Hrpg :

L’infirmière semble les regarder tout les deux en essayant de sourire malgré l'aspect "dramatique" qui se déroule. Elle fait un "oui" de la tête à Sasuke Puis commence à marcher en direction de l'infirmerie. Je me fait à moitié porté par le master à la tignasse rouquine se faisant appeler Sasuke. C'est quoi ce nom, Sasuke..? Pfft' j'en fiche dès que je serais sur pied je me casse de cet endroit. Ce n'est pas ma maison ici, en fait je crois ne pas en avoir. Tout comme mon vrai nom. Si ça se trouve, j'en ai pas non plus. Je ne sais pas. Je me demande comment je m'appel en vrai... Non, tout compte fait j'm'en fiche.
Je me fait presque traîner vers l'infirmerie, l'endroit auquel j'ai le moins envie d'y rester à Terrae. Je me demande s'ils ont encore leur sous-sols où personne ne doit y aller. Je pense y avoir déjà été mais je ne sais plus. En tout qu'à, il aura du mal à me porter jusqu'à l'infirmerie si je m'y met pas du mien. Temps mieux, qu'il me porte jusqu'à avoir le dos en vrac.

- Heum... D'accord, merci d'apporter Monsieur Jigoku à l'infirmerie.

J'aurais pas vraiment dû revenir. Il aurait fallut que je chope un guérisseur et hop, déjà repartit au casse-pipe ! Ça aurait été plus facile comme ça. Ah ouai mais j'aurais dû éviter de croiser le master télépathe, ça n'aurait pas été pratique. Je me sens tout engourdi et fatigué. Je crois... que je vais retomber dans les vapes...
~ Il s'assoupit à moitié sur le pauvre Sasuke, lui laissant tout son poids à porter. Il "rêve", laissant la possibilité à ce dernier de lire en lui ou plutôt dans son "rêve" sans qu'il le sache. ~

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Où-suis je ? Hum... Chez nos chers "amis " les scientifiques ? Je dois rêver. Non, on dirait l'un de mes souvenirs. Mais on n'est pas dans une de ces pièces blanches et sentant la mort. Non, on est dans une simple chambre, simple et sans vie.
Un simple lit une place avec des draps blancs et un bureau à côté. Le bureau est en bois et simple, juste une simple planche et quatre bout de bois pour faire les pieds. Il y a un tas de feuilles écrit surement par un enfant vu la façon dont est écrits ces mots. Un tabouret en bois lui aussi servant de chaise. Il n'y a pas de tapis, aucun objet très personnel, aucun jouet, aucun tableau accroché sur le mur. On y trouve seulement une veille armoire bancale qui tient debout grâce un petit bout en bois mit en plus sous l'un des pieds qui est cassé.
Bizarre, je me sens tout petit. Je me tourne soudainement vers la porte vois mon reflet dans le miroir. Mais c'est... moi petit ! Qu'est ce que je fiche ici ?! J'ai l'air... heum... d'un petit clochard que l'on aurait ramasser dans la rue. Je suis sale, dans des vêtements troués et sales eux aussi et pas de chaussures. J'ai aussi la bouche couverte de morceaux de riz. Mon expression est heum... et bien même petit j'en avais pas.
Soudain, quelqu'un ouvre la porte. Un homme bien grand et bien portant me regarde avec les sourcils froncés. Il a de la barbe bien entretenue mais presque pas de cheveux. Il a des vêtement assez riches et son air hautain lui va comme un gant. Il m'ordonne de le suivre, ce que je fais. On traverse un beau salon immense et luxueux en noir et blanc avec des touches de couleurs comme la rose rouge dans le vase blanc sur la table.
Un scientifique, que l'on reconnait de loin avec sa "magnifique" blouse blanche est près de la porte d'entrée. Il sourit, d'un air satisfait en me voyant. Je le reconnait, enfin, je pense le connaître. Je l'ai déjà vu lorsque j'étais enfermer pour la première fois chez les scientifiques. L'homme en blanc lui remet une valise en cuir noir que le gros lard prend avec entrain. Il a l'air d'apprécier ce qu'il y a à l'intérieur. Souriant, il remercie le scientifique qui ordonne à deux grand types de me ficeler et me bander les yeux.
Je ne vois donc plus rien mais cela ne m'empêche pas d'entendre et de sentir. On me porte jusqu'à une voiture ou un véhicule s'en rapprochant. Je pense être à l'arrière avec l'un des gros types ayant abusé du déodorant et le scientifique car il n'arrête pas de parler. Il me dit ce qu'il fait et ce qu'il compte faire de moi. Un esclave, un rat de labo'... bref rien de positif. Il me dit aussi que si je fais preuve de loyauté j'en serais récompensé et deviendrais peut-être comme lui. Soudain quelque chose s'approche de moi et me transperce. Un aiguille ..?

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Je me réveille en sursaut dans un lit où une personne semble m'observer...
~ Shiroi est dans un lit d’hôpital et l'infirmière s'occupe de lui soigner ses blessures. Il regarde le plafond en restant un peu encore dans les vapes. Son souvenir c'est arrêté quand Sasuke l'a déposer dans le lit. ~