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Pleures, tu pisseras moins. Si tu crèves j'te tue. [Ronron]
##   Dim 26 Juil 2015 - 23:05
Ipiu Raspberry

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Ipiu Raspberry
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Dis Toumaï ? On fout quoi ici. Tu attends quoi de lui ? Tu voulais quoi en restant ? Tant de questions sans réponses. Je crois que les réponses ne m'intéressent pas, elles me lassent déjà. Sérieux t'étais venue pour dire bonjour à Bloby, ensuite t'as ramassé Aaron, ensuite tu l'as fait chier, ensuite tu es partie, ou du moins tu as essayé, ensuite tu es revenu parce que tu as compris, ensuite tu lui as fait penser à autre chose, violemment. T'as payé les pots cassés et tu fais partie des dégâts collatéraux.  Je ne poserais qu'une question: et maintenant quoi ?
Maintenant il est sur le point de te coller le sien dans la gueule. Tu as je ne sais comment réussi à lui faire oublier la raison princeps qui avait déclenché sa douleur. Tu es trop douée pour ton propre bien. Énervé et autre chose. Fatigué et lassé de tes conneries sans doute. Tout comme nous le sommes toutes. Dire des bêtises te pompe l'air et surtout de l'énergie.
Faire la folle n'est pas dans notre nature. Toutes nous étions solitaires. Pourtant aujourd'hui nous jouons ce rôle un peu bizarre de la bonne copine. Celle qu'est sympa et rigolote. Celle qui a tellement de connaissances qu'elle n'a pas d'amis. En vrai tu n'en veux pas des amis c'est cela ? Tu m'épuises.

J'écoute avec attention ce que ma dit le Master. J'aimerais bien comprendre comment il est devenu si borné qu'il ne s'écoute même plus ! Sérieusement j'imagine qu'on se sait trop hypocrites l'un l'autre pour se donner des conseil. "Faites ce que je dis pas ce que je fais." Ça nous résume assez bien. Alors j'essaie de comprendre un peu plus ce qu'il s'est passé avec Damian. Oui je connais son prénom, j'ai un peu (beaucoup) fait de recherches lors de mon arrivée ici dans le dos d'Ipiu. La pauvre elle était persuadée que l'histoire japonaise la barbait tellement qu’elle s'endormait dès qu'elle l'étudiant. Elle était si candide.

" T'as raison, les blonds ont toujours un petit truc sexy. Hitler l'avait bien compris. On ne peut pas se tromper sur tout. "


Oh my God(win)... Bon j'ai déjà parlé de mon humour noir ? Bon voilà. Même moi j'en suis pas fière. C'est écoeurant et foutument drôle à mes yeux. Au pire j'encule la bienséance à sec. Quoi j'ai un putain de vocabulaire qui m'écorche la gueule ? Mais nan, je suis une demoiselle des mieux éduquée.

Donc t'as envie de changer de sujets totalement ? Tu crois que je ne vais pas m'en apercevoir. Désolée chéri mais c'est moi qui ait inventé cette technique de détournement d'attention. On me la fait pas. Juste que.

"Chiche ! Allez je vais prendre le gage, regarde à la fenêtre tu vas voir je suis un bonhomme moi !"


Allez je ne lui laisse pas le temps de changer d'idée (genre le dégage Ipiu), la porte claque, je dévale les escaliers avant de les remonter en mode furie. Il me faut un truc genre écharpe ou cravate pour m'attacher la jambe... Sinon ce n'est pas drôle, je pique donc une cravate dans le panier à linge... Et repart aussi sec. j'attends de le voir apparaître à la fenêtre avant de me lancer. Sous ses yeux je noue ma jambe de telle sorte que je ne puisse la poser au sol. C'est le moment où jamais d'utiliser mon savoir en BDSM non ?
Ceci étant fait je par en un cloche pied parfait. Très équilibré et rapide. Je vous ai déjà dit que Ipiu était une très bonne gymnaste ? Elle avait de qui tenir !
Enfin, je dois avouer que lorsque je me retrouve dans l'angle mort de la fenêtre je retirerais bien mon lien pour courir discretos. Ipiu m'en empêche. Ce n'est pas bien qu'elle me dit. C'est un peu pour ça que j'ai fait un noeuds si complexe, si je prends le temps de le défaire et de le refaire ça se verra niveau temps. Allez soit régulière tu peux le faire Henri. Courage.
Putain les derniers sauts me tuent, pour la première fois j'envie les teleporteurs. Je suis en nage, il est plus grand qu'il n'en a l'air cet immeuble !  Enfin là ligne d'arrivée. Je me laisse tomber sur le trottoir. Boudu. C'est plus crevant que ce que je pensais. Je ne suis pas une machine ou une sur humaine ! Je sais juste choisir la meilleure méthode pour ne pas dépenser mon énergie...
Je m'assoie/tombe relativement gracieusement sur le trottoir et essaye de dénouer le lien qui emprisonne ma jambe. Hum. On a un problème. Je ne fais que essayer. La cravate refuse de bouger.

"RONRON TU M'APPORTES DES CISEAUX S'IL TE PLAÎT ?"


Le s'il te plaît c'est vraiment par politesse... Parce-que si il ne le fait pas je suis cap de gueuler jusqu'à ce qu'un de ses voisins vienne me délivrer... Mais chut  !


“- A qui la nuit fait-elle peur ?
- A ceux qui attendent le jour pour voir.”
― Pierre Bottero, Ellana
##   Mer 5 Aoû 2015 - 23:22
Aaron Williams

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Aaron Williams
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Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ?

Ipiu semble prendre conscience qu'elle dit un peu de la merde, parfois, de temps en temps. Que les questions qu'elle pose pour me faire oublier la situation – ou plutôt la cause de cette situation – ne sont pas forcément les bonnes à poser, et tout simplement que je n'ai pas envie de me prendre la tête à penser à ça. Pourtant, j'ai une moue pensive en reposant ma tête contre mon bras, lui-même appuyé sur l'accoudoir. Pendant un moment, je regrette de ne pas être seul et de ne pas pouvoir fermer les yeux pour songer à tout ça. À Dam, à Gae. J'me rends bien compte que la situation est plutôt similaire, et c'est ce qui me fait reculer. C'est ce qui m'effraie. Est-ce qu'on ne pourrait pas être heureux pour autant ? Je saurais pas tellement dire. Pour le moment j'préfère encore faire comme si de rien n'était. Me dire qu'il y a rien. Parce que c'est tellement plus simple de cette manière. Que j'ai pas besoin d'imaginer dans quel état je serais si ça se termine comme ça s'est précédemment terminé, y a sept ans. Bientôt huit, en fait. Putain. Je suis vieux, hein…

Un rire m'échappe néanmoins. C'est clair que les blonds sont sexy. C'est mon dada, j'y peux rien. J'aime bien. C'est des conneries et je le sais, mais ils ont toujours l'air lumineux. C'est pas comme moi, qui ai le physique typique du mec banal à en crever. Est-ce que c'est bien, d'être banal ? Je sais même pas…

- T'es vache. Puis arrête de te la péter, blondasse.

Moi, je suis toujours sympa. J'me venge un peu, différemment, à ma manière. On dirait pas comme ça, mais ça a le mérite de plus me faire rigoler qu'autre chose. Elle me doit bien ça, nan ? Elle semble se dire que oui, puisqu'elle me prend au mot quand je lui dis d'aller faire le tour à cloche-pied de l'immeuble. Mon sourcil se hausse et un sourire en coin se dessine sur mes lèvres. Elle est sérieuse… Ah bah ouais… Elle se lève et je rigole, sans l'en empêcher. J'ai trop envie de voir ça pour lui dire de pas le faire, attendez. Puis ça me fera cinq minutes de paix. Ipiu descend… puis remonte presque en courant et je garde mon sourire en coin.

- Besoin d'aide ? je me moque, avant de la voir repartir en sens inverse avec… Hé mais c'est une de mes cravates !

Pas le temps de répondre, elle est de nouveau plus dans l'appart'. Un silence s'étire et je soupire, avant de me dégager de mes couvertures comme le vieux papy que je suis, et me traîne jusqu'à une fenêtre. Sourcil haussé, je l'ouvre et m'appuie à celle-ci en l'observant faire. Je garde un sourire de façade, suivant sa course en rigolant à demi, et lorsqu'elle disparaît, je reste à fixer la rue illuminée par les lampadaires sans rien dire. En essayant de ne pas penser à tout ce qu'on vient de se dire. Mes yeux se ferment, durant un temps. J'hésite à repartir me coucher et l'abandonner dehors. Pas que ce serait bien fait. Mais je sais pas. Ça me ferait p'tetre du bien. Ou peut-être pas du tout. Je sais pas si j'ai envie d'être seul ou non, ce soir.

Ipiu finit par réapparaître, et je souffle en voyant qu'elle galère. Elle l'a fait en plus cette conne. Un sourire s'étire à nouveau sur mes lèvres. Elle est complètement folle.

- Bravo, Piu. Tu as tout mon respect, je lance, pas trop fort pour pas déranger les voisins.

Elle n'a pas cette délicatesse. Je roule des yeux et siffle quand elle essaie, vainement, de défaire le nœud :

- Crève ! Si tu pètes ma cravate je te la fais bouffer !

En râlant, je m'éloigne de la fenêtre et chopes un critérium sur mon bureau. J'ignore mon ordinateur qui me fait des appels de phare en mode viens me faire un câlin, roule des yeux et attrape mes clés. Inutile, je sais. Vos gueules.

Je descends les escaliers et arrivé en bas, je m'accroupis à côté de la sensitive pour essayer de glisser le bout du critérium dans le nœud. Ouais, j'ai espoir d'y arriver avec je sais pas combien de grammes encore présents dans le sang, la gueule défoncée et une habilité habituelle de hamster trisomique, alors qu'elle n'y est pas parvenue, mais voilà. Laissez-moi croire que ma cravate sera pas morte d'ici quelques minutes, j'y tiens à cette merde.

- Bon, tu pourrais m'aider, là.

Mauvaise foi bonsoir.



Aaron vit en #E5882A.
Louisa danse en #78AB3F.


Un peu d'amour ♥:
##   Lun 17 Aoû 2015 - 17:52
Ipiu Raspberry

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Ipiu Raspberry
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« Blondasse ? Je désapprouve et nie ardemment ! Où t’as vu un blond terne ? T’as d’la merde dans les yeux pour n’pas voir l’or de mes cheveux cascader joyeusement sur mes épaules ? »

Là j’me la pette totalement. J’abuse et c’est absurde, la couleur naturelle de mes cheveux est bien celle que j’ai le moins souvent porté dans ma vie, on observe encore d’ailleurs des reflets roux au soleil. Comme quoi ma mission chez les scientifiques m’avait marquée. J’ai l’estomac qui se serre et une grande envie de vomir rien qu’à cette évocation… Et pourtant pour une fois ce n’est pas à cause de mes actions mais bien celles d’autrui. Comme quoi, tout est possible en ce bas monde.
Surtout le pire et l’immonde, faut croire. Quand j’pense une sombre connerie, un truc dégueulasse j’suis presque sûre que ça a déjà été tenté et qu’en se donnant un peu la peine de chercher j’en trouverais une vidéo sur 4chan. Quand j’pense un truc utile, intelligent doux… J’peux imaginer que ça a été pensé mais rarement j’me dis que ça a été réalisé comme quoi. Appelez-moi pessimiste, je me sens malheureusement trop réaliste. Pourquoi j’pense à ça soudainement ? Faut croire que je suis pas si dure que j’le laisse voir. Faut croire que moi aussi j’tiens qu’à un fil, mais j’ai plus d’équilibre qu’il n’y parait.
Pourtant sortir c’est pas d’refus, m’changer les idées est une bonne idée en soi. Le prends pas mal Ronron hein ? Mais t’es pas nécessairement la meilleure compagnie du monde. Enfin pas aujourd’hui. D’habitude si, j’en viens même à apprécier ton côté râleur, là j’crois que j’t’en veux encore toujours un peu d’m’avoir foutu la trouille. Pas tout à fait consciemment, mais d’habitude je te ne te fais pas autant déguster, il faut se l’avouer.

Pourtant j’crois qu’avec ton gage à la con tu t’es vengé pour tout ce que je ne t’ai pas encore fait en fait. Je ne peux m’empêcher de te répondre par un sourire savamment moqueur alors que tu cries après ta cravate. Oui il est savant en cela que le constituer est tout un art, une petite tension sur mes risorius, on soulève les extenseurs supérieurs de l’angle de la bouche de manière bilatérale. C’est sympa ça fait apparaitre une petite fossette, j’retrousse un  peu mes lèvres et voilà mon sourire colgate qui pointe ses dents. Ce sourire est l’un de mes masques, tantôt réel tantôt fictif, qui es-tu aujourd’hui ?

Aaron a regardé, sans doute il a pensé. J’l’ai encore dérangé, parfois j’ai l’impression qu’il pense trop sur les mauvais sujets. A croire qu’il le fait exprès, mais je peux parler, la critique est aisée pour celle qui n’en tient pas compte. Hey mais j’ai une excuse, moi ! J’ai pas un mec carrément trop craquant qui m’court après. Parfois il suffirait d’être con et de se laisser tenter, on verra demain si quelque chose en ressort…. Et si ce n’est pas demain ça sera encore après.

Depuis quand tu me respectes ? J’ai fortement envie de lui dire, pourtant j’me la ferme pas certaine de savoir ce que je veux dire. Pas certaine de savoir non plus ce que cela veut dire. J’soupire en l’attendant pendant qu’il prend bien tout son temps. J’ai gueulé un peu fort mais j’ai pas recommencé, comme quoi je peux bien me comporter… Parfois.
J’le vois donc arriver armé d’un critérium, mystérieusement il ne me le plante pas dans l’œil ce qui aurait fortement pu s’expliquer. La rancune c’est tenace et j’chuis un peu en position de vulnérabilité devant lui. Je suis presque désarmée. Presque. J’avais pas fait gaffe en sortant qu’il était si tard, je suis arrivée en début d’aprem et maintenant il est sans doute minuit ? P’t’être plus j’en sais rien, j’ai oublié de regarder. J’le vois galérer avec son critérium et quand il essaie de faire croire que c’est de ma faute —ce qui est totalement le cas vu que j’ai fait le nœud— c’est un peu la goutte d’eau qui fait déborder le vase de mon hilarité. Je rigole à n’en plus savoir que faire sous son regard désappointé.

« Un ciseau aurait été plus commode ! »
je le charrie faisant mine d’ignorer qu’il aimerait bien récupérer sa cravate presque préférée. Je lui prends le critérium des mains et avec une grande précision (de bourrine) je m’attaque au nœud. Doutait-il encore vraiment que je puisse le dénouer après que je l’ai démenotté avec tant de facilité à l’aide d’un trombone ? Je me sentirais presque vexée. Le lien cède et le sang afflue enfin dans mon membre ça picote et je sais que si je me levais il ma jambe serait de coton, alors j’reste assise sur mon fessier comme une con.

« Gage pour toi, va t’coucher ! »
j’essaie d’imposer, il est encore ralenti par l’alcool et dormir reste encore le meilleur remède… Si on ne veut pas booster les choses. Moi j'attendrais demain matin qu'il me dise de dégager.


“- A qui la nuit fait-elle peur ?
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― Pierre Bottero, Ellana
##   Jeu 20 Aoû 2015 - 22:29
Aaron Williams

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Elle se fout de ma gueule quand j'arrive. Forcément, c'est sûr, c'est pas comme si je m'y attendais pas en même temps. En même temps, j'me doute que je lui aurais apporté une épingle, elle aurait aussi été capable de défaire le nœud, tiens. Pour une fois, c'est même pas dit avec amertume ; c'est dit avec une once de lassitude, peut-être. Enfin bon, dans tous les cas, c'est assez habituel. J'ai beau me démener comme je le peux avec mon critérium, madame me le prend des mains et je grommelle pour la forme. Et gnagnagni et gnagnagna, des ciseaux ça aurait été mieux... C'est MA cravate que t'es en train de massacrer, miss. Déjà qu'elle doit être complètement défoncée, j'ai pas envie qu'on coupe dedans. Je suis sûr que ça peut se recycler. Genre je le mettrai autour du cou de Blobby, ça fera très classe, très pro. "Blobby corporation, j'écoute ?"

- Ouais ben débrouille-toi avec ça, MacGyver.

Finalement, elle arrive à dénouer la cravate et je la récupère avec une once de déception. Elle a légèrement (mais juste légèrement, rien de grave, n'est-ce pas ahaha) morflé dans le processus. Je la retiens, elle et ses idées de merde. Comment ça c'était mon idée ? Mais je lui ai jamais demandé de s'attacher la jambe, elle n'avait qu'à sauter à cloche-pied comme tout le monde ! Personne ne penserait à s'attacher la jambe pour ne pas la poser ! Non non, personne, sauf elle ! Évidemment. Rahhhfjkdgjk.

Je me relève et m'étire ; mon dos craque un peu et je retiens une grimace légère.

- Je crois que c'est ce que je vais faire, je suis déchiré.

De fatigue. Et d'autres trucs. Bref... Je tends la main à la demoiselle toujours assise au sol, pour l'aider à se relever. Ce faisant, j'ajoute avec un semblant de nonchalance qui ne me convient pas du tout pour le moment, mais qui pourrait presque paraître naturel. Presque. Faut pas déconner, non plus.

- J'te laisse le canapé si tu veux. Mais t'as pas intérêt à foutre le bordel dans mon appart'. Encore une fois. J'ai plus besoin d'être materné.

Demain, je gueule. J'espère pour elle qu'elle sera, au choix, de très bonne humeur pour supporter le "dégage de chez moi maintenant" qui risque de fuser ou simplement partie à mon réveil. Parce que j'ai aucune envie de me prendre le chou. Pour le moment, je sais pas encore si je lui suis reconnaissant ou pas. Demain matin, je le serais peut-être pas non plus. Demain aprèm', quand elle sera partie, certainement. J'aurais le temps d'y repenser, de m'en vouloir éventuellement, ou pas. Ou pas, hein... Mon cœur se serre, et j'décide qu'il est plus l'heure d'y repenser. Vraiment pas.

On remonte les escaliers, et je finis par éteindre la télé et finir mon thé. Je dépose la tasse dans l'évier, balance couverture/coussin sur le canap'. J'ai un moment d'hésitation, puis salue finalement Ipiu. En allant me recoucher, j'me dis que ouais, je lui en veux peut-être un peu. Mais malgré tout, j'suis content de pas avoir passé la soirée complètement seul. Je crois que j'aurais pété les plombs une nouvelle fois. Au moins, j'ai pu m'énerver. Me libérer un peu. Même si ça n'enlève pas le poids que j'ai sur le cœur.

La tête enfouie contre mon bras, j'essaie de pas me laisser aller, assez vainement au final. C'est chiant de se retenir constamment.



Aaron vit en #E5882A.
Louisa danse en #78AB3F.


Un peu d'amour ♥:
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