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##   Mer 23 Juil 2014 - 22:14
Katharina Taima

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Katharina Taima
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C'était très bien la dernière fois, il n'y a pas de raison que tu le dérange... Et puis on est pas obligé de rester dans sa chambre, on peut aller se promener s'il en a envie, ou manger un truc, une glace à cette saison, ça fait toujours plaisir. C'est ce dont je me persuadais tout en terminant de démêler mes cheveux - il va falloir faire quelque chose à ce sujet d'ailleurs, parce qu'ils ont sacrément pousser.

Après avoir noué ce bazar en une queue de cheval haute et enfilé mes sandales, je quittais ma chambre pour me rendre à celle de Jacques. Je ne l'avais pas revu depuis un petit moment et j'avoue qu'il faisait partie des gens que j'avais envie de revoir. Surtout que même si je ne l'avouerai que sous la torture - et encore ce n'est pas certifié - il me plait quand même pas mal... Et j'aimerais bien apprendre à mieux le connaître.

Mais pour tout dire, ça me coûte de devoir me déplacer moi, parce que je prend son absence de retour comme un message - je ne veux pas te revoir Kath, fais avec et fou moi la paix, merci ! Mais si ça se trouve, je me plante totalement, et c'est justement ce que je cherche à découvrir, car tant que je n'aurais pas de réponse, je continuerai à m'interroger... Peut-être inutilement.

Tout en croisant les doigts pour qu'il se trouve dans le seul endroit ciblé à sa présence - je vais pas galopé tout Terrae pour ses beaux yeux non plus, que je visualisais instantanément, souvenir qui me déclencha le réflexe de mordre ma lèvre inférieure. Je continuais mon chemin et remarquais que sa chambre n'était pas si loin de la mienne et ce constat ne me déplut pas tant que ça... Enfin, ça dépend encore de lui.

Bientôt arrivée à destination, j’eus la surprise de me rendre compte que j'étais plutôt impatiente et que mon ventre se nouait légèrement sous l'inquiétude qu'il ne soit pas là, ou occupé à mieux, ou contre le fait de me revoir... Bon, on va arrêter les suggestions et vérifier tout ça immédiatement. Avant de frapper, je baissais les yeux sur mon débardeur tout con rentré dans mon short en jean aux bordures filées en doutant du charme de cette tenue - je n'avais même pas pensé à me changer avant d'aller le voir. En même temps, ce n'était pas la peine, si ? Allez.  

Je toquais trois coups contre sa porte après m'être assurée pour la énième fois que c'était bien sa chambre - ce serai con de me tromper quand même. Maintenant, les secondes se transformées déjà en minutes face à ma perception faussée du temps et je fixais la surface de la porte en me reculant légèrement pour ne pas l'étouffer dès l'ouverture.

Mais qu'est ce que je fous là ? En un quart de seconde, je tournais les talons pour m'éloigner avant qu'il n'ouvre la porte - si elle s'ouvre. C'est un grand garçon, s'il voulait passer du temps avec moi il aurait, tout comme je suis en train de le faire, tout à fait été capable de venir me chercher. Je soupirais en me retournant par curiosité, encore à deux pas de "chez lui". Tu te dégonfles Kath !


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##   Jeu 24 Juil 2014 - 9:45
Jacques Duroy

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Jacques Duroy
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Certaines personnes remettent en doute le stéréotype des jolies infirmières dans les hôpitaux, comme quoi ce serait un simple fantasme de la gente masculine, légende urbaine racontée par quelques esprits tordus rendus encore plus confus par es comprimés, les antibiotiques et les calmants. Et bien à Terrae , c'est règle était confirmé, même si il semblait légitime de me demander si ma perception ne fut pas troublée par les doses de morphines que j'avais reçus. Pour autant, et malgré le charme des soignantes, je ne goûtais que très peu l'ambiance hospitalière, l'odeur de désinfectant et le râle de certains patient n'aidant pas vraiment à me mettre à l'aise. Aussi je choisi, contre l'avis du médecins qui m'avait à sa charge,de filer à l'anglaise en négociant habillement des traitement à prendre chez moi. Je m'en tirais donc avec une boîte de bandage pour ma main, un plâtre pour mon genoux et une petite dose d'anti-douleur pour m'aider à dormir et je rentrais péniblement chez moi péniblement à l'aide d'une béquille qui m'avait été gentiment prêtée.

De ma vie, jamais monter des escaliers n'avait été aussi pénible, mas je me retrouvais bien obligé à les emprunter pour regagner ma chambre. il m'avait fallut près de un quart d'heure pour parvenir à mes quartiers alors même que je me trouvais à l'intérieur du bâtiment principal de l'institut. Même les escaliers de Vertigo me paraissaient moins terribles en comparaison. Une parvenu au sommet, je pris le parti de ne plus quitter ma chambre qu'en cas d'extrême besoin et ce à quoi je m'attelais les jours qui suivirent.

Le temps se faisait long, la solitude prégnante et mon cerveau cogitait de manière intense quant à ce que j'avais vécu. J'étais en vie et je devais en être très satisfait, cela tenait du miracle ni plus ni moins, cette Master serait arrivée une minute plus tard et mon sort aurait été différent. En fait, c'est paradoxalement le sadisme de Aëlita qui m'avait sauvé, le fait qu'elle avait pris le temps de me broyer le genoux avait été un sacrifice nécessaire à ma survie. Mais maintenant que j'avais frôlé la mort, je faisais le point, sur moi, sur ma vie, sur Terrae. Et c'était ici que ma solitude rentrée en compte, je vivais pratiquement en ermite depuis un bon moment, l'essentiel de mon temps avait été consacré à la relecture d’œuvres, à de la procrastination intensive et à.... pas grand chose en fait, mon pc tournait pratiquement en permanence, jouant l'intégralité de Chopin sur qui je comptais un peu pour me tranquilliser l'esprit alors que je vivais presque dans le noir le plus complet, les rideaux tirés qui ne laissés filtré qu'une très léger trait de lumière.

Plus je repensais à ce que j'avais vécu et plus je restais circonspect, pourquoi avais-je eu ce halo de flamme, pourquoi avais-je été presque transcendé par l'énergie pour ne pas pouvoir l'utiliser, pour rester sans défense face à elle? Je ne comprenais définitivement pas ce qui m'était arrivé. au final je revenais toujours à cette même idée de miracle qu'était ma survie, cette pensée me plombait l’encéphale assez lourdement, avec un telle force que j'en frissonnais presque. J'avais vu la faucheuse de près et je ne saurais dire si cela m'avait vraiment déplu. Non pas que l'envie de voir mon palpitant cesser de s'emballer devant un jolie sourire ait en soi quelque chose de plaisant mais je goûter à la fascination devant ce pouvoir qui avait été utilisé sur moi, j'aurai aimé comprendre ce qu'elle était pour pouvoir la vaincre.... Enfin tenter désespérément de la toucher alors qu'elle me malaxe allègrement l'intégralité du corps avec je ne sais trop quelle pouvoir choisi dans sa panoplie.

Je vivotais donc dans ma chambre, vivant perpétuellement en caleçon, mon genoux m'empêchant d'enfiler un jean sans avoir envie d'hurler à la mort. Mais aujourd'hui, un petit quelque chose vint perturber mon quotidien, trois coups secs à ma porte. En un peu, je me saisissais de ma béquille et me traînais péniblement jusqu'à ma porte, lâchais un soupir et l'ouvris. Quelle ne fut pas ma surprise de croiser une paire de ravissants yeux verts qui m'avaient déjà fait chavirer une première fois et qui déjà firent faire un tour à mon estomac alors que ma gorge se nouée quasi instantanément. Je restais ainsi, sans voix, pendant un instant qui me paru une éternité avant de rougir honteusement devant ma tenue. Puis me vint à l'esprit tout ce que j'aurai dû faire plutôt que de me concentrer sur ma tentative involontaire de suicide. Aller la voir, l'inviter à sortir, la connaitre. Je me trouvais à la fois con et coi avant de finalement lancer:

" Salut Kath.... ça faisait longtemps... Je suis désolé de la tenue je n'attendais personne...Je..." Je bredouillais péniblement, devais-je m'excuser, devais-je inventer quelque chose vu? Que faire? " Mais je t'en pris rentre et fais comme j'ai toi, je suppose que l'on a un tas de chose à se raconter depuis que l'on s'est quitté au restaurant. "

Ou l'inviter à rentrer pour gagner du temps dans ma chambre en bordel. Bien joué cerveau.


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##   Jeu 24 Juil 2014 - 12:35
Katharina Taima

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Je m'arrêtais net en voyant que la porte était ouverte, fauchée dans mon élan. Le simple fait de croiser son regard d'un bleu si prononcé que ses iris semblaient briller sur son visage me fit l'effet d'une bombe et je regrettais encore plus d'être venue, pour me retrouver face à quelqu'un qui retenait beaucoup trop mon attention pour mon bien. Le silence pesa encore quelques secondes avant qu'il ne se décide à faire ce dont je n'étais pas encore capable ; parler.

Non mais je suis ridicule ! Me tournant face à lui, je retrouvais mon aplomb que lui seul était capable de me faire perdre aussi facilement, pour enfin faire glisser mes yeux sur lui et découvrir... Qu'il était à moitié nu. Par respect, je détournais le regard pour ne pas plus le gêner et je constatais un rougissement sur son visage qui me fit encore regarder ailleurs. Pourtant, je n'avais pas perdu une miette du spectacle et par là j'entendais aussi bien son corps que les témoignages de blessures parsemées ici et là.

Comment s'était-il fait ça ? Ou peut-être qui ? Depuis combien de temps ? Pas assez de temps pour qu'il soit guérit en tout cas. Je fus interrompu dans mes questionnement par sa voix et je levais les yeux sur son visage, yeux que j'avais rediriger sur chacun de ses bandages durant mes réflexions. Je le transperçais d'un regard fixe qui ne laissait rien transparaître de mes émotions. Il semblait désolé et surtout mal assuré... Sa barbe de trois jours témoignait de la possibilité qu'il soit resté à croupir chez lui depuis quelques temps.

Pourtant, je n'avais pu m'empêcher, en le voyant dans cette tenue de penser qu'il pouvait être... Occupé avec quelqu'un. Mais ses blessures ne lui permettrai surement pas de pratiquer ce genre d'activité... Et de toute façon il ne m'inviterai pas à entrer. Je lançais un regard au couloir et songeais que je ferais mieux de faire ce qu'il me dit, avant que tous les élèves de l’École ait eu le temps de le reluquer. Tout en me mordant la lèvre, je reposais les yeux sur lui avant d'inspirer pour prendre la parole :

- Ce n'est pas grave répondis-je en haussant une épaule.


Pas la peine de le mettre mal à l'aise, de toute façon il n'est pas le premier que je vois dans cette tenue.

- Tu es sur ? Je ne veux pas te déranger... avouais-je, surtout prête à m'enfuir malgré ma curiosité concernant ses blessures et son air penaud.


J'attendis en redressant un peu le menton, me rendant compte à quel point il parvenait à me "dompter"... Sans rien faire.



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##   Jeu 24 Juil 2014 - 15:09
Jacques Duroy

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Jacques Duroy
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Il me semblait que malgré elle, ou pas, elle me reluquait un peu, ce dont je ne lui tenais pas rigueur bien au contraire j'appréciais cette chance  de plaire à une demoiselle comme elle. Je lui servais un sourire gêné avant de prendre le plus discrètement possible cette liberté. Elle n'avait pas changé et par là j'entends qu'elle était toujours aussi agréable au regard, je m'arrêtais sur ses yeux, toujours aussi verts, toujours aussi différents l'un de l'autre, toujours aussi beaux.

En fait, je crois qu'avec en regard comme ça, son charme et sa voix si plaisante à mon oreille elle pourrait obtenir de moi à peu près ce qu'elle veut. J'aurai été près à retourner me battre contre Aëlita immédiatement si elle me l'avait demander et ce sans même réfléchir. Les femmes me perdront je l'ai toujours dit. Cette femme avait de quoi me perdre.

Elle avait toujours ce coté un peu distant, cette façon de cacher ses pensées et qui m'empêcher  de savoir comment réagir à l'avance avec un méthode toute faite. Son haussement d'épaules le prouvait bien. Une demoiselle avec un sacré caractère, rien de plus plaisant à fréquenter, en effet je trouvais que ce trait moral servait bien les jolies demoiselles.

Et pourtant elle se souciait de mon confort, craignant de me déranger par sa visite, qui au contraire me faisait le plus grand plaisir et le plus grand bien, sortir un peu de la solitude m'aiderait probablement à me rétablir. Aussi je lui souriais gentiment avant de lui répondre.

" ce n'est pas tout les jours que je peux me vanter d'avoir quelqu'un avec un si charmant minois qui vient frapper à ma porte, ne serait-ce que pour rendre mes voisin jaloux, ce serait un argument suffisant pour te faire entrer... Puis... c'est aussi un plaisir de te voir."

Oui, j'appréciais sa compagnie et alors? Je me sentais bien en sa présence même si sur e coup, entre la surprise et ma tenue actuelle je me trouvais un peu mal à l'aise, cela n'en restait pas moins agréable d'avoir un interlocuteur qui n'essaie pas de te tuer que cela soit avec des pouvoirs infernaux ou des seringues stériles. Non sans rire, ces infirmières étaient tarées, belles mais tarées.

Sans autre forme de procès je titubais vers elle, lui pris la main la guidais tant bien que mal vers l'intérieur pour l'installer sur mon fauteuil pendant que j'attrapais un T-shirt après quoi je me tournais vers elle.

" Je te sers un verre? Soft ou alcoolisé? Remarque je n'ai pas la moindre idée de l'heure qu'il est... probablement un peu tôt pour un truc fort...."

Oui, je meuble.


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##   Ven 25 Juil 2014 - 0:38
Katharina Taima

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Un sourire en coin se dessina sur mes lèvres lorsqu'il parla de "charmant minois". Mouais, à d'autre, je connais son numéro et je ne suis surement pas la seule à bénéficier de son attitude dragueuse. Si tant est qu'il cherche à me séduire. Pourtant, je ne pus me retenir de lui lancer un sourire à demi conquit tandis qu'il abordait un certain plaisir à me revoir. Yes !

Lorsqu'il s'avança vers moi, j'eus un court moment de recul surprit - il sort à moitié à poil ?! - puis je le suivis à l'intérieur de sa chambre sans autre forme de procès, appréciant - honteusement - sa proximité. Je m'étais déjà retrouvée dans ce genre de situation et j'avoue que je ne m'attendais pas à mieux, mais après s'être embrassés auparavant je m'étais questionné sur le fait ; va-t-il se reproduire la même chose à peine aurais-je revu son visage ou cela n'arrivera-t-il plus jamais ?

Il m'installa dans son fauteuil et je posais mon coude sur le bras de mon siège en jetant quelques regards voulus discrets à son dos encore nu avant qu'il ne le recouvre d'un T-shirt. Jacques se tourna vers moi et je levais le visage vers lui avec l'air d'attendre on ne sait quoi. Dis donc, je n'étais pas très bavarde, tu parles d'une forte tête, je devais plus avoir l'air neuneu qu'autre chose. Heureusement que lui n'était pas comme ça.

Je pris le temps de peser le pour et le contre - ça me décoincerai peut-être un peu - mais finalement, un sourire malicieux fendit mes lèvres et je me penchais légèrement vers lui d'un air mi provoquant mi taquin :

- Tu serais prêt à servir de l'alcool à une mineur ? Bah bravo ! m'amusais-je avant de me renfoncer dans le fauteuil.


Je haussais ensuite très légèrement un sourcil :

- Il est bientôt 15h Jacques l'informais-je, un peu intrigué de savoir depuis quand il avait perdu la notion du temps à ce point.


Pourtant, je ne perdais pas le nord et je baissais les yeux sur... Plus bas Kath' ! Sur donc son genou plâtré avant de lui lancer un regard indescritible :

- On se sert et tu me racontes ce qui t'es arrivé ?... proposais-je doucement.


D'ailleurs, je comptais l'aider à attraper quoique ce soit, car il était évident qu'il peinait plus que moi à se déplacer.


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##   Ven 25 Juil 2014 - 11:25
Jacques Duroy

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Je répondais à sa boutade par un charmant sourire sans pour autant me retenir de surenchérir un peu dans le domaine, sinon il n'y aurait pas de jeu.

" Où avais-je la tête? Par chance, je suis paré à toutes éventualités et dispose donc d'un ensemble de jus de fruit et même de légumes dans mon frigo. Jus d'orge et de houblon fermenté et gazéifié ça te vas?"

Joignant les gestes à la parole, je me dirigeais vers le conteneur désigné plus tôt pour en sortir deux bières et quelques jus de fruits des fois qu'elle aurait eu envies de quelques choses de plus rafraîchissant. L'action se révélait plus compliquée que prévue, étant privé d'une jambe, mon équilibre restait précaire et je devait souvent m'aider d'une main pour prendre après ici ou là pour me déplacer. Mais tant bien que mal je parvins à déposer le tout sur ma table basse et pu sortir deux verres et enfin m'asseoir sur ma chaise de bureau et prendre le temps de regarder Kath, bloquant un petit peu sur ses lèvres que j'avais déjà eu la chance de goûter. Tout était allé bien vite la dernière fois sans que je puisse avoir la moindre chance de maîtriser la situation, ce qui n'avait pas été pour me déplaire.

Mon cerveau flancha un peu quand elle m'annonça l'heure, je m'étais réveillé au maximum un heure plus tôt et avais songer à retourner me coucher mais apparemment les médicaments m'avaient complètement décalé dans mon rythme de vie.

" C'est fou ça, j'aurai parié qu'on était encore en fin de matinée. Bah j'ai tellement dormi à l'hôpital que j'ai dû prendre de mauvaise habitudes sans trop m'en rendre compte."

La proposition qu'elle me fit tenait d'avantage, selon moi d'un impératif pour elle que d'une simple question. En même je pouvais tout à fait comprendre cela, j'aurai fait la même chose dans la situation inverse et probablement crié au scandale parce qu'on avait fait du mal à un si ravissante jeune femme.... Serais-je un peu superficielle par moment? Probablement. Je lui souriais tranquillement avant de répondre:

" Tu sais, c'est rien de bien grave, j'ai juste passé une semaine un peu un peu agité, en même temps une semaine normal ici est toujours un peu périlleuse, les gens passent pas mal de temps à se battre et à s’entraîner pour mieux maîtriser leurs pouvoirs, donc je suppose que je suis le premier à se blesser."

Je n'avais pas vraiment envie de parler de mon expérience en temps que mannequin d'entrainement pour l'avatar, disons que mon ego, mon amour propre et ma psyché ne s'en était pas complètement remis. Je n'aimais pas trop avoir à lui mentir mais c'était pour le mieux, vraiment. Je reprenais en riant et en détournant le plus que possible le sujet de moi.

" Et toi sinon? Qu'à tu fais de beau depuis notre petite ballade? D'autres charmants jeunes hommes ont ils cédé devant ton charme? Peut-être à tu entrepris de constituer un harem et tu es venu m'y ajouter? Si c'est le cas, je serai ravis de faire parti de ta sélection à condition que tu me réserves une place de choix. Faut bien se créer une bonne condition de vie n'est-ce pas?"

Merde j'ai oublié le décapsuleur pour les bières. je me redressais péniblement pour aller à sa recherche en attendant sa réponse, espérant un peu qu'il n'y ait eu que moi.


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##   Sam 26 Juil 2014 - 1:40
Katharina Taima

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Son sourire... J'avais oublié. J'éclatais de rire en l'entendant puis je me levais pour venir l'aider.

- Avec plaisir, merci souris-je.


Je le laissais attraper les verres puisque je ne me permettrai pas de me servir dans sa chambre mais je l'aidais à apporter les bières et les jus de fruit sur sa table basse en vérifiant qu'il ne peinait pas trop. Ça n'avait pas l'air évident pour lui mais je ne me faisais pas trop de soucis...

Quoique. Fin de matinée hein ? En fait, il est plus atteint que je ne le pensais. Je fronçais les sourcils à la mention de l'hôpital puis je me penchais pour attraper une bouteille de jus multi-fruit, l'air ailleurs. Je remplis mon verre du breuvage avant de lever légèrement la bouteille pour lui proposer de lui en servir aussi. Je me renfonçais ensuite dans mon siège et j'attendis qu'il assouvisse mon besoin de savoir comment il s'était retrouvé aussi mal en point dans un endroit aussi protégé.

Il enclencha le sourire de celui qui cherche à te rassurer car il est prêt à t'entuber et je me mis donc immédiatement sur mes gardes. Au final, je n'appris absolument rien sur la potentielle gravité de ses blessures comme sur la situation les ayant provoquer, sans compter que j'étais dans cette École depuis à peu près autant de temps que lui et que je n'avais jamais encore dû passer du temps à l'hôpital ou même à l'infirmerie.

C'était d'autant plus inquiétant qu'il me cache ce qui lui avait causé ce genre de traumatismes physique, à moins que ce ne soit qu'une simple chute honteuse et que je me fasse tout un film. Mais j'avais pour habitude de me fier à mon instinct et généralement ce dernier ne me trompait pas. Je commençais à mordiller ma lèvre inférieure pour en retirer les petites peaux avant de soupirer :

- Je respecte que tu n'ai pas envie d'en parler dis-je simplement pour signaler que je n'étais pas dupe.


Je ne le forcerai pas à dire ce qu'il n'a pas envie de divulguer, il a droit à sa vie privée. Malgré mon air devenu fermé, il réussit à me dérider avec son humour sachant toujours atteindre son but chez moi et je souris largement, de plus en plus amusée en l'écoutant parler. Il s'était levé et comme j'avais compris ce qu'il cherchait à faire, avant qu'il n'ai eu le temps de s'éloigner de son siège je m'approchais de lui et lui pris la bière des mains avant de la décapsuler habilement à l'aide de mon briquet, un petit sourire en coin accroché aux lèvres.

Nos visages étaient tout près et j'en profitais pour le transpercer de mon regard éclaircit par le soleil généreux à cette saison. Il était beau, surtout de près, même si il ne faisait pas aussi entretenu qu'à notre première rencontre - je lui pardonnais largement ce détail, quand on a des yeux pareils, on peut même avoir une dent en moins. Mes traits retrouvèrent cependant leur sérieux et je répondis seulement à sa dernière question :

- Pour l'instant tu n'as pas l'air sur la bonne voix soufflais-je sans le quitter du regard.


Sa proximité m'attirait comme un aimant et je ne m'étais même pas rendue compte que je m'étais rapprochée. Mais puisque je respectais son silence... Je me reculais afin de retourner m'asseoir puis je croisais les jambes et m'accoudais au bras du fauteuil une nouvelle fois, verre fraichement récupéré de sur la table basse entre les doigts. Il fait comme il veut, mais je vais le surveiller de prêt - c'est plus fort que moi.

Après m'être perdue quelques secondes dans mon jus de fruit, je repris mes esprits et je relevais le visage vers Jacques avant de sortir mon paquet de cigarettes :

- Je peux ?... interrogeais-je avant de piocher une indus' dans son paquet tout neuf.


Inutile de la sortir pour rien. Je dégageais une mèche de cheveu de ma main libre puis je souris légèrement :

- Désolée si ton fantasme était de faire parti d'un harem, parce que dans ce cas je ne suis pas la personne qu'il te faut plaisantais-je. Mais toi, tu as au final peut-être été victime d'une horde de fan hystérique... ? supposais-je avec un air malicieux.


Dernière allusion à ses blessures après promit j'arrête !


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##   Sam 26 Juil 2014 - 5:33
Jacques Duroy

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L'aide que Kath m'avait apporté pour les divers transport de boisson blessait un peu mon ego de mâle, c'était idiot mais j'aimais à me savoir indépendant et là justement je pêchais pas mal de ce coté là, les opérations les plus simples étaient devenues périlleuses pour l'estropié que j'étais.

Elle avait fronçais les sourcils alors que je mentionnais mon passage à l'hôpital et je pressentais déjà que mon semi mensonge ne ferait pas long. Je ne fus pas déçu car elle exprima ouvertement que je lui caché la vérité, me l'annonçant avec un air neutre et dégagé qu'elle prenais. Pris sur le fait je baissais les yeux et m'en voulait déjà un peu, ayant peur de l'avoir froissée. C'était la dernière chose que je voulais que de me la mettre à dos à cause de ça.

Cependant mes facéties eurent tôt fait de transformer sa moue neutre pour un sourire agréable et doux, je lâchais d'ailleurs un soupire intérieurs de soulagement, pensant la question évacuée. Je fus moi-même rapidement détourné de la question alors qu'elle s'approchait de moi pour ouvrir ma bière, elle profité d'ailleurs de cette proximité naissante pour planter son regard qui m'envoûta, absorbais par son regard je cessais un instant de penser, je faillis me rapprocher pour déposer un baiser sur ses lèvres mais me retint , après avoir tenté de la mener en bateau, c'était probablement mal venu. Elle prit même le temps de répondre à ma question/boutade avec une mine sérieuse dont j'avais du mal à mesurer la portée, était-elle en colère, vexée ou alors mon idiotie était elle tombée à plat? Je ne savais que penser.

Elle finit par mettre fin à notre proximité, me laissant avec un espèce de crise épilepsie cardiaque. Oui, mon palpitant avait décidé de battre n'importe comment sans raison évidente. Après tout ce n'était pas la première que je partagé un rapprochement de ce genre avec un demoiselle. Cela ne faisait aucun sens.

Sans répondre à sa question verbalement, j'attrapais de là où je me trouvais le cendrier qui trônait sur mon bureau, déjà bien remplie par mes journée inactive et le posais entre nous avant de moi-même sortir un cigarette. Je l'allumais du bout du doigt alors qu'elle relançait la question de ma blessure, lançant l'improbable hypothèse d'un horde de fan. Je me mordis discrètement l'intérieur de la joue en cogitant sur la réponse à lui faire. Ce n'était si simple et je ne me sentais pas prêt à répondre spontanément, risquant de lui vendre un autre mensonge par habitude.

Au bout d'un instant que je passas à contempler ma bière, je finis par prendre la décision d'étancher sa curiosité dans le domaine. Je me promettais de répondre à toutes ses questions mais n'avancerais pas moi-même les détails.

" Je sais pas si tu as entendu parler de l'Avatar, un femme aux cheveux auburn qui sème le chaos dans l'institut ici et là. En vérité, j'ai croisé sa route et j'ai fini dans un état plus pitoyable, le genoux broyé, les médecins m'assurent que je devrais pouvoir marcher normalement à nouveau mais qu'il faudrait que je fasse attention à ne pas trop forcer au début, malgré leurs dons, ils sont seulement guérisseurs pas champions de puzzles et du coup il faudra un peu de temps avant que tout se remette en place convenablement et qu'ils puissent ressouder les os brisés convenablement. Ils m'ont également demander de ménager ma chance et de ne pas combattre ou faire de choses un peu risquer, apparemment l'un d'entre eux m'aurait vu m'évader du premier étages des salles de cours durant l'hiver en plongeant dans la neige pour échapper à un poursuivant mal intentionné. Bref je suis au repos forcé pour une durée indéterminé. "

Je gardais l'histoire de Livy pour moi, j'ai déjà emmerdé trop de monde avec ça. Je posais mes yeux sur elle mais évitais de croiser le sien avant de tirer un taf sur ma cigarette et de reprendre:

" Pardon d'avoir essayer de te faire avaler des couleuvres, je veux juste déranger le moins de monde possible avec mes problèmes."

Et voilà que je me la jouais victime, bravo Jacques si tu veux paraître pitoyable c'est comme ça qu'il faut faire.

" Tu veux que j’éclaircisse d'avantage ou ce résumé te convient?""


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##   Sam 26 Juil 2014 - 15:40
Katharina Taima

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Je l'observais déposer le cendrier entre nous et avec un petit air satisfait, j'allumais ma cigarette. Il avait l'air de réfléchir à ce que je lui balançais depuis tout à l'heure. Je ne l'obligeais pas à me parler, il le ferait s'il en avait envie, point. Durant le court silence installé, je suivis les vagues formées par la fumée de ma cigarette et avalais une gorgée de jus de fruits. Finalement, Jacques se décida à reprendre la parole et je braquais les yeux sur lui, ne voulant pas perdre une miette de son explication.

Mon visage se décomposa en l'entendant avant que je ne me reprenne et dissimule le moindre de mes tourments derrière un masque neutre. Pourtant, mon regard devait en dire long. J'étais horrifiée de ce qui lui était arrivé et l'envie de l'aider dépassait toute raison - et comment ?... Voilà. Inconsciemment, je ramenais sa souffrance physique à la mienne en mettant la main tenant ma cigarette à hauteur de mon visage avant de caresser du bout du pouce la cicatrice sur le bord de ma lèvre. Je pouvais le comprendre mieux qu'il ne l'imaginait. Du moins son séjour à l'hôpital, car pour le reste, notre expérience était bien éloignée dans les faits.

Il ne me regardait pas. Cette attitude me fit regretter d'avoir insister sur le sujet - il est clair qu'il n'était pas vraiment près à en parler avec détachement. Je tirais une latte sur ma cigarette puis je cessais de regarder le genou de Jacques pour suivre les traits de son visage. Cet Avatar m'était inconnu mais j'en avais effectivement était informée - je ne pensais pas qu'elle représentait un réel danger. Je ne me permis pas de lui demander pourquoi elle lui avait fait ça, parce que je ne voulais pas lui raviver trop de mauvais souvenirs - un jour peut-être.

En attendant, je tirais une puissante bouffée de fumée pour contrôler les émotions qui se bousculaient en moi. Si je croise la route de cette bonne femme, je lui rend la pareil et avec les intérêts. J'étais peut-être naïve de penser avoir une chance contre une femme ayant été capable de maltraiter un homme aussi facilement mais j'avais suffisamment confiance en moi pour vouloir lutter contre elle et ses problèmes mentaux évidents...

Lorsque Jacques reprit la parole, je me mordis la lèvre et je secouais la tête immédiatement :

- C'est plutôt à moi de m'excuser, je te demande pardon d'avoir raviver... Ce souvenir, je n'imaginais pas ça avouais-je, encore un peu sous le choc de cette révélation.


Et moi qui nous croyais en sécurité. J'avais envie de lui témoigner un geste affectif mais je ne savais pas trop comment m'y prendre et je ne voulais pas qu'il croit que j'ai pitié de lui, car ce n'était pas du tout le cas. J'étais juste révoltée.

- En tout cas, tu ne me dérangeras jamais Jacques... confiais-je sans le regarder.


Bonjour, j'ai 14 ans. Je levais donc les yeux vers lui pour le regarder intensément avant de me redresser un peu, comme soudain mal à l'aise de ma révélation. Hum :

- Ne t'en fais pas, je ne vais pas t'obliger à en dire plus le rassurais-je doucement.


J'écrasais ma cigarette dans le cendrier avec un peu trop de force puis je me renfonçais dans le fauteuil. Y'a vraiment des malade partout... Mais il n'aura pas à en parler plus longtemps.

- Et donc... Depuis tout ce temps tu te balades en slip dans les couloirs ? essayais-je de plaisanter en prenant un air taquin.


Ca passe ou ça casse.


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##   Dim 27 Juil 2014 - 4:38
Jacques Duroy

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Mon récit qu'elle écouta avec attention sembla l'affecter car elle pris soin de dissimuler ses réactions après avoir laissé paraître quelque chose comme de la stupéfaction ou je ne sais quoi. Si mon récit la mettais dans cette état alors je pouvais être heureux qu'elle ne m'ait pas vu alors que j'arrivais à l'hôpital. Elle avait porté sa une main à ses lèvres, effleurant des doigts sa cicatrices. Elle devait tenter d'imaginer ce que j'avais ressenti, moi même je pensais nouveau à la douleur, au son, à la vue mais aussi à la sensation étrange que j'avais eu, j'avais pratiquement été amputé sur le coup.Je frissonnais un peu en y repensant et chassais très vite cela de mes pensées. Elle s'excusa d'avoir insister, ce à quoi je répondis par un simple haussement d'épaules.

Ce qui me surpris un peu plus fut ce qu'elle me dit, je ne la dérangerai jamais... Mis à part le fait que je trouvais qu'elle s'avançait bien vite sur ce terrain là, je ne pus m'empêcher de trouver cela mignon, ce que je pris parti de garder pour moi, elle m'en voudrais le lui faire remarquer, n'empêche que ça restait adorable de sa part, s'empressant ensuite de me rassurer, elle ne poserait pas d'avantage de questions pour le moment. Je devais avouer que cela me soulageais quelque peu, je n'avait pas de bobard tout prêt à être servi pour me justifier. Je savais déjà que le jour où elle me posera la question, ma réponse me vaudra probablement d'être traité d'abruti fini ou quelque chose du même genre.

Je me demandes bien d'où elle sortait tant de sympathie pour moi, c'est vrai, je ne suis pas du genre à aisément m'attirer la sympathie des filles avec qui j'avais flirté mais allez savoir pourquoi, elle était différente. Plus forte, plus intuitive, plus belle que beaucoup aussi bien entendu. Je songeais à opérer un rapprochement alors qu'elle se foutait allègrement de ma gueule avec un humour qui jurait un peu avec la tournure que la conversation avait suivie, cependant je trouvais cela agréable et je prenais également le parti de participer à ce changement de ton à ma façon. Je ne répondais pas immédiatement, écrasais ma cigarette à mon tour et me redressais pour m'approcher du fauteuil , me penchant vers elle en m'appuyant sur le dossier. C'est à quelque centimètres de son visage, plantant mes yeux dans les siens, que je murmurais c'est mots:

" C'est simplement un privilège que je te fais jolie minois."

Enfin un privilège qui est aussi dû au fait qu'il me faut cinq bonne minutes pour enfiler un pantalon, mais je pêchais par omission sur ce détail là.


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##   Dim 27 Juil 2014 - 20:10
Katharina Taima

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Oups, on dirait bien que ça casse. Son absence de réaction me donna envie de me cacher - il est gentil au moins, il préfère ignorer ce que je viens de dire, comme ça on tourne la page sur cette note d'humour désastreuse. Pourtant, j'avais l'habitude de réagir avec humour à propos des situations un chouille dramatique - oui parce que je ne vais pas essayer de rigoler avec une veuve mère de 3 enfants dont le mari est décédé trancher en morceau par un psychopathe - d'ailleurs, je ne trouverai franchement rien à dire de drôle.

Mais on dirait bien que ce n'était déjà pas drôle maintenant. Jacques se leva et vint vers moi. Je le suivis du regard très intriguée. Il va me demander de sortir pour cette blague ? Mais en plus, la réponse m'intéresse ! Tandis qu'il se penchait vers moi, je m'enfonçais dans mon siège jusqu'à avoir le dos appuyé contre le dossier, tout ceci sans détourner les yeux des siens. Qu'est ce qu'il me veut ?...

Un sourire en coin fendit mes lèvres en l'entendant et je levais les sourcils avec un côté provocateur avant d'approcher un peu plus mon visage du siens, loin d'être intimidée. Qu'il ne joue pas trop avec mes nerfs parce que je suis prête à bondir :

- Ah oui ? Je devrais en profiter alors soufflais-je en baissant les yeux sur ses lèvres.


J’humectais les miennes avant de relever le regard vers le siens. Je ne savais pas exactement ce que j'avais envie qu'il se passe donc je le laissais total maître de la situation. En fait, je ne devrais pas le laisser totalement maître de la situation... Parce qu'en s'étant vu si peu de fois, j'éprouvais déjà une attirance qui me faisait craindre la suite des événements. Parce que je n'avais pas l'habitude de ne pas être distante avec les gens que je connaissais à peine et que je n'aimais pas être comme j'étais à présent...

Ou peut-être qu'à l'inverse, ça faisait partie des choses que j'appréciais lorsque j'étais en présence de Jacques. C'était peut-être pour ça que mon rythme cardiaque venait de légèrement s'emballait et que j'inspirai son odeur, un mélange de cigarette et d'une autre flagrance plus masculine.

Je tournais la tête pour me libérer de son emprise et je restais sans bouger quelques secondes, comme si je revenais soudain à moi. La tension entre nous était toujours palpable, du moins de mon côté et je poussais un faible soupir, comme pour reprendre mon souffle. S'il me veut, il n'a qu'à venir me chercher.


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##   Lun 28 Juil 2014 - 3:26
Jacques Duroy

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En réponse à la proximité que je venais. Je pouvais sentir son souffle, son odeur, je pouvais me noyer dans ses yeux, ce dont je ne me privais pas. J'aimais vraiment beaucoup ses yeux, je ne savais pas trop ce qu'ils avaient de particulier, mais leur couleur, la forme qu'ils avaient et ce que je pensais y lire, tout me plaisait. J'avais très envie de franchir le peu de distance qui nous séparait et les mots qu'elle prononça ne firent qu'exalter d'avantage ce désir. Mais comme le disait le grand sage, la meilleur partie d'un voyage n'est pas la destination mais le trajet en lui même, aussi je prenais mon temps et la laissé cogiter tranquillement alors que je la contemplais.

Je voyais cette petite cicatrices sur ses lèvres, je distinguais clairement la nuance de vert qui différait d'un œil à l'autre, ses tâches de rousseur qui parsemaient sa beau basanée, ses lèvres charnues et désirable qui n'attendaient que moi, enfin je l'espérais en tout. J'étais comme envoûté et c'est elle qui me libéra de son charme en détournant son regard du mien, tournant la tête en échappant un soupir. Je prenais conscience de l'effet qu'elle me faisait à ce moment, là, sentant mon coeur battre au niveau de mes tempes. Je me sentais un peu en "danger" même si il n'y en avait pas. Pourtant, mon cerveau décida de prononcer des mots que j'avais pensé sans toutefois y prêter attention

" Je sais que ça peu paraître idiot mais j'ai vraiment appréciais le temps qu'on avait partagé l'autre fois et...." Je bredouillais un peu parce que ces mots n'avaient été réfléchis. Et tu... tu m'as manqué, j'aurais dû chercher à te revoir mais il s'est passé tellement de choses depuis. C'est peut-être une excuse que je m'inventes mais je comprends et je regrette maintenant que ce soit toi qui ai dû venir vers moi."

Profitant de sa position actuelle, je baissais un peu mon regard pour regarder son cou, offert malgré lui. Un instant d'hésitation et je me laissais aller à y déposer un premier baiser puis un second sur sa joue que je n'effleurais que du bout des lèvre pour ne pas violer d'avantage son intimité sans son accord. Je prenais un peu de distance avant de lui lancer:

" Tu parles beaucoup mais je trouve que tu te laisses faire, serai-je venu à bout de la féroce Katharina?"

Je lui servais en même temps un sourire de défi, attendant qu'elle tourne de nouveau son visage vers moi pour plonger mon regard dans le siens et m'enivrer une nouvelle fois dans ses yeux de sinople. Je devrais faire plus attention à elle, elle pourrait me surprendre.


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##   Lun 28 Juil 2014 - 19:07
Katharina Taima

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Je me figeais en l'entendant. Je ne m'attendais pas du tout à ça et je doute que ce soit les quelques gorgées de bière qu'il avait bu qui lui fasse perdre tous ses moyens. Il disait ça en toute connaissance de cause mais je n'osais pas tourner à nouveau le visage vers lui pour le regarder. Il avait l'air sincère et cette constatation me déstabilisait d'autant plus. Je ne savais absolument pas quoi lui dire, sans compter qu'une flopée de questions commençaient déjà à danser dans ma tête. Un ballet tout à fait agaçant.

Qu'est ce qu'il entendait par tant de choses ? Avait-il eu une relation depuis ? Ses blessures avaient clairement un lien avec ce "tant de choses" mais est ce qu'il y avait justement autre chose ? Des problèmes autres que physique ? Pourquoi toutes ces choses l'avaient empêcher de me revoir plus tôt ? Est ce qu'il disait finalement ça pour me faire comprendre qu'à partir de maintenant il ne recommencerai pas parce qu'il considérait cela comme une erreur ou tout bonnement en l'air ?

Je fus interrompu - et ce n'était pas plus mal - par sa soudaine proximité au niveau de mon cou. Mon corps se raidit au contact de ses lèvres contre la peau fine et sensible de ma gorge mais je ne pus réprimer un frisson lorsque sa bouche se posa si délicatement sur ma joue que je me demandais si c'était réel. En fait, j'avais fermé les yeux et je les rouvris brusquement. Il se recula un peu et se furent ses derniers mots qui me firent définitivement redescendre sur Terre.

Surement pas.

Lentement, je plantais mon regard dans le siens, nos visages de nouveau face à face. Il ne se rendait pas compte, mais il ne pourrait pas jouer avec le feu comme il en avait littéralement l'habitude. Je me redressais et le forçais à reculer pour pouvoir me mettre debout avant de, contre toute attente le faire pivoter gentiment afin qu'il se retrouve Lui installé dans le fauteuil. Le dominant de toute ma hauteur, je me penchais et m'appuyais aux accoudoirs afin que nous reprenions la même position qu'auparavant, à la différence que cette fois c'était moi qui aurait le dessus, dans tous les sens du terme.

Mon expression était à mi chemin entre l'agacement et la satisfaction et je me penchais encore un peu pour que ma bouche frôle son oreille :

- Évite de trop tourner autour du pot avec moi, tu devrais savoir que je ne suis pas contre la subtilité mais que je m'ennuie très vite face à l'imprécision chuchotais-je d'un ton direct.


S'il me défit encore je vais devoir lui illustrer mes intentions. Je me reculais juste assez pour que nos nez soient presque en contact et je gardais les yeux baissés sur ses lèvres, appréciant le jeu mit en place. Il faut avoir le temps de désirer presque jusqu'à l'insoutenable pour réellement apprécier d'obtenir.


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##   Lun 28 Juil 2014 - 22:53
Jacques Duroy

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Je pensais avoir senti un léger frisson parcourir sa peau mais je n'avais pour ainsi dire aucune certitude, le jeu se poursuivait de lui même sans que je ne cherche à éclaircir cette question. Elle commençait elle aussi à prendre part au jeu... ou pas, l'espace d'un instant, son air changea, principalement en réponse à mon défi. L'avais-je vexée? J'avais du mal à lire le regard qu'elle me lançait à cet instant là.

Je fus un peu surpris alors qu'elle m'écarta un peu pour se redresser et me faire prendre sa place. Mon fauteuil devenait un autel et moi une offrande pour Katharina, du moins c'est un peu l'impressions que cela me faisait. Ma provocation avait en fait été très effective et j'en étais plutôt fier. Pendant que je jubilais intérieurement, la belle se penchait à mon oreille et en somme me défia à mon propre jeu après quoi elle se recula sans rien dire, laissant si peut d'espace entre nos deux visage qu'une feuille l'aurait mille fois comblé.

Et cette distance, encore, je faillis la franchir pour jeter à ses lèvres, je frôlais de nouveau de céder à la tentation que cette demoiselle était si habille à manipuler. Un ange passa et moi je buguais, mesmérisé par Kath. Je finis par me reprendre et lui offrit mon sourire le plus ravageur, et le plus travaillé aussi avant de répondre:

" Imprécision? Donc tu pars du principe que je n'avais rien prévu de ce qui se passe maintenant quand je t'ai provoqué. Est-ce que tu maîtrises maintenant ce qui se passe. C'est ce que tu vas te demander."

Non, je n'étais absolument pas en train de faire de la suggestion mentale pour la provoquer d'avantage, c'est une odieuse calomnie que voilà.

Je profitais du moment où je parlais pour passer ma main sur sa joue, testant une nouvelle fois la douceur de sa peau. Si elle ne craquait pas maintenant, j'allais perdre à ce jeu et me jeter à son cou, j'en étais intimement persuadé.


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##   Mar 29 Juil 2014 - 0:18
Katharina Taima

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Mon regard obnubilé par ses lèvres ne fut pas déçu lorsqu'il rencontra son sourire à tomber à la renverse et j'inspirais profondément après m'être rendu compte que j'avais cessé de respirer durant un instant. Pas de doutes, cette homme bouscule tous mes principes de domination - il était trop craquant pour Mon propre bien.

Finalement, un immense sourire fendit mes propres lèvres et je me reculais un peu pour avoir le loisir de le regarder droit dans les yeux. Ses petites provocations ne faisaient mouche seulement parce que je le décidais et non parce que je manquais réellement de contrôle. Mais il n'avait tout faux que sur ce point et je m'empressais donc de rectifier ses dires, non sans un petit sourire amusé à l'appui :

- Non, je te parle de l'imprécision sur ce que tu voulais qu'il se passe maintenant, autrement dit sur les raisons qui te poussent à me provoquer. Mais visiblement tu m'a répondu souris-je en me reculant un peu plus.

Il ne pouvait pas nier qu'il ressentait également une forte attirance pour moi, ce serai ridicule maintenant qu'il venait de le prouver en exprimant clairement ses intentions, comme je venais de le lui recommander. Il pense que je ne maîtrise pas ce qu'il se passe et ce fait me tira un nouveau sourire, plus séducteur :

- Pourquoi est ce que tu penses que j'ai envie de me maîtriser soufflais-je en descendant mes mains des accoudoirs à ses cuisses.


Je m'appuyais à présent sur ces dernières, sans réduire notre proximité. Je ne voulais pas être celle qui craquerait en premier, j'avais déjà fait le premier pas de venir, à lui de faire le reste... Mais qu'est ce que j'en avais envie.


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