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##   Jeu 14 Mar 2019 - 22:53
Afya Soubagamousso

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Afya Soubagamousso
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Comme souvent lorsqu’elle parle de chez elle, on lui propose de voyager. Elle sourit presque amusée, puis finit par décliner.

« J’ai déjà visité tes montagnes, dans les pensées d’une télépathe, je ne pense pas pouvoir un jour quitter Terrae, alors mes déplacements seront comptés. Je ne crois pas que la directrice me permette nombres voyages… »

Elle ne se doute pas qu’il y ait plusieurs massifs montagneux en France, un seul lui parait bien suffisant. Et si elle ne doute pas que les masters voyagent énormément pour chercher les futurs initiés, elle doute de faire un jour partie des leurs.

« Il était sur un pont, il lui aurait suffi de le faire écrouler et ses ennemis auraient perdu du temps pour trouver un nouveau chemin. Je ne pense pas qu’une mort puisse servir une cause, une mort reste une mort. Un fois qu’il n’y a plus personne pour la défendre, la cause disparait d’elle-même. Ce sont les vivants qui font le monde, non les morts. Si les héros sont morts au combat c’est qu’ils n’étaient pas des héros mais des symboles, on ne se souvient pas des héros, de ceux qui changent réellement le monde en profondeur. On raconte de grandes épopées, de jolies histoires pour donner du courage et inspirer, mais jamais celles de ces personnes de l’ombre qui font avancer le monde. »

Personne ne parle de ce master qui est venue la chercher dans ce centre de soin, pourtant pour elle c’est le plus grand héros du monde.

« Pardon, je ne cherche pas à te contredire en tout point. Je comprends la nécessité qui pousse un homme à se sacrifier pour ceux qu’il aime, mais je ne trouve pas de gloire ni de prestige à le faire pour ses dieux ou ses aïeux. »



La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons.
Ellana, l'Envol,Pierre Bottero
##   Sam 16 Mar 2019 - 12:17
Akkiko Tomoaki

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Je notais les arguments de la jeune femme, appréciant la répartie que je jugeais de manière subjectif, très sage. Je terminais avec tristesse mon chocolat chaud avant de répondre. 


"Tu a un point de vue qui ne manque pas de bons arguments, ne t'excuse pas de pensé par toi même. De part mon passé je ne peut que m'identifier plus vers les figures de ceux qui protège avec une arme, même si j'apprécie tout autant de créer, d'observer et voir pousser la nature en m'assurant que l'équilibre y règne." 

Je regarde la fenêtre donnant sur le monde de l'extérieur, une pluie de minuscules joyaux aqueux se laisse attirer par la gravité aimante de notre planète. La pluie, qui donne l'essence de la vie partout où elle se laisse tomber.

"Il est triste que tu ne puisse pas voyager. le voyage est une source intarissable de savoir et d'expérience, de souvenirs... Je comprend la peur de la directrice de ne pas vouloir laisser les gens venant ici se balader par la suite sans encadrement. Mais un jour je pense que Terrae sera trop petite et qu'il faudra bien que les gens retourne à la vie à l'extérieur... Puis j'ignore comment ont peut ressentir un souvenir par télépathie, mais serait ce pas encore mieux de vivre une expérience par soit même pour faire son propre souvenir?"

Voyant que la pluie ne cessait pas, je demandais au serveur de bien vouloir amener quelques croissants et pains au chocolat. La peste soit des gens qui disent "chocolatine" Sont ils vraiment français?
Alors que les viennoiserie arrivent, je les tends dans leurs petite coupole à la conteuse. Mange est un acte sociable, partager son repas l'ai encore plus.


"Souhaite tu que je te dévoile un conte de chez moi? Conteuse... Nous sommes visiblement mieux ici que dehors sous les larmes du ciel alors autant profiter pour partager des histories." je proposais gentiment avant de croquer dans mon pain au chocolat.
(c) par elfyqchan pour Never-Utopia


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##   Sam 16 Mar 2019 - 17:40
Afya Soubagamousso

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Afya Soubagamousso
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La pluie se met à tambouriner sur la fenêtre. Elle pense confusément qu’elle n’a pas envie d’affronter le froid humide qu’il doit à présent régner dehors. Elle voit la buée se former sur les vitres et devine que la température a encore chuté dehors. Elle resserre ses doigts sur la tasse de thé chaud alors que la sphère aqueuse retombe paresseuse dedans. Elle la lève à ses lèvres et se rend compte qu’elle est à présent buvable sans risque. Le gout amer sur sa lippe ne lui tira pas de grimace. Elle ne sourit pas pour autant, elle repose la tasse et se reconcentre sur l’homme à ses côtés.

« Je ne serais jamais autant attachée à ces lieux que la personne qui me les a fait découvrir. J’imagine donc que leur souvenir même transmis est plus beau que celui que je pourrais m’y faire. Et je dois t’avouer que la neige et le froid ne m’attirent pas plus que ça. »

Bien au contraire, elle regrette presque déjà d’avoir accepté de suivre Baxter à Chicago pour contempler le lac gelé de Michigan. Elle sait qu’elle aura froid, elle déteste avoir froid. Le froid est l’ennemi ultime. Le froid gèle ses articulations et les enrayes. Elle n’y songe pas, elle ne visitera les autres contrées que l’été. Elle n’en démordra sans doute pas. Encore faudrait-il qu’elle se rende compte avant de partir de la saison qu’il fait dans l’autre pays. Je ne suis pas certaine qu’elle soit au courant que la saison change avec l’hémisphère…

C’est le genre de choses évidentes qui lui échappent, elle n’a pas grande culture, bien qu’elle lise beaucoup actuellement. On va dire qu’elle a une culture sélective, celles que les bibliothécaires lui conseille. Elle aime les Lumières et les auteurs français classiques. Déjà parce qu’ils ont la bonne idée d’avoir écrit en français, ce qui aide grandement l’ivoirienne à les parcourir, et ensuite parce qu’ils sont présents dans les rayons de la bibliothèque ce qui l’aidait tout autant.

« Avec plaisir ! »

Elle ne refuse jamais une histoire, elle les apprécie même grandement. Elle tend une oreille attentive.


La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons.
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##   Dim 17 Mar 2019 - 19:59
Akkiko Tomoaki

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Akkiko Tomoaki
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Profitant d'avoir quelqu'un à qui parler des contes des anciens des montagnes, je toussais pour m'éclaircir la voix et m'assis droit pour conter aussi bien que possible l'histoire d'un homme qui avait réussis à brisé un contrat avec le diable. 


"Un jour que Duvalon, un habitant d'un hameau proche du col de la Madeleine, était monté au village de Bessans et qu'il s'était attardé, alors qu'une tempête de neige faisait rage, il trouva le chemin trop long et trop dur ; plusieurs fois, son pied glissa dans la neige et, à bout de forces, il s'écriat :
"N'y aurait-il pas un Diable qui pourrait se présenter en ce moment pour abréger cette distance qui me paraît si longue !!!!"
Tout à coup, une ombre se présenta devant lui. Un homme de haute taille, et à la voix d'une gravité exceptionnelle :
"Tu m'as appelé, je suis là ! Si tu veux, en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, tu seras chez toi près de ta femme ; tu parviendras aux honneurs si tu le désires ; tu auras la fortune et, pendant cinquante années, tout ce que tu pourras souhaiter se réalisera. Mais à une seule condition, tu m'appartiendras au bout de ce temps !!"
Ainsi parla Cambradin le diable...
La tentation était trop forte. Duvalon, après un instant d'hésitation, accepta. Le pacte fut signé avec le sang de Duvalon sur un parchemin que le Diable avait préparé. Avant de prendre congé de Duvalon, il lui dit encore qu'il aurait besoin de sa présence de temps en temps à l'avenir surtout la nuit.
Puis dans un grand bruit de tonnerre, au milieu des éclaires, le Diable disparut...
De peur, Duvalon avait fermé les yeux, et quand il osa regarder de nouveau, que tout fut calme, il eut la surprise de se trouver devant chez lui.
Duvalon alla au service du Roi Louis XV. Mais la vie militaire ne lui plaisait guère.
Après s'être sorti des mains des révoltés contre la gabelle, grâce au secours de Cambradin, il voulut retourner chez lui, en Maurienne.
Comme il faisait des exercices au camp, en présence du capitaine, audacieusement il proposa à celui-ci un pari extraordinaire :
"Si je franchis le portique à cheval, que m'accordez-vous ?"
Celui-ci de lui répondre en voyant l'impossibilité d'un pareil exploit répondit :
"Je vous accorde votre congé."
Faisant une nouvelle fois appel à Cambradin, Duvalon prit un bon élan et, plantant les éperons dans le ventre de son cheval, d'un bond vertigineux, franchit le portique sans même le heurter.
Le capitaine tint sa parole et Duvalon, ayant empoché la prime d'engagement, se retrouva tranquille dans sa maison.
Quelque mois plus tard, par une nuit d'hiver glaciale, voilà qu'au clair de luine, une voix se fait entendre du dehors en appelant :
"Duvalon...Duvalon..., il faut partir!"
Devant cette puissance autoritaire, Duvalon céda et suivit le personnage. Mais quelques pas plus loin, ils furent transformés tous les deux en loups hideux et partirent en hurlant pour terroriser les quelques voyageurs attardés dans le chemin neigeux.
Les appels du redoutable visiteur devenaient de plus en plus fréquents ; mais il ne se montrait jamais à Annette, la femme de Duvalon.
Mais cette fois-là, par une nuit d'orage, à l'appel du Démon, elle sortit à la place de son mari, et se trouva face à face avec un monstre hideux qui lui dit :
"Ce n'est pas toi que je veux, c'est ton mari ; c'est lui que je demande et qui est sous mes ordres par contrat.
Annette répondit aussitôt qu'elle l'avait épousé et qu'il lui appartenait.
"- Ton mariage avec lui n'a aucune valeur, d'ailleurs, tu n'as aucune preuve à me montrer.
- Si ! J'ai celle-ci...."
D'un geste brusque, elle allongea son poing fermé et heurta de son anneau de mariage le mufle de la bête. Alors d'un bond, le monstre se renversa et, pris de frayeur, déguerpit en hurlant et disparut pour cette nuit-là.
Duvalon se crut alors libéré de son engagement. Mais, un mois plus tard, le visiteur se présenta de nouveau, avec insistance pour réclamer l'âme de Duvalon. Annette, qui ne quittait plus son mari, le tenant toujours par la main portant son anneau, voulut s'interposer et finalement, obtint treize jour de délai.
Elle partit, toujours suivie de son mari, et alla exposer la situation au directeur du couvent, de l'autre côté du col du Mont-Cenis. Après avoir écouté toute l'histoire, il leur dit que seul le Pape pouvait avoir le don de le libérer.
Les deux Duvalon se mirent en route pour Rome. Après de grandes difficultés, le Pape les reçut.
"Vous serez libéré de votre engagement, à la seule condition de pouvoir assister de bout en bout à trois messes de minuit, et cela la même nuit de noël, dans trois villes différentes, à Rome, à Paris et à Londres."
Ils avaient encore sept jours devant eux pour réfléchir avant Noël.
Duvalon avait son idée, mais il n'en dit rien à sa femme ; et la nuit du 24 décembre, pendant qu'Annette se lamentait, il sortit de chez lui et appela Cambradin.
Quand celui-ci fut présent, il lui demanda de mettre à sa disposition le cheval le plus rapide qu'il eût.
A l'instant même, un bruit formidable se fit entendre au dehors et un grand cheval gris se présente sur le pas de la porte.
Duvalon lui demanda :
"- Quelle est ta vitesse ?
- Je vais aussi vite que le vent.
- Ce n'est pas toi que je veux."
Un autre animal se présenta :
" - Je vais à la vitesse de la lumière.
- Ce n'est pas toi que je veux !"
A l'instant, un troisième cheval se présenta :
" - Et toi, quelle est ta vitesse ?
- Je vais à la vitesse de la pensée.
- Ah ! Bien.... C'est toi que je veux. Tu vas me transporter immédiatement à la porte de saint-Pierre de Rome.
Alors, dans un bruit d'enfer, comme si la montagne s'écroulait, le cheval que Duvalon avait enfourché, l'emporta et Duvalon se trouva instantanément devant la porte de la cathédrale. Il n'eut que le temps de dire à son cheval de l'attendre jusqu'à la fin de la messe.
Dès la fin de la messe Duvalon se fit porter à la même vitesse devant la porte de Notre Dame de Paris. La différence de l'heure de Paris et celle de Rome était presque d'une heure et il eut la possibilité d'assister dès le début à la messe de minuit à Paris.
A la sortie, il se fit transporter à Londres et, là aussi, comme l'heure de Londres et celle de Paris différaient de cinquante minutes, il put arriver à temps à la messe de minuit à Londres.
A la sortie, il utilisa encore son cheval pour se faire déposer devant sa porte au village. De retour chez lui, Duvalon appela Cambradin et lui demande de lui remettre son contrat. Celui-ci tendit le parchemin et par miracle, la signature que Duvalon avait tracée de son sang était effacée. A sa place, figurait la signature du Pape.
Cambradin, horrifié à la vue de ce signe, disparut dans un grand tourbillon de neige et un bruit de tonnerre que l'on entendit dans toute la vallée.
Duvalon vécut encore longtemps avec sa femme. Seuls, quelques amis furent au courant de cette histoire et, de génération en génération, elle parvint jusqu'à nous racontée durant les longues soirées d'hiver."



Après cette longue diction, je poussais un soupir. je n'avais pas l'habitude de mener une discussion si longue.  La pluie s'était tari à l'extérieur et hélas j'allais devoir à nouveau repartir et quitter la demoiselle. Une autre demoiselle ayant besoin de mon aide pour construire une tenue capable de voler. .
(c) par elfyqchan pour Never-Utopia


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##   Mer 20 Mar 2019 - 9:18
Afya Soubagamousso

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Les efforts de narration de l’homme sont à souligner, il essaie de changer de voix pour chacun des personnages, et si celles du pape et du diable se ressemblent un peu leur vitesse d’élocution varie. Elle écoute avec attention, elle sait maintenant qu’on peut lui demander ce qu’elle en a pensé. Elle trouve d’ailleurs cela bien triste, pourquoi doit-on penser en écoutant une histoire ? Ne suffit-il pas de l’entendre comme on entend la pluie sur les vitres ? Faut-il se demander pourquoi chaque goutte tombe au lieu d’en apprécier la mélopée ? Elle se fait attentive, mais non pas aux quelques erreurs narratives de l’homme qui se trouve vraisemblablement attiré dans un domaine qui n’est pas les sien. Qui raconterait des histoires aux arbres si ce n’est l’ivoirienne ? Qui raconterait des histoires aux armes si ce n’est l’ivoirienne ?

Duvallon n’est pas présenté autrement que comme un habitant égaré, elle ne comprend qu’il est jeune qu’au temps qui passe. Ses erreurs sont celles de son âge : l’inconsidération et la fainéantise. Elle a du mal à comprendre quel est le tribut qu’il doit au diable et le fait qu’il accepte de l’aider le soir à terroriser des voyageurs pour un seul souhait exaucé. Pourquoi ne demande-t-il pas plus sachant qu’il devra donner son âme au bout de cinquante ans. Il part faire la guerre, alors que le malin eut pu l’en dispenser. Il se pourrait seigneur n’est que vassal. Elle comprend malgré tout le fait qu’un pacte antérieur annule celui avec le diable, seulement elle a conscience que le mariage ne tient que « jusqu’à ce que la mort les sépare. » Elle l’a lu assez souvent et l’a vu assez souvent dans les films qu’on lui a conseillé de regarder pour faire sa culture.

La tasse tourne à nouveau dans ses mains alors que l’histoire se poursuit, parfois elle fait quelques aller-retours entre la table et ses lèvres. Toujours en silence. Quand le silence gagne à nouveau les lèvres du français elle le laisse s’installer paisiblement. Savourant cette histoire et le gout qu’elle laisse derrière elle.

« J’aime bien ton histoire, merci. »

Elle lève la main pour demander un verre d’eau sachant que le sucre du chocolat ou sa texture n’apaiseraient pas réellement le conteur. Il recouvrirait simplement la brulure sans l’apaiser.

« Bois ça, cela calmera ta soif. »


Elle voit ses nombreux regards vers l’extérieur et comprend que pour lui l’entrevue est déjà terminée. Elle se lève alors qu’il se désaltère et part au comptoir régler leurs deux commandes. Elle demande aussi quelques douceurs à emporter si cela est possible, et bien entendu cela lui est accordé. Elle pourra ainsi en partager quelques-unes avec Ariana.

« J’espère que nos chemins se croiseront à nouveau. Conteur. »
dit-elle alors qu’elle s’empare de son manteau et de ses moufles restées sur le siège.


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