## Mar 3 Mai 2016 - 1:00 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Gros soupir, il ne répond pas tout de suite. Il passe sa main son t-shirt, laissant découvrir un peu son ventre... Il ne songe pas au fait qu'il découvre un tout petit peu la cicatrice de sa hanche gauche. Il ne pensait plus à ses cicatrices en fait, sauf quand il se regardait dans le miroir, ce qui était rare. Il tapote sa côte un tout petit peu douloureuse, mais il devine qu'il n'aura pas de bleu. Il sourit légèrement alors laissant tomber sa main. : -Ça va, rien de cassé. Et puis la suite... La suite. Cette recette quoi. Il avait du mal lui même à comprendre pourquoi il avait réagi comme ça... au point de se casser la margoulette à la moindre branche qui dépasse. Dah ! Il est beau le Loup ; animal gracile de nos forêts, il se déplace dans les bois et... OH MON DIEU UNE RACINE ! Il se fatiguait tout seul. Il était sur le point de faire la moue face à sa propre calamité mais Ipiu passe sa main sur le bout de son nez. Il ne s'y attendait pas alors il sursaute un peu tout en louchant. Un faible rire lui échappe alors qu'il frotte machinalement sa nuque. Ouais, ils parlaient de ça à la base... Des difficultés de la vie, des murs qu'on se prend en pleine face et du coup, du temps que ça lui avait pris pour ne plus avoir peur des contacts, ne restait que de vieux réflexes de recul. C'était la recette. Du sel à mettre sur les plaies ouvertes. Il prend une grande inspiration durant laquelle il tente de se convaincre qu'il devait essayer, qu'il n'y perdrait rien et gagnerait peut-être quelque chose, que ce n'était qu'un essai et que ça ne risquait pas de paraître sur les pages du journal de Terrae, qu'il avait fait tant de choses nouvelles depuis qu'il était arrivé ici. : -Oui. Oh ben merde c'était facile. Facile et simple... Peut-être un peu trop simple d'ailleurs, il devrait peut-être étoffer sa pensée parce qu'on ne dit pas "oui" comme ça de but en blanc. : -J'veux dire... J'vais essayer. Bon il risquait d'y mettre un peu de temps le connaissant, et puis il avait des devoirs aussi, et puis le reste, une mission arrivait apparemment, il ne savait même pas encore quand... Bref beaucoup d'incertitudes, mais il avait accepté quitte à rougir jusqu'aux oreilles. [HRP : Je suis désolé, me tape pas, j'ai voulu répondre, pardon T^T !... Et puis justement, c'est sa mère qui l'appelait "tartignole" comme il était maladroit quand il était petit, mais il s'en souvient à peine x) !] #666699
|
## Mar 3 Mai 2016 - 8:41 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! |
“- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Mar 3 Mai 2016 - 10:52 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Il savait même pas que ça se disait, "attendre avec patience"... Mais du coup, il était content de l'entendre. il se voyait mal gérer un délai déjà qu'il savait qu'il allait se mettre la pression tout seul. Mais là, il se décida à ne pas y penser tout de suite. Ce serait con d'y réfléchir un peu trop maintenant, de laisser tomber alors qu'il avait fait un pas en avant... D'ailleurs en parlant de pas en avant... Il fouilla ses poches un instant, d'où il sortit un mouchoir de tissu immaculé dans lequel était pris des épingles à nourrisses, des élastiques et un bout de bandage... Il tassa ce dernier au fond de sa poche avant de ramasser ce qui avait pu tomber quand Ipiu fit la remarque qu'il allait peut-être pleuvoir... : -Naaaaaaaan... maugréa-t-il en levant la tête. Rah la guigne... Bon. On va faire vite dans le doute. Il fit un signe à Ipiu lui indiquant qu'elle devait s'accrocher à son cou avant de la soulever légèrement, juste le temps de placer ses jambes devant elle, dans une position plus naturelle que celle dans laquelle elle se trouvait jusque là. Il passa son mouchoir sur la jupe un peu salie et sur les jambes où de la terre se trouvait. C'était un geste naturel chez lui, il songea après coup qu'elle aurait peut-être voulu faire ça elle-même... Il avait tellement pris soin de sa mère tout seul qu'il oubliait parfois que les gens étaient capables. Il mord alors sa lèvre inférieure en lui tendant son mouchoir. : -Tiens, je te laisse faire, excuse-moi. Tu peux le garder j'en ai d'autres. Il regarda de nouveau le ciel puis le pull d'Ipiu. C'est de la laine ? Si c'était le cas, à la moindre goutte, il allait s'imbiber au lieu de la protéger de la pluie. Il passa sa main dans ses cheveux et retira son cuir pour le poser sur les épaules d'Ipiu. : -S'il pleut, explique-t-il, le temps qu'on revienne à ton fauteuil... Et je serai protégé aussi puisque tu seras sur mon dos ! Sourire. Il s'accroupit et lui tend une main. : -Prête ?... Promis cette fois je regarde où je mets les pieds ! Et puis quand on tombe de cheval, il faut remonter dessus à ce qu'il paraît, pour ne plus avoir peur... De là à le comparer à un cheval, Nico ne savait pas si ça comptait aussi sur les gens. Et puis il fallait bien rentrer à un moment hein. [HRP : XD ! Amour sur toi ♥ !] #666699
|
## Mar 3 Mai 2016 - 21:18 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! |
“- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Jeu 12 Mai 2016 - 15:50 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Cette moue qu'elle lui offre... Il ne peut s'empêcher de sourire. Nicolas ne faisait pas parti de ces gens qui aiment la pluie, mais il ne la détestait pas non plus. Elle ne fait que du bien à la terre après tout... Alors s'il pleut et qu'il a pas de parapluie, il hausse les épaules et s'en contente... Il tombe rarement malade de toute façon, mais ce n'était pas le cas de tout le monde. : -Mais tu sais la pluie c'est mouillé. ...Moui, mais encore Sherlock ? Il remet son cuir dans un soupir, il se fatigue tout seul dis donc. : -Je veux dire... Ce serait dommage de tomber malade alors que le printemps ne fait que commencer. M'enfin, tu fais ce que tu veux darling. Grand sourire. Il sait pas ce qu'il y a de drôle dans ce qu'il vient de dire, mais ça le fait rire à l'intérieur. C'est ce qui compte nan ? Il voit le regard qu'elle donne à ses jambes. Pourtant, bien qu'elle soit ainsi, il savait qu'elle ne manquait pas de ressource... Bon elle pourrait pas le porter et se traîner jusqu'au fauteuil risquait de lui faire les bras, mais il ne s'inquiétait pas de ça... C'est plutôt le téléporteur qui les avait amené ici qui l'inquiétait. Il mord sa lèvre et regarde une dernière fois le ciel. : -'Sais pas... Peut-être... Dans le doute je préfère qu'on y aille quand même... Il s'approche d'elle et tend sa main pour qu'elle le laisse la porter... Quand elle était assise sur son fauteuil, c'était facile de la mettre sur le dos... Là, il allait devoir la porter comme une princesse... Encore. Décidément. De nouveau debout, Ipiu dans ses bras, il reprit. : -Au pire on s'occupera. Il y a peut-être moyen de faire des trucs sympas en mélangeant la pluie et l'électricité... Genre... Un rideau électrique naturel ou... hm... Il était à court d'un coup... C'est que mélanger l'eau et l'électricité n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il vira de bord dans sa réflexion... : -...ou discuter du journal de Terrae aussi ! Ou des bouquins ! C'est chouette les bouquins... Les Masters devraient penser à ça franchement. Faire des livres-conseils pour les petits nouveaux qui osent pas leur parler ou qui sont plutôt solitaires... Pour le nombre de fois où il y a songé, partager l'idée avec elle lui semblait une bonne chose. Elle était bibliothécaire ET écrivait pour le journal... Elle était la mieux placée pour ça. #666699
|
## Jeu 12 Mai 2016 - 21:05 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! |
“- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Sam 14 Mai 2016 - 13:57 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Ça lui faisait du bien d'apprendre des choses... D'abord, ça lui permettait de penser à autre chose qu'à la recette qu'il devait écrire pour Piu. Ensuite, étant Tonnerre, valait mieux bien connaître l'électricité si on voulait éviter de griller quelqu'un. : -Ouaiiis j'ai pensé après que la conductivité pouvait être un problème. Mais en admettant, avec quelqu'un qui maîtrise, ça peut faire un petit parapluie, en créant assez de frottements, faire évaporer la pluie... Ouais... Il fallait une sacré dose de maîtrise pour concentrer son pouvoir sur un seul point et ne pas laisser l'électricité vagabonder de gouttes en gouttes... Enfin, Nicolas voyait ça comme ça, il n'était même pas sûr que ce soit possible. Passé le court instant où il se demande si "camper" peut être chouette et si un jour il partirait en vacances, ses sourcils s'élèvent sur son front. Il n'était jamais sorti jusque là à Terrae lorsqu'il y avait de l'orage dehors... : -QUOI ? On fait paratonnerre ?! Il a un instant où il regarde devant lui, les yeux vides d'expression se remplissant petit à petit d'horreur... Nan mais c'est peut-être un détail pour vous mais pour lui ça veut dire beaucoup (lawl) ; on lui avait dit qu'il se maîtriserait mal au début, pas que la nature se maîtriserait pas en sa présence ! Les Masters PLEASE ! Il finit par soupirer en fermant ses paupières juste le temps d'une fraction de secondes, c'est qu'il avait encore Ipiu dans ses bras. Il fait une petite moue avant de répondre. Ce que j'y mettrais ?! Vraiment ?! : -Déjà qu'il faut pas aller camper les nuits d'orage apparemment. Son ton n'est ni mauvais, ni moqueur... Il est juste triste... Lui qui aimait tellement les orages d'été, secs et puissants, il allait devoir s'en passer. Mais après, il se mit à y réfléchir sérieusement... Il ne pensait pas être bon pédagogue, en fait, jusque là dans sa vie il n'a été bon qu'à écouter et faire ce qu'on lui disait de faire... Alors donner des conseils, même à travers un livre, il se rendit compte que c'était tout de même une sacrée responsabilité. : -Hmmm... Je pense que tout dépend du format aussi. Si c'est un simple article conseil ou un gros livre précis... Ou même plusieurs tant qu'à faire, un pour chaque affinité. L'idéal aussi, ce serait d'éviter de faire du lecteur un cas général... Genre, toujours rappeler qu'on est unique, que certaines choses peuvent marcher pour certains et pas du tout pour d'autres. Rappeler qu'on est humain en somme... Il fit une pause... Oui bon, des humains avec des pouvoirs mais des humains quand même. : -Et en préface, l'avis des Masters ! Aaron, un mot pour les Sensitifs ? puis il tente une imitation très mauvaise du prof de maths. "La vie est un zoo, adoptez Blobby le magnifique !" #666699
|
## Sam 14 Mai 2016 - 17:24 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! |
“- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Mer 18 Mai 2016 - 13:37 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Elle était passée de l'incertitude à la joie assez facilement en fait. L'idée du parapluie était si cool que ça valait la peine d'essayer même si c'était si chaud que ça à maîtriser ?... Faut croire. Dans la tête de Nico, il songea que s'il maîtrisait la résistance de l'eau à l'électricité, peut-être que maîtriser celle de l'air serait plus facile... Au moins ça le forcerait à gérer le flux de pouvoirs qui s'échappe de lui. Hm. A noter. Il allait devoir s'entraîner dans une bassine d'eau d'abord, parce que faire ça direct sous la douche il était pas certain d'en ressortir grillé. Claude François style. Hm. A supprimer. ...Ouais l'humour noir c'est pas son truc. Mais franchement, l'idée de ne plus profiter de sa météo préférée juste parce qu'il a eu le mauvais goût d'être Tonnerre lui laisse, c'est le cas de le dire, un goût amer dans la bouche. Ça faisait parti de ses rares petits plaisirs estivaux entres deux boulots... Il soupire. Sa remarque était peut-être un peu brusque maintenant qu'il y songe... : -'Scuse c'est juste... J'aime beaucoup l'orage. J'allais dehors quand il y en avait, je sais, c'est pas très intelligent. Mais il n'y avait personne dehors et puis, les bourrasques, la pluie, les éclairs,... Je m'amusais à courir et à hurler plus fort que les grondements de tonnerre. Ça me vidait et me donnait l'impression de pas lutter pour rien... Il marque une pause. : -Ouais je sais c'est débile ! Il glousse, essayant de masquer un peu sa gêne... Faut dire que ce n'est pas un hobby commun, courir après les orages. Même si techniquement, des gens en ont fait leur métier hein. C'est plus facile d'assumer qu'on aime chanter, même faux, plutôt que d'engueuler les nuages. Pourtant, avec Ipiu, il se dit que ça passe, qu'elle a du voir des choses bien plus étranges dans sa vie... D'où il sort cette info ? Beeen... Déjà elle est au courant de la provenance de Blobby... pas tout à fait légale. Elle dit pas si elle y a participé par contre... Ahah dommage ! Oui, dommage, parce que bizarrement les expériences des autres, bonnes ou mauvaises, lui faisaient chaud au cœur de les connaître. Comme si la vie avait permis aux gens qu'il aime de vivre bien plus de choses que lui. Un petit cadeau en somme. : -Ah ouais, ce fameux "bad trip"... Alors comme ça il l'a bien piqué ! Il a dit genre "pouf il était dans ma baignoire" en me demandant de pas insister... Ahah, le délinquant. Et pis de ce que je sais de Greenpeace, quand apparemment ils ont pas ce qu'ils veulent, ils font pas dans la dentelle donc ouais... Les gouttes de pluie commencent à bien tomber quand ils atteignent le fauteuil. Il la pose dedans doucement et étire ses bras... C'était quand même bien plus facile de la porter sur le dos, mais bon, ça lui fait les bras ! Il s'accroupit devant elle, s’emmitouflant dans son cuir pour protéger un minimum son t-shirt de la pluie et reprend la conversation à propos des conseils qu'on devrait donner par écrit aux petits nouveaux. : -Ou sinon carrément des reportages... Aller voir plusieurs membres d'une même affinité en faisant des roulements selon les mois et tenter de répondre à des questionnements... Ce serait plus direct et on saurait finalement quels conseils donner pour répondre au plus grand nombre tout en donnant un côté proche, humanisant quoi. #666699
|
## Jeu 19 Mai 2016 - 16:43 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! |
“- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Mer 1 Juin 2016 - 10:49 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Il soupire... Il n'aurait qu'à faire gaffe ouais, comme elle dit. Bon il le faisait déjà un peu de base, il vérifiait la distance entre lui et les éclairs, pour pas se mettre au cœur de la tempête non plus. Vu que son village était composé de 50% de personnes âgées et au moins 30% d'arbres, valait mieux faire attention où on se plaçait quand ça arrivait. Donc ouais, éviter les arbres, et si les éclairs sont trop près, s'asseoir dans un coin couvert, les jambes serrées, ou entrer dans une boutique s'il y en a d'ouvertes... La base. C'est beau le tonnerre, mais c'est dangereux... et aujourd'hui, ça l'est un peu plus pour lui, c'est juste dommage. Devenir un Tonnerre devrait être livré avec l'accessoire "résistance aux coups de jus" ! Déjà qu'il y a quelques mois il se grillait pour un rien aux poignets de portes -ce n'est plus le cas grâce à Ipiu d'ailleurs-, c'en devenait presque un comble... Comme un Eau qui se noie ou un Feu qui se brûle. Et tous les oiseaux volent dans le cieeeel~♫... Oula Nico, ta référence est trop lointaine revient. Bref, concernant le vol de Blobby, il la fixe avec un petit sourire aux lèvres, paupières légèrement plissées, s'attendant à ce qu'elle crache le morceau... Heureusement pour elle, Nico a bien du mal à chercher une confirmation à ses dires à travers les sentiments qu'elle dégage, il a encore un peu de mal à s'y retrouver là-dedans. En même temps, ce n'est pas comme une table de multiplication, pour chaque sentiment on a pas un résultat particulier ; la colère peut vouloir dire plusieurs choses, la joie aussi et alors, le summum, la crème de la crème du grand gâteau de la pléthore des significations qu'on peut donner à une émotion -aux yeux de Nico-, c'est la tristesse. Déjà ces trois-là sont chiants mais alors imaginez tout les autres ! M'enfin, il peut quand même se servir de sa tête pour savoir qu'effectivement, Blobby n'a pas été... trouvé... ou adopté de manière conventionnelle. La pluie tombe un peu plus, il regarde les nuages pour vérifier, justement, qu'il n'y a pas d'orage qui s'annonce... Mais à leur taille et à leur hauteur, il devine qu'il s'agit là que d'une grosse averse. Toujours accroupis devant Piu, n'ayant plus l'envie de se prostrer sous son cuir, l'eau aplatissait sa tignasse trop longue, à l'exception de cette unique mèche rebelle, même trempée, au sommet de son crâne... Ses cheveux devant se planquant désagréablement sur son front, il les ramena en arrière où, avec l'eau, il ne bougèrent plus. Ipiu reprend pendant ce court laps de temps, leur discussion sur un article qui pourrait aider les initiés... Peut-être même les novices quand il y songe, ou du moins les rassurer. : -Ouais c'est bien mieux j'trouve ! J'avais pas pensé à l'attente qu'il pourrait y avoir entre chaque affinité... Leur Téléporteur n'avait pas l'air de revenir... Soit il n'était pas encore "rechargé", soit il ne captait pas qu'il pleuvait... Bon il y avait aussi l'option du "j'en ai rien à carrer" mais Nicolas essayait de croire un peu en l'humanité cette fois. : -Pourquoi tu as décidé d'écrire pour le journal de Terrae ? Il était vraiment curieux... Que Huo prenne des photos et qu'il les poste après était... logique ?... il avait pas le mot pour ça, mais c'était le premier qui venait. Pas qu'il pensait pas que ce soit logique qu'Ipiu écrive, mais c'était autre chose ; il ne savait pas grand chose d'elle, sinon qu'il pouvait avoir des conversations sur tout et n'importe quoi avec elle, de Doctor Who à ses pouvoirs, de cours de psycho à comment forcer un cadenas. Elle semblait tellement pleine de ressources et d'idées qu'il en venait à se demander comment elle avait pu se blesser et se retrouver dans un fauteuil roulant. Pourquoi écrire ? Pour s'occuper ? Pour laisser une trace ? Pour savoir qu'elle peut faire autant de choses qu'avant ?... Il se voyait mal poser autant de questions aussi intimes à ses yeux, alors il concentrait un peu tout dans la même... Pour mieux connaître cette femme qui l'aide à apprendre, à comprendre. #666699
|
## Sam 4 Juin 2016 - 19:44 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! | « Heureusement que tu ne penses pas à tout, sinon j’n’aurais plus rien à faire au journal ! » Bin ouai quoi. Tu cherches encore ta place dans ce monde que déjà on veut te la piquer. Tu rigoles avec humour, parce qu’au fond n’importe qui pourrait prendre ta place, encore faudrait-il le vouloir. Passer des heures à relire des articles et à en corriger l’orthographe et ou la forme. Savoir dire à quelqu’un que non, ce n’était pas assez bon pour être publié, ou que vous ne faisiez pas du slutshaming aussi. Certes vous aviez des articles sur l’actualité et les personnes vivant à Terrae mais tu veillais au grain pour que cela reste bon enfant. Tu acceptais l’humour plus facilement que les règlements de comptes. En fait fallait accepter d’être la censure quand on créait un journal… Tu te rassurais (ou pas d’ailleurs) en te disant qu’il existait aujourd’hui bien assez de réseaux sociaux pour que les gens lavent leur linge sale en public ! Sa seconde question te prend un peu au dépourvu, c’est lointain maintenant. Qu’est-ce qui a motivé ton acte. Certes tu avais déjà noté ce manque de communication sur les évènements qui se produisaient à Terrae, si on ne se rendait pas au panneau d’affichage on n’apprenait RIEN, on ne savait rien. Tu chasses une mèche humide que le vent a poussé trop près de tes yeux, tes cheveux inégaux s’échappant de tes tresses. « C’est parce que j’ai rencontré Huo. » Et c’était exact, si tu ne l’avais pas rencontré tu aurais sans doute mis bien plus longtemps à te lancer ainsi dans la rédaction du journal de l’école. C’était quelque chose que tu lui devais autant qu’il te devait, un projet dans lequel vous vous étiez tous les deux poussés vers l’avant, vous donnant l’élant nécessaire pour réussir. « Je n’aime pas vraiment partager mes textes car je n’ai pas vraiment de talent pour raconter les choses. Pour tout te dire je pense que mon style littéraire naturel se rapproche du mode d’emploi, c'est clair précis mais ça manque cruellement de vie, mais j’y travaille. Quand j'l'ai rencontré, j’me suis dite qu’avec ses photos peu importait. Puis c’est vachement chouette de fournir un média aux élèves pour s’exprimer ! Fallait bien que quelqu’un lance la machine. » Le ciel semble avoir craqué et les goutes éparses sont devenues si proches qu’il vous était à présent impossible de couper à travers. En l’espace de quelques instants tu as la sensation d’être douchée, d’abord tu trouves ça désagréable de devoir chasser l’eau qui coule dans tes yeux d’un revers de main. Un torrent se forme sous ton menton et dégouline dans l’entrebâillement d’une chemise que tu avais laissé ouverte. Ton pull et ta jupe par ailleurs ne tardent pas à être mouillés de la même façon. Loin de la petite pluie que tu avais prévue, tu te retrouvais trempes. Tes fringues collaient ta peau en une désagréable sensation. Tu n’avais pour une fois pas tout prévu, tu aurais pu le prévoir tout de même non ? Ce n’était peut-être pas ta première préoccupation. Quelque part dans ta tête t’avais juste envie de t’amuser. C’était ainsi que tu voyais tes entrainements avec tes amis, de grands jeux. Qu’était devenue l’adulte responsable ? Celle qui était capable de se questionner pendant des semaines pour prévoir toutes les éventualités d’une sortie scolaire ? Aujourd’hui tu n’avais même pas pensé à t’armer d’un salutaire parapluie ou bien même à regarder avec plus de précisions que cela le temps qui se préparait. C’était bien triste d’ailleurs, vous voilà trempés en quelques instants. Seulement, aujourd’hui tu t’en fous. T’en as eu marre de te ronger les sangs et t’as décidé que tu voulais juste VIVRE BORDEL DE MERDE. Sans te retenir, et surtout sans t’excuser PUTAIN. Et puis tu regardes la tête de chien mouillé de ton jeune camarade et tu commences à rire. C’est trop drôle, à vous regarder on pourrait croire que vous veniez de plonger dans une rivière. Sérieusement, là maintenant… Mais quelle tronche… Quelle tronche ! T’avais rien prévu de tout ça et tu commences follement à l’apprécier. « J’crois que j’adore notre sortie ! C'est agréable tu ne trouves pas ? Tu n’as pas trop froid ça va ? » “- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Ven 10 Juin 2016 - 15:45 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Nicolas s'arrêta. Totalement. Arrêt total du cerveau quand il prend une inspiration indignée. : -Dis pas de bêtises ! Comment tu veux que je prenne ta place ?! Je ne sais même pas ...! Il s'interrompit en levant la main devant lui, comme s'il disait "Nan, j'ai rien dit. Oublie."... S'il y avait de l'ironie à saisir, il ne le fit que maintenant. Et puis s'il lui disait qu'il considérait ne pas savoir écrire, il allait peut-être se recevoir une gomme invisible dans la tronche... ou en recevoir un jour sans se rappeler pourquoi, au détour d'une visite à la bibliothèque. Il ne comptait pas lui dire non plus qu'il voyait mal quelqu'un la remplacer ou même simplement vouloir la remplacer. Irremplaçable... Les gens étaient irremplaçables. Ipiu était unique et irremplaçable. Tout ça n'avait de sens que si c'était elle qui le faisait, d'un côté. Il n'arrivait pas à savoir d'où lui venait cette certitude mais cela se confirma quand elle lui dit que c'était grâce à Huo. Attentif comme toujours aux mots qu'elle utilisait, il était fasciné par cette impression de paix qu'ils venaient de créer. Une petite bulle chaleureuse qui luttait à peine contre la force de la pluie qui les entourait et les trempait de la tête aux pieds. Un petit havre au creux de la tempête. Un instant en suspens dans le tumulte de la vie. Dans ces moments où il était tranquille, où il n'était plus autant sur ses gardes et que chaque muscle de son corps tout entier se détendaient, il se sentait vieux. Pas vieux de la vie -à quinze ans quand même-, abîmé par le temps et les épreuves. Vieux de cœur, fatigué de lui-même, se rendant compte de toutes la souffrance physique et mentale qu'il s'imposait à être toujours alerte. Il fermait les yeux alors, posant son menton sur les genoux d'Ipiu à sa portée et il soupirait doucement... Ses sens qui jusque là captaient les éclats des gouttes d'eau sur les feuilles ou le sol, différenciait l'odeur de l'eau stagnante de l'étang et celle vive qui tombait du ciel, ce que voyait ses yeux devant, ce qu'entendait ses oreilles derrière, s'étouffèrent. Petit à petit, ses traits s'adoucirent alors qu'il n'était plus que conscient de la voix d'Ipiu. Elle travaillait sur ses écrits, pour y mettre de la vie disait-elle. Elle y arriverait, il en était sûr. Il releva la tête en rouvrant les yeux et lui sourit. Dans cette bulle de paix, il avait l'impression qu'il n'avait pas besoin de mots pour lui dire qu'il était certain qu'elle allait y arriver et que, bien qu'il l'a connaisse à peine, il serait fier d'elle. Il n'avait aucune idée de s'il utilisait ses pouvoirs de sensitif à ce moment et très franchement, il s'en foutait un peu. C'était calme et apaisant, sans rien d'autre que la voix d'Ipiu et la plénitude qu'il ressentait. Elle rit, apparemment, de la tête qu'il doit avoir sous la pluie... Les cheveux trempés, tout plats à l'exception de cette mèche derrière. Nouveau baume au cœur, nouveau sourire. Elle commençait à apprécier la sortie et Nicolas était immensément d'accord. : -C'est vrai, ça fait du bien. dit-il en levant la tête vers le ciel. Elle m'a manqué je crois... Et non je n'ai pas froid, je l'ai connue dans des humeurs plus sombres. Il parlait du temps comme d'une vieille amie capricieuse. Il se leva et recula, ouvrant sa bouche vers le ciel pour y accueillir des gouttes, les mains encore un peu brûlée en avant. Étrange réflexe enfantin. Ses paupières se contractaient chaque fois qu'elle étaient percutées par une goutte pas décidée à l'hydrater... Il pouffa puis ramena ses mains à son visage pour le frotter. On se lave des soucis et des humeurs négatives, bien qu'à cet instant, il n'en ressentait plus. Il croit se souvenir que petit, avec son père, il faisait des concours de celui qui attrapait le plus de pluie dans sa bouche... Concours sans jury qui finissait par se transformer en une danse étrange, un adulte et un gamin en train de se jeter un peu partout pour attraper la pluie. Il resserra son cuir contre lui, plus dans l'idée d'effacer cette réminiscence de souvenir qu'il voulait à tout prix oublier que pour se protéger du froid qu'il ne ressentait pas. : -Et si la pluie, le sort, Le vent, la nuit, dehors... Le mot tremblant qu'on ne sait plus croire. Puisque les absents à nos mémoires. Parce qu'avec le temps va, Tout, dit-il, tout s'en va, Nos camarades, nos beaux espoirs. Puisque la triste ironie du miroir. Aux malins qui parlent haut. Aux oubliés privés de mots... Il battit des paupières en montant dans les aigus, se rendant soudain compte qu'il chantait quelque chose dont il n'avait aucune idée d'où ça pouvait lui venir... et devant Ipiu. : -Euuuuh... ses yeux se tapèrent un petit "droite-gauche" confus avant qu'il ne réussisse à trouver un nouveau sujet de conversation. Sinon qu'est-ce qu'une charmante demoiselle fait dehors sous la pluie ? Fail. AAAAAAAH MAIS JE ME HAIIIIIS ! #666699
|
## Lun 13 Juin 2016 - 19:04 | ||
Ipiu Raspberry Messages : 3720 Date d'inscription : 11/07/2013 Age : 28 Emploi/loisirs : Euh... Ecrire ? Humeur : Vous connaissez le syndrome de la cocotte minute ? Bah voilà. sous pression et prête à exploser ! | Sourire mi-figue, mi-raisin, alors que Nicolas panique de mes propos. Je sais bien qu’il ne veut pas prendre ma place, et qu’au fond personne n’en a tellement envie. Aaron me l’a dit, mon rôle de bibliothécaire a l’air chiant… Enfin, ennuyeux. J’imagine qu’être celle qui met en page le journal ne fait pas plus envie. J’écris encore quelques articles, mais j’me leurre pas, quand nous aurons assez de reporters je n’aurais plus qu’à gérer la mise en page du journal, et peut être à donner mon avis parfois. Pas plus. Je ne suis pas remplaçable car personne n’aurait envie de me remplacer, ni plus ni moins. Ça me convient. J’lui souris à mon habitude m’amusant de sa gêne. Il est vraiment trop mignon quand il ne sait plus où se mettre. J’crois que la tête qu’il fait dans ce moments là me donne envie de le taquiner encore plus. C’est peut-être un peu méchant dans le fond, espiègle sans nul doute, mais je me dis en cet instant que ce serait bien si j’pouvais encore l’embêter comme ça un moment. J’aimerais que les choses arrêtent de changer sans cesse, parce qu’un instant j’me dis que je pourrais vraiment me faire à ce genre de vie paisible et joyeuse. Ce genre de vie auquel je ne pensais pas avoir droit il y a peu. Les choses changent, et c’est tant mieux. L’immobilité est le propre de la mort. Le ciel dégouline et malgré le tumulte des éléments c’est une scène très douce qui se déroule ici. A cent milles lieues de ce qui fut mon quotidien jusqu’ici. Il a quoi ce môme ? Quinze piges pour cinquante trois kilos ? Pas grand-chose à foutre dans la balance et pourtant ces instants là avec lui ils comptent. Il parle de la pluie comme si elle était une amie de longue date sans que cela ne me semble plus étrange que ça. Le fait qu’elle lui ait manqué non plus, l’eau est vectrice de vie. Seuls les idiots se plaignent de la pluie, elle permet l’agriculture, certes quand elle est trop forte elle détruit aussi. Aujourd’hui elle coule sur nous nous transissant de froid autant qu’elle échauffe nos cœurs. Il se met à chanter de sa voix juvénile. En vrai c’est un gamin, pourtant il y a autre chose. Une maturée déconcertante, un truc qui parfois te donne envie d’lui dire que la vie aurait pas du l’faire grandir si vite. Sauf qu’il a pas eu l’choix, ça se sent. Dans son attitude. P’t’être qu’être sensitive m’aide à capter ce genre de détails, et p’t’être pas. Peut-être que c’est écrit sur les traits de son visage, la courbe de ses épaules et la tension qui s’y lit parfois. C’est d’autant plus notable alors que j’le vois se laisser aller pour la première fois. J’vois ce qu’il aurait pu être si la vie s’en était pas mêlée, ne l’avait pas rendu craintif sous ses coups… Et j’me demande avec un pincement au cœur, est-ce que moi aussi un jour je serais un de ces coups ? J’ai jamais été quelqu’un de stable, loin de là. Et cette amitié, saurais-je la protéger ? Tu es responsable de ceux que tu as apprivoisés. Mais si on ne tente pas, on ne saura jamais non ? Je me mords la lèvre pour ne pas rire et ajouter à son embarras ce qui est d’autant plus difficile quand il me regarde avec cet air confus. Désolée chéri, mais là tu cherches… Je vais plus pouvoir me retenir de t’embêter, un grand sourire étire le coin de mes lèvres alors que l’amusement gagne l’intégralité de mes traits : « Je suis venue écouter un concert, j'étais loin de me douter que le chanteur ferait la danse de la pluie ! » “- A qui la nuit fait-elle peur ? - A ceux qui attendent le jour pour voir.” ― Pierre Bottero, Ellana |
## Lun 13 Juin 2016 - 21:05 | ||
Nicolas L.L. Williams Messages : 1919 Date d'inscription : 16/09/2015 Age : 30 Humeur : Oui. | Elle a envie de rire... Non mais ça se voit ET ça se sent. Mais sa réponse et la joie qui envahit ses traits le fait sourire... Bah. Il fait un mouvement type capillaire genre "L’Oréal je le vaux bien" et pris une longue inspiration. : -Ne sous-estime pas le pouvouaaaaaar de ma vouAH ! J'ai même pas besoin de danser ! Je chante faux et paf ! Le Déluge 2 : le retour de l'Apocaslip ! Soudain droit comme un chanteur d'opéra, il remplit un maximum ses poumons pour sortir la même note qu'il entendait dans l'une de ses chansons préférées (cette note : là). La dernière fois qu'il l'avait fait, il pleurait, devant la tombe d'Oldie, il était rempli de colère et de chagrin... Ce qu'il n'avait pas là, en le faisant devant Ipiu, ce qui fait qu'il ne chantait pas si faux que ça, à sa plus grande surprise. Il s'arrêta et porta la main à sa gorge... Oh ben merde, j'aurais voulu le faire que j'y serais pas arrivé. Il pinça ses lèvres tout en donnant un regard rond à Ipiu, comme s'il avait fait une bêtise... Et l'averse s'estompa petit à petit. : -Heh ? Il regarda le ciel, les nuages se dissipaient, laissant des rayons de soleil toucher la terre, faisant briller les gouttes d'eau s'étant accrochées aux feuilles. L'averse n'était plus que bruine. : -Hey mais reviens salaud !!! lâche-t-il en brandissant son poing vers le ciel. Les éléments sont contre moi ou quoi ! Le temps a complètement foiré ma vanne ! Il baissa les bras en soupirant... Vraiment. C'était pas cool. Bon, il y avait quelque chose de bon peut-être... Si le Téléporteur n'était pas revenu jusque là parce qu'il avait pas envie de se mouiller, il allait peut-être apparaître, c't'enfoiré. A moins qu'il ne les ait oublié... Et là. C'est le drame. Tin tin tiiiiiiin ! Il secoua la tête comme un chien mouillé pour détremper un peu sa tignasse. Autant vous dire que cela ne servi strictement à RIEN. Sinon à lui donner un air de tête d'algues. : -Au fait, dit-il en essayant de dégager les grosses mèches de son champ de vision, tu chantes toi ? #666699
|
## | ||
Contenu sponsorisé |
|
|