• Prénom : Tiago
• Nom : Marquez
• Âge : 22 ans (né le 02/08/1996)
• Affinité et pouvoir : Feu lunaire

Ah, on commence par le physique. Très bien, c’est important le physique ! Ouais fait pas genre, j’te vois déjà me juger ! Parce que je sais bien que je suis pas le mec qui laisse indifférent. Celui qu’on croise sans même poser le regard dessus. Et tu sais quoi ? Ça tombe bien, parce qu’être le centre d’attention, c’est exactement ce que je veux ! Et pour ça, j’ai des arguments !

Mes cheveux d’abord. Nan, j’suis pas japonais, ça m’empêche pas d’avoir une coupe vivante. Ou bordélique comme tu préféres. Mais ne crois pas que je ne touche pas à mes tifs. Qu’ils sont comme ça le matin au réveil ! Bien sûr que c’est voulu cet effet décoiffé ! Ça fait bad boy. Tout comme cette décoloration visible. Ouais, j’suis pas né avec les cheveux de cette couleur qu’est ce que tu crois ! J’suis latino moi, de base c’est noir là-haut. Mais bon, noir, c’est trop classique. Alors ce blanc argenté – gris vieux pour les rageux – je l’entretien !

Et après les modifications capillaires, les modifications corporelles. Des piercings. J’en ai pas mal. Aux oreilles bien sûr. Je dis pas que je me laisserais pas tenter pour quelques-uns à l’arcade ou à la langue – paraît que ça peut faire des choses… - mais j’ai peur qu’avec trop je finisse par vraiment faire gay. Des tatouages aussi. Que ce soit sur le torse ou sur les bras, j’en manque pas non plus. Même si pour ça, tu comprendras plus loin que ce n’est pas une simple lubie esthétique. Des cicatrices aussi. Elles ne manquent pas. Heureusement, j’ai toujours réussi à préserver mon visage ! Je peux les camoufler assez facilement.

Après ça, tu te doutes bien que je suis le genre de mec qui fait gaffe à son apparence. Donc sport et tout le tintouin. J’suis plutôt grand c’est vrai. 1m86 si tu veux les détails. Pour un peu plus de 75 kg (quand je ne déconne pas trop longtemps à enchainer cafés clopes, ça fond vite...). De muscles évidemment ! Attend, pas un gramme de graisse pour un corps de rêve ! Qu’il faut évidemment mettre en avant. A quoi ça sert sinon ? Ok, je ne roule pas vraiment sur l’or, mais…. Je m’arrange quand même pour ne porter que de la marque. Et du haut de gamme ! Histoire de parfaire le look bad boy soigné. Comment je fais en étant fauché ? Bad boy j’te dis !

Et pour les petits moins, je viens de Colombie, pourtant pas de bol, j'ai pas hérité du super teint halé d'une grosse partie de la population latino. Enfin j'ressemble pas à un sachet d'héro' non plus ! Et je bronze assez vite. Mais quelques pigments de plus auraient été sympas. J’ai les yeux marrons, assez banal. Dommage. Mais les lentilles c’est relou. Donc ça reste marron c’est tout. Et pour le reste…. Je suis assez classique ! Ouais bah j’suis humain aussi !

Ah ouais, alors ça, c’est ce que je sortais régulièrement aux flics. Mais c’est pas complètement faux. D’ailleurs, vous pouvez leur demander, ils vous le diront que je suis loin d’être un mauvais type. Enfin, faut avouer qu’ils ont vu passer mes frangins avant moi, alors forcément en comparaison, j’ai des airs de p’tit chiot perdu.

Bon sinon à part ça… Déjà, je ne suis pas hypocrite ! Si tu me plais pas, peu de chances que tu puisses imaginer le contraire plus de deux minutes. Énergique aussi. Toujours à fond. Je m’ennuie assez vite, il me faut de la nouveauté régulièrement. En amour aussi oui. Enfin, amour c’est vite dit. Pas comme si j’avais déjà connu ça. Je switch suffisamment vite pour éviter ce piège ridicule.

En vrai, c’est pas si facile ton exercice. Je me disais j’ai trop de qualités, tout le monde va me kiffer et en fait…. Je suis un peu à court là. Peut-être parce que dernièrement ces qualités… Je les ai un peu oubliées. J’ai plutôt tendance à être vénère tout le temps en ce moment. Je m’emballe assez vide. Et… Je m’exprime autant avec mes poings qu’avec des mots. Ouais, self control déjà c’est pas dans les +.

Si, j’suis plein de bonne volonté ! J’te jure. Je fais jamais les choses à moitié. Si je m’engage pour quelque chose, je vais jusqu’au bout. Et surtout, je fais absolument tout pour réussir. Je ne supporte pas l’échec. D’ailleurs après tout ce que j’ai vécu, je peux te dire que j’ai les nerfs accrochés. Vas y pour essayer de me choquer ou de me faire changer d’objectif !

Sinon, j’pense être un bon pote. Enfin, si je t’aime bien forcément. Je suis assez sympa quand je le veux. Je peux faire des efforts. Genre, péter la gueule de celui qui t’emmerde. Ou même payer un coup. Enfin, faudra quand même que j’ai perdu un pari avant ça, mais tu vois, je suis pas radin ! Et je pense être assez ouvert aussi. Si t’as besoin de cacher un corps, je serais là pour creuser ! Je vais trop loin ? Ah ouais désolé, je sais pas où m’arrêter. Par contre je suis carrément rancunier. Tu me fais un coup de pute, tu vas morfler ! Mais, si tu restes cool, j’te promets, on va s’éclater !

Des défauts ? C’est un entretien d’embauche ton truc ou quoi ? Bon, paraitrait que je suis un chouia arrogant. En même temps que voulez-vous, j’y peux rien si je suis au-dessus du lot ! La fausse modestie, c'est pour les faibles. Et je l'suis pas. Auto-centré aussi. Comme n’importe quel petit dernier non ? J’ai tendance à me faire passer en priorité c’est vrai. Macho. C’est un terme qu’on me balance souvent à la tronche. J’ai été élevé comme ça, j’y peux rien. Mais au moins, tu me verras jamais lever la main sur une gonzesse. Même en étant complètement défoncé. Ou alors c’est qu’elle aura voulu jouer au bonhomme. Mais dans ce cas, j’y peux rien.

Bon, on est bien là non ? J’ai pas envie que tout le monde me déteste avant même d’avoir débarqué ! Si tu veux en savoir plus, bouge ton cul et vient donc me parler en direct ! Promis j’te ferais même un sourire ! J'suis pas difficile à aborder !

Alors là… On va commencer par ce que j’aime. De façon générale, tout ce qui peut choquer les bourgeoises ! Je fume. Beaucoup. Et pas toujours que des clopes. D’ailleurs, je ne dis jamais non à un peu de poudre. Mais, j’fais gaffe quand même. Ça revient vite cher. J’ai une bonne addiction à l’alcool. Difficile de m’en passer. J’aime le sexe aussi. Et de préférence pas avec ma main droite (ou gauche puisque je suis gaucher, mais bon, des fois que tu sois trop con pour comprendre...). Comme n’importe quel mec correctement foutu, fais pas ta mijaurée. D’ailleurs, j’suis plutôt orienté nanas ok ? Les mecs, c’est pas mon kiff. Et évidemment, toutes les soirées à ambiance caliente.

Sinon, j’aime tout ce qui provoque des sensations fortes. Et principalement la vitesse. Ma grande passion, c’est le pilotage. Voitures, motos, qu’importe tant que la puissance y est. Sur circuit, mais aussi en ville. Ah, j’ai pas le permis. Mais à quoi bon le passer sachant que je me le ferais retirer direct ? Ça m’empêche pas de prendre le volant. J’ai même appris à piloter un hélico mec ! Eh ouais, c’est trop la classe j’te l’ai dit ! Bon, là j’ai quand même obtenu une licence. C’est difficile d’être autodidacte...

Pour finir, j’aime le sport. Difficile d’allier sport et rythme de vie chaotique ? Pas du tout, j’ai pas dit que je suis pro non plus. Mais quand j’étais gamin j’ai beaucoup joué au basket. Et fais beaucoup de roller avant de connaitre les bolides. J’aime me défouler en fait. Ah, et j’aime bien les chiens aussi. Les vrais. Les gros qui montrent les crocs.

Et pour ce que je n’aime pas… En fait la liste est incroyablement longue. Alors je vais seulement préciser ce que je déteste. La vodka. Quelle horreur. Ça ne devrait pas porter le nom d’alcool. Le froid. Non, pardon, les températures négatives. Pareil, un vrai calvaire. D'ailleurs on fait bien le lien entre les deux... Connards de ruskoff !

Les vieux survet sans forme. Portés par des nanas bien foutues. Quel gâchis. J’aurais presque envie d’en pleurer ! Dans le même genre, les filles mignonnes qui se prennent pour des mecs. Pourquoi ? Laissez-nous gérer ! Le twerk. Sisi je t’assure, je trouve ça vraiment ridicule. Surtout que dans 90% des cas, c’est mal fait. Je préfère largement un bon tango ! Au moins, j’peux toucher.

La pétanque. Ouais… On s’écarte peut-être des choses que je déteste fondamentalement. Alors, je m’arrête là.

Ma vie ? Va t’faire foutre. T’as pas besoin de savoir ce qui s’est passé avant. J’ai accepté toute ton histoire pour venir jusqu’ici, t’as bien vu que c’est le bordel pour moi en ce moment. Si tu voulais juste satisfaire une putain de curiosité mal placée, alors j’crois qu’on s’est mal compris trouduc.


Ok, je prends le relai. Parce que monsieur a aussi oublié de vous dire qu’il est sacrément borné. Et qu’il a l’insulte facile.

Tiago est le dernier né d’une famille colombienne de quatre enfants. Deux frères bien plus âgés et une sœur de seulement trois ans son aînée, dont il s’est toujours senti beaucoup plus proche. En tant que tel, il a toujours été chouchouté mais surtout, il a gravement manqué d’éducation. Ce détail pourrait ne pas être bien dramatique s’il venait d’une famille classique. Mais il se trouve que son père était à la tête d’un des plus gros réseaux de narcotrafiquants du pays. Ce qui n’est pas peu dire.




Aucun problème financier pour commencer. Une villa digne des plus grands films hollywoodiens, toujours du monde en action, des soirées chaque week end où alcool, coc’, héro’ et weed circulent aussi librement que ces femmes siliconées vêtues de maillots de bain minimalistes. Des chiens aussi. Cinq dobermans éduqués pour bouffer quiconque pénètrerait le terrain sans être accompagné du chef des lieux. Monsieur Marquez Senior. Mais aussi des toutous qui laissaient le bambin qu’était encore Tiago se rouler dans leurs pattes ou leur mordre les oreilles. Du moins, ce qu’il en restait.

Un environnement qui paraît ainsi parfaitement naturel pour le garçon. Rien de très étonnant à ce que je vous dise qu’il y a de nombreux domaines dans lesquels il s’est montré très précoce. Pour ses dix ans, ses frères alors âgés de 17 et 19 ans, ont décidé de l’emmener assister à une course de super cars illégales organisée dans les rues de la capitale. C’est à partir de ce jour-là que Tiago s’est pris de passion pour ces véhicules à moteur capables de battre des records de vitesse.

Je vous passe les nombreux détails sur le chemin qu’a pu suivre le jeune homme durant le reste de son adolescence. Il n’y a qu’à regarder le résultat aujourd’hui et vous devriez déjà avoir une bonne idée de l’absence totale de limites qui lui ont été opposées. Jusqu’au choix des études supérieures.

Tiago s’est toujours montré être un bon élève. Gentil bien qu’un peu dissipé, curieux et plein de bonne volonté, ses professeurs l’ont toujours beaucoup apprécié. Et ses résultats scolaires faisaient la fierté de sa mère. Alors quand il a évoqué l’idée de faire médecine à la fin du lycée, tout le monde l’y a fortement encouragé. Parce que si ses aînés étaient faits pour suivre la voie toute tracée du paternel, Tiago lui n’est pas doté de la même force de caractère.

Oh, ne vous faites pas d’illusions. Lui aussi est passé par les même étapes. Revente, trainer dans les rues à la recherche de nouveaux clients, tenir le poste de guet lorsque de grosses affaires sont en cours, et, très rapidement, celui de chauffeur. Parce qu’il n’y a pas à dire, à quinze ans au volant de grosses berlines, il restait bien plus efficace que n’importe quel conducteur assidu. Il lui est même arrivé de devoir se servir de ces flingues en libre-service chez lui. Du sang, bien entendu qu’il en a sur les mains. Et des séjours chez les flics, il en a fait quelques-uns. Mais tout ceci s’est toujours accompagné de cas de conscience.




A ses 18 ans, il a donc l’autorisation de quitter le domicile familial pour partir faire ses études à Bogota. Un appartement digne de ce nom financé par papa et maman, il s’est très vite fait à sa nouvelle vie. Et évidemment, aux soirées étudiantes largement à la hauteur de leur réputation. Très à l’aise en société, Tiago est vite devenu l’un de ces étudiants très populaire. Assidu la journée, travailleur, mais surtout sans aucunes limites une fois le soir tombé. Ramenant toujours de quoi rendre encore plus folles ces nuits d’ivresse et de défonce.

Les années s’enchainent, il décide finalement de s’orienter sur un cursus kinésithérapie – contre la volonté de son père qui aurait préféré qu’il parte dans la pharmacie mais bon, les prescriptions d’antidouleurs marchent quand même. Le jeune homme revient très régulièrement au domicile familial, ne serait-ce que pour revoir sa sœur qui lui manque là-bas. Et ses chiens. Eux aussi il aurait voulu les emmener avec lui. Et puis, continuer à s’investir dans les affaires de famille.




Cela faisait plusieurs semaines qu’un clan du sud de la région tentait d’empiéter sur leur territoire. Et les quelques avertissements donnés n’avaient pas suffi à les faire reculer. Une grosse opération de mise de plomb dans le crane avait donc été lancée. Le problème, c’est que les flics étaient aussi sur l’affaire. Et ça, tous les mafieux l’apprendront à leurs dépens.

Bien à l’abri au volant d’une Porsche, légèrement en retrait de la zone principale d’affrontements, Tiago assume toujours le même rôle. Assurer le repli d’un maximum de personne en cas de force majeure. Ce qui n’aurait jamais dû arriver. Et pourtant, après plusieurs détonations parfaitement classiques, il les a entendues les voix dans ce microphone grésillant caractéristique. Et en suivant, la panique.

La suite s’est déroulée beaucoup trop rapidement. Ses frères qui arrivent droit sur lui. L’un des deux qui menace de s’écrouler sous l’impact d’une balle qui lui traverse la cage thoracique. Il démarre à peine ses passagers embarqués. Ils ne peuvent pas rester sur place plus longtemps. Mais c’était sans compter sur les motards qui étaient également sur place. Les balles fusent. Le stress est à son maximum. Les vitres explosent. Un pneu éclate. Pourquoi ses frangins ne s’en chargent pas à l’arrière ? Il n’ose pas regarder dans le rétroviseur. Attrape l’arme qu’il avait évidemment à sa ceinture en cas d’imprévu de ce genre. Tir. A plusieurs reprises. C’est pratique d’être gaucher. Et après de très longues minutes, fini par semer ses poursuivants.

Coupant le moteur à l’abri d’une ruelle, ses nerfs finissent par lâcher alors qu’un torrent de larmes incontrôlables franchissent la barrière de ses yeux. Il a déjà compris mais il doit se retourner. Deux corps inertes gisent sur la banquette rouge. Incapable de contenir son estomac face à cette vision, il finit de régurgiter tout son contenu sur le siège passager. Difficile de savoir combien de temps il reste enfermé au milieu de toutes ces odeurs nauséabondes. Le temps que son cerveau accepte de se remettre en marche.


Ouais c’est bon, maintenant que l’autre a tout balancé j’peux prendre la suite. Mais t’avises pas de t’apitoyer sur moi ! J’te jures, si j’vois une seule larme tu prends mon poing dans la gueule ! Au moins t’auras une bonne raison de chialer. Bon, on en était où ? Ah, oui.

J’étais complètement perdu. J’ai fini par laisser la caisse et mes frères sur place. J’pouvais rien faire d’autre. J’me suis barré à pied, pour me planquer dans un squat de sans-abris que je fournissais plus jeune. Les gars ont été voir pour moi. Plus personne dans la baraque de mes parents. Tous descendus ou chez les flics, bons pour des années de taule. Même les chiens y sont passés. Je venais de tout perdre. Tous mes repères. Les mecs m’ont dit de quitter le pays. Alors je suis allé retirer tout le cash que je pouvais sur les différents comptes auxquels j’avais encore accès (et ça faisait un sacré paquet de pognon). J’ai mis le temps, mais finalement ils m’ont aidé à rejoindre le Panama. La frontière nord avec la Colombie, tu suis ? Costa Rica, Nicaragua, Honduras, Guatemala, et finalement je suis arrivé au Mexique. C’est bon la géo ?

Ça m’a pris six mois. J’avais un but, ça m’a aidé. Mais arrivé dans ce motel minable au sud de Mexico, je ne savais plus quoi faire d’autre. C’est à cette époque que tous mes changements corporels ont eu lieu. Cheveux, piercings, tatouages. Tout pour éviter d’être trop reconnaissable. On sait jamais. Et à partir de là, ça a été la spirale infernale. J’ai commencé à fumer et boire beaucoup trop. Beaucoup plus qu’avant c'est ça. A m’isoler. Et en plus je commençais à être à court de fric. Ouais, j’suis plutôt cigale…

Pourtant, jamais je n’ai pensé à me tuer. Et si ma grand M’ma avait raison ? Qu’on se retrouvait tous quelque part après la mort ? J’aurais l’air con moi. Ils se sont tous fait buter pendant cette foutue opération, et moi je débarquerais après m’être mis une balle dans la tête ? Impossible. Alors finalement, te voir arriver a sûrement été ce qui m’est arrivé de mieux. Même tes histoires absurdes de vide et de pouvoirs sont bien passées. Faut dire que j’étais pas très frais à ce moment-là. Tu pouvais me dire n’importe quoi je t’aurais cru avec cette même gueule de bienheureux.

De toute façon, ça faisait plusieurs semaines que j’en chiait pour survivre. J'ai été habitué à un minimum de confort quand même, la transition a été rude ! Alors quand tu m’as dit de tout plaquer pour Tokyo, tous frais payés, j’allais pas faire le difficile ! Puis j’connais pas trop le drift, paraît que vous êtes doués pour ça là bas !

« Jeune homme bavard. Très bavard. Il sait comment s’attarder sur des détails sans intérêt pour éviter soigneusement tout sujet sensible. Un masque de cynisme et un désintérêt parfaitement maîtrisés, qui ne laissent que mieux deviner la douleur qu’il peut y avoir en lui. Et son refus de la partager. Il reste néanmoins parfaitement lucide sur sa situation. Malgré des paroles dures et une certaine tendance à la violence caractéristiques chez les personnes issues d’un tel milieu social, il reste parfaitement stable. Aucun trouble qui ne nécessite un suivi psychologique. »