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L'invention du siècle pour un handicapé ~ ( Hisméria :D )
##   Mer 23 Juil 2014 - 17:30
Anonymous
Invité

- J'ai loupé des épisodes je crois, "abruti aveugle" est bien un surnom que t'aurais donné ce cher Lysandre. [/size]
Hisméria surprit répondit :
- Ah te voilà toi enfin ! Je commençais à trouver le temps long. Ce n’est pas parce que tu viens d’être soigner que je vais t’épargner. Alors si on pouvait régler nos petits différents rapidement, ça m’arrangerait.
Ludwig détendu s’écria :
- Nous voilà de nouveau, j'ai loupé des épisodes mais Lysandre me racontera... Il n'a pas encore donné signe de ça présence mais je le sens avoir peur. Tu lui as fait encore plus flippé qu'il ne l'est déjà en te voyant ?
Hisméria d’une tonalité superbement calme s’exclama :
- Tu ne sais pas à quel point gamin, sur ce coup là, tu as des raisons de t’inquiéter.
Le gamin provocateur en ajouta une couche :
- Je suis sûr que tu meurs d'envie de savoir ce que j'ai dis à Lust !

L’adolescent commençant à perdre son sang froid ne pu s’empêcher de rétorquer d’un ton un peu plus agressif :

- Ça dépend du temps que tu comptes passer sur cette terre : si tu ne veux pas que je t’ouvre en deux, en effet il va falloir que tu parles. Oh et puis, ce n’est pas comme si nous étions pressés… Non, vraiment pas…

L'infirmière entre dans la pièce puis sourit, me voyant plutôt en forme. Elle sourit tout en me prenant la main.

- Ah ! Lysandre ! Comme je suis heureuse de te voir ainsi en bon état.

- Moi aussi, j'étais inquiet de ne pas pouvoir vous revoir Christine. Je suis de meilleures formes que cet homme dans ma chambre !

Hisméria grincheux ajouta :

- Hey ! Je vais très bien merci.

- Mais que s'est-il passé ?!

- Oh si vous saviez ! Mon demi-grand-frère Hisméria est un ange. Il m'a même apporté des croissants !

« Mais qu’est ce qu’il fabrique ? Il veut que je l’explose tous de suite ou ? Plutôt mourir que de faire partie de la famille de cet énergumène » Pensa rageusement Hisméria.

L’infirmière quant à elle reprit la parole :

- Votre demi-grand-frère ?

- On ne dirait pas hein ? Il tien surement du côté rustre de notre père. Mon grand-frère que j'aime m'a défendu contre un malfaiteur qui voulait me faire du mal. C'est un héros vous savez ?

- Oooh... Comme c'est adorable... Je ne le savais pas !

Hisméria d’espéré soupira simplement.

- Hisméria et mon grand-frère chéri que j'aime, j'aimerais bien qu'il me fasse des câlins mais il dit toujours : " pas en publique gamin ". Héhé, il est un dur au cœur tendre ! Alors pourriez-vous nous laisser un moment fraternel s'il vous plait ?[/size]

- Oui bien sûr, vous avez l'air de vous entendre si bien ! A tout à l'heure !

- Un câlin, grand-frère Hismé' ?

Une lueur apparut dans le regard d’Hisméria. C’était comme si, celui-ci venait d’avoir une idée. L’homme répondit :



- Oh mais pourquoi pas ! Viens là petit frère.

Hisméria s’approcha doucement de Ludwig. Une fois dans ses bras, l’adolescent resserra discrètement l’étreinte et sortie une petite lame du haut de sa manque qu’il appliqua directement sur la cote du gamin, faisant maintenant pressions. Aussi tôt, l’homme murmura au creux de l’oreille de Ludwig :

- Si tu bouges, tu y restes. Maintenant suis-moi.

Hisméria bien fort fit exprès de s’écrier :

- Allez viens petit frère nous allons faire une ballade nocturne ! Ca ne peut pas nous faire de mal !


Avant d’emmener Ludwig dehors sur le parvis de l’établissement.


 

Une fois dehors et à  partir de cette instant, Hismé fut saisit par une drôle de sensation ; C’était comme ci tous les éléments de l’environnement qui s’offraient à lui semblait déformé par le pouvoir médicamenteux des soins que l’homme venait de recevoir. L’effet poudreux du nuage médicamenteux créa une sorte d’illusions vivantes. Et l’homme divagua dans une drôle d’impression, sans pour autant lâcher le gamin :



« Hurler, courir, fumer. Entendre le clocher de l’école sonner minuit. Vagabonder, errer. Regarder la lune en face, s'enfuir, courir, sauter. S'enfuir, courir, sourire. Sourire  L'été se meurs. L'été agonise sur son lit de fleurs. Dans les douces vapeurs de la tendre brume, les arbres frémissent dans leur sommeil.



La lune me scrute, la lune m'espionne sur son lit de nuages. S'évader. S'évader dans quelques prisons glauques, respirer l'air vicié à plein poumons, trembler sous la brise mordante. Une heure du matin. Les aléas nocturnes s’en donne à cœur joie, si bien que leurs rugissements recouvrent Terrae. Pas un bruit ne raisonne dehors. Comme si  dans un sommeil sans rêve empli d'errance avait saisit le lieu.



Les espoirs s'envolent comme des papillons blessés, vagabondent entre les bâtiments de l’institut grouillent et se bousculent autour d'une goutte de miel doré. Aveugle, immobile, ses feuilles cachent les étoiles.



Des marionnettes désarticulés rampent, se tordent, titubent vers le brouillard. Boire, errer, rêver. S'enfermer, se terrer. Creuser sous la terre, creuser plus profond, à la recherche d'humidité. Plonger dans les lacs souterrains, fermer les yeux, laisser le courant t'emporter vers les champs de fraises éternels Se noyer. Il est trois heures du matin. Sourire.

Les poissons se laissent couler, leurs yeux laiteux cherchent la lumière, les champignons se glissent, s'immiscent, des crânes vaporeux font la queue pour du fongicide, des araignées s'exilent et patientent dans leur coin d'ombre. Le monde cherche la lumière et s'enfonce dans les ténèbres, au milieu de chemin engluées dans les vapeurs d'opium et de morphine somptueusement mélangés.



Se réveiller, suffoquer, remonter précipitamment à la surface. Tirer la grimace, tenter des acrobaties théâtrales. 5 heures. Hismé reprend toi ! Hismé sort de la ! Hisméria réveille toi!  »

- Oui Célèste.

Prononça Hisméria encore dans les vapes

Suffoquer. Se réveiller. Sans lâcher le gamin. Un bruit alarment venant du buisson. Se mettre en garde comme par automatisme.  L’homme s’exclama maintenant qu’il était un peu plus lucide :

- Saleté de papillons chimiques. Hum. Tu as entendu ça gamin ? Je me demande ce que ça peut bien être.

Hisméria fit une courte pause pour revenir entièrement à lui et souffler un coup. Après avoir tiré sur le col de Ludwig, l’adolescent reprit :

- N’en profite pas pour te défiler ! J’attends toujours que tu t’expliques !  [/justify]


Dernière édition par Hisméria Altair le Mer 17 Sep 2014 - 13:15, édité 3 fois
##   Dim 27 Juil 2014 - 17:14
Anonymous
Invité

- Oh mais pourquoi pas ! Viens là petit frère.

Hein ? Hum... Pourquoi quand il avance je le sens mal ? Je ne m'attendais pas à ça. Un câlin de cet abruti... Cela me laisse sans voix ! Hum ? Est-ce une lame que je sens près de mon magnifique corps ? Je m'en doutais, ce n'est qu'une façade pour m'approcher en me menaçant de nouveau. Il n'en a pas marre de me courir après ? Il veut que l'on sorte d'ici ? Mais je ne suis même pas habillé ! Il me traîne pourtant à l'extérieur, heureusement j'ai eu le temps d'envelopper le drap blanc autour de moi. Je le met correctement malgré que cet imbécile me tien toujours. On se déplace ainsi jusque dans un parc laborieusement car Hismé semble distrait. Pourquoi fixe t-il la Lune comme ça ? Elle ne va pas le manger ! Comme désorienté, il regarde un peu partout comme si un piège nous attend.

- Saleté de papillons chimiques. Hum. Tu as entendu ça gamin ? Je me demande ce que ça peut bien être.

Qui est Céleste ? Non, j'm'en fou pas mal, pourquoi parle t-il de papillon ? Y'en a pas à ce que je sache. Et entendre quoi ? Pfft', il n'y a rien, c'est juste les médoc qui on fait effet c'est tout. Et non, cette fois-ci ce n'est pas de ma faute. Il est bien en piètre état le ninja, il serait temps d'en profiter.

- N’en profite pas pour te défiler ! J’attends toujours que tu t’expliques ! Dit-il en prenant par le haut du drap.

Pauvre de lui, il me fait presque pitié à voir. Tu deviens fou vieux ivrogne ? Je me colle un peu à lui, caressant ses cheveux. Oui, ça me dégoûte de le faire, ses cheveux sont trop sec et rêche, il ne connait pas les shampoings adoucissant ou lissant ? Franchement !

- Voyons Hisméria, il n'y a que nous deux ici... La nuit dans un parc c'est plutôt romantique ! Je ne sais pas si tu as remarqué mais j'aime les hommes. Les femmes un peu, ça dépend aussi... Mais surtout les grands, beaux et ténébreux... tu as une si remarquable cicatrice Hismé', si droite...
-Fais-je en passant mon ongle sur sa cicatrice.-
Ce que j'ai dit à Lust... Hum... Il n'y a rien à expliquer ! Je suis fou de lui, j'attend le jour où je pourrais l'avoir entre mes ongles bien vernies.  
-Un vernie transparent, bien sur ça fait ongle en bonne santé-


Je retire mon autre main, Hisméria me tien toujours. Je les pose chacune sur l'une de ses épaule avant de l'embrasser en passant légèrement ma langue. Répugnant mais ça semble marcher.

- Hum... Sucrée... Soufflais-je à son oreille avant de me lécher les lèvres.

Il me lâche et j'en profite pour lui donner un coup de pied bien placé, c'est à dire, à l'endroit où tout homme n'aimerait pas s'en recevoir. Je reprend dans mes mains les deux bouts du draps blanc pour me les replacer tout en courant vers un buisson.

- Arg !!

Sapristi !! Je suis tombé par terre ! Sur la terre en plus !! Quel horreur ! Mais sur quoi suis-je donc tombé ?! Mes draps sont toujours bien sur moi, ça va mais du coup, je suis sale ! Il me faut me laver, tout de suite ! Ce qui m'a fait tomber va le payer ! C'est quoi d'ailleurs ? Une racine ? Un animal ? Quelqu'un ?
##   Lun 28 Juil 2014 - 18:28
Lumia Hearts

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Lumia Hearts
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Humeur : Tu viens jouer avec moi ?

Hrp : Coucou <3 Au niveau du code de mes rps, je tiens tout de même bon nombres de choses : Mes réponses seront en bleu, les tiennes en italiques, et tout ce qui se trouvent en gras, sont les pensées de Lumia à Mr Ink (et vice versa). Si je souligne les paroles en gras, c’est que Lumia à exprimer sa pensée à haute voix. 

- Bordel mais réveil toi ! Gamine tu m’entends ? Gamine ? LUMIA ? LÈVE TOI ! Tu  ne vois pas que ce n’est pas le moment de pioncer ! En plus, je ne sais même pas où nous sommes, ça pourrait être dangereux...
La petite fille retrouva peu à peu ses esprits.
- Hmm qu’est ce qu’il se passe Monsieur Ink ? Ou est ce que nous sommes ?
- Je ne suis pas sûr de ce qu’il s’est réellement passé, une drôle de femme est venu nous voir, nous a emmené dans une salle, puis après, c’est le vide dans mon esprit.  Mais en tout cas, quelques choses à changé, c’est comme si une nouvelle porte s’est ouverte. Et pour l’endroit ou nous sommes, on dirait qu’on n’est pas trop loin de l’institut ! Regarde on voit les toits là bas !
La petite fille tourne la tête, se levant tout doucement. Sa tête est encore sous le choc des changements. Celle-ci a du mal à trouver son équilibre. Surprise, l’enfant s’exclama :  
- Ah mais tu as raisons ! Mais Monsieur Ink, pourquoi je ne comprends rien à ce que tu racontes ? Comment ça une nouvelle porte ?
- Bah c’est étrange, mais maintenant j’ai comme l’impression d’arriver à scanner les pensées qui nous entourent. Mais en très petites quantités ! A vrai dire, je ne suis capable d’en comprendre que quelques mots. Tout à l’heure, j’ai réussis à comprendre une bribe de conversation mentale. Mais vu que tu dormais, j’en ai conclut que ça ne pouvait pas être toi !
- Mais ce n’est pas possible ! La seule personne que tu n’as jamais réussit à comprendre c’est moi !
- Chut gamine ! Ca recommence ! Des personnes sont tous prêt de nous, je vais essayer d’y voir plus claire !
Monsieur Ink se concentra et commença à trembler de toutes ses forces. Si bien que le buisson se mit à s’agiter lui aussi. Au bout de quelques instants, celui-ci s’exclama :
- Wow, j’ai pas tout compris, l’une des personnes éprouve une amertume totale, et l’autre un plaisir presque sexuel. Faut que j’aille voir !
La petite peluche sauta des bras de Lumia et commença à sortir de la forêt.
- Monsieur Ink attend ! Et puis depuis quand tu peux te déplacer ?
- Ca c’est plus ancien gamine, mais jusqu'à présent, je n’éprouvais pas le désir de bouger !
- Monsieur Ink attend ! […]
- Bon voyons voir, ça doit être par la, si je me trompe pas …
Boom
Monsieur Ink se cogna contre quelque chose et fut renversé  la tête la première. Lumia affolé, commença a chercher son ami :
- Monsieur Ink, ou es-tu ? Ah te voila !
La peluche de bougea plus d’un poil. Lumia surprise découvrit deux personnes un peu étrange l’une en face de l’autre. L’une des deux personnes était par terre a coté de la peluche. Lumia s’exprima :
- Oh bonsoir ! Pourquoi le monsieur est tout nu par terre sous un drap à coté de Monsieur Ink ? Oh je vois ! Vous vous faites des bisous, c’est tellement mignon !
Monsieur Ink eu une drôle de réaction, sans bouger, celui-ci reprit :
- Oula qu’est ce qu’il se passe… Lumia attention, l’homme à la cicatrice va sortir son Katana. Et puis c’est bizarre il marmonne des trucks incompréhensible sur une certaine Célèste. Il commence à me donner mal aux cranes ! Quand à celui qui est sous le drap, j’ai plus de mal à le comprendre, mais c’est bizarre, on dirait qu’il fantasme : ça en deviens malsain ne t’approche pas !
- Très bien monsieur Ink. J’ai compris ce que je dois faire.
La petite d’une voix douce dit d’une manière tout à fait normal :
- Ce n’est pas la peine de sortir votre Katana monsieur à la cicatrice, je ne sais pas qui est Célèste, mais à mon avis, elle n’aurait pas aimé ça…
-Célèste… Et pourtant ce nom me dit quelques choses… Bordel, ou ai-je déjà entendu ce nom la ?
- Calme-toi Monsieur Ink, ça va bien se passer.
Lumia reprit la parole :
- Quand à toi monsieur bizarre aux pensées étrange, mon papa ma toujours dis que ce n’était pas bien de pensées aux autres petites filles ! Alors je suis sur que ça doit être pareil pour les garçons.
- Bon gamine… C’est quand tu veux pour venir me chercher, je ne suis pas sur que nos deux inconnus aimerait ça que je me déplace, et puis tu ne t’es même pas présenté.
- Oups ! Tu as doublement raisons Monsieur Ink.
- Ha heu bonsoir ! Je suis vraiment mal poli, je n’ai pas pensé à me présenter. Je m’appelle Lumia, Lumia Hearts comme cœur ! Et lui par terre c’est Monsieur Ink ! Est-ce que vous voulez bien que je récupère ma peluche ?
- Non Lumia c’est dangereux ! Reste ici !
- Ca va aller Monsieur Ink, fait moi un peu confiance. Ils ne nous feront pas de mal…
Lumia s’approcha tout doucement et récupéra monsieur Ink. La petite fille se trouva maintenant à hauteur atteignable des deux autres personnes... Avec un grand sourire, la petite fille reprit la parole :
- Et vous, c’est comment ?
 
 
 
 


L'invention du siècle pour un handicapé ~ ( Hisméria :D ) - Page 4 Signa_11

Spoiler:
##   Mar 29 Juil 2014 - 17:28
Anonymous
Invité

- Voyons Hisméria, il n'y a que nous deux ici... La nuit dans un parc c'est plutôt romantique ! Je ne sais pas si tu as remarqué mais j'aime les hommes. Les femmes un peu, ça dépend aussi... Mais surtout les grands, beaux et ténébreux... tu as une si remarquable cicatrice Hismé', si droite...
 - Mais qu’est ce que tu fou gamin ? Arrête […]
 Avant qu’il n’eu le temps de réagir, Ludwig était déjà en train de l’embrasser. Ce drôle de baiser anima un souvenir bien particulier en Hisméria :
*
 
« Hisméria succombe dû à cette infime partie de moi-même, une petite voix fébrile chuchotant diverses paroles dans mes pensées, des voix qui me perturbent, faisant chavirer mon esprit, mon système sanguin est à son extase, tourbillonnant de folie, ma main droite est prise d'une série de tremblements, mon système nerveux ne comprend plus grand-chose, tout comme moi-même d'ailleurs.
 Je suis aux côtés d'une personne au caractère bien mystérieux, cachant pour la plupart du temps l'intégralité de ses émotions extérieures, en se dissimulant derrière des principes que je supporte moi aussi, s'axant sur la justice et la fraternité.  Cet femme qui est à mes côtés est sujet d'une arme de poing, qu'elle chargera en m'adressant un regard des plus inquisiteurs qui soit, me faisant comprendre que c'était le moment ; je devais abattre cet individu, inconsciemment ou pas, je devais le faire car c'était véritablement le moment, ma vie en dépendait.
 Tout du moins, c'est ce que mon acolyte me disait. Je ne pense pas qu'il était indispensable d'abattre cette cible. Je dirais plutôt que j'avais le besoin de le faire. J'avais le besoin de le faire pour faire mon deuil, probablement. J'ai néanmoins trouvé cette énergie inconnue pour continuer mon acte.
 C'est ainsi qu’ Elsa pressera à une reprise la détente alors que je ne réussit pas a dégainer mon arme, tirant à une dizaine de reprise jusqu'à entendre ce bruit assourdissant dans mes oreilles, résonnant au rythme incessant des cris de mes camarades planqués juste derrière notre maudit véhicule.
 Le bruit singulier d'une arme déchargée. Un bruit qui, malgré tout me rassurera. Je ne peux m'empêcher d'accorder un regard à ce type à qui Elsa venait de retirer la vie, sujet d'une vingtaine de balles dans le torse et dans le crâne.
Qui sommes-nous réellement et concrètement pour distinguer le mal du bien? Nous sommes tous identique, sans exception notre vie dépend de nos choix et de notre envie de nous en sortir ; sortir de cette spirale infernale, sans fin.
 J'ai fait mon choix et j'en suis condamné, condamné à perpétuité. Ce que je savais en revanche c'est que je m'approchais de plus en plus de la sortie. Une sortie évasive me défoulant intérieurement, recrachant perpétuellement ma folie quotidienne à travers un code inculqué par mon géniteur. 
 A cet instant précis, du haut de son regard froid et glacial ; mélangée à une haine viscérale tout autant compréhensive en vue de la situation actuelle, Hisméria n'eût à penser à un autre échappatoire ; la mort. Sentiment plus qu'étrange pour lequel les êtres humains, du moins les  autres êtres humains, sont attristés, apeurés. Jusqu'à ce jour je ne savais véritablement pas ce qu'était ce passage vers l'Au-Delà me contentais simplement d'admirer cette magnifique transition vers cette magnifique sortie évasive, éblouissante..
Je n'avais pas à y penser, non, je n'avais pas à y penser car ce sentiment ne m'a jamais beaucoup atteint. Certains psychanalystes diraient que cette non-conformité serait probablement relative à un choc émotionnel durant l'enfance d'autrui. Est-ce vrai dans mon cas? Ai-je été sujet d'un terrible choc? Ces images me dévastant moralement, plusieurs images défilant successivement dans ma tête lorsque je trouve enfin le sommeil dans cet instant paradoxal. Cette femme, gisant dans une épaisse flaque de sang ; serait-ce ma soeur? Tant de questions qui restent désespérément sans réponses. Se taisant à jamais dans un silence des plus total causant inévitablement des troubles irréversibles chez l'auteur de ces atrocités.
 - A quoi tu penses encore Hismé, ça suffit de rêver, ce n’est pas le moment
- Oui tu as raisons Elsa.
- Décidément, tu ne changeras jamais. La jeune femme soupira, puis se mit à sourire. Oh et puis viens-la.
Elsa l’embrasse tendrement »
 Hisméria se mit à parler à haute voix :
- Elsa…
 Ludwig, ne pu s’empêcher d’ajouter à l’oreille d’Hisméria :
 - Hum... Sucrée...
 Hisméria furieux prépara à frapper Ludwig et s’exclama :
 - Ok gamin prépare toi je vais te casser la gueule !
 Mais avant qu’il n’eu le temps de faire quoi que ce soit, Ludwig tomba par terre, prononçant un léger cri de douleurs :
 - Arg.
 Hisméria se mit à lui faire un léger sourire avant d’ajouter :
 - De mieux en mieux, voila que je te fais tombé sans bouger.
 Tiens on dirait que le buisson s’agite de plus en plus ! Reste tu tes gardes Hismé, tu ne sais pas ce qui peut t’arriver dessus.
 - Oh bonsoir ! Pourquoi le monsieur est tout nu par terre sous un drap à coté de Monsieur Ink ? Oh je vois ! Vous vous faites des bisous, c’est tellement mignon !
 Ok maintenant, je vais devoir faire disparaitre les témoins en plus. Peut être qu’elle comprendra si je sors mon arme.  
 La jeune inconnue s’exprima avant qu’Hisméria n’eu le temps de rien faire :
 - Ce n’est pas la peine de sortir votre Katana monsieur à la cicatrice, je ne sais pas qui est Célèste, mais à mon avis, elle n’aurait pas aimé ça.
 Hisméria fut déstabilisé par la prise de parole de la petite fille. « Mais ou est ce que j’ai vu cette gamine ? Son visage me dit quelques choses. Comment à t’elle deviné pour mon Katana ? Et puis, Je n’ai jamais parlé de Célèste, comment à t’elle fait pour connaitre son prénom ? » Pensa l’homme inquiet.
 La petite fille souriante reprit la parole :
 - Quand à toi monsieur bizarre aux pensées étrange, mon papa ma toujours dis que ce n’était pas bien de pensées aux autres petites filles ! Alors je suis sur que ça doit être pareil pour les garçons.
 Hisméria soupira et répondit de manière impulsive :
 - Écoute gamine, je ne sais pas ce que tu fais la, mais justement retourne voir ton père. Il te sera toujours plus agréable que nous deux crois moi. Si tu restes trop longtemps, tu finiras par le regretter.
 La petite fille ne prenant pas peur reprit :
 - Ha heu bonsoir ! Je suis vraiment mal poli, je n’ai pas pensé à me présenter. Je m’appelle Lumia, Lumia Hearts comme cœur ! Et lui par terre c’est Monsieur Ink ! Est-ce que vous voulez bien que je récupère ma peluche ? Et vous, c’est comment ? 
 Hisméria répondit 
 - Lui c’est un gamin tout comme toi, et moi une grosse brute aveugle. Ca te va comme présentation ?
Hisméria soupira et reprit la parole : 
- Comment as-tu connut Célèste ? Tu travailles pour S.N.E, c’est ça ?  Parle ou je vous jure, que je tue toutes personnes présentes ici, en commençant par toi gamin. Tu as 5 minutes.

Hisméria se glisse derrière Ludwig et met à sa lame sous sa gorge. 


Dernière édition par Hisméria Altair le Lun 4 Aoû 2014 - 20:16, édité 1 fois
##   Sam 2 Aoû 2014 - 13:43
Anonymous
Invité

- Oh bonsoir ! Pourquoi le monsieur est tout nu par terre sous un drap à coté de Monsieur Ink ? Oh je vois ! Vous vous faites des bisous, c’est tellement mignon !

Hein ? Mais c'est quoi ça ?! Non, je veux plutôt dire : Qu'est-ce que ça fait là ?! Cette gamine se promènerait-t-elle toute seule par hasard ? Hum... Pas de maman apeurée à l'horizon. C'est qui ça Monsieur Ink ? Ah... Sa peluche... Elle a quoi ? Dix ans ? Même pas, je dirais moins. Ouai gamine, on se fait des bisous tout à fait... Et voilà qu'elle cause à cet imbécile d'alcoolique... De mieux en mieux les gamins de nos jours. Bon, je me relève et je me casse de là.

- Quand à toi monsieur bizarre aux pensées étrange, mon papa ma toujours dis que ce n’était pas bien de pensées aux autres petites filles ! Alors je suis sur que ça doit être pareil pour les garçons.

Hein ? Elle ne va pas bien elle. Je ne suis pas intéressé par les gamins mais par les beaux hommes bien mûre... Pas plus de trente ans sauf s'il paraît bien plus jeune et des muscles... Miam... Bref... La môme récupère sa peluche avec son air niaise à vomir. Je m'en fiche pas mal d'elle franchement. Elle va m'apporter quoi ? Rien du tout.

- Écoute gamine, je ne sais pas ce que tu fais la, mais justement retourne voir ton père. Il te sera toujours plus agréable que nous deux crois moi. Si tu restes trop longtemps, tu finiras par le regretter.


- Ha heu bonsoir ! Je suis vraiment mal poli, je n’ai pas pensé à me présenter. Je m’appelle Lumia, Lumia Hearts comme cœur ! Et lui par terre c’est Monsieur Ink ! Est-ce que vous voulez bien que je récupère ma peluche ? Et vous, c’est comment ?

- Lui c’est un gamin tout comme toi, et moi une grosse brute aveugle. Ca te va comme présentation ? Il soupire puis continu. Comment as-tu connut Célèste ? Tu travailles pour S.N.E, c’est ça ? Parle ou je vous jure, que je tue toutes personnes présentes ici, en commençant par toi gamin. Tu as 5 minutes.

Alors que j'allais me relever pour me carapater vite fait je sens une lame près de ma gorge. Et me voilà encore tenir compagnie à la lame de son katana. Ce type m'énerve, comment lui échapper ? Le coup de pied dans les parties ne l'a pas empêché de me rattraper mais aurait pu si cette gamine ne serait pas là ! Pfft', je n'ai pas à parler à une gamine insignifiante. Comment me sortir de là ? Je suis sur les genoux et l'autre taré me menace encore.

- Tu es vraiment stupide toi, tu crois vraiment qu'un truc comme ça où l'on peut shooter dedans comme dans un ballon ferait partie de ton club de jardiniers ? Tu fais pitié à voir avec ton hobbit d'S.N.E que tu sors à tout bout de champs ! Laisse partir cette gamine qui ne sert à rien, à moins que tu préfère les baisés des gamines plutôt que des "gamins".

Je soupire avant de reprendre.

- De toute façon tu ne me tueras pas puisque je pourrais être le moyen pour tuer Lust et même approcher ton S.N.E. En me tuant tu rates une occasion en or, sache que je peux approcher Lust et même le toucher et tu sais pourquoi ?

Je me tourne vers lui, souriant angéliquement.

- Je n'ai pas l'air menaçant du tout, je suis juste tombé sous le charme de Lust !

Je reprend mon air assuré et quelque peu sadique.

- Et ça marchera puisque je ne mens pas. Je suis fou de lui, j'aimerais tant le pervertir... Hum... D'ailleurs je n'y gagne rien à t'aider Hisméria à moins que tu as quelque chose de croustillant pour moi !

Je me relève doucement, lavant les mains puis replace le drap sur moi devant la gamine. Quoi ? Elle n'a jamais vu de corps masculins de sa vie ? Même pas celui de son père ? Bon, je la comprend je suis tellement séduisant ! Un corps de mannequin presque, il me manque plus qu’éliminer Lysandre. Ludwig... Qu'as-tu encore fais ?! Quand on parle du loup ! Mais tu n'es pas possible ! Décidément avec ce Hisméria ni toi ni moi sommes l'homme de la situation... Que s'est-il passé durant mon absence ? Ah... Tu as deviné... Hum... Eh bien Je me suis fait frappé par lui contre un radiateur... D'où la dent en moins ? Tu remarques vraiment tout toi ! Oui, mais on l'a replacé ! Oui mais pas comme avant, je suppose que c'est le pouvoir de guérison, curieux qu'ils sachent faire ça. La dame était étrange mais à réussit tout de même malgré le mal qu'elle s'est donnée. Ensuite ? Hum... Eh bien voilà, hôpital... Il va regretter de m'avoir frapper. Tu vas faire quoi encore ? Je garde ça surprise.
##   Lun 4 Aoû 2014 - 18:34
Lumia Hearts

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Humeur : Tu viens jouer avec moi ?

- Écoute gamine, je ne sais pas ce que tu fais la, mais justement retourne voir ton père. Il te sera toujours plus agréable que nous deux crois-moi. Si tu restes trop longtemps, tu finiras par le regretter.

- Ok Lumia, on ne va pas trainer hein ! Je ne le sens pas moi ce mec ! Tu as vu sa cicatrice ? C’est bien la preuve que c’est un mec violent !

- C’est bizarre Monsieur Ink, j’ai l’impression de le connaitre… Mais je n’arrive pas à me souvenir d’où…

- Ouais bah tu réfléchiras loin de lui ! Viens, on s’en va !

- Encore deux minutes Monsieur Ink, et si ça me revient pas on y va !


Hisméria qui trouva le silence trop long, reprit la parole :

- Lui c’est un gamin tout comme toi, et moi une grosse brute aveugle. Ça te va comme présentation ? Comment as-tu connut Célèste ? Tu travailles pour S.N.E, c’est ça ? Parle ou je vous jure, que je tue toutes personnes présentes ici, en commençant par toi gamin. Tu as 5 minutes.

Ludwig se mit à sourire et répondit :

- Tu es vraiment stupide toi, tu crois vraiment qu'un truc comme ça où l'on peut shooter dedans comme dans un ballon ferait partie de ton club de jardiniers ? Tu fais pitié à voir avec ton hobbit d'S.N.E que tu sors à tout bout de champs ! Laisse partir cette gamine qui ne sert à rien, à moins que tu préfères les baisés des gamines plutôt que des "gamins".

- Ne me dis pas que S.N.E… Attend, ça me dis quelques choses. Bordel… Un petit effort. Une seconde ? Non c’est impossible !

- Ca y est je me souviens !


Lumia toute contente s’écria :

- Ca y est, je me souviens ! Papa il parlé tous le temps de S.N.E et d’un autre homme plus gentil que S.N.E. C’est dur à prononcer comme mot ça !

- Gamine pour notre sécurité ferme la !

- Depuis quand tu t’exprimes aussi mal ? Un peu de politesse Monsieur Ink !

- Non sur ce coup-là, tu vas m’écouter ! Il y a des choses qui ne sont pas faite pour être révélé…

- Comment ça pas faite pour ne pas être révélé ?


- Je t’expliquerai plus tard Gamine !

Avant qu’Hisméria n’ait le temps de s’exprimer, Ludwig ajouta :  

- De toute façon tu ne me tueras pas puisque je pourrais être le moyen pour tuer Lust et même approcher ton S.N.E. En me tuant tu rates une occasion en or, sache que je peux approcher Lust et même le toucher et tu sais pourquoi ?

Ludwig reprit la parole :

- Et ça marchera puisque je ne mens pas. Je suis fou de lui, j'aimerais tant le pervertir... Hum... D'ailleurs je n'y gagne rien à t'aider Hisméria à moins que tu as quelque chose de croustillant pour moi !

Le téléphone de Ludwig se mit à sonner…

- Hum… Numéro Inconnue. Lust appelle ? Intéressant pour une fois que je comprends ce que l’autre fou marmonne. Allez gamine, fait leur remarquer que tu as compris !

- D’acc… D’accord !

- Tiens en parlant de Lust, c’est lui qui t’appelle ! Répond, ça peut être intéressant !

La peluche se concentra vers les pensées d’Hismé.

- Oula… Gamine on s’en va, ça va bientôt dégénérer ici

- Mais pourquoi monsieur Ink ?

- Parce que la grosse brute va bientôt passer à l’action.

- Ah oui ?

- Ouais, et crois moi, j’en ai eu des frissons !

- Je suis sûre que je peux l’arrêter !

- Non gamine Arr […]


La petite fille reprit la parole avant que la peluche n’eut le temps de finir sa phrase :

- Ce n’est pas bien monsieur la brute de vouloir faire du mal à votre ami !

- C’est pas son ami gamine ! Il veut juste le tuer là…

- Et le tuer c’est mal !

- Je crois qu’avec ça tu l’as convaincu gamine…


L'invention du siècle pour un handicapé ~ ( Hisméria :D ) - Page 4 Signa_11

Spoiler:
##   Lun 4 Aoû 2014 - 21:51
Anonymous
Invité

- Tu es vraiment stupide toi, tu crois vraiment qu'un truc comme ça où l'on peut shooter dedans comme dans un ballon ferait partie de ton club de jardiniers ? Tu fais pitié à voir avec ton hobbies d'S.N.E que tu sors à tout bout de champs ! Laisse partir cette gamine qui ne sert à rien, à moins que tu préfères les baisés des gamines plutôt que des "gamins".

Hisméria furieux répondit avec sa plus grande délicatesse :

- Je t’arrête tout de suite gamin ! Ne prend pas tes fantasmes pour des réalités, je ne perds pas mon temps avec de telles futilités. Redis encore une fois que je fais pitié, et je te jure que je n’hésiterais pas à m’exercer un peu sur toi.

Hisméria appuya sur la gorge de Ludwig avec sa lame puis reprit la parole. Une légère trace de sang commença a coulé sur le coup du gosse. On pouvait ressentir d’ici l’agacement de l’adolescent :

- Je crois que tu as oubliés un peu trop vite mes motivations. Souhaite tu réellement que je te les rappels maintenant ?

Pendant ce temps Lumia s’exprima fière d’elle :

- Ca y est, je me souviens ! Papa il parlé tous le temps de S.N.E et d’un autre homme plus gentil que S.N.E. C’est dur à prononcer comme mot ça !

Hisméria s’arrêta nette. Surpris des paroles de la gamine. Qui était-elle ? Connaissait réellement S.N.E ? Qui pouvait bien être son père ?  L’homme curieux s’exclama :

- Gamine, je veux le nom de ton père tous de suite !

Ludwig qui ne paraissait pas stressé, reprit la parole :

- De toute façon tu ne me tueras pas puisque je pourrais être le moyen pour tuer Lust et même approcher ton S.N.E. En me tuant tu rates une occasion en or, sache que je peux approcher Lust et même le toucher et tu sais pourquoi ?

Hisméria encore déstabilisé par les paroles de Lumia s’exclama :

- J’en ai rien à foutre gamin, RIEN A FOUTRE ! BORDEL, CETTE FOIS TU VAS PRENDRE CHERE. Tu penses vraiment que ce genre de chantage marche sur moi ? Que je suis prêt à croire de telles conneries ? Qui ne me dit que tu ne mens pas à son sujet ? Je t’écoute, tu as encore deux minutes pour m’énoncer tes meilleurs arguments avant que je m’occupe de ton jolie visage de gosse. Et ne crois pas que la présence de cette fillette va m’arrêter !

Ludwig répondit naturellement sans être pour autant déstabilisé par les mots d’Hisméria :

- Ça marchera puisque je ne mens pas. Je suis fou de lui, j'aimerais tant le pervertir... Hum... D'ailleurs je n'y gagne rien à t'aider Hisméria à moins que tu as quelque chose de croustillant pour moi !

Avant qu’Hisméria n’ait le temps de faire quoi que ce soit le téléphone sonna. La sonnerie du gamin était identique à celle d’Elsa. Un drôle de souvenir se déclencha dans la tête d’Hisméria :

*

« L’horizon s’allongeant, Seattle dormant, il est tard.
Hisméria doit rentrer.

D’humeur mélancolique, Hisméria sait. Trop souvent la mort la hante comme une banalité. Tout le monde y pense, mais l’homme la vit par anticipation pour mieux la préparer. Il va mourir, abandonné par la lune et rappelée en tant qu’absent.

Alors pourquoi s’attacher à désirer, aimer, souffrir pour finir seul, dans un cercueil inconfortable au tissu bas de gamme ?

Personne aux alentours, ou si peu, mélancolique, il vagabonde d’un pas lourd qui ne demande qu’à se laisser porter par la douce brise de cette chaude journée d’aout.

Il erre, le vague à l’âme, dans les rues étroites et sombres de son quartier. Trop de charme, trop de bistrots, trop de coins exigus, trop de souvenirs la poussent à lui trouver de nouveaux enchantements.

Piétinée parfois par cette foule insensible, salie plus jeune par les démons de minuit, pervertie continuellement par ses magasins qui dégueulent de rue en rue, il reste profondément attachée à ses racines américaines.

L’adolescent aime à mettre en scène sa vie. Comme face à un écran, la regarde, la critique mais ne la vit pas. Il ne parvient pas à rentrer dans le fil de l’histoire. Il ne sait pas faire. Trop en recul parfois, les pieds trop loin de cette terre, il divague et ne se voit qu’à travers le regard que portent les étrangers sur lui.

Attentionnés parfois, ils cherchent une émotion, une lueur d’espoir dans ses yeux tristes et délavés par les conflits. D’une beauté froide et abattue, Hisméria transpire la morosité.

Mal aimants, pour d’autres, il n’est qu’une poupée dansante, articulée selon leurs désirs inassouvis. D’une fragilité certaine, l’homme se rend presque manipulable.

Il fait sombre. L’heure tourne. A son grand désespoir le temps ne s’arrête pas. Enfin, pas pour lui. Tout le monde n’a pas cette chance d’être encore en course, mais cela, il ne le sait pas.
Hisméria doit rentrer. L’homme est attendu. L’adolescent se demande, perplexe, désenchantée, pourquoi lui ? Qu’a t’il dit ? Qu’a-t-il fait ?

Une tempête en plein cœur, un chaos complet, son train-train habituel auquel il était accroché, tel le fœtus à son cordon, est devenu un océan de doutes. Il croyait connaître les règles, la maitrise du quotidien banal. L’homme conclue en admettant de pas comprendre l’Amour, ce sentiment si rare offert comme un don.
Hisméria s’engouffre alors dans cette énorme gueule ouverte avaleuse d’humains trop éreintés ou trop pressés pour marcher. Il aussi se laisse aller à la facilité.

Hisméria s’arrête brutalement. Prise d’une violente nausée, ses jambes vacillent, puis lâchent. Le corps cotonneux, le cœur douloureux, l’âme en manque d’affection, il s’avachit lamentablement sur le premier récif venu, dans un soupir de soulagement.  Le poids des mensonges, la valise des devoirs, le fardeau des interdits l’écrasent til une chape noire épaisse, étouffante.

L’adolescent ressent comme l’envie de partager, avec tous ces oiseaux nocturnes fatigués et épuisés par la chaleur, ses inquiétudes et sa colère contre cet homme indécis et tellement irrésistible.

Hisméria ne veut pas rentrer. L’homme a trop de choses à vomir, trop de vers à écrire. Il hésite à envoyer un message, juste un dernier souffle chaud et sensuel, un dernier au revoir. Il abdique, consciente de la stupidité de sa pensée. Alors, sagement Hisméria souffre en silence. Les aigreurs d’estomac qui le tiraillement trahissent son agacement envers cette femme qui a bien joué de lui.

Il aimerait s’évader loin de cette existence trop épuisante et se laisser bercer par la lune accrochée à ce paradis originel.
Soudainement, le téléphone vibre, la ramène à la réalité de l’instant. Il sort de sa torpeur, et d’un geste machinal décroche :

« Oui Elsa  ?
-   C’est finis Hismé, il faut que ça s’arrête là.
 »
Dans ce cas où était-il ? Pourquoi avoir flâné dans les rails brunies par la profondeur de l’obscurité, juste légèrement édulcorée de poudre de lumière réfléchie par les astres solaires, déclinant vers le sommeil ?

Il-même ne saurait vous répondre. La jeune femme reprit la parole :
« - Malgré tout ça Hismé, tu m’appartiens.
-   Je suis à toi .
»
La jeune femme raccrocha.

Hisméria a appris, sans même le savoir, à vivre pour lui, à en oublier qui il est parfois.

Ils se connaissent depuis quelques mois. Personne ne le sait, ou du moins c’est ce qu’il croyait. Ils se sont inventé une histoire secrète pour se préserver de la tempête.

Hisméria taira son nom par peur des représailles. Dans ses propres pensées, il-même hésite à lui chuchoter son prénom de crainte de penser à voix haute et de mettre à nu ce jardin intime.

L’adolescent est perdue, perd pied, ne se reconnaît plus… Ça ne lui ressemble pas de se faire piéger ainsi dans ce qu’il pensait être une manière efficace d’arrivé à tuer S.N.E »

Les paroles de Lumia réussirent à sortir Hismé de son drôle de souvenir. Celle-ci s’exprima :

- Tiens en parlant de Lust, c’est lui qui t’appelle ! Répond, ça peut être intéressant !

Hismé réagit immédiatement :

- Comment ça Lust ? Gamin file moi ce téléphone !

Pendant ce temps, Lumia eu une drôle de réaction, c’est comme si elle parlait à sa peluche. Celle-ci ajouta :

- Comment ça pas faite pour ne pas être révélé ?

Hisméria compris qu’il parlait du père de la gamine et s’exclama :

- Au contraire, tu vas tous me dire sur ton père si tu ne veux pas que je m’énerve.

L’enfant qui semblait perdu dans ses pensées ajouta :

- Ce n’est pas bien monsieur la brute de vouloir faire du mal à votre ami !

Hisméria se mit à rigoler à haute voix. Lumia ajouta :

- Et le tuer c’est mal !

Hisméria surpris ajouta :

- Parce que tu crois vraiment que j’en ai quelques choses à foutre de ton débat sur le bien et le mal gamine ? Bordel, manquerait plus que ça.
##   Ven 8 Aoû 2014 - 12:03
Anonymous
Invité

" Ce n'est pas bien monsieur de faire du mal à votre ami ! " Comment faire plus niait que ça ? Les dialogues d'amour dans les séries, films ou bouquins ont tous été fait par des gamines de 7 ans c'est ça ? J'ai bon ? Cet enfoiré ma coupé légèrement au cou et crois s'en tirer comme ça ? La bonne blague tien ! Le téléphone sonne est toute une scène se passer devant mes yeux. Juste là. Quel bande d'incapable ! Bien sûr que je vais répondre à ce foutu téléphone !Pendant qu'ils sont entrain de se disputer je vais en profiter pour répondre...

- Allo...? -Je prend une voix sensuel comme ça pourrait être Lust, dû a "appel inconnu"-

Je prend mes distance et commence à marcher en direction de l'hôpital. Il faut bien que je récupère mes vêtements, quoi que si Lust arrive je veux bien rester en serviette. J'imagine déjà des scènes avec ça...! Je veux Lust et je l'aurais et sa passe déjà par le draguer au téléphone.

- Non, je ne suis malheureusement pas seul, cet abruti à la cicatrice m'a traîné de force en dehors de l’hôpital avec seulement un drap sur moi ! Et je suis obligé de me trimbaler comme ça. En plus il se dispute avec une gamine qui, cette folle, dit connaître ton patron. Et là il faut encore que je me fasse soigner car ce con veut jouer au malin en m'abîmant. Il va être servit le bougre...

Je vais devoir ruser pour anéantir Hisméria et qui sait, il peut peut-être m'être utile mon beau japonais au cheveux long. Personne ne peut comprendre ce que je ressens en ce moment-même, à part les pervers de mon genre mais peut-être suis-je le seul ayant des pensées beaucoup plus douteuses que ce que tout le monde croit...

- Hum... En ce qui concerne notre arrangement... -Je m'éloigne, l'autre abruti s'approche- Tu es d'accord ? Tu vas devoir me satisfaire Lust, autant que je te satisferais ! Ce que j'ai dit à Hismé' pour pas qu'il ne me bondisse dessus trop vite ? Je lui laisse soin d'imaginer ce que je veux faire avec toi, le beau japonais à l'aura bleu...

J'évite Hismé' qui commence à s'impatienter et qui veut le téléphone. Je parle à Lust bordel, lâche-moi toi et ton katana bien coupant !

- Enfin bref... Quel est ta réponse ?

Pourvu qu'il dise oui, j'ai tellement envie de le rendre accrocs à moi ! Une fois que l'on m'a goûté c'est fini, je suis tellement bon au lit qu'on ne voit plus que moi. Je sais voir si mon cher partenaire aime être le dominateur ou le soumis, voir même les deux... Mais même si je joue le chaton, je les domines comme même, je leur donne juste l'impression d'être contrôlé... Je me demande de quel genre tu sais Lust ? Plutôt "au-dessus" ou "en-dessous" comme on dit ? Et si il disait non ? Han... Ça saperait mon moral là ! Il m'a vu nu tout de même, il ne peut ignorer une tel beauté ! S'il dirait non il ne m'aurait pas appelé, non ? Pourquoi se donner du mal à appeler pour dire non ? Ah moins qu'il ne veut me tester...
##   Lun 11 Aoû 2014 - 18:59
Lumia Hearts

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Lumia Hearts
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Humeur : Tu viens jouer avec moi ?

- Gamine, je veux le nom de ton père tous de suite !

- Ouais c’est ça ; Et tu ne veux pas non plus qu’on te serve un café pendant que tu y es ?

- Monsieur Ink, soit gentil un peu avec nos amis !

- Hein ? Et puis quoi encore ! Plutôt crevé la bouche ouverte que devenir ami avec la brute et la pédale ! Tu les as bien regardés ? Sérieusement, on va  monter un cirque ambulant pendant que tu y es !

- Ça suffit Monsieur Ink ! Je vais leur parler de papa ! Il y a peut-être une chance qu’il nous aide à le retrouver !

- Ouais c’est ça ! Il va te buter en deux secondes, tu ne vas rien comprendre ! J’en ai ras le bol de m’époumoner, fais ce que tu veux sur ce coup-là bordel ! Mais ne viens pas pleurer après...


Avant que Lumia n’ait le temps de répondre, Hisméria reprit la parole :

- Au contraire, tu vas tous me dire sur ton père si tu ne veux pas que je m’énerve.


- Bon bah tu vois Monsieur Ink ! Après il va s’énerver.

- Contente-toi de dire que tu n’as peu de souvenir et que ton père s’appelait Eren. Ça s’arrête là, sinon il va plus te lâcher gamine.

- Si tu es sure de toi alors Monsieur Ink.

- Fais-moi un peu confiance…


Lumia de son plus beau sourire prononça :

- Mon papa il s’appelle Eren, mais à vrai dire, je n’ai que très peu de souvenir sur lui. Dit, tu ne serais pas où il se trouve par hasard ?

- C’est bien comme ça ?

- Parfait gamine, mais faut qu’on parte rapidement avant qu’il ne nous pose trop de questions…

- Je suis d’accord, mais comment partir ? On ne va pas être malpolis tous de même…



Pendant ce temps Ludwig s'était éloigné pour répondre au téléphone. Monsieur Ink eut une idée, et reprit la parole :


- Tiens gamine, j’ai une idée pour qu’on puisse partir sans qu’il se rende compte ! Fais-moi confiance et répète simplement ce que je vais te dire.

-D’ac… D’accord …


La petite fille se contenta de reprendre la parole, répétant scrupuleusement ce que la peluche lui soufflait à l’oreille :

- C’est monsieur Ink qui te parle Hisméria, un choix s’offre à toi actuellement grosse brute : celui de découvrir ce que nous savons sur Eren, ou bien de découvrir les projets de S.N.E qui est actuellement au téléphone avec Lust. Que vas-tu choisir ? Dépêche-toi, le temps est limité…


L'invention du siècle pour un handicapé ~ ( Hisméria :D ) - Page 4 Signa_11

Spoiler:
##   Mar 19 Aoû 2014 - 18:19
Anonymous
Invité

- Allo...?

Ok, je vais lui casser sa gueule. Je rêve ou il vient royalement de me snober ? Cette fois je vais lui pourfendre sa jolie tête d’ange, peut-être qu’après ça va lui remettre les idées en places ! Ludwig répondit sans se soucier des deux autres protagonistes :

- Non, je ne suis malheureusement pas seul, cet abruti à la cicatrice m'a traîné de force en dehors de l’hôpital avec seulement un drap sur moi ! Et je suis obligé de me trimbaler comme ça. En plus il se dispute avec une gamine qui, cette folle, dit connaître ton patron. Et là il faut encore que je me fasse soigner car ce con veut jouer au malin en m'abîmant. Il va être servit le bougre

Comment il m’a appelé ? Hisméria en colère gueula de toutes ses forces en attrapant les cheveux de Ludwig :

- Gamin rend moi ce téléphone tous de suite ! Ou crois-moi tu vas bouffer de la poussière jusqu’à la fin de ta vie ! C’est compris espèce de débris à roulette ?

Mais cela ne le fut que très peu réagir, le môme était concentré à s’occuper de son interlocuteur, affichant un sourire malsain aux bouts des lèvres :

- Hum... En ce qui concerne notre arrangement... Tu es d'accord ? Tu vas devoir me satisfaire Lust, autant que je te satisferais ! Ce que j'ai dit à Hismé' pour pas qu'il ne me bondisse dessus trop vite ? Je lui laisse soin d'imaginer ce que je veux faire avec toi, le beau japonais à l'aura bleu.

Quel arrangement ? De quoi pouvait-il bien parler ? Hisméria réalisa que Ludwig lui cachait des choses beaucoup trop importantes pour qu’il puisse se permettre de se taire. L’adolescent de plus en plus en colère, était prêt à lui bondir dessus, mais avant qu’il n’eut le temps de réagir, la gamine s’accrocha à sa jambe et s’exclama :

- Mon papa il s’appelle Eren, mais à vrai dire, je n’ai que très peu de souvenir sur lui. Dit, tu ne serais pas où il se trouve par hasard ?

Bouah c’est décidé, je déteste les gamines ! Je peux savoir pourquoi elle s’accroche comme une sangsue ? Une seconde… Elle a bien dit Eren ? Non c’est impossible, Eren n’avait pas d’enfant ! A moi qu’il nous ait menti à nous aussi… Il faut que j’en apprenne plus à son sujet !

Hisméria le plus calmement possible prononça :

- Gamine, fait un effort de mémorisation et dit moi quand est-ce que tu as vu Eren pour la dernière fois ? Je ferais en sorte de te dire tous ce que je sais sur Eren.

L’espace d’une seconde, Hisméria tourna la tête pour vérifier l’éloignement de Ludwig, le temps était maintenant compté avant de le perdre de vue. Quand Hisméria regarda de nouveau Lumia, la petite fille semblait avoir radicalement changé :

- C’est monsieur Ink qui te parle Hisméria, un choix s’offre à toi actuellement grosse brute : celui de découvrir ce que nous savons sur Eren, ou bien de découvrir les projets de S.N.E qui est actuellement au téléphone avec Lust. Que vas-tu choisir ? Dépêche-toi, le temps est limité…

Monsieur Ink ? Qui c’est celui-là encore ? Bordel, j’avais pas assez d’un fou à me coltiner, voilà que la gamine s’y met aussi… Hisméria d’une tonalité d’espéré prononça :

- Bah voyons, encore une illuminée, il ne manquait plus que ça ! Tu ne perds rien pour attendre toi non plus. Mon choix est déjà fait.

Hisméria se mit à courir rapidement jusqu’à Ludwig ! Un peu essoufflé, l’homme gueula de nouveau :

- Gamin ça suffit tes conneries, viens là !

L’adolescent savait très bien que Lumia aurait le temps de partir pendant ce temps-là, c’est d’ailleurs ce qu’elle fut. Sans prévenir personne et aussi rapidement qu’elle était venu, la petite fille disparut…
##   Mer 27 Aoû 2014 - 16:59
Anonymous
Invité

Lust a accepter... LUST A ACCEPTER !! C'est merveilleux ! J'ai hâte d'aller chauffer mon corps près du sien. Je pense que je vais me mettre à la collection de corps de beaux garçons... Lust fera l'objet de mon premier corps que je conserverais... Où je peux cacher mon fantasme ? Oh... Quand je serais Master j'aurais bien une maison et une cave pour y enfermer des corps. Il ne faudrait pas trop l’abîmer son corps. Il faut qu'il soit impeccable ! Lust, tu seras bientôt à moi. Il raccroche puis je me souviens que j'avais pris mon téléphone de la poche d'Hisméria. Cet imbécile a cru pouvoir me séparer de MON Lust ?! Il va voir celui-là... Il me cours après où je rêve ? Arg... Il ne m'aura pas cet abruti ! Comment puis-je m'enfuir ?

- Gamin ça suffit tes conneries, viens là !

Je fonce vers un parking, je pense le semer là mais pas sûr. Et comment le semer ? Ce gars est plus rapide que moi en plus ! Il me rattrape ce ninja alcoolique ! Il me faut trouver une solution et vite !

- Rêve toujours imbécile, va pourrir en enfer !

Non pas que je crois en ces choses mais j'ai toujours rêvé de dire un truc de ce genre un jour. Voilà, c'est fait. Et ben, ça ne fait rien de spécial en réalité. Ouai, carrément rien en fait. Oh ! Mais que vois-je devant-moi ? Mais c'est parfait. Il me faut saisir cette chance que m'offre ma bonne étoile. Quel aubaine de tomber lui, il est mignon en plus, je vais pouvoir en profiter.

- Au secours ! On en veut à ma vie !

Je me rapproche de ma cible qui, alerté par les cris accours aussitôt en ma direction. Il a l'air un peu paniqué, un nouveau ? Oh bah... Je m'en contenterais ! Il est seul ? Oui ! Parfait.

- A l'aide monsieur l'agent ! Au viol !

Je prend mon air paniqué de gamin ce qui est particulièrement pathétique mais quand on a pas le choix et qu'une tel chance s'offre à nous, on la saisit sans sourcilier. Le flic arrive vers moi et m'ordonne de monter dans sa voiture, un peu paniqué lui aussi. Il ouvre la voiture à distance puis je monte à l'arrière. Il la referme avant de faire barrage avec une matraque.

- Eh vous ! Arrêtez-vous j'vous prie ! Veuillez tout de suite déclarer votre identité ! Et, et pas de bêtise hein ?!

Je regarde par la fenêtre de la voiture, le sourire jusqu'aux oreilles. Je fixe alors Hisméria qui se retrouve quelque peu embêté par mon nouvel allier. Un flic, rien que ça. Tien, je me doutais bien qu'un flic ne se déplace jamais seul ! Son coéquipier plus âgé et assez enveloppé rejoint son collègue qu'il doit certainement former.

- Attend Yukiteru, lui m'en occupe. Vu l'allure, il a l'air dangereux. Dit le rondouillard. Lève les mains et fait pas l'con, j'te jure que si t'es un terroriste ça se passera mal pour toi.

- C-chef... Heu... Il poursuivait un gamin ayant un drap d'hôpital sur lui. Apparemment il lui courait après pour... s'en prendre à lui.

- Bien, maintenant, on va voir ce que l'on va faire de cet étranger.

Hinhinhin... Pauvre Hisméria ! Il n'a vraiment pas de chance, lui. Bye bye pauvre loque. Rendez-vous en enfer ! En attendant je profite très bien de la situation. Avec un peu de chance j'arriverais à dormir chez le jeune et on ne fera pas que dormir. Je suis le pauvre petit gamin qui essaie de sauver sa peau et eux mes héros, des justiciers ! Et Hismé', le méchant qui aura des problèmes. C'est tellement divertissant ! Pourquoi Ludwig ? Tu vas tellement loin... Tu as envie de mourir ? Non... Alors tait-oi et reste au pied du trône enchaîné comme un saucisson. Ludwig, je ne reprendrais pas le corps tant que tu ne nous aura pas débarrassé d'Hisméria. J'ai-Je sais. J'aimerais-Je sais. Alors, c'est-Oui. C'est ça ma vengeance. Est-ce que-Je n'en sais rien. Probablement pas. Je te laisse faire, j'ai-On survivra, grâce à notre étoile.

Ici tout est vide Ludwig.
Le trône est là et je ne suis pas assit dessus. Je regarde le puits immense devant-nous.
Je ne sens ni l'air frôle ma peau, ni le bruit mise à part la voix de Ludwig résonner.
L'eau ?
On ne la sens pas non plus, Ludwig à essayer de m'y mettre, là, tout au fond.
Comment un endroit peut-il exister ?
Le noir complet à l’horizon, comme si juste cette espace est la seule chose crée dans ce monde.
Monde ?
Est-ce vraiment un monde où mon esprit nous y emmène quand on est pas sur le trône ?
Un monde vide ou presque.
Je n'ai ni froid, ni chaud ici.
Où suis-je réellement ?
Est-ce l'intérieur de mon esprit ?
Depuis le temps que l'on permute lui et moi, on ne sait jamais posé la question.
Jamais.
Ludwig, si tu m'entend, dit-moi ce qu'est cette endroit.
~ Lysandre continu de penser dans les méandres de son esprit, se demandant comment il est éclairé, pourquoi un puits, un trône, pourquoi le noir effrayant et mystérieux semble se rapprocher de lui... Ludwig l’ignore, trop occupé avec la réalité. Le temps là-bas, son esprit s'en fiche. Le puits de souvenir où l'on entend même pas les vagues qui s'agitent effraye nos deux protagonistes. Lysandre attend dans cet endroit, l'autre s'amuse dans la réalité, ainsi l'équilibre de son esprit est crée. ~
##   Ven 5 Sep 2014 - 13:42
Anonymous
Invité

- Rêve toujours imbécile, va pourrir en enfer !

Hisméria en colère prononça :

- C'est dommage pour toi gamin, je suis déjà en enfer, et tu sais quoi ? Tu ne vas pas tarder à me rejoindre.

Ludwig courait de plus en plus vite, jusqu'à arrivé face à deux agents de polices. Celui-ci s’écria :

- A l'aide monsieur l'agent ! Au viol !

Les paroles du gamin déclencha une drôle de sensations au sein d'Hisméria. Les policiers alertés s'exclamèrent :

- Eh vous ! Arrêtez-vous j'vous prie ! Veuillez tout de suite déclarer votre identité ! Et, et pas de bêtise hein ?!

Le mal de crane devenant trop important, Hisméria fut sous l'emprise du premier souvenir qu'il disposait de la rencontre avec la police :

*

« L'artifice que Hisméria utilisa se résume en trois groupes nominaux : dilemme du prisonnier, pression policière et rationalisation.

En comparaison avec son statut de délit majeur, le harcèlement sexuel est peu condamnable. Face aux manques de moyens engagés, l'adolescent se résolut a s'autodénoncer pour un crime majeur fictif afin d'engager de leurs mains, par leur protocole, les fonds nécessaires pour une enquête périphérique plus rigoureuse qu'elle n'eut été.

Il fallut donc que lors de ses descriptions interrogatives liées au personnel , qu'Hisméria peigne l'inverse de la réalité relative aux profils des véritables harceleurs. Ainsi les harceleurs se retrouvaient face a quatre obstacles :

D'abord, ils devaient soit faire part de l'odieuse réalité (ce qui eut été bon pour moi) soit tenir 96 h de mensonges du rand le protocole interrogatif. Mentir trois heures relève de l’exploit, un   policier dit à Hisméria "De tous les délinquants que j’eus interrogé, il n'existe aucun vrai rebelle. Au bout de 1 heure d’interrogation, il faut carrément leur apporter une couverture. A la limite il n'en eut qu'un qui a inventé un faux alibi. On l'a détruit en moins de 30 minutes".

Hisméria n'ose donc imaginer ce qu'il en serrait pour les agresseurs puisqu'ils ont étés incapable de l'affronter en combat loyal. L'effet de surprise devrait les déstabiliser.(pression policière). Plus simplement, cela devrait rendre floue les limites entre vérités exacerbées et minimisées.

Ensuite, il y a de l'effet de surprise, si ils étaient accusés pour les faits qui véridiques dont ils avaient la connaissance, ils auraient le loisir de jeter la responsabilité sur Hisméria. Mais la police n'est pas dupe, un corps de police est chargé d'estimer le taux de chance de mensonge dont les chances détections atteignent 70%. Après sentir une si vive surprise, feindre l'ignorance serrait suicidaire.

Puis, les agresseurs rencontreraient ensuite le dilemme du prisonnier, c'est la manière par laquelle appellent les mathématiciens tout jeu de hasard mettant en jeu la coopération ou trahison d'un joueurs. Les agresseurs savaient que si l'un les dénonçaient, ils perdront tous (ce qui marquerait la première réussite de l'astuce ). Ainsi Hisméria usa de ce dilemme pour faire de leur force numérique une faiblesse. D'autant que les agresseurs se répartissaient en petits groupes indépendants. Si il y a coopération dans chaque groupe, ils existe de nombreuses tensions ente ces groupes.

Après cela, les malfaiteurs devaient faire face à l'autorité policière. Et que cela vous plaise ou non, les spécialistes des technologies comportementales périphériques regroupent la pression exercée par la menace ou l'autorité policière sous le même terme : la rationalisation... »

Quand Hisméria revient à lui, c'est à peine s'il réussit à distinguer la phrase d'un des deux agents :

-  C-chef... Heu... Il poursuivait un gamin ayant un drap d'hôpital sur lui. Apparemment il lui courait après pour... s'en prendre à lui. 

Le gamin déjà loin, Hisméria comprit qu'il ne réussirait pas à le rattraper. Et puis d'un tous autre point de vue, l'adolescent avait déjà une idée de comment s'enfuir. Le deuxième agent de police reprit la parole :

- Bien, maintenant, on va voir ce que l'on va faire de cet étranger.

Avec un calme qui ne lui ressemblait pas, Hisméria ajouta :

- Je vous suis monsieur, je vous expliquerais tous une fois la bas.

C'est la dernière fois qu'il aperçut le gamin avant de suivre les deux hommes armés...
##   Mer 17 Sep 2014 - 11:20
Anonymous
Invité

***

Aaah... C'était si bien hier soir ! Jouer le pauvre victime devant ce flic m'a été bien fructueux. Merci du chocolat, champagne et la nuit d'hier cher pigeon. Je suis encore dans son lit, j'attend qu'il m'apporte de petit déjeuné. Il devrait te mettre en prison, au moins on sera en sécurité pour éviter qu'il ne nous bute. Oh mais non, c'est mieux qu'avoir un esclave à disposition. Jouer les soumis et les petits princes et l'une de mes spécialités. Mais mon regard ne s'est pas détourné de Lust. Le beau japonais, j'aimerais tellement le séquestrer dans son lit. Espèce de psychopathe. Il sera mon chien-chien japonais.Immonde personnage que tu es. J'ai très envie d'un autre chien-chien aussi, l'Amérloc d'Hismé tien ! Grand malade, adepte de la folie. Mais il n'est pas dupe, je ne ferais que l'embêter, lui et ses lèvres sucrées. Répugnant être sadique. Bientôt, je me vengerais de lui.

***

J'hésite. Tu n'as pas à hésiter, téléporte-toi tout de suite ! Non, j'ai peur de mourir ! Imagine je me téléporte dans le ciel ! Ou dans l'eau ! Je ne sais ni voler ni nager. Non, non, non Ludwig, je ne préfère pas tenter. Mais espèce d'abruti, téléporte-nous ! Si tu ne veux pas je nous téléporterais ! Non ! Je ne te laisserais pas sortir ! Je sais que pour le moment aucun téléporteur n'est mort mais je peux très bien être le tout premier. Il faut toujours un premier pour que les autres fassent attentions. Et même, parfois cela ne suffit pas. Dépêche-toi espèce de petit précieux. Mais non, en plus j'ai faim ! Allez je vais manger. Teste nos pouvoir du con ! Non ! Si ! Hors de question ! Tu n'as pas les couilles de le faire c'est tout ! Et le fauteuil ? Il sera avec nous. Mais je suis capable hein... Alors montre-moi. Oui mais bon.. Là j'ai faim. Ah :! Voilà une boulangerie.

- Bonjour, une fougasse s'il vous plais !

- Je vous la réchauffe ?

- Oui.

Allez, téléporte-toi. Deux secondes !!! Ludwig, tu es particulièrement chiant aujourd'hui ! Tu ose enfin dire "chiant" ou la la.. ! Je n'aime pas les insultes c'est tout. C'est vulgaire !

- Tenez monsieur, ça vous fera 430 yens.

- J'aimerais du flan et un minute maid pomme aussi s'il vous plais.

- Tenez, donc 520 yens.

- Voilà ! Merci au revoir.

Je me débrouille mieux avec l'argent c'est temps-ci. Ta gueule et téléporte-nous. Je vais nous téléporter dans ce parc pour manger. Super ! Alors... Hum...

Aaaah ! Mais où je suis ?! Oh non... J'ai pensé à l'endroit que je ne voulais surtout pas aller... Chez Hisméria ! Arg ! Je n'ai plus mon fauteuil ! Mais quel boulet ! Lysandre, tu n'es vraiment qu'un bon à rien ! En plus il est là ! Oh non ! Oh mon dieu, aidez-moi !! Pas de panique, téléporte-nous autre part. Aaaah ! Il m'a vu ! Téléporte-nous bordel !Je n'y arrive pas !!! LYSANDRE !!! Ouiiiiiiiiiinnn...!!! Arrête de paniquer et téléporte-nous !!! Mais je l'ai réveillé, il dormait nu ! Au secours !!! Pourquoi dort-il à cet heure-ci ?!!! On s'en fiche, on dégage !!!

- Aaaaah !!!

Abruti ! Regarde comme tu recules ! Lâche la nourriture !! Non, j'ai faim et j'ai peur !!! La ferme abruti ! Bouhouhouuuu...!!

- H-Hismé... D-désolé...

Je ne peux pas dire plus, j'ai déjà assez peur comme ça ! C'est de ta faute Ludwig, TOUT EST DE TA FAUTE !!!
##   Ven 19 Sep 2014 - 14:55
Anonymous
Invité

Hisméria allongé sur un lit, s'était laissé sombrer dans les bras de Morphée :

*

« Je marchais dans le brouillard. Ce genre de purée de pois très épaisse qui étouffe tous les sons, toutes les odeurs, toute la vue. Je ne savais pas depuis combien de temps, mais il me semblait que ça faisait très longtemps. Je commençais même à avoir mal aux pieds. Mais je marchais toujours, sans m'arrêter.

Et puis, petit à petit, le brouillard se dissipa. Lentement, mes sens me revenaient. Les bruits vinrent les premiers, mes pas claquant sur les pavés, les gouttes d'eau dévalant les gouttières, des chats se battant sur les toits. Les odeurs suivirent, la pisse âcre qui sourdait des ruelles alentours, la brume douce qui sentait comme une pluie de printemps, les arbres en fleurs qui parfumaient le vent. Enfin, ma vue se dégagea complètement et je pus voir la rue dans laquelle je déambulais. Comment avais je réussis à sortir de Terrae ? Je ne reconnaissais pas du tout l'endroit. C'était une vieille rue comme on en voit encore dans les films japonnais : de gros pavés humides et mal taillés, des lampadaires à huile dont les flammes ne tremblaient pas, de hautes maisons en vieilles pierres. Il n'y avait personne, car il faisait nuit et la lune brillait haut dans le ciel

Je continuai à marcher seul dans cette même rue pendant un long moment. J'avais froid, je ne comprenais pas vraiment ce que je faisais là. Puis à un moment, je réussis à retrouver Terrae. Soulagé, je me dépêcha d'entrer dans les locaux, pour retrouver un environnement familier. Mais ce que j'y découvris me laissa sans voix ;  Une des ailes du bâtiment avait pris feu, et plus précisément le bâtiment des tonnerres. La source de l'incendie provenait de la chambre de Kana. Qu'est-ce qui était arrivé à l'appartement de Kana ? Et ma bien aimée était-elle en vie ? Il fallait que je le découvre, c'est pourquoi je me suis mis à marcher, marcher, sans ne plus pouvoir m’arrêter.

Au bout d'un certains temps, je ne savais même plus pourquoi je marchais. La brume qui enveloppait mes souvenirs, elle, n'avait pas disparu. J'étais perdu ; et pourtant, je n'osais pas appeler à l'aide, de peur d'attirer les mauvaises personnes. A chaque ruelle sombre que je croisais, à chaque petit coin d'ombre que je traversais, mon imagination travaillait pour les remplir de terreurs nocturnes. C'était le genre de nuit que le silence étouffait, amplifié par tous ces petits bruits dont les échos semblaient mourir trop tôt. Je m'attendais presque à entendre un cri déchirer l'espace à tout moment.

Je finis par apercevoir, un peu plus loin devant moi, une tâche noire qui ressemblait à une silhouette dans un long manteau ou peut-être une cape. Serait-ce là un Master ?  Je me mis à courir pour la rattraper, mais l'ombre ne se retourna pas et prit la fuite. Elle tourna au coin de la rue ; je la suivis. Mais lorsque j'atteignis la nouvelle rue, elle n'était déjà plus là... »

Hisméria se réveilla en sursaut de grande sueurs parcourait son front. Ce genre de rêve devenaient de plus en plus fréquent. Que cela pouvait bien signifier ?  Alors que sa vue n'était pas encore tout à fait ajusté, l'homme aperçut une silhouette fine en face de lui. Dans un réflexe, l'adolescent sauta sur son Katana et bondit au contacte de l'inconnue.

L'homme surprit cria d'une tonalité vraiment féminine :  

- Aaaaah !!!

Hisméria qui reprenait peu à peu ses esprits reconnu le gamin terrorisé, ou plutôt son cri de pédale. Avec son tact légendaire, l'homme s'exprima :

- Bordel gamin, tu peux pas frapper avant d'entrer? J'ai faillis faire des sushis de ton visage de femmelette.

« Une seconde ? La porte et toute les issus était verrouillé, comment à t'il fait pour pénétrer dans la chambre ? » Suspicieux, Hisméria compris rapidement. « C'est donc ça, je vois »
Lysandre paniqué reprit la parole :

- H-Hismé... D-désolé..

Décidé de profiter de la situation, Hisméria remarqua la nourriture que le gamin avait amené. Avant de s'en emparer, l'homme prononça :

- Oh c'est gentil tu m'as apporté le petit déjeuner.

Paisiblement, l'adolescent finit la fougasse avant de reprendre la parole :

- Ou en étions nous depuis ses quelques semaines... Ah oui, ça y est je me souviens...

Puis brusquement Hisméria s'empara du gamin au cou, ouvrit la baie vitrée et plongea le gamin d'un seul bras au dessus du vide. Serrant de plus en plus autour du cou du pauvre Lysandre. D'une manière froide et implacable, l'homme s’écria :

- La prochaine fois que tu me joues un coup pareil, je te promets que tu n'y survivras pas.

D'un air amusé, Hisméria sembla se souvenir de quelques choses. Sans que le gosse n'ait le temps de répondre, l'homme ajouta :

- Une seconde, laisse-moi réfléchir, tu es un téléporteur n'est ce pas ? C'est ainsi que tu as réussis à venir jusqu'ici ? Voyons voir ce que tu as dans le ventre. Et cette fois ci, je ne viendrais pas te chercher comme la dernière fois.

Hisméria lâcha Lysandre dans le vide. Nous étions tout de même au troisième étage...
##   Ven 19 Sep 2014 - 17:18
Anonymous
Invité

Oh non, pas ce tyrannique. Il s'approche, je recule de plus en plus mais il chope ma nourriture. Il l'a mange comme ça devant-moi. Enfin... Temps qu'il ne me fait rien... Ah mais non, j'ai faim moi ! Oh... Mon ventre gargouille encore. J'ai mal au ventre, si je ne mange pas que vais faire une crise d'ipoglissémie. Quel profiteur ! En plus il mange à poil, A POIL ! Tranquille, devant-moi. Il a quelques atouts... Toi, la ferme. Oh ! C'est de ta faute, il va se venger...

- Ou en étions nous depuis quelques semaines... Ah oui, ça y est je me souviens...

Il me chope par la gorge puis me soulève d'un coup. Je met mes mains contre les siennes pour essayer qu'il ne me serre pas trop fort même si ça ne marche pas. Il va me tuer c'est ça ? Cette fois-ci c'est vraiment la fin ? Hum... Le balcon ? Que fait-il me faire sur le balcon ? A poil en plus ! Il est vraiment malade ce type ! Hein ? Il ne va pas me tuer ? Mais alors pourqauoi je suis suspendu au vide ?!!

- Une seconde, laisse-moi réfléchir, tu es un téléporteur n'est ce pas ?C'est ainsi que tu as réussis à venir jusqu'ici ? Voyons voir ce que tu as dans le ventre. Et cette fois ci, je ne viendrais pas te chercher comme la dernière fois.

-A-Attend...!

Il me lâche du troisième étage.

- AAAAaaah !!!

Il faut que je me téléporte ! Je n'y arrive pas ! Non ! Je vais mourir ! Bouhouhou... (il part en sanglot) Je ne veux pas mourir !! Laisse-moi faire ! Nan ! BORDEL LYSANDRE !!! J'arrive pas à te laissez place !!! BOUGE !!! J'ai peur !!! Je veux disparaître !!!

*

Qu'est-ce que... Ou suis-je ?
Ludwig ?
Oh !
C'est la pièce !
Celle de mon esprit.
Là où je suis quand Ludwig prend ma place.
Je l'oublie à chaque fois que j'en pars et je m'en souvient quand je reviens. Bizarre...
Je ne suis pas enfermé ni attaqué, je peux marcher ici.
Comme c'est agréable, je me sens léger.
Comme c'est beau...
Un château tout blanc avec de jolies décorations rose.
Hum...?
Du noir ?
Cela semble se rapprocher.
Oh non !
Le sol se fissure !
Aaaah !
Il faut que je cours !
Plus vite !
Le château s'effondre, les jardins aussi, le ciel me tombe sur la tête !
Qu'est-ce qu'il se passe ?!
Ah !
Outch, je suis tombé.
Il semble que ça s'est arrêté.
Pourquoi tout s'effondre autour de... Du trône ?
Les commande de l'esprit.
Je dois saisir ma chance et sortir avant que tout s'effondre.
Aaaaahhh !!!
J'ai été poussé dans le puits !
Ludwig ?
Pourquoi je ne parle pas ?
Pourquoi je ne respire pas ?
Je coule mais l'eau ne remplis pas mes poumons.
A l'aide...

Hum...? Je ne suis pas mort ? Je suis... Hum... Parterre sur un homme. J'ai refondis sur la façade mise en avant de tomber sur le type. Tien, il agonise. Oups... Il est en vrac le monsieur. Je me relève, j'ai super mal en fait... Vraiment trop mal ! Oh... Du sang ? Le mien ? Ah, mon bras est en sang.

- Gloups... Aaaaaahhh ! PUTAIN J'AI MAL !!!

Oh ? On me regarde. Une chinoise me regarde. Bon, je ne sais pas faire la différence entre les asiatiques alors... On s'en fou, la chinoise se précipite vers nous avec son air Ahurie. Elle commence par s'occuper du jeune homme à l'agonie. Une guérisseuse ? Super. Moi aussi j'veux que tu me répare femme. Hey... Ça dure longtemps ton truc, tu ne peux pas aller plus vite ? Ah ba enfin ! Elle se tourne vers moi.

- Vous n'avez rien ? Fait-moi voir !

Elle commence par le soigner. Elle a l'air cruche. Ouai, une bonne poire. Eh, Lysandre, regarde comme je vais profiter de la situation. Lysandre ? Du con ?! Pourquoi tu ne répond pas, tu es mort ? Tu boude ? Tu n'as aucune raison de bouder, on est vivant abruti. Pfft'... Cet imbécile m'a coupé l'envie, en plus y'a l'autre en haut...

- Merci.

Je vais aller le rejoindre. Troisième étage hein ? Voilà voilà, j'arrive connard.

*

Je suis à présent chez Hismé, par téléportation. Il est encore à poil. Je vais le violer s'il continu.

- Tu sais ce que ça implique d'être un téléporteur ?

Je lui met une décharge électrique, malheureusement, je suis de piètre niveau pour que ça lui soit mortel.

- Tu vas mieux ? C'est bon ?

Je me précipite vers lui, souriant.

- Et à part ça, tu ne t'ai pas trop ennuyé ? La nudité ne te dérange pas on dirait !
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L'invention du siècle pour un handicapé ~ ( Hisméria :D )

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