" Dans ce cas ça tombe bien maintenant je laisse faire l'instinct."

Son hochement de tête est mon signal de départ, je commence par poser un baiser sur le tissu qui couvre son intimité et caresse lentement le même endroit. Bientôt j'écarte le tissu et goûte à sa chair féminine.

Je me fixe comme seul objectif de lui procurer un maximum de plaisir. Je caresse ce don qu'elle me fait et vais directement mordiller son bouton d'amour. Mes doigts et ma bouche travaillent de concert aux délices que je tente de donner à Makiko.

C'est amoureusement que je rempli mon office d'amant, bientôt un doigt pénètre en son intimité et j'amorce un lent mouvement de va et viens, guettant à chaque instant ses réactions, cherchant ce qu'elle semble préférer.

Le changement d'état, du sourire aux gémissements, me rend plus fougueux et beaucoup plus entreprenant. Mes caresses sont plus sauvages, le va et viens de plus en plus rapide. Bientôt je cède à l’excitation, lui retire son bas et déboutonne sa chemise.

Je m'arrête un instant et contemple ce spectacle. Cette femme, sublime et désirable, m'aime, se donne à moi sans craintes et y prend même du plaisir. Je me déshabille rapidement, me pose à coté d'elle et la tire sur moi en lui souriant. je l'embrasse en la caressant de toutes part et lui murmure au creux de l'oreille:

" Tu ne crois quand même pas que je vais tout faire seul, si? Il me semble pourtant qu'on est deux dans ce lit. Où alors tu as peur? "

Oui je ne résiste pas, je la provoque un peu. Et comme un défi supplémentaire je commence à la chatouiller en l'embrassant.

Elle fait cesser mes chatouilles et je n'insiste pas. Vaut mieux pas si je veux qu'elle participe de bon coeur. Elle à l'air motivé... Tant mieux?

" Je veux bien te croire "

Ce sont les seuls mots que je l'ai temps de dire quand elle m'embrasse. Celui là c'est bien elle qui me le donne, moi je me contente de subir et d'apprécier le goût de ses lèvres.

C'est à se moment que mon cerveau se rallume et me dit que la situation es plutôt étrange. Il y a quelques minutes, elle ne voulait absolument pas me voir et maintenant on est en train de.... Sacré revirement de situation quand même.

Le temps de cette réflexion aussi intense qu'utile, Makiko se trouve au niveau de mon vis et.... Le premier contact me tir déjà un soupir de plaisir, l'excitation se libère mais le contact s'arrête soudain et augmente considérablement le niveau de frustration.

" Je suis tout à ta disposition mon ange. "

Parce que j'aimerai beaucoup que tu continus. Mais ça je peux pas le dire à voix haute.

Je sens qu'elle prend ses aises, moins gênée pas la situation qu'auparavant, moins timide et surtout très entreprenante. Je savoure ce début de bon traitement en me détendant complétement, je la laisse juste faire et la regarde se débrouiller.

C'est avec un sourire qu'elle recommence à embrasser mon sexe avant une pause inattendue et pour le moins frustrante, alors que j'apprécie son traitement décide de couper.

Elle change de position, sans doute pour son confort, et recommence avec une différence notable, elle s'est enfin décidé à prendre la barre.... Sans mauvais jeu de mots.

Elle a un ultime hésitation avant d'entamer le véritable "travail" mais je ne lui en tiens pas rigueur, à vrai dire je la comprend même un peu.

La sensation est plus qu'agréable, je passe ma main dans ses cheveux pour lui faire comprendre que ce me plait. Je me demande si elle me réserve des surprises pour la suite.

Je penche la tête en arrière et soupir d'extase, le traitement que m'inflige Makiko est juste trop bon. Son va et viens progressivement plus rapide me plait, peut-être trop d'ailleurs. Je crois que sa monte trop vite justement. J'arrête la demoiselle dans son élan.

" Il est grand temps de passer à autre chose beauté. "

je la tire sur moi et renverse la situation, littéralement. Elle se retrouve sur le dos et je reprend mon travail avec ma main sur son intimité mais un peu plus fort qu'avant. En même temps, je parsème son corps de baiser, de petites chatouilles de ci et de là.

Bientôt je n'ai plus qu'une seule envie, lui faire l'amour. J'écarte ses cuisses avec douceur pour me faire un peu d'espace et place mon membres à l'entrée de sa féminité. je n'attend plus qu'un signe de sa part pour m'assurer qu'elle soit prête.

Ses soupirs, ses gémissements, tout ce qu'elle fait m'excite d'avantage, me donne toujours plus envie d'elle et me force à faire un peu de self contrôle pour ne pas partir dans une saillie sauvage et trop violente.

Elle passe ses bras autour de mon coup et me souris, si ce n'est pas une invitation je ne sais pas ce qu'il faut faire pour en avoir une. Je prend ses lèvres alors que je donne un petit coup du bassin pour lentement entamer l'ébat.

Je prend mon temps et l'embrasse à répétition alors que je commence à imposer un va et viens lent pour qu'elle s'habitue à ce contact plus qu'intime.

Rapidement, j'accélère le mouvement, autant pour elle que pour moi. Alors que j'atteins une vitesse moyenne raisonnable qui ne nuira pas à mon endurance, je l'embrasse dans le coup. Le goût de sa peau me plait, ses yeux me plaisent, elle me plait. Je l'aime. Ce que j' n'hésite pas à le murmurer à l'oreille alors que je lui fais l'amour.

Ainsi l'ébat se poursuit sur un quart d'heure, enfin je crois, j'ai un peu autre chose à faire que de regarder l'heure et de mesurer le temps de la performance. On me pardonnera le manque de précision.

Alors que je sens la fin approcher, je me fais plus vif et plus vigoureux dans mes coups de riens, je veux lui donner une ultime montée de plaisir. Je me laisse finalement partir en elle, retenant un râle de plaisir lors de l'orgasme, poursuivant quelque coups encore avant de me laisser tomber sur le coté, épuisé.

Je la prend dans les bras et la tire contre, niche ma tête dans son coup et lui murmure.

" Je... Je ne veux jamais être séparé de toi Kiko..... Je t'aime. "

Je la regarde s'endormir tranquillement et pose un dernier baiser sur son front. Je me sens pris pas une forme de coma post coïtale. Je m'endors finalement, lourd de sommeil, la femme de ma vie dans mes bras.


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J'ouvre les yeux, la lumière matinale filtre à travers la fenêtre de ma chambre et tombe directement... Sur le corps nu de Makiko à coté de moi. Je souris, la libère de mon étreinte. Elle dors encore.

Je me dirige vers la salle de bain tout sourire et prend une douche chaude. Je m'étire longuement en sortant de la douche avant de m'habiller et de prendre mon porte-feuille avant de me téléporter dans le village pour aller acheter quelque croissant.

La course faite, je rentre à la maison et pose le tout sur la table de la cuisine puis lance le café. Puis viens la question, et si elle aime pas les croissants? Retour rapide au village en quête de quoi faire une omelette, des œufs... Pourquoi je précise?

Mais peut-être qu'elle préfère des tartines... aussitôt je repars prendre du pain et différentes confitures vu que je ne connais pas ses goûts.

Je me lance donc en cuisine, je prépare l'omelette tant bien que mal, fait toaster le pain, dispose le tout sur la table de la cuisine et m'arrête devant LE tiroir d'où je sors une poignée de cuillère avant d'entamer mon café.