Notre histoire commence bien étrangement. je parcourais alors les couloirs de l'institut à la recherche de quelque à faire pour m'aérer l'esprit quand en passant devant les classes je voyais sortir en courant monsieur Yamamoto. Il me fixait, comme si il avait vu un messie et rentre dans la salle de cours en me faisant signe de le suivre. Je passais le pas de la porte. Il y avait une petite classe, à peine une dizaine d'élèves, surement les changement du à l'éclipse continuait de perturber nombre de personne... J'avais confirmation quand le professeur encore jeune m'implorait de le remplacer le temps qu'il conduise un enfant à l'infirmerie.
J'avais à peine ouvert la bouche qu'il partait déjà.

J'étais bien embêter, j’entrais dans la salle, ma fidèle veste sur le dos et ma casquette sur le crâne. Je regardais les neuf enfant, y reconnaissant al petite Alyssa, je lui souriais et me tournais vers le tableau d’ardoise derrière moi.


"Eh bien... je suis votre professeur... Pour les deux prochaines heures ont dirait." Je déclarais. "Je m'appelle Akkiko, Akkiko Tomoaki."

Je voyais que le programme aujourd'hui était sur la rébellion de Satsuma. Ah oui, le baroud d'honneur des samouraï. J'avais de la chance d'avoir eu l'instruction Franco-Japonaise, les deux histoires se rencontraient à cet événement.

"Donc... Satsuma... Qu'est-ce que vous connaissez déjà de cette événement dite moi?" Je demandais aux enfants en souriant, les invitant à parler en ouvrant les bras. .

Je vois sans trop de peine que le sujet du jours est quelque peu... Obscur pour la plupart des étudiants. Bien, alors à moi de déployer des efforts d'imagination pour instiller un peu d'envie d'en savoir plus. Je m'assois sur le bureau du professeur, observe la pièce, un squelette anatomique classique, quelques balais, des feuilles et pas mal de cartes sur les murs... Hum.

"Alors, la rébellion de Satsuma... Dans vos livres il est écrit que cela commence en 1877, en janvier, mais la cause est plus ancienne que cela."

Je me dirige vers le squelette anatomique et le fait roulé sur son piédestal jusqu'à l'estrade du professeur faisant face au élève.

"Lui c'est Takamori Saïgo." Je présente le squelette. "Plusieurs année auparavant, l'empereur Meiji ouvre les frontière du Japon. Pas vraiment de son plein gré, mais l'armada d'énorme navire à vapeur de la flotte américaine lui fait peur si il refusent de les laisser commercé avec son pays."

Je prend alors l'arrière du crâne du squelette de plastique et use de ma langue maternelle sans une once d'accent tout en jouant le ventriloque.

"C'est une trahison! Les étrangers nous font perdre nos tradition et notre culture! En plus, l'empereur à refusé mon plan pour attaquer la Corée! Je vais me rebeller et montré que les samouraï sont la vrai élite militaire, plus que les paysans à qui ont offre un fusil et un uniforme!"

Je vois quelques tête qui rient. Au moins cela ne sera pas ennuyant. Je revient devant l'objet et continue l'exposé.

"Mais l'armée impériale de Meiji est gigantesque! Et les américain les aides à avoir des armes moderne! Les samouraï ont besoin d'allié! Alors qui peut les aider discrètement?" je demande à la classe.

"La chine?"


"La corée?"

"Non les enfants, la France!" Dis je en reprenant ma langue paternel. "Oui, un officier français aide les rebelle à s'entraîner, à avoir de meilleurs armes. Et quand les combats commencent, ils refusent même de revenir en France comme ont lui ordonne, car il veut soutenir ses hommes. Il finira par revenir quand la rébellion sera définitivement perdu, il se justifiera juste en prouvant qu'il ne faisait que profité des congés alloué par l'administration militaire"

Je refais joué le squelette Takamori.

"Mais l'empereur est trop puissant. Et nous perdons en une année à peine! Je préfère me faire Seppuku, un suicide rituel de mon peuple, que d'être déshonoré par des paysans."

Je me place à nouveau devant la classe. Et me tourne vers les visages un peu plus attentif à présent.


"Pourquoi Takamori à perdu d'après vous? Après tout, il avait de l'aide d'une grande puissance, et en face ce n'étaient que des paysans avec des fusils, et les rebelles en avaient aussi... Avez vous une idées?"

La question de la petite Alyssa est des plus intéressante, je suris et me sert à nouveau du squelette dans la salle, je lui met un des balais prévu pour l'entretien dans ses doigts blanchâtre de plastique, mimant le port d'un fusil. 


"Eh bien Alyssa, pour plusieurs raisons en réalité. Avant même ce conflit, les samouraï avaient déjà dû se soumettre à l'évolution des armes à feu. Les contrebandiers et rares marchands étrangers autorisé à commercé durant l'isolation du pays, avaient déjà remit des armes à feu aux japonais... Mais des armes obsolètes, vieilles. Mais même ainsi les clans qui avaient des armes de la sortent avaient prit un avantage sur le terrain faces à leurs rivaux. Et cela rendit que plus clivant le conflit de façon de penser sur les traditions japonaises entre les clans de samouraï."

Je me saisis d'un autre balais et me place face au squelette qui me sert d'assistant inanimé. Je prend la pose de garde apprise au kendo.

"En réalité, les rebelles avaient aussi appris l'usage des fusils, mais ils étaient attaché au traditions et à leurs statut de noble supérieur au reste du peuple. Mais malgré qu'à Satsuma, ils n'avaient que de vieux fusil et une poignée de canon. Ils donnèrent une belle frayeur aux hommes de l'empereur... Un fusil permet de tuer de loin, mais à l'époque, le corps à corps finissait par arrivé. Et face à des samouraï, des guerriers élevé depuis l’enfance à l'art du sabre, les premiers soldats conscrit, n'avaient aucune chance."

je fais un pas et je simule une attaque d'estoc qui perce le squelette, passante entre ses côtes.

"Les samouraï avaient encore des armures, les baïonnette ne pouvaient pas les percer aisément, mais un sabre d'acier lui découpait les uniformes de tissus et les chairs sans mal. Ce n'est qu'au prix de lourde perte que l'empereur obtint la victoire, et en sacrifiant ses premières lignes en leurs tirants dessus pour tuer aussi les samouraï.  Car une fois au contact, un soldat ne pouvait pas battre un samouraï sans être à dix contre un... Pour conclure sur la rébellion de Satsuma, c'était un groupe de noble refusant de perdre ses privilèges, écrasé par une armée plus moderne et qui elle était plus flexible sur le plan tactique."

Je range mon balais d'entraînement et me tourne vers les élèves.

"J'espère que je n'ai pas été trop dur à suivre, je ne suis pas prof mais je connais un peu d'histoire... Vous avez des questions, sur cela ou un autre événement peut être?" je demandais alors avec un sourire engageant. .

Je regarde les enfants, l'enseignement n'a jamais été mon fort. Je passe ma main dans mes cheveux avec un petit rire gêné en déclarant avec humour.


"Je ne suis pas un aussi bon professeur que le votre je pense haha!... Eh bien, il nous reste quelques minutes avant la fin du cours alors... Euh..." 


Je me creuse les méninge pour trouver une activité amusante pour les enfants, mais je n'ai malheureusement pas beaucoup eu l'occasion d'apprendre ce qu'il leurs fait plaisir. Je fais mine alors d'avoir une illumination. Je connais un petit tour de passe passe qu'un de mes anciens frère d'arme adorait faire avec les cartouches de ses camarades. Bien sûr, je vais plutôt utiliser une pièce. C'est que d'avoir de grand réflexe et une bonne vue m'être d'une certaine utilité. 



"Je vais vous faire un petit tours de magie..." Je souris et sort une pièce de 500 yen de ma poche et la fait rouler entre les doigts de ma main droite. "Je vais faire se téléporter cette pièce, sans même utiliser de pouvoir, et en plus, je suis un terre haha." 


Je me remémore le tour de passe passe en faisant sauter du pouce la pièce dans les airs avant de la rattraper, cela me donne le temps de tout me remémorer. 
Je fait a nouveau sauté la pièce en l'air et l'attrape avant de la plaqué sur ma main et de montrer mes paumes... Elle avait disparu. 


"Hum... Je dois al retrouver maintenant!" Je m'exclame. 


Je fais la comédie, faisant mine de humer l'air ou de froncer les sourcils en plissant les yeux. 
Soudain, je me penche vers la petite fille que j'avais aidé à rejoindre l’hôpital il y a quelques mois. Je fais mine de prendre quelque chose derrière son oreille en souriant et m'exclame.



"Ah j'ai eu peur qu'elle ce soit échappé pour de bon cette fois!" 


Je fais un pas en arrière et souris aux jeunes étudiants. EN réalité, rien que quelques tours de passe passe, des expression pour attiré l'attention, quelques acrobatie et de la dextérité et la pièce avait fini de la main droite à gauche sans que personne la voit..