Comment je me suis trouvée là? Moi-même je ne sais pas. La Master m'avait bercé d'un flot de parole flou et m'avais tendu une valise et l'étui de mon violon. Elle avait prit ma main, me fit monté dans sa voiture et roula. Une heure, deux? je ne sais pas vraiment. Je n'était encore pas remise de ce qu'ils c'étaient passés. Seulement une semaine c'était écoulé après le drame... Siju...

Elle me déposât devant une grande et imposante grille en fer. Puis elle parti. J'étais là... seul... je portais une robe en version sweat shirt noir avec des écritures argenter et la fermeture éclair rouge. Des bottes montante noir. La capuche couvrait mon visage, mes cheveux roses dépasser. Ma valise au sol, près de mes pieds. Je serrais l'étui de mon violon contre mon corps qui frémissait.

J'avais envie de pleurai et ce que je fit. La pluie commença à tomber, et j'étais toujours devant la grille. Quand l'orage éclata je tombie à genoux. Je bouchais mes oreilles avec mes mains tremblante.L'étui du mon violon s'écrasa sur le sol, dans la boue. Je pleurais encore plus.

-Siju... SIJU!!!!

Pourquoi j'étais là et sans lui. Pourquoi j'étais vivante et pas lui...

Devrai-je entré?

L'orage grondé intensément, l'eau c'était infiltré dans le tissu de ma robe ce qui me fessait trembler. Oh bien sur ce n'était pas que de froid, mais aussi de peur. Mon avenir, qui était tout tracé, avait volé en éclat. Je n'avais plus de bute précis, plus rien auquel me raccrocher.

Je sentie une main se posait sur mon épaule. Qui pouvait se soucier d'un pauvre fille à genoux dans la boue et qui de surcroit pleurnicher comme un bébé?

C'était un homme d'un peu près 20 ans? il posa un genou à terre. N'avait-il pas peur de se salir? Pourquoi sortir avec ce temps pourri?

L'étui de mon violon, par sa chute, c'était ouvert. On pouvait entrevoir, un spécimen de secondes mains. Pourquoi, je n'avais pas acheté un violon digne de son non? Tout simplement valeur sentimentale. Siju... me l'avais offert, il avait travaillé dure pour l'avoir.

Ce..Ça va? demanda l'homme mystérieux

C'était vraiment une question étrange, une fille en plein sous la pluie pleur a genoux dans la boue à votre avis? Je ne voulais pas qui me vois en pleur alors je gardais la tête cacher dans ma capuche les yeux river sur le sol.

Quand un second cout de tonner, me fit trésaillir. Je tombais en avant sur.... L'homme mystérieux.

Ma capuche par le vent s'enleva et fit voler mes cheveux roses. De grosse l'arme me coulais le long de mes joue. Et comme toujours lorsque je pleure mes yeux sont encore plus claires que la normal. Je n'arrivais plus à bouger, mon cerveau m'indiquait que je devais au plus vite me relever. Mais non je restais là, sur l'homme en continuent de pleurer et à l'observer.

Je fut abasourdi par la "ressemblance" entre lui et mon frère, bien qu'il a le cheveux brun et les yeux noir, ce n'est pas la ressemblance là que je veux parlé. Mais, la prestance , la carrure. Enfin vous voyer de quoi je veux parler. La personne qui faut voir quand on a des soucis quoi.

Je ne disais plus qu'un seul mots maintenant:

-Siju?

Pourquoi celui là? D'après les médecins, je fais une fixation sur la mort de mon frère, un blocage. Du coup je répétais se mots à longueur de journée.

[C'est moi qui ai 20 ans, mon perso en a 16 ^^]

La fille qui se trouvait devant moi ne dénia même pas répondre à ma question, elle se contenta de baisser la tête en continuant de pleurer. J'aurais quand même pu lui demander quelque chose de moins évidant, comme: D'où tu sors? Ou: Pourquoi tu pleure? Mais non, il avait fallut que je pose cette question bête... Je ne sais vraiment pas y faire avec les gens triste.

Lorsque le tonnerre retentit de nouveau, la jeune femme me tomba soudainement dessus me faisant perdre l'équilibre. Mon premier réflexe fût alors de mettre une main derrière moi pour reprendre mes appuies, en même temps je n'avais vraiment pas envie de me retrouver le cul dans la boue, ni de salir ma belle veste orange ><.
Je cherchai maintenant quelque chose à lui dire, n'importe quoi pour qu'elle s'arrête de pleurer, mais la seule chose qui me venait à l'esprit était une proposition à la con, du genre l'inviter à manger un croissant à la cafète pour que ça aille mieux. Sauf que toutes les blessures ne se réparaient pas grâce à un ventre pleins... Malheureusement.

Pendant que je perdais mon temps à réfléchir, mon regard puis mes pensées se perdirent en fixant sa longue chevelure rose. C'est quand je l'entendis prononcer une nouvelle fois ce prénom inconnu que je repris mes esprits.
Je me retournais alors pour voir si il n'y avait personne d'autres que nous deux.
Personne.
Peut-être que cette fille me prenait pour quelqu'un d'autres, un certain Siju.

Euhhh... Lâchai-je en me grattant la joue. Non, moi c'est Bito.

Je la poussai délicatement de sur moi pour mieux voir son visage pendant un instant et me relevais en m'appuyant sur mon genou.

Tu viens d'arriver je pari. Ajoutais-je en lui souriant paisiblement tout lui tendant tendant ma main mouillée à cause de la pluie pour l'aider à se relever. N'aie pas peur, je ne suis peut-être pas ce Suji mais je peux toujours t'aider.

J'essayais de garder dans ma voix un thon paisible et reposant pour lui montrer qu'elle pouvait avoir confiance. Je savais à quel point c'était dur d'accorder sa confiance à n'importe qui dans un endroit inconnu, mais je ne voulais pas laisser cette file sous la pluie, seule, avec pour seule compagnie des souvenirs surement... douloureux.

Malgré la situation gênante, pour moi en tout cas, il gardait son sang froid. Comme... Siju...

"Euhhh...Non, moi c'est Bito".

Voilà le nom de l'homme mystérieux...Bito. Décidément je n'étais qu'une cruche, je ne parlais pas. Il devait certainement me prendre pour une malpoli. En tout cas, il avait de bons réflexes et était plutôt costaud.

Il me poussa gentiment et se releva.

"Tu viens d'arriver je pari."

"N'aie pas peur, je ne suis peut-être pas ce Suji mais je peux toujours t'aider."

Il était vraiment gentleman, tout en me disant c'est quelques mots il me tendi sa main.

Bizarrement je m'étais arrêté de pleurer, il m'avait en quelque sorte apaiser. Il avait su trouver les bon mots. Les mots qui font du bien. Je n'étais plus si seul.

Je m'essuya le visage d'un révère de main, laissant derrière ce geste une petite tâche de boue, que je n'avais pas remarqué. Je prie sa main et me releva.

Je m'inclina pour le remercier, mais ne prononcer aucun mots. Je n'avais pas le courage.

Quand , par une illumination, je me rappelais que j'avais laissé tomber l'étui de mon violon. Je regardais à droite puis à gauche avec une angoisse lisible dans mes yeux. Je trouvais enfin l'objet de mon angoisse et me jeta dessus pour le refermer. Il n'avait rien ouf...
J'avais enfin mon violon dans les mains contre mon coeur. Je me dirigeât vers ma valise et la saisit. Je me retrouvais une seconde foi devant Bito. Et vous savez quelle réaction débile j'ai eu?

J'ai rougi. Nan, mais sans blague, la honte!!!! Imaginer vous la scène, une fille plantait devant un gars, elle ne prononce aucun mots. Une tache de bous sur le visage!!! Si Siju aurai était là il serait mort de rire, enfin il est.... déjà....

Je le regardais droit dans les yeux, cherchant la flamme qu'avais Siju. Je voulais tellement le sentir près de moi. Nos délires, les taquineries du genre "Eh!! planche a pain!!". Je serais l'étui, mes lèvres tremblaient. J'avais froid... froid...

Attendais là? Ya pas un souci!?! Oh mon dieu, sans m'en rendre compte, par un automatisme, je m'étais approché à mon coût trop près, mais alors trop près. Environ quoi un millimètre nous séparaient. Je crois que c'était encore pire que la scène d'avant. Ralala t'es dans de beau drap ma fille...

Quelle mouche ta piqué!!! J'avais perdu la tête, croire qu'il était comme Siju je le veux bien, mais la jusqu'à lui faire un bisous sur la jou!!!!! cela allait trop loin...

Et ma tête, vous voulait me la rendre quand? Je fais quoi moi ensuite.....

La tactique du mec cool qui aide la jeune demoiselle en détresse était un succès. La jeune femme dont je ne connaissais toujours pas le prénom cessa de pleurer et saisit ma main avant de sécher ses larmes... D'ailleurs elle s'était foutu de la boue sur la tronche la pas douée.

Après ça, moi non plus je ne prononçai aucune paroles, je me contentai de la regarder faire. Ses réactions étaient parfois bizarre... enfin pas vraiment, la fois où elle se jeta de nouveau dans la boue, avait une raison au moins: cet instrument auquel elle semblait beaucoup tenir. A un moment je m'étais même demandé si elle était muette, mais c'était impossible car avait prononcé "Siju" tout à l'heure.
Mais le truc vraiment bizarre, ce fut quand elle se mit à rougir, comme ça, pour rien, alors que je n'avais encore rien dis et rien fait. Je me mis alors à la regarder comme-si elle n'avait plus rien d'humain... Était-ce un extra terrestre qui allait bientôt me demander de téléphoner à la maison (cf: E.T). Ou sinon elle avait de la fièvre.

C'est alors que pendant que je perdais mon temps à la regarder avec des yeux ronds comme des balles de golf, qu'elle déposa ses lèvres sur ma joue. Surement un signe de remerciement. Ma seul réaction à ce moment fut de dire:

Euuuh... y'a pas de quoi. Fis-je avant de lâcher un petit rire en voyant cette tâche de boue qu'elle n'avait toujours pas remarquée.

Attends bouge pas.

Je posai ma main chaude sur sa joue froide, trop froide à mon gout et enlevai la boue en glissant mon pouce sur sa peau. Quand tout à coup un éclair s’abattit sur un arbre pas de loin de nous, le flash et le bruit monstrueux que celui-ci provoqua me fit une peur bleue, j'en bondis sur place.
Normalement j'aimais bien éclairs mais celui là m'avait tellement foutu la frousse que j'en avais failli me pisser dessus. Enfin on va passer les détails je crois.

Putain il est pas passé loin celui là!

attends bouge pas.


Il déposa sa main et enleva la tache de boue. Il avait la main si chaude, c'était tellement agréable. Ça me rappela les nuits où je dormais avec Siju, les nuits d'orage comme celle-ci. Allongeait dans son lit pour me rassurer il me caressait la joue, et sa main était tout aussi chaude. Je fus arraché de mes songes lorsqu'une éclaire tomba sur un arbre. Il me fit sursauté. Je me cachai derrière Brito. Son dos était assez carré. Si apaisant je me collai contre lui pour me sentir en sécurité. Et regarda l'arbre qui prenait feu mais avec la pluie cela ne dura pas longtemps.


Putain il n'est pas passé loin celui-là!

Effectivement, nous avions eu chaud. Mais si c'était moi l'arbre qui aurait reçu la foudre, qui serait morte a cette heure si... Je serai près de lui. Mais une petite voix me disait que je devais avancer et que cette école m'aiderait à évoluer. Et pis, peu être que Brito serait là pour moi.
Je pensais donc qu'il serait temps de rentrait à l'intérieur pour plus de sécurité. Mais comment lui faire comprendre. J'étais donc derrière lui et attrapa sa veste orage au niveau de son bras et tira légerment pour attirait son attention. Je montrai du doigt le grand bâtiment imposant. Et commença donc à me derigait vers la battit. Hélas je n'avais pas remarqué la petite marche de l'entrée. Mon pied se prit dans celle-ci. Fessant volait mon dossier d'inscription. Il tomba au sol. Quant à moi et bien je m'étalai de tout mon long sur le sol. C'était décidément pas un jour pour moi et ma maladresse maladive avait encore frappé. Mais ça n'allait pas s'arrêtait à une petite chute, j'avoue que ma robe était un peu courte. J'avais plus que sa à me mettre sur le dos. Enfin bon ma chute avait fait que ma robe avait laissé entrevoir ma petite culotte. Et vous voyez ce n'est pas le genre de petite culotte sexy, ce n'était le genre de culotte de petite fille, avec que des petites fraises.

Je tournai la tête à gauche puis à droite pour chercher la fille aux cheveux roses. Je n'eus pas à chercher longtemps, car je la sentis juste après se coller à mon dos comme le ferais une petite fille peureuse.
Elle me fit ensuite comprendre qu'il était temps de rentrer à l'intérieur de Terrae. Cette idée n'était pas mauvaise, la pluie ne cessait de tomber et mes vêtement imbibé d'eau commençait à s'alourdir et à me coller, ce qui était vachement désagréable. Je hochai donc la tête et la suivit sans ajouter un mot.

Les mains dans les poches, je marchais derrière elle jusqu'à ce qu'elle loupe la marche de l'entrée et qu'elle parte en avant . Malheureusement mes mains étant coincées dans les poches de mon jean, je ne pu l'empêcher de se vautrer par terre... Mon dieu elle n'avait vraiment pas de chance cette pauvre fille.
Normalement tout bons garçons ce serait précipité vers elle en lui demandant si elle ne s'était pas fait mal, mais ce ne fut pas mon cas. Je mis mes mains devant mon visage pour le cacher avant d'éclater de rire en la voyant dans cette position ridicule, ce n'étais pas très sympa, je le savais, mais c'était plus fort que moi.

Pouhahaha! Excuse moi mais... Dis-je avant de repartir dans un rire incontrôlable.

A moitié mort de rire je m'avançais pour ramasser le dossier qu'elle avait fait tombé, ce fut en rassemblant les quelques feuilles qui en était sortit que je vis le nom de la jeune fille: "Oberu Hizaki", ne cherchant pas à en savoir plus sur elle je revins vers elle un peu plus calmé mais avec un grand sourire amusé et m'accroupis à coté d'elle en lui tendant son dossier.

Tiens Hizaki, et désolé pour le fou rire c'était plus fort que moi. Tu t'es pas fais mal au moins?

Je regardais ses jambes pour voir si elle ne s'était pas fait mal pendant la chute, i n'y avait rien de grave, au pire elle s'en sortait avec un petit bleu.

Son rire... et si... beau. Je souris à mon tour, la chute de m'avait pas fait mal. Et de le voir sourire comme ça me rappeler Siju. Cela me fit le plus grand bien. Il avait ramassé mon dossier et avait certainement lu mon nom car il m'appela par celui-ci. Se qui me fit ressentir une joie immense.

Tiens Hizaki, et désolé pour le fou rire c'était plus fort que moi. Tu t'es pas fais mal au moins?

Je secouai la tête pour dire non pour ses deux informations en rougissant. C'était plus fort que moi, la moindre petite chose et je rougissais comme un coquelicot. Je récupérai mon dossier que je rangeai dans ma valise, et me releva.

J'avais dû certainement me fouler le germe la cheville, car en me relevant une petite douleur se fit ressentir. Mais je fessais comme si tout aller pour le mieux. Bizarrement je voulais lui parler, j'en ressentais l'envi, mais le mot se bousculer sur mes lèvres les fessant se mouvoir. Mais pour mon plus grand regret aucun son né sortit.

Je regardai autour de moi, c'était une grande halle digne de Poudlard, un escalier en bois orner de feuille sculptée dans celui-ci, des portes bois également. Décidément ils n'avaient pas peur que sa prennent feu. Et bien sûr aucune pancarte indiquant aux nouveaux ou allant.

Bito était toujours là je pouvais peu être lui demander, mais comment? Comme lui faire comprendre sans lui parler. J'étais décidément mal à l'aise. Mes mains dans mes poches je regardais le sol. J'aurai tellement aimé pouvoir parler à ce moment. Mais je bloquais totalement. Je le regardais intensément droit dans les yeux en espèrent qu'il puisse me comprendre. Mais bon fallait pas se leurrer je pouvais pas faire de la télépathie.

Elle secoua la tête pour me faire comprendre qu'elle ne s'était pas fait mal, cela me rassura. En effet, si elle s'était blessé pendant sa chute ou si elle se serait vexée, car je me suis quand même un peu foutu d'elle, ça aurait été moins marrant.

Puis elle se releva, donc je fis de même. Je remarquai que ses joues étaient encore un peu rouge, décidément cette fille était vraiment timide, mais pour une fois je trouvai ça marrant. Ce n'était pas comme cet Italien qui avait du mal à aligner trois mots sans bégayer. Enfaite, je ne sais pas lequel est le pire: Ne rien dire? Ou prendre 3 plombes pour faire une phrases?

Je me grattais la tête tout en regardant le plafond pendant que je me posai cette question débile dont je ne trouvais pas la réponse. En même temps, Hizaki me regardait en remuant les lèvres comme si elle voulait dire un truc... Je commençais à avoir un doute là, était muette ou pas!?
Encore une question à la con dont je n'arrive pas à trouver la réponse!

Elle regarda ensuite le sol, ce qui me donna une idée. Il fallait que je sache ce qu'elle voulait me dire, car je n'étais pas doué pour lire sur les lèvres. Donc je sortis un feutre noir, oui c'est ça un feutre, puis je me mis à écrire par terre sur le carrelage... Ouais je sais c'est mal, mais on s'en fout.
J'avais écris par terre pour qu'elle fasse de même pour me répondre. Quoi que j'aurais m'en abstenir... Bah ouais, elle est muette pas sourde.

Tu sais parler ou pas? Avais-je écris sur le sol avant de lui tendre le feutre pour qu'elle écrive sa réponse.

Mon regard fut attiré juste après par un distributeur, je lui montrais du doigts en lui demandant.

Après ton voyage tu dois avoir... GwOooOOooO

Ce bruit sourd? C'était mon ventre qui grognait, mais je pris quand même soin de finir ma phrase.

..Faim. Ajoutais-je en prenant un air coupable voulant dire: Oups.

Il sortit un feutre et commença à écrire sur le sol. Evidement je regardai à droite et à gauche pensant déjà aux remontrances qu'il pourrait avoir, ainsi que moi parce qu'évidemment je répondis. Je pris le stylo dans mes mains et commençai à ébaucher une phrase, mon écriture maladroite confirmait mon stress à l'idée de m'exprimer même indirectement.

Je commençai donc à écrire quand il me demanda si j'avais faim après mon voyage.

Son ventre n'était en tout cas pas contre quelque chose à se mettre sous la dent. Ce qui me fit sourire, il avait décidément le chic pour me remonter le moral.

J'écrivis alors:" c'est compliqué." puis "Oui un peu"

Bien sûr, je ne voulais pas trop l'embêter avec mes affaires personnelles et imposait ma personne.

Alors, je rajoutai: "je ne veux pas trop t'embêter, peux-tu m'indiquait où je dois me rendre?"

Enfaite je crois que je mens un peu, j'aurais aimé rester plus longtemps avec lui, je me sentais mieux en sa présence et cela fessait un certain temps que je n'étais pas aussi cuche devant quelqu'un. Il ni n'avais qu'à Siju que je me montrais comme ça.

Je me levais et chercha ma porte-monnaie puis m'érige vers le distributeur et regarda ce qu'il y avait.

Il y avait des boissons chaudes alors je pris deux canettes puis deux Shiro An des monaka fourrées à la pâte de haricot blanc sucrée. Je lui tendis sa part et reprit le stylo.

"C'est pour te remercier de tout à l'heure"

Je m'assis à ces côtés et commençai à manger. Cela me procura un plaisir fou, comparé à la nourriture servi dans l'hôpital psychiatrique quand ce n'est pas des médicaments...

La fille aux cheveux roses réussit à me répondre par écrit, au moins avec un feutre elle arrivait à s'exprimer. Je souriais content du résultat et laissai quand même une petite pensée à celui qui allait se taper à nettoyage, il allait devoir bien frotter le pauvre... Eh oui je venais de remarquer que c'était un feutre ineffaçable. Bizarrement, ce n'était pas la première fois que ça m'arrivais, la première fois c'était sur la main d'Aoi que j'avais écris avec ce feutre.
Lâchant un petit rire nerveux en voyant ce qu'il y avait écrit sur le feutre, je décidai de ne pas le dire à Hizaki. Je n'avais pas envie qu'elle se sente coupable d'avoir "dégradé" l'institut.

Faisant comme si de rien, je la regardais qui revint avec deux pâtisseries japonaises et deux boissons qu'elle partagea avec moi, c'était... c'était si gentil! Et quand je la vis écrire "C'est pour te remercier de tout à l'heure" je ne pu m'empêcher de la prendre dans mes bras en fondant en larme.

C'est trop mignon! Fis-je en sanglot.

J’exagérais peut être un peu, mais quand on m'offrais de la nourriture je ne pouvais m'empêcher d'être comme ça. Et puis c'était quand même la première à m'avoir remercier comme ça depuis mon arrivée ici.
Un mec vint quand même à passer par là, il nous regarda de façon étrange avant de poursuivre son chemin. En même temps quand on voit deux personnes qui mangent assis par terre en gribouillant sur le sol, l'un en train de chialer dans les bras de l'autre... On se pose des questions.
Essayant alors de calmer ma joie rapidement je toussotais pour reprendre mon sérieux.

Hem, Hem... merci Hizaki. Puis j'ajoutai en souriant de nouveau. Ne t'inquiètes pas, on va amener ton dossier à l'accueil et après je t'accompagnerais au dortoir pour que tu t'installes.

L'effet produit sur lui était impressionnant, ce qui me laissa perplexe. Se faire littéralement sauter dessus par un mec en pleure c'était comme voir un fantôme. Tout simplement improbable. Ne sachant pas comme réagir je fis l'autruche, je ne bougeai pas d'un poile. Un mec passa par là, je le regardais un instant en espérant qu'il nous ne verrait pas, mais je rêvais il nous regarda. Gêner de la situation je regardai ailleurs en priant qu'il parte au plus vite.

Bito se reprit

"Hem, Hem... merci Hizaki." Puis il ajouta en souriant.

"Ne t'inquiète pas, on va amener ton dossier à l'accueil et après je t'accompagnerais au dortoir pour que tu t'installes."

Je m'inclinai légèrement pour le remercier et lui fit un sourire. J'étais heureuse qu'il ne me laisse pas tout seul. Et j'avoue que je n'étais pas rassuré d'être dans un si grand lieu inconnu. je finis de mangeais, léchai mes doigts et me leva. Je m'étirai et soupirai pour montrer que j'étais plutôt détendu.

Je me rapprochai de Brito et regardèrent ses cheveux, je ne sais pour quelles raisons je me demandais s'il était doux comme ceux de Siju. Je regardai ma main puis je passais mon regard à ses cheveux ainsi de suite. Puis m'assurant que j'avais la main propre en l'essuie sur ma robe. Je passai ma main dans ses cheveux. Ils étaient humides et doux...

C'était vraiment étrange de faire son non? je me détournai de lui et mis ma main devant mon visage.

Pourquoi? parce que mes larmes s'étaient mises à couler toutes seules. Je nie pouvais rien, ma blessure était encore trop fraiche et Bito me fessait penser à Siju.

Je ne voulais pas qui pense que j'étais qu'une pleurnicheuse alors je me calmai. Respirant longuement en fessant le vide dans mon esprit c'était la seule chose à faire. Oublier la seule alternative possible, mais est vraiment possible de tout oublier?

Je repris le stylo et écrivis:
"Désoler, on y va?"

Tandis que je finissais de déguster cette petite pâtisserie, Hizaki se mit, pour je ne sais quelle raison, à me tripoter les cheveux... ou plutôt me les caresser comme le ferait une mère à son enfant. Bizarrement, cela eut pour effet de me donner un grand frisson qui me parcourut le dos, elle avait même réussit à me faire rougir tiens. Il fallait le dire, je n'avais pas l'habitude qu'on me touche les cheveux pour ne pas me les ébouriffer.

M..mais... Bégayais-je. Qu'est ce que tu fabrique?

Quand je lui posai cette question, elle détourna son visage, sa main sur son visage pour essayer de masquer son visage. Malheureusement pour elle, elle ne réussit pas à me cacher cette larme qui était arrivée à passer sous sa main et qu'elle sécha rapidement. J'avais envie de lui dire, lui dire que c'était normal de pleurer et qu'il valait mieux le faire un bon coup pour relâcher cette pression. Mais s'était arrêté, elle essayait d'être forte et je trouvais ça très courageux de sa part.

Elle me demanda ensuite en écrivant sur le sol si on pouvait y aller maintenant. Je hochai la tête et lui répondit.

Prends ta valise, j'arrive.

Je me relevai, et pendant que celle-ci était occupée à prendre sa valise je tentai d'effacer l'encre sur le sol en frottant ma chaussure encore un peu mouillée sur le sol... Et merde, je n'aurais pas dû!
L'encre ineffaçable mélangée à l'eau firent l'effet contraire auquel je m'attendais, au lieu de l'effacer j'étalais l'encre faisant une grosse tâche noir sur le carrelage. Néanmoins, j'affichais un grand sourire amusé en regardant Hizaki, un sourire voulant dire: "Oups j'ai fais une belle connerie!"

Héhé, il vaut mieux pas trainer ici sinon on va devoir se taper le nettoyage demain matin. Dis-je en rigolant. Aller on y va!

J’avançais enfin à ses cotés et lui fis signe de me suivre.
Comme prévue, je l'emmenai à l'accueil pour qu'elle y dépose son dossier, le réceptionniste lui souhaita la bienvenue et lui dit aussi qu'elle allait se plaire ici. Enfin, c'est toujours ce qu'ils disent ça mais des fois on ne se sent bien que chez soit, avec ses familles et ses amis.
Je posai donc ma main sur l'épaule d'Hizaki et lui dis à voix basse.

T'inquiètes, tu n'es pas toute seule. Et puis, si tu as besoin d'aide je serais toujours là.

Et des ennemis eus-je envie de dire, mais je n'avais pas envie de lui raconter les mauvais côté de cette institut maintenant.

Il me demanda de prendre ma valise et de le suivre c'est-ce que je fis. On aurait dit un petit poussin qui suit sa maman. Il marchait assez rapidement et quand je commençais à le perdre je courais pour le rattraper. Il voulait certainement éviter de se faire prendre pour le nettoyage du sol, mais c'était sans compter que j'avais pris m'a responsabiliser et avait laissé un petit mot pour dire que j'étaie la fautive et que je nettoyai les dégât.

Nous sommes arrivés rapidement à l'accueil ou la Dame qui s'occuper des formulaires m'informât que je me plairait ici. De toute façon quoi qui se passe je me sentais mieux ici que dans la maison pour les fous.

T'inquiète, tu n'es pas toute seule. Et puis, si tu as besoin d'aide je serais toujours là.

Il accompagna ses paroles d'un geste amical et réconfortant, c'était sûr qui ne me disait pas tous. Mais j'étais peu été pas assez courageuse pour savoir quoi.

La Dame me donna une clef, le numéro de la chambre que je partageais avec d'autres "novis" et mon emploi du temps. Il avait bien longtemps que j'avais arêtté les études pour ma carrière. Siju aurait été fier de moi, enfin c'est ce qu'on se dit.

Avent d'aller voir ma chambre je voulais montre quelque chose à Brito, je regardais rapidement le plan de l'école et trouva l'endroit idéal. Je lui prit la main et le tira vers une pièce.

C'était sans doute la salle de musique, j'ouvris ma valise et prit un cd dans mes mains. Qui portaient le nom du remix by Hizaki Oberu. C'était le cd que j'avais créé mais celui-ci était celui que j'utilisais pour mes répétitions. Je l'installai et pris mon violon qui était électrique.

La musique emplit la pièce et je commençai à jouer avec la musique ,une remix de Beethoven.

La musique emplie la pièce et je commença à jouer avec la musique. Une remix de Beethoven.

Tout mon corps ce dettendi , j'avais l'assurence de ma musique, mon art que je tennais dans mes mains et qui exprimait mes sentiments.

Je tournoyais dans la salle et mes cheveux dansaient avec mon corps. La musique finie je m'inclina machinalement. Mon coeur battait à la chamade. J'esperai de tout mon âme qui avait resenti le message que je lui transmettais.

Je souriais de mon plus beau sourire.