• Prénom : Allegra
• Nom : Lescure
• Âge : 24 ans
• Affinité et pouvoir : eau lunaire
• Greffe : (pour les masters) xxx

Allegra est une jeune femme grande et musclée. Sportive depuis sa tendre enfance et issue d'une famille de sportif patentés, bien qu'elle s'orienta du côté des études longues elle ne négligea pas son corps pour autant : équitation, course à pied, natation, VTT, randonnée... Elle a touché à tout voir même à plus. Fille d'un rugbyman karatéka et soeur d'un handballeur devenu moniteur de Krav-maga, elle possède donc un corps athlétique et de bon réflexes. Plutôt grande (un bon mètre soixante-dix) sa morphologie en sablier trahit sa féminité.
A ce corps s'ajoute une tête de poupée : un visage rond / ovale (trop à son goût) lui donne des airs de madonne latine, ces dominae romaines qu'on chante dans les élégies pour leur caractère impitoyable. Cependant, bien que sa famille viennent du Béarn français et soit donc très proche du type latin, Allegra possède une cascade de cheveux blanc ivoire bouclés lui donnant un air de lion blanc. Ce gène étrange, elle le tient de la famille de son père suite à un problème génétique encore inconnu ou plutôt tu.
Cette cascade d'argent encadre deux yeux en amande d'un bleu si clair qu'il semble blanc : de même là où tout aurait dû être noir de jais, c'est un blanc bleuté qui prend le relas comme deux cristaux gelés dardant sur le monde extérieur un regard profond. La forme de ses sourcils délicatement dessinés n'enlève en rien la dureté de son regard ou de son visage  lorsque l'agacement ou al colère pointe le bout de son nez.
Ses pommettes hautes surplombes des joues quelque peu creusées et une mâchoire un peu marquée (surtout quand elle serre les dents... Et il vaut mieux espérer que ça n'arrive pas trop souvent.)
Allegra possède une petite bouche, avec des lèvres assez fine comme deux traits d'un pinceau égaré en dessous de son petit nez en trompette. Son menton est assez étroit et pointu ponctuant l'ovale de son visage et lui donnant cet air de poupée lorsqu'elle se maquille ou sourit.
Pour parachever cet étrange tableau, la famille d'Allegra a gardé le teint hâlé des Méditerranéens, la "mutation" génique n'ayant endommagé que la mélanine des différents poils (cheveux sourcils bras etc...) ainsi que la pigmentation des yeux.

Comment donc se pare-t-elle ? En simplicité : affectionnant la discrétion et un style relativement "classe", Allegra porte en général du noir et du blanc uniquement (quelque s fois du bleu... En de très rares occasions). Généralement on la verra avec un haut à manche longue noir moulant (afin de mettre en valeur sa poitrine proportionnée et sa taille marquée par des exercices de fitness même si en ce moment il faudrait y retourner ! ), un jean slim ou une jupe de tailleur noire ou blanche et des escarpins ou salomés noirs. Elle porte à l'occasion des robes moulantes taillées pour sa morphologie toujours dans les tons bleu / noir / blanc.
En bijoux cette jeune dame porte quatre bagues : deux à la main droite sur l'annulaire en argent dont une surmontée d'une pierre de lune rappelant ses yeux. 2 autres à la main gauche : annulaire gauche une bague en argent surmontée d'une améthyste en forme de coeur et à l'auriculaire lune chevalière en or. Chacune ayant leur propre signification.
Allegra possède également deux tatouages : un sur l'avant-bras droit au niveau de l'intérieur  du coude représentant une vipère enlacée, pas trop gros. L'autre entre ses omoplates représentant une épée sur la lame de laquelle est gravée une inscription hébraïque et entourée de trois paires d'ailes diaphanes. Eux aussi ont leur histoire.  

Que dire du mental tortueux de cette jeune dame ?
Tout d'abord Allegra diot être comprise dans toute la complexité que son hsitoire a créé en elle : née enfant rieuse, timide voir discrète mais profondément aimante et loyale, afin de se protéger une sorte de carapace glaciale se forma à la surface de cet être très sensible et aux valeurs d'abandon de soi assez marquées. Comme une sorte de Léviathan surgissant des eaux de son âme, cette carapace forme comme une seconde Allegra.
Le caractère d'Allegra est donc celui de quelqu'un qui sait s'adapter à qui elle a en face d'elle afin de souffrir le moins possible. Plutôt stratégique dans son choix de mots, elle est quelqu'un de très (trop) réfléchi et finit par faire un flanc parfois de rien du tout tant ses cogitations peuvent l'emmener loin. Derrière son apparente froideur et son silence, une fois devenue proche d'une personne son lien avec elle sera un partage indéfectible. Allegra a appris combien il était difficile de rencontrer des gens qui vous veulent simplement du bien.
Elle est méfiante et le cache sous un silence presque calculateur peut-on dire puisqu'elle définit pense et anticipe chacun de ses comprotements et propos en face d'un inconnu.
Cependant une fois que la personne a traversé ce premier cercle d'intimité, voir même plusieurs (soyons fous !) il découvre une toute autre femme : à l'image de la lune, discrète et craignant toujours déranger, Allegra est en réalité bien peu sûre d'elle. Ses valeurs de partage sont restées ancrées au plus profond d'elle-même : une fois al confiance accordée elle devient aveugle et Allegra ira jusqu'au bout du monde pour ceux qu'elle considère comme ses proches. Mais le prix pour le devenir est assez difficile à débourser...
Cependant dans un environnement lambda, avec des connaissances et non pas des amis Allegra jouera la carte de la fille gentille passe-partout : rigolote (rire est une de ses passions), à l'écoute et trop souvent même maternante, Allegra sait donner le change pour qu'on évite de lui poser des questions sur elle-même. En réalité elle abrite une profonde tristesse et ce sent prisonnière de son Léviathan qui ne laisse approcher que bien peu de personne de sa tour gelée qu'il garde.
Comme vous l'aurez compris, Allegra est une personnalité "à niveaux" ou "à cercles" pour reprendre ce bon vieux Dante. Le chemin semble complexe pourtant le jeu en vaut la chandelle : quand bien même vous y arrivez vous découvrez une femme avec un caractère assez bien trempé mais doublé d'une patience assez impressionnante(elle maîtrise l'art de la colère froide à la perfection...) bien que timide puisqu'elle n'ose même pas frapper à la porte de quelqu'un de peur déranger. Sous des airs parfois changeants, sa ligne de conduite reste toujours ce comportent calme et posée en toute circonstances (sauf en cas de bon fou rires ! )Raisonnée et mâture beaucoup trop vite, elle sait combien elle doit travailler pour apprendre à offrir aux autres ce que le Léviathan garde jalousement : son amour universel pour tout être. Elle ne connait pas la haine.. Tout du moins presque pas... Toutefois gare à celui qui repoussera son calme dans ses derniers retranchements : si Allegra sait se contenir autant et se poser autant, c'est bien parce qu'elle a peur de ce qu'il se passe quand elle "passe de l'autre côté" et que sa colère prend le dessus. Ou sa haine. Comme ce fut déjà le cas.

Allegra ADORE (et j'insiste) le salé mais abhorre la plupart du temps le sucré : entre un jambon de Bayonne et un gâteau au chocolat vous êtes tranquille qu'elle prendra le jambon. Allegra est particulièrement friande du pain chaud (le pain perdu étant un met sucré faisant partie des rares qu'elle consomme). Elle adore les petits biscuits apéritifs extrêmement salés. En plat elle raffole de la cuisine asiatique, indienne mexicaine, des îles... De la cuisine épicée en réalité même si un petit sucré-salé ne lui déplaît pas non plus. Si elle semble manger de tout elle rechigne cependant à consommer du poisson (sauf le thon et des poissons très peu goutus) et surtout les fruits de mers (elle en vomirait). Allegra mange particulièrement des légume sou des céréales même si elle apprécie la viande elle préfère en consommer peu. Elle ne mange que très peu de gras, son foie supportant mal la nourriture trop riche (crise foie à répétition !).
Allegra consomme de l'alcool : si la bière n'est pas forcément son premier choix, sa dent sucrée se manifeste dans les cocktail avec du rhum ou de la vodka. Elle apprécie tout particulièrement deux alcools forts : une liqueur de caramel espagnole et le saké japonais à la rose. C'est une grande amatrice de vin rouge (bordelais ou madiranais les origines obligent ! ) et de vins blanc sucré.

Allegra est née un 14 Juillet. Jour de Fête Nationale en France me direz-vous ? Hé bien ce jour signait pour elle le début d'un long calvaire au sens biblique du terme.
Allegra est née de deux parents diablement différent : un père solaire, du Sud-Ouest français, profondément attaché à ses racines et dévoué. A quoi ? A tout : sa famille plus que tout au monde mais également à son métier et à ses amis. Travaillant dans le domaine de l'éducation, ce fut lui qui fit la post-partum à la naissance de ses enfants ! Un père poule adorable mais pourtant redoutable lorsqu'il s'agissait de protéger les siens. Son héros.
Sa mère... Ce fut une autre limonade : elle adorait les araignées et leur ressemblait ! Une femme aux yeux et aux cheveux noirs de jais, elle était aussi bête que méchante. Issue d'une famille peut convenante, elle était très belle et savait en jouer. Elle maîtrisait également le divin art de la manipulation et du mensonge. Parfait miroir de son mari, elle n'était animé que de désirs égoïstes et faisait souvent payer à son époux une vie qu'elle avait dû fantasmer meilleure.
Ce duo improbable avait déjà enfanter 6 ans avant un garçon : Dorian Lescure. Ah Dorian...
Un enfant qui avait tout pour lui : beau, très intelligent, gentil, curieux... Il fut brisé par cette femme sans aucune vergogne. A ses 3 ans la mère partie en sifflant des horreurs,
vandalisant la chambre du petit qui allait garder ça toute sa vie en tête. Pourquoi raconter cela ? Car c'est justement 1 ans après ce départ (pour un autre qui ne voudra finalement plus d'elle) que la Mère revînt pleurer et s'amender auprès du Père éploré. Fou amoureux d'elle, détruit par son départ, son chagrin ne pu l'empêcher de la reprendre à ses côtés tant l'état de son fils l'inquiétait : devenu taciturne, l'enfant semblait développer des tocs. C'est donc 2 années encore plus tard que naît Allegra : le parfait bébé prétexte d'une Mère qui souhaitait juste assurer ses arrières avec ce mari trop dévoué qu'elle quitterait une fois ses intérêts soulagés.
Allegra comme son frère avant elle était une enfant solaire, radieuse. proche de la nature elle était toujours entourée d'animaux et ceux-ci l'adoraient.  Son grand frère, marqué, la vit comme une lumière dans son obscurité et développa une affection profonde pour elle : protecteur , leur lien en grandissant devînt gémellaire.
Cependant cette vision de l'Eden n'était que l'extérieur : la réalité de cette famille était celle d'oiseaux dans une cage dorée :  la Mère y régnait par la terreur, les cris, la persécution,
la haine. Jalouse par nature, plus sa filles grandissait, plus elle lui lançait des atrocités sans nom au visage : "tu vas finir obèse comme ma soeur tu sais ? C'est dans les gènes." " Tu n'as eu que 16 ? C'est pitoyable regarde ton frère lui si brillant ! Tu ne feras jamais rien de ta vie.""
Tu as vu les bras que tu as ? On dirait un homme aha vous avez vu ?".
Humiliation en publique, insultes, violence, la Mère perpétuait son règne immonde sur tous ; le Père effrayé ne rentrait que tard, le frère devenu grand et totalement soumi à celle qui a créé en lui une blessure irréparable s'enfuyait et dérivait dangereusement sur le mauvais chemin. Seule restait Allegra. Seule avec elle. Dès la fin des cours. Gifle au visage. Placardée dans un coin avec comme menace "Si j'ai envie de te défoncer je le fais quand je veux !"
tout ça dans le dos du père. Et une père telle de cette enfant que jamais elle ne aprlait.
De petit soleil, Allegra grandit en une jeune femme lunaire : discrète, froide murée dans un silence étrange et ne s’attachant que peu aux gens autour d'elle qui, beaucoup plus puérils,
ne supportaient pas ses bonnes notes, son talent au chant et au dessins ou simplement son entraînement sportif. Elle se sentait seule. Vide. Son frère disparaissait chaque année plus dans une dépression profonde : médicaments, toxicomanie, trafic d'armes... Combien de fois 'lat-telle trouvée délirant chez eux ? Combien de fois l'a-t-telle ramassé convulsant au sol ? Combien de fois n'entendit-elle pas sa mère hurler à son père d'aller se pendre dans le garage qu'elle viendrait ensuite le décrocher quand l'odeur parviendrait à la maison ? Combien de fois avait-elle été la mère là où elle n'aurait dû être que la fille ? Combien de fois, combien encore elle vu de haine, de larmes et de désespoir dans une famille qui semblait si bénie de tous les dieux possibles et imaginables ? Un soleil qui naît dans la noirceur a deux solutions : soit il disparaît, soit il devient la seule lumière capable de percer les ténèbres : une Lune lumineuse et implacable.
Allegra devînt cette Lune. Son frère devînt le soleil noir. A l'adolescence, vaccinée par tant d'épreuve, Allegra ne sentait plus ni les piques ni les coups. Un soir sa mère alla trop loin : celle-ci avait senti le changement chez sa fille : murée dans son silence, impassible plus rien ne la touchait.. PLus aucun moyen de la contrôler. Elle prenait son indépendance et ne trébuchait plus afin d'être achevée au sol. Il fallait attaquer frontalement.
Un soir, un couloir étroit, deux épaules qui s'entrechoquent quand la mère et la fille se rencontre : non. Elle ne se décalera plus. Elle ne baissera plus la tête pour que cette femme enfonce le drapeau de la victoire dans sa nuque. Cette nuit tout bascula. La mère suivit la fille en hurlant, fille qui ne disait rien qui était profondément calme. Impassible. Glaciale. Elle s'assit à son bureau pour continuer à jouer en ignorant les insultes. Les coups dans la tête. La mère continuait inlassablement : secouer la chaise, gifler la tête hurler. Puis Allegra se lève : elle sent que Léviathan ne va plus pouvoir tenir longtemps face à ses émotions : elle ne ressentait rien mais peu à peu tout se fissure. Une rage froide remonte jusque dans sa bouche, avec un goût ferrugineux; un goût de sang. Elle darde son regard gelé sur l'hystérique. Geste malheureux après lui avoir demandé de partir calmement à plusieurs reprise : la mère pousse la fille violemment. Elle perd l'équilibre. Puis c'est le noir.

Quand Allegra rouvre les yeux elle est juchée au dessus de sa mère, poing armé. Sa mère le regarde avec des yeux affolés, de louve elle n'est devenu que cabot sans intérêt. Toujours dans un grand calme Allegra se relève. Son père dans l'encadrement est stupéfait. A la dernière seconde la jeune fille avait repris ses esprits et évité de frappé sa mère. Mais tout avait changé. Le rapport de force n'était plus le même. Désormais le prédateur, c'était elle.

Ces événements ont marqués la vie de cette jeune femme: peu après sa mère divorce et part. Elle refuse de lui parler quand bien même celle-ci cherche à l'acheter en lui renvoyant des cadeaux qu'elle lui avait en réalité volés.
Profondément marquée apr un désir de soutenir sa famille, sa loyauté et son amour envers eux étant inconcevable, elle devînt une sorte de Dame de Glace : sans attache, sans parole, avançant dans les degrés d'étude jusqu'à parvenir après trois ans de CPGE au Graal : l'Ecole Normale Supérieure. Reconnu pour son travail acharné, son esprit et son intellect en lequel elle-même ne croit que très peu, Allegra su continuer de se battre pour atteindre les plus hautes études qu'elle pouvait faire. Et toujours elle avance avec le fantôme de cette vipère qui l'enfanta elle qu'elle décida de garder à son poing.

Désormais arrivée à l'apogée de ses études, Allegra réussi l'agrégation de philosophie après son master dans ladite matière. Bien qu'elle se fit des amis qu'elle chérit plus que tout, elle n'alalit aps. Son frère, adoré et maltraité, était mourant. Son père éploré et tellement affligé ne tenait plus le choc. Elle devait encore tenir. Toujours tenir pour eux. Après avoir réussi tout ceci... Que lui restait-il si son frère disparaissait ? Son jumeau ? Son reflet ? Si elle était le blanc il était le noir mais ils étaient absolument identique dans leur opposition. Eux seuls se comprenaient parfaitement. Sans lui...  
Il finit par s'éteindre avant ses 30 ans comme il l'avait prédit. Après une vie faire de désespoir, de déception, de drogues, de malaises ... De mensonges et de pleurs. Il mourut comme ce petit garçon de 3 ans qu'il avait toujours été en réalité : en cherchant sa maman dans les bras de sa soeur qui ne pouvait pas la remplacer malgré tout ses efforts.
Ce frère avait été pour leur père une croix de plus à porter et désormais, entre un chagrin incommensurable et le soulagement coupable son père était retourné dans son Sud-Ouest natal. Son père. Son héros. Son martyr. La source de sa force et de l'amour qu'elle reçu. Son soleil. Le lien entre les deux était extrêmement fort, Allegra ressemblant beaucoup à son père. Bien que leur lien lui disait de rester auprès de lui, elle choisit de suivre son conseil : de vivre enfin pour elle-même et d'apprendre à vivre désormais, d'apprendre à aimer , à s'aimer elle... Et ses particularités.

C'est devant la tombe de son frère que l'homme vînt. Il savait bien qu'elle serait là. Elle y était toujours. Elle y reviendra toujours. Car une partie d'elle se trouve enterrée ici.
"Tu dois vivre désormais.
-Je suis seule. Je l'ai toujours été. Et sans lui je ne le suis que plus encore. Car je suis seule même dans mon esprit."

Recroquevillée dans sa tour, avec pour seule compagnie son Léviathan, elle avait perdu le seul apte à franchir la dernière barrière. Le dernier cercle de son enfer.  Le blizzard de son âme.
Elle qui avait toujours si froid, elle senti une présence chaude sur son bras : une main. La main de l'homme. Elle jeta un regard à la tombe. Puis c'est en se contemplant dans le reflet du marbre froid qu'elle tourna les talons. La tombe ne renvoya plus que l'image d'une chevelure blanche soulevée par le vent sous un clair de lune mélancolique mais rassurant.

Elle avait fait son choix : vivre. Comprendre qui elle est. S'accepter. S'aimer. Aimer.
Terrae.

   

A son arrivée chez le psy Allegra fut toujours aussi agréable et calme qu'à l'accoutumée. Celui-ci ne détecta pas de troubles profonds bien qu'il sentit qu'il avait en face de lui une statue de marbre souriante. Elle était forte. Elle encaissait dans son mutisme. Cependant il vit une lueur rosée sur ses joues : de la timidité ? Visiblement puisque son angoisse principale était de ne pas détonner face aux autres résidents de Terrae !