## Jeu 14 Sep 2023 - 12:10 | ||
Katsuyo Oshiro Messages : 539 Date d'inscription : 02/02/2020 Age : 26 | Je relève la tête quand il s'excuse, avec un sourire rassurant. - Ne t'inquiète pas, il n'y avait pas vraiment de bonne réponse. Je me perds un peu dans mes pensées et n'en ressort que pour parler de la situation de mes parents. Il me dit qu'il sera là, même si il ne peut rien faire, ça me rassure un peu. - Merci, Camil. Je me perds à nouveau dans mes pensées, après avoir dit que je ne souhaitait plus parler de tout ça. Je sais pas trop à quoi je pense, mais un moment, une douce odeur sucré emplit mes narines. Je relève la tête pour voir que Camil s'affaire à préparer un chocolat chaud. Je souris quand il me le tend. Je le prends entre mes deux mains - après avoir mis mon mégot dans une petit cendrier portatif, très pratique comme outil. - Non, je veux rester. Il flotte dans le chocolat des mashmallow. C'est vraiment un ange tombé du ciel ce garçon. Je quitte sa fenêtre et la referme, pour aller m'asseoir sur une chaise en tailleurs. Un silence un peu pesant s'installe. Ponctuellement brisé par le bruit de mon souffle sur le chocolat et mes déglutitions. Puis prenant mon courage à deux mains, je me racle la gorge et je me jette à l'eau. - Tu, hm, enfin. J'ai parlé de ma famille et de mes problème. Tu veux me parler des tiens ? C'est toujours un peu gênant le lancement de ses discussions. Merci Eflie pour les avatar et le kit Merci Zola pour les avatars |
## Lun 18 Sep 2023 - 11:43 | ||
Camil Andrews Messages : 593 Date d'inscription : 23/10/2022 Age : 27 Emploi/loisirs : Artiste à mes heures perdues Humeur : ADOL : Attention Deficit Ooh Leaf !! | Katsuyo essaye de me rassurer, mais je me sens quand même comme le pire des idiots... D'autant plus que je ne peux rien faire de plus que lui offrir mon soutien. Rien d'autre. C'est tellement frustrant, et en même temps je suis déçu par moi-même. Pourtant elle ne l'est pas : elle me remercie même. Je baisse les yeux, le cœur lourd. - Ce n'est pas grand chose... Tu m'avais prévenu, mais j'aimerais quand même pouvoir plus t'aider. Au moment présent cependant, je peux faire quelque chose de plus : lui préparer une boisson réconfortante. Un bon chocolat chaud, fait maison à l'ancienne. Du chocolat pâtissier, du lait et des marshmallows. On ne peut pas faire plus agréable. Je la vois sortir de ses pensées quand je le lui apporte et ça me rassure de voir qu'elle n'est pas totalement abattue après avoir dû se plonger dans ces souvenirs difficiles. Un sourire passe même sur ses lèvres et je ne peux m'empêcher de le lui rendre. Je lui donne également le choix de rester ou de s'isoler et le soulagement m'envahit quand elle dit vouloir rester. Je retourne m'asseoir sur le lit, suivi par Katsuyo qui elle s'assoit sur une chaise. Le silence tombe, un peu pesant. Je l'écoute boire son chocolat, plongé dans mes pensées. Je suis toujours en train de digérer tout ce qu'elle vient de me révéler. Je me demande comment ça se serait passé si j'avais gagné des pouvoirs pendant l'éclipse. Sûrement mal. Mon père m'aurait sûrement traité de monstre, ma mère aurait eu peur de moi. Et maintenant ? Elle ne sait pas que j'ai des pouvoirs, je n'ai pas pu me résoudre à le lui dire. Le raclement de gorge de Katsuyo me ramène sur terre. Je lève les yeux de mes mains que j'avais croisées sur mes genoux. Elle me propose de parler de ma famille à mon tour. C'est... Je ne sais pas si c'est une bonne idée. Mais j'ai besoin d'en parler à quelqu'un. Raconter ce qui s'est passé à un chien n'est pas suffisant, et je n'ai aucune envie d'en parler à une psy. En tout cas pas pour l'instant. Alors j'acquiesce. - C'est pas joyeux, et certains... événements, disons, peuvent être un trigger. Alors si jamais quelque chose te dérange, n'hésite pas à m'interrompre. Sur ces mots, je prends une grande inspiration. - Comme tu le sais, mon père est américain et ma mère est britannique. Mon père était militaire de profession, jusqu'à ce qu'ils partent en Angleterre... Je suis né là-bas, et j'y ai aussi grandi. Au début ça allait, mais quand j'ai dû aller à l'école je l'ai très mal supporté. Mes parents m'ont tellement couvé que loin d'eux j'ai été infernal. J'ai été viré de ma première et ma seconde maternelle. Donc j'ai eu l'école à la maison : c'est ma mère qui l'a faite dans un premier temps. En primaire, j'ai passé un an à l'école puis je suis redevenu invivable, si bien que j'ai à nouveau été viré. Retour à l'école à la maison. Le gentil petit Camil, un enfant-démon ? Qui l'eut cru... Je lâche un souffle par le nez, un sourire amer aux lèvres. - C'est là où ça s'est dégradé : cette fois c'est mon père qui a repris mon éducation. Et ça s'est mal passé. Ça a commencé par de petites punitions comme un quart d'heure au coin, une fessée. Puis c'est monté en intensité, j'ai pris des tours de jardin en courant, des séries de cent pompes. Et si je n'y arrivais pas, je prenais une rossée. Puis les punitions se sont changées en rossées pures et simples. Ma mère ne faisait rien, elle regardait. Je hausse les épaules. Je n'ose pas regarder Katsuyo, j'ai peur de voir... de voir quoi exactement ? De la pitié ? De la haine contre mes parents ? Aucune idée, mais je ne veux pas la regarder, pas pour le moment. - Et finalement, il est allé trop loin, j'ai fini à l'hosto. Un bras cassé, des côtes en bouillie et un trauma crânien, c'est ce qu'on dit les médecins. Moi j'en ai aucun souvenir, j'ai un trou de trois jours dans l'histoire à ce moment-là. S'en est suivi une énorme dispute, ma mère a finalement pris ma défense et mon père a dû se calmer. Mais ça n'a plus jamais été pareil. Finalement, ils se sont résignés à me remettre à l'école, au collège. Et ça a été, surtout parce que j'étais en avance sur le programme, donc les profs me foutaient la paix. Et comme je ne voulais plus recommencer l'école à la maison, je me suis tenu à carreaux. C'est fou comme tout va mieux quand on fait en sorte de satisfaire tout le monde. Bref, voilà, j'ai eu mon brevet, mon bac, ma licence, mon master. Et je me suis barré aussi tôt que j'ai eu un job. Je laisse échapper un long souffle. Comme si quelque chose au fond de moi était soulagé par ma confession. Finalement, j'ai parlé d'une traite, Katsuyo n'a pas pu m'interrompre. Comme d'habitude, je n'ai pas envie de pleurer. Je suis sec à l'intérieur. Et comme à chaque fois que j'y pense, je me demande si quand mon père m'a frappé, quelque chose ne s'est pas cassé dans ma tête. Je me sens juste... vide. Pas de haine, pas de colère, pas de rancœur. - Et puis mon père est décédé à peu près un an après que je sois parti. Infarctus. J'étais en pleine déprime à cause de mon train-train quotidien alors j'ai sauté sur l'occasion, et je suis rentré pour aider ma mère à gérer les funérailles et le décès. Toutes les questions que j'avais pour lui, je n'ai pas pu les lui poser. Je suppose que c'est un juste retour des choses pour ne pas lui avoir adressé la parole durant un an. Je conclus, en haussant les épaules. Je n'ai toujours pas relevé les yeux, je regarde mes mains que je serre et tords sur mes genoux.
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## Jeu 2 Nov 2023 - 12:15 | ||
Katsuyo Oshiro Messages : 539 Date d'inscription : 02/02/2020 Age : 26 | Le chocolat chaud entre les mains, je me contente de sourire d'un air désolé à Camil lorsqu'il me dit qu'il aurait aimé m'aider. Ce n'est malheureusement pas si simple. En parler, ça a déjà été dur. Je ne suis pas sûr que je serais capable de laisser quelqu'un m'aider, de déléguer. Même si c'est lui. Puis, le sujet de sa famille apparaît. Un silence s'installe quelques instants. J'ai ma tasse entre les doigts et, mon regard est rivé sur lui. Lorsqu'il commence à parler, il me présente un Camil que je n'aurais pas soupçonné. Capricieux et turbulent, à tel point que les établissement n'en voulait plus. Je retiens un sourire, je croirais à une blague, si l'ambiance dans la chambre n'était pas aussi pesante. Mon cœur et ma mâchoire se crispe quand l'histoire de Camil aborde les sévices de son père. Ça ressemble à une vraie formation militaire, s'il était en primaire... il devait avoir quelque chose, comme 6 ans, au début, du moins. C'est horrible. Je grimace au récit de son passage à l'hôpital, et à l'amnésie qui en a suivi. C'est affreux que ça en soit arrivé à ce point là. Mes membres se crispent à l'unisson pendant que Camil ne me regarde pas. "C'est fou comme tout va mieux quand on fait en sorte de satisfaire tout le monde." Soudain, je comprends. Cette phrase, quand elle sort de sa bouche s'abat comme une chape de plomb sur mes épaules. J'ai l'impression qu'elle fait le lien avec tout ce qui s'est passé aujourd'hui. Finalement, il me révèle que son père est décédé, qu'il n'a pas pu lui parler. Je me lève et pose ma tasse sur le côté. Je ravale mes larmes qui ont commencé à poindre. Je déteste pleurer pour quelqu'un qui ne le fait pas, j'ai l'impression de le culpabiliser. Je m'approche de Camil, et je tends mes bras par attraper ses poignets. - Je suis désolé pour toi, Camil. Je cherche son regard. - Ce doit, être dur, de ne pas pouvoir lui parler, lui demander pourquoi. Et... Je crois que même nos pouvoirs ne peuvent pas faire ça. Mais, si tu en as besoin, je suis là. Je le tire vers moi. - Je serais toujours là. Merci Eflie pour les avatar et le kit Merci Zola pour les avatars |
## Jeu 2 Nov 2023 - 22:16 | ||
Camil Andrews Messages : 593 Date d'inscription : 23/10/2022 Age : 27 Emploi/loisirs : Artiste à mes heures perdues Humeur : ADOL : Attention Deficit Ooh Leaf !! | Je ne sais plus où regarder. Partout sauf dans la direction de Katsuyo. Je ne sais pas exactement de quoi j'ai peur, mais après cette longue confession, j'ai l'impression d'être face à une inconnue prête à me juger. Je ne veux pas qu'elle haïsse mes parents, ni qu'elle les insulte. Je les aime encore, d'une certaine façon... Entendre les gens dire que ce sont des connards, ça me fait mal. Je ne veux pas non plus de sa pitié. Je ne m'apitoie pas sur mon sort, alors ce n'est pas la peine qu'elle le fasse. Oui, j'ai atterri à l'hôpital avant même d'entrer au collège. Oui, j'ai une amnésie, qui ne s'est toujours pas effacée. Mais je vais bien, je ne suis pas - plus - déprimé. Et j'ai maintenant une jeune femme incroyable dans ma vie. On est tous cassés quand on arrive à Terrae, parfois de plus d'une manière. Mais c'est ensemble qu'on se reconstruit. Les doigts doux de la Feu sur mes poignets me sortent de mes pensées. Elle ne dit pas grand chose. Elle est désolée pour moi... J'ai envie de dire que ce n'est pas grand chose, mais ça serait mentir. Ces événements ont défini qui je suis à présent, ils influencent encore ma vie, mes actions, mes pensées. Alors non, ce n'est pas "pas grand chose". C'est une part de moi. Je fais glisser mes mains dans les siennes, les observe. Les miennes, fines et presque osseuses, avec des cals sur les doigts à force de peindre et de dessiner. Et les siennes si douces, un peu plus petites que les miennes. Elles vont bien ensemble, nos mains. Les voir ainsi entremêlées, ça a l'effet d'un baume apaisant sur mon coeur. C'est étrange, n'est-ce pas ? Je sens ses yeux qui cherchent les miens, et je me sens prêt à affronter son regard. Je relève la tête, capte ses yeux. J'aime leur couleur, la façon dont ils brillent, de larmes, de rire, de passion. Elle est incroyable. Et ses mots sont juste ce qu'il me fallait. Un sourire doux se dessine sur mes lèvres. Mes mains serrent les siennes alors qu'elle m'attire à elle. Elle sera toujours là. Est-ce une promesse ? Je ne peux pas l'obliger à rester à mes côtés, mais je savourerais chaque minute, chaque seconde de sa présence. - Merci. Vraiment, ça me touche beaucoup. Je dis, sans savoir exactement ce qui me touche. Je lâche ses mains et passe mes bras autour d'elle, nos visages proches. Je ne peux plus lâcher son regard. - Moi aussi je veux que tu sois là... Et je veux être là à tes côtés, pour rire ou pleurer, je m'en fiche. Chaque instant est précieux pour moi. Parce que... Nos souffles s'entremêlent. Mon coeur chante pour elle. - Parce que je t'aime. Je termine à peine ma phrase que nos lèvres se touchent.
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## Jeu 9 Nov 2023 - 1:28 | ||
Katsuyo Oshiro Messages : 539 Date d'inscription : 02/02/2020 Age : 26 | Nos mains s'entremêlent. Camil semble les regarder, je suis son regard. Un sentiment de réconfort et de sécurité m'envahit alors. C'est compliqué à décrire, mais j'ai l'impression qu'avec lui, je suis capable de tout. Je n'ai pas envie d'être autre part à ce moment-là. Quand j'entends sa voix, je relève les yeux vers, je mord un peu ma lèvre. Je suis contente, et en même temps, tellement triste. Pour moi, pour lui, pour nous. Nos histoires se ressemblent et sont en même temps différente. J'ai l'impression que malgré la différence de nos expériences, il n'y a rien qu'on ne puisse comprendre de l'autre. Il passe ses mains autours de moi, et instinctivement je me rapproche. Je ne parviens pas à décrocher mon regard du sien et de son visage. Ces mots me font gonfler le cœur. Je veux lui répondre que moi aussi, mais aucun mot ne sort. Jusqu'à ce qu'il me le dise. Je sens mon coeur bondir, alors que dans les yeux, il me dit qu'il m'aime. Mes yeux se sont écarquillés sous la surprise. Je suis un peu déconfite, avant de sourire. Je pose mon front contre son torse, rendue écarlate par sa déclaration. - Tu abuses. Je souffle ses mots contre lui. Je ne peux pas m'arrêter de sourire. - Je voulais te le dire en première. Je relève la tête vers lui, pour me mettre sur la pointe des pieds. - Je t'aime aussi, Camil. Après avoir soufflée ces mots contre ses lèvres, je dépose les miennes sur les siennes. C'est un baiser important. Il est humide, je pleure, un peu. La journée a été forte en émotion. Quand nos visages s'éloignent, je m'éclaircis un peu la voix. Je n'aime pas trop pleurer. Surtout pas après que l'homme dont je suis amoureuse m'ait dit qu'il l'était aussi. - Je... Tu... On va se coucher ? Je suis un peu fatiguée, et... Je suis toute gênée, alors j'ai le regard un peu fuyant. - J'ai envie de m'endormir dans tes bras. Merci Eflie pour les avatar et le kit Merci Zola pour les avatars |
## Ven 10 Nov 2023 - 21:23 | ||
Camil Andrews Messages : 593 Date d'inscription : 23/10/2022 Age : 27 Emploi/loisirs : Artiste à mes heures perdues Humeur : ADOL : Attention Deficit Ooh Leaf !! | Les mots sont sortis comme un souffle, aussi doux qu'un flocon de neige. Mais je ne pouvais pas les retenir, ça aurait été trop douloureux. J'observe Katsuyo, j'ai peur de l'avoir mise dans l'embarras, surtout au sortir de la conversation qu'on vient d'avoir... Elle a l'air surprise, ses yeux s'écarquillent de manière adorable. Et puis son expression se modifie et un instant, j'ai peur d'avoir fait une erreur en lui avouant mes sentiments. Mais non, après cet air déconcerté, un sourire prend place sur son visage. Elle a rougi, et je la trouve encore plus belle comme ça. Je l'enveloppe de mes bras quand elle se blottit contre mon torse et niche mon nez dans ses cheveux qui sentent si bon. Elle me dit que j'abuse, et je ne peux m'empêcher de lâcher un petit rire un peu étranglé par l'émotion. J'ai un sourire aux lèvres. - Pardon... Je n'ai pas pu me retenir. Je dis d'un ton doux. Elle lève la tête vers moi. J'observe ses yeux brillants, son nez doux, ses pommettes hautes. J'aime tout chez elle. Et alors les mots de Katsuyo se glissent dans mon coeur, le faisant battre plus vite, plus fort, lui donnant une nouvelle raison d'être et de vivre. Nos lèvres se touchent et le sens la chaleur monter comme une vague. Je crois que, même si nous nous sommes embrassés avant, c'est pour moi le véritable premier baiser, celui qui a de l'importance, qui marque le début de notre relation. Je sens le goût du sel sur ma langue et quand je m'écarte légèrement, je vois qu'elle pleure. Mais pour une fois, je suis à peu près certain que je n'ai rien fait de mal. D'une main délicate, j'essuie ses larmes. Il y a quelque chose de très intime dans ce geste, mais c'est un moment doux. Je ne suis pas triste, je ne me sens pas coupable, et je suis heureux qu'elle ose se laisser aller avec moi, même si c'est pour pleurer. Je veux être là pour elle dans ces moments-là aussi. Finalement, quand ses larmes se sont un peu asséchées, elle me demande d'aller se coucher. - Bien sûr. Viens. Ma voix est basse, presque un chuchotement. Je prends sa main et l'attire vers le lit. Moi aussi j'ai envie de dormir près d'elle. Je la laisse s'allonger en premier et prends le côté du lit qui n'est pas contre le mur. Hors de question de laisser ma princesse risquer de rouler un peu trop loin et chuter. Je passe mes bras autour d'elle et la laisse caler son dos contre mon torse. Comme ça, nous sommes tous les deux confortablement installés. Je me sens bien, mieux que je ne l'ai jamais été. - Bonne nuit, Katsu. Je souffle alors que mes yeux se ferment.
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## Dim 24 Déc 2023 - 0:00 | ||
Katsuyo Oshiro Messages : 539 Date d'inscription : 02/02/2020 Age : 26 | Je laisse échapper un soupir de mon sourire quand il s'excuse. Notre baiser à ce quelque chose de spécial qui me réchauffe le cœur. Après notre étreinte, on décide d'aller se coucher. Je me détache de lui, pour me changer rapidement - ok ça casse un peu le romantisme mais les pyjama c'est important !! - avant de prendre place dans son lit. Entre lui et le mur. Je me blottis contre son torse quand il me rejoint. J'apprécie entendre les battements de son coeur. - Bonne nuit, Camil. Prononcer son nom après lui avoir souhaité une bonne nuit, ça a aussi quelque chose de spécial. Malgré tout, je peine un peu à trouver le sommeil. L'aile des tonnerres est bruyante, même si ce n'est pas ça qui me tient éveillé. Je lève les yeux vers Camil et je m'attarde sur son expression quand il dort, au rythme de sa respiration et des battements de son cœur. J'aime bien ce moment, et je n'ai pas envie de m'endormir maintenant. Merci Eflie pour les avatar et le kit Merci Zola pour les avatars |
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