## Sam 25 Mai 2019 - 13:10 | ||
Invité | Carte d'identité. • Prénom : Sirpa • Nom : Rogers • Âge : 19 ans • Affinité et pouvoir : Tonnerre Lunaire Apparence. Un bon compromis entre pratique et sexy, on pourrait te décrit ainsi. Des Dc Martens pour exploser les attardés qui viendraient te chercher des histoires, un legging noir déchiré – tu préfères le faire toi-même – sous un short assez échancré pour rehausser la courbe de tes fesses que tu trouves trop discrètes. Une veste courte sans manche, autour de laquelle s’enroulent les motifs albe de côtes humaines, en dessous un simple bandeau. Tu laisses voir ton ventre blanc et maigre où des tatouages naissant et pas un seul muscle ne semble jamais vouloir se dessiner, et sous le tissu noir, se sont tes vraies côtes qui se profilent. Car ton corps est maigre, fragile, anémié. Pas comme tu le voudrais, plein d’assurance et atypique. Non, celui-là est quelconque : des petits seins ronds qui tiennent dans une main, des poignets fragiles que tu lasses de bracelets de cuir, et dont on peut faire le tour avec deux doigts. Tes yeux sont des obsidiennes, tes cheveux des traits de fusains. Tes lèvres, que tu trouves trop sages et trop rondes, se distinguent à peine de ta peau, les jours où elles ne sont pas couvertes d’une épaisse couche de rouge à lèvres noirs. Ton corps est au supplice, tatoué, percé, vêtu de noir comme en deuil : il n’est pas un amusement, un jeu, l’expression de ton assurance ou de tes goûts. C’est le premier à payer pour ton mal-être, ce vide en toi. Caractère. Si on laissait les autres te décrire, beaucoup diraient « une conne ». Un peu rapide comme jugement de valeur, mais ce mot décrit efficacement le masque que tu présentes à tout le monde. Tu es un serpent. Informe, changeant, t’infiltrant partout. Dans les cœurs, les lits, les esprits, les ordinateurs, les téléphones. Pour y répandre ton venin, et détruire un monde qui t’as détruit. Un monde qui m’a détruit. Tu ne vis pas ton existence, tu la crames rapidement, dans un feu de joie rancunière. Les sourires sont faux ; les danses, exutoires ; les shoots, destructeurs ; les coups d’un soir, automatiques et provocateurs. Tu as un père qui n’est pas vraiment le tien à faire enrager, et un deuil à accepter, la grosse pomme à oublier. C’est assez pour que tu décides de cacher le peu qu’il reste de toi derrière l’archétype d’une adolescente sauvageonne et « rebelle », qui s’amuse à faire planter des petits blogs, à pirater les comptes insta ou twitter de ceux qui ne te reviennent pas. Pourtant tu es en morceau, encore en construction, mais ce qu’on avait érigé de toi a été remit à terre. Tu es cette nana qui passe en sautillant, et voyant qu'on la regarde, adresse un baiser de la main et un clin d’œil à tes spectateurs anonymes et éphémères. Cette fille qui fait sortir de ses gonds, tant rien ne semble l'atteindre. Il y a sur ton visage ce masque bien en place, sophistiqué et solide, qui cache les peines et les doutes derrière des piques des moqueries, et un sourire à vouloir te coller des baffes. Il y a dans ton cœur cette haine et ce mépris de tout, surtout de eux. Les grands. Les adultes. Ceux qui savent, ceux qui dirigent, ceux qui foutent tout en l'air et lapident les ressources limitées de ce monde. Les mêmes qui toute ton enfance t'ont pointé d'un doigt autoritaire et condescendant, et se sont prétendues capables de t'éduquer. Mais les chiens enragés ne se domptent pas : on peut simplement les faire taire, leur mettre une muselière, et courir en priant pour ne plus être là quand ils s'en seront débarrassés. Mais tu n'es pas une révoltée stupide ; la crise d'adolescence tu l'as finie. Ce que tu défends est réfléchit, cogité, et ton plan d'attaque aussi. Tu ne tapes pas tout azimut autour de toi ; du moins pas trop fort. Ton énergie, tu la gardes soigneusement pour les bonnes personnes. Gouts. Briser. Briser les codes – ceux sociaux comme informatiques–, briser les esprits, briser les cœurs et la confiance. Tu adores ce sentiment, quand tu piratesl’ordinateur de quelqu’un, de violer un sanctuaire, de mettre à genoux tout un univers. La cerise. Tarte à la cerise, sirop de cerise, cerise confite. Le rythme cadencé d’un riff de guitare. « Ça c’est le coté finlandais ». Il n'y a rien qui te grise plus que les quelques secondes précédant l'impacte d'un point contre ta mâchoire. Les grincements de dent de ton « père ». Les nuits blanches, et la sensation d’être la dernière survivante au monde, la seule personne consciente à l’instant (alors que tu sais que lorsqu’une moitié de la terre dort, l’autre travail). Les joutes verbales, ce moment où il faut chercher la faille non-physique qui permet de prendre le dessus, plus efficacement que les poings. Faire des farces aux fous ayant eu l’idée saugrenue d’être tes « amis ». Chanter. Danser. T’exténuer. Histoire. Minuit Ces mains sur tes fesses, qui les malaxent et les maltraitent, tu n’aimes pas ça. Pourtant les coups d’un soir possessifs et dominateurs ne t’ont jamais dérangé. Passer pour une « salope » auprès des machos te fait même rire, tête renversée en arrière, lèvres noires corbeaux déployées sur des dents qui n’en paraissent que plus blanches ; ainsi s’assoit dans ton crâne ta domination sur eux, les idiots. Mais là, tu ne le sens pas. Le mec va trop vite, vous avez à peine commencé à vous embrasser que ses mains sont sous tes vêtements, jouant avec le lacet de ton string, rougissant la peau trop pâle de tes fesses. Doucement, tu l’éloignes de toi d’une main sur le torse, lui susurrant à mi-voix d’attendre un instant, et dans une poche intérieure de ta veste, tu cherches un préservatif. Tu le prends entre ton index et ton majeur, lui glissant dans la paume avec un clin d’œil, détendu en apparence, mais intérieurement prête à planter ce type, tes yeux analysant les siens. Quand une lueur d’agressivité y passe, tu sais. Quand du dos de la main il chasse ton bras, tu a déjà la main dans ta veste, ta poigne autour de ton taser. Il te plaque au mur d’un coup au ventre, te coupe le souffle, attrape ton bras et serre au poing de te faire feuler de douleur et de colère en entendant ta seule arme tomber au sol. Son point frappe contre ton ventre, te coupant le souffle, et tu réponds d’un coup de tête en plein front. Il grogne et t’empoigne à la gorge, écrasant ton cou entre sa poigne et le mur, jusqu’à ce que d’un coup de bottes dans l’estomac, tu l’envoies au sol. Redressée d’un élan, tu t’apprêtes à le frapper à la mâchoire du coin de ta chaussure, avant d’être arrêté par un raclement de gorge. Avec le type au sol, vous tournez la tête vers la silhouette encapée qui se dresse dans l’entrée des toilettes miteuses de ce bar ou tu as passé ta soirée. « J’ai interrompu quelque chose ? » Tu entrouvres les lèvres, mais la femme sous la cape te coupe autoritairement. « Sirpa Rogers ? - Ca dépend pour quoi. » D’un mouvement de tête vers l’extérieur, elle te fait signe de la suivre, et après avoir fixé un instant le type à terre, tourne les talons. Tu ne cherches pas trop loin, récupérant au sol ton taser, et tu la suis en laissant ta matière grise carburait à plein régime, le système limbique en veille : elle t’a sorti d’un mauvais pas, mais c’est peut-être pour te coller dans pire. Tes ennuis à New York ne sont pas totalement réglés. Vous traverser le bar, et avant qu’elle n’est pu atteindre la rue, ta main se referme brutalement sur son épaule. Solide, musclée, sous sa cape, elle n’a pas l’air, mais cette femme est entraînée. « Hey ! Je n’sais pas comment vous avez pu remonter jusqu’à moi, mais si c’est pour une commande, mes capacités de hacking sont proportionnel à ma paye. » Dans l’ombre de sa capuche, apparaît un sourire. « Cela n’a rien à voir, mademoiselle. » Tu as ta vérification. Et immédiatement, tu la repousses dans le bar, fonces à l’extérieur, et court vers l’avenue la plus proche. Ton pied fauche une poubelle au passage, un obstacle de plus si elle décide de te poursuivre. Sans faire attention, tu déboules sur la route, manquant te faire renverser. La voiture freine de justesse, tu t’effondres sur le capot dans un bruit sourd et ravales un grognement en encaissant l’impacte. xXx 2H Tu descends du métro, ton blouson de jeans bas sur tes bras, quitte à ne pas couvrir tes épaules et à laisser le froid les mordre, mais à cacher la forme de tes reins que ton short échancré et tes portes jarretelles laissent trop voir. Le type de tout à l’heure t’a calmé pour la nuit. Tu t’es pris des coups pires, mais celui-là t’as bien tourneboulé. Peut-être parce qu’il y avait un témoin. Ou peut-être parce que tu as manqué finir bousillée sous les roues d’une voiture. Tu remontes les escaliers pour rejoindre les rues de New York, jetant un rapide regard à la station toujours engourdis de monde par-dessus ton épaule. Pas de cape à l’horizon. Avec un haussement d’épaule, tu atteins le trottoir, marchand rapidement en démêlant les fils de tes écouteurs, prête à rejoindre un foyer où il te semble être plus toléré qu’aimer. Là-bas mon ombre plane toujours, et papa n’as pas encore accepté que tu n’étais pas sa fille. Toi, tu pencherais plus pour dire qu’il n’a pas accepté que sa femme l’ait trompé, et a eu une morveuse de son adultère. Ecouteurs dans les oreilles, tu secoues doucement la tête, voyant la ville à travers ta musique, marchand plus vite, emportée dans un autre monde, un monde où il n’y a eu personne pour me descendre dans une rue un soir, une Amérique où les armes ne circulent pas librement. Une autre réalité, où tu n’es pas la responsable de ma mort. Une main doucement posée sur ton épaule, et tu te retournes, brusque, bras levé pour être flanqué dans la figure de celui derrière toi. Celle. La femme du bar. Le capuchon recouvrant son visage est cette fois baissé, et elle te sourit doucement de ses lèvres brunes, replaçant derrière son oreille une de ses traces au bout de laquelle teinte une perle dorée. « Sirpa, je n’ai aucun lien avec Jones. » La crispation dans ta mâchoire explose, tu la frappe d’instinct et te dégages, lâchant avant de partir en courant : « Tu viens de me prouver le contraire ! » Et tu détales, tes écouteurs valsant derrière toi, ton blouson manquant t’échapper. Le froid te brûle vite les poumons, et tu ralentis, jetant des regards paniqués derrière toi. Tu n’as pas d’arme sauf ton taser, pas de quoi te sauver si Jones t’envoie une femme de main. D’un seul coup, tu la vois, peau sombre et visage rayonnant au milieu d’une foule de connards blafards et tristes ayant élu un « sombre con orange », dixit toi-même. Et elle n’est même pas essoufflée, la houle d’une poitrine que d’ordinaire, tu aurais apprécié se soulevant sereinement. Tu t’arrêtes, comprenant qu’il faut affronter le problème maintenant, pendant qu’il te reste un peu d’énergie, plutôt que de courir comme la trouillarde que tu te vente de ne pas être, et te laisser crever d’une balle dans la nuque quand tu te seras effondré après avoir traversé la moitié de New York comme une dératée. Elle approche doucement, continuant de te sourire et te dépassant largement de trois bonnes têtes, immense géante sortie d’un compte avec sa cape et ses courtes tresses autour de son visage. Peut-être que Jones ne veut pas ta mort, et te lance juste un ultimatum. « Sirpa Rogers. Pourrais-tu cesser de fuir, et accepter simplement de parler autour d’un café ? » Lâche-t-elle enfin, posant ses grandes mains aux ongles longs et claires sur ses hanches, et riant doucement. « J’aime pas l’café. » xXx 2H45 Du bout de tes ongles vernis, tu tapotes contre le gobelet en carton plastifié du café que t’as offert l’inconnue. Pas très écolo tout ça, mais toi t’en a jamais eu rien à foutre du climat. Tu sais que tu seras probablement morte avant que les choses ne dégénèrent. Et les autres tu les laisses dans leur merde. Tu as la tienne, et d’ailleurs à l’instant elle est face à toi, accoudée à la table, te souriant avec bienveillance. Tu lui en fouetterais de la bienveillance. « Alors ? Si terrible que ça, ce café ? - Bon. J’ai pas envie de papoter moi, donc tu me dis ce que tu veux, on règles ça, et tu te barres. » Elle rit franchement face à toi, pas plus impressionné qu’elle ne l’aurait été face à un chaton. « Tes parents ont des petites choses à ce reprocher sur ton éducation… - Mes parents m’ont appris à ne pas parler aux inconnus. Tu. Veux. Quoi, bordel de merde ? » Avec un soupire, se redressant légèrement, et devenant soudainement sérieuse, elle parle enfin. « Comment vont les choses depuis que Raakel n’est plus là ? » Aux phonations de mon prénom tu te fige, livide, et ta main autour de ton gobelet se desserre soudainement. Tu revois rapidement les dernières images que tu as de moi, un corps pâle et inanimé, objet posé sur la table d’une morgue, un trou sombre au milieu de la poitrine. Un cercueil disparaissant sous terre, lentement, inéluctablement. Et tu ne pouvais rien y faire. Tu ne peux pas parler. Tu ne sais pas quoi dire, parce qu’il n’y a rien à dire, et elle le laisse. Alors elle continue, un sourire compatissant, que tu aimerais renvoyer au fond de sa gueule à coup de point, sur ses lèvres. « Ca n’va pas, n’est-ce pas ? Avec ton père … Avec les gangs. Tu n’te sens pas très bien, non ? - Si la personne que vous aimiez le plus au monde était morte, vous iriez bien ? - Il n’y a pas que ça… Tu es épuisais. Peut-être qu’il faudrait que tu te reposes… Que tu ailles te cacher dans un endroit sûr. » Tu relève la tête vers elle, combative à nouveau. Elle a prononcé les mauvais mots. Pas fine psychologue, celle-là. « Si vous pensez que je veux fuir et me terrer… - Non. Je parlais de reprendre des forces. Puis de faire face à Jones. Et régler tes problèmes. Mais plus tard. Dans quelques années… Quand tu seras plus grande. Plus forte. Il y a un endroit, Sirpa. Tu pourrais y être bien, vraiment. Il pourrait t’apaiser.» Ca t’étonnerait que quoi que ce soit puisse apaiser ton âme. Pourtant tu l’a écouté, cette folle avec ses tresses. Puisque tu es là. Entretien chez le psy. Elle s'est montré très têtue - je me risquerais jusqu'à dire "bornée" - et peu communicante. Pourtant elle s'est montrée très à l'aise, désinvolte pendant tout notre entretient. J'ai à peine sentit une légèrement crispation quand j'ai tenté de parler de ce qui l'avait poussé à venir à Terrae, ce vide. Elle n'est pas idiote ou insensible, loin de là. Elle sait parfaitement cacher ses émotions derrière un masque de provocation et de raillerie. Mais elle n'est pas sûre d'elle, et surtout elle demande de l'attention par tous les moyens - surtout les mauvais. C'est très compliqué et déboussolant de tenter de se montrer compréhensif et concerné avec elle. Elle tend à toujours retourner la situation pour mettre la personne en face d'elle en position de faiblesse. Nous allons avoir à faire à une élève difficile, qui aime le conflit et la manipulation. Codes du règlement. _______________________________________ À propos de vous... Vous êtes...? ^o^ : Fatiguée. Nan plus sérieusement: une femme de 16 ans. Comment avez-vous découvert le forum ? : Un moche chauve. Votre avis dessus ? : Sympa! Dernière édition par Sirpa Rogers le Mar 10 Sep 2019 - 11:34, édité 17 fois |
## Sam 25 Mai 2019 - 15:13 | ||
Senri Yamada Messages : 1502 Date d'inscription : 16/04/2019 Age : 22 Emploi/loisirs : Fantôme de la salle d'entraînement oikawa Humeur : Keep calm and don't be tocard | Hâte de conquérir Terrae avec toi, partenaire Tu vas voir qui c'est le moche, insolente èé
Merci Zozo pour les images d'anniversaires de qualité <3 oikawaMerci Elfie et Zozo pour les avatars et signa <3 |
## Sam 25 Mai 2019 - 15:47 | ||
Amy Artheas Messages : 395 Date d'inscription : 04/12/2018 Age : 29 Emploi/loisirs : Libraire ~♪ Humeur : Enthousiaste | Bienvenue à toi ! |
## Sam 25 Mai 2019 - 18:07 | ||
Elisha Frost Messages : 451 Date d'inscription : 11/11/2018 Age : 25 Emploi/loisirs : En recherche d'emploi | Hello dear ~ Bienvenue au best endroit ever J'allais dire "une copine pour Senri !!" et puis j'ai vu qu'effectivement c'était lui qui t'avais ramené ici o: Du coup tu peux rajouter nain à moche et chauve :3 J'ai hâte de lire ta fiche en tout cas, parce que ton vava me plait beaucoup trop xD L'important dans la vie, c'est de participer |
## Dim 26 Mai 2019 - 5:50 | ||
Erik Akimaru Messages : 828 Date d'inscription : 21/03/2018 Age : 28 Emploi/loisirs : Faire des cafés. S'entraïner. Humeur : T'es de la police ??? | Bienvenue Sirpa! Tiens, ton cadeau de bienvenue C'est un très joli ballon, prends en soin et tout se passera bien ! J'espère que tu vas bien t'amuser ici, au plaisir de te croiser au détour d'un RP ou sur la ChatBox ! |
## Dim 26 Mai 2019 - 12:15 | ||
Afya Soubagamousso Messages : 852 Date d'inscription : 29/05/2014 Age : 26 Humeur : Rêveuse | Yo ! Alors comment te dire ça, tu viens entrainée par Senri, t'as déjà une réputation à rattraper. La solitude n'est qu'un moyen pratique de fuir la foule et ses leurres, songeait-elle. Ce n'est pas la solitude que je recherche, mais de vrais compagnons. Ellana, l'Envol,Pierre Bottero |
## Dim 26 Mai 2019 - 12:21 | ||
Arash Ilios Messages : 326 Date d'inscription : 20/09/2018 Age : 25 Humeur : Radiant tel le soleil ! | Bienvenue à Terrae, en espérant que tu puisses devenir toi aussi une étoile de ce monde enchantée |
## Dim 26 Mai 2019 - 13:21 | ||
Invité | Senri=> Kuku tua Amy=> Merci adorable petite chose :3 Eli=> XD Ok je rajoute! Contente que l'ava te plaise Erik=> *Pique le balon* T^T Merci! Afya=> Je ne doute dans d'en être digne 8D! ET MERCI! Arash=> Toi fais gaffe de pas être détrôné! |
## Dim 26 Mai 2019 - 13:22 | ||
Aaron Williams Messages : 3927 Date d'inscription : 28/02/2011 Emploi/loisirs : Prof de maths et papaaaaa ♥ Humeur : Aha ! ... Attendez, c'était une vraie question ? | Bienvenue chez nous !!! Bon courage pour la presentation ;D Très joli avatar ! Et un teleporteur <3 |
## Dim 26 Mai 2019 - 16:33 | ||
Ys Ochikawa Messages : 3528 Date d'inscription : 13/10/2013 Age : 29 Emploi/loisirs : En rédemption Humeur : J'ai pas, pioches! | Yo Bienvenue!! Un téléporteur!!! Quand on vous dis que les Tonnerres vont dominer le monde :D Amuses toi bien parmi nous. Et super badass l'ava! |
## Ven 7 Juin 2019 - 20:53 | ||
Cornélia de la Cour Messages : 61 Date d'inscription : 05/04/2019 Age : 27 Emploi/loisirs : Gérante de "La petite boutique" Humeur : Et je te plains, car pour toi, les étoiles sont toutes les mêmes. | Ok, t'a une image de Raven; je t'apprécie déjà ! Tu connais Senri, je t'apprécie encore plus !!! Avec des arguments pareils, tu peux qu'être une bonne personne, alors je te souhaite la meilleure bienvenue du monde ! |
## Sam 8 Juin 2019 - 18:41 | ||
Invité | Moh, merci J'en profite pour dire que je reprend sérieusement cette fiche que j'ai un peu délaissé un peu... Haha |
## Lun 9 Sep 2019 - 22:14 | ||
Invité | PETIT UP POUR DIRE QUE J'AI ENFIN FINIT *Pleure comme une actrice aux Oscars* |
## Mar 10 Sep 2019 - 9:43 | ||
Elisha Frost Messages : 451 Date d'inscription : 11/11/2018 Age : 25 Emploi/loisirs : En recherche d'emploi | OUAIIIII GG SIRPA TU L'AS FAIT !! BTW ton histoire est grave frustrante car au final on apprend quasi rien. Sauf que c'est grave une violente dans la vie. L'important dans la vie, c'est de participer |
## Mar 10 Sep 2019 - 16:08 | ||
Tiago Marquez Messages : 2033 Date d'inscription : 05/02/2019 | Owiii bravo !!! Tu sais te faire attendre :p Du coup je peux enfin de souhaiter officiellement la bienvenue (ouais ça me fait bizarre mais c'pas grave !). Hate de voir ta petite Sisi foutre le bordel à Terrae I can't run with this weight on my back I can't see 'cause I'm focused on the past I can't breathe, I need to break free From the anger that is constantly inside me |
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