Cauchemars oubliés et un Sauveur de gagné !

Pourquoi Diable est-ce que je me retrouve devant cette porte ? Ah oui. C'est vrai. Retour en arrière : j'avais commencée à sombrer au pays des rêves, lorsqu'un assez violent cauchemars vint tout casser. J'étais dans le salon familiale, les mains en sang. Mon père me regarde avec une envie féroce de mettre fin à mes jours je crois. Puis il voit le corps par terre et se jette sur lui en hurlant. De peur de je ne sais quoi, je remonte dans ma chambre et me cache sous mon lit. Me croyant vainement en sécurité, j'entends quelqu'un me murmurer à l'oreille : "Tu es si naïve, je déteste ca !". Autant voir mon père dans ce délire ne me réveilla pas, ni le sang sur mes mains. En revanche, avoir Michigan Carter contre moi, sous mon lit à me murmurer des trucs. Ca pour sur que ca ma réveillée !
Par pur réflexe, j'ai sauté de mon lit et me suis mise à courir sans prendre le temps, ne serait-ce que de me changer. Mes pas me dirigèrent machinalement vers les chambres individuelles où je savais qu'une certaine personne se trouvait. Naviguant dans le couloir, j'atterrit donc devant une porte de bois avec inscrit dessus "Léon Valentine". Sauf que depuis mon lit jusqu'ici, j'avais tout de même repris un minimum d'esprit. Et je vous dis pas le massacre cérébrale que je suis en train de me faire qui se résume rapidement à un : "J'entre ou j'entre pas ?". Un silence pesant se fit. Il est tard. La lumière est tamisée. Je viens de cauchemarder de meurtre. Et je sais très bien lequel. Seule dans le couloir, je sens la panique me monter à la gorge, me tordre l'estomac. L'angoisse me terrasse et je me colle contre la porte en frappant comme je le peux. Temps pis pour les règles de la bienséance. Temps pis, si je débarque dans la chambre d'un garçon en short noir débardeur blanc à une heure du matin. C'est un gentleman, il sera retenir ses pulsions mais là, avant tout, j'ai besoin de lui !

-Léon ! Léon ouvre la porte, je t'en supplies ouvre la porte !

Prise dans une crise d'angoisse, je sentis le bout du couloir se rapprocher lentement de mon corps, les yeux fixée sur la poignée de la porte d'entrée qui j'en suis certaine est en train de tournée seule sur elle même.
Je ne sentis même pas la porte s'ouvrir tellement j'étais obnubilé par cette sensation de vivre quelque chose de réel. Comme, un souvenir.

J'avais enfin pu reprendre mes esprits après avoir passé tout une semaine cauchemardesque entre mes mauvaises pensés, le combat contre la directrice et encore d'autre truc. Aujourd'hui j'avais passé mon temps à jouer du piano en salle des musiques tout seul car comme d'habitude qui dit été dit piscine, mer, sable fin, coquillage et crustacé. Donc j'avais pu passer mon temps sur l'un des pianos car oui je m'y étais mis et j'avais même demandé à un professeur si je pouvais avoir des cours particuliers ce qui ne l'avait guère dérangé mais au contraire l'avait rendu joyeux. Alors après avoir passé l'après-midi à apprendre comment positionner les mains et les doigts pour appuyer sur le clavier.

Le soir en revenant dans ma chambre assez fatigué, j'avais juste pris un petit sandwich dans un distributeur car j'étais assez flemmard parfois et que je n'avais pas eu envie de traverser toute l'institut pour aller à la caféteria. Tout en mangeant je révisé un livre sur les pianos et en même temps je révisé quelques cours aussi, car il fallait bien rester à jour pour ne pas être pommé quand la rentré reprendra. Les heures passaient sans que je ne puisse m'endormir car mes quelques blessures qui me restaient me faisaient encore un peu mal, j'avais alors pris une douche à minuit trente.

Sous l'eau je repensais à tout ce qu'il c'était passé depuis que j'étais arrivé, il y avait eu des hauts et des bas, puis un grand malheur et pour finir un grand bonheur, d'ailleurs je commençais à me demander comment ce bonheur allé tout en sortant de la douche et en enfilant un pantalon quand j'entendis frappé à ma porte suivie d'un appel au secours :

-Léon ! Léon ouvre la porte, je t'en supplies ouvre la porte !

Je pouvais reconnaitre cette voix et je pouvais deviner que rien n'allait, en même temps pour toquer si tôt ici il fallait vraiment q'un truc pas cool soit arrivé. Je ne prenais même pas le temps d'enfiler un t-shirt que j'ouvrais la porte pour la prendre dans mes bras puis la mettre sur le lit tout en refermant à double tour directement. Prenant le temps de la couvrir avec la couverture je lui donné un baisé avant de lui demander alors :

-Bonsoir princesse que fais tu ici à une heure si tardive ? Une chance pour toi que je ne dorme pas, et désolé pour mon accoutrement légé mais je sors juste de la douche , alors que ce passe t'il donc ?

La porte s'ouvrit donc sur des bras protecteurs. Pour m'y être blotti un nombre incalculable de fois, je savais que Léon venait une nouvelle fois de me sauver. Sans vraiment prendre le temps de rien, je me retrouve sur un lit, tandis que je vois Léon fermer la porte. Il revient vers moi et je ne peux que trembler. Les cauchemars, c'est pas un truc récurrent chez moi et pour le coup, ca m'a mise dans tout mes états ! Finalement, je hais dormir.
Je sentis le tissus de la couverture, m'enfermant dans une bulle protectrice. Quand je sentis mon Prince/Sauveur/Chevalier déposé un baisé sur mes lèvres, je réalise, ENFIN, que je me suis directement précipité chez lui.

-Bonsoir princesse que fais tu ici à une heure si tardive ? Une chance pour toi que je ne dorme pas, et désolé pour mon accoutrement léger mais je sors juste de la douche , alors que ce passe t'il donc ?

Arhem ! La différence entre mon teint blanc maladif et le teint maintenant si habituellement rouge de mon visage, ce fit à une vitesse quasi instantané. Dès le lendemain matin de cette rencontre, pour le coup, définitivement romantique, j'étais allée emprunter un bouquin sur les relations et émotions humaines à la bibliothèque. Histoire de me mettre dans le bain. J'ai pas été dessus du voyage !
Bref, entre la gêne d'être une idiote née et celle de me retrouvé devant Léon en pleine nuit me firent bafouillée. Pour pas changer me direz-vous !

-Heu ... Bah ... Je ... Cauchemars. Fis-je littéralement dépitée.

Je commence à me triturer les doigts. Pour enfin lever mon visage vers lui, une expression toute penaude collé dessus. C'est vrai que maintenant, je pouvais encore voir deux trois gouttes d'eau. J'attrape une de ses mèches humides. L'idée de lui sécher me traverse l'esprit. Puis une autre, moins joyeuse commence à filtrer à travers mes yeux ! Léon était torse nu. Non, ca c'est très joyeux et très bien ! Enfin non ! Enfin si ... Mais ... Bref ! Ce que je veux dire c'est que Léon est torse nu. Et là, il y a quelque chose qui me saute aux yeux. Quelques vilaines traces de brûlures se dispersent sur son corps.
Immédiatement, j'ai peur ! Je lui saute dessus, attrape par le bras et le pousse sur le lit, échangeant nos position pour pouvoir y regarder de plus près inspectant sa peau du bout des doigts.

-Mon Dieu Léon ! Tu t'es battu ? Est-ce que ca va ?

J'avais momentanément oublié mon horrible cauchemars, trop obnubilé par ces marques qui à mon goût on intérêts à disparaitre fissa ! Léon s'était battu. Je savais que cette ... cette ... meurtrière lui était passé dessus, mais ca, ça remonte à tantôt ! Mon Léon s'était battu ... C'est moi ou je viens de dire "mon" Léon ? Ca promets ! Je le regarde dans les yeux, tenant vainement de trouver réponses à questions. Mes mains quittes son torse pour lui prendre de par et d'autre le visage. Mes lèvres trembles. Parce qu'au fond, je n'ai plus que lui dans ma petite et misérable vie.

-Ca ... Ca va hein ?

Je me demande vaguement si Michigan va sortir de sous le lit pour me taper. Hein ?! Cette pensée raviva ma peur. Le dessous de lit n'est plus du tout mon endroit préféré ! Ah parce qu'il l'a été un jour ? Je commence à faire du cloche pieds devant Léon qui doit me prendre comme une folle. Je ne veux pas rester par terre. Mais le livre à dit : "Deux personne qui forme un couple dans un même lit, c'est jamais bon signe. Ne laissé pas votre compagnon prendre le dessus." ! Mais, mais c'est quoi ton livre ? Bah c'est le seul que j'ai trouvé ... Tu vas me faire le plaisir de jeter ce truc et de monter sur ce foutu lit !Je le vis pendant ce cours lapse de temps ouvrir la bouche pour parler, mais j'avais pas du tout envie de resté près du bord.

-Juste ! Heu ... Je peux remonter sur le lit ? Et tu m'explique au chaud comme ca.

Je lui souris, vraiment. Jeter ce livre ? Jamais, y'a trop d'infos importantes que ni Miss Timidité et Miss chieuse de Conscience ne me donnerons jamais. Et maintenant que je ne suis plus seule, faut bien que je sache tenir une conversation !

Alors que je l'avais embrassé pour la rassurer un peu, son teint avait radicalement changeait après tout ça faisait une semaine que l'on ne c'était pas vu donc elle avait sûrement pas eu le temps de s'habituer à ce genre de sentiment et de mouvement. Mais elle avait toujours la tête d'une fille effrayait par quelque chose et je voulais savoir ce que c'était tout en tentant encore de la rassurer comme je le pouvais car je n'étais peut être pas vraiment doué pour ce genre de chose. Je savais bien qu'il fallait que je fasse quelque chose mais quoi alors là, à par lui parler je voyais rien d'autre. Puis elle bafouilla quelque mot toujours aussi choquait :

-Heu ... Bah ... Je ... Cauchemars.

Bon au moin je savais la raison et je savais que ma présence seul suffisait à la calmer comme il fallait puisqu'elle n'avait plus aucune raison de craindre quoi que ce soit avec moi et que je suis là pour la protéger. Je la voyais triturer ses doigts , avait elle honte ou je ne sais quoi, peut être mais bon dans ce cas là elle n'en avait pas du tout besoin, elle pouvait tout me dire ça ne me dérangerait pas au contraire je pourrais mieux l'aider. elle avait attrapait une de mes mèches encore mouillée avant qu'elle ne reporte son regard sur mon torse tout beau et tout brûlait surtout * Ohoh tu es dans le caca toi * non pas vrai enfin si mais bon on survivra *mouais *. Elle me sauta alors dessus pour me mettre dans le lit échangeant tout deux nos places et elle me demanda alors d'un regard stupéfaits :

-Mon Dieu Léon ! Tu t'es battu ? Est-ce que ca va ?

Bein personnellement oui moi ça allait assez bien puis on va dire que j'avais assez mérité ces marques mais comment lui expliquer que je m'étais battu contre la directrice sans qu'elle me pulvérise * bein fait toi pulvériser y'a pas d'autre moyen haha * vachement drôle. Elle me regardait alors dans les yeux attendant de moin une réponse tout en prenant mon visage dans ses mains. Nous pouvions nous replonger dans le regard de l'autre alors qu'elle me demandait un peu plus calmement je crois :

-Ca ... Ca va hein ?

Bein si seulement elle pouvait me laisser en placer une j'aurais pu le lui expliquer mais au lieu de ça elle me demandait si ça allait mais au moin je savais qu'elle s'inquiétait pour moi. Je la remarquais debout à cloche pied devant le lit * Mais que fait elle ? * Sait pas mais bon. e trouvais ça bizare qu'elle reste comme ça alors que au début ell était dedans le lit mais bon j'allais pas trop lui en demander car elle était encore sous le choc, puis surprise elle me demanda elle même :

-Juste ! Heu ... Je peux remonter sur le lit ? Et tu m'explique au chaud comme ca.

Donc j'allais enfin pouvoir parler c'était pas trop tôt tient mais d'abords je lui avais attrapé le bras pour la tirer dans le lit doucement et refermer la couverture sur nous pour pouvoir me blottir contre elle et l'embrasser pour essayer de la calmer un peu. Je respirais alors un bon coup avant de prendre la parole :

-Ne t'en fait pas ça va très bien pour moi princesse, puis pour tout te dire c'est un peu moi qui ait cherché...

J'inspirais profondément car j'allais devoir tout lui dire de A à Z sans faire de détours inutiles et entamais alors mon explication :

Après avoir reçu la visite de la tueuse je fus complétement déboussolé et je voulais absolument évacuer tout ce que j'avais en moi : colère, peine douleur. Donc je m'étais rendu à l'arène mais tout le monde partais sauf...Je respirais un peu plus durement avant de continuer,La directrice et du coup on à fait un combat assez violent je dois dire...voila tu sais tout.

J'avais finit ma longue explication et voulais tenter de me cacher pour ne pas subir son courroux mais c'était peine perdu puisque j'étais un peu bloqué par une couverture sauvage. Toute mes pensés était concentrées sur ce qu'il allait m'arriver, sauf une la raison de sa venu. Je lui demandais alors doucement :

-Dis au faite tu veux en parler de ton cauchemar princesse?

Parce que oui en tant que son chevalier il fallait bien que je sache ce qu'elle avait sur la conscience et en tant que petit ami * ça fait bizarre ça par contre * je me devais de la rassurer n'importe quand pour n'importe quelle raison aussi bête soit elle car je suis avec elle pour ça aussi. Et je la serrais un peu plus dans mes bras espérant l'encourager à parler pour que je puisse tout savoir.

Il me tira à lui, me glissant sous la couette en se calant contre moi. On pourrait de loin, croire que Léon profite. La bonne blague, c'est moi qui profite d'être près de lui, nuance ! C'est un aveux ? Arhem, non. Zut !
Je profite encore plus de son baisé, ca j'allais jamais m'y faire. Mais bon Dieu que c'est agréable ! Il prit une grande respiration. Geste chez lui qui signifie un peu près : " J'ai truc inavouable à t'avouer !".

-Ne t'en fait pas ça va très bien pour moi princesse, puis pour tout te dire c'est un peu moi qui ait cherché...

Je. Il. Je vais passer cette phrase sous silence et attendre la suite. Je suis toujours d'avis qu'il faut laissé une chance à l'autre de s'expliquer. Sauf si on parle de viole, meurtre prémédité et bébénocide. Bébénocide ? J'aime pas les tueurs de bébés ... !

-Après avoir reçu la visite de la tueuse je fus complétement déboussolé et je voulais absolument évacuer tout ce que j'avais en moi : colère, peine douleur. Donc je m'étais rendu à l'arène mais tout le monde partais sauf...

Sauf ? Sauf qui ? Le pape ? La Sainte Vierge ? Le dalaïlama ? Un moustique ? Je vais le se faire faire suicider ! Allez dans l'arène ? L'ARENE ! Monde cruel.

-La directrice et du coup on à fait un combat assez violent je dois dire...voila tu sais tout.

Je tente de m'étouffer avec la couette. Plus par peur de le tuer lui qu'une simple tentative d'homicide volontaire sur ma personne. Directrice ? C'est quoi ca ? La personne la plus puissante de cet établissement peut-être ? Mais il est fou ou quoi ! Mais il avait quoi à l'esprit !

-Dis au faite tu veux en parler de ton cauchemar princesse?

Un cauchemar ? Quel cauchemar ? [Encore à l'Ouest] Oh.
Et aussi vite que ma sourde colère contre sa non sens de la survie était arrivée, ma peur revint au triple galop. Je cherche à me coller un peu plus à lui et tant pis si le souvenir du bouquin m'envoie un signal de danger ! Léon est un gentleman. Il a pas ce genre de ... d'envie lui ! Heu ... Bah techniquement parlant c'est un garçon donc bon ! Chut, tu vas me faire paniquer.

-J'ai rêvée du soir où mon père à tué ma mère. Mais j'étais dans la pièce. J'ai courus me cacher sous mon lit et ... Et y'avait Michigan en-dessous qui me chuchotait à l'oreille ...

Cette dernière partie, je l'avais chuchotée. Brouhou ! Ca fait froid dans le dos. Je pose mon menton sur son torse et lui lance un regard perçant.

-La directrice alors ?

J'avais dis ca gentiment. D'abord parce que j'étais incapable de crier sur quelqu'un, encore moins Léon. Et parce que je veux pas qu'il me vire de son lit ! Je suis trop bien calée moi. Je me redresse un peu, évaluant les risques de ma conduite. Ceux-ci se résumèrent à trois fois rien, après tout Léon est un gentleman ~ Ou pas ! Maieuh !
Bref, je m'avance vers son visage et y dépose un joyeux baisé.

-Ca c'est parce que tu m'as ouvert la porte.

Je lui bise la joue. Avant de la mordre ! Pas fort hein. Juste assez pour qu'il comprenne que je ne suis pas d'accords non plus avec ses techniques de suicidaire !

-Et ca parce que je cautionne à peu près tes actions violente envers une directrice qui aurait pu te réduire en cendre.

Sixtine se laisse allée ... Ah bon ? Je sais pas moi : tu l'embrasse et tu le mords ! C'est ton livre qui te rends comme ca ? Mais vas y continu de lire, j'attends de voir tes prochaines réactions ! Qu-QUOI ?
Oups. Suis-je devenu ... méchante ? Naaaan veux pas être méchaaaante !
Hein ? Mais je te parle pas d'être méchante, je te parle d'être perverse ! On mords pas un mec dans son lit, c'est la base de survie !
Per-Perverse ? Heu ... Connais relativement peu ce mot. Mais j'ai compris que c'est pas bien de l'être !
Je me recale sur l'épaule de Léon, évitant de trop bouger. On sait jamais, il pourrait avoir mal ? Etre sérieusement blessé ! Au fond, c'est à cause de l'autre là qu'il va pas bien ! Vivement que quelqu'un l'attrape !
Après tout ca, je me fis la réflexion qu'être là, avec Léon, genre ... ensemble. Bah ca fait bizarre. Pas désagréable, mais bizarre. Et mes réactions à moi aussi elles sont bizarres ! Tu avoue enfin. Pff.

Elle avait l'aire encore plus choquée quand je lui avais tout expliqué et elle devait sûrement être en colére car je la voyais serrer la couette et la mordiller, chose qui ne me viendrais même pas à l'esprit car je détestais vraiment cette sensation de tissus qui se frotte au dent avec un gout clairement dégueulasse. Toujours en était il que j'attendais une réponse ou du moin une réaction assez violente genre une bonne gifle ou autre, mais à la place elle c'était encore plus collé à moi donc autant en profiter pendant que je le pouvais car la tornade pouvais débarquer n'importe quand.

Je la serrais un peu plus encore car de tout évidence elle n'allait pas m'engueuler sinon ça se serait déjà produit depuis cinq bonnes minutes déjà. Il y avait un silence assez pesant qui régnait dans la pièce tout à coup car elle ne disait plus rien et que moi j'attendais poliment qu'elle me parle sans que je n'avais nul besoin de le lui dire, la tension était assez stressante mais elle brisa bien vite ce silence assez rapidement en me décrivant l'horreur qu'elle avait vue en cette nuit :

-J'ai rêvée du soir où mon père à tué ma mère. Mais j'étais dans la pièce. J'ai courus me cacher sous mon lit et ... Et y'avait Michigan en-dessous qui me chuchotait à l'oreille ...

Quel rêve complétement moche et puis ce Michigan il va vraiment falloir que je le trouve pour lui éxpliquer deux trois trucs à ce sale morveux à la noix, on fait pas de mal à ma Six d'abord * La tienne pouhaha a y est c'est officiel * ça l'est depuis une semaine crétin * tout doux je m'excuse la dernière fois que tu étais comme ça tu as faillis tuer des gens *.

Je tentais d'abord de me calmer doucement car ça commençait à faire trop à cause de l'autre là et me concentrais plutôt sur la princesse que je tenais dans mes bras qui avait l'aire d'ailleurs de se reprendre petit à petit ce qui était plutôt bon signe. Puis elle avait posait son menton sur moi en disant :

-La directrice alors ?

Bon on fait comment pour fuir * tu peux pas tralalalalaire eu * elle l'avait dit plutôt gentiment contrairement à ce que je pensais et plus étonnant encore elle c'était un peu relevé pour déposer un baisé sur mon visage, c'était agréable bien évidement et j'en voulais encore moi alors que je restais sur ma fin en l'entendant dire :

-Ca c'est parce que tu m'as ouvert la porte.

Ba en même temps j'allais pas la laisser toute seul dans le couloir sombre, presque glauque même alors qu'elle avait fait un mauvais rêve et qu'elle tambourinait à ma porte presque en pleure. Je sentis alors ensuite ses lèvres se déposer sur ma joue qu'elle agréable sensation que c'était MAIS elle m'avait aussitôt mordue juste assez fort pour me faire un peu réagir certes, mais je commençais à y prendre gout moi alors qu'elle me disait sur un ton de reproche assez faible tout de même :

-Et ca parce que je cautionne à peu près tes actions violente envers une directrice qui aurait pu te réduire en cendre.

Bon à noté que je dois faire un peu plus attention à ma propre personne plutôt que de me mettre dans des situations dangereuse pratiquement tout le temps. Sauf que cette fois si c'est elle qui avait créé la situation dans laquelle nous nous trouvions et bien évidement ça ne me déplaisais point. Elle avait alors posé sa tête sur mon épaule mais moi je la lui attrapais pou l'embrasser un peu plus avant de lui dire :

Tu sais si tu veux me gronder ne me mord pas de la sorte car c'est un peu agréable on va dire ! mais engueule moi plutôt ou gifle moi la ce sera mieux ! Car tu ne sais pas comment je pourrais réagir.

Je nous fîmes alors rouler dans le lit pour que je sois en dessus d'elle avant de la mordiller dans le cou doucement * alerte alerte frappé le * frapper qui le lilliputien , * toi crétin /PONK/ * bon ça va ça va. Je me contentais alors de l'embrasser lentement avant de rajouter :

-Tu n'es pas naïves t'en fais pas, quand à se Michigan quand je l'aurait dans mes mains je m'amuserais sûrement un peu, donc pour le moment rassure toi tout va bien d'accord ?

Sur ces mots je portais une de mes mains sur sa joues pour la caresser du bout des doigts la rassurant encore et encore.

Vous savez, dans le monde, il y a des gens qui ont ce que l'on appel : un instinct de sauvegarde. Sixtine, elle, elle en a pas. Ou du moins, elle n'en a pas encore développé. Faut dire qu'au moment où je vous parle, j'expérimente de nouvelles choses totalement merveilleuse, alors le développement, on verra plus tard ! Je vous rappelle que je m'étais posé sur l'épaule de Léon, dans l'espoir de remettre de l'ordre dans mes idées ! Sauf que lui n'a pas l'air de cet avis. Attrapant mon visage, il emprisonna mes lèvres, de sorte que je n'ai aucuns mot à redire là-dessus.

-Tu sais si tu veux me gronder ne me mord pas de la sorte car c'est un peu agréable on va dire ! Mais engueule moi plutôt ou gifle moi là ce sera mieux ! Car tu ne sais pas comment je pourrais réagir.

Qu'est-ce que j'avais dis ? Mordre un gars dans son propre lit ! La bonne blague. Bah ... Quoi ? C'était plus une manière gentille de dire que j'étais contre le suicide abusif. Ouai, bah pour lui ca voulait plus dire un truc dans le genre viole abusif ! Quoi ? Oui, oui, tu m'as bien entendu ... T'as pas lus ca dans ton bouquin ? Si, Chapitre 15 : " La chambre de votre compagnons est son espace de jeu.". Et après avoir lus ca, tu ... tu ... Arf !
Bref, ce monologue dura un dixième de seconde, laissant le temps à Léon d'échanger nos positions en roulant sur le lit avec moi. Hum. Très, très ... Ah ! Il m'a mordu ! Bah voilà, t'es foutu.
Mon agréable torture pris tout de même très vite fin, me faisant lâché ... heu ... un son de mécontentement ? Mais c'est qu'elle aime ca en plus ! Putain mais cours, casse toi d'ici avant qu'il est réellement envie de manger. Bah au pire je lui fais un casse dalle ? ...
Nos lèvres repartir pour un tour de merveilleux manège et moi, sans conscience pour me tenir compagnie, je ne comprends absolument pas pourquoi j'ai chaud !

-Tu n'es pas naïves t'en fais pas, quand à se Michigan quand je l'aurait dans mes mains je m'amuserais sûrement un peu, donc pour le moment rassure toi tout va bien d'accord ?

Non, elle n'est absolument pas naïve ! Noooon. Mais arrête, vas-t-en, c'est mieux quand tu n'es pas là. Ses doigts vinrent caresser ma joue, je sourie. Je passe mes doigts dans ses cheveux, j'adore ses cheveux. Je crois que cette histoire de cauchemar est complètement mise au second plan. Maintenant qu'il a arrêté -à moitié- de combler mes pensées par du vide, je pus nettement réfléchir à ses phrases. Le gifler ? La dernière fois que j'ai gifler quelqu'un c'était ... Michigan. Frappe le. Pardon ? Frappe le, il a envie d'être frappé. Il te l'a dis. Mordre pour lui, c'est plus excitant qu'autre chose ! Mais ... Frappe !

-Je ... Je suis vraiment désolé ...

Sur ce, il y eu un claquement magistral. Putain tu n'y es pas allé de main morte ? Bah j'ai frappée. Oh mon Dieu j'ai frappée Léon ! Quelle idiote ! Idiote, idiote, idiote ... C'est TA faute !
J'attrape son visage, toujours un peu choqué - et il y a de quoi - entre mes mains et embrasse sa joue doucement à plusieurs endroits.

-Je suis désolé, je le ferais plus jamais plus ! C'est ... C'est toi ... Tu ... T'as dis de frapper !

Je l'embrasse, trop préoccupée pour un seul instant pensée revenir dans son jeu. Je passe mes bras autour de son cou et continue de l'embrasser. Oh la bêtise ! Plus jamais je ne le frappe, à ca NON ! Je passe mon nez dans son coup et respire plus calmement. Je respire son odeur : calmant ! Inconsciemment toujours, je me colle un peu plus à lui, dans l'espoir d'une quelconque réaction. Rien. Je reviens vers son visage et plonge mes yeux dans les siens. Mais la peur d'y voir un truc que je n'aimerais pas me pousse à ne pas vraiment le regarder. Mes doigt repasse dans ses cheveux, sur sa joue, je l'embrasse à nouveau, cherchant une réaction qui ne viens pas. Me rappelant soudainement que Michigan à réagis pareille avant de m'en retourner une, je prends peur et commence à sortir du lit.

Alors que nous avions changé de place je voulais juste un peu m'amuser mais ma conscience m'en avait interdit car cela pourrait encore plus déboussoler la princesse et je ne le voulais pas du tout, et c'est pour cela que je m'étais juste contenté de lui caresser sa joue totalement pensif. Je me demandais si elle allait vraiment m'écouter et faire attention la prochaine fois que la situation serait pareil, en attendant je la fixais me perdant dans ses yeux brillants. Je me retenais de l'embrasser car cela pourrait amener à autre chose dont je n'avais pas trop envie pour le moment * menteur euh menteur * bon d'accord un peu * voila c'est mieux *. Alors que je la regardais elle ouvrait la bouche pour dire :

-Je ... Je suis vraiment désolé ...

Pourquoi elle était désolé elle avait rien fait de mal donc je comprenait pas trop pourquoi elle avait dit ça jusqu'a qu'un claquement résonne dans la chambre et surement dans le couloir. J'étais comment dire, totalement hébété par ce qu'il venait de ce passer. Bon c'est moi qui le lui avait dit mais pas pour aujourd'hui pour une prochaine fois, j'aurais dû préciser mais bon. Ma joue me brûlé assez violemment alors que j'étais perdu genre envolé dans un autre monde, jusqu'a la sentir m'embrasser la joue ce qui me refroidissait et qui était totalement agréable puis elle enchainé rapidement :

-Je suis désolé, je le ferais plus jamais plus ! C'est ... C'est toi ... Tu ... T'as dis de frapper !

Oui c'est bien moi qui le lui avais dit et bien heureusement je ne lui en voulais pas le moin du monde, alors que je sentais ses bras passer autour de mon cou et qu'elle m'embrassait tout plein de fois. Elle se collait a moi pour se calmer alors que je restais encore dans la lune et je la sentais s'éloigner d'un coup * ESPÈCE D'IDIOT RÉVEILLE TOI DE SUITE * Ce que je fis pour la rattraper lentement et la remettre prêt de moi en me collant le plus possible à elle et lui dit alors :

-Ba alors pourquoi tu pars, j'ai rien fait de mal si ? Pour la claque c'est moi qui avait demandé oui mais tu aurais pu remettre ça à une autre fois hein tu avais pas besoin de le faire dans l'immédiat ! Avais-je dit d'un tendre sourire.

Me collant a elle je lui arrangeait ses cheveux qui cachaient son visage puis une idée avait germé dans mon cerveau et je la laissais alors se mettre sur le ventre pour pouvoir lui masser le dos de haut en bas ésperant la détendre un peu pour qu'elle arrête de croire que je vais lui rendre une claque car d'une jamais je le ferais de deux je ne lève en général pas la main sur une fille et de trois avec ma force je pourrais la tuer donc non je ne le ferais jamais de jamais et d'ailleurs je le lui avais dit :

-Ne t'en fais pas je t'en veux pas et je te ferais pas de mal promis, alors fais moi le plaisir de te détendre un peu car tu es beaucoup trop stressé et que si tu continue à stresser comme ça je vais commencer à sévir !

Je la massai de partout dans le dos faisant épouser les formes de mes mains au forme de son dos pour pouvoir la détendre du mieux possible et l'effleurant de temps en temps du bout des doigts pour la chatouiller un petit peu.

Je sentis une main m'agripper le bras. J'attends la douleur, qui décidément, se fait attendre. Je rouvre les yeux, pour faire fasse, dans le lit, à Léon, me souriant tendrement.

-Ba alors pourquoi tu pars, j'ai rien fait de mal si ? Pour la claque c'est moi qui avait demandé oui mais tu aurais pu remettre ça à une autre fois hein tu avais pas besoin de le faire dans l'immédiat !

Ah. J'ai envie de l'embrasser.
La première remarque c'est pour la baffe. La deuxième est déjà plus personnelle.
C'est dingue, mais depuis le soir où nous nous somme quittés, je suis plus vraiment, vraiment, la Sixtine qui veux rien de la part des autres à part de l'attention. Maintenant je veux et de l'attention, et que ce soit mon Léon qui m'en donne ! Bah tiens ... C'est son livre je vous dis !Je sentie ses doigts dans mes cheveux et je sourie bêtement. Du moins encore plus que d'habitude. N'empêche que j'avais quand même l'arrière goût d'une possible vengeance !
Je m'allongeai de nouveau, mais ne le vis pas faire de même. Flûte, je voulais un "doudou" moi. Mon flûte partis je ne sais où s'immoler quand je sentie les mains de Léon dans mon dos. Divine sensation. Pourtant, je voulais mon bisou ! Mais hors de question que j'aille quémander. Je viens de lui en retourner une, c'est pas pour mendier derrière !

-Ne t'en fais pas je t'en veux pas et je te ferais pas de mal promis, alors fais moi le plaisir de te détendre un peu car tu es beaucoup trop stressé et que si tu continue à stresser comme ça je vais commencer à sévir !

-Hum hum ... Fis-je amusée.

Sévir ? Quoi, il va me jeter par terre ? On verra bien.
Je sourie et le sens me chatouiller par endroit. C'est pas facile de ne pas rire sourdement dans ces moments là voyez-vous ? Alors, j'attrape une de ses mains du mieux que je peux et la garde avec moi. J'ai bien conscience que je le pousse vers moi, qu'il n'a plus qu'une main pour ses divins massages et que c'est difficile de se maintenir en équilibre pour lui. Bref, Sixtine fais chier son monde, pour son petit bonheur personnel ! Exactement.
Je le sens intensifié ses chatouilles avec ses doigts rescapés. Je mords alors un de ses doigts prisonniers. Et oui, j'ai des otages. Ce petit jeu de "Qui gagnera gouvernera" continua dix minutes à peu près. Puis, je tire sur sa main, donc sur son bras, donc sur son corps. Qui me retombe dessus. Je ris, essayant de l'atténué, ne voulant pas réveiller les voisins ! Je me retourne, pouvant enfin revoir ses yeux. Bon, ils ne sont pas comme d'habitude, mais ca doit être ma fatigue qui me le fais croire. J'attrape une de ses mèches. Vraiment, j'adore ses cheveux !

-Merci pour ce quart d'heure fort relaxant.

Je lui sourie de toute mes dents , jouant avec sa mèche, avant de l'embrasser. Pas pus résisté, comprenez-moi. J'allais pas attendre qu'il daigne le faire, j'aurais attendu toute la nuit ! Je crois pas ... !
Je réussi à trouver sa main sur laquelle on peut voir de toute petites marques de dents. J'y dépose des baisés papillons, puis fière de mon travaille d'infirmière -magique alors- je replonge mon regard dans le siens.

-Voilà. Maintenant je me suis fais un peu près tout pardonné je crois !

Nos deux fonts se colles. Plus par instinct que par autre chose. Je ne le quitte pas des yeux. Je ne peux plus le quitter des yeux. Une semaine que je connais Léon et il a réussi à faire sauter toute mes barrières. On est débraillés, il est 2H du matin et pour la première fois de ma vie, je crois que je suis certaine d'une chose.

-Léon. Je crois que je suis vraiment amoureuse ... ! Murmurais-je toujours perdu dans ses iris.

Je ris timidement. Très guimauve, c'est vrais, mais comment je pouvais lui dire sinon comme ca ? Bah je sais pas, ils l'ont pas dit dans ton bouquin ? Ils disent : " Laissez évoluer la situation.". Je laisse donc la situation évolué et l'embrasse une seconde fois. En faite, je ne sais pas vraiment qui a commencé là. Mais je m'en fiche ! J'arrive à placer entre deux baisés :

-Dire que ... J'arrive ici pour un cauchemar et que ... Je vais ressortir d'ici amoureuse et condamnée à vouloir tes câlins !

Je la massais comme je le pouvais alors que je la sentais en train de réfléchir et surtout de vouloir quelque chose car oui en général ça se remarque facilement puisque la personne est soit amusé ou fait la moue et là en l'occurrence vue comme elle était elle voulait sûrement que je me recolle à elle ou un truc dans le genre et elle m'avait en plus répondu d'un * hum hum * assez enjoué. Je la chatouillait alors de plus en plus car oui il fallait bien s'amuser parfois sinon les relations et la vie ne seraient pas drôle du tout et tout le monde voudrait se suicider rapidement, alors qu'avec l'amusement tout cela changeait et c'était cent fois mieux.

Dams ma tentative de chatouille, elle m'avait kidnappé une main prés de sa enfin je veux dire de...en haut quoi, et moi je la chatouillais du bout des doigts pour essayer de la faire lâcher car j'en avais besoin de ma main moi. Mais au lieu de ça elle m'avait mordue un doigt, sur le coup j'avais tressailli et nous continuions pendant plusieurs minute assez drôle je devais l'avouer alors qu'au bout d'un moment elle m'avait tiré d'un coup sur elle et c'était retournée juste avant que je ne l'écrase et forte heureusement je m'étais retenu. Et elle recommençait alors avec une de mes mèches qui dépassait tout en disant :

-Merci pour ce quart d'heure fort relaxant.

C'est sur que cette instant était génial et que pour le moment c'était le meilleurs que j'avais pu partager depuis mon arrivé. Je me replongeais alors dans ses iris ne pouvant m'en décrocher tout simplement car je l'aimais vraiment et elle m'avait embrassé ce que je lui avais rendu d'ailleurs avant qu'elle ne continu en disant :

Voilà. Maintenant je me suis fais un peu près tout pardonné je crois !

Elle n'avait vraiment pas besoin de se faire pardonner car elle l'était déjà et que je n'avais tout simplement rien du tout à lui reprocher on se connaissait depuis une semaine et on était déjà dans un lit elle toute débraillé et d'ailleurs son t-shirt ne lui servait a rien puisque de toute façon je pouvais déjà voir sa...ro même problème...sa poitrine depuis un moment mais n'y tenais tout simplement pas compte. Alors qu'elle elle me disait :

-Léon. Je crois que je suis vraiment amoureuse ... !

Elle avait eu un petit rire sûrement pour ne pas réveiller les autres personnes mais sil elles devaient sûrement dormir à point fermé vue l'heure qu'il était, entre temps elle m'avait ré embrassé ou je l'avait ré embrassé je sais plus et elle avait dit ensuite :

-Dire que ... J'arrive ici pour un cauchemar et que ... Je vais ressortir d'ici amoureuse et condamnée à vouloir tes câlins !

Je ne pouvais m'empêcher de rire à ce qu'elle venait de dire mais de toute façon pour moi c'était pareil et je lui rétorquais alors :

-Au mais ne t'en fait pas pour moi c'est exactement pareil hein , je t'aime aussi et je veux autant de câlin et de bisous que tu disposes dans ta tête mais en attendant !

Bon une chance sur deux de mourir mais tant pis, je lui avait enlevé son haut lentement car fallait le dire il était tout emmêle et plié dans tout les sens et je le jetais sûr la chaise de mon bureau avant de me recoller définitivement à elle pour l'embrasser plusieurs fois avant de dire :

-désolé mais de toute façon il était clairement inutile car je voyais déjà tout donc bon je ne pense pas que tout voir et tout voir ait une grande différence entre eux si ? Et pour ce qui est de ton cauchemar essai de ne plus y penser d'accord sinon je continu de sévir ma puce !

Oui cela était ma façon de sévir car je n'allais tout de même pas la brutaliser se serait typiquement con débile affreux horrible bref débile, et je la ré embrassé encore.

Il rit. Un très beau rire même. Mon Dieu, je savais qu'être amoureuse était une maladie ! Mais au point de tout voir mignon et adorable ? La dure loi de la jungle. Tu est de retour toi ? Oui, pour te jouer un mauvais tour dès que je le pourrais !

-Au mais ne t'en fait pas pour moi c'est exactement pareil hein , je t'aime aussi et je veux autant de câlin et de bisous que tu disposes dans ta tête mais en attendant !

En attendant quoi ? Je les veux maintenant mes bisous moi ! Elle est pressée de passer au stade suivant elle ... Quel stade ? Oh, rien de spéciale.
Tiens, pourquoi j'ai plus mon haut moi ? QUOI ? Il a pas osé ... Osé quoi je comprends pas !
Je regarde mon débardeur noir passé sous mes yeux. Je tourne la tête et le vois tomber sur la chaise. Je crois que ... Non, je suis sur à ce moment là que mon sang n'a fais qu'un tour dans tout mon corps. Il n'y a plus de mots pour étiqueter ma couleur de peau. On à dépasser la couleur du noyau de la planète en fusion. Là, on fais dans l'inédit.

-Désolé mais de toute façon il était clairement inutile car je voyais déjà tout donc bon je ne pense pas que tout voir et tout voir ait une grande différence entre eux si ? Et pour ce qui est de ton cauchemar essai de ne plus y penser d'accord sinon je continu de sévir ma puce !

Cauchemar ? Lequel ? Ahahaha. Haha.

-Tu ... Tu fais pas dans la dentelle toi !

Je l'embrasse, attrape le drap et m'enroule autour. On parle de Léon là. Je ne vais pas criée "Au viole !" ou "Au déssapage !" en accusant Léon, accessoirement mon copain/petit-ami/doudou. Après être sur d'être bien couverte et de n'avoir presque rien laissé à mon n'amoureux, je me cale contre lui et pose ma tête dans son coup !

-Invite moi au restaurant. Sauve moi encore deux ou trois fois. Et après je daignerai lire le chapitre des relations physique entre être humain ! Fis-je dans un sourire.

Gnéééé ? C'est moi qui est dis ca ? Non, non, c'est moi ! Fallait bien que je te sorte de ce pétrin sans que tu ne te mette à crier ... Heu, bah ... Merci ! Pas de quoi, tu me dois un resto en passant ! Oh. Bah c'est Léon qui paye de toute façon.
En parlant de Léon, je relève la tête et le regarde qui me regarde. Je lui tire gentiment la langue, l'embrasse à nouveau et tente comme il dit d'oublier mon cauchemar dans ses bras ! Ma jambe à moitié sur lui, ma main dans la sienne, mon nez dans son coup, je suis bonne pour une bonne nuit de sommeil !

-Juste, oublie pas de me réveiller demain ... Parce que je suis bonne pour jouer la belle au bois dormant !

Je baille un peu, papillonne des yeux et lui sourie. Tiens, j'ai bien envie d'un milkshake ! Bah abuse pas non plus ! Oui, oui ... Je me resserre contre lui et finis par m'endormir au bout d'un moment.

* Hum...Léon question...T'y va pas un peu fort là ? * Bein non enfin je crois pas enfin je veux dire je voyais déjà donc pas grave si ? * Comment dire...SI C'EST GRAVE BOULET LAISSE MOI LE CONTRÔLE * Son haut avait voleté jusqu'à la chaise alors qu'elle le regardait atterrir avec de grands yeux bizarrement * BOULET * Et elle était devenue encore plus rouge que rouge genre rouge comme de la lave en fusion qui brûlait tout sur son passage, d'ailleurs sa chaleur corporelle avait augmenté * CRÉTIN * J'étais toujours collé à elle un peu tristounet à cause de ma saleté de conscience ca je croyais avoir bien fait puisque logiquement il devait la gêner son haut à être tordu dans tout les sens et puis en théorie même si c'est du tissus quand c'est replié ça fait mal non ? * ABRUTIT DE SURCROIT *. Moi je me rappelais que quand ça m'arrivait et que je m'endormais avec un truc comme ça par inatention le lendemain bein j'avais de grosse parque rouge et je voulais juste pas qu'il lui arrive la même chose * Bon t'as pas fini oui elle t'as pas tué elle à même rien dit donc stop pleurnicher * D'ailleurs je crois que sûr le moment je devais être rouge aussi à cause de ma réaction car c'était genre la première fois que j'avais osé faire ça * En même temps tu as jamais eu de petite amie * T'as pas fini de me rabaisser * Non hihi * Quel plait. Elle avait alors dis sûr un ton gentil mais un peu surprise :

-Tu ... Tu fais pas dans la dentelle toi !

Elle marquait un point car elle ne pouvait pas vraiment savoir mes pensés et la raison de mon acte donc bon je la comprenais aussi , un gars qui devient son petit ami le jour où ils se rencontrent et qui au bout d'une semaine lui enlève un haut sans rien en dessous euh il y avait de quoi suspecter un truc de louche là, alors que j'étais totalement sain d'esprit et que je ne pensais pas du tout à mal moi. Bref n'y pensons plus là faute avait été commise et je m'attendais juste à recevoir le seul châtiment logique pour ça c'est à dire une jolie baffe pour me remettre les neurones défaillants en marche. Mais elle fit tout l'opposée en m'embrassant puis bien évidemment elle se cacha sous les draps ce qui était tout à fait normal cependant...et moi alors je n'avais plus rien pour me couvrir * Tu y réfléchiras à deux fois la prochaine fois * Mais elle se calla quand même contre moi posant sa tête dans mon cou et disant doucement et joyeusement et souriante :

-Invite moi au restaurant. Sauve moi encore deux ou trois fois. Et après je daignerai lire le chapitre des relations physique entre être humain !

L'inviter au restaurant ça je comptais le faire le lendemain, enfin le jour même puisqu'il devais être à peu prés deux heures du matin quand à la sauver ça c'était quand elle voulait, j'espère juste que ce ne sera pas devant un danger beaucoup trop grand ( pour elle hein pas pour moi, je pourrais mourir rien que pour la voir vivre ). Et tertio, c'est quoi son bouquin qu'elle lit ça m'a l'aire d'être encore un truc de scientifiques mais qui au final ne peuvent pas tout savoir car tout le monde est différent et de ce fait personne ne pouvait prévoir ce que les gens pourraient faire en ce basant sur une généralité, mais bon elle lisait bien ce qu'elle voulait tant que cela ne l'induit pas en erreur dans notre relation * moi je te dis de brûler ce livre ce sera mieux * non t'es fous ça lui apporte les bases * bon j'espère pour toi que ça ira bien alors *. Elle avait relevé la tête tout en me tirant la langue un peu comme une enfant qui nargue un adulte, en ayant nos mains lié et une jambe d'elle sur moi elle avait alors fini par dire en bayant :

-Juste, oublie pas de me réveiller demain ... Parce que je suis bonne pour jouer la belle au bois dormant !

Je n'avais rien eu le temps de rajouter que la princesse c'était déjà endormie comme un bébé, son aire innocent la rendait encore plus mignonne que d'habitude. Je l'admirais en train de dormir la serrant tendrement dans mes bras pour qu'elle puisse se sentir protéger dans son sommeil. J'avais alors mis un réveil à dix heures du matin avant de remettre mon téléphone sur la table de chevet. Puis je fis de même et m'endormais alors comme un loir me plongeant au pays des rêves.

La nuit ou plutôt la matinée jusqu'à ce que mon réveil sonne avait passé assez rapidement et quand celui ci avait enclenché l'alarme je m'étais d'abord réveillé en sursaut me cognant au passage la tête contre le mur fortement avant d'attraper la machine et de l'éteindre pour ensuite la reposer. Me frottant la tête ( comme si j'allais faire disparaître la blessure ) je décidais alors de réveiller la princesse d'un baisé car dans la belle au bois dormant le prince charmant réveille la fille comme ça et moi j'avais fait de même tout en disant :

-Jeune demoiselle il faut te réveiller si tu veux pouvoir te préparer pour aujourd'hui car on va avoir une petite journée assez chargée donc léve toi, bon tu as un peu de temps pour encore rêvasser en attendant je vais prendre une douche !

Je m'étais alors levé la ré embrassant encore une fois au passage pour aller sous la douche prenant des affaires assez bien sans non plus que ce soit des trucs qui tiennent chaud et partais alors faire tous ce que j'avais à faire pour me préparer. De la salle de bain je lui parlais plus fort pour qu'elle m'entende et demandais alors :

-ça va tu as passé une bonne nuit princesse ? J'espère que cette fois tu n'as pas fais d'horrible cauchemar sinon cette fois je dirais deux mots à ton inconscience pour être sur qu'elle comprenne bien le message !

En attendant comme tout les matins je me lavais les cheveux lentement pour ne pas les abîmer tout en appliquant des produits dessus pour les tenir aussi beau chaque jour qui passe puis je finissais par les brosser pour ensuite m'habiller et revenir alors dans l'autre pièce auprès de Sixtine.

Ma nuit, du moins ma matinée, fut fort agréable. J'avais trouvé je ne sais comment un doudou tout à fait à ma taille. Jusqu'à ce qu'un réveil sonne. Je grogne un peu et tente de rester accrocher à mon oreiller. Qui par miracle éteignit le fameux réveil. Depuis quand ca bouge un oreiller ? Je sentis un petit baisé, me rappelant la veille au soir. Léon. Je souris, mais garde les yeux fermés. J'ai pas envie de bouger.

-Jeune demoiselle il faut te réveiller si tu veux pouvoir te préparer pour aujourd'hui car on va avoir une petite journée assez chargée donc lève toi, bon tu as un peu de temps pour encore rêvasser en attendant je vais prendre une douche !

Naaaaaan bouge pas ! Je veux pas me lever. Personne connais la définition de grasse matinée ? Je me retourne dans les draps et entends l'eau coulée. Il est vraiment partis en plus. Je tente de me rendormir, écoutant vaguement Léon parler. Lorsque j'entendis des pas dans la chambre, je daigne enfin ouvrir les yeux : sur un Léon prêt et habillé ! Je le regarde de la tête au pieds. J'ai loupé un épisode ? Je tourne mon regard vers le réveil.

-Oh merde !

Je tente de sauter du lit, mais va savoir pourquoi, je suis enroulée dans le draps. Je me ramasse par terre, me relève en vitesse, sentant l'air frais de la fenêtre ouverte sur mon corps. Je baisse les yeux sur ma poitrine nus. Sur Léon qui me regarde. Sur ma poitrine. Sur Léon. Poitrine. Léon.
Je crie en attrapant le draps pour me cacher, pudeur à la Sixtine oblige, chope le premier truc qui me passe par la main et lui balance à la figure.
Si, si, je l'aime. C'est juste un réflexe naturel.
Tout en lâchant mon draps qui ne me sers plus à rien, j'enfile mon débardeur en mode panique.

-Tu m'as pas réveillé Léon ! Bon sang mais où sont mes chaussettes ?

Après un instant de réflexion, je me dis que je suis venus ici sans chaussettes, que j'ai encore ma douche à prendre et que je dois traverser toutes les chambres individuelles pour arrivée à ma chambre de toute jeune initiée. Je soupire et avise la douche de Léon d'un œil et la porte de l'autre. Non, vraiment, je ne pas retraversée tout ca à moitié nus en pleins jour, hors de question !

-Léooooon ? Dis-je avec ma tête la plus mignonne que j'avais en stock. Tu pourrais allé dans ma chambre chercher mes affaires ? De toute manière je vis toute seule ... J'ai pas de colocataire, donc tu réveil personne !

Je lui fais mon plus beau sourire, m'approche de lui, l'embrasse vite fais et cours dans sa salle de bain. Puis je reviens vers lui en marche arrière, parce qu'il a pas l'air de vouloir bouger.

-Tu voudrais quand même pas que tout le monde me vois sortir de TA chambre dans cet état là ?

Je lui montre m'a tenus, qui d'ailleurs ne ressemble plus à rien et l'embrasse encore une fois. Il a l'air de rapidement prendre conscience de la chose et me montre la salle de bain derrière lui. Maintenant il a plus le choix. Tu viens de lui balancé un objet non-identifié et tu lui demande d'allé chercher des vêtements ? Tu préfère que je me trimballe comme ca dans un couloir bondé de monde ? C'est bon va te laver !Je me déshabille, file sous l'eau fraiche pour bien me réveillée !

J'étais au pied du lit attendant qu'elle daigne bien vouloir se lever au lieu de flemmarder comme elle était en train de faire, au bout d'un moment elle allait enfin ouvrir les yeux et forte heureusement pour elle car je n'aurais pas besoin de sortir mon arme secrète qui aurait été de la chatouiller jusqu'à qu'elle soit pied à terre. Elle avait enfin regardé le réveille en disant une injure et avait alors sauté du lit pour...s'étaler au sol comme une crêpe, la scène était assez drôle a voir je dois dire mais blague mise à par elle c'était relevée d'un coup laissant le drap tomber au passage. Bien évidement en tant que personne totalement décente * ouais sauf hier soir * ferme là recommence pas hein. J'avais évité de regarder car je savais très bien ce qui allait se passer. Sauf que bien évidement étant en panique elle avait alors prit mon déodorant et me l'avait balancé en pleine face. Impossible à esquiver il m'avait alors cogné le front l'endroit ou je m'étais fais mal un peu plus tôt. Elle avait renfilée son débardeur tout en disant toujours aussi paniquée:

-Tu m'as pas réveillé Léon ! Bon sang mais où sont mes chaussettes ?

J'allais décidément avoir une énorme bosse mais je me contentais juste de dire * aih * car oui le matin je ne suis pas vraiment réveillé et mes réflexes de paroles ou n'importe quoi que ce soit d'autre sont largement beaucoup plus faible que d'habitude. Et elle m'avait dit que je ne l'avais pas levé mais qu'est ce qu'il ne fallait pas entendre parfois, car je l'avais fais justement mais elle c'était tout simplement rendormie. Alors que je m'apprêtais à retourner dans la salle de bain pour finir de me préparer elle m'avait regardée avec une tête trop craquante pour me demander :

-Léooooon ? Tu pourrais allé dans ma chambre chercher mes affaires ? De toute manière je vis toute seule ... J'ai pas de colocataire, donc tu réveil personne !

* Ne te laisse pas faire car si tu la laisse te dominer sa en sera fini de ta vie * mais tu y connais quoi toi d'abord puisque tu es moi * Euh...* par loin * c'est bien ce que je me disais. J'avais un peu soupiré car elle me balance un truc à la tronche puis ensuite elle me dit d'aller chercher des trucs en étant toute gentil. Elle m'avait quand même embrassé donc ça allait et en faisant un allez retour salle de bain moi elle avait rajouté :

-Tu voudrais quand même pas que tout le monde me vois sortir de TA chambre dans cet état là ?

Après murs et moultes réflexions, oui le matin j'ai besoin d'un temps de chargement pour chaque chose, je comprenais mieux pourquoi elle me l'avait demandé puisque pendant toute la matinée je m'étais juste focalisé sur son visage pour pas que les gens m'accusent de tout un tas de chose pas cool. Elle m'avait alors montrée sa tenue donc j'avais autorisation pour effectivement constaté que pas mal de gens dirait que c'est bizarre et pire, si elle croisait un master je serais mort à l'heure qu'il est. Je lui indiquais alors la salle de bain puis sortais de la chambre en fermant au passage à clef au cas ou quelqu'un de trop curieux veuille ouvrir car oui elle était sous la douche sans avoir pensée à ça.

Je marchais le long des couloirs et pour atteindre les dortoirs des novices. Je cherchais alors sa chambre quand je remarquais un écriteaux * Szpadime Sixtine et à venir * bon le à venir devait sûrement être pour la prochaine fille qui débarquerait ici. J'ouvrais la porte qu'elle n'avait même pas fermée à clef et fouillait alors dans les placards, j'attrapais une robe tout en me souvenant qu'elle aimait le vert et choisissais alors la verte tout en prenant des chaussettes et eux...ba ses...ses sous vêtements quoi * Haha j'adore ta tronche mon Léon * écrase duchnoc * et je prenais ses ballerines avant de sortir de sa chambre et prenant sa clef pour fermer et revenir alors dans la mienne et je lui dis :

-Ma princesse c'est bon j'ai toute tes affaires et au faite tu avais oublié de fermer ta chambre quand tu étais venu me voir hier soir, bon heureusement personne n'est rentrée donc ça va !

Attendant qu'elle sorte de la salle de bain car elle y était encore, j'avais fais le lit et rangeais deux trois trucs qui trainaient sur le sol. Attendant encore un peu car je savais que pour les filles c'étaient un peu plus long que pour les hommes la préparation je lui demandais :

-ça va tu t'en sors ou tu as besoin d'un peu d'aide princesse ?

L'eau fraîche me défatigua. Me réveilla. Me permis de me rappeler de la soirée en sa nette totalité. Je failli m'étouffer avec l'eau soi-disant passant !
J'éteins l'arrosage et sors de la douche, à la recherche d'une serviette propre. Pendant ce temps là, j'entendis la porte s'ouvrir.

-Ma princesse c'est bon j'ai toute tes affaires et au faite tu avais oublié de fermer ta chambre quand tu étais venu me voir hier soir, bon heureusement personne n'est rentrée donc ça va !

En même temps, avec la crise de nerfs que je me suis prise en pleine face, j'ai pas eu l'intelligence suffisante pour fermer la porte. Sinon, j'en aurais profité pour mettre des sous-vêtements. Oh ! J'aurai dus être intelligente ...
Je sourie quand même, il est prévenant. Très prévenant. J'attrape une serviette et commence à me sécher : les cheveux je le ferai après, ca prends trop de temps. Puis j'attends. J'attends quelque chose qui n'arrive décidément pas ! Je me demande vaguement pendant une dizaines de minutes si je vais avoir le loisir de m'habillée quand j'entends distinctement Léon me dire :

-Ca va tu t'en sors ou tu as besoin d'un peu d'aide princesse ?

Bah maintenant que tu le propose ... Je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain presto rapidos. Me place devant lui, qui est en train de faire je ne sais quoi sur son bureau et attendant qu'il se retourne.

-Heu ... Léon ?

Il finit enfin par me faire face. Bon, ce n'est pas une situation très habituelle pour moi. Surement pour lui aussi ... Oui, bref ! Je recommence à me triturer les doigts, de fines gouttes d'eau tombant de mes cheveux toujours lâches. Je crois, que trop saisi par la situation, il n'a pas compris ou du moins ne prends pas en compte pour l'instant, le problème de base. Quoi, que tu sois nu avec une simple serviette sous ses yeux ? Non, qu'il ne m'a passé mes vêtements ! Ah ouai ... Bah on a pas les même valeurs.Je tends mon bras en souriant devant lui.

-Mes vêtements Léon ?

J'aperçois un endroit rouge sur son front et me rapproche pour regarder. Tiens, il n'y était pas hier soir ce bobo là ! Je pose mon doigt dessus, laissant ma tête partir sur le côté.

-T'as fais ca comment ? -Une minute de réflexion- Han ! Mais c'est moi !

Mais j'arrête pas de le frapper ma parole. J'aperçois ma robe verte sur une chaise. Je l'attrape, avec mes affaires et cours jusqu'à la salle de bain. En passant je l'embrasse. Lui sourie et le ré embrasse.

-Merci !

		Terrae, Une nouvelle ère commence... :: Passons du temps tous ensemble ! :: Anciennes chambres et appartements de Masters.	Partagez
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	## Sam 13 Juil 2013 - 0:14
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Pourquoi Diable est-ce que je me retrouve devant cette porte ? Ah oui. C'est vrai. Retour en arrière : j'avais commencée à sombrer au pays des rêves, lorsqu'un assez violent cauchemars vint tout casser. J'étais dans le salon familiale, les mains en sang. Mon père me regarde avec une envie féroce de mettre fin à mes jours je crois. Puis il voit le corps par terre et se jette sur lui en hurlant. De peur de je ne sais quoi, je remonte dans ma chambre et me cache sous mon lit. Me croyant vainement en sécurité, j'entends quelqu'un me murmurer à l'oreille : "Tu es si naïve, je déteste ca !". Autant voir mon père dans ce délire ne me réveilla pas, ni le sang sur mes mains. En revanche, avoir Michigan Carter contre moi, sous mon lit à me murmurer des trucs. Ca pour sur que ca ma réveillée ! Par pur réflexe, j'ai sauté de mon lit et me suis mise à courir sans prendre le temps, ne serait-ce que de me changer. Mes pas me dirigèrent machinalement vers les chambres individuelles où je savais qu'une certaine personne se trouvait. Naviguant dans le couloir, j'atterrit donc devant une porte de bois avec inscrit dessus "Léon Valentine". Sauf que depuis mon lit jusqu'ici, j'avais tout de même repris un minimum d'esprit. Et je vous dis pas le massacre cérébrale que je suis en train de me faire qui se résume rapidement à un : "J'entre ou j'entre pas ?". Un silence pesant se fit. Il est tard. La lumière est tamisée. Je viens de cauchemarder de meurtre. Et je sais très bien lequel. Seule dans le couloir, je sens la panique me monter à la gorge, me tordre l'estomac. L'angoisse me terrasse et je me colle contre la porte en frappant comme je le peux. Temps pis pour les règles de la bienséance. Temps pis, si je débarque dans la chambre d'un garçon en short noir débardeur blanc à une heure du matin. C'est un gentleman, il sera retenir ses pulsions mais là, avant tout, j'ai besoin de lui ! -Léon ! Léon ouvre la porte, je t'en supplies ouvre la porte ! Prise dans une crise d'angoisse, je sentis le bout du couloir se rapprocher lentement de mon corps, les yeux fixée sur la poignée de la porte d'entrée qui j'en suis certaine est en train de tournée seule sur elle même. Je ne sentis même pas la porte s'ouvrir tellement j'étais obnubilé par cette sensation de vivre quelque chose de réel. Comme, un souvenir. Dernière édition par Sixtine Szpadime le Sam 13 Juil 2013 - 23:00, édité 1 fois

	## Sam 13 Juil 2013 - 10:45
Invité	J'avais enfin pu reprendre mes esprits après avoir passé tout une semaine cauchemardesque entre mes mauvaises pensés, le combat contre la directrice et encore d'autre truc. Aujourd'hui j'avais passé mon temps à jouer du piano en salle des musiques tout seul car comme d'habitude qui dit été dit piscine, mer, sable fin, coquillage et crustacé. Donc j'avais pu passer mon temps sur l'un des pianos car oui je m'y étais mis et j'avais même demandé à un professeur si je pouvais avoir des cours particuliers ce qui ne l'avait guère dérangé mais au contraire l'avait rendu joyeux. Alors après avoir passé l'après-midi à apprendre comment positionner les mains et les doigts pour appuyer sur le clavier. Le soir en revenant dans ma chambre assez fatigué, j'avais juste pris un petit sandwich dans un distributeur car j'étais assez flemmard parfois et que je n'avais pas eu envie de traverser toute l'institut pour aller à la caféteria. Tout en mangeant je révisé un livre sur les pianos et en même temps je révisé quelques cours aussi, car il fallait bien rester à jour pour ne pas être pommé quand la rentré reprendra. Les heures passaient sans que je ne puisse m'endormir car mes quelques blessures qui me restaient me faisaient encore un peu mal, j'avais alors pris une douche à minuit trente. Sous l'eau je repensais à tout ce qu'il c'était passé depuis que j'étais arrivé, il y avait eu des hauts et des bas, puis un grand malheur et pour finir un grand bonheur, d'ailleurs je commençais à me demander comment ce bonheur allé tout en sortant de la douche et en enfilant un pantalon quand j'entendis frappé à ma porte suivie d'un appel au secours : -Léon ! Léon ouvre la porte, je t'en supplies ouvre la porte ! Je pouvais reconnaitre cette voix et je pouvais deviner que rien n'allait, en même temps pour toquer si tôt ici il fallait vraiment q'un truc pas cool soit arrivé. Je ne prenais même pas le temps d'enfiler un t-shirt que j'ouvrais la porte pour la prendre dans mes bras puis la mettre sur le lit tout en refermant à double tour directement. Prenant le temps de la couvrir avec la couverture je lui donné un baisé avant de lui demander alors : -Bonsoir princesse que fais tu ici à une heure si tardive ? Une chance pour toi que je ne dorme pas, et désolé pour mon accoutrement légé mais je sors juste de la douche , alors que ce passe t'il donc ?

	## Sam 13 Juil 2013 - 14:02
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	La porte s'ouvrit donc sur des bras protecteurs. Pour m'y être blotti un nombre incalculable de fois, je savais que Léon venait une nouvelle fois de me sauver. Sans vraiment prendre le temps de rien, je me retrouve sur un lit, tandis que je vois Léon fermer la porte. Il revient vers moi et je ne peux que trembler. Les cauchemars, c'est pas un truc récurrent chez moi et pour le coup, ca m'a mise dans tout mes états ! Finalement, je hais dormir. Je sentis le tissus de la couverture, m'enfermant dans une bulle protectrice. Quand je sentis mon Prince/Sauveur/Chevalier déposé un baisé sur mes lèvres, je réalise, ENFIN, que je me suis directement précipité chez lui. -Bonsoir princesse que fais tu ici à une heure si tardive ? Une chance pour toi que je ne dorme pas, et désolé pour mon accoutrement léger mais je sors juste de la douche , alors que ce passe t'il donc ? Arhem ! La différence entre mon teint blanc maladif et le teint maintenant si habituellement rouge de mon visage, ce fit à une vitesse quasi instantané. Dès le lendemain matin de cette rencontre, pour le coup, définitivement romantique, j'étais allée emprunter un bouquin sur les relations et émotions humaines à la bibliothèque. Histoire de me mettre dans le bain. J'ai pas été dessus du voyage ! Bref, entre la gêne d'être une idiote née et celle de me retrouvé devant Léon en pleine nuit me firent bafouillée. Pour pas changer me direz-vous ! -Heu ... Bah ... Je ... Cauchemars. Fis-je littéralement dépitée. Je commence à me triturer les doigts. Pour enfin lever mon visage vers lui, une expression toute penaude collé dessus. C'est vrai que maintenant, je pouvais encore voir deux trois gouttes d'eau. J'attrape une de ses mèches humides. L'idée de lui sécher me traverse l'esprit. Puis une autre, moins joyeuse commence à filtrer à travers mes yeux ! Léon était torse nu. Non, ca c'est très joyeux et très bien ! Enfin non ! Enfin si ... Mais ... Bref ! Ce que je veux dire c'est que Léon est torse nu. Et là, il y a quelque chose qui me saute aux yeux. Quelques vilaines traces de brûlures se dispersent sur son corps. Immédiatement, j'ai peur ! Je lui saute dessus, attrape par le bras et le pousse sur le lit, échangeant nos position pour pouvoir y regarder de plus près inspectant sa peau du bout des doigts. -Mon Dieu Léon ! Tu t'es battu ? Est-ce que ca va ? J'avais momentanément oublié mon horrible cauchemars, trop obnubilé par ces marques qui à mon goût on intérêts à disparaitre fissa ! Léon s'était battu. Je savais que cette ... cette ... meurtrière lui était passé dessus, mais ca, ça remonte à tantôt ! Mon Léon s'était battu ... C'est moi ou je viens de dire "mon" Léon ? Ca promets ! Je le regarde dans les yeux, tenant vainement de trouver réponses à questions. Mes mains quittes son torse pour lui prendre de par et d'autre le visage. Mes lèvres trembles. Parce qu'au fond, je n'ai plus que lui dans ma petite et misérable vie. -Ca ... Ca va hein ? Je me demande vaguement si Michigan va sortir de sous le lit pour me taper. Hein ?! Cette pensée raviva ma peur. Le dessous de lit n'est plus du tout mon endroit préféré ! Ah parce qu'il l'a été un jour ? Je commence à faire du cloche pieds devant Léon qui doit me prendre comme une folle. Je ne veux pas rester par terre. Mais le livre à dit : "Deux personne qui forme un couple dans un même lit, c'est jamais bon signe. Ne laissé pas votre compagnon prendre le dessus." ! Mais, mais c'est quoi ton livre ? Bah c'est le seul que j'ai trouvé ... Tu vas me faire le plaisir de jeter ce truc et de monter sur ce foutu lit !Je le vis pendant ce cours lapse de temps ouvrir la bouche pour parler, mais j'avais pas du tout envie de resté près du bord. -Juste ! Heu ... Je peux remonter sur le lit ? Et tu m'explique au chaud comme ca. Je lui souris, vraiment. Jeter ce livre ? Jamais, y'a trop d'infos importantes que ni Miss Timidité et Miss chieuse de Conscience ne me donnerons jamais. Et maintenant que je ne suis plus seule, faut bien que je sache tenir une conversation !

	## Sam 13 Juil 2013 - 15:12
Invité	Alors que je l'avais embrassé pour la rassurer un peu, son teint avait radicalement changeait après tout ça faisait une semaine que l'on ne c'était pas vu donc elle avait sûrement pas eu le temps de s'habituer à ce genre de sentiment et de mouvement. Mais elle avait toujours la tête d'une fille effrayait par quelque chose et je voulais savoir ce que c'était tout en tentant encore de la rassurer comme je le pouvais car je n'étais peut être pas vraiment doué pour ce genre de chose. Je savais bien qu'il fallait que je fasse quelque chose mais quoi alors là, à par lui parler je voyais rien d'autre. Puis elle bafouilla quelque mot toujours aussi choquait : -Heu ... Bah ... Je ... Cauchemars. Bon au moin je savais la raison et je savais que ma présence seul suffisait à la calmer comme il fallait puisqu'elle n'avait plus aucune raison de craindre quoi que ce soit avec moi et que je suis là pour la protéger. Je la voyais triturer ses doigts , avait elle honte ou je ne sais quoi, peut être mais bon dans ce cas là elle n'en avait pas du tout besoin, elle pouvait tout me dire ça ne me dérangerait pas au contraire je pourrais mieux l'aider. elle avait attrapait une de mes mèches encore mouillée avant qu'elle ne reporte son regard sur mon torse tout beau et tout brûlait surtout * Ohoh tu es dans le caca toi * non pas vrai enfin si mais bon on survivra mouais . Elle me sauta alors dessus pour me mettre dans le lit échangeant tout deux nos places et elle me demanda alors d'un regard stupéfaits : -Mon Dieu Léon ! Tu t'es battu ? Est-ce que ca va ? Bein personnellement oui moi ça allait assez bien puis on va dire que j'avais assez mérité ces marques mais comment lui expliquer que je m'étais battu contre la directrice sans qu'elle me pulvérise * bein fait toi pulvériser y'a pas d'autre moyen haha * vachement drôle. Elle me regardait alors dans les yeux attendant de moin une réponse tout en prenant mon visage dans ses mains. Nous pouvions nous replonger dans le regard de l'autre alors qu'elle me demandait un peu plus calmement je crois : -Ca ... Ca va hein ? Bein si seulement elle pouvait me laisser en placer une j'aurais pu le lui expliquer mais au lieu de ça elle me demandait si ça allait mais au moin je savais qu'elle s'inquiétait pour moi. Je la remarquais debout à cloche pied devant le lit * Mais que fait elle ? * Sait pas mais bon. e trouvais ça bizare qu'elle reste comme ça alors que au début ell était dedans le lit mais bon j'allais pas trop lui en demander car elle était encore sous le choc, puis surprise elle me demanda elle même : -Juste ! Heu ... Je peux remonter sur le lit ? Et tu m'explique au chaud comme ca. Donc j'allais enfin pouvoir parler c'était pas trop tôt tient mais d'abords je lui avais attrapé le bras pour la tirer dans le lit doucement et refermer la couverture sur nous pour pouvoir me blottir contre elle et l'embrasser pour essayer de la calmer un peu. Je respirais alors un bon coup avant de prendre la parole : -Ne t'en fait pas ça va très bien pour moi princesse, puis pour tout te dire c'est un peu moi qui ait cherché... J'inspirais profondément car j'allais devoir tout lui dire de A à Z sans faire de détours inutiles et entamais alors mon explication : Après avoir reçu la visite de la tueuse je fus complétement déboussolé et je voulais absolument évacuer tout ce que j'avais en moi : colère, peine douleur. Donc je m'étais rendu à l'arène mais tout le monde partais sauf...Je respirais un peu plus durement avant de continuer,La directrice et du coup on à fait un combat assez violent je dois dire...voila tu sais tout. J'avais finit ma longue explication et voulais tenter de me cacher pour ne pas subir son courroux mais c'était peine perdu puisque j'étais un peu bloqué par une couverture sauvage. Toute mes pensés était concentrées sur ce qu'il allait m'arriver, sauf une la raison de sa venu. Je lui demandais alors doucement : -Dis au faite tu veux en parler de ton cauchemar princesse? Parce que oui en tant que son chevalier il fallait bien que je sache ce qu'elle avait sur la conscience et en tant que petit ami * ça fait bizarre ça par contre * je me devais de la rassurer n'importe quand pour n'importe quelle raison aussi bête soit elle car je suis avec elle pour ça aussi. Et je la serrais un peu plus dans mes bras espérant l'encourager à parler pour que je puisse tout savoir.

	## Sam 13 Juil 2013 - 15:57
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Il me tira à lui, me glissant sous la couette en se calant contre moi. On pourrait de loin, croire que Léon profite. La bonne blague, c'est moi qui profite d'être près de lui, nuance ! C'est un aveux ? Arhem, non. Zut ! Je profite encore plus de son baisé, ca j'allais jamais m'y faire. Mais bon Dieu que c'est agréable ! Il prit une grande respiration. Geste chez lui qui signifie un peu près : " J'ai truc inavouable à t'avouer !". -Ne t'en fait pas ça va très bien pour moi princesse, puis pour tout te dire c'est un peu moi qui ait cherché... Je. Il. Je vais passer cette phrase sous silence et attendre la suite. Je suis toujours d'avis qu'il faut laissé une chance à l'autre de s'expliquer. Sauf si on parle de viole, meurtre prémédité et bébénocide. Bébénocide ? J'aime pas les tueurs de bébés ... ! -Après avoir reçu la visite de la tueuse je fus complétement déboussolé et je voulais absolument évacuer tout ce que j'avais en moi : colère, peine douleur. Donc je m'étais rendu à l'arène mais tout le monde partais sauf... Sauf ? Sauf qui ? Le pape ? La Sainte Vierge ? Le dalaïlama ? Un moustique ? Je vais le se faire faire suicider ! Allez dans l'arène ? L'ARENE ! Monde cruel. -La directrice et du coup on à fait un combat assez violent je dois dire...voila tu sais tout. Je tente de m'étouffer avec la couette. Plus par peur de le tuer lui qu'une simple tentative d'homicide volontaire sur ma personne. Directrice ? C'est quoi ca ? La personne la plus puissante de cet établissement peut-être ? Mais il est fou ou quoi ! Mais il avait quoi à l'esprit ! -Dis au faite tu veux en parler de ton cauchemar princesse? Un cauchemar ? Quel cauchemar ? [Encore à l'Ouest] Oh. Et aussi vite que ma sourde colère contre sa non sens de la survie était arrivée, ma peur revint au triple galop. Je cherche à me coller un peu plus à lui et tant pis si le souvenir du bouquin m'envoie un signal de danger ! Léon est un gentleman. Il a pas ce genre de ... d'envie lui ! Heu ... Bah techniquement parlant c'est un garçon donc bon ! Chut, tu vas me faire paniquer. -J'ai rêvée du soir où mon père à tué ma mère. Mais j'étais dans la pièce. J'ai courus me cacher sous mon lit et ... Et y'avait Michigan en-dessous qui me chuchotait à l'oreille ... Cette dernière partie, je l'avais chuchotée. Brouhou ! Ca fait froid dans le dos. Je pose mon menton sur son torse et lui lance un regard perçant. -La directrice alors ? J'avais dis ca gentiment. D'abord parce que j'étais incapable de crier sur quelqu'un, encore moins Léon. Et parce que je veux pas qu'il me vire de son lit ! Je suis trop bien calée moi. Je me redresse un peu, évaluant les risques de ma conduite. Ceux-ci se résumèrent à trois fois rien, après tout Léon est un gentleman ~ Ou pas ! Maieuh ! Bref, je m'avance vers son visage et y dépose un joyeux baisé. -Ca c'est parce que tu m'as ouvert la porte. Je lui bise la joue. Avant de la mordre ! Pas fort hein. Juste assez pour qu'il comprenne que je ne suis pas d'accords non plus avec ses techniques de suicidaire ! -Et ca parce que je cautionne à peu près tes actions violente envers une directrice qui aurait pu te réduire en cendre. Sixtine se laisse allée ... Ah bon ? Je sais pas moi : tu l'embrasse et tu le mords ! C'est ton livre qui te rends comme ca ? Mais vas y continu de lire, j'attends de voir tes prochaines réactions ! Qu-QUOI ? Oups. Suis-je devenu ... méchante ? Naaaan veux pas être méchaaaante ! Hein ? Mais je te parle pas d'être méchante, je te parle d'être perverse ! On mords pas un mec dans son lit, c'est la base de survie ! Per-Perverse ? Heu ... Connais relativement peu ce mot. Mais j'ai compris que c'est pas bien de l'être ! Je me recale sur l'épaule de Léon, évitant de trop bouger. On sait jamais, il pourrait avoir mal ? Etre sérieusement blessé ! Au fond, c'est à cause de l'autre là qu'il va pas bien ! Vivement que quelqu'un l'attrape ! Après tout ca, je me fis la réflexion qu'être là, avec Léon, genre ... ensemble. Bah ca fait bizarre. Pas désagréable, mais bizarre. Et mes réactions à moi aussi elles sont bizarres ! Tu avoue enfin. Pff.

	## Sam 13 Juil 2013 - 17:14
Invité	Elle avait l'aire encore plus choquée quand je lui avais tout expliqué et elle devait sûrement être en colére car je la voyais serrer la couette et la mordiller, chose qui ne me viendrais même pas à l'esprit car je détestais vraiment cette sensation de tissus qui se frotte au dent avec un gout clairement dégueulasse. Toujours en était il que j'attendais une réponse ou du moin une réaction assez violente genre une bonne gifle ou autre, mais à la place elle c'était encore plus collé à moi donc autant en profiter pendant que je le pouvais car la tornade pouvais débarquer n'importe quand. Je la serrais un peu plus encore car de tout évidence elle n'allait pas m'engueuler sinon ça se serait déjà produit depuis cinq bonnes minutes déjà. Il y avait un silence assez pesant qui régnait dans la pièce tout à coup car elle ne disait plus rien et que moi j'attendais poliment qu'elle me parle sans que je n'avais nul besoin de le lui dire, la tension était assez stressante mais elle brisa bien vite ce silence assez rapidement en me décrivant l'horreur qu'elle avait vue en cette nuit : -J'ai rêvée du soir où mon père à tué ma mère. Mais j'étais dans la pièce. J'ai courus me cacher sous mon lit et ... Et y'avait Michigan en-dessous qui me chuchotait à l'oreille ... Quel rêve complétement moche et puis ce Michigan il va vraiment falloir que je le trouve pour lui éxpliquer deux trois trucs à ce sale morveux à la noix, on fait pas de mal à ma Six d'abord * La tienne pouhaha a y est c'est officiel * ça l'est depuis une semaine crétin * tout doux je m'excuse la dernière fois que tu étais comme ça tu as faillis tuer des gens . Je tentais d'abord de me calmer doucement car ça commençait à faire trop à cause de l'autre là et me concentrais plutôt sur la princesse que je tenais dans mes bras qui avait l'aire d'ailleurs de se reprendre petit à petit ce qui était plutôt bon signe. Puis elle avait posait son menton sur moi en disant : -La directrice alors ? Bon on fait comment pour fuir tu peux pas tralalalalaire eu * elle l'avait dit plutôt gentiment contrairement à ce que je pensais et plus étonnant encore elle c'était un peu relevé pour déposer un baisé sur mon visage, c'était agréable bien évidement et j'en voulais encore moi alors que je restais sur ma fin en l'entendant dire : -Ca c'est parce que tu m'as ouvert la porte. Ba en même temps j'allais pas la laisser toute seul dans le couloir sombre, presque glauque même alors qu'elle avait fait un mauvais rêve et qu'elle tambourinait à ma porte presque en pleure. Je sentis alors ensuite ses lèvres se déposer sur ma joue qu'elle agréable sensation que c'était MAIS elle m'avait aussitôt mordue juste assez fort pour me faire un peu réagir certes, mais je commençais à y prendre gout moi alors qu'elle me disait sur un ton de reproche assez faible tout de même : -Et ca parce que je cautionne à peu près tes actions violente envers une directrice qui aurait pu te réduire en cendre. Bon à noté que je dois faire un peu plus attention à ma propre personne plutôt que de me mettre dans des situations dangereuse pratiquement tout le temps. Sauf que cette fois si c'est elle qui avait créé la situation dans laquelle nous nous trouvions et bien évidement ça ne me déplaisais point. Elle avait alors posé sa tête sur mon épaule mais moi je la lui attrapais pou l'embrasser un peu plus avant de lui dire : Tu sais si tu veux me gronder ne me mord pas de la sorte car c'est un peu agréable on va dire ! mais engueule moi plutôt ou gifle moi la ce sera mieux ! Car tu ne sais pas comment je pourrais réagir. Je nous fîmes alors rouler dans le lit pour que je sois en dessus d'elle avant de la mordiller dans le cou doucement * alerte alerte frappé le * frapper qui le lilliputien , * toi crétin /PONK/ * bon ça va ça va. Je me contentais alors de l'embrasser lentement avant de rajouter : -Tu n'es pas naïves t'en fais pas, quand à se Michigan quand je l'aurait dans mes mains je m'amuserais sûrement un peu, donc pour le moment rassure toi tout va bien d'accord ? Sur ces mots je portais une de mes mains sur sa joues pour la caresser du bout des doigts la rassurant encore et encore.

	## Sam 13 Juil 2013 - 20:29
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Vous savez, dans le monde, il y a des gens qui ont ce que l'on appel : un instinct de sauvegarde. Sixtine, elle, elle en a pas. Ou du moins, elle n'en a pas encore développé. Faut dire qu'au moment où je vous parle, j'expérimente de nouvelles choses totalement merveilleuse, alors le développement, on verra plus tard ! Je vous rappelle que je m'étais posé sur l'épaule de Léon, dans l'espoir de remettre de l'ordre dans mes idées ! Sauf que lui n'a pas l'air de cet avis. Attrapant mon visage, il emprisonna mes lèvres, de sorte que je n'ai aucuns mot à redire là-dessus. -Tu sais si tu veux me gronder ne me mord pas de la sorte car c'est un peu agréable on va dire ! Mais engueule moi plutôt ou gifle moi là ce sera mieux ! Car tu ne sais pas comment je pourrais réagir. Qu'est-ce que j'avais dis ? Mordre un gars dans son propre lit ! La bonne blague. Bah ... Quoi ? C'était plus une manière gentille de dire que j'étais contre le suicide abusif. Ouai, bah pour lui ca voulait plus dire un truc dans le genre viole abusif ! Quoi ? Oui, oui, tu m'as bien entendu ... T'as pas lus ca dans ton bouquin ? Si, Chapitre 15 : " La chambre de votre compagnons est son espace de jeu.". Et après avoir lus ca, tu ... tu ... Arf ! Bref, ce monologue dura un dixième de seconde, laissant le temps à Léon d'échanger nos positions en roulant sur le lit avec moi. Hum. Très, très ... Ah ! Il m'a mordu ! Bah voilà, t'es foutu. Mon agréable torture pris tout de même très vite fin, me faisant lâché ... heu ... un son de mécontentement ? Mais c'est qu'elle aime ca en plus ! Putain mais cours, casse toi d'ici avant qu'il est réellement envie de manger. Bah au pire je lui fais un casse dalle ? ... Nos lèvres repartir pour un tour de merveilleux manège et moi, sans conscience pour me tenir compagnie, je ne comprends absolument pas pourquoi j'ai chaud ! -Tu n'es pas naïves t'en fais pas, quand à se Michigan quand je l'aurait dans mes mains je m'amuserais sûrement un peu, donc pour le moment rassure toi tout va bien d'accord ? Non, elle n'est absolument pas naïve ! Noooon. Mais arrête, vas-t-en, c'est mieux quand tu n'es pas là. Ses doigts vinrent caresser ma joue, je sourie. Je passe mes doigts dans ses cheveux, j'adore ses cheveux. Je crois que cette histoire de cauchemar est complètement mise au second plan. Maintenant qu'il a arrêté -à moitié- de combler mes pensées par du vide, je pus nettement réfléchir à ses phrases. Le gifler ? La dernière fois que j'ai gifler quelqu'un c'était ... Michigan. Frappe le. Pardon ? Frappe le, il a envie d'être frappé. Il te l'a dis. Mordre pour lui, c'est plus excitant qu'autre chose ! Mais ... Frappe ! -Je ... Je suis vraiment désolé ... Sur ce, il y eu un claquement magistral. Putain tu n'y es pas allé de main morte ? Bah j'ai frappée. Oh mon Dieu j'ai frappée Léon ! Quelle idiote ! Idiote, idiote, idiote ... C'est TA faute ! J'attrape son visage, toujours un peu choqué - et il y a de quoi - entre mes mains et embrasse sa joue doucement à plusieurs endroits. -Je suis désolé, je le ferais plus jamais plus ! C'est ... C'est toi ... Tu ... T'as dis de frapper ! Je l'embrasse, trop préoccupée pour un seul instant pensée revenir dans son jeu. Je passe mes bras autour de son cou et continue de l'embrasser. Oh la bêtise ! Plus jamais je ne le frappe, à ca NON ! Je passe mon nez dans son coup et respire plus calmement. Je respire son odeur : calmant ! Inconsciemment toujours, je me colle un peu plus à lui, dans l'espoir d'une quelconque réaction. Rien. Je reviens vers son visage et plonge mes yeux dans les siens. Mais la peur d'y voir un truc que je n'aimerais pas me pousse à ne pas vraiment le regarder. Mes doigt repasse dans ses cheveux, sur sa joue, je l'embrasse à nouveau, cherchant une réaction qui ne viens pas. Me rappelant soudainement que Michigan à réagis pareille avant de m'en retourner une, je prends peur et commence à sortir du lit.

	## Sam 13 Juil 2013 - 21:05
Invité	Alors que nous avions changé de place je voulais juste un peu m'amuser mais ma conscience m'en avait interdit car cela pourrait encore plus déboussoler la princesse et je ne le voulais pas du tout, et c'est pour cela que je m'étais juste contenté de lui caresser sa joue totalement pensif. Je me demandais si elle allait vraiment m'écouter et faire attention la prochaine fois que la situation serait pareil, en attendant je la fixais me perdant dans ses yeux brillants. Je me retenais de l'embrasser car cela pourrait amener à autre chose dont je n'avais pas trop envie pour le moment * menteur euh menteur * bon d'accord un peu * voila c'est mieux . Alors que je la regardais elle ouvrait la bouche pour dire : -Je ... Je suis vraiment désolé ... Pourquoi elle était désolé elle avait rien fait de mal donc je comprenait pas trop pourquoi elle avait dit ça jusqu'a qu'un claquement résonne dans la chambre et surement dans le couloir. J'étais comment dire, totalement hébété par ce qu'il venait de ce passer. Bon c'est moi qui le lui avait dit mais pas pour aujourd'hui pour une prochaine fois, j'aurais dû préciser mais bon. Ma joue me brûlé assez violemment alors que j'étais perdu genre envolé dans un autre monde, jusqu'a la sentir m'embrasser la joue ce qui me refroidissait et qui était totalement agréable puis elle enchainé rapidement : -Je suis désolé, je le ferais plus jamais plus ! C'est ... C'est toi ... Tu ... T'as dis de frapper ! Oui c'est bien moi qui le lui avais dit et bien heureusement je ne lui en voulais pas le moin du monde, alors que je sentais ses bras passer autour de mon cou et qu'elle m'embrassait tout plein de fois. Elle se collait a moi pour se calmer alors que je restais encore dans la lune et je la sentais s'éloigner d'un coup ESPÈCE D'IDIOT RÉVEILLE TOI DE SUITE * Ce que je fis pour la rattraper lentement et la remettre prêt de moi en me collant le plus possible à elle et lui dit alors : -Ba alors pourquoi tu pars, j'ai rien fait de mal si ? Pour la claque c'est moi qui avait demandé oui mais tu aurais pu remettre ça à une autre fois hein tu avais pas besoin de le faire dans l'immédiat ! Avais-je dit d'un tendre sourire. Me collant a elle je lui arrangeait ses cheveux qui cachaient son visage puis une idée avait germé dans mon cerveau et je la laissais alors se mettre sur le ventre pour pouvoir lui masser le dos de haut en bas ésperant la détendre un peu pour qu'elle arrête de croire que je vais lui rendre une claque car d'une jamais je le ferais de deux je ne lève en général pas la main sur une fille et de trois avec ma force je pourrais la tuer donc non je ne le ferais jamais de jamais et d'ailleurs je le lui avais dit : -Ne t'en fais pas je t'en veux pas et je te ferais pas de mal promis, alors fais moi le plaisir de te détendre un peu car tu es beaucoup trop stressé et que si tu continue à stresser comme ça je vais commencer à sévir ! Je la massai de partout dans le dos faisant épouser les formes de mes mains au forme de son dos pour pouvoir la détendre du mieux possible et l'effleurant de temps en temps du bout des doigts pour la chatouiller un petit peu.

	## Sam 13 Juil 2013 - 21:56
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Je sentis une main m'agripper le bras. J'attends la douleur, qui décidément, se fait attendre. Je rouvre les yeux, pour faire fasse, dans le lit, à Léon, me souriant tendrement. -Ba alors pourquoi tu pars, j'ai rien fait de mal si ? Pour la claque c'est moi qui avait demandé oui mais tu aurais pu remettre ça à une autre fois hein tu avais pas besoin de le faire dans l'immédiat ! Ah. J'ai envie de l'embrasser. La première remarque c'est pour la baffe. La deuxième est déjà plus personnelle. C'est dingue, mais depuis le soir où nous nous somme quittés, je suis plus vraiment, vraiment, la Sixtine qui veux rien de la part des autres à part de l'attention. Maintenant je veux et de l'attention, et que ce soit mon Léon qui m'en donne ! Bah tiens ... C'est son livre je vous dis !Je sentie ses doigts dans mes cheveux et je sourie bêtement. Du moins encore plus que d'habitude. N'empêche que j'avais quand même l'arrière goût d'une possible vengeance ! Je m'allongeai de nouveau, mais ne le vis pas faire de même. Flûte, je voulais un "doudou" moi. Mon flûte partis je ne sais où s'immoler quand je sentie les mains de Léon dans mon dos. Divine sensation. Pourtant, je voulais mon bisou ! Mais hors de question que j'aille quémander. Je viens de lui en retourner une, c'est pas pour mendier derrière ! -Ne t'en fais pas je t'en veux pas et je te ferais pas de mal promis, alors fais moi le plaisir de te détendre un peu car tu es beaucoup trop stressé et que si tu continue à stresser comme ça je vais commencer à sévir ! -Hum hum ... Fis-je amusée. Sévir ? Quoi, il va me jeter par terre ? On verra bien. Je sourie et le sens me chatouiller par endroit. C'est pas facile de ne pas rire sourdement dans ces moments là voyez-vous ? Alors, j'attrape une de ses mains du mieux que je peux et la garde avec moi. J'ai bien conscience que je le pousse vers moi, qu'il n'a plus qu'une main pour ses divins massages et que c'est difficile de se maintenir en équilibre pour lui. Bref, Sixtine fais chier son monde, pour son petit bonheur personnel ! Exactement. Je le sens intensifié ses chatouilles avec ses doigts rescapés. Je mords alors un de ses doigts prisonniers. Et oui, j'ai des otages. Ce petit jeu de "Qui gagnera gouvernera" continua dix minutes à peu près. Puis, je tire sur sa main, donc sur son bras, donc sur son corps. Qui me retombe dessus. Je ris, essayant de l'atténué, ne voulant pas réveiller les voisins ! Je me retourne, pouvant enfin revoir ses yeux. Bon, ils ne sont pas comme d'habitude, mais ca doit être ma fatigue qui me le fais croire. J'attrape une de ses mèches. Vraiment, j'adore ses cheveux ! -Merci pour ce quart d'heure fort relaxant. Je lui sourie de toute mes dents , jouant avec sa mèche, avant de l'embrasser. Pas pus résisté, comprenez-moi. J'allais pas attendre qu'il daigne le faire, j'aurais attendu toute la nuit ! Je crois pas ... ! Je réussi à trouver sa main sur laquelle on peut voir de toute petites marques de dents. J'y dépose des baisés papillons, puis fière de mon travaille d'infirmière -magique alors- je replonge mon regard dans le siens. -Voilà. Maintenant je me suis fais un peu près tout pardonné je crois ! Nos deux fonts se colles. Plus par instinct que par autre chose. Je ne le quitte pas des yeux. Je ne peux plus le quitter des yeux. Une semaine que je connais Léon et il a réussi à faire sauter toute mes barrières. On est débraillés, il est 2H du matin et pour la première fois de ma vie, je crois que je suis certaine d'une chose. -Léon. Je crois que je suis vraiment amoureuse ... ! Murmurais-je toujours perdu dans ses iris. Je ris timidement. Très guimauve, c'est vrais, mais comment je pouvais lui dire sinon comme ca ? Bah je sais pas, ils l'ont pas dit dans ton bouquin ? Ils disent : " Laissez évoluer la situation.". Je laisse donc la situation évolué et l'embrasse une seconde fois. En faite, je ne sais pas vraiment qui a commencé là. Mais je m'en fiche ! J'arrive à placer entre deux baisés : -Dire que ... J'arrive ici pour un cauchemar et que ... Je vais ressortir d'ici amoureuse et condamnée à vouloir tes câlins !

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	## Sam 13 Juil 2013 - 22:40
Invité	Je la massais comme je le pouvais alors que je la sentais en train de réfléchir et surtout de vouloir quelque chose car oui en général ça se remarque facilement puisque la personne est soit amusé ou fait la moue et là en l'occurrence vue comme elle était elle voulait sûrement que je me recolle à elle ou un truc dans le genre et elle m'avait en plus répondu d'un * hum hum * assez enjoué. Je la chatouillait alors de plus en plus car oui il fallait bien s'amuser parfois sinon les relations et la vie ne seraient pas drôle du tout et tout le monde voudrait se suicider rapidement, alors qu'avec l'amusement tout cela changeait et c'était cent fois mieux. Dams ma tentative de chatouille, elle m'avait kidnappé une main prés de sa enfin je veux dire de...en haut quoi, et moi je la chatouillais du bout des doigts pour essayer de la faire lâcher car j'en avais besoin de ma main moi. Mais au lieu de ça elle m'avait mordue un doigt, sur le coup j'avais tressailli et nous continuions pendant plusieurs minute assez drôle je devais l'avouer alors qu'au bout d'un moment elle m'avait tiré d'un coup sur elle et c'était retournée juste avant que je ne l'écrase et forte heureusement je m'étais retenu. Et elle recommençait alors avec une de mes mèches qui dépassait tout en disant : -Merci pour ce quart d'heure fort relaxant. C'est sur que cette instant était génial et que pour le moment c'était le meilleurs que j'avais pu partager depuis mon arrivé. Je me replongeais alors dans ses iris ne pouvant m'en décrocher tout simplement car je l'aimais vraiment et elle m'avait embrassé ce que je lui avais rendu d'ailleurs avant qu'elle ne continu en disant : Voilà. Maintenant je me suis fais un peu près tout pardonné je crois ! Elle n'avait vraiment pas besoin de se faire pardonner car elle l'était déjà et que je n'avais tout simplement rien du tout à lui reprocher on se connaissait depuis une semaine et on était déjà dans un lit elle toute débraillé et d'ailleurs son t-shirt ne lui servait a rien puisque de toute façon je pouvais déjà voir sa...ro même problème...sa poitrine depuis un moment mais n'y tenais tout simplement pas compte. Alors qu'elle elle me disait : -Léon. Je crois que je suis vraiment amoureuse ... ! Elle avait eu un petit rire sûrement pour ne pas réveiller les autres personnes mais sil elles devaient sûrement dormir à point fermé vue l'heure qu'il était, entre temps elle m'avait ré embrassé ou je l'avait ré embrassé je sais plus et elle avait dit ensuite : -Dire que ... J'arrive ici pour un cauchemar et que ... Je vais ressortir d'ici amoureuse et condamnée à vouloir tes câlins ! Je ne pouvais m'empêcher de rire à ce qu'elle venait de dire mais de toute façon pour moi c'était pareil et je lui rétorquais alors : -Au mais ne t'en fait pas pour moi c'est exactement pareil hein , je t'aime aussi et je veux autant de câlin et de bisous que tu disposes dans ta tête mais en attendant ! Bon une chance sur deux de mourir mais tant pis, je lui avait enlevé son haut lentement car fallait le dire il était tout emmêle et plié dans tout les sens et je le jetais sûr la chaise de mon bureau avant de me recoller définitivement à elle pour l'embrasser plusieurs fois avant de dire : -désolé mais de toute façon il était clairement inutile car je voyais déjà tout donc bon je ne pense pas que tout voir et tout voir ait une grande différence entre eux si ? Et pour ce qui est de ton cauchemar essai de ne plus y penser d'accord sinon je continu de sévir ma puce ! Oui cela était ma façon de sévir car je n'allais tout de même pas la brutaliser se serait typiquement con débile affreux horrible bref débile, et je la ré embrassé encore.

	## Sam 13 Juil 2013 - 23:16
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Il rit. Un très beau rire même. Mon Dieu, je savais qu'être amoureuse était une maladie ! Mais au point de tout voir mignon et adorable ? La dure loi de la jungle. Tu est de retour toi ? Oui, pour te jouer un mauvais tour dès que je le pourrais ! -Au mais ne t'en fait pas pour moi c'est exactement pareil hein , je t'aime aussi et je veux autant de câlin et de bisous que tu disposes dans ta tête mais en attendant ! En attendant quoi ? Je les veux maintenant mes bisous moi ! Elle est pressée de passer au stade suivant elle ... Quel stade ? Oh, rien de spéciale. Tiens, pourquoi j'ai plus mon haut moi ? QUOI ? Il a pas osé ... Osé quoi je comprends pas ! Je regarde mon débardeur noir passé sous mes yeux. Je tourne la tête et le vois tomber sur la chaise. Je crois que ... Non, je suis sur à ce moment là que mon sang n'a fais qu'un tour dans tout mon corps. Il n'y a plus de mots pour étiqueter ma couleur de peau. On à dépasser la couleur du noyau de la planète en fusion. Là, on fais dans l'inédit. -Désolé mais de toute façon il était clairement inutile car je voyais déjà tout donc bon je ne pense pas que tout voir et tout voir ait une grande différence entre eux si ? Et pour ce qui est de ton cauchemar essai de ne plus y penser d'accord sinon je continu de sévir ma puce ! Cauchemar ? Lequel ? Ahahaha. Haha. -Tu ... Tu fais pas dans la dentelle toi ! Je l'embrasse, attrape le drap et m'enroule autour. On parle de Léon là. Je ne vais pas criée "Au viole !" ou "Au déssapage !" en accusant Léon, accessoirement mon copain/petit-ami/doudou. Après être sur d'être bien couverte et de n'avoir presque rien laissé à mon n'amoureux, je me cale contre lui et pose ma tête dans son coup ! -Invite moi au restaurant. Sauve moi encore deux ou trois fois. Et après je daignerai lire le chapitre des relations physique entre être humain ! Fis-je dans un sourire. Gnéééé ? C'est moi qui est dis ca ? Non, non, c'est moi ! Fallait bien que je te sorte de ce pétrin sans que tu ne te mette à crier ... Heu, bah ... Merci ! Pas de quoi, tu me dois un resto en passant ! Oh. Bah c'est Léon qui paye de toute façon. En parlant de Léon, je relève la tête et le regarde qui me regarde. Je lui tire gentiment la langue, l'embrasse à nouveau et tente comme il dit d'oublier mon cauchemar dans ses bras ! Ma jambe à moitié sur lui, ma main dans la sienne, mon nez dans son coup, je suis bonne pour une bonne nuit de sommeil ! -Juste, oublie pas de me réveiller demain ... Parce que je suis bonne pour jouer la belle au bois dormant ! Je baille un peu, papillonne des yeux et lui sourie. Tiens, j'ai bien envie d'un milkshake ! Bah abuse pas non plus ! Oui, oui ... Je me resserre contre lui et finis par m'endormir au bout d'un moment.

	## Dim 14 Juil 2013 - 13:18
Invité	* Hum...Léon question...T'y va pas un peu fort là ? * Bein non enfin je crois pas enfin je veux dire je voyais déjà donc pas grave si ? * Comment dire...SI C'EST GRAVE BOULET LAISSE MOI LE CONTRÔLE * Son haut avait voleté jusqu'à la chaise alors qu'elle le regardait atterrir avec de grands yeux bizarrement * BOULET * Et elle était devenue encore plus rouge que rouge genre rouge comme de la lave en fusion qui brûlait tout sur son passage, d'ailleurs sa chaleur corporelle avait augmenté * CRÉTIN * J'étais toujours collé à elle un peu tristounet à cause de ma saleté de conscience ca je croyais avoir bien fait puisque logiquement il devait la gêner son haut à être tordu dans tout les sens et puis en théorie même si c'est du tissus quand c'est replié ça fait mal non ? * ABRUTIT DE SURCROIT . Moi je me rappelais que quand ça m'arrivait et que je m'endormais avec un truc comme ça par inatention le lendemain bein j'avais de grosse parque rouge et je voulais juste pas qu'il lui arrive la même chose Bon t'as pas fini oui elle t'as pas tué elle à même rien dit donc stop pleurnicher * D'ailleurs je crois que sûr le moment je devais être rouge aussi à cause de ma réaction car c'était genre la première fois que j'avais osé faire ça * En même temps tu as jamais eu de petite amie * T'as pas fini de me rabaisser * Non hihi * Quel plait. Elle avait alors dis sûr un ton gentil mais un peu surprise : -Tu ... Tu fais pas dans la dentelle toi ! Elle marquait un point car elle ne pouvait pas vraiment savoir mes pensés et la raison de mon acte donc bon je la comprenais aussi , un gars qui devient son petit ami le jour où ils se rencontrent et qui au bout d'une semaine lui enlève un haut sans rien en dessous euh il y avait de quoi suspecter un truc de louche là, alors que j'étais totalement sain d'esprit et que je ne pensais pas du tout à mal moi. Bref n'y pensons plus là faute avait été commise et je m'attendais juste à recevoir le seul châtiment logique pour ça c'est à dire une jolie baffe pour me remettre les neurones défaillants en marche. Mais elle fit tout l'opposée en m'embrassant puis bien évidemment elle se cacha sous les draps ce qui était tout à fait normal cependant...et moi alors je n'avais plus rien pour me couvrir * Tu y réfléchiras à deux fois la prochaine fois * Mais elle se calla quand même contre moi posant sa tête dans mon cou et disant doucement et joyeusement et souriante : -Invite moi au restaurant. Sauve moi encore deux ou trois fois. Et après je daignerai lire le chapitre des relations physique entre être humain ! L'inviter au restaurant ça je comptais le faire le lendemain, enfin le jour même puisqu'il devais être à peu prés deux heures du matin quand à la sauver ça c'était quand elle voulait, j'espère juste que ce ne sera pas devant un danger beaucoup trop grand ( pour elle hein pas pour moi, je pourrais mourir rien que pour la voir vivre ). Et tertio, c'est quoi son bouquin qu'elle lit ça m'a l'aire d'être encore un truc de scientifiques mais qui au final ne peuvent pas tout savoir car tout le monde est différent et de ce fait personne ne pouvait prévoir ce que les gens pourraient faire en ce basant sur une généralité, mais bon elle lisait bien ce qu'elle voulait tant que cela ne l'induit pas en erreur dans notre relation * moi je te dis de brûler ce livre ce sera mieux * non t'es fous ça lui apporte les bases * bon j'espère pour toi que ça ira bien alors *. Elle avait relevé la tête tout en me tirant la langue un peu comme une enfant qui nargue un adulte, en ayant nos mains lié et une jambe d'elle sur moi elle avait alors fini par dire en bayant : -Juste, oublie pas de me réveiller demain ... Parce que je suis bonne pour jouer la belle au bois dormant ! Je n'avais rien eu le temps de rajouter que la princesse c'était déjà endormie comme un bébé, son aire innocent la rendait encore plus mignonne que d'habitude. Je l'admirais en train de dormir la serrant tendrement dans mes bras pour qu'elle puisse se sentir protéger dans son sommeil. J'avais alors mis un réveil à dix heures du matin avant de remettre mon téléphone sur la table de chevet. Puis je fis de même et m'endormais alors comme un loir me plongeant au pays des rêves. La nuit ou plutôt la matinée jusqu'à ce que mon réveil sonne avait passé assez rapidement et quand celui ci avait enclenché l'alarme je m'étais d'abord réveillé en sursaut me cognant au passage la tête contre le mur fortement avant d'attraper la machine et de l'éteindre pour ensuite la reposer. Me frottant la tête ( comme si j'allais faire disparaître la blessure ) je décidais alors de réveiller la princesse d'un baisé car dans la belle au bois dormant le prince charmant réveille la fille comme ça et moi j'avais fait de même tout en disant : -Jeune demoiselle il faut te réveiller si tu veux pouvoir te préparer pour aujourd'hui car on va avoir une petite journée assez chargée donc léve toi, bon tu as un peu de temps pour encore rêvasser en attendant je vais prendre une douche ! Je m'étais alors levé la ré embrassant encore une fois au passage pour aller sous la douche prenant des affaires assez bien sans non plus que ce soit des trucs qui tiennent chaud et partais alors faire tous ce que j'avais à faire pour me préparer. De la salle de bain je lui parlais plus fort pour qu'elle m'entende et demandais alors : -ça va tu as passé une bonne nuit princesse ? J'espère que cette fois tu n'as pas fais d'horrible cauchemar sinon cette fois je dirais deux mots à ton inconscience pour être sur qu'elle comprenne bien le message ! En attendant comme tout les matins je me lavais les cheveux lentement pour ne pas les abîmer tout en appliquant des produits dessus pour les tenir aussi beau chaque jour qui passe puis je finissais par les brosser pour ensuite m'habiller et revenir alors dans l'autre pièce auprès de Sixtine.

	## Dim 14 Juil 2013 - 14:20
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	Ma nuit, du moins ma matinée, fut fort agréable. J'avais trouvé je ne sais comment un doudou tout à fait à ma taille. Jusqu'à ce qu'un réveil sonne. Je grogne un peu et tente de rester accrocher à mon oreiller. Qui par miracle éteignit le fameux réveil. Depuis quand ca bouge un oreiller ? Je sentis un petit baisé, me rappelant la veille au soir. Léon. Je souris, mais garde les yeux fermés. J'ai pas envie de bouger. -Jeune demoiselle il faut te réveiller si tu veux pouvoir te préparer pour aujourd'hui car on va avoir une petite journée assez chargée donc lève toi, bon tu as un peu de temps pour encore rêvasser en attendant je vais prendre une douche ! Naaaaaan bouge pas ! Je veux pas me lever. Personne connais la définition de grasse matinée ? Je me retourne dans les draps et entends l'eau coulée. Il est vraiment partis en plus. Je tente de me rendormir, écoutant vaguement Léon parler. Lorsque j'entendis des pas dans la chambre, je daigne enfin ouvrir les yeux : sur un Léon prêt et habillé ! Je le regarde de la tête au pieds. J'ai loupé un épisode ? Je tourne mon regard vers le réveil. -Oh merde ! Je tente de sauter du lit, mais va savoir pourquoi, je suis enroulée dans le draps. Je me ramasse par terre, me relève en vitesse, sentant l'air frais de la fenêtre ouverte sur mon corps. Je baisse les yeux sur ma poitrine nus. Sur Léon qui me regarde. Sur ma poitrine. Sur Léon. Poitrine. Léon. Je crie en attrapant le draps pour me cacher, pudeur à la Sixtine oblige, chope le premier truc qui me passe par la main et lui balance à la figure. Si, si, je l'aime. C'est juste un réflexe naturel. Tout en lâchant mon draps qui ne me sers plus à rien, j'enfile mon débardeur en mode panique. -Tu m'as pas réveillé Léon ! Bon sang mais où sont mes chaussettes ? Après un instant de réflexion, je me dis que je suis venus ici sans chaussettes, que j'ai encore ma douche à prendre et que je dois traverser toutes les chambres individuelles pour arrivée à ma chambre de toute jeune initiée. Je soupire et avise la douche de Léon d'un œil et la porte de l'autre. Non, vraiment, je ne pas retraversée tout ca à moitié nus en pleins jour, hors de question ! -Léooooon ? Dis-je avec ma tête la plus mignonne que j'avais en stock. Tu pourrais allé dans ma chambre chercher mes affaires ? De toute manière je vis toute seule ... J'ai pas de colocataire, donc tu réveil personne ! Je lui fais mon plus beau sourire, m'approche de lui, l'embrasse vite fais et cours dans sa salle de bain. Puis je reviens vers lui en marche arrière, parce qu'il a pas l'air de vouloir bouger. -Tu voudrais quand même pas que tout le monde me vois sortir de TA chambre dans cet état là ? Je lui montre m'a tenus, qui d'ailleurs ne ressemble plus à rien et l'embrasse encore une fois. Il a l'air de rapidement prendre conscience de la chose et me montre la salle de bain derrière lui. Maintenant il a plus le choix. Tu viens de lui balancé un objet non-identifié et tu lui demande d'allé chercher des vêtements ? Tu préfère que je me trimballe comme ca dans un couloir bondé de monde ? C'est bon va te laver !Je me déshabille, file sous l'eau fraiche pour bien me réveillée !

	## Dim 14 Juil 2013 - 15:40
Invité	J'étais au pied du lit attendant qu'elle daigne bien vouloir se lever au lieu de flemmarder comme elle était en train de faire, au bout d'un moment elle allait enfin ouvrir les yeux et forte heureusement pour elle car je n'aurais pas besoin de sortir mon arme secrète qui aurait été de la chatouiller jusqu'à qu'elle soit pied à terre. Elle avait enfin regardé le réveille en disant une injure et avait alors sauté du lit pour...s'étaler au sol comme une crêpe, la scène était assez drôle a voir je dois dire mais blague mise à par elle c'était relevée d'un coup laissant le drap tomber au passage. Bien évidement en tant que personne totalement décente * ouais sauf hier soir * ferme là recommence pas hein. J'avais évité de regarder car je savais très bien ce qui allait se passer. Sauf que bien évidement étant en panique elle avait alors prit mon déodorant et me l'avait balancé en pleine face. Impossible à esquiver il m'avait alors cogné le front l'endroit ou je m'étais fais mal un peu plus tôt. Elle avait renfilée son débardeur tout en disant toujours aussi paniquée: -Tu m'as pas réveillé Léon ! Bon sang mais où sont mes chaussettes ? J'allais décidément avoir une énorme bosse mais je me contentais juste de dire * aih * car oui le matin je ne suis pas vraiment réveillé et mes réflexes de paroles ou n'importe quoi que ce soit d'autre sont largement beaucoup plus faible que d'habitude. Et elle m'avait dit que je ne l'avais pas levé mais qu'est ce qu'il ne fallait pas entendre parfois, car je l'avais fais justement mais elle c'était tout simplement rendormie. Alors que je m'apprêtais à retourner dans la salle de bain pour finir de me préparer elle m'avait regardée avec une tête trop craquante pour me demander : -Léooooon ? Tu pourrais allé dans ma chambre chercher mes affaires ? De toute manière je vis toute seule ... J'ai pas de colocataire, donc tu réveil personne ! * Ne te laisse pas faire car si tu la laisse te dominer sa en sera fini de ta vie * mais tu y connais quoi toi d'abord puisque tu es moi * Euh...* par loin * c'est bien ce que je me disais. J'avais un peu soupiré car elle me balance un truc à la tronche puis ensuite elle me dit d'aller chercher des trucs en étant toute gentil. Elle m'avait quand même embrassé donc ça allait et en faisant un allez retour salle de bain moi elle avait rajouté : -Tu voudrais quand même pas que tout le monde me vois sortir de TA chambre dans cet état là ? Après murs et moultes réflexions, oui le matin j'ai besoin d'un temps de chargement pour chaque chose, je comprenais mieux pourquoi elle me l'avait demandé puisque pendant toute la matinée je m'étais juste focalisé sur son visage pour pas que les gens m'accusent de tout un tas de chose pas cool. Elle m'avait alors montrée sa tenue donc j'avais autorisation pour effectivement constaté que pas mal de gens dirait que c'est bizarre et pire, si elle croisait un master je serais mort à l'heure qu'il est. Je lui indiquais alors la salle de bain puis sortais de la chambre en fermant au passage à clef au cas ou quelqu'un de trop curieux veuille ouvrir car oui elle était sous la douche sans avoir pensée à ça. Je marchais le long des couloirs et pour atteindre les dortoirs des novices. Je cherchais alors sa chambre quand je remarquais un écriteaux * Szpadime Sixtine et à venir * bon le à venir devait sûrement être pour la prochaine fille qui débarquerait ici. J'ouvrais la porte qu'elle n'avait même pas fermée à clef et fouillait alors dans les placards, j'attrapais une robe tout en me souvenant qu'elle aimait le vert et choisissais alors la verte tout en prenant des chaussettes et eux...ba ses...ses sous vêtements quoi * Haha j'adore ta tronche mon Léon * écrase duchnoc * et je prenais ses ballerines avant de sortir de sa chambre et prenant sa clef pour fermer et revenir alors dans la mienne et je lui dis : -Ma princesse c'est bon j'ai toute tes affaires et au faite tu avais oublié de fermer ta chambre quand tu étais venu me voir hier soir, bon heureusement personne n'est rentrée donc ça va ! Attendant qu'elle sorte de la salle de bain car elle y était encore, j'avais fais le lit et rangeais deux trois trucs qui trainaient sur le sol. Attendant encore un peu car je savais que pour les filles c'étaient un peu plus long que pour les hommes la préparation je lui demandais : -ça va tu t'en sors ou tu as besoin d'un peu d'aide princesse ?

	## Dim 14 Juil 2013 - 16:13
Personnage ~ ► Âge : 17 cerises ► Doubles-comptes ? : ► Rencontres ♫♪ : • Amis : ~Aria Tachigi = 1er rencontre ~Isis Nial = Copine des 400 coups [ Salle de musique de nuit & fugue de l'infirmerie] ~Léon Valentine = Mon chevalier servant ! ~ Kana Whitewolf = Ninja Sauveuse Sixtine Szpadime Messages : 185 Date d'inscription : 02/06/2013 Age : 27 Emploi/loisirs : Ça dépend du canapé ! Humeur : Pour l'instant, je nage dans l'canapé du bonheur.	L'eau fraîche me défatigua. Me réveilla. Me permis de me rappeler de la soirée en sa nette totalité. Je failli m'étouffer avec l'eau soi-disant passant ! J'éteins l'arrosage et sors de la douche, à la recherche d'une serviette propre. Pendant ce temps là, j'entendis la porte s'ouvrir. -Ma princesse c'est bon j'ai toute tes affaires et au faite tu avais oublié de fermer ta chambre quand tu étais venu me voir hier soir, bon heureusement personne n'est rentrée donc ça va ! En même temps, avec la crise de nerfs que je me suis prise en pleine face, j'ai pas eu l'intelligence suffisante pour fermer la porte. Sinon, j'en aurais profité pour mettre des sous-vêtements. Oh ! J'aurai dus être intelligente ... Je sourie quand même, il est prévenant. Très prévenant. J'attrape une serviette et commence à me sécher : les cheveux je le ferai après, ca prends trop de temps. Puis j'attends. J'attends quelque chose qui n'arrive décidément pas ! Je me demande vaguement pendant une dizaines de minutes si je vais avoir le loisir de m'habillée quand j'entends distinctement Léon me dire : -Ca va tu t'en sors ou tu as besoin d'un peu d'aide princesse ? Bah maintenant que tu le propose ... Je noue la serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain presto rapidos. Me place devant lui, qui est en train de faire je ne sais quoi sur son bureau et attendant qu'il se retourne. -Heu ... Léon ? Il finit enfin par me faire face. Bon, ce n'est pas une situation très habituelle pour moi. Surement pour lui aussi ... Oui, bref ! Je recommence à me triturer les doigts, de fines gouttes d'eau tombant de mes cheveux toujours lâches. Je crois, que trop saisi par la situation, il n'a pas compris ou du moins ne prends pas en compte pour l'instant, le problème de base. Quoi, que tu sois nu avec une simple serviette sous ses yeux ? Non, qu'il ne m'a passé mes vêtements ! Ah ouai ... Bah on a pas les même valeurs.Je tends mon bras en souriant devant lui. -Mes vêtements Léon ? J'aperçois un endroit rouge sur son front et me rapproche pour regarder. Tiens, il n'y était pas hier soir ce bobo là ! Je pose mon doigt dessus, laissant ma tête partir sur le côté. -T'as fais ca comment ? -Une minute de réflexion- Han ! Mais c'est moi ! Mais j'arrête pas de le frapper ma parole. J'aperçois ma robe verte sur une chaise. Je l'attrape, avec mes affaires et cours jusqu'à la salle de bain. En passant je l'embrasse. Lui sourie et le ré embrasse. -Merci !

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