| ## Dim 17 Juil 2011 - 13:59 | ||
 Akari Ushiromiya  Messages : 1522 Date d'inscription : 02/02/2011 Age : 27 Emploi/loisirs : 1. Mannequin de renom. 2. Infirmière de Terrae. 3.Cut someone into pieces...? Humeur : Don't go screaming if I blow you up with a bang, sweetie~ | Ushiwaka afficha un air interloqué, limite choqué, hébété. Il recula. Puis il me demanda carrément si j’étais un démon, et remarqua que la flamme était du feu. Il me demanda même si on était humains : bonne question. Et moi non plus je ne comprenais pas pourquoi la lune, le soleil, et le caractère comptait dans notre affinité. Il me dit qu’il n’avait rien de spécial. Oh, moi non plus. Le voir surpris m’amusait. Je repris une fois de plus sa main, et l’amenait dans la cour. Il n’y avait personne. Avec un sourire je tendis la main vers le ciel. De hautes flammes nous entourèrent, toutes plus épaisses, très brulantes, et dansantes. Le Feu est un élément que j’apprécie depuis toute petite, bien que je ne soie pas pyromane. J’ai toujours adoré la couleur du feu, rouge-orangé-bleu. Depuis toujours, je veux contrôler les flammes bleues comme dans les mangas. Mais il faut que je devienne Master. Ces flammes, on aurait cru que c’était un incendie. Et je ne suis qu’à un tiers de ma véritable puissance qui sera libérée quand je passerai au rang de Master. Effrayant, n’est-ce-pas ? Pourtant, lorsque j’ai reçu mes pouvoirs, j’étais plutôt contente. Avec une voix très calme et posée, je dis à Ushiwaka : - Avoir des pouvoirs ou pas ne changera pas votre capacité à blesser les gens. C’est vous qui décidez de comment l’utiliser. Alors n’ayez pas peur. Vous n'etes pas un démon. Une fois que vous aurez été initié, les scientifiques voudront s’emparer de vous, et de votre pouvoir. C’est pour nous protéger que Terrae a été crée. On est tous là parce-que nous avons été malheureux dans notre vie. Après l’initiation, il y a l’étoilisation qui débloque un peu plus vos pouvoirs. Et ensuite, la dernière étape : devenir Master, c’est-à-dire que vos pouvoirs seront libérées. D’un geste gracieux de main, je fis disparaitre toutes les flammes. La cour était intacte, j’avais en sorte qu’elle ne brule rien. Je me concentrais pour devenir invisible et je le fis. Pour qu’Ushiwaka puisse savoir où j’étais, je fis naitre une flamme dans mes mains. Puis, je redevins visible. - Voilà. J’ai tout fini d’expliquer. En espérant que tu ne fasses pas de crise cardiaque ! Je ne sais pas pourquoi on a ce pouvoir... –fis-je en souriant. | |
| ## Lun 18 Juil 2011 - 9:53 | ||
 Invité | Elle avait fait disparaître le feu et s'était avancée pour lui prendre à nouveau la main le guider plus loin. Ushiwaka essayait de paraître le moins effrayé possible, mais c'était difficile. Très difficile. Il ne savait pas grand chose du monde en dehors de son monastère, mais il savait parfaitement que les êtres humains ne crachaient pas du feu. Seuls les dieux et les Yokaïs le pouvaient, alors pourquoi les hommes ? Pourquoi les hommes se verraient attribuer des pouvoirs de démons, et des affinités avec les dieux ? C'était incompréhensible. Il leva la tête vers le soleil, déjà bien haut dans le ciel. Et les flammes reprirent de plus belle autours de lui. Ushiwaka sursauta en voyant tout s'entourer de flammes, il serra les doigts sur son dizi, comme si il avait peur que le feu l'emporte. Scientifiques ? Il n'était pas un démon ? Terrae était là pour le protéger ? Ushiwaka essayait d'avaler ça en une seule fois, mais c'était impossible pour un être humain ordinaire. Déjà qu'il était à deux doigts de tourner de l'oeil, il ne pouvait pas non plus réfléchir à tout ça en même temps. Des pouvoirs...Mais il n'avait jamais souhaité de pouvoirs, pourquoi lui sur tout les êtres humains de cette planète ? Et cet endroit, était il vraiment destiné à le trouver ? Est ce que c'était ce vide qui l'y avait amené ? Est ce qu'il allait cracher du feu lui aussi ? Non...Akari avait parlé de caractère, Ushiwaka n'avait pas le même tempérament qu'elle... Le feu cessa, mais Ushiwaka était toujours tremblant. L'initiation, les grades, il comprenait. C'était pareil qu'au monastère...Mais tout ça...C'était beaucoup, beaucoup trop en une seule fois. Après quelques secondes il consentit à desserrer sa main, tellement crispée sur son instrument que les jointures de ses doigts en étaient blanches. Il regarda Akari, tendit sa main tremblante vers elle pour lui effleureurer les cheveux: "Vous...Vous avez raison...Vous n'êtes pas un Yokaï..." Il reprit un peu de contenance, et réussit à faire moins trembler sa voix "Je...Je ne peux pas y croire...Mais cette endroit est mon seul refuge alors...Je ne le quitterais pas. Et si je dois être initié alors...C'est que les Kamis l'auront voulu...Je voudrais rester." Ushiwaka laissa retomber sa main et baissa les yeux, ajoutant: "Excusez moi Ushiromiya sempai, c'est beaucoup pour moi en un coup...Je ne me sens pas très bien. Y'a il un endroit ou je pourrais me reposer un peu?" | |
| ## Lun 18 Juil 2011 - 13:51 | ||
Akari Ushiromiya Messages : 1522 Date d'inscription : 02/02/2011 Age : 27 Emploi/loisirs : 1. Mannequin de renom. 2. Infirmière de Terrae. 3.Cut someone into pieces...? Humeur : Don't go screaming if I blow you up with a bang, sweetie~ | Le pauvre Ushiwaka était tremblant. J’étais plutôt triste pour lui. Il serra sa flute, -que je trouvais encore trop belle-, et paraissait effrayé. Je voyais bien à ses yeux qu’il ne voulait paraitre ainsi, et encore moins devant moi parce-que c’est dangereux… Je comprenais parfaitement sa crainte, et je voyais beaucoup de questions tourbillonner dans ses yeux. Ushiwaka ne possédait pas beaucoup de sang-froid comparé à moi. Oui, le sang-froid. C’était quelqu’un de naïf, facilement manipulable, qui cherche la tranquillité et rien d’autre. Il préfère rester dans un coin calme et faire de la flute. Alors que moi, je préfère etre sur un champ de bataille, et affronter milles dangers tout en revenant vainqueur. Voilà pourquoi son pouvoir ne serait pas feu. Il est bien trop calme. Il n’est pas non plus Tonerre, il n’est pas du tout impulsif. J’hésite plutôt entre Eau et Air, voire Terre mais c’est peu probable. Après, je dirais qu’il est plutôt tourné vers le soleil… Oui, comme l’a dit notre très cher professeur Tomoe : Soleil et Lune, jour et nuit, lumière et ténèbres. Ushiwaka était tourné vers la lumière, en plus, il vient d’un monastère. Donc, ce n’est pas très étonnant. Le jeune homme me surprit lorsqu’il effleura mes cheveux bleus avec sa main tremblante : - Vous...Vous avez raison...Vous n'êtes pas un Yokaï... –il continua, en faisant moins trembler sa voix- Je...Je ne peux pas y croire...Mais cette endroit est mon seul refuge alors...Je ne le quitterais pas. Et si je dois être initié alors...C'est que les Kamis l'auront voulu...Je voudrais rester. Il laissa retomber sa main et baissa les yeux : - Excusez moi Ushiromiya sempai, c'est beaucoup pour moi en un coup...Je ne me sens pas très bien. Y'a il un endroit ou je pourrais me reposer un peu? Un petit sourire éclaira mon visage. Un démon ? Qui sait ? Peut-être que je suis un ange et un démon à la fois. Je comprenais pourquoi il voulait se reposer. J’hochais la tete, mais je ne voulais pas l’emmener au dortoir. Imaginez qu’il se suicide dans une crise de folie. C’est moi qui serai coupable. Apparemment, ça serait déjà arrivé, alors… Je voudrais m’assurer qu’Ushiwaka va bien, parce qu’il était tout tremblotant. C’en était presque mignon. Je suis sure que Célia lui aurait sauté dessus et aurait dit : « T’es troooooooop mignooooon !! ». Et qu’Ushiwaka n’aurait pas su quoi faire. Rien qu’en imaginant la scène, je laissai échapper un petit rire cristallin. Je repris sa main tremblante (le pauvre, j’aurais peut être du y aller plus doucement ??) et l’emmenai cette fois-ci dans le village de Terrae. Il avait le temps de regarder les boutiques, le parc, la bibliothèque, l’hôpital pendant notre chemin. Je l’emmenai dans un endroit vert : on l’appelait l’espace vert, et je n’y étais jamais allé. Alors autant en profiter, hein. - Voilà un endroit reposant. Oui, j’aurais pu vous emmener dans le dortoir, mais je voulais être sur que vous alliez bien. Comme ça, vous pourriez me jouer un morceau avec votre flute ! La musique est la seule chose capable de me calmer...Enfin je parle pour moi. Peut-être que pour vous, c'est autre chose... –fis-je avec un sourire plutôt content. J’avais hâte d’écouter un morceau. Bien que je sois plutôt douée en piano ou violon, je suis encore plus douée en chant. En effet, quand on a une sœur chanteuse, c’est pratique ! M’enfin, c’est plutôt moi qui lui ai apprit à chanter, haha… | |
| ## Lun 18 Juil 2011 - 19:51 | ||
Invité | Akari avait émit un petit rire, mais ce n'était pas le même que celui auquel avait eu droit Ushiwaka très souvent dans sa vie. C'était un rire cristallin. Pas méchant, pas vraiment moqueur. Elle lui avait reprit la main pour le guider ailleurs, et durant la marche il essaya de se calmer. Il était toujours calme, et gardait toujours sa vivacité d'esprit même quand il rêvassait, mais là, c'était trop gros....C'était vraiment trop gros pour passer tout seul. Cette histoire d'institut, de pouvoirs, d'affinités et tout le reste....Etait il vraiment spécial, comme tout ces gens ici ? Lui qui passait déjà pour une bête curieuse un peu partout, ça n'allait pas l'arranger... Lorsqu'il sortit de sa réflexion et releva le regard, il vit que ça avait changé autours d'eux. Cet endroit était bien plus qu'une école, c'était réellement immense ! Qui avait bien pu construire cela ? Sûrement quelqu'un qui devait avoir des pouvoirs également. Ushiwaka se demandait si tout les gens qu'il voyait ici étaient capables de faire du feu comme Akari. Il y avait de tout: des boutiques, des parcs, et d'autres bâtiments dont il ignorait la fonction, mais qu'il se promit d'aller explorer. Lorsqu'enfin elle s'arrêta, ils étaient arrivés dans un endroit un peu à l'écart, plus vert. Ushiwaka regarda autours de lui, la curiosité ayant un peu reprit le dessus. Ses mains ne tremblaient plus. Le jeune homme s'assit dans l'herbe, en profitant pour se relâcher un peu et essayer de digérer ce qu'il venait d'apprendre. "Le dortoir...? Je ne voulais pas vous inquiéter Ushiromiya sempai ! C'est juste que...Je n'imaginais pas une seule seconde que tout cela puisse être vrai...Je veux dire, cette histoire d'humains possédant des pouvoirs, et ce feu...Et cet endroit ! C'est à la fois un peu effrayant et follement excitant...C'est très gentil à vous de vous soucier de moi ! En fait, vous devez bien être la première..." Lorsqu'elle lui parla de son dizi, il baissa la tête, un peu gêné, mais enchanté: apparemment, Akari appréciait la musique aussi ! Il ne put s'empêcher de sourire à nouveau: "Vous aimez la musique aussi ? Je n'ai pas eu l'occasion de jouer d'instruments, j'ai fabriqué ce dizi moi même...C'est bien le seul son qui puisse m'apaiser aussi. J'aime beaucoup cette mélodie, même les moines l'ont toléré au monastère ! Je ne sais pas par quel miracle d'ailleurs..." Il s'arrêta un instant, et prit son dizi, toujours attaché à sa ceinture. Malgré l'âge, le bambou était toujours aussi brillant, et pas une seule craquelure. Il fait dire qu'Ushiwaka en avait toujours prit un soin quasi religieux, et il se souvenait d'une famille chinoise qui habitait au bas de la montagne qui l'avait aidé à perfectionner son instrument. L'instrument était très populaire en Chine, et il faut dire qu'au Japon il était plus rare de croiser des Dizi: on y joue plutôt du Shakuhachi. Le mari était monté au monastère une fois, juste pour voir comment avançait la fabrication de son dizi. Ushiwaka se souvenait avoir passé une grande partie de l'après midi à écouter le vieil homme lui expliquer, avec son fort accent chinois, comment bien prendre soin du bambou. Il avait amené du nylon et de la corne de vache, et avait consolidé l'instrument dans la plus pure tradition, avant de partir. Le vieux couple était mort un ou deux ans plus tard, mais Ushiwaka se souvenait à chaque fois de cet homme et de son fort accent qui l'avait aidé avec patience juste pour ça. Ce vieil homme dont il ne connaissait même pas le nom qui lui avait offert son temps, à une époque ou les gens n'en ont même plus pour eux même... Le regard de Akari le tira de sa rêverie, et il s'excusa. "Je...J'évite de jouer dans ce genre d'endroit d'habitude, j'ai peur que les gens se moquent de moi. Je suis déjà suffisemment bizarre pour eux comme ça !" Il ajouta avec un petit sourire "...Mais...Je peux bien vous montrer un morceau, pour vous remercier d'avoir prit soin de moi jusque là." Il réfléchit et pensa à une chanson traditionnelle du nouvel an que le vieil homme lui avait joué. Il verifia que le dimo, la membrane qui bouchait le second trou et qui permettait ce son particulier, était bien fixée. Puis il porta l'instrument à sa bouche, et colla seulement sa lèvre inférieure sur le bord du trou pour souffler. Laissant ses lèvres à peine entrouvertes, il ferma les yeux et commença à jouer.
Lorsqu'il eut terminé, il posa le dizi sur ses genoux et dit simplement, en se tournant vers Akari: "Oh...J'ai un peu perdu on dirais, il faudra que je m'entraîne un peu plus." | |
| ## Sam 23 Juil 2011 - 9:41 | ||
Akari Ushiromiya Messages : 1522 Date d'inscription : 02/02/2011 Age : 27 Emploi/loisirs : 1. Mannequin de renom. 2. Infirmière de Terrae. 3.Cut someone into pieces...? Humeur : Don't go screaming if I blow you up with a bang, sweetie~ | - Le dortoir...? Je ne voulais pas vous inquiéter Ushiromiya sempai ! C'est juste que...Je n'imaginais pas une seule seconde que tout cela puisse être vrai...Je veux dire, cette histoire d'humains possédant des pouvoirs, et ce feu...Et cet endroit ! C'est à la fois un peu effrayant et follement excitant...C'est très gentil à vous de vous soucier de moi ! En fait, vous devez bien être la première...- dit Ushiwaka après s’être assis dans l’herbe. Vous aimez la musique aussi ? Je n'ai pas eu l'occasion de jouer d'instruments, j'ai fabriqué ce dizi moi même...C'est bien le seul son qui puisse m'apaiser aussi. J'aime beaucoup cette mélodie, même les moines l'ont toléré au monastère ! Je ne sais pas par quel miracle d'ailleurs... Je souris gentiment. La première à se soucier de lui ? Je ne pensais pas qu’une sadique comme moi allais se soucier que quelqu’un. Si j’aime la musique ? Bien sur que j’aime la musique !! J’adore la musique ! Le monde serait une erreur sans une musique, je pense. C’est la seule chose qui puisse me calmer quand je suis en colère, ou dépressive. Ce que j’aime le plus, c’est chanter. Une voix de casserole ? Non. Ma mère fut chanteuse, autrefois. Elle a une voix qui peut aller dans les aigus (au maximum) mais aussi dans le grave (au maximum). Comment on appelle ça, déjà ? Forte, mezzo forte ? Un truc du genre, je ne m’en souviens plus. Bref. Depuis toute petite j’avais appris le piano, et le violon. J’ai toujours voulu essayer la flute traversière mais j’avais la flemme. Déjà que violon et piano me piquaient mon temps, je n’allais pas le raccourcir avec de la flute. J’avais déjà entendu parler du dizi, un instrument venant de Chine. Mais il y a aussi me dizi indien je crois qui est plus grave. A vrai dire, je ne m’étais jamais arreté à cette flute en bambou. Non, jamais. Mais ça m’excitait de voir quelqu’un jouer de ça. Je n’en ai jamais vu ! Alors vu qu’Ushiwaka sait en faire, autant profiter ! Lorsqu’il me dit qu’il avait fabriqué ce dizi lui-même, je restai bouche bée. Pas mal !! On n’a pas le droit de jouer de ça au monastère ? Wah… Mais je leur aurai cassé la tronche aux moines ! Ils ne chantent pas, eux ? Alors pourquoi on n’aurait pas le droit de jouer d’un instrument ? Tss… - Je...J'évite de jouer dans ce genre d'endroit d'habitude, j'ai peur que les gens se moquent de moi. Je suis déjà suffisamment bizarre pour eux comme ça ! Ah…dommage… J’étais un peu triste. - ...Mais...Je peux bien vous montrer un morceau, pour vous remercier d'avoir prit soin de moi jusque là. Un sourire enjoué éclaira mon visage. Oui, vous savez le genre de sourire qu’un enfant fait lorsque ses parents lui amène une surprise ! Je fermais les yeux lorsqu’il commença à jouer. C’était très beau. Vraiment très beau. J’avais l’impression d’etre seule au monde. Quelques bons souvenirs me revinrent en tete comme la fois où j’ai barbouillé de glace le visage de super-maitre, ou quand j’ai parlé avec Shizu-chan après mon combat. Mieux : quand j’ai déchiré le T-shirt de Sasuke pour le menacer mais aussi pour regarder son torse, fichtre ! Haha… Bon, j’arrete. Je revoyais aussi ma famille de dingues. C’était une mélodie plutôt joyeuse, tant mieux ! Lorsqu’il eut terminé, Ushiwaka déclara qu’il fallait qu’il s’entraine un peu plus. Non mais je rêve… - C’était parfait !! –dis-je avec les yeux brillants d’un enfant qui venait de voir le père noel.- J’adore le son de ce dizi ! Bravo pour l’avoir fait tout seul en tout cas ! –fis-je en l’applaudissant sous les regards des autres débiles. Très facile de les menacer. Je regardai une fille, cette fois. Oui, je suis demandée par les hommes, mais aussi par les filles. La fille recula d’un pas sous mon regard menaçant : la couleur rouge-sang accentuait tout ! Et automatiques tous les autres crétins arrêtèrent de se moquer. Voilà ! Héhé ! Ils ne comprennent rien à la musique ! | |
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