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Le Lac ou la mare aux grenouilles !
##   Sam 22 Juin 2013 - 22:47
Anonymous
Invité

Pendant ce long et grand saut la belle c'était accrochée à moi assez fortement, bon même si j'avais réussi à l'écarter à temps pour ne pas que l'on se blesse, enfin surtout qu'elle se blesse car elle n'était pas vraiment lourde du tout " je sais j'ai des pouvoirs titan mais chuteuu ". Elle avait fait un magnifique crie qui avait réussi à me faire mal aux oreilles mais bon, à la base c'était elle qui voulez ça et je n'avais fais que lui accorder sa volonté. Alors que je commençais à me demander ce qu'elle faisait, j'avais vu à un ou deux mètres de moi l'eau s'agiter violemment " mais n'y avait-il pas que nous deux à la base ? " " bein si, bon regardons ce que c'est " Elle était alors sortie de tout ce remous en fonçant à toute vitesse vers moi pour finalement s'accrocher comme une dingue en affirmant la chose suivante :

-UNE GRENOUILLE A VOULUS ME TUER JE LE JURE !

Allons bon elle avait du par malheur croiser le regard d'une jolie petite grenouille qui nageait surement paisiblement dans cette eau avant que par notre saut on les dérange et les perturbe dans leur tranquillité et leur sérénité. Moi par réflexe j'avais alors entourée la princesse de mes bras alors qu'elle elle essayait désespérément de rejoindre la rive en nageant " Euh Léon n'a t-elle pas oublié qu'elle est accrochée à nous " " euh...si si je crois bien attend " Alors je commençais à lui dire :

-Vous voyez princesse ne l'avais je pas dis que----- Elle m'avait alors coupé dans ma phrase en disant le mensonge du siècle, -Ne me dites pas que vous m'aviez prévenue ! Je n'ai absolument pas peur.

Hum certes ces mots là sortaient de sa bouche mais franchement au vu des réactions que j'ai pu admirer et des paroles que j'ai pu entendre euh elle allait pas me la faire à moi celle là. Alors que l'on, enfin que je flottait tranquillement en la tenant quelques petites grenouilles étaient venu nous voir " ro allez vous en je jouerez bien moi mais la demoiselle serait pas d'accord s'il vous plait " " Léon elles lisent pas dans les pensés et de toute façon elle comprennent pas si on leur parle " " mouais tu as raison " J'avais pas eu le temps d'en placer une que la princesse en rajoutait encore :

Regardez ! Vous me croyez maintenant ? Regardez comment elles m'attaquent ! Je veux pas mourir !

Alors qu'elle tapait dans l'eau les grenouilles elles n'en avaient rien à faire, je décidais alors de parler " surtout enfaite car je pouvais enfin en placer une sans être interrompu " :

-Princesse veuillez bien fermer les yeux ou me regarder uniqueement moi pendant que je vous amène jusqu'à la rive la ou vous serez en sécurité d'accord !  

Je nageais alors normalement tout en regardant les grenouille d'un aire un peu désolé alors qu'elles, à travers leurs regards je pouvais presque sentir une sorte de sensation d'excuse ou un truc dans le genre, au fond elle voulait juste faire mumuse rien d'autre, ralala si seulement je pouvais apprendre ça à la princesse mais bon. Arrivé prés de la rive je la reposais alors au bord et ensuite j'étais monté chercher nos affaires avant de revenir à ses côtés en l'entourant avec la serviette pour qu'elle se sèche et je me posais derrière elle pour la masser et faire en sorte de la détendre: 

-J'ai quelque chose à t'avouer enfaite moi aussi...Je prenais alors une grande respiration, il y à quelque temps maintenant une amie est morte ici, et depuis quand je viens la nature à tendance à se rapprocher de moi genre " on est la pour t'aider un peu " Alors si tu restes calme et que tu ouvres bien les yeux tu devrais percevoir quelques animaux dans les buissons tout autour, ou du moin presque ! 


Je la massais le long de son dos et de son cou tout en lui séchant les cheveux avec la serviette, espérant juste que les quelques écureuils et oiseaux ne lui feraient pas peur. Car on était plus observais qu'autre chose par quelques piverts et rouge gorge suivie des rongeurs, d'ailleurs il y en avait un qui était venu se poser devant nous sans fuir.
##   Dim 23 Juin 2013 - 20:27
Sixtine Szpadime

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Sixtine Szpadime
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Alors que je continue de taper sur la surface de l'eau, Léon décide qu'il est temps d'intervenir dans mon combat soliste face aux grenouilles. Pff ! Même pas peur d'abord.
Ah ! Une bébé Georgette ... !
 
-Princesse veuillez bien fermer les yeux ou me regarder uniquement moi pendant que je vous amène jusqu'à la rive la ou vous serez en sécurité d'accord !
 
C'est bien. Au moins, j'ai le choix. Soit je le regarde lui, soit je ne vois rien. Je m'agrippe à lui doucement, histoire de pas lui faire mal, surtout après ses griffures de guerres avec les ronce. Je ferme les yeux. Pas que je veuille pas le voir. Mais j'ai plus de chance de croiser des grenouilles en chemin donc bon ...
Après être remorquée à la rive, je me décidée à ouvrir les yeux que lorsqu'une serviette vint m'enrober.  Je me sèche vivement avec de sentir les mains de Léon dans mon dos !
Je frissonne, parce que sur le coup, je vois plus ca comme une menace qu'autre chose. L'orphelinat laisse des séquelles. Celle de la méfiance ne me lâche pas on dirait.
 
-J'ai quelque chose à t'avouer enfaite moi aussi... Il pris une grande respiration.Il y à quelque temps maintenant une amie est morte ici, et depuis quand je viens la nature à tendance à se rapprocher de moi genre " on est la pour t'aider un peu " Alors si tu restes calme et que tu ouvres bien les yeux tu devrais percevoir quelques animaux dans les buissons tout autour, ou du moin presque ! 
 
Je me glace instantanément. De 1) Parce que je pensais cet endroit être le plus sécurisé. De 2) Parce que Léon sentait la tristesse comme pas possible. Et de 3) Parce que savoir qu'une fille - amie de Léon - était morte ici, ca jette un froid sur l'endroit !
Ses doigts remontèrent sur mon coup pour enfin rattraper la serviette et me sécher les cheveux. Trop adorable. Trop triste. Trop de sentiment mélangés.
Une larme coule sur ma joue et j'espère juste qu'il  ne la verra pas. Je suis triste parce qu'il a eu mal en cet endroit ...
Mes yeux croisent ceux d'un petit écureuil. Contrairement aux espèces marines, je suis toujours  "in love" avec les autres.
 
-Un bébé écureuil. Murmurai-je pour moi même.
 
Je casse le contacte en me retournant, toute mouillée sur Léon qui n'avait pas l'air d'avoir prévus le coup. Je le serre dans mes bras, de toute la minime force qu'il me reste.
 
-Je suis désolé pour ton amie !
 
Une deuxième larme coule et me fais renifler. Mon égo me prend en pleine figure, je le lâche, attrape mon sac et en profite pour sécher mon visage. Je sors un pansement. Oui, je pense à TOUT ! Mais comme quoi ca sert à quelque chose !
Je l'ouvre et le colle sur le bras de Léon qui saigne depuis notre rencontre.
J'attrape la serviette et lui sèche à mon tour les cheveux. C'est donnant-donnant !
Dis plutôt que c'est parce que t'as pas l'habitude des marques affectives et que tu sens que tu vas craquer ! Toi SHUT PLEASE !
Un craquement de feuille me fais regarder derrière son épaule.
 
-Oh ! Encore un écureuil ... T'es le roi des animaux dis donc. Ils t'aiment vraiment vraiment ? Demandai-je une fois de plus avec une voix enfantine.
 
Celle-là non plus, tu ne la lâche pas comme habitude. T'es sur que la psy a pas dit de toi " C'est un cas désespérée !" ? Mais arrête de m'embêter !
Niarf Niarf Niarf : non, j'adore ca !
Je me remets à lui sécher les cheveux tout en regardant discrètement autour de nous. C'est vrai que les animaux se sont rapprochés !
##   Lun 24 Juin 2013 - 16:44
Anonymous
Invité

Elle avait répondue à ma proposition en fermant ses yeux et en me serrant , je supposais qu'elle voulais éviter de croiser le regard de quelques grenouilles car elle croirait que cette bestiole voudrait nous tuer alors que moi tout le long du chemin je les écartais pour pas qu'elles puissent monter sûr la princesse et je nageais tranquillement puisque pour moi elle ne pesait rien grasse encore une fois à mon pouvoir, d'ailleurs il allait falloir que je lui montre a force de titan mais après l'avoir poser hein pour pas la brusquer. 
Donc ensuite survint le massage que j'avais commencé à lui faire et que je lui avait tout avoué car il le fallait bien, elle m'avait dit ses secrets alors je lui disais les miens normal quoi...'' merde quoi !!! ZUT QUOI !!! AHEUM STOPPP !! '' 

Une sensation bizarre avait traversé son corps car elle avait frissonné et elle avait donc la chaire de poule "non sans blague en même tant vu ce que tu viens de dire " " Toi enfin moi ferme là un peu autant qu'elle soit au courant merde " Après lui avoir séché les cheveux je la caressais plus que de la masser " espèce de boulet tu viens de casser tout un mythe " " toi tait toi et aide moi plutôt " " OK OK " 

Quand l'écureuil c'était posé devant nous je l'avais entendu murmurer très bas :

-Un bébé écureuil.

Effectivement c'était un joli petit écureuil tout beau sortie de nul part et il avait même pas peur de nous car il c'était tranquillement assis. Pendant que j'admirais le courage du bestio, elle elle c'était vivement retourné en me prenant vivement dans ses bras pour s'excuser pour Livy, ce qui avait eu pour effet de me déstabiliser et de me faire tomber à la renverse. Tient une larme coulais sûr sa joue " Je te l'avais bien dit " " pour la dernière fois ferme LA ! " Je la lui avait alors enlevé en l'effleurant du doigt avant qu'elle ne se relève pour fouiller dans son sac et en sortir un pansement qu'elle m'avait collée sur le bras à un endroit ou ça saigné abondamment. Ensuite elle avait attrapé la serviette malgré que j'avais pas fini de la sécher et elle avait fait de même pour moi. 

Cela faisait du bien je l'avoue et c'était assez plaisant comme situation car on était au calme sans personne pour nous embêter, du moin jusqu'à ce qu'un craquement raisonnait derrière nous. Moi je ne bougeais pas la tête car je pouvais pas vraiment " Dis plutôt que tu aimes bien qu'elle te sèche de ses mains " " Mais..." " découvert hahaha " elle avait alors tourné la tête puis d'une voix enfantine elle avait dit :

-Oh ! Encore un écureuil ... T'es le roi des animaux dis donc. Ils t'aiment vraiment vraiment ?

Je lui répondais alors :

-Bein non je suis pas leur roi puisque je les commandes pas, c'est juste eux qui s'approchent sûrement parce qu'ils sentent que je ne leur ferais jamais de mal ! 

Après avoir dis cela je me retournais alors en attrapant la serviette pour finir ce que j'avais commencé et rajoutais :

-Princesse c'est au chevalier de prendre soin de vous pas l'inverse je suis juste votre armure et votre lance rien de plus !

Et je la séchais alors en commençant par lui frotter son visage délicatement car les cheveux je l'avais déjà fait, ses yeux verts me laissais toujours aussi perplexe car ils étaient vraiment hypnotiseuses. ensuite j'avais commencé à lui sécher les bras et les jambes :


-Dite princesse quand vous aurez fini d'écrire l'histoire de notre rencontre aurais-je l'autorisation de la lire ? A et j'essaierais de faire en sorte de devenir plus fort pour que personne ne vous touche. Avais-je dis totalement remonté en particulier contre ce Michigan.  
##   Lun 24 Juin 2013 - 17:43
Sixtine Szpadime

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-Bein non je suis pas leur roi puisque je les commandes pas, c'est juste eux qui s'approchent sûrement parce qu'ils sentent que je ne leur ferais jamais de mal ! 

Pourquoi les hommes assimiles toujours "roi" avec " tout le monde m'écoute ou crève" ?
Moi je trouve que c'est le roi des animaux parce qu'il a leur confiance. C'est un roi humain des animaux ! Oui, on a compris Sixtine.
Pendant que je bataille avec mon moi intérieur, Léon me pique la serviette. Quel traitre !

-Princesse c'est au chevalier de prendre soin de vous pas l'inverse je suis juste votre armure et votre lance rien de plus !

Ah non ! Je tente de lui reprendre la serviette, mais mes petits poings ne valent rien contre mon armure d'ami ! D'ailleurs, mon Sir va devoir se mettre dans la tête que c'est donnant-donnant. Ou c'est moi qui n'a tellement pas l'habitude que l'on s'occupe de moi que je préfère faire de même.
Non, c'est juste que j'aime m'occuper des autres.
Il commença par me sécher le visage et j'en profite pour lui lancer un regard furibond.
Léon en décide encore autrement et me sèche bras et jambes.
Ah non ! Non ! Non ! NON !
Je suis trop gênée ... Oh mon Dieu que je suis gênée. Je vais mourir de gêne.

-Dite princesse quand vous aurez fini d'écrire l'histoire de notre rencontre aurais-je l'autorisation de la lire ? A et j'essaierais de faire en sorte de devenir plus fort pour que personne ne vous touche.

Ce sont ses paroles qui me touche. Pour une fois. Pour une fois on veut prendre soin de moi. Quand Isis m'a sauvée de la noyade, j'ai trouvée ca normale, parce qu'à l'orphelinat, je n'étais pas la seule à être "torturée".
Mais être aidée et protégée pas un garçon ? Ca c'est trop bizarre. Ils préfèrent nous frapper normalement. Comme Michigan. Oui, ca type me fais vraiment penser aux type d'orphelinat !

-Léon ... Hum ! Je veux dire ... Sir Valentine ! Vous aurez l'autorisation de lire, si vous me rendez cette serviette. Et de faire ... du donnant-donnant !

Je tente vainement de lui reprendre la serviette. Je me mets debout et continue de tirer dessus en rigolant. Quant à lui, il refuse de la lâcher !

-Sir, c'est un ordre de votre princesse, passez-moi cette serviette, vous allez attraper froid !

Mais un oiseau  passe juste au-dessus de nous, frôlant mes cheveux. Il finit sa course dans l'eau pour pécher ... Une grenouille ! Pour enfin revenir vers nous avec son gouter ! Il s'approche de nous et je vois l'autre chose bouger dans son bec.
Je tente de reculer. Sauf que derrière moi, il y a Léon. Alors comme une abrutie ... Bah je suis passer par dessus son épaule. Je tombe à la renverse dans l'herbe, tandis que l'oiseau apeuré retourne dans le ciel avec sa bête monstrueuse.

-Zut !

Les yeux toujours fermé de ma chute, je passe mon bras sur ceux-ci en maudissant toutes les grenouilles de la planète. Je sens l'herbe frôler ma cicatrice sur mon épaule.
Suis-je réellement tombée ? Ouai, pitoyable ma pauvre. Je te le fais pas dire, pour une fois je suis d'accords. Bah j'aurais aimée que ce soit sur une truc plus positif.
C'est pas ma faute ! Ah ouai, t'as raison, c'est la faute du Seigneur. Je suis sur qu'il s'est allié avec Satan pour faire en sorte que je tombe dans le corps de la plus GROSSE débile de TOUT l'Univers avec un grand U !
##   Lun 24 Juin 2013 - 19:01
Anonymous
Invité

Quand je lui avais pris la serviette, elle était plongeait dans ses songes en oubliant totalement mon geste. Quand elle fut revenue à elle elle avait tenté de me prendre la serviette une première fois mais en échouant.

Alors que je la séchais délicatement de haut en bas ( sans arrière pensé ou je vous les fais bouffer toute votre vie et même après ) elle avait tenté de me reprendre la serviette des mains " elle force là " " just shut up " Donc elle voulait me reprendre la serviette des mains mais ne pouvait pas car même sans forcer j'arrivais à la retenir et si je forçais ba elle atterrirait tout droit dans mes bras " bonne optique tout ça " " se punche lui même dans sa tête " Donc je la laissais faire attendant qu'elle se calme un peu pour ne pas la blesser ou l'embarrasser. Je la voyais rougir de plus en plus, avait elle au moin réfléchir au problème cela m'étonnerait sinon elle relâcherait un peu. 

Par rapport à ma question sur l'histoire qu'elle serait susceptible d'écrire un jour et qui m'intéresserais forcement car je voulais vraiment voir comment elle tournerait tout cela dans sa petite tête, elle m'avait alors répondue :

-Léon ... Hum ! Je veux dire ... Sir Valentine ! Vous aurez l'autorisation de lire, si vous me rendez cette serviette. Et de faire ... du donnant-donnant ! 

Donc elle pensait à cela et en plus elle rigolait, point positif du moin c'était pas mal, tandis que moi je voulais bien la lui rendre mais le problème c'était qu'elle lâchait toujours pas et elle c'était même levé pour sûrement pouvoir tirer un peu plus fort, debout = risque plus grand de douleur et merde que fallait il que je fasse hein pour ne pas qu'elle se blesse quand elle rajoutait :

-Sir, c'est un ordre de votre princesse, passez-moi cette serviette, vous allez attraper froid !

Un oiseaux passa en ce moment frôlant de peu ses cheveux qui voletaient dans tout les sens, pour plonger dans la lac choper une grenouille revenir vers nous " Au merde " " Ouais tu l'as dit " A peine j'eus le temps de bouger qu'elle était déjà tomber à la renverse dans l'herbe laissant une cicatrice se voir sur son épaule. Je lui rendais alors enfin la serviette en l'observant tendrement, ses longs cheveux brun étaient étalé dans l'herbe et allaient sûrement se remplir de saleté et je pouvais enfin lui dire au final maintenant que tout était redevenu calme :

-Princesse je ne pouvais poins obéir car si j'avais lachè vous seriez tombé sur les cailloux pointus là-bas,lui avais-je dis en montrant un tas de rocher pointu,et je ne voulais en aucun cas que cela vous arrive. Et si vous m'aviez écouté vous m'auriez laissez finir mes phrases. 

Puis en finissant de l'admirer je l'assaillais alors confortablement sur l'herbe et créais un mur en face de nous, pas un petit mur hein un gros gros mur genre ceux qui supportes les bulding dans les grandes villes vous voyez et ba j'avais fais ça.Puis en me levant j'avais alors foutu un gros coups dedans pour lui montrer mon second pouvoir, il ne restait que quelques débris à la noix et je tournais devant elle : 

-Ceci est aussi la raison pour laquelle vous ne pouviez point reprendre la serviette, mais maintenant faite ce que vous voulez princesse tant que vous êtes pas en danger du moin . Et je peux apprendre à voler à qui vous voulez ! Lui avais-je dit d'un grand sourire de gamin. 


Je m'asseyais alors devant elle lui laissant me sécher de partout ou elle voulez ( sous entendu bis même condition c'est à dire : LA MORT ) tout en réfléchissant un peu " son épaule, c'est pas l'herbe qui a pu faire ça hein ? " " bein non je crois pas, donc ce serait..." " Oui sûrement " fallait que je lui demande : 



Dite princesse cette cicatrice à votre épaule c'est quoi ? 
##   Mar 25 Juin 2013 - 21:29
Sixtine Szpadime

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-Princesse je ne pouvais poins obéir car si j'avais lachè vous seriez tombé sur les cailloux pointus là-bas, il me montra un tas de rochers pas beaux, et je ne voulais en aucun cas que cela vous arrive. Et si vous m'aviez écouté vous m'auriez laissez finir mes phrases. 
 
Conclusion : je suis THE coupable dans cette histoire. Même si la grenouille à son mot à dire. Mais comme elle est morte, elle peut plus. Je regarde le ciel bleu en soupirant tendrement. Plus gentil que Léon, ca n'existe pas. Ou plus du moins.
Je le sentis me reprendre les mains pour me relever en position assise [ le premier qui fait une seule remarque sur ma tournure de phrase je lui fait bouffer ses dents ...]. Je le vis alors construire un mur. Un, très, gros mur. Genre, la bombe atomique elle peut exploser, ca fait rien. Pas grave vous me direz, ce n'est qu'une petite bombe de rien du tout ... Et HIROSHIMA vous connaissez ?!
Bref, je regarde le mur en petite fille émerveillée. Mais pas pour très longtemps. Je vis Léon s'approcher très vite. Et exploser mon mur protecteur. En poussière. Fuck the life les gens ! Mes yeux passèrent de " le monde est bleu et rose " à " un homme à pulvérisé un mur". Cherchez l'erreur. Un petit cailloux, reste oublié de feu mon mur, roula jusqu'à mon pied. Je le pris entre mes doigts : je l'ai finalement eu, mon cailloux.
 
-Ceci est aussi la raison pour laquelle vous ne pouviez point reprendre la serviette, mais maintenant faite ce que vous voulez princesse tant que vous êtes pas en danger du moins . Et je peux apprendre à voler à qui vous voulez !
 
Il me passa la serviette que je pris très fière de lui & de moi aussi : j'ai gagnée la bataille ! Même si je me suis battus toute seule. Je repense à ses mots : je ne l'utiliserai surement pas à des fins personnels ! Léon est avant tout mon ami !
 
-Wow.
 
Même moi je suis surprise par mes mots internes ... Mais bizarrement, pas du tout choquée de voir que j'ai sortie une expression pour rien de ma bouche ! C'est parce que tu ne fais que ca !
Bref, je m'arrangeais les cheveux, histoire d'enlever le peu d'herbes qui s'y était accrochées. Ensuite je me mis à continuer de lui sécher les cheveux. De 1) Parce que j'adore ca. De 2) Parce que ses mèches sont putain d'épaisses, donc pour sécher bonjour la galère ! Mais c'est pas grave puisque raison n°1 est la plus forte.
Je lui essuie tout de même un peu les bras et le visage entre temps. C'est pour pas qu'il attrape froid !
 
 
-Dite princesse cette cicatrice à votre épaule c'est quoi ?
 
Je me redis immédiatement.
Question à 1 000 000 000 d'euros. Parce que je n'en sais fichtrement rien.
Enfin, j'ai des doutes. C'est ca le plus horrible ... Les doutes. Parce que je hais cette fichue cicatrice, elle s'amuse continuellement à me le rappeler. Que je suis faible. Je me souviens de tout les coups que je me suis prise dans ma vie. Comme un rappelle, pour me dire : "Méfie toi d'eux tous." . Mais elle ... Et il n'y a qu'un seul jour, qu'un seul soir dans ma vie où je ne me souviens de rien ... Et c'est ca qui me fais le plus peur.
Ce sont les : Et si elle n'était pas la cible première ? Et si ma mère était morte pour moi au finale ? Toujours les mêmes ! Mais aucuns souvenirs !
Me rendant compte que je m'étais stoppée dans toute paroles ou gestuelles, je me mis à lui passer la serviette sur le visage ou dans le coup. Léon m'a dis pour son amie. C'est le moins que je puisse faire que de répondre à sa question.
 
-Est-ce que tu as déjà ... Eu un blanc. Comme un vide dans ton esprit, tu cherche à le remplir, tu le veux plus que tout au monde ... Mais dans ta tête -Je mime le geste de petits coup sur ma tête- une petite voix te dis toujours et inlassablement " Oublie. Oublie".
 
Je me tus un peu. Je ne trouve décidément pas mes mots. Autant être clair !
 
-Quand j'avais dix ans. Il y eu un seul jour dont je ne me rappelle rien. Je suppose qu'elle vient de là cette cicatrice ... Elle est là pour me dire " Cherche, tu dois trouvée d'où je viens !". Je ris, mais pas aussi joyeusement que voulus. Mais au fond j'ai peur de voir qui en est l'auteur !
 
L'ambiance avait tout d'un coup chutée. Et je me maudissais dans être la cause de ce silence ! Je pose la serviette par terre et fais un grand sourire à Léon. Ah ca non ! Je ne veux pas gâcher mon après-midi. Toujours devant moi, il me bloque le passage à mon sac qui on ne sait comment à atterrie là !
Je lui passe sous le nez, récupère vite mon sac, reviens, me mets en tailleur et en sors : un élastique et une pomme.
Je tente de m'attacher les cheveux mais ne fais qu'un chignon bâclé, laissant libre cour à de maudites mèches rebelles. Je lui tends la pomme.
 
-On partage ?
 
Tiens, y'a la musique du Kinder Bueno qui me traverse l'esprit. Je ris.
##   Mar 25 Juin 2013 - 22:47
Anonymous
Invité

Elle avais encore une fois une tête d'ébahie bon un peu moin que la premiére fois mais pas mal quand même, surtout quand j'avais pulvérisé le mur qui avait laissé juste des petits morceaux qui avaient volés dans tout les sens dont un qui avait atterri devant elle. Elle l'avait prit en l'admirant, sûrement parce qu'elle aimait les cailloux * passions bizarre non ? * * ro tout le monde fait ce qu'il veut alors chut *.
Lorsque je lui avais rendu la serviette , elle l'avait prit laissant voir sûr son visage qu'elle était fière de cette acte plutôt anodin pour moi car c'était surtout pour la protéger que j'avais pas lâché. 

Elle avait fait juste une expression * wow * pourquoi avait elle fait ça je ne savais pas trop, ne m'arrêtant pas sûr ce mot , je la regardais se remettre les cheveux en " ordre " en enlevant plusieurs poignée d'herbe sauvage qui s'y était hautement attachée. Elle recommençait alors à me sécher les cheveux, jusque là tout allait bien jusqu'à ce qu'elle se mette à me séchait le visage et les bras * mode tomate powaa * * stop rougir la bordel c'est rien * * ch..chuteu >///< * Donc je rougissait et je gardait alors la tête droite pour ne pas qu'elle le remarque.

Alors que je lui avait demandé d'où venait cette cicatrice, elle c'était stoppée net dans tout se qu'elle faisait sûrement pour y réfléchir. Quelque minute c'était écoulée quand elle me repondait alors :

-Est-ce que tu as déjà ... Eu un blanc. Comme un vide dans ton esprit, tu cherche à le remplir, tu le veux plus que tout au monde ... Mais dans ta tête - une petite voix te dis toujours et inlassablement " Oublie. Oublie".

Elle c'était alors stoppée encore une fois pour réfléchir à la suite de ce qu'elle voulait me faire comprendre, même si je voyais ce qu'elle voulait me dire dan l'immédiat , elle continuait alors avec un petit rire à moitié joyeux, à moitié triste :

-Quand j'avais dix ans. Il y eu un seul jour dont je ne me rappelle rien. Je suppose qu'elle vient de là cette cicatrice ... Elle est là pour me dire " Cherche, tu dois trouvée d'où je viens !". Je ris, mais pas aussi joyeusement que voulus. Mais au fond j'ai peur de voir qui en est l'auteur ! 

Aille l'ambiance pourrie à cause de moi, il fallait que je retrouve encore une chose à dire, enfin du moin il fallait que je lui réponde comme il fallait pendant qu'elle elle allait récupéré son sac pour prendre un élastique et une pomme. Elle se faisait un chignon, mais vraiment à l'arrache comme dirait tout le monde tout en me tendant la pomme et me proposait de la partager. J'en la prit et la coupé alors en deux avant de lui répondre en croquant un morceaux : 

Merci pour la pomme princesse, pour ce qui est des blancs, je ne connais rien de mon passé mais vraiment rien du tout et je veux tellement savoir. Mais la seul qui peut m'aider c'est ma sœur.

Respirant et croquant encore je continuais :

-Je serais enfin complet quand je saurais tout sur tout mais pour le moment je ne peux vraiment rien faire à par lui parler quand je la croise et vu que souvent c'est trop bref bein on aborde pas le sujet.

Finissant alors la pomme :

-Pour votre peur princesse sachez que je suis là pour vous quand vous voulez, vous aurez juste à m'appeler et je viendrais vous remonter le moral et vous écouter pendant tout le temps qu'il le faudra. N'ayez crainte, et la personne qui en sera l'auteur je lui ferez ce que vous voudrez ! Lui avais-je dis en la prenant dans mes bras pour essayer la calmer.
##   Mer 26 Juin 2013 - 14:45
Sixtine Szpadime

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Il prit ma pomme et la coupa en deux. Il me répondit finalement en croquant dans un bon.

-Merci pour la pomme princesse, pour ce qui est des blancs, je ne connais rien de mon passé mais vraiment rien du tout et je veux tellement savoir. Mais la seul qui peut m'aider c'est ma sœur.

Je reste un peu pantoise face à cette révélation. Moi qui me tords les tripes parce que je ne connais pas une SEULE soirée de ma vie. Lui c'est TOUTE sa vie dont il ne se rappelle pas. Sixtine, plus jamais je ne veux t'entendre te plaindre c'est clair ? Oui chef !
Léon reprit sa respiration tout en croquant dans la pomme une seconde fois. Moi je le tais, je préfère écouter.

-Je serais enfin complet quand je saurais tout sur tout mais pour le moment je ne peux vraiment rien faire à par lui parler quand je la croise et vu que souvent c'est trop bref bein on aborde pas le sujet.

Le pauvre ... Maintenant que j'y pense, c'est vrai qu'il est plus simple de demandé à ceux qui savent ce qui c'est passé ! Ouai mes dans ton cas, à part si tu veux parler aux morts, j été le déconseille. Conscience, toujours là, pour me dire d'oublier ... Sa sœur doit être quelqu'un de bien, mais pourquoi ne pas prendre le temps de lui expliquer ? C'est là où l'on se dit que ca ne doit pas être une si merveilleuse vie que ca. Il finit la pomme.

-Pour votre peur princesse sachez que je suis là pour vous quand vous voulez, vous aurez juste à m'appeler et je viendrais vous remonter le moral et vous écouter pendant tout le temps qu'il le faudra. N'ayez crainte, et la personne qui en sera l'auteur je lui ferez ce que vous voudrez !

Il me prit dans ses bras. Moi je ne trouve pas ca très équitable. C'est lui qui souffre le plus. Et c'est moi qu'on console ? Fuck.
Je réussi néanmoins à passer mes bras autour de son coup. Ahaha ! Toi aussi tu l'as ton câlin de réconfort !
Toujours le nez dans ses cheveux/coup, je finis tout de même par lui répondre.

-Sir, je suis de tout cœur avec vous. Moi aussi je vais tous les frapper ceux qui vous embêtes. Je serai une princesse guerrière !

Je ris à ma propre stupidité, mais au moins, l'atmosphère c'est re-détendus.
Puis, je repense à ses mots en détaille et mon sourire s'assombrit un micro de seconde. Je me redresse et mets un peu de distance entre nous. A force de se faire des câlins, de se sécher et de je ne sais trop quoi, même les animaux pourrait tout comprendre de travers.
Wow. Je ... suis ... trop ... conne. Et là, je me mets à rire, mais à rire jusqu'à plus pouvoir m'en arrêter. Oh sérieux les conneries que je peux sortir des fois sont incroyable ! Oh j'en peux plus. Je tombe dans l'herbe, mon élastique se barre -encore- mais je m'en contre-fiche, étant donnée que je ne cherche qu'une chose, c'est reprendre mon souffle. Oh la galère !
Je me reprends un peu est lève la tête en sa direction.

-Oh et pour information, si vous voulez vraiment m'aidé, faite donc exploser une prison - je ne sais pas encore laquelle- à Varsovie et je vous en serai très redevable.

Je lui tire la langue, plus pour donner un effet gamin à ma phrase pas gamine du tout. Je ne parle pas sérieusement. Si quelqu'un devait lui faire sauter la tête, se serai moi. Un jour. Très lointain. Vraiment, très lointain.
Je le regarde en souriant et mets mon doigt sur ma joue.

-Vous avez un morceau de pomme là !

Ne pas rire. Ne pas rire. Au shit, je hais les fou rires !
Et je me remets à rire. Pas tant pour le morceau de pomme, mais pour tout le stresse de ce dernier mois passé à Terrea qui retombe.
##   Mer 26 Juin 2013 - 16:12
Anonymous
Invité

J'avais enfin réussi à lui faire un vrai câlin sûrement parce que je me sentais trop perdu et que la seul chose que je voulais c'était un peu de consolation. Je crois que c'était vraiment la seul fille que j'avais pu câliner comme ça depuis que je suis arrivés ici, à par peut être Crystal mais ça comptais pas vraiment vu que c'est ma sœur.
Confusion, chagrin, peine, haine, douleur, souffrance, peur, anxiété.
Voila comment est remplie ma tête toute les fois où je suis seul, c'était peut être à cause de ça que j'aimais autant câliner les gens * oui homme ou femme m'en tape royalement du temps que j'ai mon câlin *
Elle avait à son tour finalement passez ses bras autour de mon cou, quelle douce sensation, sensation tellement oublié, cette fille d'ou venait elle, normalement j'aurais dû ressentir cela avec Crystal, cette sensation de chaleur et de réconfort. Je me stoppais net de penser de respirer ou de bouger quand des souvenirs fut revenue à la suite de ses paroles :


-Sir, je suis de tout cœur avec vous. Moi aussi je vais tous les frapper ceux qui vous embêtes. Je serai une princesse guerrière !

* Léon tu t'es fais mal * Cette voix * Léon ta sœur est triste tu peux la consoler *Cette voix...maman* Léon je t'aime *

Je ne pouvais rien faire à par simplement pleurer en silence, ces souvenirs étaient les miens, elle les avais fais remonté brisant le mur qui me séparé de ces quelques paroles dites par ma mère il y à maintenant longtemps de cela.Et les bras de la princesse avaient réussis à me faire m'en rappeler. Je m'étais tue alors qu'elle continuait de parler :

-Oh et pour information, si vous voulez vraiment m'aidé, faite donc exploser une prison - je ne sais pas encore laquelle- à Varsovie et je vous en serai très redevable.

Tient faire péter une prison ok mais dans ce cas là il faudrait éliminer la plupart des meurtriers qui s'y trouvais car il pouvait recommencé. " idiot elle parle pour son passé et toi tu écoutes même pas " " ro toi ferme là hein tu as entendu la même chose non alors chut " Elle avait finalement réussi à me tirer de mes songes en disant :

-Vous avez un morceau de pomme là !

Elle était tombé à terre et m'avait fait basculé, moi le crétin aux yeux en larme, pitoyable et grotesque je devais être à se moment là car elle elle riait essayant de me remonter le moral et moi je pleurais comme un nul. enlevant alors le morceaux de pomme je m'allongeait dans l'herbe à ses côtés pour débiter tout un dialogue en me reprenant un peu :

-Excusez moi princesse de ma faiblesse mais votre douceur à fait revivre en moi quelque passage de ma vie avec ma famille et surtout l'entente des mots doux de ma mère,Avais-je dis en essuyant mes larmes,vraiment désolé !! Sinon pour la prison promis un jour on ira et on vous vengera de celui qui vous as fait ça. Le crétin qui à osé vous toucher le payera je lui ferais subir tout ce que vous voudrez du temps que vous tirerez une satisfaction certaine. Quand à mon histoire , un jour nous pourrons allez voir Crystal tout les deux si vous voulez ? Avais-je rajouté en me rapprochant d'elle pour jouer avec une de ses jolies mèches.
##   Mer 26 Juin 2013 - 20:27
Sixtine Szpadime

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Sixtine Szpadime
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Entrainant Léon dans ma chute, je n'arrive plus à m'arrêter de rire. Puis c'est là que je les vois. Toutes petites, cristallines, en abondance. Des larmes. Instinctivement, je m'essuie la joue avant de prendre conscience de la situation. Ce n'est pas moi qui pleure. C'est Léon.
Je vais pour allée le voir, pour savoir ce qui ne va pas. Mais il ne m'en laisse pas le temps et s'allonge à mes côtés. Il décide alors de m'embarquer dans un monologue d'explication.

-Excusez moi princesse de ma faiblesse mais votre douceur à fait revivre en moi quelque passage de ma vie avec ma famille et surtout l'entente des mots doux de ma mère, il essuies ses larmes du revers de la main ,vraiment désolé !! Sinon pour la prison promis un jour on ira et on vous vengera de celui qui vous as fait ça. Le crétin qui à osé vous toucher le payera je lui ferais subir tout ce que vous voudrez du temps que vous tirerez une satisfaction certaine. Quand à mon histoire , un jour nous pourrons allez voir Crystal tout les deux si vous voulez ?

Sur ses mots, il se rapprocha pour jouer avec mes mèches que j'avais finalement laissées lâchées. Dans une autre situation, j'aurai été plus que gênée. Mais je suis avec Léon. Et là, je me dis que ses explications, il ne me les devait pas ! Je me rapproche encore plus, prends son visage entre mes petites mains et essuie une dernière larme.

-Ne vous excusez plus jamais de quoi que ce soit avec moi. Je lui donne un sourire. Sauf si vous me jetez une grenouille !

Je pose mes lèvres sur sa joue. Je sourie encore en me rendant compte d'une chose : nous ne faisons que de nous vouvoyer. Originale.
Original ? Moi je trouve ca bizarre ! Mais toi tu n'es rien, donc tu me laisse profiter !

-Et ... Et dès que vous avez de nouveaux souvenirs ... Venez ... Venez me voir d'accords. Et je viens quand vous voulez voir votre sœur !

Oulala. Timidité reviendrez-t-elle pointer le bout de son nez ? Ah ca non ! Je détourne les yeux. Vraiment, en une après-midi, je crois m'être fais ... un ami !

-Dîtes-moi Léon, est-ce qu'on est ... amis ?

Je tourne ma tête vers le ciel et regarde les nuages. Je faisais ca, avec mes parents, avant. Est-ce que j'ai bien fais de déchirer cette lettre ? Est-ce qu'elle contenait mes souvenirs ? Je lève ma main vers le ciel et la fait tourner pour que les rayons du soleil ne m'atteignent pas trop. Je n'ai pas l'habitude de ce soleil, surtout en Pologne.

-Tu sais, mon père m'a envoyé une lettre le jour où j'ai accueillie Michigan. Je l'ai jetée à la poubelle ... Et maintenant je me dis que je pourrais bien devenir la même personne que lui ... Sans sentiments.

Me rendant compte de ce que je lui dis, je me retourne violement vers lui et mon visage se retrouve au-dessus du siens. Je lui dis ou pas ? Je lui fais confiance ou pas ? Je regarde le Lac et ne prends pas une seconde de plus à réfléchir.

-Il est en prison maintenant. Et il m'a volé mes souvenirs. Si je t'aide à retrouver les tiens ... Est-ce que tu m'aiderais ... à devenir plus forte, à pouvoir avoir le droit de retourner en Pologne et de le voir, pour qu'il me dise ... ce que j'ai oublier ?

Je ne trouve pas mes mots. Parce que c'est quelque chose d'important pour moi. Et je sais que c'est important pour lui de retrouver ses souvenirs. Parce que ca fait mal de ne pas savoir ... Une larme coule le long de ma joue et je retombe dans son cou pour un bon câlin réparateur. Oui ! Oui messieurs dames, je me suis habitué à ses câlins et ALORS ? Un nuage noir recouvre le soleil. Mes yeux voient le Lac devenir noir. De l'orage maintenant ?
##   Mer 26 Juin 2013 - 22:03
Anonymous
Invité

Je jouais tranquillement avec ses mèches tentant de me reprendre pour ne point gâcher cette belle après-midi retenant mes larmes de couler et enfouissant cette peine qui me rongeait un peu au plus profond de moi et que j'enfermais à double tour. Je la voyais se rapprocher de moi lentement tout en sentant ses douces mains se poser sur mon visage qui était encore humide puis je sentis un doigt glisser essuyant une dernière larme qui c'était échappée de sa cage et elle m'ordonnait alors en douceur:

-Ne vous excusez plus jamais de quoi que ce soit avec moi. Je lui donne un sourire. Sauf si vous me jetez une grenouille !

Cela avait réussis à me faire rire et sourire alors que je ne m'y attendait même pas le moin du monde. Et lui jeter une grenouille à non ça jamais plutôt mourir sûr le champ que de le faire " allez Léon juste une petite blagounette de ce genre " " VA TE FAIRE VOIR " Alors que je pensais à cette stupidité et l'évacué de ma tête j'avais senti ses lèvres se poser sur ma joue " Que...que...quoi BUG intersidéral " Je sentais que j'en devenais tout rouge tendis qu'elle elle me disait :  

-Et ... Et dès que vous avez de nouveaux souvenirs ... Venez ... Venez me voir d'accords. Et je viens quand vous voulez voir votre sœur !

À ba au moin je n'étais pas le seul à être un peu embarrassé car elle avait détourné le regard pour regarder de l'autre côté tendis que moin j'en profitais alors pour répondre tout en construisant bien mes mots et mes phrases pour ne pas paraitre ridicule à cause de dame timidité:

-Bien princesse j'essaierais de m'excuser un peu moin même si je suis comme ça. J'ai parfois peur de déranger les gens ou de casser l'ambiance c'est pour cela. En ce qui concerne mes souvenirs je viendrais à votre rencontre avec plaisir pour vous conter ce dont je me souviendrais.

Au moin j'étais sûr que à Terrae il n'y avait que des gens sympa à qui on pouvait parler franchement à part peut être deux ou trois mais cela n'était qu'une minorité. Elle continuait ensuite en me demandant la chose la plus marquante du siècle :

Dîtes-moi Léon, est-ce qu'on est ... amis ?

" mode cheminée activé " Hum je ne m'y attendais pas du tout à celle là, que de surprise avec cette demoiselle on dirait bien et je  me hâtais alors de lui répondre sans réfléchir une seul petite microseconde :

-Bien évidement que nous le sommes sinon nous ne nous parlerions pas comme cela princesse !Avais-je répondu d'un grand sourire.

Elle regardais le ciel songeuse pendant que moi je jouait toujours avec l'une de ses douces mèches ne regardant pas le ciel pour ne pas me brûler les yeux, pendant qu'elle faisait de l'ombre avec sa main évitant les rayons du soleil et me dit :  

-Tu sais, mon père m'a envoyé une lettre le jour où j'ai accueillie Michigan. Je l'ai jetée à la poubelle ... Et maintenant je me dis que je pourrais bien devenir la même personne que lui ... Sans sentiments.

" Quoi elle sans sentiment ceci est encore une grosse blague " Je devais avoir une tête genre choqué quand elle m'avait dis cela car c'était tout bonnement une sorte de blasphème, une pur calomnie un..." * Ponc * mais reprend toi imbécile " Tendis qu'elle c'était vivement tourné pour se retrouver au dessus de moi visage nez-à-nez et me demander :  

-Il est en prison maintenant. Et il m'a volé mes souvenirs. Si je t'aide à retrouver les tiens ... Est-ce que tu m'aiderais ... à devenir plus forte, à pouvoir avoir le droit de retourner en Pologne et de le voir, pour qu'il me dise ... ce que j'ai oublier ?

Wouah...Mon esprit avait fait trois tours sur lui même avant de se remboiter comme il fallait dans ma caboche. Avant que je ne puisse lui essuyer ses larmes qui perlaient elle c'était littéralement plonger à mon cou pour me câliner. Cette fois c'était elle qui en avait pris l'initiative étonnant plus de timidité en vue on dirait bien. Tendis que je lui caraissais les cheveux et le dos pour tenter de l'apaiser tendis qu'un orage commençait à éclater. J'avais alors créé une sorte d'iglou mais en terre pour nous protéger de la pluie car l'institut était clairement trop loin pour y retourner sous ce temps, et en la serrant un peu plus fort contre moi je lui chuchotais à l'oreille :

-Bien évidement que je T'aiderais, c'est la moindre des choses que je puisse faire. Ensuite pour ce qui est d'aller en Pologne là ça prendra un peu plus de temps car pour voyager à l'extérieur il faut au moin un master avec nous et je sais même pas si on aurais le droit de régler une affaire personnelle en sortie de ce genre. Et princesse : tu n'es pas sans sentiment sinon pourquoi donc aurait tu versés une larme hum ? Alors haute toi cette idée de la tête et on fera de notre possible pour réparer tous ça. Avais-je dis en la caressant doucement pour la réchauffer car elle était un peu geler.
##   Mer 26 Juin 2013 - 23:27
Sixtine Szpadime

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Je sentie immédiatement la température chuter. Les premières gouttes de pluie tombèrent, mais pas pour longtemps. J'ouvris les yeux, surprise que l'orage soit passé en deux secondes. Mais il était toujours, là, seulement, Léon en grand savant qu'il était nous avait construit un igloo ! Je regarde le "plafond" en forme de dôme mais reste tout de même contre lui. Pas la peine de partir quand on sait que tôt ou tard, je finirai à nouveau dans ses bras ! Je l'entendis alors me chuchoter à l'oreille :

-Bien évidement que je T'aiderais, c'est la moindre des choses que je puisse faire. Ensuite pour ce qui est d'aller en Pologne là ça prendra un peu plus de temps car pour voyager à l'extérieur il faut au moins un master avec nous et je sais même pas si on aurais le droit de régler une affaire personnelle en sortie de ce genre. Et princesse : tu n'es pas sans sentiment sinon pourquoi donc aurait tu versés une larme hum ? Alors haute toi cette idée de la tête et on fera de notre possible pour réparer tous ça.

Master ? C'est quoi encore que cette connerie. Encore un obstacle. Encore une galère qui m'empêchera d'avancer. Je me demande si on est pas un peu comme dans une ... prison. Non, non, non ! Je ne pense pas ca de Terrae !
J'entendis soudainement une horrible chanson au dehors. Les grenouilles et les crapauds. Ils faisaient la fête à la pluie !

-Oh non Seigneur pourquoi est-tu si cruel envers ta plus fidèle ... heu ... fidèle ?

OK. Etape n°1 : Allez voir un spécialiste du cerveau. Parce que y'a vraiment un problème. Etape n°2 : Me lever. Parce que mes cheveux n'ont pas besoin d'herbes supplémentaires. Faisant passer l'étape 2 avant la première, je me mis en tailleur, me séparant difficilement de la chaleur de Léon.
Je mis quelques secondes à enlever la totalité de l'herbe, repris mon élastique et m'appliqua à faire un beau chignon "bâclé" avec quelques mèches rebelles. La seule chose que je sache faire de toute manière. Je me retourne vers mon Chevalier de Cœur -me demandez pas pourquoi, moi aussi je sais pas pourquoi j'ai mis ca !- et m'approche, toujours assise pour pouvoir le voir à la lumière plus que tamisée du jour. Je joue avec ses cheveux. De 1) Parce qu'il l'a fait pour moi. De 2) Parce que je ne l'avouerai jamais, mais j'adore ca !

-Je suis en train de me dire ... Que quand la plus va cesser, on va devoir se quitter. Et que peut-être, dans les couloirs ou les autres espaces, on ne se verra même pas ! C'est fou hein ?

Je ne lui laisse pas le temps de me répondre, plus parce que je ne veux pas entendre de réponse qu'autre chose. Pas assez de confiance. Pas en lui. En moi. Je lui tape gentiment sur le front et le regarde du mieux que je peux.

-Tu ne te rappelle vraiment ... de rien ? Tu as simplement ouvert les yeux comme ca, sans rien savoir ?

Ma voix s'éteignit sur ma fin de phrase. Mon Dieu ce que je peux être bête ! Pourquoi Diable dois-je toujours parler de sujet qui fâche ? HEIN ? Pourquoi ? Parce que tu es bête très chère. Non, ma douce conscience -de BIIIP- c'est parce que j'ai mal pour lui et que ca me mets mal pour lui. Et que je ne comprends pas. Non, que je n'imagine pas ce qui a bien put provoquer ca !
Il n'avait pas parlé. Du moins pas encore. Et moi je reste fixé sur ses yeux si particuliers, ocres. Hypnotisant.
C'est ta connerie qui est hypnotisant. Bref ... Vous remarquerez que j'ai mis "Dieu" et "Diable" à la suite. C'est parce que je ne sais pas encore qui invoquer !
A toute ces pensées, je ne pus sortir que deux mots.

-C'est horrible !

Pleure pas. Sixtine ! Tu m'entends, ne pleure pas ou je te tue. C'est de l'auto-suicide ... On s'en fou, tu n'es pas une chialeuse, tu ne pleure pas ! Je SUIS une chialeuse. Osef tu me saoule. Je sais. [...]
Bien, après mes doux songes, je ne savais pas précisément que faire:
Option 1/ Je lui refais un câlin.
Option 2/ Je lui souris.
Option 3/ Je l'embrasse ( sur la joue les fille, vous énervé pas !).
Option 4/ Les trois en même temps.
Option 5/ Me la fermer et me pendre dans la mare aux grenouilles.
##   Ven 28 Juin 2013 - 11:55
Anonymous
Invité

Je venais de finir tout mon long monologue lui expliquant ce qui pouvait nous bloquer pendant un petit moment, et je voyais dans son regard que cela l'avait un peu perturbé. Peut être aurais-je du rien dire peut être aurais-je du a laisser dans l'ignorance et attendre qu'elle l'apprenne toute seul " Mais qu'est ce que tu racontes encore t'es pas un peu bête vaut mieux que ça vienne d'un ami idiot " " Mouais ". Effectivement je commençais à penser bêtement, heureusement que c'était moi qui le lui avait dit au moin si un truc la tracassera dans le futur elle pourra venir me voir directement " Là c'est mieux ".
L'orage était déjà partie mais le ciel restait tout de même assez menaçant pour que l'on reste sous mon igloo de terre d'ailleurs il faudrait trouver un nom à ça hum iglterre vous en pensez quoi ? Bon d'accord je me tais " oui tu ferais mieux ". Après quelques secondes le chant des grenouilles se faisaient entendre, la pluie les avait attirée dehors on dirait bien, la pauvre princesse en plus je pouvais pas vraiment y faire grand chose à par les faire fuir mais bon la nature elle aussi à le droit d'être libre tendis qu'elle elle avait dit cette chose dénué de tous sens :


-Oh non Seigneur pourquoi est-tu si cruel envers ta plus fidèle ... heu ... fidèle ?

Hum...était-elle croyante ? Priait-elle ? Allait-elle à l'église quand elle était encore hors de Terrae ? " C'est bien tu penses à ces questions là mais tu les lui demande pas idiot ". En attendant elle c'était assise pour une nouvelle fois enlever l'herbe de ses cheveux qui en étaient remplis " Ba si tu la câliné moins aussi " " ferme la tu sais très bien comment je suis ", elle avait aussi prit son élastique qui c'était enlevé pour faire un chignon. Avant de s'avancer pour prendre l'une de mes plus longues mèches et jouer avec. C'était toujours aussi plaisant comme sensation, je ne saurais dire pourquoi mais ça faisait toujours du bien quand quelqu'un faisait ça, elle continuait tout en disant :

-Je suis en train de me dire ... Que quand la plus va cesser, on va devoir se quitter. Et que peut-être, dans les couloirs ou les autres espaces, on ne se verra même pas ! C'est fou hein ?

Alors qu'elle m'avait dis ça et que je savais quoi dire pour lui remonter le moral, elle ne m'avait pas laisser le temps de répondre sûrement par peur que je donne raison à ce qu'elle venait de dire et tout en me tapant sur le front, ce qui m'avait surpris et qui m'avais fait cligner des yeux elle rajoutait :

-Tu ne te rappelle vraiment ... de rien ? Tu as simplement ouvert les yeux comme ca, sans rien savoir ?

Fallait vraiment que j'arrive à mieux lui éxpliquer pour qu'elle puisse comprendre ce qu'il c'était passé dans ma caboche " A parce que tu as un cerveau maintenant ? " " Mais tais toi, puis sans se cerveau tu serais pas là " " Je..." " c'est bien chut " Elle avait plongée son regard dans le mien, nous devions je pense tout deux être hypnotisé par les yeux de l'autres : pour elle mes yeux rouges comme des rubis et pour moi ses yeux verts comme des émeraudes. " imagine des enfants albinos avec un œil vert et un rouge " " La classe...MAIS FERME LA DU CON BREFF... " Elle avait sorti tristement de sa bouche :

-C'est horrible !

Pour dire vrai ça l'était un peu mais tant que des gens pouvaient m'entourer je pouvais me sentir bien c'était vraiment quand j'étais seul que je me sentais mal, mais vu qu'ici on était toujours accompagné par des amis je pouvais me balader en paix sans redouter quoique ce soit même l'autre assassin qu'elle vienne je l'attend j'ai plus peur d'elle " Euh Léon elle li dans les pensés je te rappel " " Ouais c'est bien RIEN À FOUTRE ". Donc après cette remontée de moral assez étonnante je lui pris sa main droite pour la poser sur mon cœur et e rapprocher d'elle pour la câliner doucement sans que l'on tombe et déposais un baisé sur sa joue puis me replongeant dans son regard lui avais dit :

Non je ne me rappel de rien, certes c'est horrible ! Mais tant que je suis accompagné ça ira la preuve mon cœur bat ce qui veut dire que je vie donc ne t'en fait pas un jour j'y arriverais à me rappeler de tout promis ! Avais-je dis en serrant un peu plus sa main sur ma poitrine.

Nous étions tous ici à Terrae la preuve vivante que l'on pouvait vivre malgré cette douleur incommensurable que l'on avait en nous, pour preuve nos cœur battaient toujours et nous nous confions en nous faisant des amis et des ennemis aussi mais bon c'était souvent inévitable n'importe où il y avait toujours des gens mauvais dans le fond, et malheureusement on ne pouvait pas sauver tout le monde. Pour certain le seul moyen d'être sauver par exemple c'est tout détruire, pour d'autre c'est faire souffrir celui, celle ou ceux qui l'ont mis dans cette situation de douleur et de peine extreme insatiable et incommensurable. Sans mes amis je serais sûrement comme mais...devrais-je l'avouer un jour...Je n'étais pas encore certain de pouvoir répondre à cette question car au vue de ma fragilité mental je pouvais tellement basculer du mauvais côté. En pensant à tout cela je lui prenais alors son visage dans mes mains collant mon front contre le siens en demandant :

Dites moi princesse guerrière, si je venais à être méchant seriez vous là avec de noble sujet pour m'arrêter moi votre Sir ? Non mas que je doute de ma loyauté, mais je suis très fragile donc je vous le demande soyez là pour m'arrêter si je venais à faire du mal !Avais-je dis avant de me décoller d'elle.

Voila au moin elle était prévenue de comment je suis ou du moin à peu prés, puis ce n'était qu'une précaution car une bonne claque de n'importe qui me remettrait sur le droit chemin si je venais à tourner mal, puis de toute façon les Masters sensitives s'en rendraient normalement vite conte et pourrais ainsi le dire aux téléporteurs qui se feraient une joie de me retrouver pour me massacrer et me remettre en place " non pas massacrer abrutit il te parlerait juste " " Voui tu as sûrement raison "En pensant à cela je secouait vivement la tête pour évacuer toute ces mauvaises pensés mes cheveux voletant de partout. Je faisais comme la princesse j'enlevais l'herbe qui se trouvait dedans avant de la re regarder dans les yeux en prenant ses mains dans les miennes après avoir enlevé celle qui se trouvait toujours sur ma poitrine et la rassurait alors :

-Veuillez ne pas trop penser à mes sautes paroles, une princesse à d'autre chat à fouetter, il fallait juste que je me confis un peu plus. Mais en tout cas ne vous inquiétez pas pour ce qui est de se séparer car de toute façon j'ai ma propre chambre à moi tout seul maintenant donc vous pourrez passer me voir quand vous voudrez et pour ce qui est des couloirs et tous ça, je suis sûr que l'on s'y croisera et puis on peut toujours se faire passer des mots pour se donner rendez-vous la journée ou le soir ! Avais-je dis tout souriant et rajoutant un clin d'oeil par dessus tout ça.

Je m'étais alors tus me rendant compte que j'avais débité tout un tas de mot assez rapidement " Elle va rien comprendre eu nanananéreu " " Mais si crétin sinon elle aurait pas écouté " sans lui lâcher les mains je la guidais alors dehors car le soleil était finalement revenu et les grenouilles c'étaient tus, mais au moin mes paroles et mes gestes auront camouflés leur croassement.
##   Sam 29 Juin 2013 - 15:09
Sixtine Szpadime

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Il finit par se rasseoir sur l'herbe, imitant ma position et se mit surement à réfléchir à mes paroles. J'allais lui dire qu'il n'avait pas besoin de répondre, que mes questions étaient déplacées quand il pris ma main pour la mettre sur son cœur. Côté romantique tu peux pas faire pire et je remercié le Ciel que notre igloo nous cache à la vue des autres. J'aime pas les mauvaises langues. Je sentie la douce chaleur de son corps, accompagnée des battements réguliers de son cœur. Puisque j'avais prise une couleur "tomate-lampadaire", je me concentrée sur le rythme de son cœur pour tentée de me calmer. Nous finîmes par un câlin -comme d'habituuuude- lorsqu'il me fis un bisou sur la joue.
... Heu ... Hum ... Oui ... Pas de problème ... Bug ?
BUUUUUG !
Calmons-nous. Y'a que moi qui est le droit de faire rougir les gens. Il faut vraiment que j'appose des limites, je suis absolument pas du tout habituée aux marques affectives. Que faire ? La statue. Ouai, bonne idée !

-Non je ne me rappel de rien, certes c'est horrible ! Mais tant que je suis accompagné ça ira la preuve mon cœur bat ce qui veut dire que je vie donc ne t'en fait pas un jour j'y arriverais à me rappeler de tout promis !

Son cœur bat ? Ah oui, j'avais oubliée ! C'est un simple bisou qui te fais cet effet là ? Oh mais chut moi-même !
Ma main se resserra sur le "bout de tissus" parce qu'on peut plus appeler ca un T-shirt et je me promis de ne pas le laisser seul. Il sembla dans ses pensées et elles n'avaient pas l'air d'être super cool entre nous ... Qu'est-ce qui se passe ? Un problème dont il ne me parlera surement pas. Pas maintenant. Mais, étant "enfermés" à Terrae, nous avions le temps de discuter.
Soudain, ses mains agrippèrent mon visage et je me retrouve front contre front avec lui. Je ne ferais AUCUN commentaire si j'étais vous.

-Dites moi princesse guerrière, si je venais à être méchant seriez vous là avec de noble sujet pour m'arrêter moi votre Sir ? Non pas que je doute de ma loyauté, mais je suis très fragile donc je vous le demande soyez là pour m'arrêter si je venais à faire du mal !

Mon Léon, fragile ? Faire du mal à des innocents ? Est-ce que c'est un message caché ? Un truc que je dois comprendre ? Trop de question et hélas pas assez de neurones libres pour y réfléchir tout de suite. La plupart trop occupés à tenté de ne pas me faire passer pour de la peinture rouge. Vraiment, il faut que je passe à la bibliothèque prendre un livre sur les relations entre humains.
Son visage s'éloigna du miens, ce qui me permis de respirer. Il y eu un moment de silence auquel je ne voulus rien rajouter, pouvant enfin mettre des significations sur ses mots. Il secoua la tête et tenta d'enlever l'herbe de ses cheveux. Dure labeur si vous voulez mon avis d'experte !
Il planta ses orbes rouge dans mes yeux et je suis sur qu'il pouvait y déceler un peu de panique. Parce que je ne comprends pas ses paroles et que ca me stresse ! Il finit par me prendre les mains, enlevant malheureusement celle sur son cœur - Oui ! Ses battements de cœurs me servent beaucoup figurez-vous NA !- et me débita avec forces ses dernières pensées en souriant :

-Veuillez ne pas trop penser à mes sautes paroles, une princesse à d'autre chat à fouetter, il fallait juste que je me confis un peu plus. Mais en tout cas ne vous inquiétez pas pour ce qui est de se séparer car de toute façon j'ai ma propre chambre à moi tout seul maintenant donc vous pourrez passer me voir quand vous voudrez et pour ce qui est des couloirs et tous ça, je suis sûr que l'on s'y croisera et puis on peut toujours se faire passer des mots pour se donner rendez-vous la journée ou le soir ! Il me fit un clin d'œil.

Je me permis de sourire. Bien contente qu'il ne veuille pas me larguer au premier port venu. Drôle d'expression ? Bah  je vous enquiquine ! Il nous sortis de notre igloo version Terrae, où je pus me rendre compte que le soleil était revenus et les grenouilles parties ! Je lui sourie tout en marchant pieds nus dans l'herbe mouillée, mes ballerines dans mon sac et mon sac quelque part mais on s'en fiche. Je trottine tout en m'exclamant devant tel ou tel chose. Oui, je vous l'ai déjà dis, mes réactions d'enfants sont fréquentes. Et c'est tout en admirant une fleur que je finis par trouver réponse à ses questionnement.

-Je ne suis pas violente. Je suis une diplomate voyez-vous, alors si jamais un jour, vous veniez à "sortir des rangs", j'irez seule vers vous et je vous jure que je vous réveillerez coûte que coûte !

Je me retourne vers lui, arrêté à quelque pas de moi et lui sourie. Je m'avance vers le Lac et me mouille les mains, histoire de me rafraichir. Léon s'étant rapproché pour surement me protéger en cas d'attaque surprise d'amphibiens, j'attendis qu'il soit asses près de moi pour me retourner et lui coller mes mains toutes mouillées sur son visage en riant.
Gamine je vous dis !
Je me mis à courir un peu plus loin, jusqu'à retrouver le sentier que j'avais empruntée pour venir au Lac. Sauf que je n'avais aucune envie de le prendre. Je me stoppe directement, une mauvaise sensation me tordant l'estomac. Vraiment, je me suis bien trop habitué aux marques affectives en moins de 3H. Je recule et fonce dans Léon qui venait d'arrivé, me faisant tomber par terre. Il va pour me relever, mais je repousse gentiment sa main. Je regarde ailleurs, tente de me relever mais allez savoir pourquoi je n'y arrive pas !
##   Sam 29 Juin 2013 - 22:39
Anonymous
Invité

Après tout mon enchainement et de geste des plus tendres et des plus romantique que je pouvais faire, qui d'ailleurs par moment l'avait fait devenir toute rouge oui qui l'avait fait sourire ou encore devenir un peu triste sans le vouloir " de toute façon tu es un idiot à déprimer tout le monde " " Hum je vais même pas me répondre tellement c'est faux ".
Toute en sortant de notre chère * iglterre * que j'avais détruit d'un claquement de doigt pour le style " autant se la jouer parfois " " bof pas d'accord " Elle c'était mise à courir dans tout les sens tout en s'émerveillant devant la nature qui nous entourait après une petite pluie passagère, elle c'était arrêté devant une fleur pour la regarder et alors me répondre :  


-Je ne suis pas violente. Je suis une diplomate voyez-vous, alors si jamais un jour, vous veniez à "sortir des rangs", j'irez seule vers vous et je vous jure que je vous réveillerez coûte que coûte !

Ses paroles m'avaient fait sourire une nouvelle fois, je savais maintenant ou du moin depuis un bon moment que je pouvais compter sûr elle si un malheur venait à se produire. Alors qu'elle me regardait en souriant, elle c'était baissé pour se rincer les mains dans le lac, en même temps vu le temps que l'on avait passé dans l'herbe et au ras du sol c'était normal.Je me rapprochais d'elle au cas ou une grenouille venait à lui sauter dessus et qu'elle venait à tomber dans l'eau.
Alors que je me tenait juste derrière elle , elle c'était retourné tout en posant ses main pleine d'eau sur mon visage. Cela m'avait surpris et j'avais un peu tressaillis tout en devenant rouge à mon tour alors qu'elle était déjà repartis au loin, plus précisément vers le chemin du retour.
Je l'avais assez vite rattrapé et elle c'était vivement retournée pour faire demi tour sauf qu'elle m'était rentrée dedans et quand j'allais pour la relever , elle avait poliment refusé tout et regardant ailleurs mais elle avait échoué dans la tentative de se lever, une idée m'était alors passé par la tête.


-Princesse s'il vous plait ne bougé surtout pas je vais chercher nos affaires pour faire quelque chose alors soyez sage et écoutez moi ! Avais-je dis grand sourire aux lèvres.

Je la laissais alors ici avant de retourner au bord du lac là ou nos affaires étaient posées paisiblement ainsi que ses ballerines. En prenant tout notre bazar je revenais au pas de course devant elle et les déposais bien à plat au sol. Je commençais d'abord par lui attraper ses pieds pour lui remettre ses ballerines puis fouillant dans mon sac j'avais trouvé mon chère appareil photo. D'un sourire en coin je posais mes mains au sol puis érigeais alors sous ses fesses un trône " quoi tu as fait ça !!!" " quoi romantique et humble jusqu'au bout rien d'autre ".
Remarquant un autre élève qui passait par là je lui demandait alors:


-Euh...toi excuse moi tu pourrais nous prendre en phot ?Mais seulement quand je dis que c'est bon !
-Hein ? A oui bien entendu heureusement je n'ai rien d'urgent à faire.

Je lui donnais alors l'appareil photo et je m'étais alors agenouillais devant la princesse qui se tenait sur le mini trône et je la fixais dans les yeux en disant à l'autre qu'il pouvait appuyer sûr le bouton, ce qu'il avait fait avant de partir avec une tête genre choquée. Moi content je lui montrais alors la photo tout en disant :

Au moi tu auras un souvenir princesse, et ce sera la preuve comme quoi tu sais que tu peux faire appel à moi quand tu en aura besoin !

D'un autre claquement de doigt je faisait alors éxploser le trône et la rattrapais dans mes bras avant de l'assoir dans l'herbe et rajouter :

-Je sais que tu veux pas que l'on se sépare, donc on peut admirer le coucher de soleil sur le lac vu qu'il commence à se faire tard ça devrais pas tarder tu crois pas ? Au moin en plus de ça on pourra se faire un pic nique donc on y gagne tout à rester encore un peu, à moin que mademoiselle ai d'autre chose à faire ! Avais-je rajoutais en rigolant.

Je ressortais alors la serviette de mon sac pour l'étaler dessous nous une nouvelle fois avant de passer un bras autour de sa taille et d'atendre. " pourquoi le temps passe si vite " " je sais pas moi aussi ça me dégoute ".
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Le Lac ou la mare aux grenouilles !

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