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[+18]Mettons de l'huile sur le feu, le vent aggrave toujours les flammes
##   Jeu 26 Juin 2014 - 23:41
Archibald McLeen

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Archibald McLeen
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Aujourd'hui était un jour assez spécial. car, effectivement, Archibald allait vivre des choses tellement importantes, tellement déstabilisantes qu'il ne serait pas étonnant qu'il puisse en perde la tête, ce soir.
Que c'était-il passé aujourd'hui ?
Et bien, en premier lieu, c'est aujourd'hui qu'Archie avait décidé de quitter sa chambre, qu'il n'avait pas quitté depuis un an. Une bonne résolution me direz-vous, mais c'est en se promenant dans la cours, juste après avoir profité d'un beau soleil, d'un beau ciel, qu'il fit une rencontre des plus surprenantes, mais aussi des plus agréables. Nariwen. Bien entendu, ils jouèrent, mais ... finirent tous les deux blessés, Archie par son passé secret, et Nariwen pour ses faiblesses au niveau du contact physique, qu'elle n'avait toujours pas réglés depuis l'année dernière. Ils avaient même, apparemment empirés depuis son initiation.
Depuis, les deux jeunes se sont séparés, l'une est partie je ne sais où, et l'autre s'est assis sous un arbre, a se forger une carapace encore plus dur que celle qu'il n'avait déjà.

Cependant, ce n'était pas la fin de la journée. Nari, elle, devait sûrement être occupée à quelque chose de superficiel, comme d'habitude ( BIM :P ), mais Archie, lui, eut un appel bien plus important, qui va pratiquement tout changer dans sa vie à Terrae, et qui va très certainement provoquer quelques drôles de tours à nos deux amis.
C'est donc sous son arbre, qu'un Master l'avait appellé, on ne pouvait voir son visage, les rayons du soleil étant beaucoup trop fort piquaient les yeux encore habitués à l'ombre de sa chambre, d'Archie.
Mais pourquoi était-il appellé ? Et surtout, où est-ce que cet homme l'emmenait ?
L'endroit lui était inconnu, il ne l'avait encore jamais vu, cependant il commençait à voir d'autres personnes, qui avaient l'air très expérimentés. Archibald n'était pourtant pas impressionné, il gardait son sang-froid.
Mais, une fois presque à portée, une fois qu'il pouvait pratiquement voir nettement leurs visages, il y eut un gros flash, et un noir intense par la suite. Dans les vaps le petit homme, dans les pommes. D'un seul coup, il était tombé, à terre.
Et c'est là que s'achève tout ce que je sais, je n'ai pas connaissance de ce qu'il s'est passé pendant cette " réunion ", cependant, il est clair que ça a changé la vie de notre cher homme blanc de cheveux, puisque quelques temps plus tard, il s'était réveille dans une toute nouvelle chambre. Quelque chose avait changé, il ne se sentait d'ailleurs pas très bien.
Il fouillât donc dans la salle de bain jusqu'à trouver un thermomètre pour mesurer sa température. Quarante degrès Celsius ! Ce n'était pas normal pour un homme ordinaire, c'était même mortel, surtout qu'en plus, Archie n'avait pas si chaud, il avait même moins chaud que tout à l'heure dans la cours.
Avant de sortir de cette belle chambre, Archie c'était aspergé le visage d'eau, tentant ainsi d'abaisser la température, sans succès évidemment.

Il voguait donc dans les couloirs, sans jamais croisé personne qui pouvait l'aider dans son cas. Et c'était donc retrouvé dans les toilettes des filles, par hasard, dans un moment perdu. Il retenta de faire baisser la température en s'aspergeant d'eau, ce fut encore un echec.
Cependant, la sensation commençait à changer. Les toilettes n'avaient pas une odeur dégoûtante comparée à celles des hommes, ici, on sentait le parfum des femmes, car certaines se faisaient belles en ces lieux.
Ce parfum l’envoûtait, c'est comme si l'envie commençait à réveiller ses hormones, qui n'avaient pas fonctionnés depuis la mort de Gabrielle. Il avait maintenant comme une envie ... de charme, de séduction, et même ... Peut-être plus !
Et, bien évidemment, qui est la seule personne, la seule fille que Archibald connait ici ? Nariwen.

Le jeune homme courrait dans les couloirs, en titubant légèrement au début, encore un peu sous le choc pour tout à l'heure, et légèrement fatigué, simplement, il ne pouvait pas s'arrêter, il ne devait pas s'arrêter, l'envie était trop grande, la chasse était ouverte. La face cachée d'Archibald se dévoilé enfin, son coeur de braise repartait enfin, c'est l'heure d'ouvrir la porte. La porte d'ouvrir cette chambre, cette chambre, avec un peu de chance, dans laquelle se trouve Nariwen, LA fille joueuse, prête à tout. Il était temps de la prendre par les cornes, et de tester ses limites, de tenter de la libérer de ses lacunes au niveau du contact physique, il était tant de foncer, elle était sa flamme ce soir, il suffirait juste d'une étincelle.

C'est alors qu'il ouvrit violemment la porte, n'ayant même pas regardé si la serrure était fermée, et ne regardant pas non plus en arrière pour voir si la porte était défoncée ou pas, il ne regardait que cette fille, qui était là, devant lui, juste devant, qui l'attendait bien sagement, ou pas, qu'il allait réchauffer de sa peau, guerrir de ses atouts masculins, et chérir toute la nuit sous ces étoiles, pour finir en beauté cette journée, qui avait démarré par une douleur très intense.


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Dernière édition par Archibald McLeen le Sam 28 Juin 2014 - 23:47, édité 1 fois
##   Ven 27 Juin 2014 - 0:05
Nariwen Akikaze

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Dire que la journée de Nariwen avait été agitée était peu dire. A vrai dire, après une semaine où elle n'avait côtoyé personne, elle avait ce jour-là revu Archibald, tester ses limites au delà de ses forces et avait fait une nouvelle rencontre très intéressante : Ludmila, une autre passionnée de musique. Comme quoi, une journée pouvait être bonne mauvaise, surprenante et fatigante à la fois. Car oui, Nariwen était fatiguée, éreintée même. Elle avait joué avec ses pouvoirs toute la journée, entre la maîtrise du vent et sa voix envoûtante. Et même s'il lui semblait qu'elle maîtrisait un peu mieux les choses chaque jour, elle était toujours autant fatiguée en fin de journée. Il était donc temps d'aller dormir un peu. 
Nariwen rejoint donc patiemment sa chambre alors que la journée touchait peu à peu à sa fin. Elle allait se coucher très tôt, comme beaucoup d'autres soirs avant celui là. Mais ce qu'elle ne savait pas encore, c'est qu'elle n'allait pas avoir une nuit reposante. La jeune fille se changea, enfilant sa chemise de nuit violette, sa couleur préféré. Elle se brossa les cheveux doucement, commençant déjà à somnoler. Puis elle se glissa entre ses draps. C'est alors que ses pensées dévièrent doucement, mais surement, et revinrent sur ce qui s'était passé plus tôt dans la journée :
*Je me demande comment il va. Il avait vraiment l'air bizarre tout à l'heure. Il devait repensé à son passé. Si je me souviens bien, il m'a dit il y a longtemps que quelqu'un était mort... Je ne veux pas vraiment en savoir plus, mais j'aimerais qu'il aille mieux quand même. Mais qu'est-ce que je raconte... Après tout, c'est lui qui joue et qui va trop loin... Oh, et puis zut.*
La jeune Sonore s'allongea, l'esprit encore hanté par l'image du jeune homme. De beaux cheveux couleurs neige, avec la légèreté des nuages. Des yeux bleus neutres souvent et pourtant beaux. Des yeux qui plus tôt, avaient pleuré et même si elle ne le savait pas, cela avait touché Nariwen. Elle avait toujours été sensible à la peine des autres, alors ce n'était pas maintenant que cela allait changé. C'est avec cette image que Nariwen s'endormit, épuisée...
Une petite heure plus tard, la porte s'ouvrit à la volée. Nariwen fit un sursaut du beau diable et ouvrit grands ses yeux. Mais son cerveau n'était pas d'accord lui... Tout était très flous, surtout ce qu'elle voyait. Elle referma les yeux et porta une de ses mains à son front, pensant délirer. Toujours est-il que sans s'en apercevoir, elle se mit à parler tout haut.
"Archi ?... Non, c'est pas toi, je... je pense trop à toi c'est bizarre... Je sais pas qui c'est, et je m'en fous, je veux juste que vous partiez. Veux dormir... Et fermez la porte s'il vous plait."
Et elle se recoucha, enlevant un peu de couverture car il faisait décidément un peu chaud dans sa chambre. Les yeux fermés, elle était désormais persuadée que l'intrus allait partir sans tarder et surtout, elle était à mille lieux de penser que c'était Archibald lui-même, et que se réveiller en disant son nom, et même son surnom, n'était peut-être pas une bonne idée. Pour le moment, la seule chose qu'elle savait, c'est qu'elle était drôlement bien là...


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##   Ven 27 Juin 2014 - 0:38
Archibald McLeen

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Elle était bien là ! Devant lui, à quelques pas, réveillée et un peu dans les patates, mais elle était bien là, à portée de main, comme ils avaient dit il y a de là quelques heures.
L'heure qu'il était ? Archie s'en foutait, la chaleur lui montait au cerveau, cette fille qui était là, cette envie qui l'a pris d'un coup, c'était incontrôlable. Il était déterminé, la nuit sera longue, beaucoup de rebondissement, on pourrait dire, de chaleur, de souffle. Tout c'qui ne faut pas faire, en fait, si l'on souhaite éteindre la flamme d'un feu lunaire.

Il eut seulement le temps de refermer la porte de sa chambre, elle avait déjà dit quelques mots.

"Archi ?... Non, c'est pas toi, je... je pense trop à toi c'est bizarre... Je sais pas qui c'est, et je m'en fous, je veux juste que vous partiez. Veux dormir... Et fermez la porte s'il vous plait."

Archie avait légèrement frissonné lorsqu'elle prononça son nom, comme quand on souffle délicatement sur une bougie, pour que la flamme puisse s'allumer, cette petite étincelle, qui ne demande qu'un peu d'air.
De plus, le fait qu'elle retire sa couverture n'arrangeait pas les choses, c'est bien connu, " le vent aggrave toujours les flammes ".
C'est alors qu'Archie fit quelques pas en avant, vers le lit et le corps de la jeune fille, qui était recouverte d'une chemise de nuit violette.
Il ne disait pas un mot jusque là, il guettait, chassait sa proie, voulait attaquer seulement au bon moment, et ce moment était venu, il était temps de montrer son charme, d'entamer ce jeu, ce jeu de séduction. Il s'était donc plié, pour atteindre l'oreille de la jeune fille, affin de la réveiller tendrement avec un léger murmure :

"-C'est de moi que tu rêves ?

Il avait prit sa voix la plus mielleuse, la plus charmante, peut-être qu'elle allait croire à un rêve, mais Archie est bien là, à même pas un pas d'elle, elle pourrait même sentir la chaleur de son corps, mais en attendant, son souffle se posait délicatement derrière l'oreille de la jeune fille, parce qu'un gentleman, ca souffle toujours légèrement à l'oreille d'une fille durant un murmure, c'est comme ça, que l'envie s'éveiller, c'est comme ça qu'on le dit dans le langage du désir, ce fameux " j'ai envie de toi ".


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Dernière édition par Archibald McLeen le Ven 27 Juin 2014 - 12:07, édité 1 fois
##   Ven 27 Juin 2014 - 10:24
Nariwen Akikaze

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La jeune sonore était repartie, enfin pas totalement. Elle était dans un état de demi-sommeil, entre le moment où on commence à rêver et celui où l'on est pleinement conscient. Elle ne savait pas que Archibald était là, à quelques pas et pourtant, elle percevait quand même sa présence. C'était très étrange et elle s'en serait inquiétée si elle n'était pas à moitié emportée par le sommeil.

C'est à cause de cet état qu'elle ne réagit pas quand il se rapprocha d'elle. D'ordinaire, ses rêves étaient tellement agité que la sensation d'être épiée était presque naturelle. Bon, d'habitude, c'était dans sa tête, là, c'était dans la réalité. Mais pour l'instant elle ne faisait pas la différence.


"-C'est de moi que tu rêve ?"


Une voix douce, extrêmement douce... Nariwen se détendit un peu plus. Mais le souffle lui parvint aussi et sa capacité à percevoir l'air n'était pas totalement endormie. Le souffle d'Archibald passa donc près de son oreille puis sur sa joue et approcha ses lèvres. Un frisson naquit et descendit le long de son cou et de son épaule. En temps réel, cela l'aurait rendue folle et elle en aurait été paralysée. Oui mais pas là, pas dans son état actuel.


Ce frisson laissa un sourire sur les lèvres de Nariwen. Un petit sourire endormi. Puis elle fit bouger un peu ses épaules, pas comme lorsqu'on est gêné par quelque chose, mais plutôt comme un chat bouge son dos sous les caresses. Ce souffle était quelque chose d'agréable et elle en voulait un peu plus. Si seulement elle avait sut, qu'elle n'était pas seule dans cette chambre, mais bel et bien accompagnée d'un homme et d'un homme assez intelligent pour comprendre beaucoup de choses... Beaucoup.


D
ans son demi-sommeil, Nariwen avait tout de même perçu cette présence et maintenant, son esprit l’interprétait. Et donc elle se mit à rêver, un sorte de demi-rêve sans paysage... Juste un homme là, un homme aux cheveux blancs et aux yeux bleus. Un homme qu'elle connaissait bien. Et comme précédemment, elle se mit à parler à haute voix sans le vouloir.


"Archi ! Qu'est-ce que tu fous là ? Franchement.. et qu'est-ce qu'on fabrique tout les deux, hein ? On est maso quand même. Ces jeux.. c'est dangereux.. mais c'est tellement délicieux... Argh, tu me feras perdre la tête, et j'aurais même plus la force de t'en vouloir."


Elle soupira un grand coup. C'était dit. Bon certes, normalement, elle n'aurait pas du lui dire directement, mais bon... Dans un mouvement incontrôlé de sommeil, Nariwen se retourna, se retrouvant sans le vouloir avec le visage à quelques centimètres de celui d'Archibald. Elle avait toujours ce petit sourire, elle était paisible et détendue. La jeune Sonore était rarement aussi calme, aussi posée. Elle roula encore un peu des épaules, se mettant à l'aise dans son lit, ignorante de ce qui pouvait ce passer, ignorante de ce qu'elle pouvait provoquer...



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##   Ven 27 Juin 2014 - 12:28
Archibald McLeen

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Ce n'était pas la première fois que les deux personnes se retrouvaient aussi proches, et ce n'était pas non plus la première fois qu'Archie lui déposait un murmure de ce genre à l'oreille.
Cependant, c'était la première fois qu'elle souriait après ça, et surtout, c'était là première fois qu'elle se retournait, de manière à être aussi proche de lui, avec ses petits mouvement d'épaules, qui montraient bien à quel point elle était bien, là.
Mais, était-elle en train de rêver ? Ou était-elle consciente ?
Il était évident, pour Archie, qu'elle était consciente ! Il lui avait murmuré à l'oreille, et elle avait répondu clairement, à haute voix, alors, elle pour lui, elle était forcement consciente. Même si en réalité ça n'était pas vraiment le cas.

C'est donc comme ça qu'il se retrouvaient ce soir, après des blessures et journée remplie d'événements, ils étaient dans la même chambre, elle était en tenue de nuit. Et Archie perdait de plus en plus le contrôle qu'il avait sur lui, peut-être serai-ce sa réaction face à son initiation ... Ou peut-être juste un besoin d'aller plus loin que d'habitude.
Quoi qu'il en soit, l'homme aux yeux bleu posa donc un genoux sur le lit, tentant de ne pas gêner la jeune femme, tout en la regardant de haut, puisqu'il c'était alors légèrement reculé, pour poser son genoux.
Le visage de la jeune fille avait l'air si doux, ces yeux fermés, ce sourire, juste là, devant lui. N'importe qui l'aurait laissé là, parce qu'on ne dérange pas quelqu'un qui dort, mais il était convaincu, persuadé, qu'elle était éveillée. Il déposa alors sa main sur sa joue, pour la lui caresser lentement et délicatement, comme la caresse d'une feuille au moment où elle se dépose délicatement sur le sol, juste après sa chute. Sa main dériva ensuite, jusque ses hanches, pour s'arrêter au niveau des cuisses. Ses formes étaient belle, elle avait des atouts la p'tite !
Cependant, la position d'Archibald n'était pas encore assez confortable, le genoux sur le lit, bref, c'est embêtant, les mouvements ne sont pas aussi libres qu'on le voudrait. Alors, il prit le temps de passer par dessus le jeune fille pour enfin se positionner derrière elle, et l'entourer de ses bras. Ses cheveux bruns caressaient pratiquement le visage d'Archibald, ils n'avaient encore jamais été aussi proche qu maintenant.

Ce n'était pas encore fini, la jeune fille avait sans doute déjà plus ou moins réagis, mais quoi qu'il en soit, Archibald approchait une nouvelle fois son souffle à l'oreille de la belle fille. Et de la même voix que tout à l'heure, le même timbre, la même envie, et le même souffle, il répondait enfin à ce qu'elle lui avait dit il y avait quelques instants.

"-Perdons la tête, mais ne m'en veut pas"

Par ces mots, le jeune homme montrait son envie et ses désirs envers elle, même si ce n'était pas très explicite, dans une situation comme celle là, quiconque l'aurait compris.
On ne jouait maintenant plus au même jeu. Avant c'était un jeu dans lequel on testait les limites, et où il n'y avait qu'un seul gagnant, et un seul perdant. Ici, c'est un jeu de séduction, où tous les deux sont gagnants, ou perdant. Ils en décideront en même, quand la partie sera terminée.


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##   Ven 27 Juin 2014 - 13:24
Nariwen Akikaze

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La jeune femme n'était certes pas totalement endormie, mais elle n'était surtout pas du tout consciente de ce qui l'entourait et donc pas consciente du tout que le jeune homme était là. Elle aurait su, ses réactions aurait été totalement différentes. Peut-être qu'elle aurait joué comme ils en avaient l'habitude, ou peut-être lui aurait-elle montré que l'épisode de la journée l'avait assez achevé pour le moment. On ne le saura jamais et eux non plus. Voilà deux jeunes gens qui jouaient à un jeu bien étrange, dont la jeune fille n'aurait surement pas compris les limites si elle avait cherché à les comprendre.
Tandis qu'elle était innocemment endormie, une main douce, légère et surtout brûlante vint se poser sur sa joue. Dans sa tête, il y avait toujours Archie qui l'a regardait de son air neutre habituel, sans parler le moins du monde. Mais maintenant que sa chaleur bouillonnant l'envahissait, le décor se changea en flammes. La jeune fille, loin d'avoir peur, regarda (dans son rêve) autour d'elle. Elle commençait à penser que ce rêve était décidément bien étrange. Elle soupira lourdement, plus tendue maintenant.
Quand la main du jeune homme glissa de sa joue à ses hanches, puis de ses hanches à ses cuisses, c'est l'intégralité de son corps qui sembla s'enflammer. Elle s'agita, ses mouvements indiquant son inquiétude. Tout cela n'était pas normal, mais elle était encore trop assoupie pour réagir trop violemment. Pour elle ce n'était qu'un rêve qui prenait une tournure étrange... Ses paupières tremblaient légèrement et son sourire avait laissé place à de l’inquiétude sur son visage. 
C'est ce moment là que le jeune homme choisit pour ce positionner derrière elle et l'entourer de ses bras. Cette fois-ci, son contact et sa chaleur réussir à réveiller la jeune fille, qui ouvrit les yeux, encore un peu dans les vapes. Elle le sentit se rapprocher mais ne comprenais encore pas tout.
*Qu'est-ce qui se passe ? Des mains ? Qui ? Je connais cette odeur. Oh, tout est si flou...*
Pendant ce temps, alors que Nariwen bataillait avec son esprit pour comprendre ce qui se passait, le jeune homme se rapprocha assez pour atteindre de nouveau son oreille. Son souffle eut le bon goût de remettre tout de suite les pendules à l'heure. Les capacités de Nariwen rentrant en jeu, elle frissonna vivement, les yeux maintenant grands ouverts. 
*Archibald...*
"-Perdons la tête, mais ne m'en veut pas"
Cette phrase, cette voix, même le corps du jeune homme, tout lui montrait ce qu'il ressentait, le désir coulant sur sa peau. Et là, ce fut la grosse panique. Nariwen était bel et bien réveillé, et de nouveau sa peur du contact, de la proximité masculine reprenait le dessus. Pourtant, elle avait déjà eu un "petit copain", ils étaient même aller jusqu'à l'acte et pourtant... Cette fois-ci, la jeune sonore réagit.
Sans attendre un millième de seconde de plus, elle bondit brusquement du lit, se retrouvant à un mètre d'Archibald. Sur ses deux pieds, elle se retourna vers lui, un air outrée sur le visage. Une chose était sûre, elle allait être très expressive et peut-être même totalement honnête avec Archibald après cela. Ou du moins pour un certain laps de temps :
"ARCHIBALD !! Qu'est-ce que tu fous ici ?? Qu'est-ce que tu veux ? A quoi tu penses ?"
Au début, elle avait crié. Puis, ce souvenant qu'elle n'était tout de même pas seule dans le bâtiment, elle se mit à chuchoter. Par contre, elle ne se rapprocha pas du garçon. Après ce qui avait fait, elle allait être méfiante et dure à domestiquer, la bestiole. Le genre chat sauvage quoi... Attention au griffe !


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##   Ven 27 Juin 2014 - 14:05
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La chaleur de la pièce avait légèrement augmenté, d'un petit degrès, à peine, mais cela pouvait se ressentir. Le matelas, sous le corps du garçon, était chaud, pourtant le jeune homme ne perdait pas une seule goutte de sueur.
Elle avait réagit, elle avait bougé, après ses murmures, Achie l'avait sentit, cependant, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit de plus, la jeune fille avait déjà bondit d'un seul coup d'un air paniqué, avait déjà crié son nom.
Ce n'était pas si grave, tout le monde dormait déjà bien à cette heure, ce n'est pas le cri d'une gamine qui allait les sortir de leur sommeil profond ! De plus la porte était fermée, alors, la voix ne pouvait retentir ans le couloir, dans tous l'établissement. Archibald n'avait pas prit peur, et ce n'est pas non plus cette réaction qui allait refroidir le jeune étalon.

Le jeune homme, d'un mouvement assez lent, se mit un peu plus sur le côté pour la regarder un peu plus facilement, se tenant la tête d'un air assez flemmard.
Il ne répondait pas encore, la seule chose qu'il voyait, c'était cette fille, on visage, son corps, et sa voix. Il commençait à imaginer avec une concentration tellement grande que la jeune fille pouvait peut-être ressentir les envies du garcon. Cependant, étant feu-lunaire depuis peu, ce ressentit ne devait pas être très long, aux alentours de la demis-seconde, très certainement, si elle ressentait vraiment les choses auxquels Archie était en train de penser.
Simplement, l’imagination n'était pas son fort. Les actes étant beaucoup plus concret, il décida de se lever, lentement, sans la lâcher du regard, un regard, pourtant neutre, mais qui pouvait en dire long au vu des pensées du jeune garçon.

Il s'approchait donc de sa proie, pas à pas, le regard toujours fixé sur elle. Et tout en s’avançant, le garçon dit d'une voit bien clair, mais provocatrice et charmante, avec une légère dose de malice.

"-Moi ? Ce que je veux ? Ce que je pense ? Et bien ..."

Il n'avait pas terminé sa phrase alors qu'il était déjà placé devant la jeune fille. il fit le tour de celle-ci, afin de se retrouver derrière, encore une fois, cette position accentuant les effets sensuels, c'était la position parfaite pour séduire, charmer, enflammer.
Son doigt parcouru sa joue, très lentement, du dessous des yeux, jusqu'à tomber jusqu'à ses lèvres. Il laissa son doigt quelques instant juste posé délicatement sur les lèvres de la jeune fille.

"-A ca, et ..."

Encore une fois, ca phrase fut interrompue, laissant le désir, l'envie, dominer légèrement sur le suspens, et continuait sa course avec son doigt, qui descendait donc de ses lèvres, juste son menton, pour ensuite caresser légèrement son cou, et arriver jusque sa poitrine, où il s'arrêtait encore quelques secondes pour prononcer les même mots que précédemment, toujours avec la même malice. Son doigt avait repris légèrement de la vitesse, contournant légèrement sa poitrine, pour descendre jusque son bas-ventre, en passant par le ventre. Durant cette course, le jeune homme avait rajouté quelques mots.

"-Tout ça, puis ..."

Pour finir, son doigt passa rapidement sur son entre-jambe, pour fini avec sa main sur la cuisse de la jeune fille. La course aura été lente, et touchait certaines parties érogènes de la jeune fille du bout des doigts. Archibald, à ce moment espérait grandement que son doigt allait émettre l'étincelle qui allait mettre le feu au corps de la jeune fille, mais il était conscient que ca n'allait peut être pas être suffisant. C'est alors que, lorsque sa main été arrivée sur sa cuisse, le jeune homme baissa la tête pour avoir le cour de la jeune fille à portée, et déposa un léger baiser, du bout des lèvres, pile au creux de son cou.


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##   Ven 27 Juin 2014 - 15:04
Nariwen Akikaze

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Archibald n'avait rien changé à ses habitudes. Il était totalement neutre de visage, presque nonchalant. Et pourtant un instant, Nariwen crut sentir une vague de désir émaner de lui, tellement forte qu'elle crut que c'était son propre désir. Elle ne bougea pas, respirant avec grand peine. Puis, sous le regard interrogatif et paniqué de la jeune femme, il se leva, doucement, élégamment. Son regard bleu transperçait sa cible avec tant de force qu'elle s'en trouva totalement paralysée. Il avait beau s'avancer vers elle, et il y avait beau y avoir de la place encore pour qu'elle recule, elle ne bougea pas, pas du tout même. 
"-Moi ? Ce que je veux ? Ce que je pense ? Et bien ..."
Sa voix était plus claire, plus doux qu'à l'accoutumé. Comme s'il essayait de la charmer... Nariwen rassembla son courage. Elle ne voulait pas flancher, elle voulait lui résister jusqu'au bout. Mais elle avait beau faire tout ce qu'elle voulait, elle était toujours autant paralysée. De son côté Archibald tourna autour d'elle, se plaçant derrière. Elle ne tourna pas la tête, bien trop tétanisé pour le suivre de regard. Il était maintenant hors de vue, Nariwen ne pouvait que le sentir, sentir sa respiration, sentir sa chaleur. L'air même qui émanait de ses alentours était chaud. Et cette chaleur ne faisait qu'aggraver le cas de la jeune sonore.
Soudain, elle sentit un des doigts d'Archibald se poser sur le haut de sa joue. Elle retint sa respiration. Le doigt coula doucement jusqu'à ses lèvres. Durant le mouvement, elle expira légèrement mais sa respiration se coupa de nouveau lorsqu'il arriva sur ses lèvres, les réchauffant de son contact.
"-A ca, et ..."
C'était insoutenable, autant son contact, que sa chaleur, que sa voix. Mais elle ne pouvait pas bouger, elle pouvait tout juste respirer, d'une façon saccadée. Un frisson parcourut son échine tandis qu'elle comprenait le sens de sa réponse. Le doigt repris sa course, lente et sensuelle, de ses lèvres à son menton, puis à son coup. Nariwen réussit à respirer un peu plus et cligna légèrement des yeux, se sentant défaillir. Pourtant, elle restait debout, bloquée sur ses deux pieds, immobile. 
Lorsque ce doigt atteint sa poitrine, son souffle se coupa de nouveau et ses yeux s'écarquillèrent de panique. Archibald continuait sa litanie qui faisait toujours autant frisonner la jeune fille. N'avait-il pas idée de ce qu'il provoquait en elle ? 
*Archi, à quoi joue tu ? Tu me connais, tu sais que ça me rend dingue, tu sais que c'est ma plus grande faiblesse et tu as vu ce matin à quel point je réagissait mal. Pourquoi ?*
Mais Archibald ne s'arrêtait pas là, loin de là. Il descendit encore sur le corps de Nariwen, qui avait la respiration de plus en plus saccadée. Tout son corps exprimait sa torture et lui pourtant continuait. 
"-Tout ça, puis ..."
Puis il passa légèrement entre ses jambes. Là, la jeune fille rentra carrément en apnée et sa panique et sa paralysie atteignirent leur paroxysme. Tandis qu'une chaleur étouffante se propageait dans tout son corps, la main masculine se posa entièrement sur sa cuisse, continuant son agonie. Lorsque les lèvres du jeune homme se posèrent sur son cou, Nariwen se détendit légèrement. Oui, n'importe quel contact la tendait comme un arc, mais les caresses et les baisers sur son cou, elle arrivait à les apprécier. Ce contact lui permit de trouver la force nécessaire pour se dégager de l'emprise du garçon. 
Elle bondit en avant et se retourna, s'asseyant sur le lit. Elle était tremblante, paniquée et pourtant, même si elle aurait pu, elle ne voulait pas fuir. C'était Archibald, il ne pouvait pas lui faire du mal. Elle l'espérait de tout son cœur. Elle respira un grand coup et se ressaisit. Il lui fallut quelques secondes, mais elle réussit à trouver la force de lui répondre, la force de le regarder en lui montrant que tout ça n'allait pas.
"Mais qu'est-ce qui te prend ? Tu connais mes faiblesses et pourtant... Cela ne m'amuse pas... Tu ne vois pas que..."
C'était au dessus de ses forces. Une larme furtive lui coula sur la joue et elle ne bougea même pas pour l'essuyer. Tout ce qu'elle pouvait faire maintenant, c'était le regarder droit dans les yeux... Ou peut-être encore se paralyser, s'il revenait à la charge.


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##   Ven 27 Juin 2014 - 15:37
Archibald McLeen

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Ses lèvres étaient en contact avec la peau de la jeune fille, seulement, elle, qui était très tendue jusque là, c'était donc détendue d'un coup après son baiser. C'était une preuve pour Archibald. Ca prouvait qu'il avait raison, en son sujet, car en effet, il ne pensait pas que cette fille était si faible qu'elle n'acceptait, non, qu'elle ne pouvait pas être touchée par qui que ce soit. Le fait qu'un simple baiser, au niveau du coup, la détendais prouvait bel et bien, pour Archie, qu'elle pouvait prendre plaisir au contact d'autres personnes, que sa faiblesse pouvait devenir un plaisir intense.

Elle s'était très vite assise sur le lit. Elle le regardait, cette fois, elle avait trouvé la force pour le faire. Il ne la lâchait pas non plus des yeux, lui aussi il était fort, et il venait même de remarquer, là, à quel point la faiblesse de la jeune femme pouvait, dans certains cas comme celui-çi, devenir une force. Elle lui faisait face, après un simple baiser, à un endroit précis, alors qu'après des caresses, pourtant très bien placées, elle ne bougeait pas, ne pouvait même pas réagir.
C'est alors qu'elle lui adressa quelques mots, suivit d'une larme, qu'Archibald avait bien entendu remarqué. A cette distance, qui ne l'aurait pas vu ?
Elle ne bougeait pas pour l'essuyer, elle ne faisait que le regarder, fixement, elle n'avait visiblement plus que ça à faire. Cependant, ses mots était toujours aussi pertinents, aussi forts.

"Mais qu'est-ce qui te prend ? Tu connais mes faiblesses et pourtant... Cela ne m'amuse pas... Tu ne vois pas que..."

Elle n'avait pas terminé sa phrase. Mais, le garçon, lui, avait déjà tout compris. C'était clair, ca ne l'amusait pas. Cependant, c'était peut-être la seule solution pour qu'elle puisse enfin guérir, enfin se rendre compte des choses. Que la faiblesse d'une personne peut parfois lui tirer lui même quelques avantages. Si Archibald n'avait pas embrassé son cou, elle serait sûrement restée paralysée, entre les mains du garçons, elle aurait été finie avant même qu'Archibald n'ait commencé à examiner ce qui n'allait pas chez elle.
Un léger sourire rassurant se dessina sur le visage de notre bel homme, cela montrait qu'il avait comprit, du moins il le pensait, comment il pourrait éventuellement sortir la jeune fille de ces sensations incontrôlées. C'est alors de quelques pas, d'un air sûr de lui, qu'il s'avançait une fois de plus vers elle, pour lui essuyer la larme qui coulait sur sa joue, profitant de ce petit moment pour rajouter une caresse à ce mouvement, puis de placer son index sous le menton de la jeune fille affin de lui monter la tête, pour qu'elle puisse bien observer ses yeux, son visage, son sourire. Et ce fut avec assurance qu'il prit le temps de dire cette petite phrase, qui, il l’espérait, allait un minimum l'aider.

"- Tu connais le proverbe Guérir le mal par le mal ? "

L'homme la regardait fixement, droit dans les yeux, essayant de ce fait de gagner la confiance de la jeune fille. Son autre main, encore libre, fut posée sur le cou de Nariwen, là où le baiser avec eut lieu, espérant la détendre comme tout à l'heure, c'était pour lui le moyen de lui prouver que l'on pouvait passer au dessus ses faiblesses, et profiter de moments comme celui -çi.

La manière par laquelle Archibald présentait les choses était plutôt ingénieuse, il faut l'avouer, mais Nariwen pouvait ne pas être rassurée par ses gestes, ou ses dires, comme elle pouvait totalement adhérer. Archibald ne le savait pas, et prenait lui même beaucoup de risque en effectuant tout cela. Il risquait de raviver ses souvenirs en lui, tout comme il risquait de perde une amie qui lui est plutôt chère. Si c'était le cas, ce pourrait être un drâme dans la tête de notre garçon, mais tout n'était pas joué. Si tout fonctionnais, tout serais revenu en ordre, dans un plaisir qui serai réciproque. Ils auraient tout fait d'une pierre deux coups.


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##   Ven 27 Juin 2014 - 16:18
Nariwen Akikaze

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Archibald était le genre d'homme à ne pas se laisser abattre, à n'être surpris par rien. Il restait neutre, alors que ses yeux vous immobilisaient. Nariwen profitait q'il soit un peu loin pour respirer et pour essayer de remettre ses idées en place. Au début de la journée, elle voulait renouer des liens avec des personnes. Quand elle avait vu Archibald, elle était persuadée qu'elle allait passé une bonne journée, puis dix minutes plus tard, elle se sentait mal, vraiment mal. Puis elle avait rencontré Ludmila et avait passé une bonne suite de journée. Mais tant d’événements en une journée ça secoue. Entre ça et ses pouvoirs qui la fatiguait, Nariwen commençait à se sentir un peu faible.
Elle observait le garçon fixement, en espérant qu'il change quelque chose à son comportement, pour que cette soirée arrête d'être un supplice. C'est alors qu'un sourire rassurant se dessina sur le visage d'Archibald. Mais cela n'eut pas l'effet escompté sur la jeune fille. Elle fronça les sourcils, méfiante. Le jeune homme n'avait aucune expression d'habitude et arrivait bien à empêcher ses dernières à  s'afficher. Il pouvait très bien faire ce qu'il voulait et l'embobiner et ça, elle en était consciente. Pourtant, elle avait beau se méfier, elle ne bougea pas quand il s'approcha...
Archibald put donc aisément approcher sa main et essuyer sa larme. Par réflexe, elle ferma les yeux le temps de ce geste, malgré cette caresse, malgré ce contact. Sans qu'elle ne s'en aperçoive, elle ne s'était pas tendue à ce contact. Le début de la fin de sa faiblesse ? Peut-être... Ou peut-être était-elle juste trop fatiguée pour réagir. Elle le laissa prendre son menton, mais cette fois-ci elle se tendit de nouveau un peu. Elle leva ses yeux inquiets vers lui, lui et ce sourire, et ses yeux pleins de compassion. Elle se méfiait de cette expression et pourtant, au fond d'elle, bien caché, elle avait envie de donner une totale confiance à cet homme qui la comprenait si bien. 
"- Tu connais le proverbe Guérir le mal par le mal ? "
Nariwen pâlit sensiblement et sa respiration se coupa. Bien sur qu'elle connaissait cette expression et il ne lui avait fallut qu'une demi-seconde pour faire le lien entre l'expression et ce qu'elle voulait dire dans le cas présent. La jeune femme recula, libérant son menton de l'emprise d'Archibald. A ce même moment, lui posa sa main dans son cou, diffusant sa chaleur. Le rythme cardiaque de Nariwen, qui n'avait fait que monter depuis qu'elle s'était réveillé, se calma peu à peu tandis qu'elle se remit à respirer. Pendant deux petites secondes, elle ferma les yeux et profita réellement de ce contact.
Sans s'en rendre compte, elle baissa la tête, donnant son cou en offrande à ce contact si doux. Elle prit aussi le temps de réfléchir quelques secondes. A ce qu'elle devait faire, à ce qu'elle devait penser, à ce qui était bien, à ce qui était mal. Mais plus elle essayait de réfléchir, plus elle se rendait compte qu'elle était perdue. Elle se reprit, ouvrit ses yeux et se tourna un peu, fixant son regard sur un point du mur. Elle était maintenant de profil par rapport à Archibald. La jeune fille lui parla alors sincèrement :
"Je... je sais ce que tu veux dire... Mais... mais Archi... Je ne sais pas... je..."
Sa voix était tremblante, saccadée. Nariwen poussa un long soupir en fermant de nouveau les yeux, puis d'une main, elle se frotta le front. Elle était fatiguée de se poser autant de question en fait... Mais pouvait-elle vraiment faire confiance à Archibald ? Elle continuait de douter un peu sur ce point...


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##   Ven 27 Juin 2014 - 20:58
Archibald McLeen

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Le jeune fille avait l'air fatigué, Archibald ne s'y prenait peut-être pas bien. La réaction de la jeune fille l'avait clairement refroidit, son corps semblait être revenu à sa température normale, il ne diffusait plus autant de chaleur qu'avant.
Le jeune homme regardait Nariwen, assise, de profil par rapport à lui. C'est clair, il y était allé un peu trop fort, trop vite. Comme tout à l'heure, en fait. Il fallait calmer le jeu, la rassurer. Ce n'était pas totalement son fort, mais il allait essayer, c'était mieux que ne rien faire.
C'est dans cette optique que le jeune homme neige de cheveux s’asseyait à côté de Nariwen. Ses coudes reposaient sur ses genoux, et ses mains, elles, tenaient sa tête, toujours aussi neutre bien que cette fois une émotion serait peut-être la bienvenue. Dans cette position il cogitait. C'était sa manière de réfléchir dans les domaines où il n'était pas très bon.

Cependant, une idée lui était venue. Son raisonnement, avant, était logique, bien que tout de même bien trop rapide. Il fallait tout simplement réduire la cadence, et montrer qu'il ne lui voulait aucun mal. Il savait maintenant quelles étaient ses faiblesses, il les exploitais auparavant, maintenant, c'est le moment de l'aider. Car effectivement, notre beau bonhomme, apparemment sans âme, tient beaucoup à cette jeune fille, tout aussi fragile que forte.

Il allait donc mettre en oeuvre ce qu'il avait planifié, sans dire un mot, tout en restant très doux, passant alors encore une troisième fois derrière la jeune fille, pour déposer ses deux mains au niveau de son cou, et entamer un léger massage, tentant alors de la rassurer, de la détendre, et de la calmer, parce que visiblement, elle était en train de paniquer.

"-Je n'ai pas l'intention de te forcer. Je ne veux pas non plus que ca te fasse mal. Mais, si ca peut t'aider, et que tu es d'accord, alors, je t'aiderais."

Il n'en disait pas beaucoup, mais il n'y avait pas besoin de tout un paragraphe, les deux jeunes se comprenaient, du moins, d'habitude. Et il ne fallait pas non plus être trop brusque, car, elle était aussi fragile au niveau physique, mais également au niveau des mots, dans un état pareil.

L'homme avait donc perdu cette " chaleur " qu'il avait en lui, et avait reprit ses esprits, il était redevenu qui il était, et non pas l'homme dépravé et en chasse de plaisir qu'il était il y a quelques instants. Si la jeune fille décidait de ne rien faire avec lui cette nuit, comme toutes les autres, alors ils ne feront rien. Si elle décidait qu'il devait s'en aller, alors il s'en ira. Tout tient sur la volonté de la jeune fille, volonté qu'Archibald se doit de respecter à la lettre.


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##   Ven 27 Juin 2014 - 22:23
Nariwen Akikaze

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Archibald eut une réaction étrange. Enfin, rien que le fait qu'il ai une réaction était un peu unique mais bon. Là il s'assit à côté de la jeune fille et se mit en position grand réflexion. Ce n'était pas habituel et c'est pour cela que Nariwen se tourna vers lui, le regard interrogatif. Et oui, il avait beau l'avoir beaucoup inquiétée ces dernières minutes, cela ne changeait rien au fait qu'elle tenait toujours à lui. Certes, elle ne l'aurait jamais avoué, c'est tout juste si elle s'en rendait elle-même compte. Alors elle ne voulait pas qu'il soit triste, elle ne voulait pas le blesser. Jusqu'au était-elle prête à aller pour cela ? Ca, personne ne le savait.
Elle le regardait toujours lorsqu'il se mit à bouger, passant derrière elle. Elle se tendit alors sensiblement, mélangée entre la confiance qu'elle commençait à lui accorder et la crainte que la torture ne recommence. Mais quand il posa ses mains autour de son cou, toute cette tension s'évanouie. Et lorsqu'il commença son massage, elle ferma les yeux et c'est toute la tension de son corps, même celle qui était naturelle, qui s'envola. A ce moment, même une bombe pouvait exploser, elle n'aurait pas réagit. 
"Oh Archi..."
Elle avait juste murmuré, mais il avait du l'entendre. Elle n'avait même pas contrôlé ces trois petites syllabes. Elles étaient sorties, c'est tout, et avec elle la voix exprimant tout le bien que ce geste pouvait lui apporter. Lorsqu'elle entendit sa voix, cela lui procura le même effet que lorsqu'elle écoutait de la musique après deux trois jours où elle s'en était privée. Et croyez-moi, cela voulait dire beaucoup... beaucoup de choses pour elle, elle qui adulait la musique plus que tout.
"-Je n'ai pas l'intention de te forcer. Je ne veux pas non plus que ca te fasse mal. Mais, si ca peut t'aider, et que tu es d'accord, alors, je t'aiderais."
La jeune femme ouvrit de nouveau les yeux et se demanda à son tour, à elle même, ce qu'elle voulait... Là maintenant, que désirait-elle ? Elle chercha en elle des réponses. Elle voulait de la douceur, elle voulait de la sécurité, du bonheur.. Ah, et elle aurait bien repris un peu de cette chaleur dansante dont il lui avait donné un avant goût à l'instant. Mais cela, elle n'allait pas lui dire. Nariwen laissa échapper un grand soupir, puis elle se recula un peu et se cala entre les bras d'Archibald. C'était bien la première fois depuis très longtemps qu'elle provoquait un tel contact...
"Tu sais... Ce n'est pas de ta faute tout ça. C'est dans ma nature, j'ai... je crois que j'ai peur que ce genre de choses me mènent a plus de douleur si je me laisse emporter... Enfin... c'est un peu flou c'est vrai..."
Elle parlait à demi-voix, son souffle régulier indiquant que pourtant, elle se sentait quand même bien entre ses bras. Mais elle ne voulait pas, elle n'arrivait pas à avouer que oui, elle avait surement besoin de lui et de son aide. Elle n'était pas de ce genre là, elle préférait se battre jusqu'à la mort seule plutôt que de dire "aide-moi". Une réaction quelque peu idiote, mais qui était explicable par son manque de confiance dans les autres. 
Pour le moment, elle était bien, et c’était tout ce qui comptait. Rester avec Archibald... L'aurait-elle avouer ? Oh que non !


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##   Sam 28 Juin 2014 - 0:33
Archibald McLeen

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Elle lui avait fait part de sa peur, si elle se laissait emporter. Et s'était tournée pour rejoindre ses bras. Archibald ne s'y attendait pas, c'était un beau retournement de situation, d'habitude c'était Archibald qui provoquait le contact, et encore, la plus part du temps ce n'était que du vent. Seulement, là, c'était elle qui l'avait provoqué, et elle n'avait pas l'air de le regretter ! C'était très étonnant. Pour la première fois, en un an, la jeune fille s'était mise d'elle même dans les bras d'Archibald.
Il faisait une tête d'étonné, et dieu sait àquel point il faut que ce sentiment soit fort pour qu'il soit perceptible sur son visage naturellement.

Cet air se dissipait cependant peu à peu, et laissait place à une dose de tendresse, petite dose, parce qu'il ne fallait pas trop en faire. Il tenait à elle, certes, mais ça restait un homme.
D'ailleurs, sa température commença à remonter à nouveau légèrement lorsqu'il se mit à penser qu'en fait, là, en ce moment, elle était contre lui, en chemise de nuit, soit, pratiquement nue. Seulement quelques tissus le privait de sa peau. Archibald tentait tout de même de garder son calme, mais la température, elle, ne baissait pas, il n'était pas conscient lui même que sa température montait. Il ne pouvait donc rien y faire.

Il accompagnait donc ce moment de tendresse en l'entourant de ses bras, c'était un geste, comme ça, l'un des rares gestes qu'il réalisait sans avoir quelque chose derrière la tête. C'était naturel, comme avant, avec Gabrielle. Son air protecteur qui sommeillait doucement en lui commençait alors à renaître, cependant, ce n'était pas si gênant, là.

Il se faisait tard, par contre. L'heure avance vite lorsque deux personnes sont prise dans un sujet intéressant ou déstabilisant. Et ils étaient toujours là, l'un contre l'autre. Si quelqu'un venait à entrer, il aurait des pensées non catholiques, à coup sûr !
C'est alors, légèrement fatigué, par ces événements, et surtout a cause de ses nouveaux pouvoirs, pour lesquels il n'était pas encore au courant, qu'il murmura à l'oreille de la jeune fille.

"-On ne va quand même pas rester comme ça toute la nuit, si ? "


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##   Sam 28 Juin 2014 - 10:43
Nariwen Akikaze

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Nariwen ne vit pas l'étonnement du jeune homme, elle était bien trop fatiguée pour cela. Cela aurait peut-être changé quelque chose si elle l'avait remarqué, cela l'aurait surement rendue plus timide car elle aurait recommencer à réfléchir au bien et au mal de ce geste. Elle n'avait rien sentit. Mais par contre, elle sentit très bien ses bras autour d'elle. Dans un premier réflexe, son corps c'était tendu, mais cette tension s'était vite effacée pour laissé place à une sensation de sécurité et de bien être étrange à ce yeux. 
Pourquoi étrange ? Et bien simplement parce que Nariwen ne s'était jamais sentie en sécurité avec un autre homme que son père. C'était quelque chose de nouveau pour elle. Elle se rendit aussi compte qu'une telle position était reposante et son esprit se détendit totalement, et les méfiances s'envolèrent peu à peu. Alors que Nariwen aurait définitivement pu rester une éternité comme ça, Archibald vint lui murmurer à l'oreille. Un long frisson parcourut l'échine de la jeune fille, mais pour une fois, cela lui parut agréable... très agréable.
"-On ne va quand même pas rester comme ça toute la nuit, si ? "
La jeune femme sourit, d'un grand sourire amusé. Ça y est, elle avait repris son énergie électrique de d'habitude, même si elle restait fatiguée. Elle était maintenant complètement rassurée. Le jeune homme ne le savait pas, mais avec sa chaleur, ses mots et sa présence rassurante, il avait réussit l'impossible : rassurer Nariwen sans qu'elle ne se force. C'était pourtant quelque chose qui n'était jamais arrivé avant. Même le père de la jeune fille devait batailler pour la calmer lorsqu'elle prenait peur ou bien qu'elle était en colère. Et encore, vous n'avez jamais vu Nariwen en colère, une vraie tornade. D'ailleurs, il fallait peut-être mieux que cela n’arrive pas maintenant...
Mais là maintenant, elle était bien, et de bonne humeur étrangement. Une envie de jouer coula de nouveau dans les veine de la jeune sonore, qui bondit du lit, se plaçant devant Archibald avec ce regard malicieux et ce sourire lumineux qu'il connaissait tant. Elle se dirigea vers la porte et la ferma à clé, clignant un peu des yeux, un petit air faussement innocent.
"Ne me dis pas que tu as peur ! Après tout, tu as déja dormi avec moi, non ?"
Elle lui tira la langue et se retourna vers son armoire. L'ouvrant, elle chercha au fond un autre oreiller. Puis elle se tourna de nouveau vers lui et lui balança en pleine figure. Elle riait de bon cœur et avait envie de l'embêter un peu. C'était étonnant de la voir comme cela après tout ce qui s'était passé, après toutes les émotions qu'elle avait ressentis, en particulier la peur panique... Oui, mais c'était passé et Archibald pouvait de nouveau retrouver la jeune Nariwen, pleine de joie de vivre et de bonheur. Elle s'approcha un peu et lui dit :
"Ne t'inquiète pas, il n'y a jamais personne qui vient me voir. Et puis le lit est assez grand pour ne pas que je te tue dans ton sommeil."
Elle s'approcha encore un peu. Nariwen était maintenant devant le lit, devant Archibald, les mains sur ses hanches, dans une expression mêlant défi et bonne humeur, les yeux pétillant d'une énergie nouvelle venant d'on ne sait où. Enfin, peut-être qu'elle venait de la chaleur que dégageait le jeune homme, qui sait...


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##   Sam 28 Juin 2014 - 12:24
Archibald McLeen

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La jeune fille avait visiblement reprit du poil de la bête, la jeune Nariwen en panique avait laissé place à une jeune fille débordant de ressources, joueuse et malicieuse. Il la retrouvait bien là ! Cela commençait peut-être à lui manquer un peu.
Le jeune homme restait sur le lit, à observer la démarche de la jeune brune, qui était maintenant au niveau de la porte, la fermant à clef, et provoquât Archibald. Il allait passer la nuit ensemble, à première vue. Bien sûr que non qu'Archibald n'avait pas peur, un sourire légèrement moqueur se dessina sur son visage alors qu'elle le prétendait.

Le temps qu'elle regardait dans son armoire, ce qui était plutôt curieux, en fait, Archibald regardait un peu autours de lui, découvrant ainsi la chambre de la jeune fille. Il n'avait pas encore prit le temps pour regarder la chambre en général, s'étant concentré sur elle depuis qu'il était arrivé, au point même de ne pas se rendre compte que la porte n'était pas fermée à clef alors qu'il l'avait pratiquement forcée. Encore heureux, sinon la serrure serait surement cassée à cette heure.
Et d'un seul coup, alors qu'il venait pile de finir ses petites observation, un coussin sauvage était apparu, et fonçait droit devant lui. Le jeune homme, d'un air taquin, s’allongeât juste après avoir pris le coussin en pleine figure, le gardant sur son visage afin de se cacher.
En effet, pendant que la jeune Nariwen se mettait à rire, les mains sur les hanches, Archibald avait trouvé malin de faire semblant d'être tombé dans les pommes.

Il attendait alors le meilleur moment pour surgir, pour bondir, afin de lui faire une petite frayeur, pour mettre un peu d'ambiance !
Cependant, le corps d'archibald devenait encore un petit cran plus chaud que d'habitude, Nariwen pouvait sûrement sentir cette légère augmentation, ce qui trahirait surement notre homme habituellement froid comme la glace.
De plus, il ne pouvait s'empêcher de regarder légèrement, d'un oeil, qui devait donc être visible, Nariwen, pour voir sa réaction, t encore mieux observer quel serait le moment le plus opportun.

Le jeu recommençait, et les deux jeunes semblaient être plus proches que la dernière fois, dans la cour. C'était un pas en avant, et même derrière cette fatigue, la nuit se présentait déjà comme longue.


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