| ## Mer 15 Jan 2014 - 20:58 | ||
 Invité | Hrp : Ce n’est pas grave pour le retard, ça ne te coûte pas grand-chose. Juste que maintenant la lune est entièrement à moi ! :D (Avec acte de propriété et tout) Tiens on dirait que Cendre me tend quelque chose, mais je rêve ou c’est une pomme ? Non mais la demoiselle ne croit quand même pas que je vais manger ça ? Bon d’accord, vu mon état, j’ai plutôt intérêt à ne pas me faire capricieux. Mais une pomme quoi, on n’est pas dans blanche neige non plus ! Et qui me garantit qu’elle n’est pas empoisonnée ? Une seconde, soit mon esprit à encore abusé de tous les mélanges sur mes étagères, soit l’adolescente est en train de me narguer. On dirait que celle-ci essaye de me communiquer quelque chose, mais j’ai comme oublier de mettre en marche la fonction écoute... Il est ou ce bouton replay bordel ! Ah oui le voilà : -Tu as faim ? Ça vaut mieux que tu mange ça, tu ne crois pas ? Bien sûr que ça va mieux, tu ne veux pas que je clapse ici non plus ! Puis en y repensant, je suis trop lourd pour toi. Tu n’arriverais même pas à me traîner jusqu’à un trou convenable pour me balancer. Je n’ai pas envie de finir en chair putréfié bouffé par les asticots. Réalisant qu’il divaguait, Hisméria repris : - De toute manière je la mangerais pas avec plaisir ta pomme, mais bon je ferais un effort pour toi. Quand j’y repense, Cendre pense à prendre un fruit sans gout, mais par contre se trouver des chaussures, ça c’est une autre histoire. La logique des femmes électriques et lunaires m’échappera toujours. Et je crois que ce n’est pas plus mal, ça assure une certaine sécurité. Au moins je ne risque pas de me faire électriser ! Apres tout, je suis content de ne pas être oracle dans ses moments-là. Et si je le devenais ? Quel horreur, je ne préfère même pas y penser… Bon faut quand même que je pense à manger son offrande. Mais elle va finir par me la donner oui ? Oh et puis je vais la chercher. Hisméria réunit toute ses dernières forces fit deux pas puis s’effondra sur la demoiselle. Bon on ne peut pas dire que ça soit une parfaite réussite et cette pomme, elle est ou maintenant ? Et zut, elle a roulé à l’autre bout ! Et le truck c’est que je n’arrive plus à bouger. Je suis comme paralysé par la faim. Et puis j’ai l’impression que je suis complètement en train d’écraser Cendre. C’est qu’elle va finir par manquer d’air. Mais pourquoi, la jeune femme ne se téléporte pas dans ses moments-là ? Est-ce que c’est comme une pile, qu’au bout d’un certain temps celle-ci se décharge ? Ou alors c’est un court-circuit. Mais bon quand je vois son état mental, on pourrait presque croire que l’adolescente est aussi frappée que moi. C’est pour ça, une fois de plus au sol, ça ne fait pas de mal. Bon ce n’est pas que je ne suis pas bien comme ça, mais si quelqu’un passe, il pourra vraiment penser que je suis en train d’abuser de la situation. Ce n’est pas comme si Cendre avait son chemisier à moitié de travers… Il ne manquerait plus que ça, je crois que ça serait le comble. *Driiiiiiing* Je rêve où c’est une cloche qui viens de sonner ? Impossible. Une seconde… J’y suis ! Le dortoir mène directement à des salles de classes. Plutôt pratique le matin. Mais, un instant, ça veut dire que des gens vont arriver. Super, je sens que les rumeurs vont se propager à une vitesse folle… Hisméria repris d’un ton légèrement paniqué (si tu vois ce que je veux dire) -Cendre, c’est maintenant ou jamais ! Tant pis pour ton fruit ! Sinon ça va vraiment être pour notre pomme … | |
| ## Jeu 6 Fév 2014 - 21:49 | ||
 Cendre De Lune  Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Quand je le vis se lever, comme il pouvait, c'est-à-dire, pas super rapidemment, et même un peu bancalement, si vous voyez ce que je veux dire… Comment ça non ? Alors disons juste que ces muscles se mettait en marche avec la bonne volonté d’un éléphant presbyte de mauvaise humeur et qu’il avait la grâce d’un éléphant cul-de-jatte. Ah, que ces pachydermes m’occupent ! Bref, je lui aurais bien prêté main forte, mais j’avais les mains prise puisque j’étais en train de lui tendre une pomme. Et oui, excuse bidon !... Ca fait dix huit ans que je suis flemmarde, procrastination et autres défilé ne valant pas un éléphant en carton sont mon quotidien, on ne se refait pas !... Puis non pas que je sois contre le cannibalisme, et de toute façon, il n’y a plus de cannibale, j’ai mangé le dernier hier, mais quand même, le jeune homme avait essayé de me manger ! Et cru en plus, quand même, la viande bleue, c’est pas top pour la santé monsieur, je sais pas si vous êtes au courant ?... Me sortant de mes pensées encore une fois embrouillée et futiles, Hisméria reprit la parole : - De toute manière je la mangerais pas avec plaisir ta pomme, mais bon je ferais un effort pour toi. Comment ça pas avec plaisir ? Il faut le dire tout de suite si tu tiens pas à ce qu’on te sauve la vie ! Un instant, j’en vins même à me demander si le jeune homme avais conscience qu’il était en train de rendre tes tripes sur place. Puis je soupirais profondemment en me disant que s’il il le faisait pour moi, il pouvait aussi me la laisser manger, ma pomme, parce que j’aime ça, moi. Quand même, j’étais en train de sacrifier MA pomme du matin, quel malheur ! Monde n’a aucune miséricorde, mon pauvre sort n’en deviendra que plus insondable en son incompréhensible déroulement !... Oui, bref, passons. Je tendis la pomme, Hisméria allait l’attraper lorsque tout à coup, titubant, il s’effondra d’un seul bloc… M’emportant dans sa tête. J’atterissais lourdement au sol, lachant un « OUTCH ! » tout à fait chic, quand je me fis litteralement compresser par la masse du jeune homme, au moment où celui-ci tomba sur moi. En un instant, je fus complètement applatie comme une crêpe, l’air s’éjectant de mes poumons au moment de l’impact. Un peu compressée, je tournais la tête en direction de la pomme, que j’avais échappé, elle avait roulée à l’autre bout de a pièce, et dans l’angle de vu étrange que j’avais des choses, la tête retournée pour tenter de voir autre chose que la face écrasée contre le sol, j’apercevais le bras d’Hisméria qui tentait de l’atteindre comme un mourrant s’accrochant à la vie. Ah la blague. Bon, je vfeux bien aller te la chercher, ta pomme, si tu ne m’a pas cassé une jambe déjà, et si Hisméria arrêtais de m’écraser, peut être aussi, pas que c’est pas comme il tu pesais le poids d’un éléphant pachydermique amateur de sushi tellurique, mais presque. Je tentais de soupirer, et le regrettais très vite, mes côtes hurlant que non, soupirer lorsqu’on est écrasé n’est pas une bonne tecnhique de survie. Mais mon petit corps, tu est encore surpris ? Pourtant, tu devrais le savoir, malheureusement pour toi, je n’ai aucun instinct de survie… Je tentais tout de même d’établir la conversation : -Gmmmmm !... Hhhhhhhg !!! Ma tentative tombait à l’eau, quand soudain, une sonnerie stridente creva le silence aproximatif du dortoir endormi. Je respirait par petits accoups, et jurais interieurement, pouvant difficilement le faire à voix haute de toute façon. Eeeeet !... Bordel de bite en bois, la sonnerie de sept heures et quart, pour sortir du dortoir. Je voyais déjà les lève-tôt sortir en baillant du dortoir des mecs et tomber nez à nez avec la scène. - Cendre, c’est maintenant ou jamais ! Tant pis pour ton fruit ! Sinon ça va vraiment être pour notre pomme … Nooooon, sans blagues ! Il arrive encore à faire de l’humour en étant à moitié mort lui ? Bon, je renchérirait bien mais je ne m’en sens pas la capacité respiratoire… Maintenant ou jamais quoi, d’ailleurs ? Tu me demande de me téléporter là ? Mais tu m’as bien vu ? Tu l’as trouve pas un peu incomode ma position la ? Parce que moi si, beaucoup ! Déjà que je foire d’habitude, sans élément déteraqueur, la, je dit bonjour la casse ! La porte s’ouvre, je n’ai pas le choix : Je vais devoir me téléporter la, tout de suite, maintenant, et vite ! Je me prépare à me téléporter, et me concentre tellement que j’en oubli l’essentiel : Ou on va se téléporter d’abord ? Un instant, j’imagine la cafet : Trop tard, l’engrenage était déjà lancé. On disparait, un moment d’espoir mélé à des doutes. Et on réapparait. Environ, trois mètres plus loin. Devant la porte des dortoirs. Si j’avais les mains libres, je ferais un beau facepalm ; mais la, je les ai aussi prise… Je ne sais d’ailleurs, elles sont surement quelques part, peut etre en train de danser la guigandélire avec mes poumons ? Nous avions attéris deux métres à la gauche de la porte, et un peu bizarrement, je veux dire, que je ne savais pas exactement dans quelle position, mais je réussi, comme ça, à faire basculer le corps de Hisméria sur le coté. Quand tout à coup, quelqu’un sorti de la chambre. Je retenais mon souffle, accroupi, et comme je n’avais aucune réserve, je cru mourir en apnée ce moment la… D’ailleurs, je pense exploser les records olympique de l’apnée !... Le jeune novice passa, et ne tourna même pas la tête… Ce qui m’arrangeait bien ! Accroupi, je secouais un peu Hisméria, quand un deuxième novice passa, très studieux, la chemise de son uniforme était nickel, er il était en train de refaire tranquillement le nœud de sa cravate. Un autre jeune passa, assez maigrichon, entièrement blanc, qui nageait dans son uniforme, il semblait grommeler, et je reconnu le gamin qui nous avait filé entre les doigts, à Isis et moi... Je me reddressais, puis secouais Hisméria doucement : - Eh ! Lève toi ! Hisméria ? Hisméria ? Soudain, je m'aperçois que ma chemise est non seulement de travers, mais qu'en plus, elle est déboutonnée, maintenant, résultat des instants de panique précédents. Mon soutif à découvert ! Tous à couvert ! Poitrine de sortie. Quels déboires, je vous jure... En mode discret, je reboutonne ma chemise, doucement. J'espère qu'Hisméria est encore dans les prunes.  - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･* 
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| ## Ven 7 Fév 2014 - 21:35 | ||
Invité | De nouveau Hisméria tomba dans les vapes. Et une drôle de sensation s’empara de nouveau de l’adolescent. On dirait que l’homme était déjà passé dans cette dimension remplis de masques. Pas n’importe quel masques, mais ceux qu’on porte par envie et par désir. Des hommes, il faut dire que j'ai eu l'occasion d'en croiser un certain nombre. En blouse blanche, pour la plupart. Je ne leur ai par contre jamais adressé la parole. Mais personne avec ce genre de masque. Qu'est-ce que j'aurai pu raconter à des êtres humains qui paraissaient si magique? Encore une girafe pourquoi pas, mais ce n’étais pas le cas ici. Car, je l'ai bien vu, ces scientifiques ne s'arrêtaient jamais. Je les ai observés, du fond de l'endroit où il m'avait entreposé et j'ai eu le temps d'en voir, des visages et des protocoles. J'ai eu le temps, au fil de ces longs mois, de comprendre ce qu'ils étaient en train de faire. Mais non il a fallu que je me décide à m’installer au fin fond du creux d’un encéphale. Des fois je ferai mieux de mangé des pommes aux lieux de ne pas réfléchir, ça m’apprendra à choisir mes fréquentations ! Quelques choses au loin était en train d’essayer de me tirer vers les méandres de mon âmes, mais je n’avais pas envie de revenir, j’étais bien avec toute ses bouteilles vides et cette sensation de pertes d’équilibre provoqué par des champignons pas frais. Tout ça me donne envie d’omelette. De nouveau la voix se voulut plus persistante, si bien que je finis par reconnaître la personne s’étant donné la penne de me secouer comme un bananier qu’on aurait sevré d’eau. Cendre, pourquoi encore cette demoiselle. Je suis sûr qu’elle en à après MA Lune. Il faut vraiment que je me réveille. - Eh ! Lève-toi ! Hisméria ? Hisméria ? Me lever ? Et puis quoi encore, je suis bien là. Cependant la lumière du jour me brûla mes pauvres prunelles n’ayant rien demandé. Et la réaction fut automatique j’ouvris les yeux. Quel ne fut pas ma surprise quand la première chose que je découvris le soutiens gorge de Cendre. Tout en rougissant la réaction d’Hisméria suivit : - Damned j’avais presque oublié que tu étais une fille ! Une seconde, cherchons à rembobiner, ça veut dire que les personnes sorties de la salle nous ont vu dans une position compromettante avec un Cendar à moitié à poil, mais c’est génial ! Mais pendant que j’y suis, elle nous téléporté ! Un mètre à côté. Bon il y a encore des progrès à faire pour ouvrir notre agence de voyage mais bon, après tout je ne peux pas trop lui en demandé. Mon ventre se mit de nouveau à imiter le son d’un T rex. De plus en plus fort, de plus en plus brillant, pour ne la laisser place a la faiblesse du manque de sucre. Si ça continue comme ça Cendre tu vas finir par m’emmener à l’hôpital ! Ça va pas mieux moi, si je me mets à penser, elle n’est pas encore oracle. Quoi que ? Hisméria repris avec le plus gros effort du monde et s’exprima : - POOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMMMMMMMMMMMMMME Bon le si ce n’est pas clair, je ne comprends pas ! Si tu ne veux pas que je meurs, c’est maintenant ou jamais ! | |
| ## Ven 14 Fév 2014 - 22:24 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | J'en étais au dernier bouton, aucune âme qui ne vivent n'étaient sortie du dortoir pendant l'opération, l'honneur était sauf !... Du moins ce qu'il en restait.. Enfin, ça, c'est ce que je croyais, et c'était sans compter un point important. Du genre, à prendre en compte. - Damned j’avais presque oublié que tu étais une fille ! Point à prendre en compte répondant au doux nom de Hisméria... Et triple biques boiteuses. Le ciel me tombe sur la tête. Et il fait bientôt jour !... Rectification : Il fait jour, je vois un bout de soleil par la fenêtre, les rayons ne vont pas tarder à se pointer. Horreur et catastrophe !... Puis je me rappelle que Hisméria vient de me dire un truc à me tuer, je tente donc une technique ancestrale afin de lui prouver qu'illusion s'est emparée de son encéphale, à savoir, Hypnose : - Nooooon... Ce n'est pas Cendre que tu eu vu... Ceci n'est que Hallucinatiiiiiion... Tes paupières sont lourdes... Un gargouillis comme j'en vu peu d'aussi bruyant s'échappa du ventre du jeune homme... Damned, j'en avais presque oublié que tu avais faim ! Les pachydermes sont bien de petites natures. Ca ne tue pas pourtant, la faim... Ah si, ça tue... Cendre, s'il te plait, arrête de penser la... Mon esprit aurait à nouveau pu divaguer, et moi de laisser crever la bouche ouverte ce pauvre jeune homme agonisant, si celui ci ne s'était pas à nouveau exprimé des manières les plus civilisées : -POOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOMMMMMMMMMMMMMME ! Ce hurlement guttural venant surement des dernières forces disponibles de Hisméria allait surement attiré les trois quart du dortoir voisin dans les minutes à suivre, ô douce allégresse. Je m'empressais donc de me lever, et de courir à la vitesse de l'éclair pour chercher la pomme, dans mon empressement, et dans la panique du moment, j'avais vu qu'elle avait roulé plus loin mais ayant à nouveau perdu mon sens pourtant FORMIDABLE de l'orientation après ma téléportation un tant soit surement un peu foireuse, je ne savais plus exactement où avait roulé le fruit. Dans ma course, je me prenais les pieds dans le tapis et m'étalais de tout mon long au sol, comme la courge gracieuse que je suis. Une chute tout en élégance. Si élégance d'un cul de jatte il y a, je suis sure que vous la voyez, vous aussi, cette image du flamand rose qui s'écrase au sol en sautillant à grands renforts de gestes désordonnés. Bref, je finissais lourdement, et pour tout dire, aussi bruyamment que douloureusement au sol, et non par que l'idée de violer les lames du parquet m'eue séduite, mais je me jetais sur la pomme, que ma chute avait au moins eu l'avantage de me faire repérer, comme si ma propre vie en dépendait. Je repartais aussitôt en sautillant comme me le permettait mes membres endoloris par la chute gracieuse, afin de donner la pomme. J'eu un instant l'impression d'être un éléphant qui rapporte une baballe à son mai-maitre, et cette idée persista quand je mis la pomme dans les mains d'Hisméria, puis refermais ses doigts dessus. - Allez, maintenant, il faut manger ! Ca suffit, je ne saurais pas quoi faire de ton corps, et en plus, maintenant, j'ai mal partout !... Je ne sais pas si il m'a vu tomber comme un pachyderme maladroit se prenant bêtement les pieds dans un tapis, mais bon, autant ne pas donnez trop de détails... D'ailleurs, je crois entendre des gens qui arrivent... Du dortoirs ? Les retardataires sont curieux, mais comme ils ont dû avoir la flemme de se lever, de toute façon, on devait avoir encore quelques minutes pour prendre la poudre d'escampette... - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Mar 18 Fév 2014 - 15:23 | ||
Invité | Hrp: Ton avatar a vraiment la classe ! On croirait presque que tu es normales la dessus 8) - Nooooon... Ce n'est pas Cendre que tu eu vu... Ceci n'est que Hallucinatiiiiiion... Tes paupières sont lourdes... C’est bien essayé mais ça ne prend pas ! C’est qu’elle essaye de m’endormir la vicelarde ! Ce que le terme est bien choisit ! Tu en as d’autres des comme ça Hismé ? Non parce que dans l’histoire c’est plutôt toi le voyeur. Quand j’y repense c’est que je continue à la fixer. Hisméria secoua la tête, l’air troublé. Pourvu que personne ne m’ai vu en train de la regarder. Non pas qu’elle soit déplaisante loin de là, mais plutôt que je n’aime pas ce genre d’attitude. On dirait un être en manque d’amour qui court après le manque d’affection. Stop, je suis en train de me monter la tête tout seul la ! C’est bizarre, quelque chose d’étrange est en train de se produire : Tiens on dirait que Cendre cherche la pomme. Je rêve ou elle est aussi douée que moi en orientation ? On dirait un morceau de sucre qui cherche à démontrer qu’il ne craint pas l’eau ! Non mais sérieusement, le couloir n’est pas grand. Bon d’accord j’ai déjà réussi à me perdre dans ma propre maison, mais ce n’est pas pareil ! Et puis maintenant que j’y repense tout ça pour une pomme quoi. On dirait qu’elle n’a pas vu le tapis. Et je suis trop faible pour la prévenir. Oh et puis, ça va être drôle de la voir s’écrouler contre le sol. Attention, un léger effet de ralentit et : BADABOOM. Effectivement, j’en ai encore plus mal au ventre avec ses bêtises ! Le jeune homme se tenais des deux bras le ventre et semblait s’agitait dans tous les sens tel un asticot enroulé dans du jambon atteint d’une crise d’épilepsie ! Cendre qui n’eut pas de mal à se redresser comme si de rien n’était couru à toute vitesse vers moi et prononça : - Allez, maintenant, il faut manger ! Ça suffit, je ne saurais pas quoi faire de ton corps, et en plus, maintenant, j'ai mal partout! Hisméria d’un air dégoutté saisit le fruit et regarda Cendre : - Mais il est plein de poussière, je vais comme même pas manger ça ! Entendant de nouveau le bruit apocalyptique de son estomac, Hisméria effectua une grimasse, ferma les yeux et croqua dans le fruit. Après s’être contraint à avaler la bouché, l’adolescent s’exprima la bouche pleine : - C’est vraiment infecte comment tu peux faire pour aimer ce genre de nourriture ? Même un lapin n’en voudrait pas ! Tiens on dirait que des personnes arrivent ! Une vision d’horreur s’empara du jeune homme, il ne manquerait plus que ça soit les personnes qu’on à déranger quelque temps plus tôt. Une alarme s’activa au centre de l’encéphale de l’homme à moitié affolé. Oui qu’a moitié vu le peu d’énergie disponible. Du coup seulement quelque mots réussirent à sortir de la bouche du jeune homme : - Cendre, courrons tout de suite dans ta chambre ! J’en ai envie ! Mais non ce n’est pas ça qu’il fallait dire abrutit ! Oh et puis ça fera l’affaire, mais maintenant je suis fiché ! Non mais attend, elle est ou sa chambre déjà ? | |
| ## Dim 16 Mar 2014 - 11:34 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Je regardais un truc sur le plafond, je crois. Je me prit à rêver de papillon de nuit, alors que le soleil se levait et que je n'avais pas posé le regard sur MA lune cette nuit, ô insaisissable mélancolie. Sauf que la bêbête noires qui courait au plafond n'était pas un papillon de nuit. C'était une mouche à merde. Même au Japon ya des mouche. Comment celle ci avait atterri ici en plein hiver ? Je sais pas, même les mouches sont mutante à Terrae, peut être ? - Mais il est plein de poussière, je vais comme même pas manger ça ! Je reposais un instant mes yeux sur l'homme gisant gracieusement à terre. - Roh, tu vas pas faire ton difficile ! Ma force de conviction ne pouvant être plus grande que face à un Hisméria presque mort, et je dis bien presque, parce que non pas le fait qu'il puisse être mort qui fut inquiétant, mais plutôt le fait qu'il puisse encore me parler pour refuser une pomme en étant mort. Mais comme le jeune homme avait plutôt une tête à faire des grimaces de dégout que celle d'un zombie ou d'un quelques autre mort vivant, je ne prenais pas mes jambes à mon cou, comme le veut habituellement l'instinct de survie de n'importe quel être vivant face à un être un peu moins vivant mais encore debout. Hisméria finit par croquer dans la pomme. La réponse fut presque immédiate. Elle fusa comme un papillon fou cherchant une ampoule en voletant de manière on ne peut plus désordonnée : - C’est vraiment infecte comment tu peux faire pour aimer ce genre de nourriture ? Même un lapin n’en voudrait pas ! Je rejetais un coup d’œil au plafond d'un air las, remarquant au passage que la mouche avait pris ses iles à son cou, elle, elle n'était en tout cas plus au plafond. - Pourquoi ? J'ai une tête de lapin ? Je déclare le festival des question rhétorique, intelligente, et tendant tout un tas de perches pour tout un tas de sarcasmes ouverts ! Et Hisméria, ne me laissant pas le temps de rattraper ma bourdes, sembla pris de panique à l'écoute d'une nouvelle vague de jeunes pas très réveillés et sortant du dortoir en nous ayant peut être un peu entendus : - Cendre, courrons tout de suite dans ta chambre ! J’en ai envie ! Ma chambre ? Envie ? Il ne machouillônes pas ces mots... Enfin, moi j'ai compris, c'est le principal ! Même si j'ai peur de ne pas être la seule à avoir compris... - OK, je réessaie de me téléporter ! Mieux vaut prévenir que guérir, non ? Même si j'ai bien peur de devoir aussi Guérir si je retente une téléportation... Au moins, je préviens ! C'est déjà ça non ?... Le chemin menant à mon pouvoir, je trouvais facilement cette fois la... Je veux dire, encore plus facilement que les fois précédentes, parce que oui, à chaque téléportation, aussi foireuse qu'elle soit, apparemment, je gagne en efficacité... Même si la reine des flemmarde en son royaume parlant d’efficacité, non seulement ce mot en sa bouche sonne comme un juron, mais en plus, ça volette comme un papillon que c'est l’hôpital qui se fout de la charité... Je bataillais un instant intérieur, puis d'un seul coup, comme un souffle, je disparaissait. Et j’atterrissais dans ma chambre, restée telle quelle depuis la veille. Enfin, depuis les quelques heures qui me séparait de ce temps qui me parait si lointain où ne dormant pas, parce que je suis beaucoup de chose mais pas la belle aux bois dormants, j'étais peinard et j'avais tout le temps devant moi pour regarder cette lune montante croissante même pas encore pleine qui flirtait avec la ligne d'horizon. Raison pour laquelle je ne la voyais plus. Je ramasse ma couette qui traine à terre comme un tas informe et la lance telle quelle sur mon lit, puis je me rends d'un détail. Ooooh, plutôt d'un détail, parlons d'un absence. Oui, ou est passez Hisméria ?!... Me demandant ou il avait atterrie, et s'il était encore aux dortoirs, je tentais d'ouvrir un grand geste la porte, qui refusa d'abord de s'ouvrir parce que j'avais fais un tour de clé, ce qui m'étonne moi-même, d'habitude, j'oublie ce genre de chose. J'ouvrais donc la porte à la deuxième tentative et surgissais dans le couloir, où trainais un ou deux autres tonnerre. Ils me regardèrent avec surprise, voir une meuf qui a l'air d'avoir déjà pris environ 60 café alors qu'eux sont à peine réveillé, levé de frais et qu'il descendent à la cafet, ça a l'air de les avoir faits sursauter. Je dévale les marches menant au dortoir, puisqu'il se situe au premier étage, sous les chambre individuelles. J'espère que Hisméria y est encore... Aaaaah, cette téléportation réussie, c'était trop beau pour être vrai... - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Sam 22 Mar 2014 - 16:51 | ||
Invité | Cendre semblait attiré par quelque chose se situant accroché au plafond. Qu’est-ce qu’elle pouvait encore bien chercher ? Ne me dis pas qu’elle a espoir de trouver des pommes suspendu au-dessus de nous ? Non parce que dans quel cas, il faut vraiment qu’elle jette les champignons qu’elle à consommer : ceux-ci sont surement moisit. Quel comble pour cette entité unicellulaire ; Quand je repense à cette demoiselle ou devrais-je dire taxon obsolète pourvue d'une paroi chitineuse se nourrissant par l’absorption des molécules organiques directement dans le milieu et dépourvues de chlorophylles qui végète tel un thallophyte ! A force de lever les yeux vers le ciel, Cendre va finir par chopper un torticolis ! Heureusement, la demoiselle réagit à mes propos fort élogieux et d’une finesse oubliée. Celle-ci s’empressa de rajouter sur la même tonalité légère et pleine de bon sens : - Roh, tu ne vas pas faire ton difficile! Bon, certes je vais finir par mourir si je ne mange pas cette pomme, mais tout de même, elle aurait pu penser a du chocolat quoi. Bon ok, il y a que Nero pour posséder toujours un bout de chocolat sur lui. Quoi qu’en y repensant, c’est pas toujours vrai, vu à la vitesse à laquelle il l’engloutit ! Et puis je me suis m’y a râler sans véritable m’en rendre compte. A vrai dire, ça m’arrive rarement, mais quand je commence on pourrait presque croire que je m’exerce à devenir cryptologue à la conquête de mystère et de la boite à pandore. Oui madame, je songe aux triomphes tel un nénuphar rêve d’une plus grande étendue d’eau. Et même si j’ai le syndrome de Peter Pan bien ancrée, je le vis plus ou moins bien. Dans ses moments-là c’est plutôt moins. Mais où est mon carnet à schizophrénie ? A tous les coups, il est dans la poche appuyé contre moi… C’est dans ce genre de moment qu’il me serait utile : Je pourrais au moins lui balancer quelque chose. Quoi que, je pourrais bien lui jeter la pomme, mais dans ce cas-là, je ne règlerai pas le problème de ma faim ! Quand j’y repense, c’est que mon amie la sociopathe n’a toujours pas activé le mode électrique pour nous amener autre part. Non mais que ça urge là, mais je n’ai pas envie de finir en nourriture pour éléphant en manque d’amour ! Même les pokémons sont plus rapide ! - OK, je réessaie de me téléporter ! Comment ça essayer ? Ça va être pratique pour monter notre agence de voyage ! Je vois déjà le genre d’embrouille possible et inimaginable : « Vous avez payé, mais je vais essayer de ne pas me tromper dans la destination ! » Ou même : « Comment ça l’Ouzbékistan ça ne vous pas ? Mais c’est plus notre problème ? Allez à bientôt pour de nouvelle aventure ! Allez Cendre, sauvons nous ! Comment ça on est bloqué ici ? Damned... » Hisméria se mit à sourire légèrement, perdu dans ses pensées. Il ne se rendit même pas compte que Cendar les avait déjà propulsé je ne sais où. Quand il revient à lui, le décor avait encore changé : mais bon, à force je m’y suis fait… Mais une seconde ? Ou est donc Ornicar ? Heu Cendre ! Et non elle m’a encore refait le coup du je suis plus là, je te laisse tout seul dans un endroit inconnu. Si je la retrouve je … Je lui ferais porter des chaussures ! Hrp : [A vrai dire, heureusement qu’il n’y a pas un nombre limité de téléportation par topic, et surtout qu’on ne change pas d’article à chaque fois, sinon notre chère directrice ne pourrait plus tenir debout.] Une grande masse en courant arrive à toute allure vers moi, tiens ça ne peut être que le Cendar. Hisméria en s’esclaffant prononça : - La prochaine fois que tu nous téléportes, essayes de ne pas m’oublier. L’homme ne put s’empêcher de lui faire un câlin, et reprit : - Ce n’est pas tout ça, mais il faudrait peut-être que tu penses à t’habiller correctement ! | |
| ## Sam 29 Mar 2014 - 19:07 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Papillon de nuit fou voletant sans cesse, désordonné, folie s'est emparée de ces ailes... Non, je n'ai pas franchement l'air d'un papillon fou à fendre l'air à la vitesse de la lumière, trébuchant souvent, gardant l'équilibre par la bonté du Saint esprit des pachydermes, graciles et élégants. Je surgis littéralement devant le dortoir. Hisméria se tient la, pantelant, il n'aurais pas pu aller bien loin de toute façon... Quoique... Avec mes téléportation, disons, un peu foireuses sur les bords, on ne sait jamais vraiment où retrouver et dans quel états... Disons qu'on espère en un seul morceaux, sinon, c'est sale, et plus que surement assez peu pratique pour la suite des choses... Le jeune homme eu quand même l'air soulagé de mon intervention, même si les quelques initiés qui étaient sorti du dortoir à ce moment n'allaient surement pas laisser le jeune homme mourir ainsi dans le cas où moi je serais morte, et que je ne revienne pas chercher ce crevard de dalle. Pas Crevard comme les vautour, et pas dalle comme Dale hein ! Et oui, j'ai lu le Hobbit il y a quelques nuit, alors Dale, c'est la ville au bord du lac... Crevard de dalle dans le sens où il a faim, et qu'il a l'air en train de mourir ! De faim ! ... Ça n'a pas l'air de me réussir, moi, la formation impromptue de mots-valises... Décédée à mon âge, dans un de mes téléportation, quel tristesse ! Ô Malheur, vous seriez quand même un peu mélancolique, hein ?! Papillon daim. - La prochaine fois que tu nous téléportes, essayes de ne pas m’oublier. Les deux trois jeunes se trouvant encore la avec la tête de six pieds de longs de celui qui vient de se réveiller sur une autre planète et qui ne comprends pas, ont l'air de me regarder comme si il m'avait poussé une troisième tête. Ce qui est peut être le cas, fait voir ?... - Je m'en rappellerais, promis ! Je scande. Mais je crois pas que ce soit moi qui décide, plutôt la téléportation... Je t'espère pas devenir Tonnerre Lunaire, c'est pas facile tout les jours ! ... Je remarque l'antithèse que je viens alors d'exposer et qui, j'en suis sure, n'a pas échappé à notre ami le lunatique, alors je rectifie : - Ou toute les nuits, oui, lunaire. Voila. Voila, ah ah ! Je l'ai remarqué, hein ! C'est pas comme si j'étais plus Concarneau ! Concarneau. Papillon enlacés, on dirait que je viens de lui sauver la vie. La scène en donne tout l'air, en tout cas. Bon, après, pour que cette situation soit tout à fait poignante, qu'avec une petite mélodie de Titanic et une blondasse qui fait des vocalise en implorant une ôde à leurs destin cruel, ça arracherait presque un oeil larmoyant au spectateur, il ne faut bien entendu pas précisé que si c'est moi qui aurait à l'instant sauvé la vie de ce jeune homme nommé Hisméria, c'est aussi de ma propre personne qu’adviendrait sa mort précoce. Aussi précoce que la mienne. Cause : Téléportation foireuse de tonnerre débutante dans un institut aux allures d'asile. Un spectateur qui pleure comme une madeleine, c'est aussi sans prendre en compte toute les sortes de remarques intelligente germant forcement dans notre esprit dans ces situation, que nous nous devons de faire partager au plus grand public : - Ce n’est pas tout ça, mais il faudrait peut-être que tu penses à t’habiller correctement ! Je me libère un peu de l'étreinte et baisse les yeux au sol, pour un fois. Oui, pour une fois, parce qu'en règle pas vraiment universelle mais non moins générale, j'ai plus tendance à avoir la tête dans les nuages, le visage dans le ciel, l'esprit très loin dans la stratosphère et les yeux rivés sur MA lune. ♫♪ Et je baillerais, les éclairs, une comêtes plantée entre les dents mais, sur Terre, en attendant... ♪ Je regarde par Terre mes pieds nus. Mon pantalon d'uniforme qui, ayant trainé toute la nuit, avait le bas en état pittoresque. Ma chemise froissée. Mais boutonnée, l'honneur n'est plus, mais rien n'empire drastiquement, c'est déjà ça. - Et une nuit ? Ceci est ma tenue de nuit voyons, bien que le jour commença à se lever, comme un malaise planait autant que la faim, comme une papillon de nuit, ici, je n'ai pas pu m'habiller correctement pour le jour ! Et voila ! Rebondissement, je m'en tire avec seulement quelques égratignures du barbelés des remarques de l'homme lunatique. Les jeunes sont toujours là à nous regarder avec ces drôles d'airs ? Ils doivent ce demander ce qu'ils peuvent faire pour nous, à la tête de zombie de l'affamé dans mes bras. Le zombie a l'air moyennement bien en point. Qui a dit que la pomme, c'était dans le top des aliments nutritifs ? - Bon, on va peut être aller à l'infirmerie un jour où l'autre non ? Tu peux suivre ? Tu vas essayer de survivre jusque la, tu ne meurs pas en chemin, hein ? Bah non, ce serait trop bête, dire que tu meurs après que je t'ai sauvé de la téléportation foireuse d'une dangereuse criminelle !... Criminelle anonyme, dont le nom ne sera diffusé dans les média. Enfin, elle l'espère. J'avise les quelques initiés ébahis devant les dortoirs. Soit ils ne sont pas réveillés, soit ils sont longs à la détente... - Allez, venez m'aider, vous êtes des hommes, non ? Vous voyez pas qu'il pèse cinq tonne ? Et on doit aller jusqu'à l'infirmerie comme ça !... Un d'eux vint tout de suite supportez une épaule. C'est ainsi qu'on se dirigeais vers l'infirmerie à la vitesse d'une limace dans du béton frais. - On va faire le voyage à pieds, je me sens pas une nouvelle téléportation. Remarque platonique. Au moins, on y va lentement, mais on est sur d'y arriver...  Quelques semaine plus tard. Ou quelques mois, je ne sais plus. Mais ou vont les didascalie si elle ne peuvent même plus être précises ... ?! Je frémis. Nom d'un papillon pourri dans du formol, ce que je peux avoir mal !... Même ne souffre pourtant pas tant un pachyderme asthmatique aux muscles atrophiés ayant pratiqué d'une volonté dure comme peau de pachyderme de l'escalade pendant des heures plus lente encore que le temps d'une insomnie nocturne. Oui. Insomnie nocturne, parce que je ne suis que peu concernée par les insomnies au grand jour, à mon grand désespoir... Papillon noir. Je croise mes mains et me concentre. Oui, me concentre, apparemment, j'en suis plus ou moins capable, aussi étonnant que cela puisse paraitre à d'autre carbure de cerveau pachydermique. Je trouve la lumière, la chaleur en moi. Ça me parait encore étrange, ces voyages intérieurs. Trouver son chemin est tout de même au moins aussi difficiles qu'en ces couloirs tortueux, que l'on diraient pondus par Dédale lui même, qui sert de locaux, de bâtiments à cet institut pour phalènes égarés, et surement plus qu'un peu mutants qu'est Terrae. Papillon paumé. Papillon violet. Je suis électrique. Au sens littéral du terme puisque de fines éclairs, zébrure électriques dorée, blondes, parcourent mes deux mains jointes. J'ouvre lentement les yeux, mais mon regard reste aussi concentré que possible. On va pas encore tout foirer, pas maintenant ! ... Papillon blanc. Papillon éléphant ? Ca y est. Je suis déconcentrée. Lamentable, autant penser à un pet au cours de l'initiation, ça valait pas trois pattes de chats, autant penser à un éléphant, et oui, aussi étrange que cela puisse paraitre, ça m'arrive pourtant souvent, et bien, c'est pas non plus la grande gloire internationale. Suis-je donc foutue ?... Les zébrures cessent, d'un coup et d'un seul. Un clignement de paupière ? Non, bien plus vite. Aussitôt, c'est comme si on m'enlevait un sac à patates de toile épaisses de sur ma tête, comme si je sortais de l'eau, bien qu'avec ces organismes indépendants alors mouillés me servant de cheveux qui retomberait probablement lourdement sur ma face comme un rideau brun à ce moment là, je ne suis pas sure que la différence me paraisse flagrante. Comme une bulle confinant tout mes sens. Confinant tout mes sens, pour seul but quelques pittoresque étincelles, assez misérables. Assez ridicules. Des étincelles quoi. Bulle qui éclate soudainement. PLOP ! Le bruit ambiant agresse aussitôt le système auditif de mon encéphale. La salle commune n'est pas un salle d'entrainement, tant pis, personne ne semble avoir la dent contre moi ce soir... Pourtant, je serais eux, je me méfierais des lieux fréquentés par ma propre personne en train de s'entrainer... C'est à dire de procrastiner fort en faisant un zébrure de temps en temps, quand l'envie lui prends... Je crois que ces dernière semaine, je me suis transformée en tazzer. Je suis un tazzer, dzzzz, dzzz... Prenez gare. Papillon fard. Je décide de rejoindre ma chambre, la nuit étant tombée depuis peu, et le bruit ambiant m’agressant l'encéphale. Et comment une tonnerre lunaire rejoint-elle sa chambre ? TELEPORTATION, MON AMIE ! ... Mais moins que la lune. Puis une amie un peu traitre sur les bords... Voir même beaucoup. Je met quelques instant, je ferme les yeux, cherche, puis me téléporte. J'étais assise par terre en tailleur dans la salle commune. J'arrive assise en tailleur sur quelques chose que j’apparenterais à un plancher. J'ouvre les yeux. Je ne suis pas dans ma chambre, surprise. Je suis dans un espèce de foutoir sans nom, mélange impromptue, plus ou moins saugrenue d'affaires jeté pêle-mêle en un foutoir qui parait totalement désustructuré et invivable. Différents lits le long de la pièce ? Je ne met pas longtemps à me repérer... Juste le temps pour mon cerveau de me suivre lors de la teleportation. Et nooon, mon encéphale ne suit pas au quart de tour, il est long au démarrage (CERVEAU LENT ! AH AH !... Oui, je sais, je n'ai pas le droit...), et oui, mes téléportation sont toujours aussi foireuse, ce n'est pas faute de ne pas avoir essayé... Je regarde autour de moi. A mes souvenirs, le dortoir des filles ne valait pas mieux, mais comme c'est des pantalons d'uniformes que j'apercoit la bas, et non des jupes (Cet objet, c'est SATANAAAAAS... VADE RETRO !...) ... Tant pis, je suis assise ici, je sus assise. Au pied d'un lit, je sais pas, le propriétaire n'a pas l'air d'être la ?... En tout cas, je sais pas si il y a du peuple dans la pièce, mais ce lit ma cache. Je replace mes mains devant et recommence les zébrure. Han, nom d'un papillon pourri dans du formol, j'avais oublié que ça faisait mal partout comme ça !... Ce que ça fait mal !... - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Sam 5 Avr 2014 - 17:41 | ||
Invité | Suite à ma roquette lancé avec précision aux cordonnées de l’encéphale bousillé du Cendar, celle-ci ne put que me répondre précision et amitié ! Suite à quoi elle s’empressa d’ajouter un message crypté : - 1 00 1 00 1 00 1 00 111 00 11 000 111 000 100 1111 001 11 0 11 00 11 0 110 110 10 10 1 Oula, soit on est atterrit dans la matrice, soit j’ai oublié le décodeur. Une seconde, ou est-ce que j’ai foutu le câblage Cendriesque déjà. Non ça c’est l’alerte anti groupie, rien à voir. Quoi que… Ca y est je l’ai ! Voyons voir ce qu’elle à réellement prononcé. Un petit coup de rembobinage et c’est repartie : - Je m'en rappellerais, promis ! Je scande. Mais je ne crois pas que ce soit moi qui décide, plutôt la téléportation... Je t'espère pas devenir Tonnerre Lunaire, ce n’est pas facile tous les jours. Manquerai plus que ça que je devienne comme elle ! Et puis quoi encore ? Porter des jupes et pas de chaussures ? Même un gitan malade unijambiste et habité par l’esprit d’un sorcier du Groenland refuserait ce genre de proposition indécente ! Une seconde, est ce qu’elle vient de prononcer le mot interdit ? Le, le, le jour ? Ha mais qu’elle horreur ! Si je pouvais je serais déjà en train de lui faire cracher cette insulte ! Quoi qu’en y repensant, vu qu’elle mange des pommes, Cendre est surement toxique, et je n’ai pas de combinaison pour éviter de faire rouiller cette vielle cyborg dégénérée et en manque de poudre lunaire. Cendre remarquant la bizarrerie de mon expression s’ajouta de prononcer : - Ou toute les nuits, oui, lunaire. Voilà. Tout de suite ça va mieux ! Quand je repense au pouvoir de ses mots sur moi j’en perds mon latin. En y repensant je ne l’ai jamais trouvé, mais ce n’est pas grave ! Hisméria se mit à rire et prononça : - L’espace d’un instant j’ai cru que tu avais quitté le coté obscure pour rejoindre le clan des solaires, ne me fait plus jamais cette peur ! Ou alors si, comme ça la lune sera tout à MOI ! Cendre me regarda les yeux remplit de compatissance et de pitié. Un air de dire : « C’est finis, il est perdu pour Terrae, on ne pourra plus rien faire de lui. » Suite à quoi, la demoiselle préféra rebondir sur ma réplique d’avant : - Et une nuit ? Ceci est ma tenue de nuit voyons, bien que le jour commença à se lever, comme un malaise planait autant que la faim, comme un papillon de nuit, ici, je n'ai pas pu m'habiller correctement pour le jour ! Expressément Hisméria s’empressa de rajouter : - C’est que le jour, c’est fait pour dormir ! Hisméria tomba de nouveau dans les pommes. [*] (Oh une étoile ! Non ce n’est que mon ellipse ! Ah ah ! Surprise !) « Je n’étais pas le plus fort et je le savais. Ils le savaient aussi. Des 10 que nous étions, un seul sortirait vivant. Je préférais que ce soit moi. Mais je n’avais pas la moindre idée du comment. La grille s'ouvre en même temps que le gaz se répand du fond de l'étroite cellule. Et ce gaz-là, croyez-moi, il n’est pas fait pour les poumons. Nous sortons en désordre.Ca chauffe d'entrée. Mais bientôt, ce sera pire encore. Au milieu de l'arène, ce petit cube d'amiante. Partout ailleurs, du métal : le sol, les murs, le ciel. De larges plaques de métal gris. Qui ne vont pas tarder à passer au rouge. Ca, pour chauffer. La chaleur va monter, puis la douleur, puis la folie et la violence. Dans l'unique espoir de rester sur le cube. Seul endroit froid. Le salut du dernier. Seul endroit où la peau ne se décolle pas. Les regards ont déjà jaugé les forces en présence. En esprit on sait déjà comment et où frapper. Pour que ce soit rapide et définitif. Pour avoir une chance de rester une seconde de plus sur le cube. La chaleur devient intenable. Le groupe se rue au milieu de l'arène. Les premiers coups sont échangés. Le plus rapide monte sur le piédestal. Heurté de plein fouet, il est projeté au loin. Son dos grésille sur le métal surchauffé. D'un bond il est debout. Défiguré par son cri et la douleur, il retourne dans la mêlée. Loin de tout ce tumulte, je tourne en rond. Trois p'tits bonds sur un pied, je souffle sur la plante de l'autre. Trois p'tits bonds sur l'autre, je souffle sur la plante de l'un. Surveillant du coin de l'œil l'occasion du larron. Qui ne tarde pas. Il ne me faut que quelques pas. Pour avoir mon propre piédestal. Le grésillement écœurant monte à mes oreilles. Tandis que l'atroce odeur envahit mes narines. Le choix de ne pas supporter ça ? Y'en a pas. Le pathétique combat se poursuit là-bas. L'allié d'il y a quelques secondes devient l'ennemi acharné. Les corps résonnent de coups. Basculent de douleur. Tremblent de fatigue. Fondent de chaleur. Ca n'en finit pas. S'il ne doit en rester qu'un, ce sera moi. Pour le moment, y'en a un de trop. Il faut que ce soit lui. Que feriez-vous à ma place ? Pour rester vivant la minute d'après, il me faut l'éliminer. C’est une masse de chair aux membres épais. Mais épuisés. Statue brûlée aux lambeaux pendants. Il se tient chancelant, sur ses 30 centimètres carrés. Hagard. Les ondes de chaleur brouillent ma vision. Les gouttes de sueur n'atteignent plus le sol. Evaporées avant. Les yeux brûlent dans leurs orbites. Les poumons saturés respirent l'enfer. Au-delà de la douleur s'annonce l'abandon. Maintenant ou jamais. Tête baissée, épaules remontées. Propulsion. Impact sans merci. Juste là. Et c'est fini. Je ne pensais pas que ce serait si facile. Je l'ai bousculé, il est tombé. Il ne s'est pas relevé. » Hisméria se réveilla en sursaut. Toujours le même rêve depuis des semaines. Je me demande bien qu’elle peut bien être l’origine de celui-ci. Peut-être faudrait-il que je me rende à la salle d’entrainement ? En y repensant, ça se produit depuis que Cendre m’a déposé à l’hôpital. L’homme sortit sur le balcon et s’alluma une cigarette. S’amusant à donner des formes à la fumée, Hisméria divagua dans ses pensées. En y repensant, je me demande ce qu’elle devient. Un grand bruit sourd raisonna dans la pièce, puis une voix féminine braillant telle un éléphant en train de se faire embrocher pour nourrir une famille de zoulou. "C’est elle !" s'exprima Hisméria à basse voix. Tout en s’étouffant Hisméria s’exprima : - Cendre ? Mais qu’est-ce que tu fou la ? Je connais déjà la réponse, mais c’est tout de suite beaucoup plus drôle qu’elle admette son erreur ! - Tiens ce soir, tu portes une tenue de jour, ça ne te ressemble pas ! Tu es malades ? | |
| ## Ven 11 Avr 2014 - 14:31 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Je me demandais comment serait la lune ce soir la... Haute dans le ciel ? ... Peu de chances, la nouvelle lune ayant commencé son cycle il y a peu, je pencherais plutôt pour une demi lune apparaissant en fin de soirée, voir même un peu avant le déclin du jour. - Cendre ? Qu'est ce que tu fous la ? Je sursaute en entendant ces paroles résonner à l'infini sur les parois de mon encéphale bien plus que sur les murs de la pièce. C'est bien ma veine d'éléphant scarifié -mais pas scatophile. Je risque une manœuvre dangereuse autant que subtile, nécessitant une technique et un savoir-faire hors-norme de la part de l'usager afin de m'isoler du bruit, et je me fais aussitôt agressé les tympans par une voix masculine. Même si de part mon environnement logeant, selon toute vraisemblance, un troupeau de pachydermes bordélique masculin, ces deux adjectif reliés à "pachyderme" étant bel et bien des synonymes, j'aurais pu m'en douter. Mon sens de l'observation implacable aurait donc encore frappé ! Bravo Sherlock ! Sans toutefois remarquer que la voix masculine avait modulé les deux syllabes composant mon macabre nom, mon sens de la déduction faisant face au premier. Et ce n'est même pas Watson qui apparait alors en mon champs de vision, mais un homme grand, ou du moins me la parait puisque que je suis assise à terre et le voit en contreplongée. A la vue des braises rouge, crépitement ardent d'une clope rougissant à chacune de ses respirations, je dirais que ledit homme était en train de fumer peinard au ridicule balcon du dortoir, servant normalement surement de sortie de secours mais souffrant d'usages détournés. Je reconnu finalement l'homme dans la pénombre, mon sens de l'analyse de la situation était encore moins bon que celle de son cher français, Durin. Hisméria ?... Il créchait toujours aux dortoirs ? Il ne devait pas être encore initié ou alors, n'avait pas compris qu'une chambre l'attendait maintenant. Ou encore, bien que l'ambiance propre au dortoir sembla de prime abord l'apeurer à la pensée de survivre dans un tel bourbier il y a quelques semaines, il s'y était peut être fait, et l'appréciant, il ne l'aurait pas quitté au moment fatidique de faire ses adieu aux odeurs de transpi et de chaussette pour une chambre qui sent toujours la transpi et la chaussette à la différence près que ce n'est que ta transpi et tes chaussettes qui sente la. Mais ce serait bien le premier à ne pas profiter de l'occasion pour faire ses valise, se barrer en courant de cet élevage insalubre pour retrouver une chambre enfin toute individuelle, à mes souvenirs. - Ce que je faisais ? Et bieeeen... J'ai quand même fait des progrès en téléportation hein ! ... Un peu... Oui, un peu, il faut bien l'avouer, c'est toujours aussi foireux qu'avant à chaque fois mais il est tout de même plus rassurant de se dire qu'on a fait des progrès. - Tiens ce soir, tu portes une tenue de jour, ça ne te ressemble pas ! Tu es malades ? Et bien ! Moins qu'un pachyderme ayant des problèmes d'épidermes, hémorroïdes, euthanasie, de psychotropes, de leucémie, d'insomnie, de gingembre, et de paroi nasales. - Presque ! En tout cas, la procrastination semblant absente est louche, si elle ne l'est pas ! Et la procrastination que je ne met pas dans mes téléportation des plus réussie, je les met dans mon changements de tenues. Bah oui ! C'est logique, non ? Bien, tout n'est que sens de l'observation, de l'analyse et de la déduction, mon cher Watson. Je me concentre, restant assise au sol mais fermant les yeux, mon visage face à Hisméria. Des étincelles recommence à parcourir mes mains. J'ouvre les yeux et tout disparait aussitôt, ma concentration s'envolant. - Et toi ? Toujours sceptique quant à ce qui apparait comme une vaste hallucination s'étant emparée de nos encéphale ? Ou tu puis me faire preuve de pouvoirs ce soir ?... Je demandais à tout hasard, pas peu fière de mes téléportation foireuse comme de ces machine à court-circuit. - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Sam 12 Avr 2014 - 13:29 | ||
Invité | Que ce soit un problème ou non n’a en réalité nulle importance. Je tire sur ma cigarette, emplis mes petits poumons de la fumée régénératrice, puis l’exhale doucement à travers mes lèvres, enfumant encore plus la pièce où je me tiens. Un mur opaque de fumée plane sur les lieux. Les chaises semblent surgir du néant dès que l’on s’en approche. La table apparaît comme un étrange bateau fantôme surgissant d’un seul coup du brouillard. Sur sa surface usée, un petit cendrier est rempli à ras bord. Cet endroit n’est pourtant pas ma chambre habituelle, mais je me plais à dormir à même le sol, dur et froid. Peut-être est-ce un moyen détourné pour ne pas se faire remarquer. La fenêtre de la piaule comporte d’épais rideaux rouge vif constamment tirés. Par beau temps, le soleil passe au travers du tissu et donne au lieu un éclairage très sanguinolent magnifié par les milliards de particule en suspension dans l’atmosphère. Par mauvais temps, il fait si sombre que l’on pourrait se croire la nuit. Et c’est cette atmosphère-là que je recherche, le jour ne m’intéressant pas. Dans ces moments-là, je prends une bougie et je l’allume en la posant à côté du cendrier sur la table située au centre même de la pièce. La fumée fait le reste. Je ne sors pas beaucoup d’ici. Je n’aime pas la lumière du jour. Je n’aime pas non plus beaucoup les gens. Le monde est bruyant, agité. Les personnes que je croise me semblent floues et insaisissables tellement elles passent vite leur chemin. Au dehors, les hommes ne pensent qu’à eux-mêmes sans voir personne. Et puis, je cherche à me faire discret pour pouvoir mener à bien mes acquisitions. Et je sais maintenant que S.N.E rode dans les murs de cet institut. Le bruit de Terrae rugit continuellement, à peine atténué par les quatre murs m’entourant. C’est comme si leur égoïsme était si énorme qu’ils pensaient avoir le droit de me signaler leur existence à chaque moment de la journée. J’aimerais bien qu’ils comprennent et cessent ce bruit. Mais je sais que cela n’est pas possible. Et puis, je n’ai pas réussis de trouver des traces d’Elia. Perdu dans mes pensées, Cendre quant à elle semble chercher l’astre aux milles reflets, une nouvelle fois. En y réfléchissant, on dirait bien que l’adolescente n’a pas tant changer que ça. Et puis, la demoiselle possède toujours cette aire perdue d’un cyborg à qui on aurait oublié de parler de robotique pendant plusieurs années. Après quelques secondes de bug, Cendre s’exprima : - Ce que je faisais ? Et bieeeen... J'ai quand même fait des progrès en téléportation hein ! ... Un peu... Hisméria baissa la tête, avec une expression de visage mixant le désespoir et l’empathie. Je vois, au moins, cette demoiselle s’exerce toujours à se rendre dans des lieux improbable. Mais bon, celle-ci pourrait au moins avoir une carte des destinations qu’elle propose ! Et puis un dortoir pour garçon c’est tout sauf exotique. L’adolescent s’exprima : -Je vois, au moins tu n’atterris plus sur les arbres rassure moi ? Hisméria connaissait plus ou moins déjà la réponse, mais, à vrai dire, ce n’est pas comme s’il l’écoutait réellement parler. Et puis quoi encore ? Autant délivrer son âme à un éclair qui vous promet de ne pas vous électriser ! Cendre de nouveau perdu dans un torrent de pensée cherchait à tout prix à faire le tri. Et autant vous dire que ce n’est pas son fort : Imaginez une girouette qui cherche à tourner dans les deux sens en même temps, le tout sans l’aide du vent. Vous voyez cette image ? Bah ce n’est pas ça ! Non vraiment, rien n’est comparable au spectacle qui s’offrait à moi. Même un éléphant se roulant dans la boue par un été putréfiant n’offrait pas un meilleur spectacle ! Quelques secondes s’écoulèrent entre le temps où les paroles furent pensée par mon amie Cendriesque et l’instant où le débit sonore sortie de sa bouche remplis d’énumération abracadabrante et follement irréfléchis. Oui faut quand même pas pousser : ce n’est pas parce qu’une différence de temps s’est produite entre l’instant de notre rencontre et maintenant que l’adolescente aurait eu la bonne idée de se rendre pour s’acheter une intelligence artificielle (La source de savoir naturelle étant inexistante, il faut bien s’adapter.) Même pas : celle-ci devait être trop occupée à cultiver ses pommiers. De grands frissons s’emparent du dos d’Hisméria au contact de cette pensée bien trop lumineuse à son gout. Cendre reprit la parole avec son timbre de voix digne d’un haut-parleur branché sur le mode je réveille tous les habitants du quartier. Et oui, même notre petite aventure du dortoir ne la visiblement pas servis de leçon ! La demoiselle s’exclama : - Presque ! En tout cas, la procrastination semblant absente est louche, si elle ne l'est pas ! Et la procrastination que je ne mets pas dans mes téléportation des plus réussie, je les mets dans mes changements de tenues. Hisméria ne put s’empêcher suite à ses paroles fortement éloquentes de la demoiselle de tirer une drôle de tête. Surpris par le changement et la maturité acquise du au facteur temps. Comme quoi, tout peut arriver dans cette école. L’homme remarqua avec stupeur que l’uniforme finalement lui aller plutôt bien ! Et puis c’est quand même mieux avec des chaussures. Troublé, l’adolescent ajouta : -En effet, que de changement en si peu de temps ! C’est que tu es plutôt élégante correctement habillé ! Les deux amis s’exprimèrent en même temps comme pour combler un vide qui aurait durer un peu trop longtemps. - Et toi ? Toujours sceptique quant à ce qui apparait comme une vaste hallucination s'étant emparée de nos encéphales ? Ou tu peux me faire preuve de pouvoirs ce soir ?... - Si ta téléportation n’est pas raté, qu’est ce qui t’amène ici ? Gêné par le flot de parole s’acheminant jusqu’à son encéphale, Hisméria se rappela du chemin qu’il avait parcouru depuis la rencontre avec Cendre devant le portail. La rencontre avec Néro dans une cafétéria louche, le drôle d’échange à la bibliothèque avec Midori. L’interminable aventure avec Kana au lac, les monologues interminables avec des élèves comme Aaron et Tahia, et la séance avec Isis à l’hôpital... Certes depuis, l'homme avait fait acquisition de ses capacités. L’homme se contenta de répondre une phrase courte et mystérieuse : - Oui. Quelques chose de plus important encombré son esprits brumeux… Après avoir attrapé la main de Cendre, il l’a tira d’une manière tout sauf délicate la demoiselle hors du dortoir, et dans un élan de précipitation s’exprima : - Dépêche-toi un peu, nous avons à faire ! Et comme tes téléportations ne possèdent pas de géolocalisation, nous irons à pied ! | |
| ## Dim 13 Avr 2014 - 9:22 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Oui, Oui, seulement un oui. Oui neutre ou oui pas, Oui un peu, oui pas beaucoup ? Papillon s'envolant en nuée, ailes sombre mordorée décrivant des trajectoire désordonnées, gracieuse illustration. Le oui répondant à une question posée antérieurement, et nos question s'étant télescopées en chemin sans que je n’eus trouver le temps de répondre, car il faut dire que le jeune homme lunatique répondit alors avant moi. Ce qui, réflexion faite, ne me parait finalement pas un exploit, si l'on prends en compte mon temps d'adaptation, d'ingestion de la question posée avant que je ne réponde. Vous venez de poser une question, veuillez patienter pendant le chargement de la mise à jour permettant à cet être courge de répondre, à votre question. Je répondis donc également, de la réponse la plus alambiquée et nébuleuse que mon encéphale ai pu me souffler à ce moment la : - Oui. Tout à coup, l'homme face à moi s'agita, son ombre bougeant sur les murs à cause de l’atmosphère, de la lumière surtout, tamisée de la pièce. Il me prit le bras comme si j'étais un fétu de paille, pittoresque poupée, et bien que mes cheveux puissent me donner l'air assez bourrus pour que appellation paille me soit donné, je vous détrompent, c'est bien de la matière organique là-haut. Me trainant hors des dortoirs, il s'exclama soudainement, comme seule explication : - Dépêche-toi un peu, nous avons à faire ! Et comme tes téléportations ne possèdent pas de géolocalisation, nous irons à pied ! Gardant le rythme de la course comme je pouvais, évitant de bêtement perdre l'équilibre, je répondais : - Eh ! La géolocalisation dans les téléportations, c'est un un concept idéaliste, presque utopiste ! Mais les téléportations foireuse, là, ça devient de l'absurde, de l'abstrait ! ... Marchant précipitamment, le jeune homme m'entrainant... Ou déjà ? - Eeeeuh... On va où comme ça au juste ? Hismé ?!... Une autre question de la plus haute importance me traversant la tête, procrastination étant le maitre mot et semblant nous faire à nouveau l'honneur de sa présence en mon encéphale, je m'exclamais : - C'est quand qu'on arrive ? Hisméria avait une idée derrière la tête ... - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Dim 13 Avr 2014 - 16:54 | ||
Invité | N’ayant pas compris pourquoi ma réponse était aussi sèche, j’ai bien remarqué que l’entité devant moi cherchait à tout prix à se venger. Le regard luisant tel un papillon en train de crever sur une lampe électrique, la demoiselle était à l’affut d’une de mes questions. D’une bonté inégalée, je me suis laissé tenter par son petit jeu afin de voir ce que celle-ci serait en mesure de me répondre. En aucun cas je m’attendais à une réaction rancunière et primitive. Non vraiment, cela ne faisait pas partie de ses habitudes. Cette magnifique succession de mots étaient à la hauteur et totalement en accord avec mes attentes. Je vous délivre ici l’ampleur et la beauté de sa réplique : - Oui. Avant que je n’aie le temps de me moquer de sa rancœur, j’étais déjà partie en courant dans mon idée à toute allure. Et ce n’est pas qu’une stylistique, croyez moi ; Ma cadence était tellement élevée que l’adolescente ressemblait à une vieille locomotive en manque de charbon. Tout en luttant pour apporter une quantité d’air stœchiométrique afin d’éviter une crise d’asthme digne d’un nénuphar enragé, Cendre réussit à prononcer dans un élan de folie qui aurait pu la mener à sa perte les paroles suivantes : - Eh ! La géolocalisation dans les téléportations, c'est un un concept idéaliste, presque utopiste ! Mais les téléportations foireuse, là, ça devient de l'absurde, de l'abstrait ! ... Hisméria un petit sourire aux lèvres pris le temps de méditer sa réflexions. Apres tout, avoir le mort d’un petit éclaire pas encore tout à fait au point sur sa conscience, c’est un coup à se taper la fureur de Zeus ça ! Cependant, l’homme ne put s’empêcher d’ajouter : - Ouais, ou dit plutôt que ta maîtrise de tes pouvoirs n’étant pas encore tout à fait correctement réglé, tu fais passer ça pour de l’absurde ! Mais en effet, tes points d’atterrissages sont vraiment abstraits. D’autres qualificatifs qui t’iraient à la merveille : danger ambulant ou déambulant ! Réflexion faite, à part faire tourner une pièce de monnaie sur sois même, je peux parler moi et mes pouvoirs d’une grande utilité. Mais sérieusement, de toutes les possibilités sur terre, il a fallu que j’obtienne des capacités dignes d’un joueur de cirque. Quoi que, si un jour je souhaite me recycler, je sais quoi faire.. Apres 3857 Km parcourt à force de leur pied, mais surtout grâce aux bonnes orientations du voleur, nos aventurier était bel et bien perdu dans les dédales des sombres couloirs de Terrae. Nos deux guerriers commencèrent à paniquer : La plus petite des deux, d’une voix nasillarde ne put s’empêcher de prononcer : - Eeeeuh... On va où comme ça au juste ? Hismé ?!... Tiens, tu veux faire dans l’abstrait, on va s’amuser un peu. Hisméria d’une voix mystérieuse répondit : - Mais, si tu ne sais pas où tu vas, n'importe quelle route peut t'y mener ! Sans que Cendre n’ait le temps de réagir, l’homme reprit : - Nous n’avons pas le temps de dire au revoir, nous sommes en retard, en retard ! Cendre d’un air d’espéré commença à trainer comme pour marquer son désaccord. Puis la demoiselle s’exclama : - C'est quand qu'on arrive ? Hisméria d’un air moqueur ne put s’empêcher de répondre : - Surement jamais ! Tu n’as pas faim au moins ? Non très de plaisanterie nous voilà ! Les deux amis se retrouvèrent face à la porte du grand château de Zangdar, alias les portes de la salle d’entrainement. Mais à quoi peut bien penser Hismé ? Nous le serons dans un prochain épisode ! | |
| ## Dim 20 Avr 2014 - 14:23 | ||
Cendre De Lune Messages : 265 Date d'inscription : 13/02/2013 Age : 26 Emploi/loisirs : Chuis féniante, y parait... Humeur : Moi ? De bonne humeur ? C'est surement la pleine lune ! | Ce n'est pas que l'homme lunatique commença à me sortir de nébuleuse réplique tout droit sortie d'un lapin blanc en costume bleu et paillettes, montre à gousset par dessus le marché, quelle dandy !... Lapin surement un tant soit peu hyperactif ou non moins relativement stressé. Mais j'avais presque l'impression que notre course folle était sans fin, puisque l'on allait nul part, ou plutôt, ne savions pas où nous allions -Lui même l'avait dit. Une impression latente d'être une jeune fille blonde aux belles boucles et aux imposants bas bleutées volant en maintes volants de dentelles, une chute sans fin au milieu d'étrange monde. Sauf que je suis brune, dans un uniforme digne du plus mauvais des Shojo, version Cendre est dans ledit uniforme, gare, et que je ne tombe pas dans un tunnel sans fin, non, ce serait trop facile !... Parce que quand tu tombe, tu n'as rien à faire, et la procrastinatrice dans l'âme que je suis me hurle que je ne suis donc pas en train de tombé mais en train de courir, entrainé par ce cher Hisméria, qui s'est présenté comme étant un lapin albinos et dandy. Et stressé. On aurait donc retrouvé le lapin de Pâques ?... Trêve de plaisanterie, mais courir ainsi n'est plus de mon âge. Enfin, ne l'est plus depuis que j'ai découvert les téléportation. Qui sont foireuse, on ne sait jamais vraiment où l'on va mais au moins, on y est vite et il n'y a même pas besoin de courir pour y arriver. En théorie général, du moins. Hisméria eu l'air sarcastique quand il me répondit que : - Surement jamais ! Tu n’as pas faim au moins ? Jouant un jeu pour le moins puéril, puisque le but est de jouer celui d'un enfant - Le mot est donc bien trouvé, je renchérissais : - Il faaaaaut que je faaaaasse pipiiiiii... C'est quand qu'on arriiiive ?... Hisméria, ne se laissant pas décontenancé par ma piètre si ce n'est fort pitoyable imitation, - Non très de plaisanterie nous voilà ! Je reconnaissais aisément la porte qui se dressait à présent devant nous pour la simple et bonne raison que je m'étais téléporté devant malencontreusement des milliers et des milliers de fois. La salle d'entrainement. C'est donc ça que le jeune lunatique avait en tête ? Mais... On avait quitté les dortoirs, je pouvais l'envisager, que l'on allais s'entrainer, il aurait peut être fallu évacuer la salle avant non ?... Quoique par cette heure, il ne dû pas y avoir grand monde, mais nom d'un pachyderme malingre, Hisméria essaie peut être de me faire passer un message caché, après tout... « Non non, toi qui t'entraine dans un dortoir, c'est un peu comme... Un papillon fou devant une ampoule ! ... C'est beaucoup trop dangereux ! Il y a des novices à traumatiser, les pauvres, ils vont regretté d'avoir mis leur baskets à Terrae !... Et les murs ne sont pas ignifugés, à leur plus grand malheur... » Bon, bien qu'il soit plus probable que l'homme lunatique n’eut pas utiliser une comparaison dans le plus grand art hétérocèrien, l'idée me semblait digne de son encéphale tortueux, si ce n'est un tant soit peu moqueur. Sans autre forme de procès ou ne serait-ce qu'une quelconque cérémonie, j'ouvrais la lourde porte et pénétrais dans la salle d'entrainement. - Et bien ! Je te laisse l'honneur d'ouvrir le bal, Hisméria ? J'amène ma main devant moi, comme si je tenais un globe, bien que je sois plus que surement trop flemmarde pour avoir un quelconque fantasme mégalomane. Un courant électrique, fines éclairs dorées, se mit à danser en crépitant sur ma main. - Alors ? Montre moi ce que tu sais faire, Homme Lunatique !... Parfois, je me pose trop de questions, mais souvent, pas assez. Il faudrait qu'un jour, procrastination me lache l'encéphale et cesse de s'y agripper désespérément pour que je trouve un juste milieu. - - *･゜ﾟ･*:.｡..｡.:*･'(*ﾟ▽ﾟ*)'･*:.｡. .｡.:*･゜ﾟ･*
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| ## Dim 20 Avr 2014 - 15:57 | ||
Invité | Cette fois j’ai compris, pour maitriser pleinement nos dons, il faut avant toute chose les développer en compagnie de personne jouant le rôle de catalyseur. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que cette adolescente puérile et complètement à l’ouest est mon activeur. Se pourrait-il qu’une seule personne possède cette capacité d’entraide ? Je n’avais jamais ressentie ça auparavant, mais depuis que je me situe dans la même pièce qu’elle, mes forces se décuplent, c’est incroyable. Il faut que j’en aie le cœur net. - Et bien ! Je te laisse l'honneur d'ouvrir le bal, Hisméria ? Hisméria baissa la tête et repris la parole : - Je suis désolé Cendre de ce qui va suivre, mais sinon, nous n’avancerons jamais… Ses cheveux commencèrent à s’agiter, et pouvait maintenant de nouveau apercevoir la large cicatrice sur son œil gauche. Hisméria se concentra sur lui-même et se mis à trembler si fort que son corps semblait interagir avec petite molécules l’entourant. L’homme se rappela avec précision le sentiment qu’il avait ressenti dans l’arène. Cette tristesse heureuse coulant dans ses veines. Ce tourbillons de folie grandissant, à tel point qu’il était impossible de l’arrêter. Son expression de visage changea brutalement jusqu’à qu'il soit complètement assombri. Comme si les ténèbres ne faisait plus qu’un avec ce qui le constitue. Corps et esprits s’alignèrent, formant une alchimie parfaite. Ca y est-il était prêt. Cuiseuse, l’adolescente ne comprenait pas réellement et reprit la parole : - Alors ? Montre-moi ce que tu sais faire, Homme Lunatique ! Le regard de l’homme s’assombrit, puis l’homme prononça : - Si c’est ce que tu veux. D’un geste étendu, Hisméria frappa Cendre au visage d’un coup des plus violents qu’il réussit à émettre. On pouvait ressentir au bout de ses doigts, un aléa d’ondes renforçant la portée de son coup mais surtout la vitesse et la précision de celui-ci. La demoiselle en fut propulsée par l’impact du choc. L’homme se mit à sourire et prononça avec confiance : -Alors ? Tu as devinés quel pouvait bien être mon élément ? Je t’en prie, montre moi aussi ce que tu sais faire. Il posa calmement son sac, prenant soin de ne pas abîmer son contenu puis dégaina lentement son Wakizachi. Hisméria essaya de faire le vide dans son esprit, de retrouver les sensations propres au combat. Pris au dépourvu, il ne disposait que de quelques instants pour se mettre en condition. Comme toujours, à mesure que le calme l'emplissait, le temps sembla se suspendre et l’adolescent eut l'impression familière que son esprit flottait hors de son corps, comme s'il observait la scène en spectateur intangible. Cela faisait longtemps que l’homme ne s'était pas entraîné convenablement avec son arme, et pourtant face à Cendre il lui faudrait être décisif. Pendant qu' Hisméria évaluait avec détachement la situation, plus rien n'existait que cette silhouette noire et menaçante. Celle-ci s'était presque immobilisée, comme interloquée par sa présence. Mais le répit serait de courte durée, Cendre aussi évaluaient la situation, en miroir à ses propres pensées. La jeune femme se déplaçait les jambes légèrement fléchies, le centre de gravité bas, d'une démarche souple, presque féline. Arrivés à une dizaine de pas, ils s'écartèrent l'un de l’autre soufflant chacun de leur cotés. Hisméria s’exclama de nouveau : -Et bien qu’attends-tu ? Ça marche, ses pouvoirs sont aussi décuplé que les miens. Ce n’est pas le moment de s’arrêter. | |
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