages, il aurait horreur d'être enfermé là. Je me tourne vers lui, un peu embêté.

- Alors là, avec ton pauvre tigre je suis bien embêté...

J'écoutais mais mon esprit divagua vers une autre pensée; et ci ce que j'ai pu faire cette dernière année se reproduisait? Il y avait surement des adultes ici... Je crains le pire, je pouvais être possédé par ma haine et ne pas voir ce que je ferais. Je sers mes deux points, je ne l'écoute plus, je me torture moi-même concernant ma peur et ma haine. J'ai appris l'art du combat... mieux que qui conque ici présent surement... Je pourrais ôter la vie de quelqu'un si je ne me retins pas. "Rin, arrête de penser à ça... Calme-toi..." Je soupire intérieurement et je décontracte légèrement mes muscles tout en rouvrant mes yeux jusqu'à présent fermé. Mon œil gauche me dérangeait encore... Je n'avais pas encore suffisamment l'habitude de ne voir presque plus rien. Il était d'ailleurs devenu d'un bleu glacial presque blanc et ma cicatrise indélébile semblait encore me faire mal. Je regarde le bâtiment en fasse et s'est en donnant une petite tape sur le flanc d'Asa - qui se calma peu à peu - que je répondis enfin de ma voix pareille à la rivière, suave et sérieuse à la fois, digne de roi.

- Asa est courageuse, elle n'a pas peur et restera avec moi...

J'avais comme lu dans les pensées de cette jeune fille mais enfin, plutôt deviné. Je ne savais ce qu'il m'attendait plus loin j'avais peur de l'inconnu mais je savais qu'il fallait un jour ou l'autre avancer. Je fis un pas puis un autre, montrant que j'étais prêt à commencer une nouvelle vie, ou plutôt essayer. Tout ce qui s'était passé était trop et à jamais cette peur restera en moi.

- Asa est courageuse, elle n'a pas peur et restera avec moi...

Ce n'est pas vraiment la réponse que je voulais mais au moins j'aurais entendu le son de sa voix. Bon, si ça ne dérange pas sa tigresse de rester enfermé pour être avec son maître alors pour cette nuit je veux bien l'inviter dans ma chambre. Comme ça il ne fera peur à personne et ne les réveillerons pas. Je pense que c'est la bonne solution pour lui et pour Asa. Je me demande pourquoi il cache toujours autant son visage, peut-être une blessure ? Je peux les guérir moi, les blessures.

- Evidemment qu'elle restera avec toi, sinon elle sera malheureuse toute seule. Ce soir, tu dormiras chez moi sinon tu vas réveiller les autres et demain nous trouverons une solution pour vous deux. Rassure-toi, je t'épargne cette nuit la vie dans les dortoirs ! Si tu as des questions au sujet de Terrae, je te répondrais avec la plus grande honnêteté.

Je marche alors, vu qu'il avance lui aussi en direction de l'établissement. J'ouvre ainsi la porte d'entrée avec fierté et assurance. Je le conduit dans ma chambre, bien sûr, c'est à l'étage donc on va devoir se taper les escaliers. Je regarde derrière-moi, veillant à ce qu'ils me suivent. Ce garçon n'est décidément pas bavard, bien sûr qu'il a un passé monstrueux comme nous tous ici mais pas tout le monde n'est renfermé sur lui-même. Vu ses habits, il ne doit pas être quelqu'un de pauvre bien au contraire. J'ai déjà vu ces sortes de vêtements quelque part, surement dans une boutique de luxe. Il est donc de la haute ou peut-être qu'il l'était, je ne peux que supposer.

- Durant toute ta vie sur Terrae tu vas rencontrer des personnes comme toi, tout le monde ressent un vide ici. Oh, pas tout le monde, le personnel de l'établissement ça dépend et il y a aussi les Master. Les Masters ont comblés leur vides, eux, en principe...

Je me tourne vers lui, lui tendant la main une fois arrivé en haut, dans les chambres d'étoiles airs avec un sourire aux lèvres, quoi qu'un peu triste.

- Nous avons tous connus une histoire digne des plus grandes tragédies pour la quasi-totalité. Nous ne sommes pas tes ennemis et chacun réagit à sa manière pour essayer de combler son vide. Pour la plupart c'est la vengeance mais ce n'est pas la bonne solution. En venant ici, tu as franchit une grande étape dans le comblement de ton vide car c'est ici qu'il y a de l'espoir.

Je la suivais sans vraiment prêter une attention particulière à ce qu’elle disait, je me contentais plutôt s’observaient les lieux tout en marchant. Asa était parfaitement calme par rapport au moi. Contrairement à ce que l'on pouvait voir d’apparence, j'avais une peur bleue et ma main, je le savais, pouvait à tout moment sortir la chose fatale si j'avais soudainement peur ou si je voyais de travers quelqu'un en pensant que c'était une autre personne. Je ne pouvais me séparer de ça, elle était toujours là, a ma jambe... Elle n'était pas seule en plus... Enfin arrivé, je prêtai attention à ce qu'elle disait.

- Nous avons tous connus une histoire digne des plus grandes tragédies pour la quasi-totalité. Nous ne sommes pas tes ennemis et chacun réagit à sa manière pour essayer de combler son vide. Pour la plupart c'est la vengeance mais ce n'est pas la bonne solution. En venant ici, tu as franchit une grande étape dans le comblement de ton vide car c'est ici qu'il y a de l'espoir.

Un mot me resta en esprit: la vengeance... Ça l'était en grande partie pour moi et j'avais peur de faire une fausse manipulation, comme je l'avais pu faire ces quelques années. S'étaient tous des personnes innocentes mais l’accident qui m'avait troublé m'avait complètement changé.
Je la vois me tendre la main je ne sais pas si je dois la prendre ou non. Je décide de faire autre chose en arquant un très léger sourire.

-Merci.

- Merci.

Il ne me serre pas la main ? Bon... Au moins il a sourit c'est déjà ça. Je me retourne donc et va en direction de ma chambre. On est pas beaucoup à être étoile air et d'ailleurs, l'une des étoiles guérisseurs va passer Master. C'est une bonne chose, nous qui n'avons pas de Master air. Elle en sera la première et pourra alors nous représenter, nous la minorité d'air. Si encore on était égaux : autant de air lunaire que air solaire mais même pas. Les air solaire sont bien plus petite minorité encore. J'espère que cette personne qui va devenir Master sera air guérisseur comme ça je pourrais parler de mon problème avec la Masterisation.
Ah, nous y voilà, mon petit chez moi bien rangé. Je déverrouille la porte puis l'ouvre avant d'entrer. Une fois qu'il a pénétré ma chambre avec son "animal de compagnie" j'allume les lumières puis je referme derrière-moi en verrouillant par la suite.

- Voilà, ici c'est mon petit loft.

J'enlève mes chaussures puis une fois qu'il fait de même, je lui fait la petite visite rapide des lieux. Un petit salon où règne le canapé-lit, puis je lui présente à sa gauche la salle de bain qui comporte aussi les toilettes puis la grande porte coulissante que je lui désigne ensuite c'est ma chambre. Tout du style asiatique, un mélange d'ancien et de moderne. J'ouvre la porte de ma chambre, allume la lumière pour lui montrer car c'est ici qu'il va dormir cette nuit. Oui, pour des raisons évidente, c'est plus pratique qu'il dorme ici car je n'ai plus rien au mini-frigo alors il va falloir faire des courses donc je ne veux pas le réveiller.

- Tu vas dormir ici, je vais juste changer les draps.

C'est un lit une place un peu élevé, je me suis inspiré des lits moderne au lieux de dormir à même le sol. Il y a assez de place à gauche pour que Asa se couche à côté du lit près de son maître. Je tourne ma tête devant-lui et remarques des tâches sur son visage. Hum... Non, on dirait plutôt des marques... Des marques de brûlures ?! Vaut mieux ne rien dire à ce sujet, je sens que c'est un point sensible. Je fais donc le lit pour qu'il y dorme. Une fois fait, je lui sourit.

- Voilà, pour les habits je suis désolé mais je n'ai pas grand chose d'approprié pour toi. Je vais préparer tes affaires pour te laver, fait comme chez toi.

Je file donc dans la salle de bain. Le pauvre, ces brûlures doivent vraiment lui faire mal... J'aimerais bien savoir si je peux guérir cela ? Après tout je suis une guérisseuse mais je n'ai jamais soigné les brûlures. C'est tellement triste... Si jeune et déjà il connait un grand malheur. Voilà, je lui ai mit une serviette et un gans de toilette. Je reviens vers lui, toujours avec le sourire.

- Si tu veux te laver maintenant tu peux, on est prêt de l'ascenseur pour handicapé donc tu ne réveilleras personne. Tu as faim ?

Ah, il a faim, c'est plutôt bon signe ! Je lui sourit tout en allant voir dans le frigo si j'ai quelque chose pour eux deux. Hum... J'ai un poisson encore frais mais encore entier et il me reste les sushis que j'avais préparé. Je les sors donc du frigo pour les poser sur la table, j'ouvre le tiroir, prend une paire de baguette puis la pose du la table à côté des sushis. Je met le poisson dans une grande assiette puis la pose à côté des sushis.

- J'ai un poisson pour Asa et pour toi il me reste quelques sushis, serre-toi.

Je me prend juste un verre d'eau, on est tout de même la nuit j'ai sommeil. J'aurais bien aimé aller chez Aïsu mais c'est mission impossible, j'irais surement demain. Je baille discrètement.

- Demain je te laisserais à l'intendance pour ton lion, tu vas peut-être avoir une chambre d'initié pour pas paniquer les élèves dans les dortoirs. Je suppose que la laisser dehors est impossible et je serais aussi contre, elle serait malheureuse loin de toi sinon...

J'attend donc qu'ils finissent de manger tout les deux, en attendant je fais mon lit, dépliant le canapé. Je sens que demain je vais dormir en cours, je ferais un mot d'absence pour le matin, j'irais que l'après-midi. J'ai aussi à le déposer heu... Comment se nomme-t-il ce garçon ?

- Ah et heu... Quel est ton nom ?

Rin, un joli nom bien japonais. Pauvre Rin avec cette marque de brûlure... Je ne sais pas si je peux y faire grand chose, je n'ai jamais eu à guérir ça. En général, les brûlés viennent bien avant que ça ai ce résultat.

- Enchanté Rin.

Je lui sourit puis lui présente la salle de bain et prépare une serviette et un gant de toilette.

- Je suppose qu'une bonne douche ne sera pas de refus !

Là me vient à l'esprit qu'Asa aussi doit être toute sale. Je la regarde, elle est son grand gabarie puis tourne ma tête vers la douche. Je plisse le nez, un peu comme une demi-grimace qui se dessine sur mon visage. " Rentrer un tigre dans une douche, quel idée ! " me dis-je intérieurement. Même les étoilés n'ont pas forcément de baignoire et je n'en ai pas. Peut-être la baignoire était-elle trop vieille et ont voulu l'enlever pour y mettre une douche ? Ce n'est pas grave, j'ai pu mettre, comme ça, un lave-lingue qui fait sèche-linge aussi et ça, pas tout le monde en a ! Ils sont obligé de laver leur vêtements plus loin. Donc, au final c'est un mal pour un bien. Je ne peux pas me relaxer dans une baignoire mais je gagne du temps !

- Il y a une rivière pas loin où vous pouvez laver Asa tranquillement sans que personne ne vous pose de question, c'est dans la forêt. Il y a un plan vers le panneau d'affichage ou à l'intendance.

Je baille, fatigué par la journée qu'étais hier d'après l'heure. Quatre heures du matin, j'allais rendre visite à Aïsurendo à cette heure-là... Qu'est-ce qui m'a pris ?! Je prépare mes habits pour demain matin et mon pyjama quand il sera couché. D'ailleurs, je dois avoir peut-être quelque chose pour lui ? Il me semble avoir pris par erreur un kimono léger à mon beau-père... Voyons dans l'armoire ce que j'en ai fais... Ah ! Le voilà !

- Tenez, vous pourrez porter ça pour vêtement si vous le voulez. Il est un peu grand mais vous grandirez ! Je ne sais pas quoi en faire et jeter un tel travail fait-main me brise le cœur !

( Coucou ! Je te laisse clore le rp ;D si tu veux un autre rp avec mes autres perso n'hésite pas mais se sera après l'Event ! Bisou <3 )

- Bien sûr, je ne peux pas la porter, c'est un habit masculin et je n'oserais jamais le vendre, il est bien trop précieux.

Je lui sourit gaiement, ouvrant la porte de ma chambre. Je lui explique que demain je dois aller bosser à l'infirmerie car je suis des cours particuliers. Je lui demande de rester ici jusqu'à midi où après manger nous irons voir à l'accueil avec sa valise et Asa. Là, une décision sera prise, j'espère qu'il aura une chambre pour lui et Asa. Nous allons donc dormir chacun de notre côté. Une fois qu'il est rentrée dans sa chambre je ne déshabille, me met en pyjama puis je vais me coucher.


Ah ! Il est midi ! J'ai pris des nouilles au poulet pour manger. J'espère qu'il aimera ça... J'en ferais un bon ramen. J'ai pris pour sa tigresse des sardines, trois sardines. Me voilà rentrée. Le voilà aussi, je lui dit bonjour puis lui déclare ce que l'on va manger ce midi. Je sors le wok puis commence à cuisiner.

- J'ai aussi du poisson frais pour Asa, juste dans se sac-là. Si tu veux je peux lui préparer à moins qu'elle préfère comme ça.

J'aime bien cuisiner, je trouve ça agréable et j'apprend plein de recettes. J'aimerais bien cuisiner pour Aïsurendo... Ah, enfin prêt. Je met ensuite la table puis nous sert tout les trois.

- Bon appétit.

Hum... On a bien mangé, je suis fière de moi ça doit être vraiment bon pour qu'il mange tout. Il récupère ensuite sa valise pendant que je fais la vaisselle. Nous partons ensuite pour l'accueil. Une fois arrivé, on salut la demoiselle puis lui expose notre soucis. Elle comprend et ne tarde pas vite à lui céder une chambre dans la tour Air. Surement parce qu'on est les plus calmes avec les eaux.

- Bon, et bien c'est le moment de nous quitter, bonne chance pour la suite de ce que tu cherches. J'ai été ravis de te rencontrer Rin, à bientôt peut-être !

On se salut alors convenablement puis je le laisse à la dame de l'accueil lui présenter les chambres pour homme air. De mon côté je vais poursuivre mon chemin moi aussi, infirmerie me voilà.